Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Masamune Kenjin

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Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: mercredi 25 janvier 2023, 11:02:57 »
"L'abeille" était serrer, mouillait-elle assez ? Dur de le savoir, je n'étais pas dans une situation stable et mes sens n'étaient pas aux aguets de ce côté-là. De plus, c'est elle-même qui m'y poussait, donc j'esperais que ça irai.
Je glissais mon gland entre ses cuisses et força le passage, perforant son entre humide jusqu'à faire rentrer tout mon membre en elle. Je le sentis se tendre et s'agripper à moi, se retenant tant bien que mal sur mon mandrin, l'empalant en profondeur.

C'est alors qu'elle... gémit ? Une douce voix que j'aurais bien voulu entendre plus. Il eut un silence mais cette voix italienne confus les japonais, cela me fit un peu ricaner, vite changer par des grognement, alors qu'elle se mit à bouger, coulisser sur ma queue. Elle devait avoir trouver un peu de hauteur, et commençait sa chevaucher ferroviaire.

- Hmmm putain...  Lui grognais-je à l'oreille, tenant ses hanches pour l'aider à remuer sur mon érection.

Je pouvais maintenant voir son visage dans les vitres et souris en remarquant les grossièretés qu'elle "parlait" des lèvres, je "répliquais" et surtout me pourléchait les lèvres, montrant le plaisir que j'avais à sentir mon phallus ancré en elle. Sa féminité capturait bien mon membre et le comprimait avec vigueur, j'en tressaillais et sentait mon pénis palpiter entre ses cuisses, c'était terriblement bon.

Soudain, je ne compris pas trop ce qu'elle fit, un bong et changement de position. La sensation changea quelques peu et je sentis que j'occupais toute la place de son antre ardente. M'agrippant avec fermeté, je fus surpris du baiser, mais y répondis avec ferveur. C'était langoureux et passionné, nos langues dansèrent ensemble, tandis que mes coups de reins accélérèrent. Je ne prenais plus vraiment garde à être vue ou non, je voulais juste la fourrer et jouir.

La douce sensation de ses chaires intimes frottant mon mandrin, puis l'enserrant à sa jouissance, me provoqua une dernière décharge de plaisir auquel je ne résista pas et dans un grognement ultime, je jouissais une seconde fois.
Déverser ma semence bien chaude et à foison dans son utérus était le plaisir finale, je remuais des hanches jusqu'au dernier moment.

Tremblant de ce coït, je repris mon souffle, les mains sous ses fesses pour la maintenir et ne fit pas garde aux regards détourné qui avait fini par comprendre ce qui se passait. il faut dire que la position, nos baiser langoureux et le fait que je la bloque contre une vitre posait question et attirait des regards. Rien de visible avec mon manteau nous couvrant, mais, assez suggestif.

- C'est pas... trop mal de... baiser en métro. Soupirais-je amuser, plantant mon regard dans le sien. Sa te dit... de continuer ça... ailleurs ? Un hôtel ?

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Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: lundi 23 janvier 2023, 16:41:07 »
Se faire pomper le chibre dans une rame de métro... c'est finalement pas si mal. Très excitant et embarrassant, mais que je prend mon pied avec cette petite minette qui gobe ma queue bien profond dans sa bouche !
Je me vide dans sa bouche et pousse un soupire de plaisir, la sentant se tenir à moi. J'aurais bien regardé son visage, mais ce n'était pas la meilleure des situations pour cela.

Je l'aide ensuite à se relever et la touche, avec un sourire coquin tandis qu'elle termine de se "nettoyer". Je lui demande alors son nom, est-ce utile ? Pas tellement mais bon... Et je fus surpris de la réponse, "Bee", une abeille et.... c'est vrai qu'elle y ressemble. Pour une italienne, sa... ne fait pas franchement sens, même s'il y avait des écussons lié aux abeilles, miels dans nos régions.

Lui ayant donné mon prénom, elle bouge et se tourne, dans son dos, je souris en la voyant remonté sa jupe et descendre sa culotte. Elle utilise alors mon chibre pour se faire du bien, et surtout me rendre dure de nouveau, j'en souris et soupire de plaisir à son petit cul, avant de le faire glisser entre ses cuisses. Je tressaillais à ses caresses sur mon érection bien tendue maintenant, je sentais la mouille de celle-ci couler sur mon pénis tandis qu'elle voulait savoir ce que je voulais faire.

- Au risque de paraître... banal, ennuyeux. Je préfère fourrer des chattes.

Me penchant, je glisse ma main sur elle, caressant ses courbes et masse délicatement sa poitrine, timide mais présente. Je préferais la voir nue mais bon... Mes doigts glissent plus bas, remonte un peu son haut pour caresser son ventre et je l'aurais doigté si nous n'étions pas si "presser" pour la suite.
Elle ne tarde pas trop à "monter" sur ma queue, qui vient glisser profondément en elle et la soulever un peu du sol, l'obligeant à rester sur la pointe des pieds sans pouvoir descendre plus bas, déjà empalé sur mon chibre.

