Une ville bien calme...

Officier Seras Victoria, troisieme compagnie de chasseur de monstre. Au rapport.
Voici les mémoires de ce premier jour du mois de décembre. Mon unité et moi avions été envoyé dans un village reculé des landes suavages séparant les trois nations. Depuis quelques mois, notre ligne de front devenait permeable et certains membres de la ruche sortaient de leur cantonement pour traverser nos lignes et percer dans un territoire où ils pourraient facilement se reproduire en usant de femme en abondance et asservir les hommes pour avoir de la chair a canon le temps de monter leur propre troupes.
C'est avec ce triste fait que cinq femmes du corps expéditionaire de recherche et destruction avait été envoyé a Hertasil, un village lourdement armé et bien portant, un havre de paix pour les terranides en fuite et sous notre juridiction. Cela faisait maintenant quatre jours que nous n'avions pas recu de nouvelle de la part de cette colonie neutre placé exatement au centre des terres innaproprié servant de frontiere aux trois empires dont deux étaient perpetuelement en guerre.
J'étais pas vraiment chaude pour partir mais quand on donne un ordre, le soldat se tait et obéis. Notre unité a donc été envoyé a quelques kilometres de la ville, pour ne pas se faire reperer par les hypotétiques ennemis.

Bon, Elyane, Sara et Yasta, vous établissez un périmetre de sécurité, Yun tu me suis on va faire de la reconnaissance.

Mais officier Seras, vous ne pouvez pas déja voir clair a cette distance?

Heu.. oups, meme si cela faisait bientot 2 ans que j'étais passé de l'état vivant a celui de mort buveur de sang, je ne m'étais pas habitué a voir aussi loin... Bref, sans chercher a discuter, mon imposant canon antipersonel dans le dos, je laissait mon regard sang sur Yun qui comprit que discuter n'était pas de son ressort et nous partimes pour nous rendre compte de l'état des lieux.

Rien, pas une trace de coup de feu au sol, pas une erraflure sur les murs d'enceinte... Il n'y avait eut aucun combat depuis l'exterieur, mais rien ne disait qu'il n'y avait pas cheval dans cette place forte et que Troie n'était pas tombé dans son sommeil comme le dit la légende. Alors, silencieuse comme la mort, la premiere classe Yun et moi nous avancames vers l'entrée secondaire.

Officier, une dizaine d'homme sont a coté de ces roulottes, il semble qu'ils soient attaché.

Le murmure de la femme chat était venu a mes oreilles, comme le sifflement de la fleche qui emporta son sang, avant que je ne puisse m'interposer physiquement, le coeur de ma compagne de feu était percé, une mort rapide et presque sans douleur. Nous étions repéré! Qui? Où? Si j'avais écouté le vent plutot que le rapport, nous saurions qui nous avait attaqué lachement et surtout où diriger une riposte éfficasse.
Ne craignant nullement la mort, je posait mon canon lour au sol en sortant deux armes modifié que mon ancien mentor adorait, l'une d'elle était la sienne d'ailleur, l'autre était l'exacte copie. Armée de mes 6 coups Jackall 13mm je me dressai avant de recevoir une autre fleche tiré cette fois d'un point facilement identifiable. Un large sourire tapissa mes traits quand l'objet traversa mon bras alors que je laissait mon bras viser et éliminer de maniere sonore mon opposant.
Apres quelques instants, je vis celui que je venais d'abbatre avec un sourire mauvais aux levres, il portait a son cou le tampon de la guile des marchands. C'était une information de taille et j'en informai mes compatriottes.

Yun vient d'etre tué, demandez un vaisseau d'évacuation et établissez une base avancé, je vais aller faire le ménage dans la ville.

Victoria att....

Radio coupé, lunette rouge sur le nez, j'étais prete a entrer en jeu. J'enjambai ma camarade avant de me diriger vers la porte, les bras le long du corps et j'appercu le groupe de mâle, tous des hommes en age de se battre. Un complot des esclavagiste avait il reduit la ville au silence où était ce juste les reste de ce que mon ennemi le plus naturel avait laissé. Lentement, je m'approchai, bientot je serais fixé de toute maniere..

