Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Rachele Florenza

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Lucy - Attend !! Je pense qu’on peut s’entendre toi… écoute ok j’ai merdé je ne me suis pas attaqué à la bonne personne… mais regarde ! J’ai pu m’infiltrer, j’ai pu te voler quelque chose de précieux, j’ai pu me barrer en tuant des gardes et j’ai tenu tête a ta superbe esclave… je peux t’être utile !!

Une fois de plus, la tentative de négociation de la belle petite vampire fait échanger un sourire convenu à Rachele et sa lieutenante. Comme si elles s'étaient attendu à ce que dit Lucy et en avait déjà un avis bien défini, quoi que puisse ajouter la jeune femme.

Rachele – Ho mais ne t'inquiète pas, tu vas m'être très utile... Tu vas me rapporter un énorme paquet de fric quand je vais te faire faire la tournée de mes bordels. J'ai déjà un carnet de visite bien rempli pour toi, tu vas voir...

Mais la jeune vampire ne se laisse pas déstabilisé par la perspective d'être utilisée comme une simple pute de bas étages dans les bas fond crasseux de la ville. Elle tente une ultime parade alors que Sonia s'apprêtait à appliquer son laser de découpe sur son genou droit.

Lucy - Tu veux voir mes ailes ? Tiens, regarde.

La chirurgienne s'interromp et admire la ramure splendide de ses appendices vampiriques. Rachele siffle doucement entre ses dents et plisse les yeux, une moue satisfaite se dessine sur ses lèvres. Visiblement, ça aussi, elle s'y était attendue. Et comme pour répondre à cette évidence, elle claque des doigts vers deux infirmières à demi-nue qui les assiste dans la pièce. Celles-ci se saisissent de grosses sangles de maintien qui avait été dissimulée dans un chariot de travail en attendant que Lucy sorte sa pièce maitresse.

Aucun doute possible, ses sangles ont été préparé pour lui attacher les ailes dans le dos et n'en faire que de jolis ornements que les clients pourront saisir à loisir pendant qu'ils la baiseront.

Lucy - T’as déjà une superbe esclave, avec moi t’en aurais deux et personne pourra t’emmerder, tu seras la reine pas juste de la ville mais de tout le japon !! T’en dis quoi ?

Rachele – Je suis déjà la reine du Japon ma belle petite pute, et toi, tu ne seras pas une de mes guerrières non, tu n'est qu'un sac à foutre exotique avec lequel je vais jouer et utiliser comme cobaye...


Ni Rachele ni Sonia ne tombent dans le piège de ses ailes osseuses. Assistés par des infirmières, ce sont elles qui s'approchent de la belle vampire pour les toucher et les sangler. Quand Lucy les contracte pour faire jaillir ses pointes osseuses, c'est une de ces nurse sexy qui est touché à la poitrine et l'épaule. La jeune femme en bouse blanche tombe à la renverse mais au lieux de hurler de douleur, elle gémit de plaisir avec force et se met à jouir en se frottant l'entre-jambe, les yeux à demi révulsés et un filet de ciprine s'écoulant de sa vulve. Lucy comprend alors que même les infirmières à demi nues sont des esclaves qui ont été transformées en folle nymphomanes incapables de distinguer douleur et plaisir.

L'autre infirmière quand à elle, visiblement totalement inconsciente du danger, probablement à cause du lavage de cerveau dont elle à sans doute été victime, se jette sur les ailes de Lucy en faisant attention de ne pas être à porté des pointes. Elle les sangles avec force dans son dos.

Rachele – Tss tss... regarde ce que tu as fait petite conne. Maintenant il va falloir faire soigner une de mes soigneuses... quel gâchis Enfin bon, ce n'est pas grave, au moins nous connaissons un de tes petits secrets. A ce sujet, vu que nous ne pouvons pas te les enlever aussi facilement que le reste, je crois que nous allons devoir neutraliser leur danger.. autrement... Sonia ? Soulage notre petit esclave de toute cette violence qui la ronge...

Sonia – Avec plaisir Boss... j'y pensais justement, au moins elle se sentira beaucoup mieux et je pourrais bosser sans risque jusqu'à ce qu'elle régénère...

La chirurgienne pose son laser de découpe à coté de la jambe encore intacte de Lucy et remonte vers sa tête pour s'installer juste derrière elle. Elle tire de son chignons deux longues aiguilles en acier chirurgical, sur l'écran de contrôle en face, là où sont affichés les radios et les diagrammes du corps de Lucy, apparait un scanner détaillé de sa boite crânienne sur laquelle apparait distinctement son cerveau. Sonia l'examine avec précision en faisant danser les pointes au dessus du cuir chevelu de Lucy.

Sonia - Mmmmm... là... et... ici...

La chirurgienne positionne les pointes sur la peau du crâne Lucy et lui chuchote:

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Sonia – Ne t'inquiète pas, ça va piquer un peu mais tu te sentira très bien après.

Lucy sent soudain deux picotement intense au milieux du crâne, puis, plus rien, elle ne peut contrôler ses pupilles qui s'ouvrent grand pendant que tout son corps se détend.

Elle sent que Sonia fait bouger les deux tiges en métal à l'intérieur de sa tête, labourant brutalement sa matière grise. Les sons semblent s'étirer à l'infini, la lumière et les couleurs deviennent baveuses et flou, les sensations de son corps deviennent si intense qu'elle sent le moindre souffle d'air sur sa peau, les goutes de lait qui ruissellent sur ses seins. Son corps lui semble à la fois lourd et léger, elle à l'impression de ne rien peser, mais ses membres semblent inertes et maladroit. Si elle essai, elle remarque qu'elle peut à peine remuer ses bras coupés à hauteur de coude et ses jambes encore intactes, ses ailes quand à elles, sont désormais inertes et restent bien sagement harnachées à leurs sangles.

Sonia – Voilaaaaa... parfait, ça devrait te tenir bien sage pendant quelques heures le temps que tes neurones de vampire régénèrent. Tu as de la chance, une simple humaine resterais comme ça jusqu'à la fin de ses jours...

Rachele – Parfait Sonia, je la trouve plus mignonne comme ça, et ses clients vont adorer de la voir toute chose *rire*. Remet toi au travail, je la veux totalement réduite à sa condition de sac de baise pour sa première partouse.


Et sans un mot, Sonia retourne aux jambes de Lucy et utilise son laser pour suivre les coutures sur la peau de la vampire et l'amputer délicatement les mollets de celle-ci. Mais avant qu'elle n'ait le temps de les plonger à leur tour dans l'azote liquide, Rachele lui fait un signe.

Rachele – Non, pas tout. Notre petite pute n'arrête pas de parler de ses pieds. Je vais les garder comme trophée et jouer avec. Prépare les moi pendant que je la présente à ses premiers clients.

Sur ces mots, Rachele entraine le brancard sur lequel repose le corps sans défenses de Lucy hors de la salle, au travers d'un dédale de couloirs crasseux qui puent le sexe, l'alcool et la cigarette. Pendant le voyage, Lucy sent que Sonia est en train de séparer ses pieds de ses mollets juste au dessus des chevilles et les orne de chainettes en or pour pouvoir les transporter.

Mais elle n'a pas le temps d'en ressentir plus que déjà une porte en fer rouillée s'ouvre sur une petite salle ou l'attendent un petit attroupement d'hommes bedonnant à la peau verte et crasseuse: des demi-orc de Terra...

Rachele – Esclave, je te présente tes premiers clients...

Sur ces mots, elle sangle les moignons de Lucy à des chaines pour la faire pendre au milieux de l'attroupement d'hommes qui s'approchent d'elle en ricanant et en jouant avec leur énormes queues verdâtres. Sans vergogne, l'un d'entre vient se plaquer contre son dos et la fait reposer sur son énorme verge, la frottant entre ses cuisses pour se lubrifier sur sa vulve.

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Rachele – Quelques instants messieurs je vous prie. Ha, c'est bon...

Sonia vient de lui apporter une sorte de petit porte-clef en chainette d'or d'où pendent les minuscules extrémité des jambes de Lucy.

Rachele – Maintenant nous pouvons commencer à jouer...

Le groupe d'une dizaine de demi-orc se referme autour de Lucy pour l'empoigner de toute pare, massant vigoureusement ses seins devenu ultra sensibles, jouant avec ses orifices du bout de leurs doigts crasseux. Et a chaque fois que Lucy pousse un cris ou dit quoi que ce soit, elle peut voir Rachele, jouer savamment entre ses seins avec son nouveau trophée.

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Lucy -Oh ça oui ça va disparaître... surtout que... au dernière nouvelle, je me régénère. Donc ton parasite de merde, j'ai juste a foutre mes seins dans une broyeuse et t'es juste bonne pour en remettre un autre !

La bravade de leur future esclave ne départit ni Sonia, ni Rachele de leur sourire entendu et pervers. Au contraire, elles semblent trouver cela attendrissant, comme si elle considéraient les certitudes de Lucy  comme "mignonnes"...

Elles se regardent, échangent un rire entendu, comme si Lucy avait dit quelque chose d'amusant avant de reporter leur attention sur elle.

Lucy -D'ailleurs, tu as raté avec mes pieds... pour une si douée chirurgienne tu me semble pas si forte que ça. Je vais réussir a défaire tout ce que tu vas me faire et t'aurais fait tout ça pour a rien.

A nouveau les deux maitresses rient de bon cœur et Rachele prend enfin la parole.

Rachele –  Tu crois vraiment que tu vas faire tout ça ? Tu pense une seule seconde qu'une fois qu'on en aura fini avec toi tu seras encore en état de salir le beau travail de ma chère Sonia ? Pauvre petite idiote, tu n'imagine même pas toutes les réjouissances que je te prépare encore... ce n'est que le commencement.

Comme pour lui répondre, Sonia active la commande de la table d'opération sur laquelle elle est sanglée pour que ses jambes pivotent vers le haut, montant ses pieds à hauteur de sa tête. La chirurgienne consulte les radios du corps de Lucy, précisement celles de ses bras et de ses jambes, la vampire remarque qu'elle a reporté les emplacements de ses coutures surnaturelles dessus pour délimiter des zones bien précises.

Sonia – Dit moi esclave... comment compte tu faire tout ce que tu viens de dire... si tu n'es plus capable de marcher ou d'utiliser tes mains ?

Ajoute la qatarie sadique en saisissant un étrange stylo relié à un épais câble électrique gainé de caoutchouc. Rachele s'installe derrière la tête de Lucy et commence à masser ses seins devenu ultra-sensibles, elle joue du bout des doigts avec ses tétons, les masturbant et les pressant délicatement pour les faire gouter. Elle se penche à l'oreille droite de sa prisonnière et lui susurre:

Rachele – N'ai pas peur, très bientôt tu ne penseras plus qu'a me faire plaisir et à te faisant baiser par mes clients...

Sonia active son étrange stylo, il s'agit en fait d'un fin laser de découpe. Elle s'installe au niveau du bras droit de Lucy et la regarde d'un air exalté et pervers, comme l'oeil d'un peintre fou sur le point de réaliser sa toile avec le sang de sa victime. Puis elle se penche en avant et avec une dextérité et une délicatesse infinie, commence à inciser les points de coutures qui apparaissent sur le corps de la vampire au niveau de son coude droit. Chaque centimètre coupé commence par une douleur froide qui disparait presque aussi tôt, sans la moindre goute de sang, juste le grésillement du laser.

