Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Li Hua

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Centre-ville de Seikusu / Re : La gourmandise du diable. - Stephen Connor
« le: samedi 16 avril 2022, 21:24:59 »
Cette dégringolade sur ce vif était sans fin, une colonne à n'en plus finir qui pénétrait dans l’antre serré de la mafieuse. Penchée dans la nuque d’Helel, Li venait le marquer une nouvelle fois plantant ses dents sur son épiderme cuivré au goût de luxure. La patronne passa ses mains autour des bras musclés du maudit, appréciant indéfiniment autant sa carrure imposante pour les faire se faufiler dans son dos n’arrivant même pas à les rallier trop petite pour ça. Li le caressait, avant de le griffer tout en se laissant tomber pleinement sur lui, les derniers centimètres venant de rentrer en elle, l’ouvrant pour de bon.

- Ehhhnnn…

Un gémissement tout en longueur, jusqu’à ne plus avoir de souffle, Li ondulait sur cette queue qui la remplissait parfaitement, ce vif tant voulu. Elle maculait ce divin démon de son excitation, ses lèvres imberbes ouvertes déversant sans barrages sa lubricité sur ses lourdes bourses et sa toison sombre. Sa perle rose gonflée était vulnérable au moindre frottement, sursautant quand elle venait heurter son bas-ventre brûlant.

La mafieuse pensait qu’elle allait pouvoir conférer son rythme, le démon l’avait fait languir et s'effondrer alors que ce n’était pas dans son habitude de vaciller face à un homme. Li allait donc y aller lentement, accentuer chaque descente sur son vif serré dans son intimité. Il allait regretter de l’avoir sous-estimé, elle aura sa revanche, il ne pourra que serrer les dents face au plaisir qui monte sans aboutir. C’était son plan. Pas celui du démon, qui n'avait qu’une envie, la déboiter comme il faut ! La faire hurler à lui déchirer les cordes vocales. Ses bras virils qui pourraient la préserver comme dans un cocon, allaient la briser, écrasant son buste contre lui. L'opulente poitrine de la mafieuse venait se compresser contre son poitrail transpirant, Li savait ce qu’il allait arriver…

- Helel vous ne… EHNNNNNNNNN HELEL !

Sa tête oscilla en arrière en une fraction de seconde, criant sous le déchirement de son antre, il était rentré avec tant de difficulté depuis le début, ce coup de bassin venait de percer l’étroite chatte de Li. Des postillons venaient se figer sur son menton, pendant que le démon enragé la pilonnait avec voracité, sans s’arrêter il faisait cogner ses cuisses contre les siennes, ses couilles contre la naissance de ses fesses et son vif bien au fond de son fruit. Li hurlait sous la brutalité d’Helel, il la pilonnait sans s’arrêter à une allure insensée, elle ne pouvait reprendre son souffle, elle ne pouvait plus parler ouvrant uniquement sa petite gueule pour laisser fuir sa douleur qui laissait place à une déferlante de bonheur.

Ses yeux en amande brillaient de Félicité, son maquillage venait à couler sous les sillons de transpiration qui descendaient sur son visage dénaturé de diverses émotions. Elle ne savait pas sûr quel pied danser pendant que le beau démon profitait pleinement de son écrin offert au point de se lever pour davantage la déboiter. Similaire à une poupée qui ne pouvait pas bouger entre les lourdes mains d’Helel, Li subissait les offensives encore plus sauvages du déchainé. Ses jambes tremblantes venaient ceinturer son bassin, les pieds de Li tombant sur ses cuisses sous tension pour donner le meilleur qu’il soit.

Si la mafieuse devait jouir à ce moment, elle ne le remarquerait même pas si bien que la déferlante de plaisir qui parcourait son corps ne s’arrêtait pas une seule seconde. Les lèvres torrides d’Helel venaient conquérir les siens à quelques moments, elle ne pouvait fermer sa bouche pour se joindre à lui, ses hurlements s’étouffant contre le démon. Le tempo se mit à réduire, Li plongea son minois vers le maudit à bout de souffle, son corps luisant de sueur, sa bouche couverte de sa propre salive. Son pied toucha le sol et elle manqua de s’écrouler, ses interminables jambes tremblaient sous le plaisir encore présent entre ses cuisses trempées, son plaisir coulant sur sa peau blanche. Il la tourna contre le mur pour la plaquer constamment cette domination, appuyant sa force à sa poupée de chair pour lui donner l’ordre de s’empaler sur son vif.