Son vagin accueillait mon membre dur et ardent dans son intimité, me faisant grogner à ses oreilles et donner des coups de reins abrupte, irrégulier au rythme du train. La sensation était particulièrement plaisante et presque nouvelle avec l'excitation du lieu. Je l'aurais bien prise plus sauvagement, mais c'était dur de maintenir mon calme et ma discretion, voir par moment mon équilibre dans un tel environnement.

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Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: dimanche 15 janvier 2023, 10:41:43 »
La jeune femme italienne, ressemblant à une abeille d'ailleurs, dont je n'ai pas le nom, semble bien joyeuse d'avoir trouvé un... camarade de jeu ? Elle est amusante et... enfantine. Je me demande quel âge elle a.
Elle m'étreint, donnant un semblant de tableau entre... un père et sa fille ? Sauf que elle me branle avec son corps, sa peau chaude frottant contre mon chibre sous son pull. C'est une sensation, délicate et un peu désagréable à cause de la laine qui picottent.

Je viens caresser son dos de manière plus neutre, tandis que je sens ses mains sous mon haut, tâter de ma musculature et souris amuser à sa question, demande. Je viens alors lui poquer gentiment le nez, avec un sourire malicieux, parlant toujours en italien au cas où il y aurait des oreilles indiscrètes.

- Je vais faire comme je peux... Ici. Souriais-je malicieux, sous-entendant que nous pourrions nous amuser ailleurs ensuite.

Je m'attends donc à ce qu'elle se frotte langoureusement mais non, bien plus osé, elle tombe à genoux face à mon chibre. Elle est vraiment culotté ! Heureusement que je suis plus grand et qu'on ne l'a voit pas ! Ses lèvres me donne un doux frisson avant qu'elle ne prenne en bouche mon gland et le suçote.
Sentir sa langue sur mon érection et ses lèvres chaude sont très agréables. Mon membre en est encore plus ardent et palpite à sa bouche.

Je sers la mâchoire et me force à respirer profondément pour ne pas faire de bruit, ne pas gémir et me contenir. C'est très excitant, mais aussi frustrant de ne pas pouvoir se donner entièrement. Voilà mon pénis bien lubrifier et je sens ensuite les mouvements de sa tête sur ma queue, j'en déglutis et racle ma gorge. Restant stoique, statique autant que possible face à cette gâterie public.

Mon souffle est profond autant que sa bouche sur mon érection... Puis soudain, un peu de bousculade, je ne bouge pas mais... "l'abeille" plonge sur mon dard et l'ingurgite entièrement. Pris par surprise, je n'ai pas le temps de me retenir et éjacule dans sa bouche, ou plutôt dans sa gorge directement, tant j'y suis enfoncer. Elle ne peux qu'avaler ma chaude semence. J'ai rarement fait des deephtroats, c'est un peu extrême pour les filles et la mâchoire peut prendre un coup.

Le voyageur, va pour se retourner et s'excuser, mais j'agrippe son épaule, le bloquant et le regarde furieux (ou plutôt à retenir une grimace de plaisir à me jouissance. Il sursaute et s'excuse rapidement avant de se remettre droit, sans avoir vue ce qui se passait plus bas.

Quelques seconde passe et la petite abeille ressors mon membre, profite un peu et se relève enfin. Je pousse alors un long soupire, oscilant entre soulagement et plaisir.

- Et bien, tu n'y vas pas de main morte. Ca va ? Je peux peut-être aussi savoir ton prénom ? Moi c'est Ethan.

Mes mains reviennent alors empoignées son fessier, que je malaxe plus fermement. Que va-t-elle vouloir faire ? Continuer ici ? Me lâcher à la prochaine sortie ? Proposer une suite ailleurs ?
En tout cas, mes mains glissent sur elle et une revient pardevant pour caresser son entrejambe, glissant ma main sous sa jupe pour la toucher, comme elle me l'avait fait auparavant. Savoir à quelle point elle mouille. Descendre sa culotte pouvoir s'amuser un peu plus...

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Centre-ville de Seikusu / Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: jeudi 12 janvier 2023, 15:27:08 »
Ma boutique d'artefact et d'objet ancien marche particulièrement bien. Petite et peu connus, elle reste dans l'ombre, mais comme je ne fais pas dans les bibelots, les recherches prennent du temps et chaque pièce est unique.
De ce fait, j'ai une clientèle internationale et les japonais... Sont plutôt refermé sur eux-même, du coup, trouvé de bon vendeur, réceptionniste internationale c'est pas simple.

J'ai déniché une japonaise qui s'occupe très bien de mes clients japonais, elle sait leur parler, leur servir le thé et obtenir des informations. Mais bon... côté multilingue, pas encore ça. Et je n'ai pas envie d'avoir 115 employés, une pour chaque langue !
J'avais un autre employé pour l'anglais, il se débrouillait bien, mais sa restait difficile pour les nerfs, car ils n'y a pas que des groupes légaux... entre mafieux russe, yakuza, la pègre italienne, etc... Il me fallait d'autre employé de bon calibre.