Sonia fini de faire le tour du coude et dans un petit craquement l'avant-bras de Lucy se détache de son corps.

Rachele – Un sur quatre ma chérie... tout va bien pour toi ? N'ai pas peur, tu vas voir que tu peux faire plein de chose fantastique sans tes membres, et comme ça tu n'ira pas faire quelque chose de stupide, non, tu seras toute à moi et à mes clients...

Sonia ouvre un centenaire plein d'un liquide blanc-bleu qui dégage une épaisse nappe de brume glaciale, elle y plonge le bras qui se fige instantanément, gelé. Et sans dire un mot, elle se déplace de l'autre coté et recommence sa sombre besogne.

Contrairement aux films tout publics à l'américaine, aux histoires de héros et d'héroïnes, aux aventures merveilleuses décrites dans les contes de fée, rien ni personne vient sauver Lucy de se calvaire. Rien ne se produit qui lui permette de se sauver. Elle reste ainsi, sans défense, à la merci des deux monstres, uniquement capable de les regarder la mutiler. Quelques instants plus tard, le second bras se détache du corps et rejoint le premier dans sa tombe d'azote liquide.

Rachele – Et voila pour le haut... tu as quelque chose à dire avant de passer à ce que nous préférons toutes les deux esclave ?

En disant ces mots, Lucy voir Sonia descendre maintenant vers ses pieds...

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: samedi 16 avril 2022, 22:26:53 »
Impressionnée par la capacité du flic à surmonter sa surprise et même à surenchérir dans la monstruosité, Rachele lève un sourcil en le regardant se finir une seconde fois avec la bouche de leur victime. Rarement dans sa courte vie de baronne du crime, elle n'a rencontré quelqu'un qui pousse le vice et la noirceur de son âme dans de tels retranchement. Ce constat fait naitre en elle deux sentiment profondément liés dans son esprit par son passé, un sentiment de familiarité et aussi, de crainte. Car cet homme lui ressemble en tout point, il est brutal, pervers, impitoyable et intelligeant. La différence majeur qui les séparent est qu'il porte tout cela sur lui quand Rachele les dissimule derrière le masque de la beauté.

Ce cocktail de peur et de désir lui brule l'entrejambe tans cet homme représente tous ce qu'elle aime et tous ce qu'elle redoute. C'est un Jucio, mais jeune et beau, quand son oncle lui, déclinait déjà quand il avait fait d'elle une esclave. Et bien qu'elle se refuse à l'admettre, aucun homme ne l'avait plus fait jouir que ce monstre libidineux qui avait détruit son esprit, quelques années plus tôt.

Rachele dissimule son trouble et son désir derrière un sourire en acceptant la coupe de champagne que Ryo lui tend, elle la vide d'un trait en voyant que leur courses est presque terminée, dehors, la porte en acier d'un souterrain s'ouvre sur leur passage.

Ryo - "Je pense pouvoir m'avancer en disant que notre collaboration sera fructueuse. J'ai déjà ma petite idée sur ce qui pourrait vous intéresser mais quit à ce que vous me fassiez part de vos ... souhaits ... pourrait-on le faire dans un endroit plus approprié?"

Rachele – Comme c'est étrange... encore une fois vous semblez lire dans mes pensées... à moins que ce ne soit moi qui lise dans les votres... mais je commence à penser que nous lisons peut-être l'un en l'autre comme dans un livre ouvert...

La baronne fait signe à Ryo de regarder par la fenêtre, il a juste le temps d'apercevoir l'enseigne lumineuse du Rachele'S Club avant que la limousine ne s'engouffre totalement dans le passage souterrain. Visiblement, le flic n'a pas simplement droit à une petite visite de la partie émergée de l'Iceberg mais bien de son véritable cœur, celui que les pires dépravés de la ville ne chuchotent qu'à demi-mots: "l'Asylum"...

Ryo - "J'aimerais bien conserver son visage si vous le voulez bien. C'était une première pour moi."

Rachele sourit et pousse le cadavre de Lydia du bout du pied. Il s'affale entre leurs jambes, comme un simple sac de détritus que l'on jette après usage.

Rachele – Rassurez vous, je compte en garder bien plus que son visage...

Sur ces paroles énigmatiques, Rachele se terre dans un mutisme total en caressant le visage figé de la défunte du bout des orteils jusqu'à ce que la limousine atteigne enfin un large parking souterrain au plus profond de la structure. Le véhicule s'immobilise devant un grand sas à double battants portant les lettres "SOUS-SOL 5 - AZYLUM" peintes en gris délavé. Deux femmes vêtues d'une curieuse tenue d'infirmière en vinyle blanc qui auraient plus leur place dans un film porno BDSM que dans un hôpital sortent par le sas et s'approchent de la voiture pour ouvrir les portières à leurs occupants.

Rachele – Esclaves, mettez ça au frigo.

Dit la baronne en poussant le cadavre de Lydia d'un coup de talon. Sans un mot, les deux "infirmières" saisissent le corps par les bras et les jambes et l'emmènent vers le sas. En les regardant de plus près, Ryo peut remarquer que leurs pupilles sont totalement dilatés et leurs paupières semblent lourdes et tombantes. Rachele se retourne alors vers lui et lui lance à nouveau son regard prédateur.

Rachele – N'y voyez aucune malice mon ami... c'est juste une assurance, pour le bien du business, pour le cas où vous voudriez revenir sur notre amitié, ce qui m'attristerais vraiment beaucoup...

C'était un "coup classique" de la mafia, faire commettre un crime à un allié et conserver la preuve au frais pour le cas où, mais il avait été perpétré avec maestria. Max disposait désormais du corps violé et assassiné d'une jeune femme, plein de l'ADN du flic et dont les parents avaient été brulés vif.

Rachele – Mais rassurez vous, je ne vous ai pas fait venir ici pour vous prendre au piège mais bien pour vous faire découvrir mon "petit" univers, les petits cadeaux que j'ai préparé pour vous et bien sûr, discuter de ce que je voudrais que vous faciez pour moi...

Comme pour valider ses paroles, un nouveau véhicule arrive par la pente souterraine, une ambulance curieusement, bien que ce genre de véhicule soit un excellent moyen  de déplacer un corps ou des objets sans éveiller les soupçons. Elle s'immobilise a coté de la limousine et les battants arrières s'ouvrent.

Elyse – Pitié laissez moi ! Je ne suis pas folle ! C'est une erreur !

En entendant cette voix, Ryo comprend sans nul doute à quel point Rachele à bien étudié son dossier avant de l'inviter à sa folle nuit de rencontre. Elle a utilisée chaque points notables de son passif, chaque connaissance, chaque contacte pour préparer ses réjouissances et ses "cadeaux" afin que le flic ressente un profond désir de lui plaire et de lui être fidèle.

Car cette voix, délicate et chantante bien qu'érayée par la peur n'est autre que celle d'Elyse Catsy, LA Némésis des fric pourris de cette ville. D'abord jeune policière idéaliste qui bossait dans l'unité de Ryo, elle avait tenté de balancer les méthodes de ses collègues. Mais l'affaire ayant été étouffée elle avait rejoint l'Inspection Générale des Services, la Police des Polices, dans l'espoir de le faire tomber lui et les autres ripoux. Depuis ce jour, elle les surveillait de près et bien des fois, une affaire ou une prise n'avait pas pu ce faire de crainte qu'elle ne se tienne en embuscade pour les faire tomber.

Infirmière – Allons Allons patiente numéro 720, calmez vous, nous allons vous soigner n'ayez crainte.

Elyse – Me soigner ?! Mais je ne sgooogl... goooo ... gooo !

Les paroles de la flic s'étouffe dans sa gorge, probablement à cause d'un bâillon qu'on lui a passé. Une nouvelle équipe de deux infirmières, vêtues de manière plus "classique" cette fois-ci, probablement pour capturer leurs victimes sans éveiller les soupçons, sortent de l'ambulance en tirant avec elle un brancard sur lequel est sanglée la belle brunette qui a causé tans de tors aux ripoux de la ville.

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En voyant Ryo et Rachele devant "son" ambulance, la belle flic comprend le piège dans lequel elle est tombé, la raison de son internement pour "burn-out professionnel et risque de suicide" comme il est stipulé sur le faux dossier que tiennent les infirmières. Et elle se débat de plus belle en hurlant dans son bâillon, le regard brulant de rage et de haine envers la mafieuse toute puissante et son ancien collègue pourri jusqu'à la moelle.

Tout a été fomenté par Max pour offrir à son nouveau pion une raison supplémentaire de jouer dans son équipe. Encore une fois, les règles immuables de la mafia: "travail pour moi et on te protègera, tue pour moi et on  te vengera, tes ennemis deviennent mes ennemis"...

Les sangles qui retiennent Elyse à son brancard tiennent bon et les infirmières ignorent les récriminations de leur patiente en passant devant leur "Directrice" et son invité.

Rachele – Beau travail les filles, installez la aux admissions, dites à Curie et Sonia de venir l'ausculter dès que possible pour savoir ce qu'elles peuvent faire.

Elle se retourne vers Ryo. Les deux infirmières poussent la civière au travers du sas pendant que la flic incorruptible continue de se débattre et de grogner sous son bâillon.

Rachele – Vous voyez, pas de piège entre nous, juste des assurances. Trahissez-moi et j'utilise Lydia, satisfaisez moi et j'utilise mademoiselle Catsy... pardon, la patiente 720...

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Depuis la vitre teinté de sa limousine couleur crème, la Baronne regarde le spectacle avec un sourire dédaigneux aux lèvres. Malgré la vélocité et le courage dont elle avait fait preuve pour attaquer le business de Rachele, la nouvelle Yakuza de la ville se comportait comme n'importe quelle proie une fois acculée et désemparée.

Si Li avait pris quelques instants pour regarder le 4X4 qui l'a percuté de peins fouet, elle aurait sans doute remarqué que le véhicule n'était pas arrivé en roulant... non... les traces de mains profondément enfoncées dans la tôle du coffre ne laissaient aucun doute, le véhicule avait été "lancé" sur le sien... ce qui ne présageait rien de bon sur ses chances de survie.

Mais la jeune femme ne perd pas de temps en tergiversation ou enquête, elle retire ses talons hauts pour courir plus vite mais dans la mauvaise direction. Ou plutôt dans la bonne, à condition que l'on aborde le point de vue de Rachele.

Pour organiser son "invitation", la mafieuse avait fait vider et condamner discrètement tout le quartier à coups de pots de vin à la police et aux syndicats de copropriétés. Li Hua était seule, personne ne viendrait à son secours, elle ne faisait que s'enfoncer plus profondément dans la nasse que Max avait conçu pour elle.

La limousine arrive juste à coté de la voiture de Li Hua, Rachele remarque que le voiturer respire encore. De nouvelles idées germent dans sa tête à cette révélation. Elle ouvre sa fenêtre et passe ses doigts dans la chevelure éparse de la silhouette féminine qui s'est agenouillée devant sa portière.

Rachele – Esclave ? Soit gentille, charge notre ami dans le coffre...

La mystérieuse jeune femme remercie Rachele en lui léchant les doigts et se relève pour s'acquitter de sa tache. D'une main, elle arrache la portière cabossée par le 4X4 et de l'autre saisit le voiturier pour le charger dans la limousine, comme s'il n'était qu'une valise.

Rachele – Bien... je suis satisfaite... maintenant, va chercher ta futur sœur. Je veux qu'elle profite des même égards que toi quand je t'ai capturée...

