Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Tetyhs Inoru

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Alors que suis carrément en train de vibrer sous ce drôle de tissu, la superbe créature qui se déhanche devant moi avec application, continue de me masser le long des jambes. Tandis qu'elle me caresse agréablement la peau avec ses douces mains et qu'elle semble croire à mes mensonges, j'ai alors un bref sourire d'excitation dès qu'elle voit queue être toute raide. Elle se met aussitôt à glousser, tout en faisant passer la situation pour quelque chose de normal, sans nullement paraitre gênée. Et lorsque j'essayais de la flatter et de commencer à la draguer, alors qu'elle me répond par un clin d'oeil coquin, elle se présente sous son ravissant nom. Mieux encore, elle me remercie de mes compliments et me répond me trouver mignon. Au point d'aller me comparer face à une haute pointure, représentée par sa propre fille.

- Merci infirmière Komaki. C'est vraiment gentil ce que vous me dites et votre fille doit franchement savoir de qui tenir.

Tout en la laissant faire, je relève tout en douceur le tissu, pour lui exposer ma bite à l'air qui était maintenant complétement raide...

- C'est bizarre. On dirait que vos massages me font vraiment un bien fou. Apparemment, je croyais que j'allais être couvert de bleus au niveau de mes cuisses, mais je ne vois pas grand chose...

Ecartant tout aussi "innocemment" les cuisses pour continuer de lui exposer à ses beaux yeux ma bite en pleine érection, je continue de mater son décolleté, comme un petit fou! Cette fois je n'en pouvais plus! J'avais envie de la prendre et de la baiser! Ma queue la voulait et en plus, elle me faisait presque mal!

- Oh j'adore! Et vous faites aussi des massages érotiques, aux patients atteints de réactions naturelles comme celle-ci?

Sans hésitations et pour lui faire comprendre que je la désirais, je lui demande dans une fausse plaisanterie, si elle serait intéressé de me branler avec ses douces mains bien chaudes. Si elle serait tout simplement tentée de venir passer un bon petit moment en tête à tête avec moi...

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Plus je l'entends parler pour sa défense et plus elle me mettait encore en colère. Dans tout ce qu'elle disait, tout ne semblait éternellement que tourner autour de son petit nombril. Elle ne pensait uniquement qu'à elle! A sa petite personne, avec sa précieuse petite notoriété. En plus, sa façon d'argumenter sur ma "bonne" tenue scolaire ne ressemblait pour moi à rien d'autre, que pure discrimination. Soit en plus d'être sacrément égoiste et individualiste, mademoiselle était ignorante. Soit elle était particulièrement narcissique et elle recherchait désespérément à obtenir les meilleurs places, pour pouvoir valoriser son petit galon aux yeux de tout le monde. Quitte à tout écraser sur son passage...

- Assez! Fermes-là! Tu ne réponds décidément pas à mes questions! Tu es vraiment le genre de fille qui appartient à la pire espèce, Hiyori!

Plus que jamais en colère contre cette pouffiasse qui ne comprenait décidément rien à toute la ligne, je lui pousse alors la tête au maximum. J'écrase sans ménagement sa figure hautaine tout au fond de la cuvette. Tout en la bloquant et en enserrant bien la touffe de cheveux de la princesse maniérée, je lui relève la tête quelques secondes après...

- Alors? Ca te fais quoi d'avoir la tête dans la pisse et la merde des gens, comme moi que tu méprises à longueur d'année? C'est humiliant hein? C'est même hautement inacceptable pour quelqu'un comme toi j'imagine?

Dans le feu de l'action, je sors mon téléphone. Puis tout en lui replongeant une fois encore la tête dans la cuvette, je prenais une petite photo souvenir. En une seconde, j'immortalisais à jamais la tronche de Hiyori en image, avec sa face qui se retrouve bien tout au fond des toilettes avec ses eaux croupies.

- Et une photo souvenir! Maintenant, oses après ça tenter quoique ce soit encore sur moi et je te jure que je la fais partager à tout le lycée! Et avec ça, toute ta prestigieuse petite carrière de fille chouchoutée et pourrie gâtée, s'écroulera avec toi!

Satisfait d'avoir pris une belle image bien dégradante de notre très chère "présidente du conseil des élèves", je range ensuite mon téléphone, pour le remplacer par ma bite. Tout en continuant de lui tenir la tête avec mon autre main, je fais sortir par le tuyau le reste de mes urines bien chaudes, qui s'écrase sur sa tête. Lentement, je voyais mon liquide jaune se diriger vers son visage, mais aussi dans sa nuque.

- Je t'avais prévenu Hiyori! Je t'ai donné une dernière chance que tu n'as pas su saisir... Maintenant, il faut que tu assumes les conséquences de tes actes. Et tu n'as qu'à t'en prendre à toi-même!

Lorsque je termine d'évacuer mon eau jaunie et odorante par la robinetterie, j'essuie ensuite ma queue sur sa touffe de cheveux. Mais alors que je comptais en rester là avec elle et partir sans faire de commentaires, de nouvelles pensées perverses et coquines jaillissent dans ma tête. Même si je n'aimais pas en arriver à une telle extrémité, l'idée de l'avoir à ma portée et entièrement soumise, me faisait vibrer mon instrument.

- J'y pense ma très chère Hiyori. Il me semblait que tu avais l'air d'être tout particulièrement dérangée par mon apparence, non? Dans ce cas, peut-être changerais-tu enfin d'avis sur moi, si je te testais? Oh et puis ne dis pas non, alors que je sais qu'une partie de toi n'assume tout simplement pas ses actes. J'ai parfaitement compris à qui j'ai affaire maintenant!

Me laissant volontairement emporté par mes pulsions sans chercher à les contenir ou bien les adoucir, je lui envoie une claque sur les fesses. Ensuite je m'amuse à tirer sur sa robe et à faire descendre celle-ci avec sa petite culotte, jusqu'au niveau de ses chevilles. Immédiatement, mes oreilles de kitsune invisibles vibrent à cette charmante vue et se redressent au plus haut. Toujours en lui bloquant sa tête d'insupportable que j'ai faite se redresser avec mes urines qui lui coulent sur le visage, j'abaisse ma robe avec ma propre culotte. Puis je frotte ma queue qui finit directement de se raidir, dès que je touche sa fente avec.

- Oh c'est bon! Alors ça te fais quoi de te faire humilier par un "horrible individu", qui se fait tout aussi horriblement et scandaleusement passer pour une fille? C'est dégradant ou bien ça t'excite?

Tout en frottant ma bite décalottée contre la chatte de cette cruche, je me branle en même temps, jusqu'à ce que je ressente arriver du pré sperme. Avec ma queue bien lubrifiée, je tente de l'introduire dans son sexe. Doucement, j'entre dans son intimité que je trouvais agréablement chaude et confortable. Lorsque je me sens être bien logé à l'intérieur, je pousse un soupire de satisfaction.