Or pour rester sous les radars, ce n'était pas simple si je ne faisais pas de proposition public d'emploi. Alors je demandais à mon réseau, en prenant garde à ce que personne ne soit déjà lié à un groupe et utilise des infos pour d'autre...

Il me fallut un moment avant que je ne tombe sur un dossier intéressant... Un ex espionne en fuite. Avec mon réseau, la quantité d'information que j'avais été... fabuleuse et abusant de mes artefacts magiques, j'obtiens pas mal de chose et... bref. J'étais tombé sur elle dans la rue et avait fait des recherches sur internet, elle cherchait du travail !

Parfait, contacté, j'avais joué la carte très pro. Lui parlant de mon travail, business (parti légal) en lui faisant un petit test au téléphone.
Après ce premier rendez-vous téléphonique, je lui avais proposer un second rendez-vous, cette fois-ci dans un immeuble, ayant réserver un bureau. Cette fois-ci j'avais tester ses langues et son accueil.

Convaincu qu'elle serait un bon élément, j'avais fini par lui parler un peu plus de mon travail. Sans dire que je volais des objets anciens, ou pillait des tombes, je m'assurais de lui faire comprendre, de manière indirecte que ma clientèle n'était pas toujours des plus... chaleureux et flexibles. Bref, qu'elle verrait du monde aussi bien politique, que ceux dans l'ombre.

Bien que sachant son dossier, elle ferait l'affaire, si elle se trouvait être prise par surprise, elle allait devenir une nuisance. Je crois qu'elle failli refuser aussitôt en comprenant mes sous-entendus, toutefois la vue d'un bon salaire la fit hésiter. Il lui fallut deux semaines pour accepter ma demande et cela faisait maintenant trois semaines qu'elle travaillait pour moi.

Elle commençait à prendre ses marques, dans ce lieu de travail plutôt surprenant. Un manoir aux abords de la ville, fermé et sécurisé. Le rez-de-chaussé avait une grande salle d'accueil, une salle de réception, et la cuisine. Presque tout le reste était uniquement un "musée". Chaque pièce avait son époque et son style, permettant à chaque acheteur de directement allez dans la salle qui l'intéressait.
A l'étage, il y avait des bureaux, une infirmerie, une grande bibliothèque à côté de mon bureau. Un petit dortoir, une salle de bain public et enfin la salle de vente. Bref, le manoir était grand, sans compter la réserve pour stockage et la préparation de l'envoie/réception des "articles".

Je refaisais mes comptes dans mon bureau, lorsqu'on toqua à la porte. Mon café que j'avais commandé, je levais le regard vers mon assistante.

- Alors Jane, comment te sens-tu ici ? Tu as commencé à rencontrer quelques clients et te faire ton avis non ?

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Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: dimanche 08 janvier 2023, 17:06:10 »
Si les choses sont déjà quelques peu compliqués, elles prennent une tournure à laquelle je ne m'attendais pas !
La personne se retourne et relève la tête, c'est une jeune... japonaise ? De taille on pourrai dire, mais blonde aux yeux jaunes, dans une tenue jaune et noire faisant penser aux abeilles. Sa lui va bien, mais là ne compte pas, son jolie sourire et son regard pétillant ne me rassure pas tellement.

Elle se colle, enfin, si nous n'étions pas déjà assez coller. Et je sens ses mains s'affairé, non pas à me dépouiller, mais à défaire ma ceinture, puis mon pantalon. Sa va si vite, que je n'ai que le temps d'ouvrir de gros yeux choqués, avant de sentir une douce mimine sur ma queue qui s'érige de seconde en seconde.

Pris de court, je suis à deux doigts de jouer au vieux grincheux, mais elle commence à me branler, sortant mon engin qui a maintenant sa taille maximale. Je retiens alors un grognement de plaisir et n'arrive pas à me décider comment réagir. Outré ou apprécier ce moment intime des plus coquin.
Avec nos différences de taille... dans tous les sens du terme, elle arrive même à embrasser mon gland. Me donnant envie de lui baiser la bouche...

C'est alors qu'elle en rajoute une couche. Elle me répond d'un italien impeccable qui m'émoustille un peu plus.
Hélas je ne peux pas trop parler à causer de sa main active sur mon pénis.
La situation ne s'améliore pas tant, plus de monde rentre et elle vient cacher ma verge dans son pull. Je peux alors sentir la peau délicate et tiède de la jeune femme, voir même de sa poitrine ?

Tout cela est incroyablement stimulant et me fait déglutir. Puis la voilà qui me fait rire avec une question anodine ou presque en vue du contexte. Je viens alors caresser sa joue et plonger mon regard dans le sien. Considérant que l'on ne nous écoute pas, ni ne nous comprends, je continue la discussion en italien.

- Ce n'est pas trop mal. Même plutôt agréable, je ne m'attendais pas à avoir ce genre de scène dans un train. J'espère que tu sauras apprécier toute l'étendue de ce long trajet...