En matière de force brute Li, n’avait aucune chance, elle venait de le constater à l’instant, Helel venait de la soulever de toute sa force, vouloir jouer encore une fois pourrait mal tourner. À présent elle n’aurait pas sa vengeance, elle n'en avait pas désir. À bout, la patronne voulait jouir, lâcher prise pour de bon, elle aurait tout le temps de répliquer une autre fois. 

- Helel ehnnn. Venez jouir dans ma petite chatte… Je veux sentir votre semence me satisfaire, faites moi encore mal ! Helel.

Li posa ses mains sur le mur, cambrant son dos, elle se mit à tendre ses fesses encore écarlate laissant surgir les marques des grosses mains du démon. Bien tendue sur l’arrière pour chercher le vif du maudit, son gland toucha ses lèvres roses avant de monter d’un coup contre ses fesses se coinçant au niveau de sa collerette plissée un peu plus haut.

- Ruinez-moi ehnnn j’ai perdu ehnnnnn.

Une faible main de Li passa dans son dos pour venir agripper celle d’Helel, elle avança délicatement pour mieux reculer et cette fois le membre du démon ne glissa pas entre ses fesses rentrant dans son intimité disposée à l’accueillir encore une fois.

- Ehnnn !

Son cul bombé claqua contre le bassin d’Helel, Li avala son vif en une fois cette fois, son autre main lâcha le mur pour découler entre ses cuisses, ses doigts venaient valser contre ses lèvres pinçant son clitoris bien enflé pour mieux descendre plus bas. La mafieuse attrapa entre ses longs doigts, les bourses remplies du diable étalant sa mouille dessus tout en les malaxant. Et c’est à cet instant qu’elle se mit à remuer sur ce vif veineux, des mouvements concis et rapides sur Helel pour ne jamais lâcher ses couilles. Li avait fait le choix de ne pas s’occuper de son bouton de rose pour favoriser les belles bourses du démon, tel un prince à qui elle devait tout à ce moment.

Li donnait tout pour garder la cadence, toutes ses années à faire du sport, à faire des squats, les jambes légèrement fléchies, ses fesses frappaient Helel aussi vite que réalisable, rebondissant de façon humide contre lui. Ses cheveux venaient à se délier, tombant sur les côtés de ses épaules jusqu’à atteindre le sol. Sa petite main serait le plus fort possible celle d’Helel en dépit de sa moiteur. Le plaisir était là, pourtant il manquait la souffrance, ce petit quelque chose qui rendait cette baise merveilleuse.

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Prélude / Re : Gagner sa liberté. [Keiralidée]
« le: mardi 12 avril 2022, 23:27:16 »
Merci Keira  :D

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Prélude / Re : Eres - Promis, je mords.
« le: mardi 12 avril 2022, 18:16:30 »
Bienvenue jeune homme.

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Prélude / Re : Gagner sa liberté. [Keira]
« le: mardi 12 avril 2022, 17:10:19 »
C'est bien, ouste.

20
Prélude / Re : Gagner sa liberté. [Keira]
« le: lundi 11 avril 2022, 23:34:33 »
La foule de la basse ville !

Merci Venceslas.

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Prélude / Re : Gagner sa liberté. [Keira]
« le: lundi 11 avril 2022, 13:48:20 »
Merci Anéa !

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Prélude / Re : Gagner sa liberté. [Keira]
« le: lundi 11 avril 2022, 09:49:49 »
Merci à vous !

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Li vient s'emparer le bras du maître de maison se laissant diriger dans sa demeure, regardant les décorations présentes un peu partout pour habiller les lieux. Ses hauts talons claquaient sur le sol à chaque pas que la mafieuse faisait, son bassin ondulant à une cadence régulière, ses fesses chaloupant merveilleusement.

- Pas besoin de vous mettre au défi, vous allez le faire naturellement, je sais que vous avez envie de manifester la vivacité de vos propos et de vos attributs. Juste pour me faire ravaler ma langue.

Un gloussement s’échappe de la gorge de la mafieuse, le taquinant comme elle aimait le faire avec ses clients. Ils arrivent dans le salon, où elle est invitée à s'asseoir sur le sofa, déposant ses fesses sur l’assise moelleuse. Li croise ses interminables jambes devant elle, remontant sa robe, l’ouverture de celle-ci arrive jusqu’à sa cuisse dévoilant une peau entièrement lisse.

- Une œuvre à mon effigie…

Une idée forte attrayante, Li adorait se voir trôner dans son salon, dans l’entrée ou même dans sa chambre. Une superbe image d’elle avant de s’endormir. Li n’a pas le temps d’en rajouter, que le charmant jeune homme lui propose un verre de vin chaud et des toasts. Elle lève son verre en direction du maître de maison pour unir leurs verres dans un son clair. Li apporte la substance sans attendre à ses lèvres pour déguster le nectar chaud, claquant ensuite sa langue pour savourer.

