Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Li Hua

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Le temple Shinto / Re : Bacchanale sanguinaire. [PV : Li Hua]
« le: dimanche 03 avril 2022, 21:59:57 »
Li avait été bercé par la croyance qui est une marque considérable de sa culture, petite, elle y allait avec sa grand-mère, puis avec sa mère et quand elle aura enfanté elle devra y conduire son enfant. Prier les dieux, les aînés disparus pour amener la chance, y trouver des conseils, chasser les démons des rêves c’est primordial, Li ne le fait pas tout le temps au temple, préférant rester chez elle. Dans sa demeure une pièce est assignée à la prière, le soir avant d’aller se coucher, elle y dépose souvent plusieurs mots sous l'œil des tableaux de ses ancêtres. Elle y laisse également des offrandes quand elle doit signer des contrats importants pour apporter la réussite dans ses affaires. Dévoiler une partie d’elle, de ses croyances à Izar est un honneur, même s’il ne doit pas s’en rendre compte…  Li ne compte pas le convertir, lui gaver le crâne avec de belles paroles, il n’est pas de sa famille, il n’a pas besoin de ça.

À genoux, couchée sur le sol, Li ferme les yeux pour saluer ses aînés et les dieux gardiens, elle ne parle pas se contentant d’y mettre toute son âme pendant que son combattant se laisse aller à des mantras. Des sons de craquements bourdonnent aux oreilles de la mafieuse quand un bruit sourd lui fait lever le cœur. Se redressant sur ses genoux, restante droite, elle voit les fêlures sur les idoles à moitié éclairées par les bougies, mauvais présage.

- Bien.

Li se lève appuyant une main sur un de ces genoux pour s’aider, des auréoles rouges marquent ses genoux, sa peau blanche similaire à la neige a pour habitude de vite prendre les marques.

- Je crois bien que vous n’êtes pas le bienvenue ici, ou alors c’est moi qui ai fait une erreur de parcours. Peut-être les deux, en vous invitant ici. Les divinités vont me gracier j’en suis certaine et ils apprendront vite à vous connaître. De toute façon nous n’avons pas le choix, votre gratification se trouve ici.

Li se met en marche sur la droite, s’arrêtant après quelques pas devant une sculpture au visage humain et au corps de loup, elle attrape un bâtonnet qu’elle passe sur la flamme d’une bougie pour l’allumer afin de faire rayonner les chandelles éteintes.

- Je me demande pour quelle raison mes ancêtres ne veulent pas de vous ici, Monsieur Myrrhe. Je ne suis pas une enfant de chœur…

Li était une mafieuse qui détruisait la vie des autres sans avoir le moindre remords, elle prenait ce qu’elle avait envie sans se préoccuper du revers de la médaille. La chef de famille Hua avait conduit des gens à la mort, avec la drogue, bon nombre de jeunes filles avec la prostitution s’en ignorer le trafic d’armes. Qu’avait bien pu faire son poulain pour mettre les dieux en fureur.

- Qu’avez-vous fait pour endurer ce sort ?

Bâtonnet à la main, Li se tourne vers Izar, plaçant la flamme vacillante devant son minois pour haleter dessus, une traînée de fumée grise s’échappant vers la voûte, une odeur d’opium plus tenace en émanant.

- À moins que mes ancêtres veuillent me mettre en garde… Monsieur Myrrthe vous n’avez pas le désir de me faire du mal j’espère ?

Une personne sensée devrait reculer, Li à l’instar d’une mante religieuse prête à trancher la tête de son partenaire se rapproche de son combattant, posant une main au centre de son torse pour le jauger. Elle lève doucement sa tête vers la sienne, plus petite que lui, elle paraît si frêle à ses côtés. Et pourtant, les flammes qui dansent dans son dos, la statue qui semble examiner le combattant lui donne une aura imposante.

- Il en serait regrettable.

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One Shot / Dans les yeux de l'enfant. - Hiroshi Nijima
« le: dimanche 03 avril 2022, 21:46:39 »
En tant que dirigeante de la grande famille Hua, Li devait administrer tous les comptes, entretenir les affaires, les relations, obtenir des nouveaux clients et broyer les autres. Ce n’était pas de tout repos et elle se devait d’être toujours attentive, les journées de la mafieuse étaient très longues et ses nuits courtes. Le repos c’est pour les morts comme aime bien déclarer sa mère quand elle va la voir. Du côté de son père c’est autre chose, Li éprouve une peur intérieure en sa présence, la peur du jugement, de la rage à son égard et surtout du châtiment.

Lors de ses derniers rapports, Li avait reçu des compliments gagnant des contrats juteux avec des hommes politiques autant de gauche que de droite, ici il n’y avait pas de favoris tant qu’on pouvait obtenir de l’argent sans difficulté. Malheureusement, aujourd’hui sur le livre de comptes de la patronne il y avait un manque, un lourd manque… Le nom d’un client très ancien qui rapportait considérablement avait disparu, c’était justement son père qui avait réussi à mettre en place ce contrat en se pliant en quatre, passant sur toutes les lubies de celui-ci. Le géant d’une boîte informatique avait investi chez les Hua dans la drogue et les femmes. Deux grandes passions qu’on ne pouvait pas lui débarrasser, Li faisait en sorte de toujours lui fournir le meilleur pour le satisfaire. Sauf, qu’au début du mois, il y a eu un petit accident qui a contraint l’homme à se retirer…

Li s’avançait vers les appartements de son père, ses talons claquaient sur les planches de bois du jardin, ses fesses ondulaient dans sa robe ajustée aux couleurs du soleil. La mafieuse avait pris le soin d’attacher ses cheveux avec des broches en or qui reflétaient la lumière naturelle. L’air extérieur était quelque peu suffocant, même avec la verdure aux alentours et pourtant Li préférait être là à attendre pendant des heures que de rentrer chez son paternel. Sauf qu'elle n’avait pas le choix, son père regardait tout ! En retraite, il ne l’était pas vraiment tant qu’il était en vie. Li s’arrêta devant la porte d’entrée, elle prit soin d’enlever ses escarpins avant de faire coulisser celle-ci pour rentrer.

- Père…

Les mains moites, Li les essuya sur sa robe faisant attention de ne pas faire choir sa mallette contenant le livre de comptes et son ordinateur. D’une voix plus énergique et assurée, elle reprit la parole.

- Papa, je suis là.

À son habitude, la réunion se déroulait dans le salon, Li y alla pour y découvrir son père sur son fauteuil. Même avec l’âge il était toujours bien entretenu, la mafieuse le soupçonne de faire encore du sport alors que le médecin lui a demandé de lever un peu le pied et profiter de sa retraite pour se détendre. Comparé à des anciens voûtés, avec la peau flasque, des problèmes articulaires. Père se tenait encore bien droit, les muscles de ses bras et de son torse se dessinaient sous sa veste, ses mains énormes si dures quand les punitions tombaient. Li, allait devoir la jouer astucieusement pour y échapper…

- Bonjour, papa.

La cheffe de famille ne savait pas si son paternel était au courant de cette aventure, pour l’heure elle décidait de ne pas lui en causer, se mettant à genoux pour s’agenouiller devant lui comme le ferait une croyante devant une statue de son dieu. Ses mains en cœur au-dessus de sa tête qui regardait le parquet, son dos droit pour aboutir à ses fesses moulées dans sa robe tendue vers l’arrière. Elle attendait le signe de son père pour se lever et entamer la réunion.