J'essayais de ne pas trop bouger, bien planter sur le sol. D'une main je tenais fermement une barre de soutien et de l'autre, je me permis de venir agripper son corps et son fessier, comme elle jouait avec une partie de moi, je ne voyais pas pourquoi je n'en ferais pas autant ?

Vue comme elle était ingénue, je pense qu'elle ferait une bonne amante au lit.

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Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: vendredi 06 janvier 2023, 19:13:30 »
NOël approchait à grande pompe et la ville s'était parer des ses plus belles couleurs, guirlandes et lumières. C'était un spectacle très beau à voir, les boutiques marchaient à plein régime et... les cuisines tournaient tel l'industrielle. L'ambiance festive était partout et moi-même je travaillais beaucoup.

En général je prenais la voiture, cependant, avec l'augmentation du traffic et la beauté du paysage, je préférais marcher ou prendre le métro afin d'allez voir mes clients et leur proposer mes prochains articles, voir tout simplement leur apporter leur cadeau. Pour un peu jouer le jeu, j'avais un manteau de cuir, rouge foncé, mais rouge. Et avec mes cheveux grisonant, et ma barbe blanche. Je faisais un Père Noël qui attirait bien des curieux.

Cela m'aurait bien fait marrer si je dévoilais mes tatouages qui m'aurait fait passer pour un père noël yakuza ! Voir sortir un flingue histoire de porter un coup à cette jeunesse parfois bien trop innocente.
Profiter de la vie... Tout dépend de ses valeurs et aussi de son environnement. SI certains naisse dans la richesse, d'autre doive y travailler toute leur vie pour y arriver.
Et niveau sexualité... Le Japon était presque marrant. D'apparence, ils font les outrés envers les discussions du genre. Mais en fait, ils sont tellement brimés, qu'ils sont bien frustré et se déchaîne quand ils l'osent. Les étudiantes timides sont des vraies salopes dévergondés qui aime ? Leur daddy.

Ce n'était pas mon intention de base, mais une étudiante m'avait mis le grappin pour faire sa première fois. Et plusieurs de ses amis ont suivis après qu'elle en ai parlée. Il m'arrive encore parfois, plus rarement de les retrouver pour une sortie et une nuit. Revenant pour un peu d'argent et profiter d'un bon coup, c'est plutôt gratifiant pour moi...

Enfin bon, j'allais pour rentrer chez moi à cette heure-ci, l'heure ou tout le monde rentre d'ailleurs. Mes oreilles en places, j'écoute de la musique et me tient, avec ma stature, j'en impose et personne n'ose trop me regardé. J'ai juste envie d'être en paix, je n'entends, ni ne fait attention à la gamine qui se retrouve contre moi.
Pris dans ma musique, je ne remarque même pas qu'elle vient se frotter à moi. Toutefois, mon corps lui, le sens et petit à petit, elle peut sentir contre elle mon membre s'ériger.

Cela doit durer une bonne minute, avant qu'un virage serrer, ne me fasse bouger, avançant et donnant un "coup" de bassin contre elle. Je la remarque alors et baisse la tête, sur un jolie pompon et une frêle silhouette.
Je retire alors une oreillette et d'un japonais correcte, mais un accent étranger.

- Oh pardon, excusez moi. Je ne vous ai pas fait mal ?

L'air ambiant étant chaud et mon esprit ailleurs que sur mon anatomie, je ne réalise toujours pas que j'ai une érection. Hélas cela ne s'arrange pas, car bien qu'on sort, d'autre rentre et sa pousse un peu, malgré ma stature et le fait qu'ils n'osent pas se coller, ont fini par me bousculer un peu et nous rapprochez encore plus. J'en grogne et... c'est alors que je prend conscience en sentant une pression sur mon entrejambe. Son corps frottant au mien.

- Merde. Sifflais-je en italien.

J'ai la trique contre un/e gamine... Je ne vois même pas si c'est un ou une la surplombant. Faut vraiment que je bouge, mais le train redémarre et va me falloir forcer le passage. C'est possible mais... malaisant avec une gaule aussi droite et visible. Je vais littéralement avoir l'impression de me frotter contre les autres voyageur si je pousse tout le monde. Bon... reste plus qu'a me calmer et avoir l'air de rien, attendant le prochain arrêt.

37
One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria
« le: lundi 19 décembre 2022, 13:27:24 »
La superbe espionne entre mes mains, gémissaient, soupirait, mouillait à volonté. Elle était sublime et sa main sur ma verge me rendait aussi dur qu'un taureau !
J'aimais son parfum, la douceur et la chaleur de sa peau, le délice de ses courbes et la moiteur de sa rose que j'avais arrosé de rosée blanchâtre. Son jolie minois m'hypnotisait, et sa voix chantante m'exaltait pour une nuit des plus magiques.

Je la marquais comme étant mienne, jouant avec sa délicieuse poitrine, pendant que je la doigtais pour la faire soupirer et gémir de plaisir. Sa patoune sur ma queue me faisait aussi palpiter d'envie et de désir pour cette magnifique femme.
L'ayant prévenue qu'elle était mienne, que j'étais son maitre, je la traitais maintenant de chienne dans notre petit jeu lubrique. Je m'en mordais de désir tandis qu'elle gémit de plus belle et me supplia de la prendre.