L'esclave zéro frissonne tans de plaisir que d'horreur en entendant ces mots, son esprit brisé et lessivé ne lui permettant plus de distinguer les deux. Elle n'a que des souvenirs nébuleux et flou de quelqu'un qu'elle avait été, mais qu'elle n'est plus, Rachele l'avait détruite avant de recoller tous les morceaux à sa convenance. Elle est l' esclave zéro désormais et elle ne vis que pour éprouver la jouissance de satisfaire sa Maitresse et ce serait un jour le cas de sa nouvelle proie...

Elle frotte sa tête contre la paume de Rachele comme une chienne en chaleur et s'élance à la poursuite de la Yakuza.

Après seulement quelques mètres de fuite, Li peut déjà entendre le bruit des véhicules qui se sont mis à sa poursuite. Ils semblent venir de partout, de chaque ruelle. Elle entend aussi des bruits de pas qui courent dans sa direction et curieusement, il ne semblent appartenir qu'à une seule personne, qui se rapproche très vite.

Le dédale de rue condamnées ou occupées par ses poursuivants se referment sur elle minute après minutes jusqu'à ce qu'elle atteigne une large impasse, cernée de haut immeubles dont toutes les fenêtres sont calfeutrées. Acculée, dos au mur, Li Hua n'a pas a attendre longtemps avant que ses adversaires ne révèlent enfin leur visage.

D'abord, trois 4X4 noirs l'encerclent, des hommes en costume noir à bouton de rose rouge en sortent. Li reconnait la livrée de la Cosa Florenza, la Cosa Nostra de la baronne du crime italienne, celle qui a massacré deux clans Yakuza durant les trois dernières années. Une femme dont le surnom "Max" est synonyme de terreur pour ses ennemis comme pour ses alliés.

Une étrange jeune femme portant une combinaison de vinil intégrale uniquement ouverte sur l'entrejambe et les seins se détache du groupe et s'avance vers Li. De ses bras pendant des courroies qui permettent de les lui sangler comme une camisole de force. De plus près, la Yakuza remarque que celle-ci porte un cercle entre les mâchoires qui l'empêche de parler ou de fermer la bouche. Une coupe de cheveux "half hawk" dont les parties rasés du crâne laissent apparaitre des cicatrices et des traces d'électrochoc. Enfin ses yeux, aux pupilles totalement dilatés lui donnent une expression de folie pure et de fanatisme.

Une longue limousine franchit enfin le rempart que forment les 4X4 et vient se positionner devant l'esclave zéro. Celle-ci ouvre alors la porte et révèle sa maitresse, impériale dans sa grande robe fendue aux cuisses.

Rachele – Bonsoir ma très chère amie... Quel plaisir de faire enfin votre connaissance après tout ce que vous avez fait pour attirer mon attention...

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: jeudi 07 avril 2022, 00:25:51 »
Subjuguée par trop de sensations pour  les gérer, les comprendre, les supporter, le pauvre petit esprit de Lydia, dérivant sur un océan huileux de narcotique, se fracture et se dissous durant l'effort. Les quelques bribes de mots ou de phrases qu'elle tentait de formuler avant que sa psyché ne devienne un maelstrom se transforment en gémissements inintelligibles et cris de démence.

Ses pupilles, dilatés à l'extrême roulent dans ses orbites pour lui faire fixer intensément le plafond de la limousine pendant que Ryo continue de la désarticuler comme un pantin aux ficelles coupées. Et pendant tout ce temps, Rachele fait tout avec les yeux, regardant le flic comme si s'était elle qu'il besognait, alternant regard brulant, soumis au plaisir que lui inflige un mâle dominateur et  regard rieur de la femme qui maitrise le jeu de bout en bout.

Ryo - "Si cette chance arrivait Rachele, vous regretteriez peut être de vous être laissée aller à vos envies. Je suis agressif quand quelqu'un me plait."

A cette idée, le regard de Rachele s'embrase plus encore, comme si elle cachait au fond d'elle-même le secret désir que cela arrive mais sans pouvoir en concrétiser le fantasme par nécessité de bien faire. Toujours le même adage, les lettres d'or de la mafia: "rien de personnel, c'est le bisness". Aussi la baronne reste t'elle maitresse d'elle-même bien que sa voix tremble légèrement et que son odeur se face soudain plus forte dans l'habitacle, preuve indéniable qu'elle s'est elle-même mise à mouiller abondamment.

Rachele – Ho ? Il y a des moments où vous ne l'êtes pas ? Agressif ?

Ricane la perfection italienne, à la peau halée et diaphane.

Ryo - "Non ... en fait vous ne regretteriez rien, vous adoreriez..."

Les yeux de Rachele forment soudain deux fentes vicieuses au dessus d'une bouche légèrement entrouverte, comme celle d'une amante sur le point d'embrasser fougueusement son partenaire, ou comme un serpent sur le point de mordre...

Rachele – Je n'en doute pas...

Murmure t'elle alors qu'elle semble maintenant plus menaçante encore que quand elle fit bruler vif ce pauvre Bonnassera. Mais le piège s'est déjà refermé, et le loup ne peut plus empêcher la vipère de frapper.

Ryo - "... vous faire prendre comme si c'était votre dernière fois."

Rachele – Ho ? Vraiment ? Quelle coïncidence...


A l'instant même où Ryo commence à jouir en Lydia, Rachele, avec une vivacité terrifiante, saisit un sac plastique transparent dissimulé entre les banquettes et le passe sur la tête de sa filleule. La jeune femme plonge ses grands yeux terrifiés et plein d'incompréhension dans ceux de Ryo alors que sa tentative de respirer ne fait que plaquer le sac contre ses lèvres et son nez, épousant à la perfection les traits de son visage.

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Les secondes suivantes semblent s'étendre à l'infini. A chaque convulsion du corps de Ryo, que ses couilles crachent une rasade de sperme brulant dans le corps de la jeune femme, la poitrine de Lydia se soulève et se bloque, faute de trouver l'air nécessaire à sa survie, lui faisant ouvrir toujours plus grand ses lèvres pulpeuses.

Rachele – Chuuuu... chuuuu... laisse toi aller esclave... c'est presque fini...

Son corps pantelant, totalement détendu par la drogue, ne résiste même pas. Ses bras en croix reposent, inertes, sur la banquette de la limousine pendant que ses lèvres bleuissent. Encore quelques coups de reins, quelques longues et délicieuses éjaculations, quelques contractions du corps tremblant et faiblissant de la victime. Soudain, elle se cambre doucement en arrière et un filet de ciprine commence à gicler sur le torse du flic.

Rachele – Voila... voilaaaa... c'est très bien... et maintenant on dit au revoir... au revoir Lydia... au revoir...

La baronne maintiens le sac plastique sur le visage de sa protégée pendant que celle-ci s'affaisse, le corps agité de derniers soubresaut de vie. Ses yeux roulent dans ses orbites et la giclée de ciprine de son ultime orgasme se transforme en petit filet d'urine qui s'écoule lentement hors de son corps inerte.

Rachele laisse glisser le cadavre de la jeune femme à leurs pieds et se réinstalle confortablement sur la banquette, face à Ryo, sans prendre la peine de réajuster sa robe, préférant garder sa poitrine et ses cuisses nues, lui offrant toujours le spectacle excitant de sa vulve parfaite et délicatement ourlée de quelques goutes d'une mouille odorante. Elle prend une nouvelle coupe de champagne et la porte à ses lèvres, léchant d'abord les goutes sur le rebord, le regard toujours sombre et brulant braqué sur Ryo.

Rachele – Que disiez vous à propos de baiser jusqu'à la mort ? J'étais distraite...

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: lundi 04 avril 2022, 17:45:49 »
Ryo - "Je n'en ai pas la moindre idée Donna. Mais bien plus que ce tout ce que je possède. Vous m'honoreriez de ce cadeau."

Rachelle lui sourit d'un air carnacier pendant qu'elle lèche les lèvres de sa filleule en perçant Ryo d'un regard pervers et lubrique. La noirceur de ses pupilles promettant l'accomplissement des fantasmes les plus fou comme des tortures les plus abominables.

Rachelle – Ce n'est pas un cadeau Monsieur le Policier, c'est un acompte... ton contrat... et tu vas le signer avec le sang de son Imène maintenant...

Dona Florenza n'a pas besoin d'en demander plus, la brute se jette déjà sur sa proie et paraphe son pacte avec le Diable. Profitant que Ryo saisit Lydia par le cou, Rachelle se laisse glisser derrière le dos de celle-ci pour que l'apprentie prostituée se retrouve coincée entre le corps puissant du flic et les seins obusiers de la mafieuse. Leurs deux corps presque nu sont maintenant l'un sur l'autre. Totalement désorienté, la jeune femme gémit faiblement  et tente de lever ses bras dépossédés de toute force. Mais Rachelle les lui saisit entre les siens et les bloque contre sa poitrine pour que sa victime soit totalement offerte à son premier client.

Avec une dextérité presque arachnéenne, qualificatif qui va fort bien à la mafieuse, Rachelle se sert de ses propres jambes pour obliger Lydia à écarter les siennes. Ainsi Ryo peut admirer le spectacle de leurs deux vulves, proprement rasées et offertes à son énorme queue, même si le baroudeur des bas fond sait que l'une des deux lui vaudrait une balle dans la tête.

Pas encore... Plus tard... peut-être, s'il arrive à dresser la baronne.

La position est astucieuse et perverse, car en se couchant sur Lydia, Ryo se retrouvera également face à Rachelle, et quand il pénétrera la petite chatte de la débutante, il aura l'impression de baiser la belle italienne en même temps... mais sans le pouvoir...

Lydia gémit à nouveau et rougit de honte, mais Dona Florenza capte son regard en plongeant ses pupilles langoureuses dans les siennes. Lentement, elle lui lèche le coup avant de lui susurrer:

Rachelle – Détend toi petite pute... tu vas adorer ça tu vas voir...

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Comme hypnotisée par le regard et le discours doucereux de Rachelle, Lydia regard le gland énorme de Ryo se présenter à la porte encore intacte de sa féminité avec de grands yeux pleins de peur et d'interrogation. Rachelle la regarde en souriant avec fierté, comme une dresseuse de chevaux admirant le premier galop d'une jument de son écurie. Et sans douceur ni ménagement, le flic enfonce sa poutre épaisse et déchire son innocence en la faisant hurler tans de surprise que de douleur.

Immédiatement, Ryo sent la chaleur et l'odeur cuivrée du sang se mêler à celle, plus acre et féminine de la ciprine alors que la belle droguée commence à mouiller abondamment autour de sa queue. Alors qu'il commence à aller et venir sans ménagement, à ramoner sa petite chatte toute serrée comme si c'était celle d'une pute usée par des kilomètres de bites, Rachelle écoute les premiers cris de souffrance mêlés de plaisir de sa "protégée" en se mordillant la lèvre inférieur.

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Le plaisir du spectacle, l'excitation, la concupiscence, l'envie de subir le même sort se lisent sur son visage. Des souvenirs flous se bousculent dans sa mémoire, sa première fois avait été si semblable. En lieux et place d'une limousine, des murs de béton décrépits et un vieux matelas taché de sperme et de sang en avait été le décor mais pour le reste tout était presque identique.