- Aaah... Qu'est-ce que c'est bon!

Ma queue kitsune sensible se met alors à bouger de satisfaction, alors que j'achève définitivement le délicieux travail, en m'insérant avec le plus de profondeur possible en elle. Avec ma bite fourrée dans les entrailles de ma très chère petite Hiyori, je m'amuse à rester dans cette position, tout en tirant encore sur ses cheveux, que j'agrippe inlassablement. De plus en plus, je faisais d'elle ma chose.

- Miam! Je crois que je vais vraiment aimer te punir, ma douce Hiyori!

De ma main libre, alors que je me lèche les lèvres d'excitation, je passe ma main sous sont tee-shirt. Lorsque je rencontre son soutient-gorge, je tire dessus sans ménagements, jusqu'à avoir accès à sa belle poitrine. Toujours sans faire de manières avec cette fille qui ne le méritait pas, j'attrape un de ses délicieux globes de chair, que j'enserre particulièrement fort.

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One Shot / Re : Une proie pour en chasser une autre { Pv ~ Setyhs/Tetyhs }
« le: mercredi 03 février 2021, 19:36:57 »
Alors que je pensais Set être momentanément tirée d'affaire et hors de danger, la fille dans son étrange armure se met en position et...

- Putain! Merde!

Stupéfait, mon visage se décompose dans une expression de surprise, lorsque je vois notre adversaire bondir et se diriger vers l'emplacement présumé de ma soeur, à une vitesse folle! En un instant, je ne voyais plus rien. Je n'entendais plus rien et je me retrouvais seul ici, allongé sur le sol avec une horrible douleur dans mon estomac qui me prenait aux tripes! En colère et pris par la panique de voir les événements complétement m'échapper, j'essayais de me relever. Mais rien à faire, je n'arrivais pas à bouger. Pas plus que j'étais dans la capacité de pouvoir réutiliser ma faculté de déplacement...
Plié en deux de douleur et n'osant essayer d'imaginer la suite de cette mauvaise situation, j'avais maintenant le coeur qui battait à une vitesse de dingue sous ma cage thoracique! Ma tête se comprimait lourdement et j'avais l'impression de n'être plus qu'un animal enfermé dans une minuscule cage...

Prenant appui sur mes deux mains, je tente de me relever une fois encore, tout en grimaçant de douleur. Péniblement, lentement, je parviens à poser une jambe. Doucement, au prix d'une série d'efforts des plus longs et difficiles, j'arrive enfin à me redresser. Mais malheureusement encore dans l'incapacité de pouvoir agir, je réactive l'interface de mon téléphone, pour tenter de repérer la direction où était partie ma soeur. Abasourdis, je vois alors le point sur l'écran qui était censé la représenter, s'être éloigné à une distance inadéquate en rapport à ses capacités...

Dans la panique et tout en jurant, je retente d'utiliser encore une fois mon pouvoir qui ne s'active toujours pas... Et après plusieurs essais infructueux, je décidais d'essayer d'abord de me calmer. Tout en fermant les yeux, je prenais de grandes et longues inspirations pour parvenir à reprendre le contrôle  en main. Dans ma tête, je repensais à ma soeur. Je repensais aussi à ma vie et à ma mère. A chaque visage que je reconnaissais. A chaque souvenir heureux que je faisais se dérouler sous mes yeux... Jusqu'à ce qu'au bout d'un long moment, alors que le bourdonnement dans mes oreilles aux excroissances duveteuses avait cessé pour ne remplacer que le bruit lointain, que je parvienne enfin à me retransformer en particules solaires!

Rassuré d'avoir repris le contrôle de moi-même, comme on me l'avait si bien appris par le passé au cours de mes entrainements, je me dirige une fois de plus à toute vitesses, vers le nouvel emplacement présumé de Set, probablement prisonnière des griffes de ce monstre! Evaluant une fois de plus la distance, je termine après plusieurs matérialisations et dématérialisations de moi-même, à repérer l'endroit où elle se tenait. Arrivé à portée, juste au moment où j'aperçois en contre-bas la fille de tout à l'heure, je lui fonce dessus! Malheureusement, elle esquive mon attaque précipitée, alors que je me retrouve juste derrière elle, une nouvelle fois matérialisé de mon plein corps. Prêt à en découdre pour ne pas la laisser filer, alors que je voyais Setyhs inconsciente sur son épaule, elle cherche une fois encore à s'enfuir, en sautant sur le toit de l'immeuble qui jouxte directement la rue. Aussitôt elle se volatilise dans les airs en cherchant encore à se moquer de moi, que je réutilise mon pouvoir de déplacement pour me retrouver arrêté une bonne dizaine de mètres, au dessus de sa tête.

- Laisses tomber! Tu ne seras jamais aussi rapide que moi! Je ne sais pas ni qui tu es, ni ce que tu veux à ma soeur, mais tu ne partiras pas avec elle! Je te le répètes une nouvelle fois, je ne laisserais pas faire de mal aux personne que...

Sans terminer ma phrase qui se suspend comme si le temps se figeait, toujours parfaitement dématérialisé en particules luminescentes, je redescends vers elle à toutes vitesses. Au moment où je pressens son esquive, je me décale volontairement dans même direction où je l'avais vu bondir précédemment. Je réapparais alors en tentant de la frapper de plein fouet avec mes armes solaires, tout en terminant la fin de mes mots...

-... j'aime!

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Le quartier de la Toussaint / Re : Plus qu’un braquage [Tetyhs]
« le: samedi 30 janvier 2021, 21:49:20 »
Très vite, la sale tête de tout à l'heure refait son apparition dans l'ombre. Comme je voulais régler le différend avec cet imbécile une bonne fois pour toutes, je n'avais donc pas cherché à me cacher. Et alors que je le dévisage d'abord sans répondre, mentalement prêt dans ma tête à fondre sur lui et à le cogner pour ce qu'il avait fait, il commence à éructer de manière presque bruyante. Il avance ensuite vers moi et il m'attrape par le col en me plaquant au mur... Tout en l'écoutant me menacer en silence, je me mettais à perdre un peu de mon assurance, lorsqu'il envisageait la possibilité de pouvoir mettre la boutique de ma mère à feu. Conscient d'être tombé directement dans la gueule du loup, il m'était dans tous les cas devenu impossible que je reparte ou que m'enfuis, sans avoir au moins récupéré le sac et obtenu des plates excuses de sa part!

- Espèce d'enfoiré! Comment oses-tu me parler de violation de domicile, alors que tu es venu braquer la boutique de ma mère? Lui voler ses cristaux c'est déjà une chose, mais lui pointer ton arme sur elle, ça, c'en est encore une autre! Il faut vraiment être la pire des crapules pour faire ça...