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Le coin du chalant / Re : Opium squad. [Ouvert]
« le: samedi 02 avril 2022, 20:21:24 »
Un nouveau up pour un ou deux rps en plus.  :D

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Les alentours de la ville / Une suée de luxure. - Héraclès
« le: samedi 02 avril 2022, 00:14:52 »
En ce vendredi soir, Li était invitée à une cérémonie pour la remise de trophée pour plusieurs artistes en vogue du Japon dans le milieu de la mode. C'était l'occasion de voir les nouvelles têtes et d'entretenir les relations avec les anciennes… Et comme tout le gratin de la haute était là, il y avait aussi les concurrents de la famille Hua, ceux qui voulaient voir le règne s'écrouler. Potentiellement nuire à la jeune femme si elle se retrouvait seule, pour contrecarrer les mauvaises intentions Li avait décidé de venir accompagner.

Dans la semaine, la mafieuse et son groupe avaient fait passer des entretiens à des hommes, elle cherchait un partenaire de soirée qui puisse la protéger si problème il y avait tout en pouvant fournir le rôle de partenaire ou plutôt de compagnon. Li n'aurait pas pu accorder ce rôle à un de ces subordonnés bien trop identifiable c’était une nouvelle tête qui lui fallait. Son majordome contacta une poignée d'hommes qui pouvaient faire l'affaire et c'est dame Li qui décida du dernier mot. La mafieuse avait choisi un homme du nom de : Héraclès. Corpulent il avait signalé qu’il avait travaillé dans le bâtiment doté d’une grande force il pourrait sans difficulté la défendre et il avait un certain charisme. Li se voyait installer dans ses bras musclés pour des photos, lui tenir le bras dans la salle sans avoir honte.

Il était également stipulé qu’il allait percevoir un salaire en conséquence, Li s’occupait des frais pour ses vêtements et tous les accessoires qu’ils voulaient pour être plus que convenable pour la soirée. Le soir venu, la cheffe de la famille Hua avait sorti une splendide voiture américaine décapotable, rouge flashy pour se faire remarquer dans la ville. Elle avait donné rendez-vous à Héraclès dans une ruelle paisible dans la ville pour passer le chercher… Toujours en avance comme à son accoutumance, Li coupa le moteur de la voiture pour sortir et se placer contre la carrosserie encore chaude. De son côté, elle avait opté pour une robe ajustée rose pâle avec des motifs floraux bleus pour la embellir, elle était ouverte dans le dos et sur sa jambe droite jusqu’à son genou. Sur ses épaules un châle en plume blanche car en ce début de soirée, la fraîcheur commençait à tomber.

- Bien. À l’heure.

Au bout de la ruelle, la silhouette d’Héraclès venait d’apparaître pile à l’heure ce qui ne pouvait que ravir Li qui n’aimait pas les gens en retard. La mafieuse leva ses fesses de la voiture, ajustant sa robe avec ses mains pour se présenter devant son compagnon de soirée.

- Je suis heureuse de vous revoir Héraclès.

Li lui tendit sa main pour un salue dans les règles de sa part, attendant un baiser bien assurément et quand tout était en règle, elle lui tendit les clés de sa voiture. Une femme n’allait pas piloter, c’était à l’homme de s’occuper de ces affaires. Il pouvait se lâcher, mais devait faire attention, cette voiture était irremplaçable. Li alla se mettre assise à la place passagère, attendant que son compagnon s’installe à son tour pour ajuster le siège et tous les attributs du bolide.

- J’espère que nous allons passer une bonne soirée tous les deux. N’oubliez pas que nous devons faire croire que nous sommes en couple. Un jeune couple débordant d’amour, l’un pour l’autre.

Li posa sa main sur la cuisse d’Héraclès pour soutenir ses propos, c’était hautement ironique de la part de la cheffe de la famille Hua qui n’avait jamais été en couple de sa vie, préférant les relations sans entraves.

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Le gros balourd ne voulait pas quitter la pièce, prenant trop de satisfaction à regarder Li pomper son garde du corps, même si de son point de vue lui ne le voyait pas, il avait juste un gros plan sur la mafieuse à genoux qui venait glisser sur le membre chaud de Souta. De son côté lui avait aussi l’air d’apprécier cette gâterie surprise que Li lui offrait pour ne pas se faire repérer… Elle était sûre qu’il allait vouloir se battre, mais ce n’était pas une des meilleures solutions, il aurait fait du bruit, le malabar aurait eu le temps de prévenir ses adjoints et les deux compères auraient dû fuir avec une patronne intégralement nue. Ils devaient se poser avant, se reposer avant d’aller rallier la planque et pour ça, Li était prête à y mettre de sa personne.

Sa petite bouche coulissait sur sa colonne qui était maintenant à son apogée, bien dure, bien droite, bien gonflée, Li leva les yeux dans sa direction, Souta se délectait de la conjoncture dans son coin. Il était comme un pacha, il n’avait rien demandé et le voilà avec une femme à genoux qui s’occupait de lui en gémissant. Les doigts de Li flânaient en permanence sur sa perle de plaisir qui se montrait de plus en plus vulnérable et gonflée, tirant des couinements plus longs à la mafieuse.

- Ehnnn.

Ses lèvres moelleuses de la patronne se serraient sur le vif de Souta, sentant les veines enflées, elle s’aventurait de plus en plus loin, rentrant le morceau de chair plus intensément dans sa petite gueule d'ange. Son nez venait à flirter avec son bas-ventre, ses poils chatouillant ses narines avant de retourner en arrière pour aspirer son gland. La salive de Li, maculait son pieu jusqu’à couler à ses bourses gonflées. Sa petite langue n’était pas en reste, tournant autour du gland, se faufilant vers l’urètre pour y collecter le présperme qui sortait en filet. Et la libération de Li allait arriver, le gorille décida de partir, ajoutant qu’il allait revenir pour la baiser. Mais bien sûr, Li allait reculer sa tête pour reprendre sa respiration quand Souta lui attrapa la tête pour profiter encore quelques instants de la petite bouche de sa patronne, avant de la lâcher.

La mafieuse recula sa tête prenant une grande aspiration, regardant son garde du corps dans les yeux pendant qu’un filet de bave mélangé à du sperme reliait encore sa verge à ses lèvres. Elle enleva ce filet, avec sa main qui caressait son intimité, laissant sur ses lèvres une traînée de cyprine, pendant que Souta s’amusait à frictionner son gland contre le visage de sa patronne.

- Parfois, il est bon de ne pas s’écouter. C’était pour nous sauver la mise et éluder une bagarre dans ce bordel.

Li colla une dernière fois ses lèvres contre le vif de Souta laissant s'évader son souffle chaud, avant de se redresser devant lui, passant ses doigts dans sa bouche pour retirer la totalité de mouille qui se trouvait dessus.

- Je suis certaine que vous allez préserver ma sécurité encore mieux qu’avant, on ne sait jamais, une situation similaire pourrait se reproduire, il serait déplorable qu’il m’arrive quelque chose et que je ne puisse pas faire diversion. N’est-ce pas ?

La patronne entra son majeur entre ses lèvres pour parfaitement le nettoyer, entrouvrant la bouche, Souta pouvait voir sa petite langue pivoter autour comme elle l’avait fait avec son gland quand elle était à genoux devant lui.

- Je suis certaine que vous allez parvenir à vous détendre, le temps que je trouve des vêtements.