Voici la suite de mon rapport sur la ville et ses survivant.
Comme je le craignais, les esclaves potentiels n'étaient plus tout a fait humain, a la base de leur cou était placé une fente encore rouge et la ville froide avait une forte odeur métalique de sang, Jessie James, al grande voleuse et sans doute la tete la mieux payé pour sa capture morte était aussi dans la partie, mais ce dont semblait se douter la jeune femme c'est que tout les mâles n'étaient plus que de vulgaire pantin possédé par une sorte de créature parasitaire encore a l'état larvaire. Je connaissait ces créatures on ne peut mieux, il s'agissait la de ce que nous a Tekhos on appelle des charognards, ces créatures incapable de vivre hors d'un corps et développé par les aliens pour réutiliser les morts a leur profit en les infectant de cette chose qui donnait vie et plus grande puissance aux cadavres inutilisable du champs de bataille. C'était donc non un mais plusieurs de ces monstres qui avait établi sa base dans la ville fantome. D'apres ce que j'ai sue du sujet Hertazil, il y avait bientot 9 jours que personne n'avait recu de leur nouvelle si ce n'est des rapports succint comme une demande de vivre ou autre chose de tout a fait banal. Les marchands ont sans doute paralisé par je ne sais quel moyen les transmissions avant de se faire insemineer ces choses dans le crane. Les rares survivant de la rafle de sexe masculin devaient se terrer dans les sous sols et les faux plafonds de la ville car les murs lourdement armé possédaient une batterie deffensive externe mais pas interne.
Les possédé, relégable aux mort vivants de catégorié C ne présentaient pour moi aucun probleme, ce qui me géna ce fut leur nombre, a ma droite, 72 hommes mutant lentement pour perdre le controle et devenir des Possédé, devant 5 hommes d'armes, probablement des mercenaires, portaient des blessures mortelles a l'abdomen et au cou fait par une de nos armes de gros calibre. J'en déduisait qu'ils étaient déja mort. Ensuite sur les remparts, les archers et leur fleches siflant dans les airs m'apparurent au nombre de 9. Ce qui me faisait un total de 86 personne a supprimer pour entrer dans la ville.

C'est pas vrai, et en plus je suis seule, ca va etre vraiment long.

Ses armes sorti, la jeune femme tira en premier sur les hommes en rang, ces derniers étaient déja condamné et ce n'était pas dans ma politique de faire des prisoniers déja mort, une balle terrassait facilement quatre a cinq homme de maniere letale, les autres étaient grievement blessé. Tres vite, le nombre de mes opposant diminua, de 86 a 25 en seulement trois minute et 12 fleche dans le dos. Je n'aime pas raconter ce qui suivit cet instant, sans doute étais je excédé par ces créature, oui c'est ce qui a due déclancher ca.
Dans un sursaut de rage et de fureur, je ranguainais mes armes et me ruais vers les esclaves survivants avant de les projeter en l'air avec une précision affolante. Chacun d'eux s'empala sur les pique déffensives placé devant les murs du chateau pour assurer une premiere deffence. Une fois la trépanation des 10 survivant effectué, je me laissais couler litteralement sur le sol avant de me rematérialiser entre deux gardes, mes bras traversant leur tete, puis ce fut le tour du troisieme, j'arrachais la gorge du quatrieme et transpercait le coeur du cinquieme de ma main. C'était un moment horrible, sanglant et terriblement violent, le genre de cauchemard que meme un mort n'aime pas revivre. Pour ce qui est des archers, ce fut tres rapide, ces derniers étant des Possédé, leur mission était de stopper tout intru entrant par la porte Est, ils se jeterent donc sur moi en sautant du haut de la porte lorsque je fus hors de porté de leur tir. Ce moment la aussi ne fut pes des plus réjouissant, les deux premiers sauteurs eurent la tete broyé par mes balles quand au troisieme... Apres avoir raté son atérissage, ce fut ma botte qui répendit son cerveau sur le sol. Les autres tomberent sous peu....