Essayant de ne pas me laisser intimider, je continue sur ma lancée. J'avais bien évidemment pleinement conscience du risque que j'avais pris en venant ici à l'aveugle, mais j'avais quand même mon pouvoir...

- C'est surtout toi qui va m'écouter! Parce que moi aussi j'ai des relations. Mais je veux bien envisager de passer l'éponge sur ton crime odieux, si tu me rends le sac et que tu t'excuses pour avoir braqué ma mère! Tu crois que ça te ferais plaisir que je fasse la même chose à la tienne?

Tout en serrant les dents, alors que j'étais toujours plaqué contre le mur, je terminais de lui exposer la réalité de la situation, tout en lui donnant le choix. J'espérais qu'il coopère et que nous n'en arriverions pas à des choses beaucoup plus graves encore... Seulement, je ne supportais pas que l'on touche ou que l'on fasse du mal à mes amis ou aux gens que j'aime! J'estimais que ce type avait vraiment dépassé les limites!...

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Dortoirs et douches / Re : Première visite et première rencontre [Tetyhs]
« le: samedi 30 janvier 2021, 20:41:01 »
La première chose que je vois de ma belle proie après avoir refermé la "cage" sur elle, était son adorable visage qui se retrouvait être tout proche de ma bite. Penchée en avant, alors qu'elle affiche une expression de surprise, contre une réaction perverse en réponse de ma part, mon sexe se mettait à durcir encore un peu... Tandis qu'elle semble l'observer avec un curieux étonnement, je profite aussitôt de la situation pour poser tranquillement mes mains sur les hanches, alors que j'avance légèrement mon bassin vers elle. Aussitôt, elle m'arrache un petit gémissement, dès qu'elle donne un petit coup de main sur ma bite. Ma queue se mettait à bouger juste devant ses yeux, tout en terminant de durcir entièrement. S'ensuit ensuite un autre très agréable "petit coup de main" dessus. Un frisson de grande perversion pour ma nouvelle jolie conquête se propage, au moment même où je l'entends me dire avec grande naiveté, trouver ça "marrant"...

- Haha! Bien sûr que c'est marrant! Moi aussi je trouve ça toujours très rigolo aussi...

Sans me gêner, je tends encore plus mon basin vers Claudie, tout en exécutant un mouvement de main aussi subtil que sournois, derrière son dos. Utilisant ma main, je tentais de la forcer de manière inconsciente, à approcher son visage adorable et tellement naif, au plus près de mon membre qui voulait déjà être cajolé par ses petits soins...

- Je savais qu'on allait bien d'entendre dès l'instant où l'on s'est rencontrés Claudie. C'est donc pour ça qu'on va bien s'amuser tous les deux et surtout avec monsieur saucisse qui n'attend que toi.

Continuant de pousser doucement sur son dos, je m'amuse ensuite à essayer toucher son joli visage avec ma bite. Elle était tellement innocente et prévisible, que j'en venais à me demander si elle avait déjà connu tout simplement les joies du sexe...

- Tu n'as jamais vu ou gouter de saucisses avant Claudie? Si tu veux, je peux te laisser jouer un peu avec? Et puis ça me fais plaisir d'être gentil et généreux, avec les gens que j'aime bien. Et tu as de chances, il se trouve justement que tu en fais partis. Petite chanceuse!

Ne cherchant plus du tout à me retenir pour abuser de la situation comique, j'offre alors ma bite a Claudie sous ses beaux yeux. Tout en attendant de voir ce qu'elle allait faire ensuite, je me mets à lui caresser la tête. Si elle me répondait être vierge d'une façon ou d'une autre, je crois bien que j'aurai un mal fou de ne pas lui sauter dessus! De toutes façons, elle ne sortirai pas d'ici, tant qu'elle ne m'aurai pas gentiment fais plaisir.

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Lorsque la ravissante infirmière me répond avec son grand sourie et sa bonne humeur contagieuse, je suis définitivement sous le charme. Peu importe ce qu'elle pourrait bien m'administrer en guise de traitement, je la trouvais vraiment des plus ravissante.
Tandis qu'elle me répond avec une voix rempli de douceur et de dynamisme, elle me dit alors vouloir tester la sensibilité de mes jambes. Seulement, il y avait déjà une autre partie de mon corps qui était en train de devenir drôlement sensible par ici...

Sans me cacher la regarder avec beaucoup d'intérêt, je laisse faire ma ravissante nouvelle infirmière. Mais tout juste se penche t-elle en avant de devant mes yeux qui la dévore sans retenues, que je remarque de suite son splendide décolleté. Bordel!... Alors que je suis pris d'une sensation de frémissement entre mes jambes, la chaleur monte encore d'un cran supplémentaire, dès que ses mains me touchent les jambes. Le massage délicat qu'elle accompagne ensuite, plus la vue plongeante auquel j'assiste au niveau de son décolleté, était en train de me rendre fou! Lorsqu'elle relève ensuite une partie de ma blouse, le simple contact du tissu qui touche ma queue, me la faisait encore plus raidir! En un instant, j'étais complétement excité par elle!...

- Euh... oh oui! Pour sentir vos mains, on peut dire que je les sens! Elle sont vraiment douces agréables!

Restant un court instant estomaqué par cette grande beauté, je bandais presque complétement sous le tissu. Si elle n'aurait par relevé une partie du vêtement, la bosse aurait surement été visible. Seulement, je voulais qu'elle continue encore! Cette femme m'était beaucoup trop excitante! Et puis après l'intense aventure que Set et moi avions eue avant, un petit moment d'amusement ne me serait pas de refus. Aussi, je l'invite à poursuivre son massage toujours plus loin...

- Je ne suis pas certain, mais je crois que c'est surtout au niveau des cuisses, que j'ai reçus le plus grand choc en tombant. J'espère arriver à pouvoir ressentir encore vos jolies mains ici aussi...

Jouant sur la perversité, pris par une envie d'aller jusqu'au bout des choses avec elle, j'invite la ravissante infirmière à continuer. Si elle relevait et massait suffisamment loin mes cuisses ensuite, elle remarquerait certainement comme je bandais pour elle. Et à ce niveau, il me devenait très difficile de ne rien laisser transparaitre. Hormis mon sourire aguicheur, accompagné par mon regard lubrique.

- Au fait, c'est quoi votre joli nom à vous? Vous connaissez déjà le mien, mais moi je ne connais pas celui qui permet d'être associé à ce ravissant visage, qui me fait agréablement face...

Jouant sur la séduction, je demande alors le nom de cette belle infirmière plantureuse qui me donnait tellement envie. Tout en continuant de la regarder avec désir, je laissais défiler toutes mes pensées perverses à son égard. J'étais en train d'imaginer par exemple sa jolie bouche et ses délicieuses lèvres, venir cajoler ma queue. Venir la gouter et la sucer avec beaucoup de gourmandise. Mais aussi m'imaginer faire entrer mon pieu dans sa superbe vulve, dans une délicieuse union coquine et bouillante...