Dans un son humide, elle retira son doigt de sa bouche pour se retourner examiner les casiers, son bassin basculait sous le nez de Souta qui n’allait pas l’aider à se calmer. Li força les casiers devant elle qui étaient comme les autres fermés, juste un semblait s’ouvrir, se trouvant en bas à même le sol. Pour contraindre la porte, Li n’avait pas le choix et devait se placer à genoux encore une fois. Les cuisses écartées, elle commença à tirer sur la porte qui était si rouillée qu’elle lui donnait de la résistance jusqu’au moment de céder et c’était le jackpot… Derrière la porte se trouvaient des habits en boule, Li devait juste trier ce qu’elle voulait.

- Il va falloir se satisfaire de ça, je crois…

Li se pencha en avant pour bien explorer le casier, affichant ses fesses tendues devant son garde du corps ainsi que sa petite chatte rose toute mouillée, ainsi entre ses cuisses elle avait l’air si serrée, étroite s’ouvrant à peine malgré sa position. Sa fente fine et minuscule brillait de son excitation, car Li essayait de le masquer, de feindre son désir, son envie de baiser ! Et c’était complexe, n’arrêtant pas de frétiller, de remuer son bassin pendant que son bas-ventre la démangeait.

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Li était loin d’être une déesse comme cet individu qui se prétendait être un dieu à ce moment, la poussant contre le mur au fond de la pièce pour déchiqueter sa robe d’un simple mouvement de doigt. Mais la patronne de la famille Hua était loin d’être en reste, elle était consciente d’avoir des pouvoirs sans vraiment savoir les employer, ils étaient là simplement pour la protéger au bon moment. La fumée blanchâtre à l’odeur d’opium ne servait pas d’attaque contre le démon, elle était là pour protéger Li.

La mafieuse suivait les déplacements que le démon lui imposait, en matière de force elle était loin de l'outrepasser, s’appuyant contre son bureau pendant qu’il était derrière elle à se balader entre ses cuisses.

- Si vous étiez véritablement un être suprême vous devriez savoir que je ne suis pas une simple humaine…

Li appuya ses mains contre le bois massif de son bureau pour ne pas se faire écraser entièrement, la fumée qui flottait dans la pièce se posa sur son corps pour la recouvrir d'un voile blanc comme une double peau réconfortante. La mafieuse sentait une paisible chaleur l’envelopper, bander ses muscles pour forcer sur le bureau pour l’envoyer à l’autre bout de la pièce, s'écraser contre la porte et pouvoir se tourner face au dieu qui n’avait plus d’appui pour la maintenir en place.

- Une récompense… Vous avez le droit de me dire que vous n’avez pas les moyens de me rembourser les frais ! J’accepte les rétributions en nature. Pourquoi se montrer toujours si pressé de me sauter dessus, les hommes tous les mêmes qu'importe d’où ils viennent.

Non, ce n’est pas vrai, Li avait eu la chance de rencontrer quelques hommes plutôt joueurs avec qui elle avait passé d'agréables moments. La mafieuse n’était pas du genre à apprécier qu’on la brusque ou en tout cas pas comme ça, pas si rapidement. Elle poussa une longue expiration, la fumée sortant englobant plus promptement son corps, se posant comme une cuirasse durcissant sur son corps nu.

- Je suis une grande adepte des contrats, je n’aime pas ne rien recevoir en retour. Sauver votre demoiselle, en prendre soin et juste me faire baiser par vous… Alors que je n’ai même pas l'assurance que vous soyez un étalon au lit. Non, merci.

La fumée à l’odeur d’opium entourait de plus en plus Li, donnant l’impression qu’elle sortait par tous les pores de sa peau.

- Pour un dieu je trouve que vous n’êtes pas très futé. Laisser une jeune femme seule, ne pas se renseigner sur la propriétaire des lieux et ne pas flairer qu’elle n’est pas une humaine… Vous êtes le dieu de quoi au juste ?

Li se replie avançant à reculons pour toujours avoir le maudit en vue, même s’il pouvait aisément se téléporter comme il l’avait déjà prouvé. Mais même s’il venait à le faire à présent, il serait déçu de constater que le corps de Li était devenu aussi glacé que la pierre, sa peau aussi sévère que le trône des enfers, impossible à briser, impossible à traverser entre ses cuisses. Si le démon voulait la baiser, il allait devoir prendre son mal en patience et revoir sa façon de faire. La dominer était réalisable, mais pour ça il va falloir se montrer rusé et ne pas employer la force.

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Prélude / Re : Hiroshi, pour le plaisir de vos yeux [Keira]
« le: jeudi 31 mars 2022, 18:43:18 »
Bienvenue monsieur.

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One Shot / Re : Le châtiment de la sœur. - Jack Taylor
« le: mercredi 30 mars 2022, 23:34:44 »
Li patienta les quelques minutes où son majordome devait parcourir sa demeure pour avertir son frère de la rejoindre, battre le fer pendant qu’il est encore chaud, la patronne n’allait pas laisser passer une faute aussi importante. La porte de la salle de bain s’ouvrit, Jim venait d’arriver, elle leva les yeux dans sa direction, il pouvait prédire juste à son regard qu’elle n’était pas d’humeur.

- Jim.

Une voix grave, le doute n’était plus autorisé à ce moment. Li le regarda s’approcher de la baignoire pour venir s'asseoir sur le bord, elle tourna son verre de bulle comme il faudrait le faire avec un bon bordeaux pour s’assurer de la robe. Elle attendait uniquement des explications, elle n’avait pas besoin de lui réclamer, il était là pour ça. Jim se jeta dans le vide, sa sœur le regardant toujours aussi froidement, son visage se détendit quand son petit frère lui expliqua que le cadre de la compagnie avait voulu coucher avec lui. La mafieuse le savait qu’il avait une préférence pour les jeunes hommes efféminés, c’est pour cette raison qu’elle avait sélectionné son frère pour une infiltration et pas un de ses gorilles.

- Je comprends Jim…

Li leva son autre main pour cajoler la cuisse de son frère à travers son pantalon, laissant de l’eau et de la mousse sur le tissu.

- On va en discuter, tu as dû avoir peur mon cher petit frère

La mafieuse tira sur le tissu du pantalon.

- Enlève-moi ça, nous sommes dans une salle de bain ce n’est pas une tenue appropriée avec les émanations tu risques d’avoir chaud et viens me masser les épaules j’ai eu une dure journée aussi.

Ce n’était pas des propositions, mais des instructions, Jim savait qu’il devait s'exécuter avant que la conversation reprenne. Li avait l’air plus paisible, son visage était moins nerveux comme si elle n’en voulait pas à son frère, mais est-ce que c’était vraiment le cas ? Li attendit que son frère soit en place, sentant ses mains se placer sur ses épaules, elle bascula sa tête sur le côté pour pouvoir l’admirer dans le mur miroir qui se tenait juste en face. Sans pivoter la tête, Li pouvait voir tout ce qu’il faisait et en tirer profit pour le reluquer, son vif pointant entre ses jambes déjà.

- Tu sais avec ton frère Kun, nous aussi on nous a envoyés dans des missions qu’on ne voulait pas. Papa, ne nous laissait pas le choix, nous sommes de la famille Hua et nous ne devons jamais reculer. J’ai écarté les cuisses devant des vieux pervers pour préserver des liens, ils m’ont souillé de leur salive, de leur semence et certains même de leur urine ! J’ai enduré ça pour mieux les anéantir après…

Li se délecte d’une nouvelle gorgée posant ensuite son verre sur le mobilier à côté pour commencer à se savonner, passant ses mains sur son buste pour descendre sans tarder sur sa poitrine, englobant ses seins entre ses doigts.