La cock et les amphétamines qu'on lui avait injecté pour la rendre chaude et malléable, la pute qui lui avait liés les bras et jouait avec ses seins pendant que la grosse queue de son oncle qui lui faisait pousser ses premiers cris de douleur et de plaisir...

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L'excitation de ce souvenir superposé au présent la fait vibrer et trembler de désir mais ce n'est pas à elle de jouir de ce moment. Pour que le flic lui mange dans la main, elle doit peupler son esprit de mec du fantasme de la baiser, pour ne leur accorder cette délivrance qu'une fois qu'il se sera damné pour elle...

Ryo - "Le spectacle est bon?"

Rachelle essai de garder sa contenance mais sa voix vibre et tremble d'excitation.

Rachelle – Je suis satisfaite... pour le moment, j'adore regarder baiser mes galgos... continuez comme ça et...

Elle passe un bras le long de son corps et vient caresser les bourses de Ryo  avant de remonte vers la base de sa queue qu'elle accompagne à chaque fois qu'il s'enfonce en Lydia...

Rachelle – vous aurez peut-être la chance de m'avoir à vos pieds une de ces nuits...

22
One Shot / Re : Flys
« le: dimanche 27 mars 2022, 18:43:58 »
Izumi - UNE SEULE FOIS S'IL VOUS PLAÎT... S'il vous plaît...

Les infirmières restent sourdes à ses suppliques et continuent de prendre des notes et de "préparer" Kimaya sous les yeux de sa propre fille. Et visiblement, soumettre sa ravissante maman à un odieux spectacle hypnotique ne semble pas leur suffir. L'une d'entre elle fait couiner les roulettes d'une table de travail entre la civière sur laquelle est attaché Ibiki, son petit ami et le fauteuil sur lequel est allongé sa mère. Sur la table, divers objets étranges, des sextoys, mais aussi des seringues et des flacons d'une substance rose. La doctoresse à la peau sombre ajoute alors:

Doctoresse Sonia - Madame la Directrice veux s'occuper de la jeune rebelle elle-même, nous allons donc nous concentrer sur sa maman et son petit ami le temps qu'elle arrive Mesdames. Veuillez continuer avec la patiente 519 pendant que je prépare le matériel pour Monsieur Ibiki...

Ibiki - MMMM ?!

Gémit le jeune homme sous son bâillon en relevant la tête pour regarder aussi terrifié qu'interrogateur, la doctoresse. Il recommence à se débattre mais la camisole est trop bien attachée. Pendant ce temps là, les infirmières remontent la jupe de Kimaya pour révéler un vulve ravissante et délicate, Izumi remarque même qu'elle ressemble beaucoup à la sienne, en plus grande.

Infirmière - Visiblement, la patiente 519 n'a pas l'habitude de faire des folies de son corps malgré sa beauté, ses parties intimes semblent presque intactes.

Note une des infirmière avant de saisir un long tube en latex. Elle fait un signe de tête à sa partenaire qui presse le bouton d'activation d'une étrange machine qui se trouve sur la table de travail. Un petit bruit de martellement se fait entendre dans le cœur de la machine et un bruit de sussions au bout du petit tube en latex qui s'avère être en fait une ventouse à aspiration.

Infirmière - Nous allons développer la taille et la forme de ses terminaisons nerveuses pour obtenir une meilleur réponse aux stimulations sexuelles. Cela devrait augmenter sa sensibilité et la fréquence de ses orgasmes à l'avenir...

Izumi – Salopes...

Murmure la belle rebelle, toujours prisonnière de sa propre camisole. Mais encore une fois, son intervention est totalement ignorée par le "personnel médical". Celle qui tenait la ventouse la rapproche maintenant du clitoris de la jeune maman qu'elle vient de libérer de son petit capuchon de chaire.

Infirmière - Attention chère patiente, cela va tirer un peu... mais vous allez adorer ça...

Elle dispose la ventouse autour du clitoris de Kimaya qui se fait brutalement happer vers le haut, lui arrachant une véritable jiclée de ciprine ainsi qu'une nouvelle complainte de plaisir et de surprise.

Kimaya - HO ? HOOOOOOOOOO !!!

Son petit mont de plaisir gonfle et se gorge de sang, il devient rouge rubis, s'allonge, palpite, tremble alors que ses cuisses se couvrent de mouille brûlante, brillante sous la lueur blanche des néons.

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Kimaya commence à frotter son bassin sur le fauteuil, d'arrière en avant, de manière obscène, comme si elle tentait de se masturber le cul sur celui-ci, comme si tout son corps demandait à se faire baiser.

Izumi - SALOPE !

Hurle alors la belle rebelle. Elle a criée si fort que sa mère semble l'avoir entendu malgré le casque sur ses oreilles. Sa maman tourne son visage déformé par le plaisir et la lutte vers elle et tente de bafouiller quelques mots, mais la bave qui coule de ses lèvres l'empêche d'être compréhensible.

Izumi - SALOPES SALOPES SALOPES !! DÉTACHEZ MOI VOUS ALLEZ VOIR !!!

A nouveau, les hurlements d'Izumi parviennent à briser la trans de sa mère qui tourne toujours le visage vers sa fille et essai de parler malgré l'hypnose.

Kimaya – Izu... ma... ma ché... chér... hooooooo.... sexe.... bai... baiser... obéir... NON ! Non... Izumi ma chérie, fuit... fuit... je suis dé... hooo c'est bon hooo... n.. non... je suis désolée... va t'en vite...

Les infirmières se regardent, l'air surprise, mais leur étonnement laisse rapidement place à un sourire sardonique et pervers. L'une d'entre elle retourne son visage amusé vers Sonia  et lui dit:

Infirmière – Docteur, il semblerait que notre future femelle gestante ait décidée de résister finalement...

Sonia – Ho vraiment ? Comme c'est amusant... ça tombe bien, j'avais justement préparé un petit cocktail pour le patient Ibiki... mais dans ce cas... nous allons l'administrer d'abord à notre belle petite maman...


Ibiki – MMMMM ?!

Ibiki réagit encore une fois en regardant ces femmes perverses d'un œil terrifié et essai à nouveau de se débattre. De son côté, Kimaya lutte toujours contre l'hypnose et répète en boucle à sa fille:

Kimaya - Fuir... chérie... tu.. fois fuir... désolée... suis... esclave.. NON ! C'est ma faute...

Sonia s'approche de Kimaya, elle tient une seringue pleine de la substance rose du flacon. A son approche, les infirmière commencent à découper à la hâte les vêtements de la mère d'Izumi pour qu'elle soit enfin nue. Elles posent de petites électrodes sur ses seins et s'écartent.

Kimaya – Izu ma petite chérie... je... fuir... fuit ma chérie...

Sonia – Tss tss tss... ma chère patiente, vous êtes vraiment au plus mal... rassurez vous... je vais vous aider... tous vos problèmes, toutes vos peurs, toutes vos vilaines pensées compliquées vont s'envoler d'un seul coup...


Dit la doctoresse en s'installant à la droite de la mère de famille en pleine lutte pour lui saisir le bras.

Kimaya – Non... non... libre... libérez ma fille... pi.. pitié... pitHEN...

La seringue vient de pénétrer le bras de Kimaya sous les yeux de sa fille et d'Ibiki qui ne peuvent rien faire pour l'aider. Sans la moindre pitié, Sonia presse le piston et le liquide épais et sirupeux dessine à fleur de peau la veine dans laquelle il est injecté.

Kimaya – GAAAAAAAAAAAAA !!!

Tout le corps de la mère d'Izumi se cambre en avant comme si elle avait reçu un coup de poing dans le dos. Elle écarte grand les cuisses et se met à jouir en hurlant, déversant un flot ininterrompu de ciprine et d'urine mélangée pendant qu'elle perd totalement le contrôle de son corps. Des larmes épaisses coulent de sous son bandeau, derniers vestiges de sa volonté et de sa peine alors que toutes ses émotions sont dissoutes dans un maelström de sexe, d'orgasme et de folie.

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23
La zone industrielle / Re : 50 meters down... (PV Skyler)
« le: dimanche 20 mars 2022, 19:34:42 »
Rachele savoure sa victoire à chaque supplication de la jeune femme qui a osé la défier. Elle jubile, elle se gargarise de son expression d'horreur, de ses bruits de gorge, de ses hoquets de dégout. Elle s'imagine déjà les exposer, elle et ses amies, lors de son prochain grand balle des criminels de la ville, devant celles et ceux qui l'ont vue ridiculiser Dona Florenza dans son propre club.

Tous pourrons admirer son triomphe, tous pourrons trembler devant son courroux et surtout, tous dirons qu'affronter Max, c'est ce condamner à un sort bien pire que la mort. Mais le moment n'est pas encore venu, non. Avant cette apothéose elle doit préparer le spectacle, entrainer ses nouvelles "artistes". Nul doute que Sonia était déjà en train de s'occuper de la belle blonde pendant qu'elles étaient ici, Rachelle lui avait demandé de tout filmer pour que Skyler ne rate rien, ça avait été une bonne idée, voir sa lieutenante travailler l'excitait autant que la terrifiait, nul doute que ce serait pareil pour ses nouveaux jouets...

Mais son esprit vagabonde déjà. Elle se ressaisit et quitte le fantasme pour revenir à la réalité, qui n'est pas si différente. Elle reporte son regard sur Skyler, qui semble faiblir et commence à supplier d'arrêter...

"La pauvre" se dit Rachele, "elle est loin d'imaginer que ce n'est même pas encore le début, à peine un prologue à ce qu'elles vont toutes subir par sa faute."

Rachele en frisonne d'excitation et se penche à nouveau vers sa prisonnière.

- Pas en supporter plus ? Vraiment ma belle ? Vraiment ? Tu trouve que ça... c'est déjà tout ce que tu peux supporter ? Que tu es adorable... j'aime ta naïveté... tu me fait penser à moi quand j'étais à ta place... moi aussi je croyais qu'il ne pouvait pas y avoir pire... mais tu vas voir...

Elle se penche vers Skyler et lui susurre à l'oreille:

- Il y a toujours pire...

Et sans bouger, elle lève les yeux vers un des garde du corps qui s'est déshabillé et à enfilé une cagoule pour participer. Elle lui fait un signe de tête et Skyler sent des bras puissants se refermer derrière son dos pour la soulever. Elle sent également la surface chaude de son pénis presser le long de ses fesses. Mais c'est le spectacle devant elle qui est le plus horrible. Elle surplombe désormais son père qui convulse toujours comme un dément. Le gorille est en train de l'entrainer au dessus de son énorme queue turgessante dans le but de l'empaler dessus...

Rachele lui agrippe un mollet d'un coté pendant que de l'autre, la bodybuildeuse lui saisit la cuisse pour l'obliger à bien écarter les jambes.
Derrière elle, Skyler peut à peine entendre Julia et sa petite amie hurler d'horreur sans trouver de mot à dire. Malgré tous ses effort, elle ne pourra pas empêcher ces trois monstres de positionner lentement sa vulve au dessus du gland de son père, avant d'y enfoncer d'abord le bout, pour finalement la laisser s'affaisser de tout son poids sur sa hampe jusqu'à ce que leur hanches se rencontrent, lui déchirant sauvagement l'imène.

Totalement rendu fou par le désir, son père donne de violent coups de reins pour la pilonner à la recherche de l'orgasme qu'on lui refuse depuis des jours.

