Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Masamune Kenjin

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Place publique / Pris qui croyais prendre - ft Mel Lynn
« le: mercredi 24 mai 2023, 15:10:30 »
Voyagé à travers l'espace et le temps avait ses avantages, je n'avais jamais vue autant de culture, d'espèce que maintenant ! Que c'était agréable et j'en étais satisfait. Avoir choisi une vie éternelle fut le bon choix ! Passer d'humain à un être céleste m'a permis tant de chose.
Bon l'autre point... C'est mes obligations. Pour l'éternité, j'allais devoir chassez ses failles, du moins, tant que nous n'avions pas trouvé l'origine de celle-ci.

Les failles dimensionnelles, sorte de miroir brisé en plein milieu d'un espace vide, s'agrandissant de plus en plus jusqu'à laisser des êtres venus d'ailleurs entré en ce monde. Et ce, n'importe quand et où ! C'est pourquoi je voyageais. Toutefois... Battre ces créatures n'étaient pas aisée, car elles n'étaient pas tenu par les loin du monde, il avait fallu créer des armes divines pour pouvoir les toucher. C'est là ou, nous, gardiens de l'univers intervenions !

Encore fallait-il que nous découvrions où et quand ces failles apparaissaient, elles semblaient aléatoire, alors difficile d'arriver à temps. Pire, tant qu'elles étaient petites, les traces de leur existence étaient trop faible pour déterminer leur localisation précise. C'est pourquoi parfois nous étions plus en mode enquête qu'action... Bien dommage.

Et aujourd'hui j'étais donc sur Terra, dans la ville de Nexus où j'avais présenti une de ces failles. Malheureusement, je n'arrivais pas à la localiser, mon enquête commençait et j'avais obtenu des informations plutôt intrigante. Un groupe de mage avait commencer à faire parler d'eux, possédant une magie lié à des objets. En quoi sa me touche ? La faille émet de l'énergie, et si vous arrivez à utiliser celui-ci sur des artefacts ou bien conservez son énergie... Et bien vous aurez une grande puissance.

Alors je recherchais des artefacts ou objets infuser de cette "magie" nouvelle apparue. C'est pourquoi je me rendais ce soir là au marché de nuit, cherchant une invitation au marché noir, mais d'abord commençons quelques part !
Je buvais un café sur une terrasse, observant les aller et venus de chacun, cherchant une trace de magie étrange, sortant de l'ordinaire.

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Me faire plaisir uniquement avec la bunny est largement suffisant, mais dans un tel lieu d'orgie... Ce serait con de s'y fermer. Après arrivera ce qui arrivera, qu'on reste à deux ou finisse à plus !
Je demande donc si c'est possible de choisir qui entre ou si je dois refuser pour rester à deux. La réponse est positive et la femme me rejoins.

Je la taquine, cherchant ainsi à montrer le genre d'homme que je suis et à voir comment elle même est. Elle ne me semblait pas timide, mais derrière un bar, on peu se sentir un peu protéger. Alors je ne voulais pas voir une fille timorré, heureusement, ce ne fut pas le cas.

- Je mords autant que tu me laisse faire. Lui soufflais-je, donnant le ton.

En traversant la salle, je me rends mieux compte de ce côté libertinage... Et je suis plutôt content de mon choix. J'aime maintenant profiter plus simplement qu'avant, sans compter que sans alcool, voir des bites se trémousser et jouer avec d'autre bite me gêne un peu. Chacun ses désirs, mais je suis comme même un peu protecteur de mon "territoire" et n'éprouve aucun plaisir, désir à en voir se faire enfiler.

Nous entrons donc dans une alcôve privé, enfin, un simple rideau nous isole. Heureusement, les gémissements sont un peu cachés par la musique. Pour un peu d'intimité et surtout, pouvoir prendre un peu de repos au lieu d'être assailli d'orgasme en tout genre. J'aurais été surpris, mais pas de lit, donc du sexe plus sauvage...
Elle m'informe de ce qu'elle fait et j'en profite pour mes présenter. Ce sera plus agréable de l'entendre gémir mon prénom et vice-versa, que de l'appeler Bunny ou Lapine toute la soirée. Bien qu'un pseudo marche aussi. D'ailleurs rien ne dit si mon nom est le vrai, cela importe peu. Une autre question arrive rapidement, je regarde le ruban et le rideau, réfléchissant. A vrai dire, j'ai la réponse plutôt rapidement.

- Tu peux le fermer d'un côté.

Encore une fois, je n'ai pas de problème à être vue, mais le sens inverse est là aussi. On voit tout et on a déjà assez de stimulation auditive pour ne pas en rajouter du visuel à tout bout de champs. Donc laissons seulement les curieux, curieuses venir mater.
Bien que la laissant faire, je ne tarde pas à venir me frotter contre elle, dans son dos, mon bassin contre ses fesses et son pompon, agrippant ses hanches, glissant ma main droite sur ses courbes tandis que je profite de ses épaules dénudés que j'embrasse sensuellement.

- Alors Xia... A quelle sauce devrais-je te manger ? Lui soufflais-je avec amusement de ce petit jeu.

Mes doigts sur sa hanche dérivèrent sur son entrejambe, enfonçant sa petite tenue entre ses lèvres humides. De l'autre j'effleurais les contours de sa poitrine, me demandant si je devrais la dénuder ou la garder autant "habiller" que possible.
Je lui donnais ainsi un coup de rein comme pour la pénétrer et m'éloigna après avoir effleurer son cou.

- Ou peut-être devrais-je commencer par te faire goûter à ma carotte. Je crois que les lapines en raffoles ? Souriais-je en reculant avant de me poser sur le canapé, la fixant intensément. Ainsi assit, elle pouvait voir mon pantalon tiré et déformer par mon érection qu'elle avait senti auparavant contre son jolie petit cul.