- Et toi ! Tu n’es pas capable de tendre tes fesses à un banal cadre, tu viens de ruiner en quelques secondes des années de travail, ils vont remonter jusqu’à nous, nous allons devoir nous excuser et se mettre à genoux devant eux ! Est-ce que tu trouves ça normal Jim !

Ce n’était pas non plus une question, bien sûr que ce n’est pas normal dans ce milieu.

- On doit constamment passer derrière toi pour rectifier tes erreurs, tu crois que c’est mon travail ou celui de ton frère, c’est pour ça que tu n’es rien dans ce foyer, personne ne peut avoir confiance en toi, on doit continuellement te protéger car tu es un moins que rien.

La sanction venait de commencer, le mental d’abord, avant de s’attaquer aux châtiments corporels pour lui graver les bonnes manières de la grande dynastie Hua.

- Un impuissant. Dans tous les domaines, comparé à Kun ton frère… Je l’ai toujours préféré à toi, je suis si triste qu’il soit parti à l’étranger et que se soit toi, l’impuissant, qui reste à mes côtés. Lui, savait me satisfaire, me rendre heureuse, il n’en a pas une aussi petite ! Quand il me prend, je sens toute sa puissance entre mes cuisses, ehn.

Li prenait un malin amusement à le mesurer à son grand frère Kun qui était à présent à l’étranger pour des raisons politiques. Les comparaisons ne sont jamais appréciables, surtout dans une même famille quand les enfants sont sans cesse jugés pour déterminer qui est le meilleur. Et la mafieuse poussait le vice en parlant de l’intimité… Mais en réalité, Li aimait ses frères autant l’un que l’autre, ils avaient leurs défauts comme leurs qualités, mais parfois il fallait encourager Jim, le faire réagir pour qu’il comprenne qu’il ne devait pas s'échapper devant les difficultés. C’était la première fois qu’elle le comparait à son frère, elle espérait trouver un moyen de pression sur lui pour assouvir sa punition.

- Papa ne serait pas fier de savoir que le dernier de la lignée est un impuissant qui ne sait pas combler sa sœur dans tous les domaines.

Il y a des relations entre les enfants et pareillement entre les parents, Li allait souvent rejoindre son paternel le soir pour le satisfaire, il préférait la chair fraiche de sa fille que la peau faner de sa femme. La mafieuse était sur le papier la cheffe de la famille mais son père avait toujours le pouvoir sur elle. La mafieuse se devait de s’écraser devant lui et lui faire le dos rond, à presque 70 ans il était le grand patron qui faisait tout ce qu’il voulait.

- Dis-moi ce que tu mérites, Jim ! Demande à ta sœur.

Li attendait qu’il dise le mot punition, qu’il s’excuse, qu’il la supplie de ne pas être trop dur avec lui, elle ne s’attendait pas à des exemples c’était à son esprit pervers de trancher ce qui allait lui arriver aujourd’hui. Sa faute était grave, très grave et il allait le sentir passer. La patronne le regardait toujours à travers le miroir, caressant continuellement sa poitrine, tirant sur ses pointes qui se levaient vers le haut au milieu des grosses auréoles.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La gourmandise du diable. - Stephen Connor
« le: mercredi 30 mars 2022, 22:52:57 »
Les lèvres adroites, chaudes du diable sur la poitrine de Li la rendaient folle, fermant à moitié les yeux pour apprécier ce contact torride, prenant des interminables inspirations pour gonfler sa poitrine avant d'exhaler des longs gémissements. Le gland bouillant d’Helel contre son bouton rose n’aidait pas à la soulager, elle mourrait d’envie de s’écraser sur son vif, d’écarter ses lèvres moelleuses dessus pour le sentir la remplir. Est-ce que commencer à se frictionner contre lui était une bonne idée, la mafieuse commençait à se demander, c’était ses instincts primaires qui avaient causé. Maintenant, elle ne pouvait plus s'arrêter, ce simple contact lui brûlait les entrailles. Son antre détrempé marquait le vif veineux du maudit, ses reins vibraient au point de lui faire mal d’en vouloir encore plus. Son souffle devenait de plus en plus entrecoupé, ses lèvres venaient à frémir contre celle du diable quand elle voulait l’embrasser.

- Ne vous gênez pas pour vous empaler dedans…

Li l’encourageait à se laisser aller, à conférer ce coup de bassin qui allait les libérer tous les deux, sauf qu’il ne voulait pas abandonner. C’était à sa future diablesse de s'asseoir, de fléchir ses genoux pour qu’il puisse assouvir son emprise sur elle. Elle pinça ses lèvres, son bassin glissa plus vigoureusement en avant, entrechoquant sa perle contre le gland du maudit pour énoncer sa frustration et son désir croissant. Il glissa sa grosse main contre les fesses de la demoiselle pour se faufiler entre ses cuisses ardentes et faire rentrer un doigt entre ses lèvres humides.

- Ehnnnnnnnn…

Elle était loin de la libération, ce n’était qu’un avant-goût qui allait juste la faire grimper encore plus dans les tours, sa main qui tenait le vif d’Helel, se crispa dessus serrant la base massive appuyant contre ses bourses. Le corps de Li se contracta, sa chatte n’y manqua pas non plus piégeant ce doigt audacieux pour ne pas le laisser s'éloigner.

- J’aurais préféré autre chose… Et vous aussi !

Le doigt imposant du démon s’agitait entre ses lèvres, allant de haut en bas, tournant dans son antre les fracas moites de son excitation se levaient dans les airs, comme cet arôme d’opium qui devenait plus présent comme des phéromones. Les joues de Li étaient passées du blanc, au rose pour finir au rouge intense, des gouttelles de sueurs marquaient son minois à la frontière de ses cheveux. Diablerie, ce démon était un tentateur des enfers qui poussait Li dans ses retranchements, aucun homme ne lui avait résisté aussi longtemps.

- Arrêtez de jacasser…

Li était pourtant la première à le provoquer, à lui chuchoter des cochonneries à l’oreille pour qu’il se laisse aller dans ses entrailles. L’inverse semblait ne pas lui convenir, la voix grave et pourtant suave du diable était déconcertante pour la mafieuse. Maudit soit-il à lui résister ainsi.

- Ehn.

Les gémissements de Li montraient son mécontentement de n’avoir que ce doigt pour la combler, elle se mit à joindre ses pénétrations avec son bassin, à baiser ce doigt dans l’espoir d’y obtenir un réel plaisir creusant purement cette faim de sexe. La mafieuse ondulait, fléchissait plus promptement les genoux pour s’écraser contre la main d’Helel, si seulement il pouvait lui offrir plus, l’ouvrir avec un doigt de plus ou deux. Il jouait, comme Li avait joué avec.

Li se laissa aller en avant pour coller son buste contre celui du démon, écraser ses seins contre sa musculature, pour percevoir ses muscles se bander tout contre elle, Li passa son bras autour de son épaule pour la remonter derrière son crâne attrapant ses cheveux pour apposer sa tête contre la sienne, le sentir, humer son parfum rempli d’hormones mâle. La main sur la base de son vif ne bougeait plus depuis plusieurs secondes, trop concentrée à vouloir satisfaire son manque. Finalement, la fin du jeu avait déjà sonné et Li était plongée dans ses derniers retranchements, ce n’était qu’une question de temps.

