Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Dessinons un nu au milieu des pervers [pv : Megumi Tengoku]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Takara

E.S.P.er

Ça y est, le cours de dessin va commencer! Depuis le temps que je l’attend celui-là. Pour une fois je me dis que je ne jouerai aucun tour au prof. Le dessin, rien que de penser à cette matière j’ai les doigts qui en frémissent, le crayon me titille et la toile blanche sera bientôt dans les grandes expositions. Bon ok, j’en fais peut-être un peu trop mais je suis une artiste, ce cours est comme une pause pour moi, enfin une matière pour laquelle je ne passerai pas mon temps à faire marrer les p’tits potes de dernière. Dommage que nous n’avions pas ça lorsque j’étais à Tokyo... J’avais été déçue lorsque j’avais appris qu’ils ne dispensaient pas l’art du crayon, l’art visuel, le libre parcours de la main sur la vierge page. C’était déterminée que j’avançais vers la salle, accompagnée de quelques crétins tentant de me regarder sous le meilleur angle possible. Un regard en coin à gauche, un regard en coin à droite, pas de doutes possible, la basse-cour avait sorti les coqs de seconde zone. Aucun pour rattraper l’autre et rien qu’à leurs regards je devinais qu’ils me voulaient pour modèle. Que dalle, moi je suis une comique, pas une modèle pour des tocards à deux yens cinq. Non, moi, on me méritait et ce cours était le moment d’exposer mon imaginaire aux yeux de tous sans avoir à le faire sortir dans ce monde.

Une fois arrivée devant la porte, je l’ouvris et avançait, suivie des larbins baveux. C’est dingue ce qu’ils me répugnaient et m’attristaient en même temps. Les anciennes coutumes ne valaient donc plus en des temps si avancés? Dommage, les porteurs de bananes trop mûres allèrent s’asseoir dans un coin, comme pour mieux m’observer et, après avoir regarder l’agencement de la pièce, je m’installais là où ils ne verraient presque rien, me cachant encore plus avec le rideau blanc à dépuceler. Je laissais glisser mes doigts le long de cette page vierge, je la voyais déjà se remplir alors qu’elle restait blanche, pure. Un coup d’oeil aux voyeurs et des mines déconfites, là, je jubilais intérieurement. Oh oui, j’avais bon. Oui, leur mannequin fétiche aimait les voir tristes de ne pas pouvoir la reluquer mais qu’importe, la professeur entra et s’installa avant de capter l’attention de la classe. Elle prit les présences, ce qui eut pour effet de déconcentrer un peu la basse-cour de la poule aux oeufs d’or. Oui, la poule aux oeufs d’or c’est moi, la pin-up, miss beauté incarnée la basse-cour, vous l’aurez compris, c’est eux, le tas de jeunes dégoûtants même pas capable de savoir faire la cours correctement à une dame.

Une fois les présences prises, notre enseignante, contre qui je ne ferais jamais rien, nous dit qu’une élève allait poser comme modèle. Cette nouvelle me déçu un moment, moi qui voulait laisser parler l’imagination débordante était réduite à peindre quelqu’un existant déjà. Enfin, je n’allais pas me plaindre, il fallait bien commencer ce cours par quelque chose et quoi de mieux, pour montrer mon talent, que de peindre la réalité. L’imagination viendrait certainement plus tard. La porte du fond de la classe s’ouvrit alors et j’aperçus les vestiaires des modèles derrière une jeune fille uniquement vêtue d’un drap blanc. Je souris, elle était plutôt mignonne la petite et observait déjà ma toile. Je me voyais déjà dessiner son corps, ses courbes légères que l’on devinait à travers le drap. Alors c’était un nu que l’on nous proposait de dessiner... Ma foi, pour un premier cour c’était quand même pas mal. Je vis les pervers idiots loucher sur le corps de la jeunette et soupira... Aucune décence, aucune retenue. Soit ils étaient encore jeunes, soit ils étaient vraiment en manque. Ils ne se donnaient même pas la peine de lancer un regard furtif, non, ils insistaient. Tout pour me déplaire en somme.
En pause, peinture d'âme.

Tengoku Megumi

Humain(e)

Re : Dessinons un nu au milieu des pervers [pv : Megumi Tengoku]

Réponse 1 jeudi 31 janvier 2013, 16:12:20

C’était la première fois que je faisais ça, et ça m’excitait. Savoir que toute une classe de dessin allait me voir nue… des regards sur mon corps, ça allait combler mes envies d’exhibitions. En plus j’étais payé pour m’exhiber, pas très chère, mais quand même, je n’allais pas cracher sur trois mille cinq cent yens pour l’heure de dessin. Je savais pertinemment  qu’il y aurait des pervers, mais ça ne me dérangeait pas vraiment. Plus il y aurait de monde, plus je serais contente de montrer mon corps.

