La zone industrielle / Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: mercredi 09 novembre 2016, 17:42:14 »Car pour sa nouvelle cible, Dona Florenza avait dépensé sans compter. Machine de lavage de cerveau originaire de Tekhos, outils et engins de torture sophistiqué venant de la terre et de tout les plans qui en produisent, sale de soin toute équipée, cellule, elle avait tout prévu pour recevoir son invité de marque avec les honneurs.
Car ce soir elle reçoit l'homme qui lui offrira la tête des Guramu sur un plateau: Alexandre Dowell, leur propre avocat. Pour l'occasion, elle à choisit une de ses tenues préférées. Une longue robe rouge sang pratique au vue de ce qu'elle compte faire, des talons haut assortis de cuissardes qu'elle fait tenir en place avec un porte-jarretelle noir et discret. (voir la galerie du prélude: photo 2)
Si elle parvient à le briser et à en faire son pantin, elle pourra les épier de l'intérieur, découvrir tout leurs petits secrets et détruire toute leur organisation. A cette idée, Max trépigne d'impatience, ses hommes sont parti le "chercher" depuis une bonne heure. Elle commence à faire les cent pas autour de la chaise d'interrogatoire, réajustant les seringues de drogue et de sérum de vérité et les outils de torture pour que leur vue soit terrorisante juste ce qu'il faut.
Après une attente interminable qui porte la fin de journée jusqu'au début de soirée, elle voit enfin la porte de la salle s'ouvrir et Serguey, un de ses gorilles entrer avec un sac de toile noire sur l'épaule. Mais à son visage, Max voit que quelque chose ne va pas. Elle le foudroie du regard.
Ne me dit pas que tu l'a...
Commence t'elle à dire.
"J'vous assure boss, je comprend pas. Je suis arrivé chez lui, j'ai fait tout comme vous avez dit pour déjouer les alarmes et les garde payés ont pas bougés. Mais quand chui entré dans sa chambre il était comme ça sur son lit, les mains jointes comme si on l'avait disposé dans un cercueil."
Serguey dépose le paquet lourdement sur le siège en acier et découpe la toile au couteau pour libérer le corps. Max regard le cadavre avec dépit, tout espoir de l'utiliser envolé. Elle commence à tourner son regard vers le gorille pour l'engueuler mais soudain le visage du prisonnier décédé semble s'animer et il fait un petit geste, comme s'il bougeait en dormant.
"Mais il est encore en vie !" Cris t'elle en se jetant sur Alexandre pour lui prendre les poignets et les menotter derrière le dossier de la chaise. "Putin Serguey ! Tu sers à quoi connard de polac."
"J'comprend pas boss j'comprend pas ! Il respirait plus, il était froid, j'sais reconnaitre un mec canné et il était canné." Tente t'il de se justifier.
"C'est bon ferme ta gueule et vient m'aider avant qu'il ne se réveil", ajoute t'elle en attachant chacune de ses chevilles à un pied de siège.
Puis elle prend un siège et s'assié à califourchon, les bras sur le dossier, les jambes écartés de part et d'autre des barreaux du dossier laissant apparaitre les délicates lèvres de son entrejambe. Le prisonnier ne manquera pas de remarquer qu'elle ne porte pas de sous vêtements, petite note érotique très "Basic Instinct".
Max remarque que plus la nuit tombe et plus son invité prend peu à peu connaissance, mais n'y prête pas attention particulièrement. Une fois qu'elle l'estime suffisamment réveillé, elle fait un signe de tête à Serguey qui lui jete au visage un verre d'eau glacé.
"Bonsoir Maitre Dowell, comment allez vous en cette belle soirée. Des nouvelles de nos amis commun depuis notre dernière rencontre à l’audience Azuka contre Alerendro ?"
Max faisait référence à un des nombreux pièges juridique qu'elle avait tendu au clan Yakuza, mais qui avait lui aussi été déjoué par l'avocat, la mettant dans une rage folle.