- Je vous déteste… Ehn !

Les secondes étaient interminables, l’espoir qu’Helel abandonne en premier s’envolait, les yeux de Li s’embrumaient d’un voile blanc. Entourée du colosse, Li devait bien se livrer à l’évidence.

- Je vous déteste…

Li planta ses dents dans le cou d’Helel pour le marquer encore une fois, aspirer sa peau avant de remonter laissant vagabonder sa langue jusqu'à son oreille, elle haletait, tremblait comme une pauvre poupée contre le démon robuste qui pouvait sentir son ego gonfler à ce moment. Le colosse des enfers allait pouvoir la consumer jusqu’à son âme. Sans un mot, comme prise d’une honte gigantesque, mauvaise joueuse qui n’accepte pas la défaite, Li dressa le vif d’Helel en direction de sa fente avant de fléchir les genoux.

Le doigt du démon quittait sa chatte pour laisser place à sa queue tant convoitée, Helel disait que son antre était serré il avait raison, Li s’ouvrait avec difficulté même avec toute son excitation qui coulait contre ses cuisses. Elle forçait pour le faire rentrer, se délectant du moment en couinant à chaque centimètre qui passait entre ses cuisses. La mafieuse avait constamment sa tête collée contre celle du diable, noyée dans ses cheveux pour ne pas le voir. Échapper à son visage de satisfaction, elle ne voulait pas le voir commémorer cette victoire, c’est déjà pour cette raison qu’elle ne s'était pas mise à genoux devant lui pour le gratifier de sa bouche. S’écraser devant lui, pour se sentir inférieure entre ses cuisses, la tête plongée contre ses bourses pour baver dessus, non merci, ici à califourchon elle avait encore une indéniable prestance malgré l'échec. Elle le dominait de sa hauteur, elle pouvait conférer son rythme, échapper à ses yeux railleur et l’embrasser pour lui couper la parole s’il venait à la narguer, une défaite moins amer.

- Ehnnnnnnnnnn !

Cette queue Helel, Li ne lui dira pas.

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N’est pas de rigueur dans ce genre de quartier… C’est exact, mais à la base, Li devait rencontrer un client et elle ne pouvait pas venir avec les vêtements de madame tout le monde. La famille Hua à travers les générations entretenait un certain standing, elle n’avait pas le droit d’y faire opposition sauf dans ce cas précis ! Elle n’avait plus rien à se mettre et allait devoir faire avec les moyens du bord, si elle arrivait à mettre la main sur un bout de tissu, elle n’avait pas quand même dû prendre les rideaux ? La patronne continue son investigation, s’agitant dans la pièce pendant que Souta en profite pour se reposer, il pourrait l’aider à chercher un peu mais d’un autre côté il fait bien de se relaxer, il doit rester attentif pour défendre sa cliente. Même si Li a plus l’impression qu’il s’amuse de la situation, prenant le temps de lui poser des questions sur ses préférences.

- Je ne dis pas non à ce genre de pratique ! Reste à savoir qui claque le fouet…

Vu le tempérament de Li il était envisageable de croire que c’était ses partenaires qui portaient l’attirail du bon toutou, c’était se tromper ! Parfois, ce sont les gens qui ont le plus de pouvoir qui aiment se faire descendre pendant les ébats pour parvenir à évacuer toute la pression. Ceux dans la pièce à côté avaient l’air de prendre leurs pieds comme jamais, il était possible d’entendre des gémissements, des cris, des fessées et le moment où l’homme demanda à la prostituée de se mettre à genoux pour lui uriner dessus. Souta éclata de rire à ce moment, Li garda son sang-froid restant de marbre comme à son habitude. En même temps, elle n’avait pas à rire, dans le passé il lui était déjà arrivé d'exercer ce genre de pratique.

- Rien ici non plus…

Et surtout, ne rien trouver commençait profondément à l’agacer, ces prostituées devaient bien avoir des vêtements à se mettre elles ne se déplaçaient pas toutes nues dans toutes les occasions. Li se redresse pour fouiller dans un autre meuble, retournant les tiroirs pour y sortir cette fois une multitude de sex-toy de toutes les formes et tailles possibles, se demandant parfois si c’était réalisable de rentrer une chose aussi grosse. Souta, lance l’idée que les filles devaient préserver leurs vêtements dans un vestiaire ou leurs chambres, ce n'était pas bête… Cette pièce servait certainement de rangement pour les accessoires.

- Possible, je vais quand même terminer de chercher on ne sait jamais si on peut éviter de faire un détour.

La patronne se remit à chalouper dans la pièce, ses seins claquant, ses fesses se tendant quand elle devait se pencher sur l’avant, elle se mit même à genoux pour vérifier en dessous des meubles exposant sa vulve qui ne semblait pas se desserrer malgré tous les déplacements qu’elle faisait. Il fallait bien l’admettre il n’y avait rien ici, Li se redressa frotta ses genoux pendant que Souta se tenait déjà prêt vers la porte. Ils allaient devoir parcourir les pièces pour arriver au vestiaire ou aux chambres plus haut, la patronne espérait qu’elle n’allait pas croiser de nouveau une fille hystérique… De toute façon, il n'y avait plus rien à déchirer sur elle.

Bien sûr tout n’allait pas se passer comme prévu, un couple venait de s’interposer pour acquérir Li… Ce n’est pas croyable ! Même les femmes s’y mettaient après les violeurs, l'arrivée des perverses. La patronne prit une importante inspiration sentant qu’elle allait céder pour la remettre en place et heureusement Souta calma sans tarder le jeu à sa façon… Un couinement de surprise glissa d’entre les lèvres de Li quand son garde du corps attrapa son sein entre ses doigts et elle n’a pas le choix de jouer le jeu. Le refuser pour lui crier dessus n’était pas une alternative à ce moment.

- Une prochaine fois… Peut-être !

Li gloussa se rapprochant de Souta, pour enfiler ses mains sur son t-shirt encore humide sentant les sillons de ses muscles glisser sous ses doigts. Par chance, la femme ne va pas insister, préférant faire la morale à son mari pendant que Li et son garde du corps en profitent pour filer gardant une position serrée. Souta en profite toujours, ne décrochant pas de son sein, est-ce une technique pour chasser tous ses tordus, c’est bien trouvé… Enfin, c’est ce qu’elle croyait jusqu’au moment où Souta s’excuse car c’était juste un oubli… Comment omettre qu’on tripote sa patronne ?

- Ça va pour cette fois…

Li n’allait pas faire un tapage ici de toute façon, crier n’était pas la meilleure des choses à faire et de toute façon il allait d'ici peu partir. À l'étage, Li rentre dans la première pièce ouverte qu’elle croise.

- Un vestiaire, je vais pouvoir chercher quelque chose à me mettre sur le dos.

Elle commence à s’approcher des casiers, les premiers sont fermés avec un cadenas, un ouvert ne renferme que des crackers, des tampons et des photos d’hommes nus, elle s’attaque à la deuxième ligne quand une voix familière rugit du corridor.

- Poussez-vous ! Je vais défoncer la gueule de cet enculer et éclater le cul de sa gonzesse.