Mon regard brilla de luxure, alors que je viens mordiller le lobe de son oreille et lui murmurer suave, dominateur.

- Oui ma belle chienne, mets toi en place et prépare toi à recevoir le chibre de ton maitre.

Je lui vola un baiser fugace mais ardent, avant de me reculer d'un pas pour lui laisser de l'espace. Lui indiquant la position à prendre, contre la table, se retenant à elle pendant que je la prendrais avec fougue.
Ce fut avec un grand plaisir que je la vis prendre place et me redemander de venir.

Sensuellement, j'embrassais avec douceur son échine, tandis que mon phallus glissait entre ses cuisses trempées, coulissant sur sa fente. Après vingt seconde, je guidais mon gland à ouvrir de nouveau sa féminité qui n'attendait que son office, toutefois, je n'offris qu'une partie de mon membre en elle et souria, soupira.

- Allez, montre moi à quelle point tu danse bien sur la queue de ton maitre.

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One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria
« le: mercredi 07 décembre 2022, 13:41:33 »
Je la taquinais, jouant mon rôle. Lui donnant vaguement le ton, ce à quoi elle "proposa" d'être attaché pendant que je profite d'elle. J'en souris malicieux.

- C'est une forte probabilité...

Sans attendre de retour, je l'embrasse langoureusement, baiser auquel elle répondit tandis que mes mains parcouraient son corps et tentèrent une approche un peu plus intime encore... Son petit trou, qu'elle me stoppa. Sans un mot, là ou elle aurait pu faire la timide et dire pas de suite, c'était un non et comme j'étais "délicat" pas besoin de le crier au et fort. Très bien, je prend note.

Je lui apprends ensuite qu'elle est "mienne" ma chienne d'une nuit... et plus. Sa réponse m'amusa et aurait pu tourner à trop d'indice si je déclarais que c'était depuis ce collier autours du cou. Mais je ne lui réponds pas, juste une claque sur son fessier, pour montrer ma domination, puis je l'emmène sur la table et reprends mes attentions à son égard.
La faisant soupirer, gémir à nouveau, elle me défit à nouveau, elle veut voir si je peux la soumettre... en vrai je trouve que c'est déjà fait mais bon.

Elle commence à me branler, jouant avec moi, elle me tease. Nos regards l'un dans l'autre, j'enfonce soudain un doigt en elle sans préavis, avec un sourire coquin.

- Oh, je vais te montrer... et te le faire surtout. Comment tu es mienne.

Je viens lécher son cou et lui faire un suçon, la marquant un peu plus. Ma main libre tire son téton droit, le roulant entre mes doigts. J'aime l'entendre gémir, soupirer, ça m'excite vraiment et me rend bien dure.
Un second doigt viens rejoindre le premier, pendant que mon pouce forme une pince et stimule son bonbon rose en même temps.

- En bonne chienne, je te baiserais que si tu me supplie de te prendre. Que tu te trémousse contre la queue de ton maitre.

39
One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria [end]
« le: jeudi 01 décembre 2022, 13:55:30 »
Mon membre ardent venait à son rythme, bien qu'accélérer par mes coups de reins entre deux. Donnant un moment des plus exquis et sensuel, tandis qu'elle sautillait sur ma grosse queue. Anastasia se tenait à moi, ondulant sur mon érection, me procurant le plus grand bien au fond de sa fleur.

Finalement, nous vinrent tous les deux, dans une jouissance libre de toute retenue. Je fus satisfait de jouir dans sa féminité, remplissant sa chatte de mon liquide chaud et fertile. Chose dont elle ne se plaignit pas. Elle était bien éssouffler, après une petite minute, la voilà a me regardé chaudement et caresser ma joue, puis me défier. J'en rigole avant d'agripper fermement son fessier, remuant encore en elle, bien que je sentais qu'il me faudrait tout de même un peu de temps pour que ma verge se regorge d'énergie.

- Oh, ne crois pas avoir dompter le tigre ! Je fais le gentil matou, uniquement pour t'amadouer, te faire baisser ta garde.

Je me redresse et ressors d'elle, la gardant sur mes genoux, plantant mon regard dans le sien. Avant de l'embrasser langoureusement, massant fermement son jolie fessier et viens titiller son anus. Aimait-elle l'anal ? Je n'y étais pas fan, mais il y avait bien des jouets pour s'amuser...

- Ce soir je vais faire de toi ma chienne, et tu vas glapir le nom de ton maitre. Lui souriais-je mesquin, avant de lui mettre la fessée.

Puis je la soulève, passant mes mains sous ses cuisses, je prend mon temps pour me lever et l'amène sur ma table de cuisine en marbre, froide sous ses fesses l'y déposant. Je continue en embrassant sa délicieuse poitrine et caresser ses cuisses, ainsi que stimuler son clitoris. J'allais la chauffer et puis...