- Regarde comme il prend du plaisir... On peut le comprendre... après avoir vu pousser une belle plante comme toi, il a enfin l'honneur de pouvoir la baiser pour sa première fois... N'est ce pas merveilleux ? Ein ? De se faire dépuceler par son père ? Après tout... quel homme t'aime plus que lui ?

Comme pour lui répondre, l'homme attaché grogne et gémit pendant qu'il fait des vas et viens en elle.

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(Sans le bâillon sur la troisième image)
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24
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: samedi 28 août 2021, 21:46:40 »
L'habitacle de la limousine est aussi spacieux que luxueux, les fauteuils sont épais et rembourrés de manière à pouvoir s'y enfoncer confortablement. Deux rangée de places se font face devant une petite plateforme central, les vides poches des portières ont été remplacé par un baque à glaçons dans lequel trône une bouteille de champagne. Il y a également un porte flutes de champagne et un boitier en cristal dans lequel est disposé quelques sachets de poudre blanche, des pailles, des cachets de différentes formes et couleurs ainsi que de petites seringues  que le flic reconnaitra sans peine, le parfait petit attirail du junky de luxe...

Rachele fait s'assoir la ravissante orpheline au milieux et s'installe juste à côté d'elle, bien que sa posture corresponde presque à "sur elle" tans la mafieuse l'enserre, l'étouffe presque et se colle à elle en la gardant dans les bras. Elle fait un nouveau signe de tête pour que Ryo s'installe en face d'elles.

En le voyant entrer à son tour, Lydia pousse un nouveau gémissement de terreur et se crispe, mais Rachele la retient dans ses bras et lui parle à nouveau d'une voix qui se veux apaisante mais à laquelle le flic reconnait des notes perverses...

Rachele – Détend toi ma chérie... détend toi... n'est pas peur, oubli sa présence, dans quelques instants tu te sentira mieux, tiens prend une coupe de champagne...

La Baronne serre trois coupes pendant que la porte de la limousine se referme et que le paysage de décharge disparait peu à peu derrière les vitres teintés. Elle offre une coupe à Ryo puis à Lydia qui la prend d'une main tremblante.

Rachele – Hooo... regarde toi ma chérie, tu as l'air de tellement souffrir, ça me fend le cœur tu sais. Attend, j'ai quelque chose pour te détendre, grâce à ça tu vas passer une bonne soirée tu vas oublier toutes les horreurs que tu viens de voir...

Rachele ouvre le boitier et prend une petite pilule rose fluoressante qu'étrangement, le flic ne reconnait pas malgré son savoir quasi encyclopédique sur les stups.

Lydia – Qu... qu'es ce que c'est marraine ?

Rachele - Fait moi confiance ma chérie, tu sais que tu peux me faire confiance... tu as plein d'horribles images dans la tête n'es ce pas ?

Lydia - *retient un sanglot* Oui...

Rachele – Avec ça... envolées les images, tu vas à nouveau être heureuse, tu vas te sentir bien... tellement bien...


La belle idiote fait un "oui" de la tête et prend le cacher entre ses doigts pour l'avaler  avec une rasade de champagne. Rachele accompagne son mouvement en poussant la coupe de Lydia vers sa bouche et lui fait vider sa coupe "cul-sec".

Rachele – C'est bien ma chérie... je suis si fière de toi... c'est une nouvelle vie qui va commencer pour toi... libérée de tes peurs, de tes souvenirs, de toutes ces pensées compliquées qui t'empêchent de profiter de la vie...

Lydia papillonne des yeux en regardant Rachele d'un air interrogatif, ses pupilles commencent à se dilater doucement.

Lydia – Nou.. nouvelle vie ? Quelle nouvelle vie ? Je... je veux pas... j'ai... mes copines... ma maison... mes parents...

Rachele rit en portant sa propre coupe à ses lèvres et fait un clin d'œil aguicheur à Ryo.

Rachele – Comme tu es amusante ma chérie... tu vas oublier tout ça.. n'ai pas peur... tu ne vas plus y penser.. en fait... tu ne vas plus penser du tout... tu vas enfin profiter de ton corps...

Dit la mafieuse en déboutonnant délicatement le chemisier de Lydia de bas en haut pour révéler son ventre plat et athlétique de jeune femme tout juste entrée dans l'âge adulte. Puis ses seins, déjà beaux et bien fait, portant la marque plus claire d'un soutien gorge sur un bronzage délicatement halé.

Lydia – Plus.. plus... penser ? Comprend... comprend pas... Maraine... qu'es ce que... tu... fais quoi ?

Les mains de Lydia essaient lamentablement de monter vers celles de Rachele pour chasser ses doigts de son buste, mais ses gestes sont mous, lent, son corps tout entier se détend progressivement à mesure que sa respiration devient plus forte et profonde. Sa peau se couvre d'une fine pellicule de sueur et l'odeur légèrement acide de sa vulve encore vierge se repend dans l'habitacle.

Rachele – Chuuuuu... ma chérie... oublie tout... laisse toi aller... tu vas adorer ça...

Répond langoureusement Rachele en passant une main derrière son dos. Ryo peut entendre un petit cliquetis. C'est une des attaches de sangles de sa robe moulante noire, probablement la première derrière son buste car son opulente poitrine se déverse soudainement du vinil noir pour venir encadrer, presque emprisonner le visage de Lydia entre ses masses généreuses. Ses tétons sont plus sombres et ses oréoles juste asse grosses pour être prise dans la bouche.

Rachele frotte son corps contre celui de la jeune femme tout en lançant des regards provocateurs à Ryo. Lydia ne parvient plus à  résister, ses yeux roulent de droite à gauche et de haut en bas à mesure que son esprit chavire en s'embrume. Elle reste consciente, mais sans parvenir à se défendre ou à se refuser à la baronne qui fait glisser lentement la jupe de sa proie vers ses chevilles.

Lydia – Nan... je... je nan... je...

Rachele – Chuuuuu... chuuuu... ne résiste pas... laisse moi t'aider... ta nouvelle vie commence petite pute... et tu as de la chance... ce soir tu as ton premier client...


Lui chuchote Rachele en lui écartant délicatement les cuisses pour offrir à Ryo le spectacle de ses doigts qui viennent tirer sur la mince ficelle de son stringue pour révéler sa vulve intacte et humide. Elle lance un nouveau regard langoureux au flic et utilise sa main encore libre pour venir caresser le tissu de son pantalon, là où sa verge dessine une bosse. Elle lui chuchote:

Rachele – Vous connaissez le prix d'une vierge de sang royal Monsieur le Policier ? Es ce le genre de paiement que vous aimez pour vos services ?

Puis sa bouche se referme sur le sein gauche de sa nouvelle esclave sexuelle qu'elle commence à masser entre ses lèvres pulpeuses.

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Lydia – Haa...hooooo qu'es ce que... je... hoooo... ma tête... je...

La belle captive commence à rougir et mouiller sur les doigts de Rachele. La baronne lui écarte les lèvres intimes pour révéler la porte de son vagin encore intact et fait un petit signe du doigt au flic pour qu'il les rejoignent...

25
La zone industrielle / Re : 50 meters down... (PV Skyler)
« le: mardi 24 août 2021, 23:19:10 »
Quand la langue de Skyler se pose sur le gland de son père, tout son corps d'homme mure se tend d'un seul coup et sa verge gonfle encore plus. Il pousse un long gargouillement mêlant horreur bien sur, mais aussi plaisir...

Père - GHUUUU HOOOOOOO !!!

Quelques goutes de liquide pré-séminal ruissèlent de la bouche affamée de son gland et se mêlent à la substance gluante qui couvre son membre tout entier. Quand elle le sent dans sa bouche, Skyler découvre la texture poisseuse et le gout amère du sexe d'un homme, mais elle reconnait également un autre saveur, chimique celle-ci et qui ne lui est pas étrangère. Il s'agit du gout d'une pommade chauffante et extrêmement vaso-dilatatrice (dilate les vaisseaux sanguins pour augmenter l'afflux de sang) que les sportifs utilisent par fois pour faire affluer le sang vers certaines parties de leur corps à l'effort. Elle comprend alors pourquoi la queue de son père est si sensible et Rachele, en voyant sa réaction sourit et confirme ses craintes.

Rachele - Tu a reconnu ? On s'amuse beaucoup avec ça et c'est un peu grace à toi... je ne connaissais pas du tout cette molécule avant de faire mes recherches sur toi et ton milieux sportif... On masse la queue de Papa Skyler depuis hier avec cette pommade et ça le fait bander comme un taureau, regarde comme ses veines et même ses petits vaisseaux ressortent, l'afflux sanguin est impressionnant et même alors qu'on lui a fait un joli garrot... mais tu vas mieux t'en rendre compte en le suçant...

Et sans tenir compte une seconde des supplications de Skyler, Rachele met ses mains de chaque coté du visage de la belle boxeuse et l'entraine lentement vers le bas jusqu'à ce que ses lèvres commencent à s'empaler sur le membre dressé de son père qui recomence à gargouiller de plaisir.

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Sur sa langue, sur ses joues, Skyler sent palpiter les veines surgonflées de la grosse queue qui lui viole la bouche. Elle la sent palpiter et se convulser frénétiquement pendant que son père grogne et râle comme un animal pris de démence. Rachele continue d'entrainer sa tête vers le bas, étalant le pré-sperme de son père sur son palais, puis dans sa gorge, avant de la faire glisser en arrière pour la faire ressortir, offrant à Skyler le spectacle odieux du sexe de son père, couvert de sa propre salive.

Mais elle n'a pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit d'autre avant que la mafieuse ne la force à nouveau à s'empaler la bouche sur sa grosse queue. Guidant sa tête de bas en haut, puis encore de bas en haut, trois fois, quatre fois, un tout petit peu plus vite à chaque fois, à mesure que le corps de son père convulse de plus en plus, que ses grognements se font de plus en plus fort, de plus en plus bestiaux.

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Julia - Ho mon dieu... qu... quelle horreur... Sky...

Murmure Julia, horrifiée, Emilie, elle, trop innocente pour résister au traumatisme, se terre dans un mutisme total, ses yeux perlent des larmes de tristesse pour sa petite amie contrainte de subir le viol le plus abject qui puisse être. Le spectacle odieux continue encore quelques vas et viens bruyants au cours desquels le père de Skyler se met a grogner et même hurler de frustration.

Rachele - Papa a été un bon petit soldat ma chérie, on va le récompenser un peu !

Sur ces mots la baronne perverse saisit le nœud du garrot qui écrase les bourses et la hampe du père de Skyler. Elle fait un clin d'œil à la boxeuse et se lèche les lèvres avant de le desserrer d'un seul coup !

Père - UUUUUUUUUU !!!!!

L'homme enchainé pousse un grognement délirant  alors que son sexe enfin libéré gicle profusément une énorme rasade de sperme au visage de sa propre fille.

Rachele - Avale le ! Avale petite pute ! Boit le sperme de papa...

Rachele passe ses longs doigts sur la gorge de Skyler et l'étrangle d'une seule pression brutale pour l'obliger à ouvrir la bouche au moment ou son père jouit de nouveau et gicle cette fois-ci au fond de sa gorge offerte.

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La baronne resserre alors le garrot de nouveau, ce qui arrache un hurlement de frustration au père de Skyler qui ne peut pas continuer à jouir.

Rachele - Doucement doucement bel étalon ! On doit en garder le plus possible pour la suite...