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Dortoirs et douches / Re : Rencontre en trap-trap bisous [Malkio Shiota]
« le: vendredi 29 janvier 2021, 22:52:48 »
Charmant! A peine je remarque ce coquin, qu'il sort de sa petite planque pour se rapprocher de moi. Mais hormis les magnifiques traits délicats et fins de son sublime visage parsemé de ses boucles blondes sur sa tête, le spectacle qu'il m'offrait avec sa queue, n'avait pas échappé à mon regard pervers. Apparemment je devais lui faire un sacré effet, puisque ce ravissant petit coquin bandait déjà en partie. Et je savais exactement qui était à l'origine de cette charmante source d'excitation... Mais plus étonnant encore était sa curieuse réponse, alors qu'il me disait avoir battu le record de détection, qui s'élevait à un peu plus de sept minutes?...

- Comment ça? Tu es en train de me dire que ça fait déjà plus de sept minutes que tu m'épies? Donc ça ferait aussi plus de sept minutes, que la personne que tu épiais, te laissais honteusement dans un tel état? Honte à moi d'avoir attendu tout ce temps, pour le remarquer! Mais je crois qu'on peut déjà commencer à rattraper ce temps perdu, au plus vite. Et dans ce genre de situation, sept minutes c'est déjà beaucoup trop long. Mon pauvre chou!

Sans même attendre. Voulant lui montrer à quel point j'étais pervers et que je savais être fidèle à ma réputation en bon petit coquin qui se respecte, j'attrape sa bite que je branle directement. N'excédant pas ce mouvement au delà de deux simples secondes, je me penche aussi sec en avant et je mets sa jolie queue qui termine en un instant dans ma bouche. Son gland décalotté et placé bien au chaud dans ma cavité buccale, je continue alors de le branler. Je caresse avec ma langue, le bout de son excroissance odorante et sensible. Un instant après, tandis que je dépose un baiser dessus, je le regarde avec une expression coquine.

- Ne t'en fais pas mon mignon. J'aurai plus été dérangé qu'autre chose de ne pas t'avoir rencontré, pour te sucer immédiatement comme tu le mérites. Et puis j'ai une réputation à tenir. Notamment celle d'aller s'amuser ensemble au plus vite, quitte à faire passer les présentations à la fin. Et des pipes, crois moi que j'en ai fais beaucoup et que j'en ai vu défilé! Ma bouche et mon palais en ont prises plus d'une belle comme la tienne...

Tout en léchant son gland avec la satisfaction d'avoir une jolie gâterie sous les yeux, je passais de position penchée, en position à genoux, quelques instants après. De là, je lèche ses boules, sans cesser de le branler. S'ensuit alors toute une série de langoureux coups de langues que j'applique avec grand soin sur ce si joli membre, jusqu'au sommet de son gland décalotté. N'ayant ni retenue, ni honte à le regarder avec envie, exactement comme le ferait une ravissante fille de joie, je me redresse ensuite, suite à cette première entrevue coquine. Je faisais alors se toucher sa bite contre la mienne, que je tenais toujours dans ma main.

- Bon... Après cette délicieuse toute première entrevue sans tabous, tu as une préférence pour la suite? J'espère que tu me crois à présent, quand je te dis avoir une bouche à pipes? Le contraire m'embêterait fortement...

Tout en reprenant mes coups de poignets et de coller sa magnifique queue contre la mienne, j'attendais la suite du programme avec impatience. Allait-il vouloir que je continue de le sucer, comme le ferait sa majesté des pipes? Voudrait-il déjà me prendre les fesses? Ou bien aimerait-il tout simplement que nous inversions les rôles? Nous disposions dans tous les cas d'autant de temps, que de possibilités pour pouvoir apprendre à nous mieux connaitre, sans le moindre tabou!

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Habitué à faire dans la séduction comme moi, Malkio m'embrasse d'abord sur les joues, dès que je vois son adorable petit minois surgir dans l'encadrure de la porte. Survient ensuite le temps d'un court instant, un agréable baiser sur la bouche, que je profite tout autant que lui. Petit sourire en coin, mes oreilles de kitsune bougent sur le sommet de ma tête, en entendant son commentaire enrobé d'un arrière petit gout de charme, des plus plaisants. Commentant avec amusement ce que pourrait contenir son sac, mon mignon petit Malkio en sort une bien curieuse bouteille qu'il pose sur la table de la chambre. Intrigué par son contenu, il me demande si j'en connaitrais moi-même l'origine, alors que je la tenais en mains...

- Je ne sais pas du tout ce que c'est. Mais on peut toujours voir ça et en boire un peu...

Mon petit regard espiègle s'oriente dans sa direction, lorsque l'adorable blondinet aux yeux rougeoyants, s'inquiète qu'il ait pu bouleverser ma soirée.

- Il n'y aura jamais vraiment grand chose pour venir bouleverser ce que je fais. Entre lécher la jolie petite chatte de ma soeur par exemple, ou bien venir déguster ta "saucisse", tu ne fais que me proposer une alternative coquine, mon chéri!

Rapidement, j'ouvre alors la bouteille avec son étrange contenu. Sitôt je sens, que mon nez me pique...

- Oula! Je ne sais pas du tout ce que c'est, mais mon nez pique! J'espère que ce n'est pas un poison ou bien un produit ménager. Mais ne t'en fais pas car en ton nom, notre amitié et plus encore, je vais tester ce breuvage des plus mystérieux exprès pour toi. Tant que ça ne me transforme pas en crapaud, ça devrait aller. Par contre désolé Malki chéri, mais je n'ai pas de verres. On va donc devoir boire au goulot.

Immédiatement, je verse une petite rasade dans ma bouche. Tout juste je la bois, que je repose la bouteille sur la table portant l'inscription " Saké". Ce drôle de breuvage portant malgré tout un curieux bon gout, me donnait envie de pleurer. Il me donnait tellement l'impression de me brûler l'intérieur, que je toussais comme un enragé, pendant plusieurs secondes entières...

- Oh la vache!...

Terminant de me remettre de cette drôle de surprise, son effet me rappelait aussitôt quelque chose dans le même genre que j'avais bu par le passé, chez moi. C'était le jour même où j'ai connu mon propre changement. Celui par lequel tous les kitsunes de notre race finissent la plupart du temps par passer...

- Je crois que c'est le genre de boissons qu'on te fait boire dans les fêtes. Je m'en souviens. J'avais bu quelque chose d'équivalent, un jour. Et tout comme aujourd'hui, j'en avais pleuré. Mais je ne me souviens plus bien de tous les détails de ce soir de fête.