Etait-elle du genre soumise à faire ce que je veux ? Entreprenante ? Allumeuse ? J'allais bientôt découvrir le jeu auquel nous jouerions cette soirée;

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Une réponse tout à fait simple et basique, nombreux sont les hommes, comme femmes qui cherchent à faire des rencontres en bar. Juste que je suis moins habitué à ce genre d'ambiance et pourtant, je ne suis pas un homme frileux ou en couple, "emprisonner" à une loyauté familialle. Juste... j'ai eu assez d'aventure intime, pour ne pas faire mon curieux sur ce qui se passe à côté. Pourrais-je tenir une orgie ? Hum, je pense oui, trois filles maximum, au delà je ne vois pas comment arriver à suivre le rythme ou en délaisser. Donc, une c'est très bien, deux c'est sympa, trois sa se complique, quatre je dirais que c'est moi qui devient le jouet ahah !

Je propose rapidement de passer un moment intime avec la bunny, qui n'est pas choqué, ni n'évite, elle me sourit et accepte. Cherchant toutefois une camarade pour la remplacer, avant de jouer avec moi sur le sang des lapins. J'en rigole et termine mon verre, lui jetant des regards appréciatifs de ses courbes.

Une autre femme du staff arrive, et la voilà a me donner ses tarifs. C'est donc plutôt de la prostitution... Même si le fait de rajouter des verres m'arraches un sourire. Après tout, si elle n'est plus au bar, elle ne travaille plus et "risque" des pertes, donc il faut bien rentabiliser à côté !
La première proposition n'est donc pas celle demandé, la seconde est une pièce publique, une orgie et... je suis un peu mitigé. Si l'idée de jouer avec plusieurs filles me tente, cette ambiance de stupre peut déraper avec d'autres hommes, ce dont je n'ai pas franchement envie.

La troisième est donc en privé... Correspondant ainsi mieux à mes attentes. Croquant un glaçon, je reste un peu silencieux, et fini par répondre.

- La troisième option, toutefois est-il possible de rester ouvert à l'approche d'autres femmes curieuses ?

Après sa réponse, nous avions donc le choix du lieu, je la laissais passer en première, venant lui faire une petite fesser et humer son cou jouant de ce "vampire" que j'étais.

- J'ai hâte de goûter à tes lèvres... Un sous-entendus pour tous les goûts et tous les lieux.

Je me laissais guider dans une autre pièce pour faire plus... ample connaissance. En entrant, une chose toute bête me vint en tête.

- Je ne me suis pas présenter, Masamune Kenjin. M'introduis-je en observant le décor dans lequel nous allions prendre un peu de bon temps...

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Le temple / Une aide qui n'est pas la bienvenue - ft Nepta
« le: vendredi 12 mai 2023, 22:11:37 »
Ma nouvelle position de gardien céleste était très intéressant. Je voyais des horizons encore jamais vue, des cultures surprenantes aux plus étranges, en passant par certaines ressemblant à celle connus de ma période humaine.
Le monde était bien plus vaste que je ne l'aurais imaginé ! Petit bémol... je ne contrôlais pas mes métamorphoses et vivait dans un poche dimensionnel vide. Cela ressemblait à une maison dans un environnement blanc illimité avec un portail qui s'activait lorsque mes nouveaux camarades ou moi, avions du travail. Et oui, je n'étais pas le seul gardien, encore heureux !

Et donc aujourd'hui j'étais sur Terra, mais... Je fus choqué de découvrir ma nouvelle forme. Non humaine, un loup humanoïde, un furry je crois que l'on appel. Ou serait-ce plutôt un lycan, loup-garou ? Je ne connaissais pas ses espèces, dur de dire ce que j'étais devenu. Et surtout... Bon sang que le monde était bizarre. Car quand je me transforme ainsi, je prends les aptitudes basiques de l'espèce et ainsi, mes cinq sens étaient bien plus efficaces que ma part humaine.

Ma vision perçante encore allait, mais les bruits et odeurs étaient plus forte, rien que pour cela il me fallut un moment à m'adapter. Sans oublier une chose... Mes "jambes" qui étaient maintenant plus effilés, des pattes en sommes. Je me suis casser la gueule durant un bon moment, autant tenir dessus ok, mais dès que j'essayais de courir, déjà la force de propulsion est différente, mais la voute plantaire aussi, ce n'est pas le même appuie. Cela me fit bien rigoler ! L'autre partie super étrange... La queue ! Être soudainement doté d'une queue était troublant, je la sentais bien ! Et pourtant, je n'avais aucune maîtrise de celle-ci. Elle semblait quasiment libre de mon esprit.

Il me fallut une bonne heure pour pouvoir me mouvoir à ma guise. Je dû ranger mon katana, mes mains devenues trop grande, sans compter les griffes, dont je finissais par me planter n'était pas adaptés à ce genre de prise. Je repris alors mes kata, m'entraînant sur un terrain vague, en hauteur, sur une montagne. La fourrure était très agréable, cela me gardait au chaud malgré le vent frais qui passait par là.
Satisfait après une heure d'entraînement, je me décidais à descendre de la montagne, me dirigeant vers un temple que je surplombais.

Quand mon nez... euh ma truffe repéra une odeur de sang et mes oreilles des bruits de chocs métallique, on se battait !
Sans réfléchir plus longuement, je courus vers la source du bruit, bondissant presque joyeusement avec cette force nouvelle coulant dans mon sang.
Arriver proche de la source, je grimpais à un arbre pour observer la scène afin de déterminer quoi faire, voir qui aidé !