Bon, voila qui est fait, je suis gorgé de sang et prete a tuer quiconque tentera de s'opposer...

Cette remarque était celle d'un officier pleinement au courant de la situation et prete a tuer ses propres congenaires pour arreter cette épidémie et surtout retrouver les auteur de telles atrocitée... Les mutants qui ont osé profaner ce lieu en le transformant en pondeuse. Jessie, si ma mémoire ne me fait pas défaut était aux prise avec un enfant pour arracher un chandelier en pierite, c'est fou ca, meme les plus grand voleurs se font avoir par ce métal doré mais n'ayant aucune valeur... Mais c'est surtout sa proximité, la jeune femme était a a peine deuxx rue du centre ville ou se situait la pondeuse et d'innombrables femmes disposé en ligne, completement nue devant une sorte de machine tentaculaire les inséminant de maniere horrible.
Pour ma part je n'avais franchi que la premiere partie des défences que l'ennemi avait instalé dans la zone, j'avais écrasé sans mal les esclavagistes et leur pantins, mais il restait notre propre unité combatante et celle des terranides réfugier, ce qui au bas mot devait representer une cinquantaine de soldat repus au combat et possédé par un parasite doublant ou triplant suivant la constitution la force et l'endurance de l'hote forcé. C'est donc sans aucun scrupule que je rechargeais mes deux armes de points et me préparais, le sourire blanc dévoilant mes crocs ensenglanté, a tuer mes propres camarades, enfin a détruire leur enveloppe car la mort était déja passé.

Victoria! Victoria! Ici Yasta répond, c'est quoi ces coups de feu?

Ne vous approchez pas de la ville, vous risquez de vous faire tuer, il nous faut des renforts, des pretres pour purifier cet endroit et surtout des buchets pour bruler les cadavres...

Quels cadavres?

On est dans un nid, il y a déja des soldat Possédé pour assurer sa défence et je crois que j'ai attiré le gros des forces, restez sur vos gardes et tirez a vue, avec un parasite une enfant devient un engin de mort.

Bien recu.

Je savais que Yasta et Elyane tireraient sans sommations, mais c'était la nouvelle qui me faisait peur, elle n'avait encore jamais vue d'allien auparavant et ceux qu'elle verrait peut etre ce soir ne seraient pas vraiment des etres menacant mais des femmes a moitié nue faisant mine de fuir pour pieger de pauvre bon samaritains...
J'ouvrais a grand coup de pied chaque porte de chaque maison sur mon passage en tuant sommairement tout ce qui était suceptible de se retourner contre moi, homme, femme, enfant vieillard... Pour moi ils étaient tous condamné. Je regretais seulement de ne  pas avoir mon Halconnen sur moi pour faire un ménage plus radical.

Soudain un tintement de chandelier sur de l'argenterie me rappela que tout n'était pas mort dans cette ville, silencieuse comme une ombre, je me reculais dans une maison pour attendre cet opportun qui allait passer juste devant moi, quand le voleur fut suffisament pret, le canon froid de mon arme se posa sur sa tempe alors que, sans lui laisser le temps de réagir je décalais sa masse de cheveux de sa nuque pour etre sure qu'elle n'avait pas une de ces choses et ce n'était pas le cas.

Pfiou... enfin une personne vivante... Alors, c'est pas bien de voler les morts... Mademoiselle James...

C'est l'ennui de la célébrité, Barbe noire n'a aucune prime sur sa tete, du coup il peut mettre sa rouste a Luffy sans probleme, mais dans le cas De Jessie, sa tete était peut etre la plus connue de tout le continent et donc, la reconnaitre n'était pour personne une grande difficulté, y survivre en était une par contre...

Cet endroit est pas vraiment le bon pour une voleuse, meme si tu es la plus doué du siecle, tu reste une femme et... presque vierge en plus, une proie de choix pour ceux qui ont infesté cette ville et qui.... sont la...