Je n’avais pas cours à cette heure donc, j’avais acceptée de poser nue pour un cours de dessin. Rien qu’en y pensant, j’étais excitée. Il fallait que je me calme. J’entrais dans les vestiaires puis j’ouvris un casier ou je mis ma veste. Puis je défis mon nœud papillon, tandis que j’entendais des élèves entrer dans la salle de cours à côté. Un petit sourire apparut sur mon visage, puis je fis glisser ma jupe à terre avant de la mettre avec ma veste et mon nœud.  Je pris mon temps pour déboutonner ma chemise, puis elle rejoignit mes autres affaires. Je retirais mon soutien-gorge, puis ma culotte et les mis dans le casier.

Je pris un drap blanc et me couvrit le corps avec. Ce fut avec une certaine grâce que j’ouvris la porte de la classe et entrais dans la salle sous le regard du professeur et des élèves. Je leur fis un petit sourire avant de m’avancer au centre de la salle, ou se trouvait une petite estrade. Je montais dessus puis je fis glisser mon drap, révélant à la classe mon corps. Je pris une pose sexy et restait ainsi pendant le cours. Au fur et à mesure que les minutes passaient, je me sentais de plus en plus excitée, mes tétons se dressant vers le ciel.

Takara

E.S.P.er

Re : Dessinons un nu au milieu des pervers [pv : Megumi Tengoku]

Réponse 2 lundi 04 février 2013, 11:47:13

Bon, voilà que le cours commençait enfin et la jeune fille sembla déjà savoir ce qu’elle voulait qu’on dessine. Elle prit une pose sexy, ne manquant pas de faire bander les types de la classe et semblait excitée à l’idée de se montrer ainsi nue devant tout le monde. C’était bizarre d’être entourée par des gens excités de part et d’autre mais je n’étais pas là pour ça, j’étais là pour dessiner, sérieusement cette fois. Je pris donc un crayon pour l’esquisse et commençait à détailler les courbes de la jeune fille. Mon regard allait de la toile à la fille et de la fille à la toile. Parfait, l’esquisse était très bien, il me restait juste à redessiner proprement. Je pris donc un pinceau, ajoutait la peinture sur la palette et entamait le dessin pour le final. J’hésitais à faire ça à ma façon, à peindre avec des couleurs irréelles. Ses cheveux roses deviendraient bruns, blonds, verts ou je ne sais encore quelle autre couleur. Après tout, l’art c’est la mise en vision de l’imagination de l’artiste et l’artiste, en l’occurrence, c’est moi. Je voyais déjà les toiles des excités, basées sur le corps nu, pointant très certainement les tétons durcissant de notre modèle imposée.

Moi, ce que je dessinais, c’était l’entièreté, la somme de tout ce qui faisait qu’elle était humaine. Je jetais un coup d’œil sur la toile de ma voisine et vit qu’elle se concentrait sur le visage et le mouvement des cheveux. Je lui donnais quelques conseils pour qu’elle ait un meilleur rendu et reprit mon portrait complet. Pour ce cours, nous n’avions pas de consignes exactes, nous devions juste peindre le modèle sans vraiment savoir sur quoi nous concentrer, ma voisine était certainement trop timide pour oser peindre un nu maintenant. Moi, ça ne me dérangeait pas, je continuais de peindre les courbes, les nuances d’éclairage de mon point de vue et finit par poser ma toile sur le coté avant d’en prendre une autre. Je dessinais vite, je voulais un maximum de nouveautés et me mit à arpenter la classe, cherchant un autre point de vue pour une autre œuvre. J’en profitais pour me mettre derrière le troupeau d’excités et regardait leurs toiles… Comme je le pensais ils se fixaient sur les parties intimes de la demoiselle. Je souris de leur prévisibilités et murmura

- Hey les coquins, c’est ma copine alors pas touche.

En réalité ce n’était pas vrai, je me moquais juste d’eux en les excitant et commençait à peindre derrière eux. Cette fois, je ne dessinais que son tronc, sa poitrine menue, ses bras fins. Je n’eus pas le temps de terminer que la sonnerie retentit. Évidemment, en faisant deux peintures c’est dur de finir dans les temps imposés, même pour moi qui ai l’habitude de faire glisser le crayon sur les pages vierges. Je pris alors la toile et la mis près de la première terminée avant de m’installer sur mon tabouret. C’était le dernier cours de la journée et, comme j’avais une chambre ici, j’avais le temps de patienter. J’attendais alors la petite modèle et vérifiait l’état de ma première peinture. Elle était parfaite mais je voulais terminer la seconde.
En pause, peinture d'âme.

Tengoku Megumi

Humain(e)

Re : Dessinons un nu au milieu des pervers [pv : Megumi Tengoku]

Réponse 3 samedi 09 février 2013, 17:37:35

Je m’étais disposée de manière à pouvoir avoir les regards des élèves masculins droits dans le mien. Je voyais clairement des petites bosses dans les pantalons de ceux-ci. Ma pose sexy n’y était pas rien, je ne cachais pas vraiment mes parties intimes, mais je m’étais disposée de manière à ce qu’elle soit visible de certains et pas d’autres. Ce n’était pas facile de le faire sans être vulgaire, après tout c’était du dessin de nue artistique. Mais apparemment, c’était la bonne pose. Je sentais que mes tétons continuaient de se dresser, heureusement que je ne mouillais pas encore.