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Prélude / La voie du sabre céleste [Vanéalidé !]
« le: mardi 09 mai 2023, 22:36:21 »
Identité : Masamune Kenjin
Âge : +52 ans
Sexe : Masculin
Race : Avatar [Ancien Humain]
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :
 Masamune est un homme d'un bon mètre soixante-dix, c'était grand pour son temps. Sa chevelure noire au départ à grisé après de longue année de vie humaine. Des yeux d’un vert sombres, mais perçant observe le monde. Une balafre travers son visage, un coup ayant manqué de le tuer, qu’il porte fièrement comme les autres blessures sur son corps. Sa barbe taillée un peu sauvagement, lui donne un air un peu plus rustre, son air sévère lorsqu’il ne sourit pas, lui donnait une mine bourrue. Masamune à un corps bien bâti, un physique athlétique qu’il a travaillé toute sa vie. Un détail, le bretteur est poilu, une pilosité grisonnante qui va bien avec son genre un peu primitif et dur comme la pierre. Toute sa partie droite de son torse et de son bras porte un tatouage, symbole même de sa renaissance en tant que gardien céleste.
Ancien samouraï, Masamune à un style antique et traditionnel. Bien qu’il fera ce qu’il faut pour s’immerger dans le temps « présent » rencontré, il n’est pas du genre à se pavaner, préférant cent fois s’occuper de son sabre.

Caractère :
 Une volonté inébranlable, celle d’améliorer son art en tant que sabreur, à son apogée. Et de ce confronter à tous les styles ou créature de l’univers. Kenjin est un homme sage, calme, patient et observateur. N’aimant pas spécialement vivre en société, il vivait déjà en marge du temps de sa vie humaine. Il se moquait d’être reconnu ou de trouver un maître à qui donner sa vie. Et pourtant, né dans une famille féodale, il a bénéficié des meilleurs enseignements de son temps. Il n’a rien oublier pour autant, mais à découvert la simplicité du monde et le sentiment de liberté.
D’ailleurs, Kenjin à un vocabulaire riche et imagé, et il peut autant être droit et directe, qu’un peu plus charmeur.
Ne croyez toutefois pas qu’il est asocial, il aime la tranquillité, mais apprécie fortement une ville animé, boire avec ses amis. Cependant, après un moment, il lui est nécessaire de prendre du recul dans un lieu plus isolé et méditer.
Kenjin aime l’art, un art souvent contemplatif, peignant lui-même des estampes japonaises, la musique, un joueur de flute et grand adorateur de la danse, qu’il trouve parfaite pour exprimer ce que les mots n’arrivent à transmettre. Son art du sabre est d’ailleurs une danse limpide, qu’il peut user, avec ou sans épée.


Histoire :
 Né dans la famille Masamune, Kenjin était un enfant distrait, curieux, et presque muet. Certains l’auraient dit timide, mais il ne détournait jamais le regard, simplement, il répondait très peu aux questions qu’on lui posait. Sa grande sœur elle-même était plus jouace, Sakura était une jeune fille charmante et pleine de vie, qui traînait le minimum avec son petit frère, qu’elle trouvait étrange et dont le regard profond la mettait par moment mal à l’aise.
Kenjin eut une éducation stricte, son père étant un petit seigneur local, il devait hériter de son titre en devenant grand. Il lui enseignait tout ce qu’il savait, Kenjin ne s’en plaignait pas, son calme troublait aussi son père, se demandant parfois s’il avait des émotions. Kenjin était toutefois différent, pensant différemment, il lui était difficile de s’exprimer et de donner son avis, un avis clair et tranché, là où il voyait des nuances infinies impossible à décrire. C’est pourquoi, non qu’il ne voulût répondre, mais qu’il méditait des heures que dire.
Lors d’une année, Kenjin qui trouvait d’habitude les bruits insupportables des fêtes, fut forcés à sortir et découvrit un dance rituel pour leur dieu, Amateratsu. Kenjin fut subjugué par la dance et trouva en ce médium la forme lui permettant de commencer à exprimer son ressenti.
Son père fut heureux de voir son fils s’ouvrir et même finir par se forcer à exprimer des opinions, même s’il bredouillait des propos hésitant et confus. L’art et la poésie l’émouvait, il se mit à écrire et peindre à foison, créant son propre style d’escrime. Kawaki, son père fut toutefois bien plus sceptique à cela et le rabrouait lorsque sa « dance » empiétait sur leur cour d’escrime.

Mais comme le bonheur à une fin, un seigneur voisin décida de prendre le contrôle de leur territoire, ce fut une guerre éclaire et destructrice. Pour la première fois, Kenjin, âgé de treize ans, fut confronté à un carnage, non plus une mort par exécution dans un rituel codé et cérémonieux, mais celle brutale et violente, dans les cris de terreur et de désespoir.
Le jeune garçon fut tellement secoué en voyant son village brûlé qu’il fit une crise de panique et se roula dans la boue, cherchant à fuir ce moment, ce monde brutal aux tourments sonores. Ce qui ironiquement le sauva, à cause de sa maison brûlée, le corps d’un autre enfant calciné fut retrouvé par les soldats ennemis en pensant que c’était lui. Sa famille fut capturée et ses parents exécutés, mais la sœur fut gardée en otage. Kenjin fut traité en mendiant et jeter hors du village, fuyant en forêt.