Comme je trouvais le gout assez intéressant, je m'en ressers une nouvelle rasade. Et encore une fois, je suis pris du même effet de brûlure que précédemment...

- Touss! Touss! Olala! Touss! Touss! Tiens...

Tout en toussant à m'en faire ressortir mes tripes, je préférais donner la bouteille à mon mignon petit copain Malkio...

- Allez vas-y! C'est maintenant à ton tour, mon chéri.

Alors que je tire la langue et que je grimace, je lui fais un petit clin d'oeil. Je ne sais vraiment pas comment on peut boire cette chose, mais il faut franchement s'armer d'un sacré courage pour en arriver à bout...

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D'ordinaire, les personnes autour de moi dont ma soeur, me qualifient bien souvent de quelqu'un de gentil et d'avenant, si on omet le côté très câlin qui va presque toujours avec... Seulement Hiyori, en plus de se montrer systématiquement désagréable et éternellement arrogante avec moi, se permet de m'attraper la nuque après un joli câlin, pour aller m'envoyer tête la première contre la paroi murale. Le choc contre celle-ci me sonne aussitôt pendant quelque instants, alors que je pars d'un côté à l'autre... J'appuie par réflexe mon coude sur la porte des toilettes, les yeux légèrement dans le vague. En plus d'avoir reçus un violent coup qui me faisait mal à la tête, j'entends Hiyori continuer de mal me parler. Encore une fois, elle se permettait de me juger. Elle jugeait mon apparence. Elle jugeait qui j'étais, sans même me connaitre véritablement...
Ressentant une rare colère monter en moi, celle-ci me faisait me récupérer plus vite que la musique de mon étourdissement. Sans réfléchir, mes mains lui attrape alors son col, sans aucun ménagement de ma part...

- Bon ça suffit! Cette fois, tu as plus que dépassé les bornes! J'ai tous fais pour être agréable avec toi! Essayer de réparer les pots cassés sans que tu ne m'en ai jamais expliqué une seule fois la vraie raison... Et en plus pour couronner le tout, tu n'assumes même pas tes actes! Tu n'assumes même pas avoir apprécié notre baiser. Au lieu de ça, tu m'insultes encore et encore et en plus, tu manques de me faire très mal en me projetant violemment la tête contre le mur. Je suis patient, doux et gentil comme un agneau, mais il y a une limite à ma gentillesse!

Très en colère, je la fais alors se retourner de dos. Attrapant sa longue crinière brune par la base de son crâne, je la fais s'accroupir, pour lui mettre la tête contre la cuvette, que j'enfonce. Je lui enfonce, jusqu'à ce qu'elle touche presque l'eau croupie par mes urines...

- Contrairement à toi, je n'ai recours à la violence qu'en cas d'extrême nécessité! Alors que toi, tu l'utilises quand ça t'arranges et en plus, tu te prétends être sois disant la psy de toute la classe, alors que tu ne sais surtout rien du tout, derrière tes manières de petite bourgeoise prétentieuse et rebutante!

Enfonçant encore un peu plus sa tête dans la cuvette qui se retrouve presque collée au fond, son visage touchant probablement partiellement mon urine et les restes de déjections des autres, je continuais de la menacer. Cette fois, je n'avais plus la moindre petite compassion pour cette fille méprisante...

- Tu veux vraiment en plus de tout ça, porter plainte? Me faire encore plus de mal, alors que tu ne sais ni d'où je viens, ni quelle vie compliquée mes proches et moi-même, avions eu? Dans ce cas, excuses toi immédiatement, si tu ne veux pas que finisse de te plonger complétement ta tête de sale petite garce prétentieuse et horripilante et que je te pisse dessus avec le reste de mes urines que j'ai encore bien au chaud!... Tout de suite!...

Tout en la maintenant très fermement, je tire fortement sur sa chevelure! J'étais prêt à mettre d'une seconde à l'autre, ma menace à exécution...

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A peine j'avais commencé à caresser notre charmante invitée surprise, que Malkio faisait déjà son apparition en entrant par la porte que je n'avais pas verrouillé, exprès pour lui. Je ne savais pas comment, mais il était arrivé à une vitesse fulgurante...

- Déjà là? Eh bien au moins, tu parais être aussi motivé que moi! Héhéhé...

De surprise en surprise, mon nouvel ami s'approche rapidement de moi le temps d'un court instant, alors qu'il m'embrasse ensuite fougueusement. Je répondais aussitôt à son langoureux baiser humide, en plongeant ma langue puissamment, pour qu'elle entre en contact avec la sienne. Lorsque nos lèvres langoureuses se quittent quelques secondes plus tard dans ce furieux ballet, je lui souris. Malkio démontre alors son enthousiasme des plus partageurs et part s'installer de l'autre côté d'où je me tenais, tenant ainsi bien chaudement notre jolie inconnue par ses deux côtés. Comme moi, le blondinet la regarde intensément, alors qu'il lui caresse la joue, non sans accompagner son geste avec un succulent commentaire. Malkio désirant ensuite avoir un peu plus de détails quant à la venue de cette coquine dans ma chambre...

- Elle est là "à cause" de ma soeur. Apparemment, il semblerait que nous ayons l'immense honneur de pouvoir faire toute sortes de joyeusetés à notre invité, en réponse à ses crimes. La jolie fille ici présente dont je ne connais le nom et qui s'était retrouvée quelque peu malmenée par ma soeur quelques instants auparavant, lui aurait volé son précieux journal intime. Donc quand elle est venue avec elle avant de repartir ensuite, crois moi que je n'avais pas réfléchis longtemps à la meilleure "punition" à lui donner, en réponse de ses actes impardonnables!...

Répondant à Malkio par un sourire des plus pervers, alors que je ne cesse de caresser le ventre chaud de notre jolie criminelle, celle-ci se retrouve "comme par magie" soudainement nue... Comprenant instantanément la raison d'un tel changement malgré la présence de mon étonnement, je partais encore dans une nouvelle surprise, lorsque je voyais apparaitre derrière ses fesses, une étrange queue...

- Eh bien ça alors! Si je m'attendais à ça... Voilà qui est vraiment surprenant...

Malgré mon envie de vouloir la tripoter et jouer directement avec son corps sans la moindre petite retenue, je continuais de reporter mon attention sur sa curieuse grosse excroissance qui gigotait doucement... Au contact de celle-ci lorsque je la touche, j'obtenais la confirmation qu'elle était bien réelle. Que son attribut n'avait vraiment rien de synthétique.

- Quelle étonnante surprise, dis moi? Tu caches encore beaucoup de choses coquines de ce genre, ma jolie?

Terminant de passer ma main sur celle-ci, je reporte maintenant mon attention sur le corps magnifiquement dénudé de notre charmante demoiselle. Corps qui ne semblait pas plus humain que moi, malgré que je continuais de cacher mes propres attributs.

