Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: mercredi 25 janvier 2023, 11:02:57 »Je glissais mon gland entre ses cuisses et força le passage, perforant son entre humide jusqu'à faire rentrer tout mon membre en elle. Je le sentis se tendre et s'agripper à moi, se retenant tant bien que mal sur mon mandrin, l'empalant en profondeur.
C'est alors qu'elle... gémit ? Une douce voix que j'aurais bien voulu entendre plus. Il eut un silence mais cette voix italienne confus les japonais, cela me fit un peu ricaner, vite changer par des grognement, alors qu'elle se mit à bouger, coulisser sur ma queue. Elle devait avoir trouver un peu de hauteur, et commençait sa chevaucher ferroviaire.
- Hmmm putain... Lui grognais-je à l'oreille, tenant ses hanches pour l'aider à remuer sur mon érection.
Je pouvais maintenant voir son visage dans les vitres et souris en remarquant les grossièretés qu'elle "parlait" des lèvres, je "répliquais" et surtout me pourléchait les lèvres, montrant le plaisir que j'avais à sentir mon phallus ancré en elle. Sa féminité capturait bien mon membre et le comprimait avec vigueur, j'en tressaillais et sentait mon pénis palpiter entre ses cuisses, c'était terriblement bon.
Soudain, je ne compris pas trop ce qu'elle fit, un bong et changement de position. La sensation changea quelques peu et je sentis que j'occupais toute la place de son antre ardente. M'agrippant avec fermeté, je fus surpris du baiser, mais y répondis avec ferveur. C'était langoureux et passionné, nos langues dansèrent ensemble, tandis que mes coups de reins accélérèrent. Je ne prenais plus vraiment garde à être vue ou non, je voulais juste la fourrer et jouir.
La douce sensation de ses chaires intimes frottant mon mandrin, puis l'enserrant à sa jouissance, me provoqua une dernière décharge de plaisir auquel je ne résista pas et dans un grognement ultime, je jouissais une seconde fois.
Déverser ma semence bien chaude et à foison dans son utérus était le plaisir finale, je remuais des hanches jusqu'au dernier moment.
Tremblant de ce coït, je repris mon souffle, les mains sous ses fesses pour la maintenir et ne fit pas garde aux regards détourné qui avait fini par comprendre ce qui se passait. il faut dire que la position, nos baiser langoureux et le fait que je la bloque contre une vitre posait question et attirait des regards. Rien de visible avec mon manteau nous couvrant, mais, assez suggestif.
- C'est pas... trop mal de... baiser en métro. Soupirais-je amuser, plantant mon regard dans le sien. Sa te dit... de continuer ça... ailleurs ? Un hôtel ?