- C’est très bon !

Elle pose le verre sur la table devant, en profitant pour saisir un petit four pour croquer dedans en gardant une deuxième partie entre ses doigts.

- Vous parliez d’une œuvre à mon effigie, grande amoureuse d’art je dois dire que cette proposition a piqué mon intérêt !

Li vient avaler la deuxième bouchée, frottant ses mains pour retirer les miettes.

- Combien de temps faut-il poser, pour avoir un aboutissement parfait ?

Il faut dire que Li n’avait pas envie de poser une journée entière dans une position, il était envisageable de faire des photographies mais cela allait peut-être manquer de détail et elle ne voulait pas. Il fallait capter toutes les émotions réalisables. La mafieuse n’allait pas réclamer le prix d’une telle sculpture, elle avait les moyens de s’approprier tout ce qu’elle voulait.

- Vous qui êtes spécialiste, quelle position serait la meilleure pour me mettre en valeur ?

Li lève les yeux dans sa direction, un sourire apparaissant sur ses lèvres, alors qu’elle se rapproche un peu pour placer sa main sur sa cuisse non loin de son érection sans pour autant l'atteindre. Jouant avec le feu.

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Li la tête dans le casier, fouille les vêtements, tirant ce qui peut estimer être intéressant à enfiler ne portant pas attention à son garde du corps sur l’arrière, quand elle éprouve un frisson monter dans son dos, au point de la faire se redresser. Son buste se lève abruptement, ses mains se collent contre le casier pour préserver l’équilibre, pendant que ses fesses sont continuellement tendues sur l’arrière offerte à Souta qui venait de coincer ses doigts contre son antre humide. S’amusant à tourmenter sa fente, ajoutant bien vite son pouce qui vient ouvrir ses fesses pour s’y faufiler, flirtant entre ses deux zones vulnérables.

- Ehn… Souta…

La voix lascive de la mafieuse glisse entre ses lèvres à moitié fermées, sa tête bascule en arrière en fermant les yeux, ses tétons déjà dressés vers le haut deviennent encore plus durs, plus sensibles gonflant à outrance pour buter contre le casier juste devant. Son garde du corps insiste sur ses lèvres intimes, les écartant délicatement, avant de se retirer laissant un filet de cyprine égoutter sur les cuisses de Li, toujours cambrée contre le casier.

- S’amuser comme ça avec sa patronne…

Li tourne la tête vers son garde du corps, ses joues légèrement écarlates, elle l’avait pris en bouche pour les protéger de son côté lui avait juste voulu s’amuser un peu et forcer la détente pour l’enflammer encore plus. La mafieuse savait aussi jouer, elle allait lui attester pour le reste du chemin et l'arrivée à la planque. Li n’aime pas qu’on s’amuse comme ça avec elle.

Souta est réellement passé à autre chose, essuyant son vif avec des mouchoirs, Li de son côté plonge de nouveau dans le casier pour obtenir des vêtements frottant ses cuisses l’une contre l’autre sous l’effet de l’excitation. Elle a du mal à passer à autre chose. Elle se lève pour endosser un top blanc avec des fausses perles dessus avec écrit : I <3 big dick, en dessous ses tétons sont toujours bien dressés et gonflés tirant sur le tissu en coton. Pour le bas, elle passe une jupe plissée bleutée qui lui arrive à mi-cuisses avec une gigantesque ceinture autour de la taille qui était cousue directement dessus… Rien n’allait ensemble. Après il ne fallait pas s’étonner, on était dans un bordel les filles avaient des vêtements en conséquence même dans des casiers. Elle n’avait pas mis de sous-vêtement, ne voulant pas porter une culotte appartenant à une inconnue, logique.

- C’est véritablement… Dégradant.

Li s'aperçoit dans un miroir, elle est épouvantable, comment une dame comme elle se retrouve dans ce genre d’accoutrement. Elle détache ses cheveux qui lui arrivent au niveau de l'articulation de ses genoux, elle prend un élastique avec des cerises qui traînent là pour faire une interminable queue-de-cheval pour ne pas être gênée pendant ses déplacements.