- Ma soeur nous a livré un cadeau des plus splendide! Je crois que je vais vraiment bien m'amuser avec toi!

Scrutant pendant plusieurs longues secondes avec beaucoup d'amusement son corps nu, j'attrape alors un de ses mignons petits seins tout fermes, que je malaxe aussitôt dans ma main. Avec l'autre, j'enfonce sans aucune gêne, mon majeur dans sa chatte. Mon sourire s'élargit une fois encore, dès que je ressentais sa vulve chaude qui était toute mouillée.

- Et en plus, la demoiselle mouille déjà. Tu es vraiment une sacrée coquine toi...

Ressentant une bosse sous ma jupe, j'apportais de nouvelles explications à mon très cher ami, tout en poursuivant mes caresses sur le corps de notre bien jolie invitée. Il était vrai que si je n'étais guère surpris par ce changement, que lui ne devait pas y comprendre grand chose...

- La coquine utilise un pouvoir d'illusion. Elle s'amuse à tromper les autres, en faisant croire à tout le monde qu'elle est habillée. Cette petite exhibitionniste passe donc son temps à s'amuser à se promener toute nue devant tout le monde, au nez et à la barbe de tous ou presque. Quant à sa queue, je pense qu'elle préférerait qu'on évite d'en parler...

Préférant mentir et ne pas révéler mes propres secrets à Malkio pour l'instant, je ne perdais pas de temps pour aller lui mettre un doigt supplémentaire dans sa délicieuse petite chatte coquine. Tandis que je tourne et bouge ces derniers dans celle-ci, je lui suce le sein que je tiens dans main. Dans un bruit, je tête son délicieux téton sans arrêter de remuer mes doigts dans son entre-jambe...

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Centre-ville de Seikusu / Une infirmière très aux petits soins [Komaki Azuka]
« le: dimanche 24 janvier 2021, 22:46:32 »
Aie! J'ai mal! Heureusement que je n'ai rien eu de vraiment cassé. Seulement, j'ai dus mentir sur la vérité des faits, en arrivant à l'hôpital , en prétextant être tombé d'un arbre. De m'être fais mal en voulant monter, alors que j'étais couvert de bleus, heureusement sans gravités apparentes. Arrivant par mes propres moyens sur place, avec l'aide ma soeur comme "béquille", nous avions attendus un long moment avant d'être pris en charge. De là, les médecins m'ont fait faire des radios. Comme ils m'avaient trouvé légèrement malmené, ils m'avaient proposé de rester quelques jours à l'hôpital, le temps de me remettre suffisamment d'aplomb. Et effectivement, je boitais. La douleur était assez désagréable. Je comprenais que je ne serais effectivement pas apte à pouvoir reprendre correctement les cours, dans de telles conditions...

Installé sur brancard, je finis par rejoindre une chambre. De là, une infirmière me demande de me déshabiller, pour aller troquer mes beaux habits contre cette étrange tenue blanche faite de coton, que tous les malades semblaient apparemment porter. Aussi étonnant que l'on pourrait croire, c'était la première fois de ma vie que j'allais à l'hôpital. Il y avait bien un équivalent dans la ville proche de mon village de ma planète d'origine sur Saturne. Mais je n'y avais pourtant jamais mis les pieds, malgré mes nombreuses folies d'autre fois.
Allongé ensuite sur le lit et une fois seul dans ma chambre, j'envois rapidement des nouvelles à Set depuis mon téléphone terrien. Soucieuse, elle me répondait se retrouver être état de choc et surtout inquiète, face à l'agression que nous avions vécus. Seulement je ne voulais pas inquiéter notre mère. Surtout que ce n'était pas elle précisément que cette femme étrange avait visé. Mais dans tous les cas, cette situation m'inquiétait. Aussi je lui avais conseillé de bien rester au lycée, le temps de mon court séjour à l'hôpital. Le temps de discuter ensuite d'une solution ensemble, la tête un peu plus reposée. Quant à passer par la police, j'avais bien peur que ça soit inutile. Ils ne nous croiraient jamais...
Mais malgré que nous devions rester vigilants, cela ne devait pas nous empêcher d'essayer de nous détendre malgré tout. Oui la situation était stressante, pesante, mais j'avais comme eu la conviction que cet sorte d'être étrange n'était pas venu ici avec l'intention de nous tuer. Du moins j'espérais surtout ne plus jamais avoir à la recroiser, même si je doutais bien évidemment du contraire...

Essayant de penser à autre chose d'un peu plus agréable, une infirmière séduisante que je n'avais pas encore rencontré depuis mon arrivée, entre. Continuant de pianoter sur mon téléphone, je lève un instant les yeux pour la regarder. Immédiatement, mon regard s'accroche sur elle comme aimant. Elle était vraiment sexy!

- Salut. C'est pourquoi cette fois-ci? La prise de mes médicaments? Ma tension qui grimpe encore depuis votre arrivée? Manger des bons hamburgers bien gras pour ma ligne? Ou encore peut-être venir me mettre un suppositoire dans le derrière?...

Tout en essayant de me détendre avec un trait d'humour, je l'observe faire, prêt à découvrir le traitement que cette charmante femme allait me réserver. Dans mon esprit, l'option "fellation" ne serait pas de refus non plus...

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Dortoirs et douches / Rencontre en trap-trap bisous [Malkio Shiota]
« le: dimanche 24 janvier 2021, 21:50:24 »
Fin des cours. Alors que je range mes affaires, je me prépare à devoir effectuer un peu de nettoyage et de rangement de la salle des classes. Apparemment, c'était cette fois mon tour. Je passe donc les gentils commentaires mignons de mon adorable soeur qui finira par y écoper tôt ou tard, puis je me dirige vers le placard à balai. De là, je me saisis du matériel nécessaire, y compris les divers produits ménagers entreposés. Toute la classe sortis complétement, j'enlève d'abord proprement la poussière partout. Passant aussi bien dans les rangées, que dans les coins. Tables, puis chaises correctement nettoyées au fur et à mesure, je terminais enfin proprement le rangement, une bonne demi-heure plus tard. Satisfait de mon travail, je continue de chantonner légèrement, tout en remettant les affaires à leurs places. Ensuite je décidais de remonter dans ma chambre pour y préparer mes affaires de toilettes pour aller me laver, après avoir nettoyé la salle de classes.

