Centre-ville de Seikusu / Re : Obéissance et humiliation [Sonya]
« le: dimanche 22 septembre 2019, 08:32:35 »Très vite mon érection reprend forme entre ses lèvres douces et sa langue expérimentée. Aucune gêne ou maladresse dans cette dernière quand il s'agit de caresser mes veines ou mon gland. J'ai hâte d'avoir droit à une vraie pipe plus tard. Une fois qu'elle sera entièrement soumise elle s'occupera de moi avec envie.
En attendant elle continue d'enfoncer ma queue dans sa bouche et sa gorge pour la faire durcir au maximum. Puis elle remonte lentement en la libérant dans un bruit humide et dégoûtant comme ceux des pornos. La langue tendue et plusieurs filets de salive qui lient sa bouche à mon membre pendant qu'elle lève les yeux en ma direction. A croire qu'elle chercher mon approbation ou qu'elle veut déjà goûter à la suite.
Je la prends alors par surprise en ramenant sa tête et sa bouche sur ma queue pour la lui faire avaler. Je m'appuie sur sa tête tout en me relevant pour garder ma bite au chaud. Elle pourrait bien manquer d'air quelques secondes que ça ne me ferait ni chaud ni droit. C'est peut-être déjà le cas car j'entends d'autres bruits dégoûtant provenir de sa bouche pendant que je continue mon mouvement. Mon but est de la remettre sur le dos en gardant sa bouche pleine. Une fois positionné je retire ma bite lentement de sa bouche. Ma grosse queue tendue et pulsante est recouverte de sa salive qui lui retombe en partie sur le visage.
« Montre-moi ta langue. »
Alors qu'elle s'éxecute lentement, je mets quelques coups dessus avec mon gland pour jouer un peu. Qu'elle sente le résultat de son oeuvre. Mais pas troplongtemps non plus. Je me redresse pour descendre et attraper ses chevilles. Je soulèves ses jambes pour coincer mes mains dans le creux de ses genoux afin de les écarter. Sa petite jupe est relever sur son ventre alors que sa chatte trempée est désormais offerte à ma mercie.
Comme un peu plus tôt je me met à faire frotter ma bite ma queue sur ses lèvres en remuant les hanches aussi lentement que possible. Un bonne dizaine de fois. Puis je prends la température avec mon gland que je retire pour continuer de la chauffer. Comme si c'était nécessaire. J'ai eu l'impression de glisser mon gland dans un four en train de préchauffer tellement c'est chaud là-dedans. Mon regard est plongé dans ses pupilles. Elle ne veut que ça et on le sait tous les deux. Mais l'entendre dire est nécessaire.
« L'heure de ta récompense est presque arrivée, Sonya. Mais est-ce que tu l'as méritée ? Hmm ? Supplie-moi comme une chienne. Donne-moi envie de te récompenser. »