Prête, le duo reprend sa route, très vite coupée par les aboiements des deux gorilles qui sont déjà de retour dans l'édifice. Souta attrape sa patronne pour la traîner dans une chambre et chercher une sortie rapidement, ne voyant que la fenêtre…

- Sauter…

Li se tourne vers Souta, le regardant avec des gros yeux, il n’y a pas le choix c'est la seule issue surtout que les voix se rapprochent de plus en plus et qu’il est possible d’entendre les portes de l’étage claquées. Elle soupire, pour se placer à la fenêtre, elle regarde vers le bas, il n’y a que deux étages de hauteur mais une chute même de cet intervalle peut faire mal, voire fatale. Li va passer la première, si les malabars arrivent dans la pièce, Souta pourra gagner du temps.

- Tenez-moi.

Li monte sur le radiateur pour se poster sur le bord de la fenêtre, la pluie qui persisté de tomber n’aide pas à avoir une bonne stabilité même avec son garde du corps qui l’aide à se maintenir. La mafieuse prend une importante inspiration avant de se jeter en avant, poussant avec ses jambes de toutes ses forces pour franchir le vide jusqu’à l’autre fenêtre. Son ventre s'écrase contre le rebord, son buste est dans le bâtiment pendant que ses jambes sont dans le vide, ses pieds cherchant une prise pour se hisser. La mafieuse sent son cœur s’emballer dans sa poitrine, quand elle arrive enfin à atteindre un appui sur une pierre pour l’aider à se tirer vers le haut.

Son buste passe de plus en plus, elle met sa tête vers le sol pour faire un contrepoids vers le bas, elle commence à s'écrouler dans la pièce de l’appartement sans savoir où elle se trouve exactement. Quand, Li sans un nouveau problème arrivé, elle n’arrive plus à descendre elle se trémousse dans tous les sens, sans parvenir à tomber. La tête en bas, les jambes toujours en dehors avec sa jupe qui descend sur son buste laissant encore une fois apparaître ses fesses et son antre cette fois sous la pluie. Le t-shirt de la mafieuse est venue se bloquer dans les rails du radiateur, mais le pire reste la ceinture de sa jupe qui s'est accrochée dans le sillon de la fenêtre la paralysant totalement quand elle veut aller vers l’avant.

- Rahnnnn… Ce n’est pas croyable…

Li attrape le radiateur pour s’aider à progresser sans effet, restant dans cette situation honteuse, ses fesses nues par la fenêtre remuant sous la pluie. Souta avait encore la place pour passer, mais il allait devoir faire attention Li prenant quand même une bonne moitié de l’encadrement de la fenêtre.

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One Shot / L'essentiel en enfer est de survivre. - Clad Oyio
« le: dimanche 10 avril 2022, 12:49:12 »
Les requins sont partout dans le milieu de la mafia, faire des unions pour s’arranger, les défaires pour en obtenir d'autres plus puissants. Ce n’est qu’un énorme plateau de jeu, où il est important de décaler ses pions avec précaution si l’on veut survivre. Li était une experte dans ce milieu, mais parfois il arrive d’avoir des loupés. Personne n’est parfait et la mafieuse allait devoir en endurer les conséquences… La cheffe de la famille Hua s'était alliée à un clan pour nuire à un autre, l’attaque avait fonctionné avec brio !

Les deux clans avaient amorcé une descente dans des bordels pour emporter six pieds sous terre tous les hommes, s’emparer de la drogue et des prostituées. Ils en avaient profité pour dévaliser les lieux avant de les brûler pour tout réduire à néant. Li avait suggéré de faire moitié-moitié pour le butin et de s’offrir au chef du clan… Mais, car il y a toujours un mais avec la mafieuse, c’est son changement de route. Finalement, elle voulait tout préserver, ne rien offrir pas même son corps. Le contrat venait d’être brisé sans la moindre hésitation. Li avait abattu de sang-froid les hommes de son ennemi avant de souligner à son équipe de rentrer avec tous les biens. Le pion venait d'être déplacé sur le plateau, les représailles allaient arriver.

Dans sa demeure, Li avait triplé la sécurité pour se défendre, elle ne voulait pas filer dans un autre bâtiment trop à découvert et sans moyens de fuir. Presque tous ses hommes étaient concentrés sur la sécurité du site, tournant autour du terrain, fouillant les recoins. Et voilà maintenant une semaine que la tension régnait, les hommes de la mafieuse n’en pouvaient plus, Li ne voulait rien abandonner sachant qu’il y allait avoir des représailles.

- Quelqu’un surveille la porte est ?

- Oui, Madame Hua.

- Bien.