C’était bien la voix d’un des malabars que le duo avait croisée avant d’arriver ici, ils avaient dû parvenir à ouvrir la porte depuis tout ce temps. Li regarde dans la pièce, il y a qu’une lucarne avec des barreaux à l’extérieur et traverser maintenant dans le couloir n’était clairement pas la meilleure des choses à faire… Il savait que Souta était armé, il avait dû s'équiper aussi. Li sans sa robe pouvait passer inaperçue, son garde du corps moins il pouvait à peine se dissimuler dans le vestiaire et la voix de l’homme arrivait presque à eux. Cette fois, c’est Li qui prit l'initiative pour les tirer de ce bourbier sans des éclaboussures de sang… Car tirer dans cette maison close était franchement une mauvaise idée pour le reste de l’aventure.

La patronne plaqua son employé contre une rangée de casiers, entrouvrant celui qui pouvait s’ouvrir pour masquer le corps de Souta, sans attendre elle baissa son blue-jean ainsi que son sous-vêtement tout en se mettant à genoux c’est à cet instant qu’elle vit qu’il était déjà en train de bander. Pas le temps de lui demander pourquoi ! Li prit entre ses lèvres le membre devant elle pour percer l’entrée de sa petite bouche et au même moment le gorille rentra dans la pièce.

- Mon gars ! C’est un joli petit lot que tu as là !

L’homme resta à l’entrée du vestiaire, s’appuyant contre l’encadrure de l'entrée pour reluquer la scène, il ne devait voir que Li qui coulissait sur le sexe de Souta qui était bien caché normalement.

- Touches-toi en même temps grosse cochonne, on aime vous entendre couiner pendant qu’on se fait sucer !

Il n’allait pas bouger, tant que Li n’allait pas le faire, à genoux elle écarta ses cuisses pour glisser un doigt le long de sa fente pour stimuler son clitoris et commencer à pousser des gémissements pendant qu’elle continuait d’engouffrer le sexe de Souta dans sa bouche, bavant dessus.

- Tu mouilles sale chienne.

Une remarque que Li aurait voulu empêcher, oui elle mouillait, son antre débordait de cyprine depuis un moment. Ce bordel ne la laissait pas non plus insensible, voir ses hommes et ses femmes s’emboiter à chaque recoin et cette intimité avec Souta juste avant, le sentir contre elle. Sa main brûlant englobant son sein pour le pétrir lascivement, l’avait fait grimper plus rapidement dans les tours que ce qu’elle pensait. Et dans tout ça l’homme pour l'instant restait à les observer, est-ce qu’il allait partir à un moment pour chercher notre duo dans une autre pièce ou juste profiter du spectacle jusqu’à la fin.

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- Je ne veux pas vous manquer de respect, mais je pense que votre amante aime vous jeter des fleurs !

Li se laisse mener un peu plus loin sur le membre du tigre qui disparaît dans les profondeurs de l'antre de la jeune femme pour laisser place aux lèvres froides de la pierre et au clitoris suspendu dans les airs.

- Un homme aussi imposant qu'il soit n'est pas capable d'avoir un si gros paquet entre les jambes. Votre partenaire devait plus faire la comparaison à votre côté sauvage pendant vos états.

Le membre que la mafieuse caressait était bien trop énorme pour un humain normalement constitué, parler de ses bourses et de son pénis était vraiment prétentieux. Peut-être qu'il voulait en mettre plein les yeux à son invité, mais Li ne jugeait pas purement les hommes sur ce qu'ils avaient entre les jambes.

- Mais je ne peux pas nier que cette statue époustoufle quand on arrive dans votre demeure.

Li se détache de la statue, ils n'allaient pas passer toute la soirée dans le hall d'entrée, le maître des lieux l'invitait même à venir s'entretenir autour d'un verre et quoi combler un appétit naissant.

- Volontiers, je n'ai jamais eu l'occasion de goûter du vin chaud, j'ai une préférence pour les bulles je dois bien l’avouer. Depuis que j’ai voyagé en France s'est devenu mon péché mignon.

La mafieuse se laisse guider dans la demeure de Monsieur, en profitant pour regarder la décoration.

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Le temple Shinto / Re : Bacchanale sanguinaire. [PV : Li Hua]
« le: lundi 28 mars 2022, 22:42:23 »
Être présent sur tous les domaines, pervertir le plus de personnes pour en tirer profit et tenir les ficelles du Japon, Li avait des relations dans la politique, l’armée, les hôpitaux et la rue. En ce moment, elle avait un œil sur les combats clandestins voyant le regain de popularité elle se devait être présente dans le milieu. Elle n’était pas à son premier coup d'essai dans cet environnement, il lui arrivait de perdre pariant sur le mauvais cheval, sauf qu’aujourd’hui elle était persuadée d’avoir trouvé le bon. Un individu du nom d’Izar, les deux avaient conclu un accord : il devait se coucher plusieurs fois avant de remporter le dernier combat à la stupéfaction de tout le monde. Li gagnerait énormément d’argent, qu’elle partagerait avec le combattant pour le remercier de sa participation.

Le soir du combat, Li en toute discrétion se joigna à la foule pour juger son poulain et s’assurer que tout allait bien se passer, il arrivait parfois que les combattants ne puissent suivre le tempo ou décident d’accepter un pacte plus juteux. Dans le cas d’Izar, il resta droit dans ses bottes et suivit les commandements de la baronne. Li profita du divertissement qu’il avait à offrir ce soir-là, elle venait de recevoir sa dose de testostérone avec tous ses hommes qui venaient se bagarrer. Du haut de son estrade, la mafieuse ne pouvait s’empêcher de se rincer l’oeil et son poulain était de loin le plus emblématique. Taillé comme un apollon, il savait prendre les coups et les donner quand le moment sonna. Li ne put s’empêcher de sourire au moment où il se déchaîna, son visage marqué par les coups qu’il avait pris, ses muscles qui venaient à se bander sous la tension. Somptueux.

La cloche sonna pour nommer Izar champion et au même moment, Li s’évapora de la pièce laissant un de ses hommes prélever les gains, la voir dans ce lieu n’était pas bonne pour son image. Elle avait été conduite dans sa voiture pour retourner à sa demeure, la transaction avec son combattant se faisait le lendemain au sanctuaire Shinto. Li le connaissait bien, car sa famille avait contribué à la production et ses hommes s’en servaient pour diverses transactions.

Li avait fait évacuer le sanctuaire pour l'occasion, à la requête d’Izar elle devait venir seule pour apporter les gains, vêtus d’un kimono pour plus de discrétion… Sauf que ce mot ne fait pas partie de son lexique ! Son combattant allait vite s’en apercevoir quant au fond du jardin qui entourait le temple, Li fit son apparition. Les coutures rouge vif, le tissu bleu nuit avec des carpes imprimées pour contraster et le plus perturbant était la longueur de celui-ci, ainsi que les ouvertures sur ses cuisses et son buste. Provocateur dans son style.

- Bonsoir Monsieur Myrrhe ! J’ai pu apprécier votre représentation en cachette, je dois dire que vous êtes un fier guerrier, vous devriez entrer sur scène plus souvent ! Si l’envie vous prend encore une fois de faire un peu d’argent à mes côtés, je serais ravie d’y contribuer sachez-le.

Un sourire s’affiche sur le minois de poupée de la mafieuse.

- Un baiser ? Je crois que ce n’était pas convenu dans notre entente, il faudra se montrer plus précis la prochaine fois Monsieur Myrrhe si vous en attendez plus de moi.