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One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria
« le: mardi 29 novembre 2022, 11:39:49 »
Mon membre allait et venait dans l'intimité de l'espionne, encore et encore, avançant, reculant, profondément et avec énergie. Ses doux gémissements, soupire me rendait bien dur et me faisait apprécier ses lèvres, ses caresses et son corps. Entremêler, je m'unissais avec elle, pour lui laisser dans sa mémoire, un moment mémorable.

Ses jambes agrippèrent, me donnant une meilleure accroche pour la pénétrer et je ne me gênais pas ! C'était si bon... et sans retenue, elle se laissait allez et moi aussi !
Son doux parfum titillait mes narines et sa chaleur se transmettait à la mienne pendant notre ébat. Puis... je vins à changer de position, prenant garde à ne pas tomber du canapé ainsi. Mais cela passe, elle se retrouve alors sur moi, mon membre bien ancré en elle.

Surprise, elle fini par se mouvoir sur ma hampe, poussant des gémissement si érotique... je l'imite, soupirant chaudement, avant de répondre à son baiser langoureux, sur mes avant-bras pour me tenir. Ma langue viens jouer avec la sienne, dans ce jumelage languistique. Mes mains massaient sa douce et chaude poitrine, titillant ses tétons, alors que je remue sous elle, ressentant bien ma verge butinant sa fleur.

Un moment de repis fut agréable, reprenant notre souffle, alors que je sens la tension de notre bas-ventre sur le point d'exploser. Et sans préservatif, j'ai hâte de venir en elle... de la "marquer", mon sexe frotte ses parois intime si lascivement... Dans des bruits érotiques de sucion humide avec sa mouille qui me fait bien couliser profondément en elle.

- Hmm... Anastasia. Soupirais-je son prénom, le regard brûlant de désir.

Bien que pouvant bouger moins dans cette position, je donne des coups de reins pour la relancer, et après une bonne minute de sexe intense, nos bassins claquant, j'agrippe ses hanches et m'enfonce entier en elle, puis pousse un délicieux râle de plaisir.
Je viens de venir en elle, mon phallus palpite dans sa féminité alors que je sens celui-ci cracher sa semence chaude en elle. Je la sens tressaillir, pris dans mon plaisir, j'espère qu'elle aussi est venue, car j'y ai fait peu attention. En tout cas, je reviens l'embrasser avec envie et douceur, l'amenant à s'allonger sur moi, pour apprécier un petit moment de chaleur après cela.

Ce n'est pas fini, mais une petite pause est agréable entre deux.

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One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria
« le: vendredi 25 novembre 2022, 21:12:52 »
La belle Anastasia s'offrait à moi, tout en beauté et en douceur. Mais cela allait monter crescendo juste... prendre notre temps ! Je découvrais son corps, ses courbes, la caressant, la touchant, l'embrassant, la léchant !
J'apprenais petit à petit à connaitre son corps, le déguster et lui faire éprouver mille plaisir !

Ses beaux et délicieux seins, que je stimulais délicatement du bout des lèvres, la faisant doucement soupirer de plaisir et enfin... Mon membre ardent de désir de rencontrer sa féminité humide et émoustiller pour moi. Je me mis en position pardessus elle et la pénétra. Prenant mon temps, car j'étais bien membré, je ne voulais pas forcer ses lèvres intimes à accueillir mon phallus. Je le sentais trembler sous moi, et sa fleur s'ouvrir à mon pistil.

Je soupire de plaisir, souriant de l'entendre elle aussi prendre plaisir. On vient s'embrasser, elle me caresse et je commence à la prendre. Mon membre frottait bien ses parois intimes, s'enfonçant en elle, j'y allais lentement, mais avec des coups de reins plutôt intense et profond. Poussant des râles de plaisir à me laisser allez.

- Ahn... Ana... Stasia ! Puis vins lui murmurer à l'oreille chaudement. Ce n'est que le début de la soirée...

Je faisais des va-et-viens lent, régulier mais fort, touchant le fond de sa fleur. Me retirant presque à chaque fois, pour une bonne amplitude. C'était à la fois doux et énergique, déposant des baiser sur elle, avant d'agripper ses hanches et... de changer de position. Je relevais son corps et roule sur le côté, pour la faire passer sur moi, ayant ainsi une belle vue et un nouvel angle de pénétration. J'en profite pour masser sa poitrine.

- Allez, chevauche ton beau cavalier Ana. Je plante mon regard dans le sien, un sourire coquin et claque son fessier, attendant de voir son jolie déhancher.

42
Les alentours de la ville / Re : Soirée particulière.
« le: vendredi 25 novembre 2022, 10:30:57 »
Tu te décide à y mettre un peu du tiens pour sécher ma chemise, j'en rigolerais presque... Vue tout le travail que tu fais pour que cela prenne du temps. Je viens alors voir ta réaction avec une approche plus directe. Ce à quoi tu ne rechigne pas... ni ne semble intimidé. Soit tu es plus ingénue que je ne le pensais, soit cela t'arrive encore plus souvent que cela !