S’assurer que tout était en place, faire confiance à ses hommes… Li n’aurait pas dû simplement se remettre assise à son bureau ce soir-là. L’agent de sécurité qu’elle venait de joindre n’était pas en place, fatigué il avait opté de son gré de prendre une pause, allant dans une cabine se mettre assis pour somnoler, ses compères avaient fait de même. Une défaillance que l’équipe de Lee Vankov et ses hommes n’allaient pas laisser passer, l’exploiter pour rentrer dans la demeure de la famille Hua

Li ne se doutant de rien, étant à son bureau elle passait des derniers coups de téléphone pour s’assurer de la sécurité. Appuyées contre le dossier de son fauteuil, les jambes croisées dévoilant une cuisse blanche semblable à la neige à cause de sa robe fendue. Elle s’amusait avec quelques mèches de cheveux qui descendaient sur sa joue, les enroulant autour de son doigt. Sur son bureau, un plateau saillant de fruits, où elle venait picorer de temps en temps pour gagner en énergie et pouvoir tenir les positions toute la nuit.

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Les alentours de la ville / Re : Une suée de luxure. - Héraclès
« le: mercredi 06 avril 2022, 22:11:52 »
Un baise-main dans les règles de l’art, Li esquissa un sourire à son amant de soirée qui s'agrandit dans la voiture quand Héraclès déposa sa main sur la cuisse de la mafieuse en réaction à son avance. Très bien, il n’avait pas l’air impressionné par la situation. Li savait qu’elle pouvait être imposante, en désorienter plus d’un, Héraclès avait l’air pour le moment de gérer la situation prenant satisfaction à faire chantonner le moteur de la voiture de luxe. Direction, l’établissement pour y découvrir la haute société, l’univers de la mode, les plus grands couturiers qui allaient sans aucun doute y présenter des nouvelles collections et des événements. Ce n’était pas un simple défilé de mode où l’on regardait les mannequins filiformes parader sur une piste, le Japon était connu pour leur excentricité cette soirée n’allait pas y manquer.

Un pied en dehors de la voiture, les photographes venaient de sauter sur Li qui était rejointe par son compagnon enserrant méticuleusement sa taille. La différence de taille, même avec les talons de la mafieuse était significative et niveau corpulence s’était spectaculaire, Li était minuscule à côté d’Héraclès, un bout de femme. Les deux jouaient devant les photographes le temps qu’une autre voiture arrive, laissant les faux tourtereaux franchir la sécurité pour authentifier leurs entrées dans l’établissement.

- Vous êtes parfait Héraclès.

Chuchota Li pour le rassurer, la soirée allait être interminable et il devait se sentir à l’aise avec les photographes et les nombreux invités qui remplissaient doucement la salle.

- Monsieur Moichoi arrive pour nous accueillir, c’est un de mes clients.

Li ne prit pas le temps de décrire les relations qu’elle avait avec Monsieur Moichoi, friand des jeunes filles, la famille Hua lui fournissait des demoiselles tous les mois pour pallier ses envies perverses. Adepte de suprématie, il prenait satisfaction à brutaliser les filles, à leur uriner dessus ou à aménager des orgies avec d’autres hommes. Chacun à son côté vicieux qui ne montre pas en public. L’homme arriva tout sourire pour saluer Li et son compagnon, surpris de la voir accompagnée il ne prit pas le temps de s’attarder en profitant pour reluquer ses fesses en partant.

- Vivement que l’on finisse toutes ses courbettes pour que l’on puisse profiter de la soirée.

Attrapant la main de son compagnon qu’elle remonta à peine plus haut que ses hanches, un serveur arriva pour suggérer des flûtes de champagne. Li en prit une de sa main libre pour le tendre à Héraclès avant d’en prendre un pour elle.

- À nous ! À notre amour…

Li le regarda dans les yeux tout en levant son verre, pour l'apporter à sa bouche le marquant de son rouge à lèvres prenant une légère gorgée juste de quoi hydrater sa gorge. Rabaissant, la flûte, la mafieuse pivote pour coincer son bassin contre celui d’Héraclès, levant sa tête vers la sienne pour l’embrasser délicatement dans le cou étant trop petite pour atteindre sa bouche. Un moelleux baiser contre sa peau, humant son parfum, finissant par le mordiller avant de partir.

- Allons visiter les stands.

Tout autour de la salle des stands présentaient les différentes marques, chacun avait élaboré une animation pour divertir le public et bien sûr vendre des produits. Les deux n’avaient pas le temps de faire deux pas qu’un vendeur en costard les arrêta.

- Quel beau couple nous avons là, c’est le moment de l’immortaliser avec une séance photo rapide !