Et oui pendant que la no lide King avait interpelé sans vraiment le faire, celle qui semblait etre la seule encore libre de ses mouvements, les troupes tekhanes au regard jaune flamboyant dans la nuit ainsi que les puissant guerrier hacheurs des champions Terranides les avaient encerclé. Sans se soucier de ce qu'était Jessie, la vampire que je suis s'instala contre le dos de sa compagne de fortune. Toute aide est bonne a prendre quand il s'agit de ces créatures.

Elles ne sont plus tres intelligentes, mais si tu veux les tuer pour jouir de ton butin vise la tete ou le coeur.

Joignant le geste a la parole, les lourdes culasses en argent massif recouvertent d'acier noirci de mon armes reculerent et deux tetes exploserent laissant la créature parasite coupé en deux se tortillant nerveusement sur la colone vertebrale des tekhane que je venais de tuer. Une autre me tira dans le flanc a l'aide d'une arme de poing a explosion sonore....

Les erreurs comises lors de ce passage a l'acte dans cette ville fantomes ont un effet assez désatreux sur la suite des éléments, certes la jeune Wild avait fait un coup qualifiable de pute en me frappant dans le dos avant de m'incendier mais ce qu'elle ignorait ce que contrairement a la plus grande partie des vampire connu du commun des mortels les no lifes kings ne sont pas aussi vulnérable au niveau de la chair et des objets tels que le bois ou le soleil, par contre ce qui était vrai dans toutes les croyances des villages c'est que nous ne somme pas immunisé contre le manque de sang. Plus je bois et plus je suis forte, cependant, le sang de Possédé a un gout atroce et bien moins efficasse que celui d'un etre humain vivant. Oui ces créatures qui attendaient leur heure n'était plus vivante, seules les fonctions vitales étiaent en marche et je doutais fortement de la bonne fonction du sang pour mon organisme mais passons, des etres vivants il y en a plein dans cette ville, je peux les sentir, presque autant que ma chair brulé.
Le coté positif des balles enflammées était qu'elles brulaient le pieux de bois qui m'avait empalé et donc réduisait bien rapidement ce handicap qu'un relexe humain m'interdit de toucher. J'étais certes devenue masoshiste avec la découverte de ma vraie nature qui rendait mon corps aussi resistant qu'un diament, enfin c'est plus que meme si je suis détruite je reprend ma forme initiale. Mais ce reflexe, cette stupide ancienne habitude de croire que j'allais mourrir m'avait tétanisé alors que j'étais déja morte!
Un rire étrange, venant d'un autre monde s'éléva dans les airs alors que Jessie quittait celle qu'elle avait immolé, ce rire était bien different de celui d'un humain, comme venant de partout a la fois.

Libération de pouvoir de niveau 1 protocole d'élimination A, actif jusqu'a éradicaton des menaces.

Mon corps a moitié claciné se démembra et des flames noires lecherent le sol alors que je renaissait tel un phenix de mes cendres, j'avais partielement repris ma forme humaine mais le défaut de sang me donnait pas la capacité suffisante a redevenir completement moi. Une partie de mon corps était toujours ce pur pouvoir qui était celui d'un vrai vampire de haut niveau, d'une créature que tout les humains craignent et qui en un claquement de doigt peut briser litteralement le plus fort des guerriers. Je me souviens qu'a cet instant, le nombre d'adversaire m'importait peu, je les tuais proprement au début puis sauvagement par la suite, laissant ma soif guider mes coups et brisant le moindre membre qui osait porter une frappe, c'était sanglant, et plus je dévorait mes anciennes camarade, plus je retrouvais ma force et mon agilité, et surtout, plus j'avais soif de sang humain. Notamment celui de cette voleuse qui n'avait pas hésité une seule seconde a me librer en pature a ces bestioles monstrueuse.