Mais je fini de te teaser et te relâche, revenant à ma chemise qui perdait de plus en plus de son intérêt. Je te suis du regard et souris alors que tu me tends les fesses... que je viens toucher sans gêne du coup, vue que tu mes les "offres".
Tu te décide toutefois à changer de pièce, ce qui n'est pas plus mal. J'aime le fait que tu dise avec tant de confiance que personne ne montera... J'émettrais des doute avec les serviteurs de la soirée, mais bon... si on prend le chemin de ta chambre, personne n'y viendra oui.

Cette fois-ci, c'est toi qui touche mon cul et vue ton sourire cela doit te plaire. Je suis de plus en plus sûr que tu es plus dévergondé qu'on ne le croirait. Reste à savoir à quel point !

- Je ne vais pas laisser une lady seule.

Je récupère mon verre et le termine, te suivant, vérifiant moi aussi de ne pas être vue torse nue. C'est plus embarrassant que je ne l'aurais crus !
J'entre dans une pièce, que j'identifie comme ta chambre, uniquement car tu y vas, bien trop sobre et peu personnelle. N'importe quelle élève aurait pu y être, j'observe silencieux et pose mon verre sur le bureau avant que tu ne vienne me demander de "l'aide".

Je me rapproche et glisse mes mains le long de tes courbes avant d'arriver à la fermeture en question, décallant tes cheveux sur le côté pour regarder ta nuque et lentement la faire couliser, je remarque aussitôt le manque de soutien gorge déjà visible devant... et termine par... l'ouverture de ma braguette.

Glissant une main pardevant, je viens caresser ton entrejambe et...

- Oh, tu es aussi mouiller. Tu devrais retirer cela, avant d'attraper froid. Souriais-je bien amuser alors que je caresse ta culotte, appuyant sur ta fente.

Je te touche une bonne dizaine de seconde pour te stimuler et te relâche, reculant pour fermer la porte à clé, au cas où... Avant de revenir vers toi.

- Je crois que je vais aussi avoir besoin de toi. C'est un peu trop serrer là. Je te fixe, amuser, un peu échauffer, te "présentant" mon bassin, ou avec la braguette ouverte, mon érection se fait plus proéminente et visible malgré mon pantalon.

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One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria
« le: mardi 22 novembre 2022, 12:00:01 »
L'entendre me demander de la dévorer et la faire crier me rendait si dure... si ardent ! Bon sang, ce soir j'allais me donner à fond et lui laisser un souvenir impérissable ! Elle ne sortirait pas d'ici sans se dire qu'elle avait eu son meilleur coup avec moi !

Jeune femme mature, plus jeune que moi, elle n'était pas timide, me regardant toujours ardemment et se touchant si chaudement ! Elle suivait ma demande, en une bonne soumise, se posant et écartant ses cuisses. Je l'aurais presque prise la sur le coup !

J'agrippe son corps, la collant bien et encore une demande, un ordre, ce qu'elle fait sans rechigner, ni hésiter. Alors je ne tarde pas non plus à dévorer son minou trempé, léchant, embrassant, titillant toute son entrejambe, la faisant gémir, trembler sous mon assaut. Je pouvais l'entendre nettement gémir cette fois-ci, sentant sa main dans mes cheveux.

- Anastasia... Soupirais-je chaudement sur sa vulve.

Déposant des baisers torrides sur ces lèvres intimes, frottant mon nez à son clitoris, la stimulant de toute part. Sa voix chantait son plaisir, se cambrant sous la tension de son corps mi à l'épreuve. Elle mouillait toujours plus, arrivant à peine à se retenir. L'avait-on déjà dévorer avec tant d'appétit ?

- Laisse toi allez ma belle ! L'invitais-je à venir.

Je continuais ce cunnilingus, avec ma langue vicieuse, son corps fut alors pris de spasme et ce libéra de la tension sous une jouissante humide. Une partie aspergea mon visage, tandis que j'en avalais une autre.
Après quelques instant, je me relevais en la regardant de haut, mon pénis était de nouveau prêt à l'action et je me touchais lentement, l'observant dans tous ses états.

- Je crois que tu es prête pour la suite Ana...

Caressant ses jambes, je rapprochais mon bassin du sien et revint lubrifier mon phallus à sa mouille, frottant nos corps, j'embrassais ses seins et ne tarda pas à empoigner ma queue, pour diriger le gland sur son jardin secret. Poussant, j'écartais ses cuisses et commençait à la pénétrer en poussant un soupire de plaisir. Je m'enfonçais lentement, mais surement en elle, écartant ses parois intimes, de mon membre turgescent.

- Ah... hmmm...

Me retenant pardessus elle, je ne pouvais plus la caresser, mais uniquement l'embrasser ou frotter lascivement nos corps, pour cette danse caliente...

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One Shot / Re : 36 Quai des Orfèvres - Wisteria
« le: jeudi 10 novembre 2022, 12:34:53 »
J'appréciais le fait qu'elle revienne sur ma queue aussitôt sa culotte retirée. Elle me désirait tellement, qu'elle en était impatiente et cela me faisait bander !
Son regard ardent, brillant de désir pour moi était... démoniaquement enchanteur. Je lui précisais qu'elle était mienne et la dominant, baisant sa bouche avec vigueur, mais pas une brutalité sans nom, elle ne cognait ainsi pas son visage sur mon pelvis.