Li jeta un regard, la marque avait installé un studio photo à leurs couleurs, dans un espace fermé se trouvait un trône central pour que les couples puissent s'asseoir. Une seule personne pouvait réellement s’asseoir dessus, il fallait bien de toute évidence que le couple se chevauche pour tenir à deux dessus. La mafieuse regarda Héraclès lui laissant le loisir de choisir s’il voulait y aller ou non. Sachant que cette enseigne était connue dans la lingerie sexy ainsi que des débuts dans l’univers érotique et que derrière ce décor se cachait des tenues que les participants pouvaient essayer.

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One Shot / Re : Dans les yeux de l'enfant. - Hiroshi Nijima
« le: mercredi 06 avril 2022, 18:59:51 »
Li resta dans la même position en face de son père de très interminables minutes, elle ne bougeait pas d’un cil, la tête constamment en direction du sol, son corps écrasé contre le sol à son maximal pour se rendre toute petite à côté du puissant. Il lui était déjà arrivé par le passé de faire ça, elle ne savait pas si c’était un début de punition ou seulement un caprice de sa part de voir sa fille à genoux devant lui. La mafieuse essayait de maintenir son calme, mais elle pouvait sentir de nouveau ses mains devenir moite, cette impression dérangeante à l’arrière de son crâne, son cœur sautait parfois des battements quand elle entendait son paternel bouger dans son fauteuil ou ses tigres changer de position. Et au bout de cinq minutes, il lui donna l’autorisation de se relever pour lui relater les nouvelles. C’était le moment…

Doucement, Li releva son buste pour se tenir droite sur ses genoux, ajustant une mèche de cheveux qui était tombée devant son visage.

- Merci papa. Nous allons débuter par les bonnes nouvelles, nous avons un nouveau client le patron d'une importante entreprise alimentaire, il se passionne pour les œuvres d’art, nous avons…

La mafieuse se lève pour chercher le livre de comptes pour le déposer sur les genoux de son père, de son côté elle prend son ordinateur pour ne rien omettre. Comme il n’y a pas de deuxième siège à côté de son père et qu’il est le seul à avoir un trône, Li se met à genoux juste à côté de lui. Entre les deux tigres, la mafieuse lui tourne le dos pour qu’il puisse avoir une vue sur l’écran d’ordinateur s’il le voulait, ne pas voir les expressions de son visage était éprouvant pour Li qui avait comme spécialité de percer les émotions. Elle devait juger à la voix pour ne pas faire des fausses notes.

Continuant l'avalanche des bonnes nouvelles, Li parlait des nouveaux clients, des contrats pas spécialement juteux mais en masse produisait une bonne somme surtout s’ils duraient dans le temps. Et maintenant la phase plus compliquée allait commencer…

- Dans les mauvaises nouvelles… Nous avons la perte de votre contrat avec Monsieur Yuzui…

La voix de Li descendait dans les graves.

- Vous savez comment il a été dur de négocier avec lui dans le passé, il en voulait toujours plus… Petit à petit, il voulait imposer son autorité dans notre famille. Et sa dernière lubie était de me demander en mariage. Il voulait s’unir à notre famille, prendre votre place de chef, père…

Li allait dans l'exagération pour dramatiser la situation, certes il l’avait demandé en mariage, mais son dessein était de pouvoir la grimper quand il le voulait. Li était une femme qui le faisait bander, il n’avait jamais eu l’occasion de l’avoir dans son lit obligé à passer ses vigueurs sur des pauvres prostituées qui n’avaient rien demander. L’épouser allait dans l’excès mais c’était le seul moyen qu’il avait trouvé pour pouvoir la fourrer nuit et jour.

- J’espère que vous allez me comprendre, papa. Je ne pouvais pas tolérer une pareille chose pour notre famille.

28
La concurrence était pénible dans la ville, chacun voulait faire sa place, conquérir des parts pour faire sombrer les autres. Il y a peu, Li avait lancé une importante opération pour supprimer des concurrents ! Des hommes armés étaient descendus dans des bordels, des clubs, des caves partout où la famille Hua savait qu’il y avait des trafics. Les hommes en noir de Li, avaient tué des patrons, des gérants et autres personnels une vraie hécatombe, les prostitués qui étaient là avaient été prises pour les affaires de la mafieuse qui voulait encourager son autorité dans le milieu. Un coup d’éclat, la police ce soir-là ne savait plus où donner de la tête, une force de frappe partout en même temps. À chaque visite, les hommes de main de Li laissaient une carte avec une fleur de pavot imprimée sur le recto pour mentionner que c’était son clan qui avait fait ça. Ne pas avoir peur et s’imposer dans le milieu.