Sur le clocher de l'église de l'ordre divin de cette ville je passait au crible, les habits ruisselant de sang et de chair déchiré, les alantours pour trouver le coupable d'un tel massacre, la jeune femme a la longue criniere blonde dont la fierté m'avait valu une situation des plus périlleuses meme pour un mort avait fait preuve d'une large couardise, mais apres tout, je ne pouvais lui en vouloir, c'était le fait qu'elle fuit a chaque fois qui la rendait si celebre et si bien noté sur le tableau des ennemis publics. Une fois la créature vivante repéré, un tourbillon rouge sang morbide, semblable a un tunnel sang fin où marchaient des ombres mortes et livide d'humains qui avaient péri de la main de la voleuse, l'entoura, en réalité la jeune femme était toujours dans le monde normal a courir avec son canasson mais autour d'elle une illusion des plus glauque c'était instalé.
Par une passade dont je tairais le secret en bonne magicienne, je me débrouillais pour me retrouver dans l'illusion que j'avais crée, face a elle, tel un fantome, mais un fantome de chair et de sang qui n'hésita pas un instant a attraper le cheval au mord et a le faire se coucher sans le moindre mal comme les artistes de cirques. Le regard mauvais et tres réprobateur, je fixais la jeune femme sans arme sur moi, prete a distordre mon corps pour que l'humaine ait l'impression de me toucher alors que sa balle ne ferait que passer par un trou existant réellement et modelé par moi. C'était perfide mais en général on m'écoutait apres s'etre rendu compte que les armes n'avaient pas grand effet sur moi, enfin si elles sont benites, que l'on m'enflamme et me prive de sang, ca risque de devenir tres problématique, mais comme je suis dans mon illusion, normalement ca ne devrait pas etre un gros probleme.

Je t'es appelé James parce que je suis sur écoute, personellement ta prime ne me branche pas, je n'ai pas besoin d'or pour vivre, mais si tu veux tire moi encore dessus, cette fois ci ca ne fonctionera pas.

Non seulement j'étais prévenu qu'elle pourrait me tirer dessus a tout instant, mais en prime je m'étais gavé de sang meme si il avait un gout atroce, pour pouvoir me sortir de la et je n'étais pas du tout de bonne humeur.

La prochaine fois que tu tenteras de m'empaler, regarde bien de m'avoir tué avant de vendre la peau de l'ours, je suis sidéré que l'on croit encore pouvoir tuer un vampire avec un truc aussi archaique qu'un pieu en bois.... Tente la croix et l'ail aussi que je rigole un bon coup... Ici tu peux faire ce que tu veux appeler tes amis les gros bras autant que tu le désire tes hommes n'entendront rien, tu es piégé. Maintenant qu'on a du temps devant nous et que j'ai une soif de tout les diables je te propose un marché: offre moi volontairement ton sang et je te promet d'abreger tes souffrance au plus court, sinon....t'as un jeu de carte?

Oui, j'admets que j'ai pris plaisir a jouer les sournoises, mais comme c'est une humaine se sortir d'un piege de magie ne sera pas facile, meme si en réalité elle est toujours sur le planché des vaches, seul soucis c'est qu'elle ne voit qu'un tunel a l'éclairage rouge hémoglobine. Si Aphrodite a crée la pire des especes sournoises avec les hommes, elle a au moins donné un moyen de les faire tourner en bourique aux autres etres. Par ailleurs, si elle m'offrait volontairement son sang je me retrouverai investi d'une puissance a laquelle je n'avais pas gouté depuis longtemps. Mais ce désir démoniaque fut bien vite réprimé alors que le cheval de Jessie se relevait legerement sonné par la violence du geste qui avait due etre trop brute pour l'animal. Si elle pensait que j'allais lui coller mon poing dans la figure, elle se trompait lourdement sur mon compte, je ne frappe pas un vivant sans but de tuer, c'est ainsi, je n'aime pas tuer alors je ne frappe que dans ce but et sans jamais en faire plus que nessaicaire, etre mort donne un certain recul face a la sournoiserie humaine...