Il tomba alors sur un ermite qui lui appris de nombreuse technique, savoir ancestraux. Ne cherchant nullement la vengeance, Kenjin fit le tour du pays et désirant naïvement s’améliorer à l’art du sabre, affronta de nombreux maître, élevant petit à petit la reconnaissance de ce mystérieux rônin (samouraï sans maître). Un jour arriva alors où le destin se rappela à lui, au croisement d’un chemin, il tomba sur le seigneur qui avait tué sa famille, accompagné de son fils et de Sakura, son épouse. Kenjin reconnut aussitôt sa sœur, troubler il ne laissa pas passer le cortège tant il était en pleine réflexion. Pris comme une insulte à leur souveraineté, le fils hurla au vagabond de se pousser, mais Kenjin ne lui répondit pas, l’héritier furieux, bondit sur le rônin et fut défait en quelques échanges. Sakura reconnut alors la technique de son frère et s’effondra en larme, le seigneur pensait qu’il venait pour se venger et l’attaqua à son tour, toutefois, Kenjin qui avait laisser la vie sauve au fils, tua le père. Ce ne fut par pour les insultes envers sa famille, ni la vengeance qui le poussèrent à cela, mais les pleurs de sa sœur. Avec sa, il espérait amoindrir la peine et la rancœur de Sakura, devenue l’épouse du fils du tyran ayant assassiné ses parents. Elle récupéra sa liberté et ses terres, que Kenjin ne voulait pas. Désirant garder sa liberté et continuer son voyage.

Chaque année, il repassait alors chez lui, lors du rituel priant les dieux, découvrant l’évolution des terres familiales et profitant pour donner quelques cours d’escrime à son petit neveu.
Perfectionnant sa maîtrise, il fut reconnu dans tous le royaume comme un Maître du Yinyou et à la fin de sa vie, une dernière épreuve lui fut soumis par le destin.
Il tomba sur une créature inconnue, deux bras faucilles, ressemblant à une sorte de menthe grisâtre et géante. Ce fut son adversaire le plus coriaces, possédant des sortes d’écailles, il eut du mal à la trancher et manqua lui-même de voir sa tête séparer de son corps, lui laissant une entaille au visage. Néanmoins, il gagna et fut surprit d’être applaudis, par un être se rapprochant d’un oni. Celui-ci lui exprima sa gratitude d’avoir vaincu cet adversaire qui était le sien et qu’un mortel seul n’aurait normalement pu abattre. Impressionner par son exploit, l’être répondant au nom de Fhallen Op lui proposa de devenir un gardien céleste. Kenjin parla longuement avec cet être dimensionnel avant de choisir de le rejoindre. Avec lui, ils voyageraient au travers de l’espace et du temps afin de fermer des failles dimensionnels dont l’origine restait un mystère à découvrir. Il serra alors aidé par un esprit Hao pour cette mission.


Autre : Devenue un gardien céleste, Masamune obtient pouvoir et armes magiques pour combattre des êtres qui n'ont pas leur place en cet univers. Il a obtenu la vie éternelle, mais n'est pas immortelle, ayant lui-même choisi de garder une santé humaine.
Métamorphe,magie, pour s'immerger dans les différents mondes à visiter, Kenjin peut adapter, modifier son apparence pour rester inconnue.
Aura, une capacité lui permettant de manipuler une énergie, renforçant son corps ou son arme.
Maître Artiste Martial, Kenjin connaît un grand nombre de technique pour se battre à l'arme ou à main nue.

Hao, un esprit qui lui sert de guide dans l'univers spirituelle, voyant tout ce qui est de l'ordre de l'invisible.

En équipement, Masamune possède deux objets spéciaux.
- Nuada, un katana indestructible, sans pouvoir divin.
- Claíomh Solais, objet divine n'ayant pour but que de fermer les failles dimensionnelles.

Comment avez-vous connu le forum ? DC

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La serveuse bunny se montrait très pro et à l'écoute, une bonne employée. Ainsi qu'une barman capable, son cocktail était parfait, pas trop de glaçon, ni de sirop. Elle m'informait de comment était le club, et je fus ainsi surpris d'apprendre qu'il était libertin, je n'avais pas pris l'ampleur de cela. Croyant cela un peu plus soft, alors mon regard suivit son doigt l'écoutant me l'expliquer.

Je manquais de m'étouffer en l'entendant dit que le staff était "à disposition", me faisant loucher sur la bunny. Elle était sexy et à mon goût... devrais-je y planter mes crocs ?
Plus de précision ne tarde pas à arriver, les bracelets... c'était plutôt surprenant, voir innovent ? J'hochais la tête, l'écoutant en sirotant ma boisson. Donc elle était "disponible et "à disposition" ... Je me posais une vague question, elle entendait quoi par personne venant travailler à leur compte ? N'étant pas entré plus loin pour l'instant, était-ce des streap-teaseur ou d'autre "job" ? Sa m'intriguait, mais je m'en moquais pour l'instant. Toutefois je notais ses précieuses informations !

- Intéressant. Soufflais-je sirotant ma boisson sans la quitter des yeux.

Le club était très porté sur le sexe, seul, en groupe et des masques étaient même disponible. J'en eus un petit rire, ils étaient très bien préparer, c'était assez amusant. Si j'avais déjà été invité à des soirées dans des manoirs, pour de tel pratique, le voir dans un club me surprenait un brin. Peut-être parce que j'avais peu profiter de ce genre d'endroit durant ma jeunesse ?

- Et bien... Vous n'oubliez rien. Lui souriais-je amuser de mes pensées.

Au même moment, elle chercha quelque chose, se tournant, pour me donner une jolie vue sur son fessier et son pompon C'était fait exprès, obliger ! On ne met pas une carte de visite à cet emplacement, alors je mate ce qu'on me montre. Avant de prendre la carte, l'écoutant toujours.

- Cela à l'air franchement sympa, de sortir un peu et découvrir une vie un peu plus festive. Je lui rendis son sourire, un peu plus charmeur. Puis plongeant mon regard dans le sien. Donc si j'ai bien suivis... Vous êtes à disposition et disponible maintenant ?

Ma question et demande était assez directe, peut-être trop ? Cela manquait il de charme ? Alors je vins rajouter pour rester dans le thème choisi.