Enfin, j'éjaculais dans sa bouche, poussant un bon râle de plaisir, mon espionne avala et ne se retira qu'a la fin. Avalant ma semence, je m'en pourléchais les lèvres et la dévora du regard tandis qu'elle prit position et se toucha, se doigtant, elle pouvait voir mon pénis tressaillir à cette vue.

- Oh oui et tu vas jouir toute cette nuit.

Je me touchais un peu, l'observant d'abord avant de tapoter le fauteuil.

- Allonge toi et écarte les cuisses sur le rebord. Je vais goûter ta chatte, il faut que je la prépare à m’accueillir en forme.

Je me levais pour lui laisser la place et attendit qu'elle se positionne. Nous permettant de nous voir entièrement nue, l'un l'autre. Je vins me branler avant de poser mes genoux à terre face à son entrejambe luissant. J'empoignais ses fesses et la tire vers moi, plongeant avidement mon visage sur sa chatte que j'embrassais passionnément.

- Tes jambes sur mes épaules. Lui ordonnais-je afin qu'elle ai une meilleure position et rapproche bien sa féminité de ma bouche.

Rapidement, je vins à bouffer sa chatte, des baiser ardent et des coups de langues sauvage. Ma barbe bien taillé, venant frotter délicatement ses lèvres intimes pendant que je lui faisais un cunni comme elle n'en n'avait jamais eux.
J'allais marqué son corps et son esprit de cette nuit la plus ardente qu'elle eu jamais eu avec autrui.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La chambre noire. (PV)
« le: jeudi 10 novembre 2022, 12:19:57 »
Déguster une jeune femme dans le noir était plus exaltant que je ne l'aurais crus... J'entendais ses soupirs, ses gémissements, sans la voir, tout dans le sens de l'ouïe et du toucher ! Et bon sang que c'était bandant !
Je n'étais pas au menu, sinon j'aurais offert mon chibre !

Camille était plutôt humide de s'offrir ainsi et s'en alla, je me permits alors de me toucher un peu entre deux. Soupirant, sans sortir mon membre de sa cage de tissu... pour l'instant !
Finalement, un bruit sourd s'avançait vers moi, avec le petit pas léger des dames. Sauf que la voix qui se fit entendre n'était... pas à la même hauteur ? Je devinais la direction, mais la forme était étrange, d'autant plus que si Camille restait, elle me rendait confus sur ce que je voyais dans la pénombre.

- Enchanté Catherine.

On était à l'entrée, après l'amuse bouche. Et dire qu'il restait encore le plat principale ! ahah.
La douceur des plaines... Tout de suite me vint l'idée qu'elle était allonger, offrant son ventre.

- Très bien.

Mes mains partirent dans l'obscurité à la recherche du corps de la jeune femme. Je touchais du métal, qui n'était pas là avant et en tatonnant, découvrit que c'était un chariot. Elle était allonger ou poser dessus ? Je me leva et mes doigts longèrent la plaque, arrivant sur ses jambes, que je vins délicatement caresser, pour remonter sur son corps, me demandant ou était le plat.

C'était amusant d'essayer de suivre l'agencement du corps. Je devais palper pour bien suivre ses chevilles, puis genoux et enfin hanche, j'allais remonter plus haut sur le ventre quand elle me précisa que c'était ici. Je fus surpris et dirigea mon regard vers mes mains. Je touchais bien ses hanches non ? Je sentais les os du bassin... Non... entre ses cuisses ?

- J'ai hâte de goûter...

J'approche mon visage très lentement pour ne pas heurter le "diner" et commence à sentir les effluves d'une sauce. Je donne alors un léger coup de langue et 'entrevoit' les formes. Mes mains glissent alors sur son corps pour tâter et prendre la nourriture. J'avoue que c'est plutôt compliqué dans le noir, excitant, mais pas easy.
Je croque alors un... légume, avec une sauce et du fromage frais.

- hum, bon.

Mes doigts la touche et détermine à peu près ou est chaque élément, m'en mettant sur les doigts, je touche sa peau et sens les lèvres intimes de la femme. Cela me rend dur et me donne bien des envies. Comme je ne fourre pas mon visage entre ses cuisses à cause des légumes qui pourrai tomber, je l'utilise vraiment comme une assiette.

Prenant entre mes doigts les aliments, que je frotte à la sauce et sa peau. Après quelques minutes, il n'y a plus d'aliments dessus, mais c'est humide et il y a encore des traces de sauce ou fromage. Je viens alors plonger ma tête entre ses cuisses et lécher tout ça... Embrassant sa fente au passage et laissant ma langue glisser partout à la recherche de tout ce qu'il peut y rester. Mais je ne reste pas là, mes mains glissent sur son ventre et remonte masser sa poitrine avec douceur, titillant ses tétons pour la faire chauffer comme ça soeur...

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