Li avait profité du duel de son poulain pour apprécier sa corpulence torride qui ne laissait pas indifférente, mais elle ne tomberait pas si aisément dans ses bras. Elle n’était pas prude et encore moins du genre à offrir son corps si facilement, ce que préférait Li était jouer avec ses partenaires.

- Il me semble qu’il n’y avait que de l’argent en jeu qui vous attend dans le sanctuaire, mes hommes on prit soin de le déposer là pour plus de sécurité. Et c’est l’occasion de débuter votre visite guidée en ma compagnie, j’espère être une bonne guide.

Li prit les devants, son bassin chaloupant dans son kimono au nez de son guerrier, elle sonna la cloche devant le sanctuaire avant d’ouvrir les portes du lieu. Une odeur d’opium flottait dans l’air, les quelques bougies disposées dans les coins éclairaient la pièce qui ne laissait presque rien entrevoir.

- Nous prendrons soin d’allumer les bougies au cours de la tournée, pour préserver le mystère sur ce lieu unique. Mais avant toute chose, avant de rentrer il est bon d'honorer les dieux.

Devant Izar, Li se mit à genoux sur un tapis préparé devant l’entrée, pour se s'incliner en avant les mains tendues au-dessus de sa tête. Sans étonnement, son kimono si court remonta pour laisser distinguer le galbe de ses fesses, qui laissait le doute sur un éventuel sous-vêtement en dessous.

- Venez…


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L’ampoule de son bureau commença à produire des sons criards, avant de s’éteindre abruptement juste la lumière de son ordinateur portable éclairait la pièce mais il n’y avait plus de réseau. Li leva les sourcils surpris, une coupure de courant n’était pas envisageable dans sa demeure il y avait des générateurs d’électricité pour prendre le relais si cela devait se produire. Un hackeur était plausible, hacker le réseau de la famille Hua pour subtiliser des renseignements importants concernant les clients, les fournisseurs de la mafieuse.

- Akugo ? Kun ? Chinomi ?

À l'extérieur de la pièce comme à l’intérieur, il n’y avait plus un bruit, aucun de ses hommes ne répondait à ses appels. C’était la première fois que Li avait à faire à une conjoncture de ce type. Si quelqu’un était à l'extérieur, le plus sûr était de demeurer dans son bureau, le temps que quelqu’un arrive pour lui fournir des informations. Malheureusement, pour la patronne ce n’était pas de l’aide qui allait arriver… Plutôt son opposant qui venait chercher des réponses à ses questions. La pièce commença à se teindre en rouge, une fumée noire se leva devant son bureau.

Li ferma son ordinateur délicatement pour le bousculer sur un côté, avant de se laisser tomber dans le dossier moelleux de son fauteuil. Elle avait déjà eu affaire à un démon, sauf que la dernière fois c’était elle qui l’avait invoqué ici c’était lui qui avait décidé de s’inviter chez elle. Il n’y avait pas de protection, pour pouvoir le maîtriser, Li se devait de maintenir son calme et faire attention car bientôt elle allait marcher sur des œufs.

Le diable fit son apparition enfin, un homme majestueux par sa taille et sa stature, tout son corps était recouvert de tatouages comme pour éblouir les personnes qui le voyaient. Li ramena ses bras sous sa poitrine, les croisant, son regard se fixait dans les yeux pourpres de son visiteur qui prit la parole cherchant une femme à la peau cuivrée, il n’y avait pas de doute dans la tête de Li qui en avait vu il y a quelques minutes. Elle ouvrit la bouche pour répondre, mais aucune tonalité venait à sortir… À quoi bon lui poser des questions, si le démon en profitait pour lui prendre la parole pour l’empêcher de causer. Heureusement, il libéra sans tarder sa gorge, Li se demanda si ce tour de passe passe n’était pas fait pour l'impressionner.

- Si elle était réellement chère à vos yeux pour quelle raison la laisser seule, sur terre, sans défense. C’est un de mes hommes qui l’a trouvé le long d’un trottoir sans repère, il en a profité pour la ramener ici pour lui offrir un foyer, un bain, de la nourriture… Un toit.

Li exhala dans la direction du démon, une fumée blafarde s’échappant de sa bouche, un nuage d’opium qui venait voltiger dans l’air en suspension sans jamais se dissoudre.

- Pourquoi verser un tribut alors que rien n’est de ma faute, le seul coupable ici est celui qui a laissé sa poupée sortir seule sans lui garantir une protection.

Li se lève de son fauteuil pour s’approcher du démon, poser sa main sur sa joue pour lui offrir plusieurs caresses alors que ses lèvres venaient quasiment se coller aux siennes.

- Il serait à vous de payer pour la récupérer, me rembourser d’avoir pris soin d’elle alors qu’elle était seule, à l’abandon… Vous ne pensez pas ?

Li ne se démonte pas un seul instant, essayant de renverser la situation à son avantage, elle est toujours aussi proche du démon, une de ses mains continue de cajoler le joug de l’étranger pendant que l’autre balance le long de son corps superbement mis en évidence dans sa robe verte foncée moulante.

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One Shot / Le châtiment de la sœur. - Jack Taylor
« le: dimanche 27 mars 2022, 23:43:01 »
Les occasions de repos dans la famille Hua étaient exceptionnelles, Li avait une vie qui allait très vite pour son âge, administrer les affaires de la mafia prenait du temps. Mais il arrivait que quelquefois tout roulait, à son bureau la patronne ferma son ordinateur. Elle venait de terminer de trier ses mails, de programmer tous ses rendez-vous, les papiers étaient en ordre. Tout était parfait, elle avait du temps pour se relaxer. Se levant de sa chaise, elle demanda à son majordome de lui couler un bain, de dresser du champagne, sa playlist favorite et de quoi satisfaire son appétit.

Le temps qu'il prépare la salle de bain, Li attrapa son portable et envoya un message à son frère Jim pour avoir des nouvelles. Le seul point d'ombre dans son tableau fabuleux… Elle lui avait attribué la mission d'approcher un important groupe du Japon pour recueillir des renseignements et tisser des liens sur un avenir court. Généralement quand son frère ne donnait pas de nouvelles, c'est qu'il préférait se faire oublier car il savait qu'il avait manqué. Li attendait jusqu'à que son majordome arrive pour lui dire que la salle de bain était prête pour l'accueillir.

- Bien.

Li ferma son cabinet à clé avant de se rendre dans la salle d'eau, spacieuse, intégralement blanche avec de la peinture dorée sur les murs elle transpirait la luxure. Les vapeurs du bain réchauffaient la pièce, au noyau de la pièce devant un mur de miroir trônait la large baignoire où l'on pouvait mettre aisément quatre personnes dedans. Sur l'arrière une douche et le reste de la tuyauterie, la pièce servait essentiellement de salle de détente et non à proprement parler de salle de bain pour se laver. Les murs sur le côté étaient comblés de produits de bien-être, il y avait une table de massage, des serviettes chaudes et autres bienfaits. Li alluma des bâtonnets d'encens à l'opium dans la pièce, pendant que la musique se mettait en route.

- Merci Kun, vous pouvez disposer.