- Je n'ai pas goûté au sang d'une lapine. Soufflais-je me pourléchant les lèvres, terminant lentement mon verre, comme si le "sang" but était le sien.

Malgré mon âge, je sais que je faisais encore de l'effet et j'ai confiance en moi. Je ne crains pas de refus, et puis apparemment, je pourrais toujours trouver d'autre personne pour s'amuser ici, mais pour le moment, je jetais mon dévolu sur cette charmante barmaïde. A voir si elle accepte, je ne l'y forcerais pas. ... Et c'est un service payant ou le staff fait sa gratuit selon leur envie ?

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Si j'avais des doutes sur le fait que tous étaient invités à se déguiser, en rentrant je vois petits à petits des costumes proche de l'entrée et... bien plus dans d'autre pièce, ainsi que sur la piste. Définitivement, ce ne sont pas que les membres du staff. Bon au moins je ne fais pas tâche. Je suis un peu amuser par les "super-héros" et suis presque déçus de ne voir aucun "super-méchant" ils ont peut la côte ? Pourtant ce sont les meilleurs, du moins quand leur motivation sont plus développer que de vouloir conquérir le monde pour... le conquérir sans autre plan.

Découvrant les lieux, je me dirige d'abord vers le bar et découvre une mignonne bunny en tenue plutôt alléchante. J'irais bien voir son terrier...
Lorsqu'elle me voit, je lui commande une boisson alors qu'elle me salut. J'en profite pour jeter un coup d'oeil aux alentours, c'est plutôt vivant et je vois quelque regard sur moi, certains curieux et d'autre intéresser, femme comme homme. J'avoue être surpris par la seconde catégorie. Ce club était ouvert à tous ? Non que j'ai un problème avec ça, juste qu'il y a des club hétéro, homo et mixte, donc qu'il peut-être intéressant voir crucial de ne pas se tromper duquel on désire y allez.

Pour ma part, je n'ai aucun intérêt pour la parti masculine.
Pendant qu'elle prépare son mélange, la serveuse me questionne, attirant mon regard sur elle.

- Oui, c'est bien cela. J'ai entendu pas mal parlé de ce club et profitant d'un peu de répits entre deux affaires. Ainsi que la soirée à thème, je suis venus découvrir celui-ci. Je lui souris charmeur et elle termine son mixe. Merci.

Je commence donc à le siroter et reprend la conversassions, tant qu'elle n'a pas d'autre client.

- Excellent. Et donc, ce club a-t-il des particularités ? J'en sais assez peu sur l'ambiance et ce que vous proposez.

Un peu innocent, je demandais les musiques, les soirées et si c'était bien un club mixte par exemple, ce genre d'info, sans pensé qu'il y avait plus. Même si certains écho était... assez ambigüe sur ce qui s'y passait. Certainement pour ne pas dire tout haut les faits et éviter de découvrir qu'il/elle trompe son mari/femme.

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Travailler travailler, encore et toujours ! De temps en temps il faut savoir se poser !
J'enchaînais les voyages et cela commençait à me fatiguer, franchement, d'ailleurs j'avais fini par sombre dans un doux sommeil de... 16heures ! Je ne m'étais pas attendus à tomber K.O comme ça, j'avais louper des rendez-vous mais qu'importe, à ce rythme-là les choses allait s'empirer, alors j'ai refait un tour sur mon agenda et annuler certains rendez-vous, décaler d'autre. Mes clients n'en furent pas bien content mais... Qu'ils aillent se faire voir.

Je n'allais pas tuer ma santé à leur lécher les baskets, et de toute manière, si je continuais comme ça, j'allais être moins effectif et râté des opportunités pour eux. Donc c'était tout bénef, même si pour l'instant présent, cela les emmerdais plus qu'autre chose.

Un de mes employés me parla alors d'un club qu'il appréciait particulièrement et qui l'aidait à décompresser, le Nyoars Club, j'en avais un peu entendu parler et... J'étais trop occupé à ce moment-là, alors pourquoi pas maintenant ? Je me renseignais d'abord un peu plus sur ce club, qu'il ne soit affilier à aucun de mes clients ! Avant de découvrir qu'il y aurait une soirée déguiser, était-ce parce que j'étais trop fatigué ? Mais je n'étais pas sûr de lire si c'était déguiser pour tous ou uniquement le staff qui l'était ? En tout cas, cela me rappelait ma jeunesse et... Allons y !

J'avais finalement opté pour quelque chose de classe, avec un style un peu "vieillot" dirais les jeunes, mais qui aurais justement son style et dans l'idée, j'avais fait un peu pousser mes dents, grâce à la magie pour en ressembler à des crocs. Un peu teinter mes cheveux, rajouter une cicatrice au visage et me voilà prêt pour faire un carton. Me voilà prêt en un "vampire" qui ferait carton ou du moins effet.

Evidemment, je fis forte impression à l'entrée, pas encore bien sur de si c'était soirée déguiser pour tous, ou alors peu y jouais le jeu ? En tout cas, en entrant, le staff lui, était déguiser et... sexy. Direction le bar pour commander !

- Bonsoir, un red blood queen s'il vous plaît. Bref une boisson rouge sang alcoolisé quoi, histoire de rester dans le personnager.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: dimanche 19 février 2023, 19:36:50 »
La secrétaire accepte de me faire plus souvent des massages. Ce à quoi, elle rajoute une nouvelle proposition et... j'enchaîne en la prenant par surprise. La tirant sur mes genoux pour l'embrasser, elle ne résiste pas et même le prolonge en ouvrant la bouche, nos langues venant alors jouer ensemble dans un balai langoureux.
Je sens alors ses mains ouvrirent tranquillement ma chemise, ce à quoi je réponds par mes mains sur son fessier. Un petit cul pas mal du tout...