26
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: lundi 23 août 2021, 19:59:23 »
En regardant "travailler" son nouvel associé, Rachele découvre avec surprise que le portrait qui lui en avait été fait était bien loin de brosser toute la brutalité et la sauvagerie du mastodonte. Il est sans pitié, cynique même, au point d'être capable de faire de l'humour noir alors qu'il exécute sa proie de la plus monstrueuse des manières.

Le spectacle est à ce point odieux que la belle Baronne n'arrive pas à sourire de satisfaction en découvrant la vélocité de l'animal. Elle regarde le vrai Ryo, la Bête tapis sous sa peau, à seulement quelques millimètres sous la surface, prête à se déchainer dès qu'on lui en offre l'opportunité...

Et des opportunité, Max compte bien lui en offrir. Elle s'était demandé jusqu'ici de quelle manière elle parviendrait à instaurer SA loi dans le quartier de la Toussaint. En regardant l'Agent Nagata à l'œuvre, elle sait... ce sera la peur...

Il sera l'instrument de son courroux, le monstre tapis dans la ruelle, sous le lit, dans le placard, le psychopathe masqué qui marchera imperturbablement derrière ses victimes pour les clouer aux murs de leurs forteresse. La Famille de la Toussaint tremblera, ses gangs chieront dans leurs frocs, la terreur sera leur camisole de force et dans ce climat de paranoïa permanente, MAX règnera en maitresse absolue.

Ryo - Balance là au feu ! Non, j'déconne!

La belle brunette pousse un petit cris de détresse en se jetant dans les bras de Rachele qui l'accueil de manière réconfortante. La Baronne, très satisfaite de pouvoir jouer au "gentil flic méchant flic avec Ryo" lui passe les mains dans les cheveux et la serre contre elle de manière amicale, maternelle même.

Rachele - Allons allons ma chérie, tu ne crois quand même pas que je vais laisser le méchant méchant monsieur faire du mal à ma filleule ?

Totalement traumatisée par le spectacle que viens de lui offrir Ryo, la belle italienne, encore trop innocente pour comprendre ce qu'il se passe, ne réalise que sa marraine est en fait la maitre d'œuvre de l'exécution sordide de ses parents. En cet instant, elle ne la voit que comme une figure réconfortante et protectrice. Du point de vue du policier, cela donne l'impression de voir une ravissante petite libellule prendre dans ses bras l'araignée qui l'a piégée dans sa toile pour la dévorer.

Ryo - En vérité Rachele, je suis à présent très excité. C'est une nuit pleine de surprise et j'espère que vous m'en réservez d'autres.

En entendant sa voix, Lydia pousse un nouveau gémissement de peur.
Rachele de son coté, ricane intérieurement. Ainsi le bel étalon pense qu'il aura droit au "saint des saint" des son premier soir. C'est bien mal connaitre la mafieuse. Dona Florenza n'aurait pas tous les Puissants de la ville à ses pieds si elle se donnait ainsi, aussi facilement, sans donner à l'autre l'impression de se battre et de gagner quelque chose d'exceptionnel.

Le temps viendrait où elle gouterait avec plaisir au corps et à la bestialité de Ryo Nagata, mais avant, elle devait à tout prix lui le lui faire désirer plus que tout. Elle ne s'offrira à lui, qu'une fois qu'elle aura peuplé ses rêves enfiévrés au point qu'il n'en dorme plus la nuit...

Avant de lui répondre, Rachele raffermie son emprise psychologique sur sa petite prise tremblotante. Elle lui caresse les cheveux, lui embrasse le front, l'éloigne du brasier parental pour l'approcher subrepticement vers la limousine.

Rachele - Laaa laaa mon ange, il ne te fera pas de mal, ne t'inquiète pas, Marraine Rachele est là pour te protéger... viens avec moi, partons d'ici, je te raccompagne chez toi... tu ne seras plus jamais seule je te le promet...

Max lance à Ryo un regard plus brulant encore que les braises qui crépitent non loin de lui. Elle plisse légèrement les yeux et se mordille la lèvre en laissant très clairement descendre son regard vers le renflement de son pantalon. Puis elle lui offre le plus malicieux et pervers de ses sourires et fait un petit signe de tête pour l'inviter à les suivre. Un gorille leur ouvre la porte, Rachele fait monter Lydia, puis prend place à coté d'elle en prenant soin de laisser la porte ouverte à Ryo pour qu'il puisse les rejoindre.

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La zone industrielle / Re : 50 meters down... (PV Skyler)
« le: mercredi 18 août 2021, 21:23:14 »
Max regarde sa proie affronter sa rage et son dégout pour diriger ses coups vers la table et nom son beau visage. "Parfait", se dit elle, "elle à parfaitement bien compris la situation..."

Car la moindre violence envers Rachele aurait irrémédiablement entrainé la mort de ceux qu'elle aime et la belle Boxeuse en est consciente. Forte de ce fait, la Baronne la regarde passer ses nerfs sur son bureau, prenant note de le rembourser avec les premiers dollars que lui rapportera Skyler...

Skyler - Julia… On ne peut rien faire… Elle est folle… Tout ce qu’elle dit elle va le faire… Arrête de te battre… S’il te plaît… Pour mon Père… Pour Lola et Emilie...

Julia laisse échapper une larme et continue de se battre quelques instants pour tenter de pousser Skyler a continuer le combat.

Julia - Non... Sky... on n'a pas le droit d'abandonner... je t'en prie ! Bas toi ! Bas toi ! On peut gagner ! Sky... mon dieu... j'espère.. j'espère que tu as raison...

Julia lance un regard plein d'espoir à Skyler et baisse les bras, elle obéit à son amie, sa rivale de toujours et remet son destin à sa decision. Elle arrête de se battre. Le gorille en face d'elle l'oblige à se retourner dos à lui, face à Rachele et lui attache les poignets avec d'épaisses menottes de cuir et d'acier. Puis il se baisse pour lui attacher des menottes aux chevilles avec une chaine juste assé longue pour lui permettre de faire des petits pas, mais pas plus, impossible comme cela de donner un coup de pied.

Julia - Sky... J'espère que tu as un plan pour nous sortir de la... on pouvaient gagner...

Mais la belle boxeuse est maintenant focalisée sur leur ennemi et lui demande:

Skyler - Laisse les partir… Ils n’ont rien fait… C’est moi que tu veux…

Rachele garde son sourire triomphant mais lui répond avec le plus grand sérieux, comme si elle énonçait une loi immuable:

Max - Je t'ai donné ma parole d'honneur que je ne tuerais aucune d'entre vous, ni ton père. Et je tiendrais parole, crois moi, vous allez vivre... mais tu es consciente que je ne peux pas les relacher pour qu'ils aillent tout balancer aux flics. Alors, je vais vous garder jusqu'à ce que tu sois... "satisfaite".. de bosser pour moi. Alors je vous demanderait à toutes si vous voulez partir ou pas. Et je te fait encore une promesse sur mon honneur: quand je le demanderais, chacun de vous qui me demandera de partir sera libre

Elle prononce son nouveau serrement d'un ton énigmatique, un lueur perverse et malsaine dans le regard. Puis les doigts du garde du corps se referment sur les poignets et les chevilles de Skyler pour lui passer les même menottes qu'à Julia.

Max - Bien, vous avez toutes jouées un rôle important dans ma prise de ce soir mes damoiselles d'infortune. Alors je vais récompenser chacune d'entre vous pour ce qu'elle à fait...

Le garde du corps force Skyler à se retourner vers ses amies, les trois jeunes femmes sont maintenant toutes affublées de ces épaisses menottes de poignet et de cheville qui permettent de les manipuler sans le moindre danger. Lola et Emilie la regardent d'un air terrifié quand Julia, toujours combative foudroie Rachele du regard.

Rachele contourne son bureau fracturé et vient se positionner à coté de Skyler pour lécher une goute de sueur qui coule le long du cou de la boxeuse. Sa langue file jusqu'à sa chevelure, là où est née le ruicèlement.

Max - Pour toi qui a demandé à ton amie de se rendre et m'a permise de vous tenir toutes dans ma main, je t'offre d'aller voir ton père et de nous assurer ensemble de son bien être. Tu es d'accord ?

A ces mots le regard de Julia se durcit encore et passe de Rachele à Skyler, son impuissance et sa reddition la rendent folle de rage. Tous les muscles de son corps se tendent tels des armes impuissantes à faire feu, la jeune femme avait encore tans de force à livrer. Max soutiens son regard de braise et l'ignore de manière méprisante pour marcher vers Lola.

Elle pose des mains rassurantes sur les épaules de la belle blonde et lui dit d'une voix enjôleuse:

Max - Pour toi ma belle intello qui a réussi à attirer tes amies dans mon piège, j'ai un cadeau de choix... Tu voulais absolument devenir célèbre, ça a l'air très important pour toi... alors, pour te récompenser, je vais faire de toi une Star...

Lola ouvre de grands yeux ronds et bredouille d'une voie tremblante:

Lola - U... une Star ?

Max passe un bras autour de ses épaules et l'entraine avec elle vers l'ascenseur. Les gorilles poussent Skyler Julia et Emilie à les suivre en leur tordant légèrement les menottes. Pour marcher, les jeunes femmes sont obligées de faire de petits pas contraignant et humiliants.

Max - Ouiii... une célébrité même ! Tu vas voir, je connais tous le Show Business... Tu auras des premiers rôles dans tous les films et tu rencontreras plein de fans...

Le groupe prend place dans l'assesseur, Max entre une clef dans une première serrure devant laquelle est inscrit le mot: "clinique", l'appareil s'ébranle et commence une longue descente avant de s'immobiliser. Les portes s'ouvrent sur un long couloir blanc, illuminé de plafonniers éblouissants, percé de portes en acier à larges judas.  Devant eux se présente une femme à la peau sombre et aux longs cheveux bruns, affichant un sourire sournois et calculateur. Elle porte une longue blouse blanche de doctoresse grande ouverte sur son corps uniquement vêtus de talons et de porte jarretelle. La blancheur de sa tenue tranche avec la teinte olive de sa peau.

Max - Lola, je te présente Sonia, une de mes meilleurs amies, c'est elle qui va te préparer pour ton premier rôle...

La baronne pousse la belle blonde dans les bras de sa lieutenante qatarie et lui dit.

Max - C'est une vrai intello, comme toi, un QI de malade. Elle aussi elle veux devenir docteur ou quelque chose de compliqué comme ça... donc occupe toi bien d'elle...

Sonia - Ho ? Quelle charmante surprise ! Tu sais à quel point j'aime les esprits brillants et affutés, merci Boss.


Lola, perdue entre perplexité et peur, continue de bredouiller quelques mots tout en laissant la brune en blouse l'entrainer avec elle.

Lola - C'est i... ici... ici que je vais devenir une S... Star ? ça ressemble pas à un plateau de tournage...

Sonia - Ne t'inquiète pas chérie, je vais juste t'apprendre les ficelles du métier tu vas voir, tu vas adorer ça...


Les portes se referment. Rachele retire la clef de la serrure et l'enfonce dans une autre portant la mention "Local technique" et l'ascensseur reprend sa descente infernale vers les tréfonds du Rachele'S. Mais quand les portent s'ouvrent à nouveau, la peinture blanche à cédée la place au gris maladif du béton dévoré par la moisissure. Le couloir est sale, taché de traces de sang et de divers autres fluides d'un blanc ou d'un jaune dégoutant, les portes ici sont en fer rouillé à l'exception d'une seule, et celle la, Skyler la reconnait... c'est celle derrière laquelle son père est retenu prisonnier et torturé...