À présent il fallait établir les défenses, Li savait qu’il allait y avoir des répercussions que des adversaires allaient vouloir se exercer des représailles, c’est pour ça qu’elle avait fait déplacer sa production d’opium dans d'autres safe zones un peu partout dans la ville. Les prostituées qu’elle gérait travaillaient encore, les humains étaient aisément remplaçables a contrario des armes ainsi que les œuvres d’art qui avaient été stockés dans des entrepôts extrêmement sécurisés.

- Madame Hua, votre voiture est prête.

C’était autour de Li de changer de quartier pour préserver sa protection et planifier les autres attaques, la cheffe ne voulait laisser souffler personne. Dans sa robe ajustée à la perfection comme à son habitude, elle prit sa mallette contenant son ordinateur pour se diriger dans le garage où son conducteur l’attendait. La mafieuse monta à l’arrière, relevant sa robe cramoisie pour chercher plus de confort, elle glissa sa ceinture de sécurité entre sa poitrine abondante et fit signe dans le rétro de démarrer.

À l'autre bout de la ville, vers la côte se situait la zone sous-marine avec des laboratoires, Li avait fait l’acquisition d’un emplacement pour y monter une zone sécurisée, c’est à cet endroit qu’elle se dirigeait en même temps que l'astre solaire se couchait sur la ville. Dans la voiture de sceau allemande, la cheffe passait des coups de téléphone à ses hommes pour organiser son arrivée. Sauf que Li n’allait jamais arriver à destination…

- Attention !

Sur le côté gauche, une voiture arrivait en plein phare pour heurter le véhicule de Li, tout était arrivé si vite… Le choc était brutal, la mafieuse se crispa sur son siège pendant que tout volait dans la voiture qui se stoppa contre une palissade au bord de la route.

- Oishi vous allez bien ? Oishi ?

Le voiturier ne répondait pas, s’étant pris le traumatisme de son côté Li avait eu de la chance d'être à l'opposé. La fenêtre avait explosé laissant l’occasion à la mafieuse de s’échapper de ce côté ne pouvant ouvrir sa portière, sans observer qui venait Li laissa tomber ses talons pour s’enfuir dans les ruelles à flanc. Quel clan pouvait être à l’origine d'un assaut aussi violente ? Est-ce que d’autres allaient en tirer profit voyant la cheffe de la famille Hua en panique s’échapper ? Elle n’était pas dans une situation favorable à ce moment.

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One Shot / Re : Le châtiment de la sœur. - Jack Taylor
« le: mardi 05 avril 2022, 21:10:39 »
Le mesurer à son frère, évoquer le patriarche à eux son effet sur Jim et Li ne pouvait s’empêcher de divulguer ses dents dans un sourire sauvage, celui de la victoire accablante. Son petit frère est si faible, c’était presque mignon et la mafieuse pourrait en avoir pitié, sauf que dans la famille Hua ça ne se passe pas comme ça. Les frêles se font manger, les faibles sont à genoux et écoutent les ordres des suprêmes. Jim allait devenir le goûter de Li, il allait comprendre que la prochaine fois, il devra tendre ses fesses pour conclure un contrat et ne pas prendre la fuite.

- C’est bien si c’est ce que tu veux.

Comme s’il avait eu réellement le choix, jamais il n’avait fait démonstration de résistance face à sa sœur, courbant l’échine comme un brave chien bien dressé qui a la crainte de sa maîtresse. Li arrêta de se cajoler, pour poser ses mains sur les bords de la baignoire et se lever subitement, coupant net le massage de son frère. La cheffe s’afficha intégralement nue, couverte de mousse devant son frère et le miroir qui renvoie son image majestueuse

- Va te placer devant la baignoire…

Li remarquait que même à l’annonce de la sanction son frère ne débandait pas, son vif éternellement droit entre ses jambes. Laissant des traces humides sur le sol, la mafieuse alla inspecter le corps de celui-ci, tournant autour, après ce jugement qu’elle avait fait preuve, est-ce que c’était de bonne ou de mauvaise intention.

- T’aime entendre ta grande sœur adorée en colère Jim ? C’est ce qui te fait bander le soir quand tu rentres t'allonger dans notre demeure… Tu n’as pas honte. Non, car tu continues constamment à répandre le désordre dans ma vie.

Li s’écarte de son frère, pour se rendre vers un des murs de la salle de bain, pour saisir un peignoir et juste l’enfiler sur ses épaules sans le nouer au centre. Elle se penche par la suite pour saisir un masque que l’on met parfois lors des massages pour s’évader et le lance à son frère.

- Mets-le maintenant…

Pendant qu'il s’occupait à mettre son masque, Li chercha dans un des tiroirs, la mafieuse sortit une ceinture en cuir appartenant à son grand frère. Elle attrapa la boucle en fer caractérisée d’un logo et la laissa se déployer le long de sa jambe… Sa main tourna autour de la boucle pour avoir une bonne prise.