Dans cette position, je peux sentir son bassin venir se frotter contre le mien. Pouvant sentir sous elle, une bosse grossir au fur-et-à-mesure qu'elle ondule sur moi. Même si la taille importe peu (sauf si vraiment disproportionner ou micro), elle peut plus facilement percevoir les contours de mon érection, bien que encore "petite" car enfermer pour le moment.

Je grogne contre ses lèvres et le baiser est rompus, c'est un baiser des plus intenses et je n'ai pas le temps de redire quoi que ce soit, qu'elle vient de nouveau m'embrasser tout aussi énergiquement. Voir sauvage ?
Ma main est alors agrippé et diriger sur elle, se glissant dans sa chemise pour venir caresser sa poitrine. Je tâte le sein délicat de la jeune femme, il est tiède et sa peau douce, peut-être un peu petit mais cela ne me dérange pas.

Manquant de souffle, je romps celui-ci et rigole entre deux inspirations.

- Es bien, tu es une vraie lionne. Je me demande entre quelles griffes je suis tombés.

Je donne une petite claque à son fessier, tout le monde n'aime pas ça, alors autant y allez doucement. De plus, je m'attaque à son cou, venant le mordiller et l'embrasser. Tandis que de ma main dans son chemisier tourne autours de son téton.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: vendredi 03 février 2023, 16:58:16 »
Je m'amuse à teaser un peu mon assistante, sans vraiment savoir à quelle point cela peut la frustrer et à quelle point notre "relation" peut l'électriser. Ainsi j'en reste à des effleurements. Cependant, elle se garde bien de trop montrer de réaction, juste son regard qui change un peu.

Suite à ma réponse, elle vient dans mon dos et se met à me masser. Sans perdre une chance, ses mains glisse sur moi, mon torse, me faisant hausser un sourcil à son côté ingénue. Je pense sentir sa jolie poitrine contre moi, me demandant la douceur que j'aurais entre les doigts si jamais... Je rigole à son presque sous-entendus, pour ma part, mon entrejambe restait calme, pas tout à fait en sommeil, mais pas réveiller non plus.

- On travail avec des requins, je ne peux pas trop me relâcher. Lui souriais-je jouant un peu.

Mais ses caresses continue et avec elle, une proposition toujours plus... osée. Devrais-je cédé ? C'est très tentateur... Et l'imaginer s'occuper de mon anatomie est plus que agréable.
Je reste silencieux, sans refuser, mais prenant mon temps, alors que le massage revient sur mes épaules, elle est vraiment douée, je grimace un peu de douleur, avant de soupirer apprécier d'être ensuite dénoué.

- Je pense que je requerrais parfois ce massage. Je ne pensais pas être aussi crisper. Avouais-je, les yeux fermés, appréciant son massage.

J'attends encore un peu, le temps qu'elle se stoppe considérant qu'elle a fini et reprend alors la parole, après m'être étirer. Mes muscles sont plus reposé, décontracté.

- Pour ta proposition, je crains de ne pas être assez "tendue" pour un massage. Lui souriais-je malicieusement, à ce sous-entendu ouvert à toute... tentative d'électriser l'ambiance.

Attrapant sa main, fermement mais pas avec dureté, je la fait avancer, et j'agrippe plutôt sa hanche pour la tirer contre moi. Profitant que, même assit, je sois de bonne taille, je viens l'embrasser avec fougue, ma langue venant chercher la sienne pour une danse linguale.

Cette fois-ci je lui offre un peu plus de caresse, ma main venant masser son fessier pendant ce baiser. Elle a de jolie courbe dont j'apprécierais de profiter... Habiller ou non.
Après ce baiser, je garde un sourire charmeur et assuré, sans rien dire, ni faire de plus, attendant de voir comment elle réagirait. Prendrai-t-elle les devants ? Jouerai-t-elle d'une autre manière ? Reculerait-elle en faisant l'offusquer ? J'ai un petit jeu en tête, mais celui-ci va attendre plus tard.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: jeudi 02 février 2023, 11:43:18 »
"Jane" sursauta à ma main, sans chercher à me repousser, elle sembla même être un peu déçu que je retire ma main, allant jusqu'à ouvrir un peu les cuisses... Une jolie invitation dont je me pâmas d'un petit sourire malicieux sans réagir de suite. Elle me proposa de donner un peu plus de fun à mes séances, je me demandais bien comment elle s'y prendrait.

- J'ai hâte de profiter de cela. Lui souriais-je en retour.

Changeant alors de main, pour ma tasse, je reposais la précédente délicatement sur sa cuisse, l'effleurant presque, telle une brise légère au moment ou elle me proposa un massage. Haussant d'abord un sourcil, je fermis les yeux un instant et fit rouler mes épaules. Elles étaient en effet un peu trop ferme, et ce n'était pas que ma veste et ses coutures.

- Un petit massage ne me ferait pas de mal. Confirmais-je r'ouvrant les yeux, retirant lentement ma main de sa cuisse, je retirais ensuite mon veston qui gênait et tira un peu ma cravate.

Être tiré à quatre épingle me rendait des plus élégant et j'aimais ce que je voyais dans le miroir. Mais on reste un peu trop fermé, presque étouffant par moment et quant à moi qui aime partir à l'aventure, je suis bien aise lorsque je peux porter autre chose !

Il existe bien des massages, mais j'avoue que celui qu'on imagine le plus facilement, au travail (hormis dérapage...) c'est celui des épaules. Alors j'attendais de voir ses talents de tueuse masseuse. Me laisser sans "défense" me permettrait de voir si j'ai des risques avec elle, ou si j'ai bien acheter... son travail (sa loyauté est encore autre chose. mais si déjà elle ne me met pas de bâton dans les roues, ce sera très bien !).