Poussées par les gardes du corps, les trois jeunes femmes sont obligées de suivre Max qui leur ouvre la marche d'un pas décidé et joyeux, la mafieuse transpire la satisfaction, l'exultation de la victoire. Elle arrive devant la porte et fait un clin d'œil coquin à Skyler avant de l'ouvrir.
Là, l'odieux spectacle se répète. Son père est toujours attaché de la même manière, la femme bodybuildée joue toujours avec son membre viril, tanto en le massant entre ses doigts, tanto en faisant danser la pointe de son couteau le long des veines qui l'irriguent.

Rachele se rapproche à son tour et s'accroupie à coté de la table pour jouer à son tour avec son gland et sa hampe en regardant Skyler.

Max - Regarde comme il est heureux de te voir ! Je suis certaine que ça fait des années qu'il n'avait pas bandé comme ça. En même temps... on joue à ça depuis hier avec Olga, on s'arrête juste avant qu'il ne jouisse et on lui étrangle bien le robinet à foutre pour ne pas que ça jute...

Olga, la bodybuildeuse s'approche de Skyler et remplace le gorille qui la tenait jusque là pour la faire avancer jusqu'à son père. Elle l'oblige à s'agenouiller devant lui et Rachele qui lui sourit toujours en masturbant lentement la queue de son géniteur.

Max - Je t'ai proposée de "nous assurer ensemble de son bien être" , n'est ce pas ?

Olga saisit Skyler par les cheveux et approche sa tête du sexe dressé de son père.

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Max - Alors si tu ne veux pas que j'éclabousse ton joli visage avec son sang je te propose de lui montrer ton amour... fait lui du bien et libère enfin ses énormes couilles pleines à craquer

Julia - Espèce de pute ! Comment tu peux lui demander de faire ça !? Sky ! Sky putin non !

Hurle la rivale idéaliste de Skyler alors que la boxeuse se retrouve confronté à l'horreur d'un choix.

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: mardi 17 août 2021, 22:06:26 »
Ryo - Je comprends votre tristesse. La Famille représente tout.

A cette remarque Max lève un sourcil amusé et lance au grand flic un sourire entendu. Evidemment, il n'a pas de famille, Evidemment, il y a peut de chance qu'il sache vraiment ce que le mot "tristesse" signifie... et chacun d'eux sait que l'autre sait, il s'agit donc d'une simple formule de politesse.

Mais la baronne apprécie l'effort du sombre sire et le gratifie d'une pression légèrement plus forte de son bras contre le sien pour que sa poitrine effluer légèrement son biceps.  Elle s'était attendu à ce que Nagata ne sache pas faire preuve de subtilité, sa diplomatie toute en puissance retenue la surprend agréablement et lui donne par conséquent plus de... "valeur".

Celui qui ne devait être qu'un pion, une brute de plus dans sa manche, prend alors une dimension nouvelle, qui ouvre plus de perspectives et de débouchés pour le Cartel sur le terrain que Ryo occupe. En quelques mots, d'une banalité pourtant assumée pour le commun des mortels, Max à glanée des informations et a déjà ajusté ses opinions et ses plans pour le ripoux: il sera sa "Dame" sur l'échiquier de La Toussaint.

Et une "Dame" se traite avec des égards particuliers...

Ryo - Je vous présente mes sincères respects Lady Florenza.

Max - Je vous en prie, appelez moi Rachele, mes amis m'appellent Rachele et j'ai très envie de vous compter parmi mes amis

Quelques instants plus tôt, avant qu'il ne montre un talent inattendu, la mafieuse comptais lui demander de l'appeler Max, son nom de "Boss" pourrait on dire. Mais les choses avaient déjà changé et un homme de sa trempe méritait sans doute de la nommer par son nom de femme. Cette simple marque de promiscuité l'excite beaucoup et elle espère que c'est son cas aussi car le "jeu" vient de débuter entre eux.

Roy -Approchons nous du feu, je n'aimerai pas que vous attrapiez froid.

Max rit d'un voix enjôleuse, suave, séductrice et se serre un peu plus contre le bras du flic, écrasant toujours plus sa poitrine engoncée dans le vinil.

Max - N'ayez crainte mon si prévenant ami... si j'ai décidée de porter cette robe ce soir ce n'est pas que pour vous en offrir la vue, j'adore sentir la fraicheur de la nuit et la chaleur du feu me lécher la peau. Ca me donne l'impression d'être caressée tour à tour par des mains brulantes et par des glaçons, quelles sensations extraordinaires, n'est ce pas ?

La baronne n'attend pas vraiment de réponses. Ses affirmations sont pour elles et leur but est clairement de faire monter la température, elle n'essai d'ailleurs pas de s'en cacher. De part son mode de vie et son passé, la sensualité est son expression corporelle et la sexualité sa nature profonde.

Max - "Vraiment... je me demande parfois s'il n'existe aucun homme à qui je puisse faire confiance... a qui je puisse me confier, partager mes expériences et le boulot... Pensez vous qu'un tel homme existe ?"

Ryo - Si cet homme existait, vous le tueriez aussitôt.

"Touché" se dit intérieurement Rachele en lui souriant encore une fois pour le féliciter de sa vivacité d'esprit. C'est vrai, si quelqu'un devait en savoir antant sur Max, il finirait rapidement en jouet PEZ...

Ryo - Si en revanche, vous recherchiez un type sans foi ni loi, un type violent qui résout les problèmes avant qu'ils n'apparaissent et qui serait prêt à se montrer loyal tant que les bénéfices de cette ... coopération ... pèseraient lourds, alors ma personne pourrait toute vous satisfaire.

Là, la baronne hoche la tête sans briser une seconde le contacts de leurs yeux de prédateurs, montrant qu'ils en viennent précisément à la raison de sa présence ici. Jusqu'ici, Rachele trouve son nouveau partenaire reposant, il est poli juste ce qu'il faut et connait les rouages du système. Elle n'a rien besoin de lui expliquer, aucun long spitch à lui faire, ils parlent tous les deux la même langue.

Ryo - Mais au delà de ces considérations, sachez que votre présence m'est très agréable. La Toussaint est un quartier de merde où j'ai toutes mes entrées, de quoi avez-vous besoin?

Le colosse est un parfait équilibriste qui s'amuse à danser d'un coté puis de l'autre, tanto direct et brutal, tanto attentionné et diplomate, vraiment, Rachele à de plus en plus de mal à cacher sa surprise et son intérêt pour lui. La question ne se pose plus désormais, elle le veux à ses cotés pour étendre son influence dans le quartier de La Toussaint. Intérieurement, Max se promet de mettre le paquet pour l'avoir, si toute fois, il passe son teste...

Max - Je vous retourne le compliment Ryo très cher, je dois bien avouer que vous n'avez cessé de prendre de la valeur à mes yeux depuis que nous avons commencé cette charmante balade au coin du feu. Mais comme vous avez parfaitement bien compris la raison de votre présence ici: le quartier de La Toussaint, permettez moi de vous dire que c'est avant tout de confiance dont j'ai besoin. Et la confiance, vous ne pouvez pas me l'offrir par de beaux discours, francs et directs...

Rachele siffle entre ses doigts, la porte de sa limousine crème, garé au pied des monticules de déchets, s'ouvre pour laisser sortir deux femmes, visiblement d'origine Siciliennes comme Rachele, les mains menottés dans le dos. L'une d'elle semble âgée d'une cinquantaine d'années, l'autre semble tous juste majeure et ressemble beaucoup à la première. Deux gorilles les obligent à rejoindre le duo devant les corps en feu à la lueur desquels Ryo peut voir qu'elles sont bâillonnées avec un épais scotch noir.

Max - Laissez moi vous présenter Dona Bonassera et sa ravissante fille Lydia Bonassera, n'est elle pas ravissante ?

Rachele passe une main distraite dans la chevelure de la jeune femme, sa mère crie sous son bandeau et essai de s'interposer avant que le gorille derrière elle ne la retienne et la mette à genou devant le corps de son mari, déformé par la chaleur.

Max - Hélas, mille fois hélas, ma chère amie est tombée en disgrâce en ne m'avouant pas que son mari comptait me trahir... après tous ce que nous avons partagé ensemble, j'aimais tellement nos journées "ragots"...

Rachele tend à Ryo un petit pistolet équipé d'un canon très épais et d'un suppresseur de bruit, il reconnait ce type d'arme, du 22 long rifle en sous munition, d'une vélocité très faible certes, inefficace même a courte porté et contre un gilet par balle , mais parfait pour exécuter quelqu'un sans faire le moindre bruit...

Max - Je pourrais garder la mère et la louer dans la catégorie MILF de mon bordel de luxe, elle est encore belle. Mais ce soir, j'ai besoin d'une preuve de loyauté et de confiance... et il nous restera toujours sa fille pour fêter sa après, si mon nouveau cavalier compte vraiment danser avec moi bien sûr.

En entendant ces mots, la mère et sa fille se regardent, les yeux plein d'effroi essayant de se dire quelques derniers mots malgré le scotch sur leurs lèvres.

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La zone industrielle / Roman noir [PV Ryo]
« le: mardi 17 août 2021, 16:47:07 »
Ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=y9uKFgcQtz0

Coupe de cheveux / couleur et maquillage de Rachele:
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Robe / chaussures de Rachele (sans le bandeau):
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Le cliquetis incessant et régulier de son briquet résonne tel le tic tac funeste d'une horloge dans les sombres collines de la décharge. Juchée sur un trône de pneus d'où ne dépasse que les têtes de ses invités, la Baronne contemple sans les craindre les ombres de cette vallée de la mort. Piliers de carcasses de voitures, déchets toxiques mal dissimulés, monticules bouffis de tout ce que la société défèque avec insouciance, ici, la pourriture qui ronge l'humanité pour s'en nourrir est chez elle.

Max hume l'air nocturne pour s'imprégner de ses fragrances nauséabondes avant de porter le briquet à sa cigarette, le gout âcre du tabac chasse la saveur putride de la décharge et la remplace par un gout familier et réconfortant. Elle exhale un panache de fumé dans un soupir de satisfaction et lève les yeux au ciel, vers les étoiles silencieuses... elle est enfin prête à rendre la justice des salaups et c'est définitivement une belle nuit pour mourir...

Un invité terrifié se dandine dans sa prison de pneus en gémissant. Dona Florenza baisse son regard vers les prisonniers mais ne semble pas les voir, témoignant ainsi de toute la peine et du mépris que leurs actes lui ont inspiré.

Max - Bonassera... Bonassera... qu'es je donc pu faire pour que vous me traitiez avec aussi peu de respect...

Elle marche sur le monticule de pneus autour de leur têtes comme un chat en équilibre sur une fenêtre, ses talons si près de leur visages qu'ils peuvent en sentir l'odeur suave.

Max - Vous seriez venu en ami me demander mon aide et vos créanciers, vos partenaires seraient déjà en train de vous craindre. Et si par hasard vous seriez venu vous plaindre d'un ennemi alors cet ennemi serait devenu le mien... et il aurait eu très peur de vous... alors pourquoi... pourquoi vous qui êtes de notre sang... m'avez vous traité avec aussi peu de respect...

Les lèvres scellées par le chatterton, l'homme ne peut que baisser les yeux, tachant tans bien que mal de ravaler ses larmes dans l'espoir de rester digne en cet instant qu'il sait être le dernier... il a trahi... il doit mourir... il le sait... telle est la loi...