Redescendant tranquillement avec mes affaires sous le bras, j'arrivais rapidement aux douches. Malheureusement étant en retard sur les autres, la plupart de ceux qui avaient l'habitude d'aller se laver sitôt les cours finis, étaient déjà partis. C'était dommage, car j'adorais observer. Croiser tout un tas de tête connues, comme aller faire plus ample connaissance avec de parfaits inconnus...
Le plus gros étant déjà sortis, je pose alors mes affaires sur le banc. Puis je me déshabille tranquillement. Je retirais ainsi ma veste blanche parée de ses rubans bleus. En dessous, j'enlevais avec tout autant de délicatesse et douceur, ma petit robe une pièce, avant de terminer sur les "détails" restants. Au moment où je terminais d'enlever la totalité de mes vêtements, j'avais comme l'étrange impression d'être observé. Depuis combien de temps exactement? Je l'ignorais.
Aussi trouvant cela assez drôle, je me retourne "innocemment", dévoilant mon sexe masculin sous mon apparence féminine. A cet instant, tout en essayant de deviner discrètement parmi les ravissants élèves encore présents dans les douches, lequel semblait déjà être particulièrement tombé sous mes charmes, je prenais sur moi mon nécessaire de toilettes et entrais sur mon terrain de jeu. Mon terrain de chasse, le coeur même des douches... M'avançant vers une douche disponible au hasard, je finis par ressentir une présence se glisser rapidement vers moi. Lorsque je le regarde avec mes grands yeux verts, je reconnaissais aussitôt qu'il s'agissait d'un tout nouvel élève de ma classe, tout juste fraichement arrivé. Un joli blond, avec une allure efféminée...

- Salut. Je ne sais pas si c'est moi, mais je jurerai que tu m'attendais, mon petit coquin...

Lui répondant avec amusement, je lui faisais un clin d'oeil. Je ne me rappelais plus très bien de son nom, mais impossible pour moi d'oublier son ravissant visage. Je le trouvais aussi beau que moi, dans le même genre...

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Après la journée de cours, j'ai décidé de sortir un peu avec Setyhs en ville. Nous étions allés dans le grand centre commercial, pour nous acheter quelques jolis vêtements, grâce à l'argent de "poche" que notre adorable mère nous donnait, en échange de notre aide à sa boutique.
Le temps de faire divers essais, de nous amuser et rire un peu, nous atteignons très rapidement les dix-neuf heures, lorsque nous sortions du grand magasin. Contrairement à moi, Setyhs avait tout dépensé. Et en plus, elle me demandait de lui porter son sac. Mais comme toujours, je ne pouvais rien lui refuser. Ou pas grand choses en tout cas.

Lorsque nous rentrions dans notre chambre que nous partagions ensemble sans la moindre intimité au dortoir du lycée, je recevais rapidement un appel. Répondant a Malkio, un de mes nouveaux petits copains dans tous les sens du terme, celui-ci me demandait avec un trait d'humour, si je souhaitais venir manger un morceau avec lui...

- Quoi? Ne me dis pas que tu n'as personne avec toi, pour te tenir joyeusement compagnie?... Mais ma fois, pourquoi pas. J'allais manger un bout à la cantine avec ma soeur mais de temps en temps, je peux bien aller manger autre part. Je t'attends dans la chambre si ça te vas? Bisous!... Oh et même si tu étais un "SDF", ça n'aurait pas changé grand chose pour moi mon mignon. Allez a toute mon petit Malkiki chéri!

Raccrochant ensuite, je prévenais Set de ne pas m'attendre pour aller manger. Celle-ci prétextant alors aussi vite en réponse, vouloir préférer partir manger sans moi, parce qu'elle y trouverait une bien meilleure compagnie que la mienne... J'adorais par moment, ses infimes petites pointes de jalousie. Set était pour moi la soeur idéale, en tout point de vue. Ce qui ne l'empêchait pas aussi comme à son habitude, de me poser des questions indiscrètes. Aussi je lui promettais en échange que je lui ferai rencontrer d'ici peu, mon nouvel ami très coquin...
Attendant ensuite tranquillement son arrivée dans la chambre, tout en pianotant sur mon téléphone portable terrien, j'entends rapidement toquer. Pensant qu'il s'agissait de Set qui avait sans doute oublié quelque chose, je partais lui ouvrir...

- Hein? Tu es déjà là? Comment tu as fais pour venir aussi vite? C'est à croire que tu te déplaces plus vite que ta propre ombre! Hahaha!

A la fois surpris et très amusé de le voir si rapidement devant moi, je le laissais entrer et prendre ses aises. J'avais remarqué qu'il portait sur lui un sac plastique. Je me demandais déjà ce qu'il avait bien pu acheter comme succulente nourriture...

- Alors qu'est-ce que notre "SSF" a acheté, pour cette folle soirée? Dis moi tout. C'est quoi le programme? Manger des saucisses avec des frites ou bien quelque chose de plus délicieux encore, dans le même genre?...

Etant lui et moi sur la même longueur d'onde dès l'instant où nous-nous étions rencontrés, je jouais perversement sur les mots, voyant déjà la chose venir de loin. Mais Malkio me donnait l'impression d'être quelqu'un toujours rempli de quelques mystères, au goût de délicieuses surprises et autres inattendus... Un vrai petit coquin dans l'âme comme moi surtout...

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Dès que la sonnerie retentit, je range mes affaires de cours. Pressé, je me dirige vers la sortie avec mon sac sur l'épaule, direction le métro. Ma ravissante mère m'avait laissé un message, lui demandant de la rejoindre à la boutique, dès que je le pouvais. Sans doute devait-elle encore avoir une livraison importante à faire. La pauvre ne pouvant se payer un employer régulier, se tournait forcément vers nous le temps de quelques instants, pour aller lui donner un petit coup de main. Plusieurs fois, elle avait même proposé de nous rémunérer, mais j'avais toujours refusé. Ou au moins, j'en ai accepté le minimum. Enfin de mon côté, parce qu'avec Set... Mais je lui avais dis que la seule chose que j'acceptais d'elle, étaient ses doux baisers! Voir son radieux visage souriant et accueillant, était pour moi déjà le plus beau de tous les cadeaux! "Cadeau" devenu aujourd'hui réalité, grâce à elle et à son courage...

Arrivé dans le métro, je décide de me rendre dans les toilettes, suite à une envie légèrement pressante. Comme à mon habitude, je prenais de manière indifférente le côté des dames. Arrivé à l'intérieur, j'ouvre la première porte de l'une des toilettes, tout en saluant au passage une bien jolie fille qui en sortait. Me glissant dans celle-ci, tout en restant en position debout, j'abaisse légèrement l'avant de ma jupe et de ma culotte. J'en retire alors la robinetterie, que je fais agréablement couler dans le trou de la cuvette...

- Ah c'est bon...

Appréciant de me vider et de m'épurer du trop plein emmagasiné, je m'arrête en pleine action, lorsque je ressens la porte juste derrière moi s'ouvrir. A sa suite, je perçois depuis mes oreilles de kitsune rendues invisibles, le son d'une voix charmante qu'il me semblait immédiatement reconnaitre. Celle-ci me faisant au passage une remarque, sur un ton des plus mielleux.
Tournant la tête vers la provenance de cette jolie voix au timbre un peu trop cristallin, je terminais de confirmer mes doutes. Derrière moi se trouvait "Hiyori Azuka", une fille de ma classe qui semblait se porter beaucoup d'importance ici. Et surtout, une fille toute disposée a avoir un humour des plus "débordants"...