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Centre-ville de Seikusu / Re : La chambre noire. (PV)
« le: jeudi 02 février 2023, 11:09:04 »
Il s'agissait d'une expérience des plus curieuses et sensuelle que j'eus vécu. Manger sur une femme nue, était déjà intriguant, mais en plus ne pas la voir était émoustillant au possible !
Partir à tâtons, découvrir lentement ses courbes, les sentir, les toucher, puis lécher sa peau délicate, tiède et rehausser de nourriture. Exaltant !

J'entendais le souffle de la femme allongée, le présentait avec les vibrations du corps, tandis que je me délectais du repas. C'était presque conviviale à l'entendre me questionner sur mon avis du repas.

- Un plat atypique mais fort en saveur. Souriais-je malicieux, bien que non visible.

Je terminais mon plat après quelques minutes, la faisant soupirer et... me mis à apprécier la fin.
L'intimité de la demoiselle, léchant, embrassant celle-ci pour mieux l'entendre soupirer et gémir peut-être. Caressant au départ ses cuisses, mes mains remontent à la recherche de ses seins. Découvrant leur forme, leur douceur entre mes doigts et les tétons chauds et dure, pointant de désir. Si je n'occupais pas mes mains, je sais que je me serais fait un plaisir solitaire ou que je n'aurais pas tenue à l'envie de la sauter.

Je n'y prêtais pas attention, mais le chariot, froid, ne faisait aucun bruit, ne laissant vraiment qu'entendre mon souffle un peu rauque et le sien, ainsi que sa voix chantante de plaisir. Elle remuait beaucoup et en redemandait, j'en souriais et m'en pourlécha les lèvres.

- Oui, je vais tout dévorer...

Ma langue parcourait les contours de sa féminité, à la fois pour la stimuler, et aussi pour connaître les dimensions, savoir où allez, se poser. Elle mouillait bien, se trémoussant, mon nez venait frotter son petit bonbon rose, tandis que je lui faisais un cunni. Mes mains n'étaient pas en reste, malaxant lentement sa poitrine et tirant délicatement ses pointes.

Je prenais conscience que mon corps était aussi en feu, de désir, vraiment, ne rien voir exsudait mes sens et même si je ne savais pas si physiquement elle me plairait, j'avais envie d'elle.
Ma bouche dévorait son antre humide, poussant ma langue profondément, tournant en elle comme je pouvais. Mes mains tremblaient sur sa poitrine, me retenant de venir ouvrir ma braguette et sortir mon membre turgescent.

Je ne sais pas trop combien de temps cela dura, j'étais focus sur ce repas "préliminaire" et ce fut à son orgasme, aspergeant ma bouche et mon visage, que je m'arrêtais. Satisfait... et frustrer. Me redressant, je la lâchais et chercha à tâtons une serviette sur la table.

- Merci pour le repas, il était très... goûtu. J'ai hâte de découvrir la suite.

En deux plats, elles avaient fait fort et je me demandais comment cela pouvait continuer. J'aurais bien voulus propose ma crème fouetter mais... Comme c'était moi le client, à déguster ce ne serait pas le bon sens. Malgré tout je ne dirais pas non à cela !

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L'Océan Étincelant / Re : Ce monde est un vaste naufrage. [PV]
« le: mercredi 01 février 2023, 15:30:58 »
Forcément, vue notre position, elle finit par voir mon sexe s'ériger, j'en avais honte, mais mon esprit restait assez... chaotique, faible et comme elle s'en tint à ne faire que me soigner, rien de plus n'arriva qu'un sifflement mécontent de ma réaction biologique. Aucun commentaire...

Elle termina enfin devant et j'aurais bien remis un caleçon... propre et non mouillé, mais rien sous la main. Là voila commentant soudain mon érection, j'en grimace. Avant de me dire qu'elle n'a pas tort ! Le sexe s'érige avec un afflux sanguin, si donc il arrivait à se tendre ainsi, c'est que je n'avais pas de problème de perte de sang ! J'en eus un rictus amusé.

- Si on considère que les deux pompes autant de sang, peut-être bien.

Côté féminin, la quantité de sang... bref. Pour en revenir à ce "sujet" fort distrayant, si on considère son utilité de renouveler l'espèce, après le cerveau, le pénis était peut-être bien l'organe ayant le plus d'importance ! ... En vrai nom, les poumons et l'estomac ne sont pas la pour faire jolie hein, mais bon.

Allez, changeant de sujet, mon dos, je m'allongeais sur le ventre, heureux de pouvoir cacher mon sexe et ainsi redrescendre la "pression". Même si ma tête tournait encore un peu. Par moment les secondes semblèrent long et d'autre rapide, selon mon état, je grimaçais à l'alcool, grognait, mais ce fut tout.

Enfin, cette torture passer, je me redresse sur le lit et la fixe, elle est en nage ou mes yeux voient troubles ? Mes sens émousser, ne percevait pas clairement la chaleur, ni mon état.

- Très bien. Je n'avais pas franchement mon mots à dire, ni de raison de refuser, alors ce fut court.

De plus elle pourrait me surveiller et me questionner, l'esprit embué, voilà que je paraphrase... Elle était sexy et son côté dominatrice, assurée avait son charme. Elle savait qu'elle n'avait rien à craindre de moi, pour l'instant en tout cas...

- Je répondrais du mieux que je peux, mais sachez que je ne suis pas originaire de ce continent et que emprisonner, mes connaissances sont très limités sur ma situation ou mes ravisseurs.