L'homme quitta la pièce laissant Li en toute intimité, elle ne tarda pas à retirer ses vêtements pour les organiser dans une boîte à l'abri de l'humidité. Nue elle s'admira devant le mur miroir, passant ses mains sur son corps ferme, musclé. Une femme dynamique, bien dans sa peau ! Après une ultime vérification elle alla se prélasser dans l'eau brûlante de son bain, immergeant son corps c'était merveilleux. Elle attrapa son verre d'alcool pour mouiller ses lèvres dans l'inestimable nectar.

- Ehn.

Un souffle de satisfaction glissa de ses lèvres, quand quelqu'un frappa à la porte. Les temps de quiétude ne durs jamais bien longtemps dans cette famille.

- Cest pourquoi ?

- Je m'excuse de vous importuner Madame, c'est au sujet de votre frère Jim.

C'était son majordome, Li resta allongée dans la baignoire demandant à son homme de rentrer, parler à travers une porte avec la musique ambiante c'était l'occasion de louper des données importantes. L'agent rentra regardant le sol avec soin pour ne pas la lorgner.

- Votre frère vient de rentrer de sa mission… Qui ne s'est pas passée comme ce qui était convenu. Je vais lui dire de patienter pendant…

- Non, faites le entrer ici. Ce bon à rien mérite une réprimande maintenant…

Le majordome quitta la pièce pour sortir chercher Jim, Li se redressa dans son bain, posant ses mains sur l'arrière de sa baignoire. L'eau coulait sur son buste, le haut de ses seins jusqu'à ses auréoles rosâtres qui allaient se cacher dans la mousse.

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La route débute pour les deux fuyards, Souta prend les devants pour protéger le chemin, tenant la main de Li pour lui faciliter ses déplacements dans les graviers et ultérieurement le sol glissant. Elle ne posait pas de question et ne se plaignait pas, à quoi cela pouvait bien servir à part les freiner et prendre des risques pour la suite. La patronne passe ses bras autour du cou de son garde du corps pour franchir le dernier obstacle du garage et se retrouver sur le sol, mieux que les toits mais qui comporte aussi son lot de péril. Les balourds qui les cherchent et qui arrivent armés jusqu’aux dents, Souta plaque Li contre le mur pour qu’elle arrête de bouger… Elle se pince les lèvres pour ne pas laisser échapper un bruit regrettable et arrête même de respirer pour devenir imperceptible contre son garde du corps, ses yeux se plantent dans les siens pour ne rien manquer. S’il décide qu’il faut courir, Li doit être préparée à agir et ne pas grelotter de peur en regardant ailleurs… La contrainte dure plusieurs minutes, avant que les ennemis ne partent dans d’autres rues, Souta reculant laissant Li souffler.

- Je le tuerai avant qu’il me touche celui-là…

Li parle doucement, pour ne pas donner leur position, Souta passe devant pour contrôler le chemin lui proposant de remettre ses chaussures… La patronne ne va pas rejeter cette offre, elle pose son attaché-case au sol et pose ses mains de chaque côté pour la déverrouiller et au même instant un sans-abri lui attrape les mains et s’approche d’elle pour la flairer. Li écarquille les yeux et tourne la tête tant son odeur corporelle est horrible… Elle regarde dans la direction de Souta, espérant qu’il puisse voir la scène… Li ne sait pas comment répondre, elle pourrait sans difficulté le mettre à terre sous peine qu’il fasse du vacarme. Au même moment, son garde du corps arrive pour le calmer sans se poser de questions, il lui colle un pied dans la figure.

- Si je savais que je pouvais le faire…

Li n’avait eu aucune réticence à tirer sur les ennemis alors coucher un SDF n’était pas être dérangeant pour elle.

- Nous pouvons y aller, je vais rester sans chaussures si nous devons encore grimper c’est plus sûr.

De toute façon les graviers du toit lui avaient déjà abîmé les pieds, elle devait juste faire attention de ne pas marcher sur une aiguille qui traîne ou du verre. Sous le déluge, les deux continuent leur route vers la planque de secours qui pourrait enfin les placer à l’abri. Les cheveux de Li, collent sur son minois, le reste de sa robe est comme une seconde peau sur elle ne cachant rien à son corps, le point favorable avec toute cette aventure c’est que la teinte de son vêtement s'est assombrie entre la poussière, la suie, la pluie un mélange abominable.

- Il serait rêvé de penser qu’un bain ou une douche se trouve dans votre planque…

Li s’imaginait une pièce simple, avec un fauteuil et quelques revues pour passer le temps en période sombre, elle n’a pas le temps d’avoir une réponse que les deux doivent cavaler dans un immeuble pour échapper à une patrouille. Et les problèmes ne sont jamais loin ici… Des hommes qui pensent être les rois du monde, qu’ils peuvent tout avoir voilà la vermine qui est présente devant eux.

La patronne soupire, ils font vraiment moins peur que les hommes armés qui traînent dehors et surtout ici c’est Souta qui est équipé et ne va pas hésiter longtemps à sortir le pistolet de Li pour les braquer. La patronne affiche un sourire, alors qu’elle tourne dans le dos de Souta, bernant les malabars pour ouvrir la porte et passer encore à une nouvelle épreuve. Ce chemin donne l’impression d’être dans un donjon dans un jeu vidéo à chaque salle, Li et Souta doivent affronter des périples pour réussir à s’échapper.

Et cette fois, ils doivent passer à travers un bordel, Li n’avait pas connaissance de celui-ci alors qu’une de ces activités était de commercialiser des filles, elle notait et allait s’assurer de savoir qui approvisionne ce bordel en fille et certainement en drogue. Complètement en dehors du thème, les deux attiraient les regards sur eux et une fille sur le côté attrapa la main de Li.

- TOI ! C’est toi qui as pris ma vie, tu m’as vendu…

Impossible, Li ne connaissait pas cet emplacement, elle ne vendait pas de marchandises ici.

- À un sale pervers dans une maison close vers le temple...

Ça c’est plus envisageable et même fort plausible, la mafieuse voyait bien de quel client elle parlait, un homme d’environ 70 ans qui cherchait des très jeunes filles. Elle avait dû s'enfuir pour se retrouver ici, Li lui avait offert un toit, de la nourriture, un patron et maintenant non contente elle lui criait dessus. Li repoussa ses mains, elle n’était pas bien épaisse et la drogue devait embrouiller son esprit, la pousser avait été simple sauf qu’elle revint à la charge s’accrochant à sa robe et se laissant tomber sur le sol. Le vêtement qui avait déjà subi beaucoup d'atrocité pour arriver ici, céda entièrement. La couture sur le côté explosa sous la tension de la fille qui s’accrochait frénétiquement à elle, autour de Li ne restait plus que le col et une bretelle, la totalité de la robe était entre les mains de la pauvre fille qui pleurnichait sur le sol.

Li bascula dans une salle sur le côté entraînant Souta, encore heureux il n’y avait personne, la fête se passant surtout dans le salon.

- Cette petite… Il faut que je trouve quelque chose à mettre ! J’attire déjà tout les tordu de la zone, alors si je n’ai même plus un vêtement sur le dos…

La mafieuse commença à faire les tiroirs dans la pièce, exposant son corps à Souta, ses fesses galbées quand elle se penchait en avant, ses cuisses fermes, ses seins à l’arrondi parfait généreux avec au milieu une auréole rosâtre et ses petits tétons pointant constamment vers le haut. Sans oublier son antre dénué de pilosité, une petite fente entre ses deux lèvres serrées. À genoux, les fesses en l’air, Li vidait un buffet sortant tout l’attirail indispensable pour faire du bondage.

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