Je voyais bien que les garçons n’avaient d’yeux que pour ma poitrine et mon intimité, cela ne me dérangeait pas, bien au contraire. Certaines des filles devaient surement faire simplement mon portrait, d’autres devaient faire l’ensemble de mon corps. Je me doutais bien que les garçons devaient faire des gros plans sur mes parties intimes ou bien sur mes seins qui pointaient fortement. Ça devait leur faire bizarre de voir qu’une jeune fille pas encore majeur, qui plus ait du lycée où il allait pour apprendre, posait comme nue comme cela. Je supposais que dans le lot, il devait encore y avoir des puceaux, surtout les plus excité d’entre eux.

Puis une des jeunes artistes en herbe changea de place avec une nouvelle toile, se mettant juste derrière certains des garçons qui bandaient ferme apparemment. Elle regarda leur toiles, et, au vu de son visage, j’avais raison, ils avaient dessiné mes parties intimes. Comme je l’ai déjà dit, cela ne me dérangeait pas, au contraire, je suis fier d’avoir réussi à rester dans la même position. Dans la classe, il y avait peu de murmure, l’un des garçons en face de moi fit discrètement une photo de mon corps. Je le vis mais ne dis rien.

_ « Hey les coquins, c’est ma copine alors pas touche. »

Quand j’entendis ce murmure au moment où l’appareil prenait la photo, je faillis pouffer de rire, je ne l’avais jamais vue à l’école et c’était la première fois que je venais dans une autre classe que la 2-A. Le photographe sursauta et la photo due être loupée, enfin, je le supposais. Elle devait murmurer d’autres trucs excitant car les garçons étaient toujours en érection. Je me demandais comment ils allaient faire pour sortir de la classe sans montrer leur état…

La sonnerie de la fin du cours sonna et je me retournais en me baissait, montrant mes fesses aux élèves, pour prendre mon draps et retourner dans le vestiaire. Je ne remis pas mes sous-vêtements, les cours étant terminés, j’allais rentrer chez moi. Le temps que je me rhabille, la plupart des élèves étaient partis mais la fille qui avait changé de place et commencer une deuxième esquisse était sur son tabouret. Elle semblait m’attendre. Quand j’entrais dans la classe pour partir mais je voulais la remercier.

_ « Merci, ton intervention a gâché la photo qu’un des garçons prenaient de moi… je m’appelle Megumi et toi ? »

Je lui présentais ma main pour qu’elle me la serre.

_ « Je peux voir tes deux tableaux ? »

C’était la moindre des politesses, demander la permission de voir l’œuvre, même si j’en étais le modèle. Je lui souriais gentiment attendant sa réponse.

Takara

E.S.P.er

Re : Dessinons un nu au milieu des pervers [pv : Megumi Tengoku]

Réponse 4 jeudi 28 février 2013, 11:42:24

Enfin elle sortait, elle n’avait pas trainé mais je ne voulais pas attendre trop longtemps. Pas que j’aie beaucoup de chemin à faire pour rentrer, non mais plutôt l’envie plus pressante de terminer. Je me relevais à son approche et lui serra la main.

- Pas de soucis, j’aime bien les emmerder et si ça a pu faire rater une photo alors tant mieux. Moi, c’est Takara.

Oh oui que j'aimais ça, les faire rager, les emmerder et leur faire rater tout ce qu'ils faisaient. Dans tous le tas, il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre, des machos qui ne pensaient qu'avec ce qu'ils avaient entre les jambes. Pas une once de matière grise, que de la blanche coulante et collante qui leur demandait de sortir. Je les voyais déjà se diriger vers les toilettes les plus proches quand la sonnerie avait retentit. Cette pensée m'arracha un sourire et je revint à ce que disait Megumi.

« Je peux voir tes deux tableaux ? »

Évidemment qu’elle voulait les voir, c’était on ne peut plus logique. Je lui tendis le premier des deux et lui laissait le temps de contemplation nécessaire avant d’ajouter quelque chose.

- Le deuxième n’est pas terminé, je t’attendais pour pouvoir l’achever, si tu veux bien, évidemment.

Je pris alors le deuxième le remit sur le pied afin qu’elle puisse le voir, m’excusant des légères imperfections du premier. Je lui proposais alors de le terminer soit ici, soit dans ma chambre. La réponse ne se fit pas trop attendre et m’arrangeait aussi, la peinture continuerait dans cette même pièce. J’observais l’agencement des meubles et lui proposait de reprendre la même position pour que je puisse finir. D’un coté, cette réponse me convenait car j’avais ainsi l’occasion de peindre le décor avec pour donner plus d’ampleur à l’image finale. Le risque de se faire surprendre ici et maintenant ne semblait pas la déranger et je repensais à sa condition lors du cours.

- Allez, montre toi à ton public impatient et la toile te mettra à nu devant des centaines de personnes lors d’expositions.
En pause, peinture d'âme.


Répondre
Tags :