Voilà une demi vérité, ce n'était pas juste le continent, mais le reste était vrai. Je ne voulais pas qu'elle me trouve trop louche à être incapable de répondre à certaine question. J'aurais pu parler d'amnésie, mais ce foutu cliché ne marche que dans des scénarios ou l'autre peut s'intéresser suffisament à votre vie pour ne pas vous jeter car vous êtes inutiles sur le coup. Sans compter qu'il faut y croire.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: mercredi 01 février 2023, 15:14:11 »
Ma jolie assistante blonde entre et avec élégance se déplace jusqu'à mon bureau. Charmante, je n'ose imaginer le nombre de "proie" qu'elle a eu entre ses doigts agiles. Cependant, ce qui est parfois gênant avec un physique divin, c'est bien les jaloux et possessif, ceux prêt à faire n'importe quoi pour posséder ce qui leur est "dûe" d'après eux-même. Et dans ce milieu de requin, il n'est pas rare que certains me propose d'acheter telle ou telle fille/garçon aussi. Et je déteste ça... J'ai dû m'imposer pour que ces personnes restent à leur place et ne tente rien.

Certains ont "disparu" suite à une discussion un peu houleuse, là ou d'autre on eut le droit à un petit "brainwashing" afin de retirer l'idée de leur tête. Je me rappel encore une des assistantes, quasiment violer, avait été furieuse et secouer de voir son agresseur, agir le plus innocemment possible le lendemain, ayant oublié cette "histoire". Je crois qu'elle aurait pu le tuer si un couteau avait été à porté de main, il lui a un peu fallu du temps et surtout l'éviter mais maintenant elle n'hésitait plus et partageait à ses collègues qu'il fallait les dénoncer discrètement pour éviter ce genre "d'incident".

Savoir se battre c'est bien, mais quand on doit affronter tout un gang... avoir du soutien écrasant, c'est mieux.

La tasse chaude poser, Jane se colla dans mon dos, elle me faisait du charme et je n'allais pas la rejeter, c'était agréable pour mon ego et si je repoussais sa "motivation" elle risquerait de se braquer et d'être moins optimal dans son travail. Tant qu'elle ne cherchait pas à s'immiscer dans mes affaires, sa irait.

- Les Shepard... ils sont faciles, mais change si souvent d'avis. Je soupire en me rappelant ma recherche d'un objet, avant un retournement de veste. Finalement je suis arrivé à leur vendre les deux objets, mais sa m'avait bien agacer par leur nonchalance d'envoyer valdinguer tout mon travail. Quant à Andrews, reste sur tes garde il s'emporte vite s'il croit perdre la main. Lui donnais-je conseil pour gérer ces clients.

Elle vint sussurer à mon oreilles, la vile tentatrice, ce qui m'en fit sourire et prit les documents, je ne signe jamais sans tout vérifier ! Cependant, aucun problème, tout était en règle et je signais. Continuant son petit jeu, elle me fit face pour '"m'aider" dans mon travail, bien que c'était assez visible qu'il y avait une autre proposition.

- Malheureusement non. Un sourire un brin mesquin. Je ne fais confiance à personne. Dans ce milieu ou la légalité peut être des chaînes plus robuste qu'une balle en argent, il y a certains secret à garder et le pouvoir ne peut-être confier. Lui donnais-je ma ligne directrice.

Bien sur, tout mot poser, sauf écrit, peut-être retiré et nombre d'hommes ont crié haut et fort qu'une femme ne les feraient jamais pliés, avant d'avoir signé un contrat de vie, pour le meilleur... de qui ?
Et même sans allez jusqu'à la, ternir une image ou bien se rendre indispensable ou addict à sa personne pour gagner en emprise.

A voir ces propres objectifs, mais ainsi je me méfiais de mes propres mots et vérifiait si je suivais toujours mes valeurs et non ceux de quelqu'un d'autre...
La regardant dans les yeux, j'effleurais sa cuisse avant d'allez chercher ma tasse et boire une gorgée.

- Néanmoins tu peux toujours me tenir compagnie. Lire de la paperasse n'est pas tout le temps amusant. Je prenais garde à ma propre porte d'entrée, mais il faut savoir profiter d'une bonne compagnie. Ce n'est pas vraiment à l'âge de la retraite, le dos voutée que nos richesses servent le mieux. Être grippe-sous et paranoïaque n'est pas connus pour être la meilleure des vies à "vivre".

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Le métro et la gare / Re : Le fantasme du métro [Pv.]
« le: mardi 31 janvier 2023, 14:17:53 »
Je ne m'attendais pas à ce que ma jouissance fasse venir une seconde fois la petite "abeille". Mais ce n'était pas plus mal et des plus agréable de sentir sa féminité me serrer le pénis de nouveau.
Elle commit alors une erreure, celle de s'accrocher à un autre, je manquais de rire, cependant, je devais d'abord reprendre mon souffle, tandis que je me retirais d'elle.

La petite chenapan fit "taire" l'homme qui était rouge comme une écrevisse et tandis que je pensais ranger mon membre, elle termina sa... son repas, ce fut l'impression qu'elle me donnait d'autant plus avec ses propos. Je vins lui proposer de continuer sa ailleurs, hélas elle refusa. Toutefois elle prit ma main et écrivit son numéro, comme je ne le lui avais pas demandé, je ne doutais pas que c'était bien le sien. Aussitôt fait, elle sorti du trame, me demandant de l'appeler alors que nos chemins se séparait.

Me posant, l'homme s'était éloigner. C'était une fin de journée pas mal, pas assez, mais déjà bien. Soupirant, j'enregistrais le numéro et appela mon chauffeur pour qu'il me prenne, étant donné que j'avais raté ma sortie pour continuer de batifoler...

J'envoyais un petit message à Bee, simplement pour qu'elle enregistre le mien et terminait cette histoire sur ce point.
Quoi que... un peu trop émoustiller, j'envoyais ensuite un sms à une autre demoiselle pour nous amuser et terminer de me défouler. J'avais encore de l'énergie à revendre !

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