- Ton grand frère et moi avons été élevés à la dure, c’est peut-être ça qu’il te manque Jim… Papa a été trop dormant avec toi comme tu étais le petit dernier.

Et sans avertir, Li leva la sangle pour fendre l’air et abattit le cuir sur les fesses de Jim, une fois, deux fois…

- À quatre pattes !

Elle continua jusqu’à qu’il se place comme il faut sur le plancher en position de chiot, donnant un dernier coup moins vigoureux pour le féliciter, elle pivota pour venir se mettre devant lui. Dans le miroir, Li pouvait lorgner sur ses fesses zébrées de traîner rouge. Se penchant un à peine en avant, elle encercla le cou de son petit frère de la ceinture en cuir, serrant au maximum pour rehausser sa tête à hauteur de son intimité. D’un geste élégant, la mafieuse, poussa le bord de son peignoir pour dégager sa petite fente frôlant le nez de Jim.

Li alternait, son minois se baissait pour s’assurer que son frère allait réagir et le levait pour avoir une perspective globale sur la scène. Elle voyait un bout de son vif, un large plan sur les bourses qui percutaient ses cuisses, ses fesses tendues… Et au milieu, sa faible rondelle plissée, Jim ne voulait pas qu’un individu répugnant le prenne ici pour une première fois… C’était à Li de le libérer. De le grimper pour la première fois.   

30
Ce rêve, cette réalité, Li n’en savait rien et qu’importe ! Elle était avec son frère, son cher Yun, cette main qu’elle sentait déraper sur peau c’était bien la sienne. Toujours mimant un sommeil intense, elle frissonna à son contact, sa main chaude caressant sa cuisse pour remonter. Li en avait la chair de poule, poussant les mêmes gémissement, aguichant. La voix de son frère ronronna à ses oreilles, elle est grave, à ce moment elle se veut rassurante, tentatrice… C’est ce qu’elle préférait. Dans le passé, c’était déjà arrivé qu’ils se disputent, entendre ses cordes vocales vibrer de colère… Li ne le supportait pas, à la fin elle partait généralement dans sa chambre en pleure comme une enfant, se cachant des regards pour revenir des heures après les yeux encore un peu rouges.

- Yun…

Sa tête rentra en relation avec la sienne, ses cheveux doux venaient chatouiller son visage, ses lèvres charnues embrassaient sa peau comparable à la neige sans compter la chaleur qui s’en dégageait.

- Ehn…

Li avait l’espoir de le percevoir sur ses lèvres… Il préféra l’éviter pour descendre dans son cou, une désillusion lui piqua le cœur comme une aiguille. Si bien qu’elle entrouvrit les yeux pour le regarder, ses paupières venaient à papillonner dévoilant ses prunelles brillantes de désir. Et Li, l’admira. Elle ne le voyait que de profil, ses cheveux tombant sur ses joues et pourtant… Une bouffée de chaleur éclata dans ses entrailles, qui persista sentant les lèvres et la langue de son grand frère se poser sur son sein nu. Elle prit une grande respiration et se mordit la lèvre inférieure, creusant légèrement son dos et enfonçant son bassin dans le matelas de son lit. Éviter les lèvres de sa sœur pour s’attarder en fin de compte sur ses seins, frôler ses pointes pour les lever vers le haut, pendant qu’une main audacieuse commence à franchir les interdits.

La main qui soulevait la poitrine de Li quitte sa place pour déraper vers la tête de son frère, ses doigts écartés passent dans ses cheveux mi-longs enlevant les quelques nœuds pour atteindre sa joue. Le bout de ses doigts cajole son visage, détaille ses traits remontant en dessous de ses yeux pour finalement se faufiler vers sa bouche qui s’amuse encore avec sa pointe.

- Yun tu es si beau comme ça…

Li venait de prendre la parole concrètement pour la première fois, décider de quitter ce faux sommeil pour contempler son frère. Ses doigts venaient à passer sur ses lèvres, rentrant délicatement dans sa bouche pour y trouver le bout de sa langue.

- Je te fais envie grand frère ?

La voix de Li était lascive, chuchotant presque comme pour se dissimuler des oreilles indiscrètes qui pourraient les entendre. Sensuellement, elle ondula un peu son bassin, pour guider la main de son aîné vers sa petite fente serrée, à chaque contact un frisson venait la faire frémir. Sa main libre remonta sur la sienne, pour l’accompagner dans ses mouvements… Et qui sait même un peu plus loin.

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