- Mais tu ne sais donc pas encore que je suis une fille, ma chère Hiyori? Une fille de corps et d'esprit, quand cela m'arrange? D'ailleurs, c'est très mal élevé de venir épier ses petits camarades en pleine séance d'intimité. Mademoiselle Hiyori ne semble pas faire honneur à son rang social, dirait-on bien?

M'amusant de la situation avec l'effet de surprise qui en découlait, un sourire coquin se dessinait sur mon visage. Je me rappelais surtout que cette fille s'était montrée rapidement hautaine vis à vis de moi, dès le début. Je ne savais pas ce que je lui avais exactement fais pour mériter une telle hostilité, mais la douce Hiyori semblait m'avoir directement pris en grippe. Mais pas de soucis, parce que moi je l'aimais bien. Et même beaucoup. Et puis en plus, nous avions peut-être une occasion inestimable de pouvoir nous réconcilier pour de bon, ici même...

Sans attendre son avis, je lui attrape l'épaule et je la fais venir au plus près de moi. Tout en la collant à moi dans une expression amusée, je referme la porte des toilettes, que je verrouille. J'écrase ensuite mon sexe contre elle, alors que je la plaque contre le mur. Immédiatement, le contact me faisait grossir presque aussitôt, mon petit tuyau à moitié vidé de ses substances...

- Je sais que tu ne m'aimes pas beaucoup ma chère déléguée et grande présidente en herbe, mais moi oui! Alors pourquoi ne pas profiter de cet instant d'intimité en tête à tête, pour nous réconcilier un peu? Je t'assure que je ne mords pas. Je suis même l'amour incarné des beaux garçons et des belles demoiselles comme toi.

Commençant à être pris de désir et d'excitation d'avoir ma chère Hiyori soudainement ici et dans mes bras, je saisissais l'occasion pour l'embrasser. Je collais mes lèvres contre les siennes. Immédiatement, je ressentais son doux parfum. Hiyori sentait en plus vraiment très bon. Quant à mes mains, je les plaçais au niveau de ses hanches, que je caressais doucement...

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Le quartier de la Toussaint / Re : Plus qu’un braquage [Tetyhs]
« le: samedi 23 janvier 2021, 23:19:08 »
De temps en temps, notre adorable mère nous demandait lorsque nous le pouvions, de venir la retrouver à sa boutique lorsqu'elle avait besoin de nous pour lui rendre service. Le plus souvent, à cause de ses livraisons qu'elle devait effectuer avec son vélo. La pauvre était parfois bien chargée et parcourait de longues distances. C'était d'autant plus idiot, que malgré mon pouvoir fantastique de déplacement, que celui-ci ne pouvait pas me permettre de pouvoir transporter des charges encombrantes. J'espérais pouvoir en être capable un peu plus tard, avec un meilleur apprentissage...

Une ou deux petites ventes effectuées durant son absence, ma jolie mère finit par revenir à la boutique. Regards qui se croisent, nous échangions comme à chaque fois, un sourire qui en disait long. Nul doute que l'amour était bien là entre nous... Et ma ravissante mère, je l'aimais...

Nous terminons de discuter un peu ensuite, avant que mon adorable mère qui me disait l'être tout autant qu'elle à mes yeux, me libère. Prêt à partir, le sourire aux lèvres, celui-ci cesse lorsque je vois une personne portant une tenue étrange, rentrer. Comme si j'avais été pris d'un pressentiment bizarre, l'individu couvert de la tête aux pieds sort alors une arme à feu et va la braquer contre ma mère! Enfoiré...
Alors que j'allais bouger vers lui pour réagir, ma mère me faisait un geste avec sa main. Je comprenais à travers celui-ci ,qu'elle souhaitait que je reste sagement à ma place... Merde!...

La crapule se tourne alors vers moi et me demande d'aller remplir son vieux sac, avec les cristaux de la boutique. Enervé, je le prends et commence à y plonger délicatement les cristaux de magie à l'intérieur. Dans ma tête, j'étais beaucoup plus inquiet pour ma mère que cet enfoiré tenait en joue avec son arme, que pour moi. Le voir la mettre en joue m'était insupportable! S'il y avait une chose que je ne supportais pas, c'était qu'on s'en prenne aux gens que j'aime!... Sans doute égaré dans ma colère, je décidais d'en avoir suffisamment mis à l'intérieur. Me rapprochant de lui pour lui rendre son foutu sac, je l'entends péniblement me dire qu'il en voulait encore. Qu'il n'y en avait pas encore assez... Ce à quoi ma mère essayait de calmer le jeu. Comme toujours, elle était vraiment bien trop gentille...

Obtempérant à contre coeur, je finissais de remplir une fois de plus le son sac de cet idiot. J'avais bien retiré plus de la moitié de la marchandise déposée sur les étalages fait de bois. J'avais enlevé ce qui permettait au moins en partie, de faire vivre ma mère à peu près décemment...
Sac une fois de plus rendu au sale type, celui-ci sort sans rien répondre. Bien évidemment soucieuse, ma mère vient alors vers moi en me prenant les mains...

- Maman... Tu t'investis beaucoup pour ta boutique... Tu mènes une vie qui n'est pas toujours facile et tu ne nous a pas vraiment raconté beaucoup de choses, sur toi et ton passé pour l'instant... Seulement je sais que tu as souffert! Tu l'as dis toi-même! Alors un braquage en plus!... Je sais que tu veux nous protéger mais nous aussi, on est là pour toi!

Relâchant ses douces mains des miennes, je pars alors très vite vers la sortie du magasin. A l'extérieur, je repère le sale individu qui venait d'avoir fait tant peur à ma mère. Le voyant commencer à partir en moto, je me transforme immédiatement en particules solaires, alors que j'entendais celle que j'aimais, crier mon nom... Le coeur serré, mais aussi en colère, je me mettais aussitôt à le suivre depuis le ciel. Flottant dans les airs tel un amas de poussière brillante, je le voyais s'engager par la suite dans un quartier que je ne connaissais pas du tout.

Un peu plus tard, il finit par garer sa moto et par entrer dans une vieille bâtisse, dans ce quartier qui semblait être drôlement vétuste. Avec prudence, je traverse la courte distance de cette rue aussi peu animée que sale. Porte naturellement fermée, je trouve facilement une ouverture par le dessous, pour pouvoir entrer. Infiltré à l'intérieur, je reprend alors ma forme "humaine". Je n'ai malheureusement pas le temps de faire trois pas dans cette pièce mal éclairée qui doit faire office de salon, que mon pied cogne accidentellement quelque chose au sol qui fait alors du bruit. Mince...

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