Max - Mais vous avez préféré vous retourner contre les vôtres, contre la Famille, contre MA Famille. Et pour ce faire... pactiser avec mes ennemis...

Elle recommence à jouer avec le clapet de son briquet, les deux gaillards qui partagent le sort de Don Bonassera se débattent dans l'espoir d'échapper à la mort.

Max - Vous avez ouvert d'anciennes blessures, brisé le statut-quo grâce auquel tout le monde pouvait faire du Business dans Ma Ville sans qu'il ne soit nécessaire de se battre et de perdre ce qui nous est cher... Tu m'as brisé le cœur Bonassera...

Max descend du monticule de pneus, rejoint ses deux gardes du corps. Ils tiennent entre leurs mains un jeune homme tremblant de peur qu'elle prend par le colle et soulève pour l'obliger à affronter son regard de glace.

Max - Tout ce qui vous intéresse c'est l'argent... et j'ai dormi sur mes acquis depuis bien trop longtemps. Cette ville mérite une criminalité de premier ordre... et je vais la lui offrir.

Sans un mot elle se retourne et lâche dédaigneusement son briquet au pieds du bûcher du traitre qui s'embrase instantanément, emportant vers le ciel les hurlements de ses prisonniers.

Max - Va rappeler à ton boss que c'est moi son Patron... C'est ma ville...

Elle le relâche et le laisse s'enfuir. Sur sa route, le jeune homme manque de heurte dans sa course le véritable invité de Dona Florenza. Un homme qui a gardé le silence jusqu'ici devant le spectacle de cet étrange tribunal sans avocats. Il le regarde un instant, terrifié à l'idée d'avoir commis l'erreur de trop qui lui coutera la vie. Puis reprend sa fuite éperdue.

Une fois sa justice rendue, Rachele se tourne vers Ryo et lui adresse un sourire ravageur. Visiblement très satisfaite de voir que le "flic le plus dur de la ville" a accepté sa petite invitation, elle s'approche de lui d'un pas séduisant et félin. ELle lui tend le dos de la main comme si de rien n'était, comme s'il n'y avait pas trois hommes en train de bruler quelques mètres dans son dos.

Max - Vous n'imaginez pas a quel point je suis heureuse de vous voir ici Monsieur Nagata ou puis je vous appeler Ryo ? Comme vous pouvez le voir, j'ai été très... peinée par le comportement d'un de mes oncles, Don Bonassera. On ne peut plus faire confiance à la Famille de nos jours...

Les deux gardes du corps de la Sicilienne s'approchent pour l'encadrer, ils restent en retrait un mètre derrière elle, toujours une main posée sur leurs holsters. Mais contrairement à cette posture visiblement défensive et tendue, Dona Florenza semble d'humeur frivole et volage. Elle attend que Ryo l'ai saluée d'une manière ou d'une autre avant de venir passer son bras sous le sien, comme s'il étaient deux amants qui se promènent.

Max - Vraiment... je me demande parfois s'il n'existe aucun homme à qui je puisse faire confiance... a qui je puisse me confier, partager mes expériences et le boulot... Pensez vous qu'un tel homme existe ?

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Lucy -LES TOUCHES PAS SALOPES !!

La lieutenante éclate de rire et répond:

Sonia - Hoho ! Mais si... bien sure que je vais les toucher petite pute et pas que...

Pendant qu'elle prononce ces mots, elle laisse glisser ses ongles sur la plantes des pieds de Lucy d'une main et joue avec ses lèvres intimes et son clitoris de l'autre. Les mouvements de ses doigts agiles et intrusifs sont parfaitement coordonnés pour que la prisonnière soit soumise à la même intensité de stimulation en même temps. A chaque fois qu'elle lui masse la plante des pieds, elle écrase et masturbe son petit clitoris pour le faire gonfler. A chaque fois qu'elle caresse la courbe de ses orteils et les écartes les uns des autres pour la toucher entre, elle fait de même avec ses grandes lèvres et glisse ses doigts dans sa vulve. Lucy ne peut que comprendre le stratagème: Sonia est en train de la dresser à ressentir du plaisir sexuel quand on lui touche les pieds...

Sonia - La Boss a parfaitement bien cerné ta petite lubie et cette pauvre débile de Zéro nous à montré à quel point jouer avec te donnait du plaisir... alors on a décidé de s'en servir pour te rendre complètement folle... Tu as bien comprise ? Quand on en aura fini avec toi, tu suppliera à quatre pattes qu'on joue avec et tu te prostituera aux plus dégelasses de nos clients pour quelques dollars en échange de ta dose de drogue et de plaisir. A ce propos... Il est temps de commencer...

Sonia presse le bouton d'un communicateur interne et dit:

Sonia- La patiente est prête, faites entrer le matériel et les spécimens...

Lucy n'a pas le temps de se demander ce que la qatari entend par "matériel" ou encore "spécimens", le sas de la salle d'opération s'ouvre sur le passage d'une infirmière vêtue d'une véritable parodie de tenue de bloc composée d'une minijupe qui laisse tout entrevoir, d'une blouse ouverte sur une poitrine percée de chaines d'esclaves et de talons hauts, le tout dans un vinil blanc cru qui reflète l'éclat des lampes. Les oreilles de la servante médicales sont obstruées par de petits écouteurs fixés à l'aide d'une colle chirurgicale pour la contraindre à une surdité totale en dehors des ordres qui lui sont transmis par le communicateur de la salle.
Parfaitement silencieuse, le regard fixe et intense, ses yeux sont écarquillés dans une expression de stupéfaction totale, comme si son esprit était maintenu dans un état de choc émotionnel permanent.

Elle pousse un chariot contenant un assortiment d'outils que Lucy reconnait avec horreur. Il y a plusieurs jeux de scalpels, des pinces éclateuses, des points en tissu, des bandages, du scotch chirurgicale et des gazes stériles. Mais plus impressionnant que ça il y a aussi deux énormes gods gris et noirs équipés de tuyaux pour leur permettre de cracher le liquide qu'on y envois. Enfin le comble de l'horreur vient quand Lucy remarque derrière les sextoys deux cuves contenant un liquide vert à l'intérieur desquels se tortillent quatre répugnants petits vers pourvus d'innombrables tentacules.

En les voyants, tous les sens de la vampire semblent se réveiller, comme si son corps reconnaissait ces étranges petits organismes visqueux. Soudain elle comprend... ils sont d'origine démoniaque, probablement de la même nature que le sang de succube qu'on lui a injecté et qui a réveillé son cœur d'humaine et lui a fait ressentir tans de plaisir...

Quand l'infirmière-esclave installe le chariot juste à coté de Lucy, les quatre petites abominations tournent ce qui semble être leur "tête" dans sa direction et se jettent contre le verre de leur bocal, leurs myriades de petits tentacules s'agitant en tout sens.

Sonia - Hooo... regarde ! Ils ne sont pas trop mignons ? Ils sont déjà amoureux de toi ! Et toi aussi tu vas les adorer tu vas voir.

Sonia enfile une paire de gants en latex.

Sonia - Tu vois, le problème avec les vampires comme toi, c'est que la non-vie vous a fait perdre votre sensibilité sexuelle de vivante, votre cœur ne bat plus, vous ne respirez plus, votre peau et vos zones sexuelles sont moins sensibles... Quel dommage...

Elle saisit un des bocaux et l'approche du visage de Lucy pour qu'elle puisse bien détailler la créature. Elle ressemble à une sorte de pénis long et fin qui se tortille, muni d'innombrables tentacules pourvu de petites poches palpitantes.

Sonia - Heureusement nous avons la solution à ce petit problème et même mieux que ça ! Grace au sang de succube qu'on t'injecte régulièrement et à ses petites créatures merveilleuses tu va tous ressentir de manière incroyable ! Exponentielle ! Tu n'auras jamais connu la douleur et le plaisir à de tels niveaux ! Au point que ça te rendra tellement folle et nympho que tu ne supportera pas de passer une journée sans sucer ton cota de bites et te faire baiser par la totalité des clients du club. Ta nouvelle vie va être géniale tu vas adorer ça !

Sans attendre, la lieutenante de Max saisit les deux gods et les lubrifie avec la mouille que Lucy a sécrétée pendant qu'elle se faisait caresser.

Sonia - Commençons ma chérie, j'en peux plus d'attendre !

Elle plonge le god gris, le plus gros, dans la vulve de Lucy et l'y enfonce lentement, faisant de petit vas et viens quand la prisonnière se contracte pour résister. Elle lui donne juste ce qu'il faut de plaisir pour que ses muscles vaginaux se détendent et qu'elle puisse continuer de l'enfoncer. Une fois qu'il est bien au fond, elle prend un tube de colle chirurgicale et le montre à Lucy.

Sonia - Avec ça je vais sceller tes lèvres et ton anus autour des gods pour que tu ne perde rien du bon sperme chaud qui va te remplir...

Et c'est ce qu'elle fait... Elle passe la glue sur le bord des lèvres intimes de Lucy et les presse contre le god jusqu'à ce qu'elles restent collées.

Sonia - Ton petit cul maintenant...

Pour empêcher la prisonnière de se contracter, la qatari s'installe entre ses cuisses et passe sa langue bien raide entre les plissures de son anus pour les détendre. Elle passe un doigt, puis un second et quand enfin Lucy se détend involontairement à cause du plaisir, elle remplace les doigts par le second god et l'enfonce d'un seul coup.

Sonia - Voi... *le god s'enfonce jusqu'au fond de son colon* laaaaa... parfait...

Lucy sent à nouveau le contact sirupeux de la glue sur sa peau quand Sonia lui colle les bords de l'anus aux parois du god.

Sonia - Maintenant on infuse !

Sonia ouvre les deux petits robinets fixés sur les tuyaux des gods et un flot brulant de sperme visqueux se déverse dans son ventre. Les quantités sont si grandes que la peau de son bassin se met rapidement à gonfler à mesure que son utérus et son cul se remplissent. Lucy sent que ce sperme est trop chaud et trop épais pour être humain, il la fait vibrer, il est aussi gras et gluant qu'un gruau démoniaque et les spermatozoïdes qui le composent sont si gros qu'elle les sent grouiller en elle comme des millions de petits asticots.

Sonia - Du sperme de succube de première qualité ma belle petite pute, pompée directement à la source sur l'une de nos esclave des plans infernaux... tu sens comme il brule ? Tu sens toute cette vie en toi ?

La liqueur maléfique a un pouvoir indéniablement aphrodisiaque, parce que la captive ressent une sorte de plaisir d'être ainsi ensemencée, une forme de satisfaction féminine à recevoir le sperme de ceux qui la domine. Mais le flot ne s'arrête pas pour autant et son ventre devient si gros qu'il ressemble maintenant à celui d'une femme enceinte sur le point d'accoucher mais Sonia ne coupe pas pour autant le flot de sperme.

Sonia - Patience... esclave... patience... on y est presque... voila... regarde... enfin ils se montrent...

La qatari coupe les robinets de sperme et montre à Lucy deux petites bosses qui viennent d'apparaitre sur son ventre, sous son nombril, de part et d'autre. La vampire comprend alors que sa tortionnaire a tellement rempli son utérus de sperme que ses ovaires pressent maintenant contre la peau de son ventre.

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Sonia - Maintenant que "tout le monde" est là on va pouvoir faire les présentations !

Sonia prend le premier bocal et le plaque contre le sein gauche de Lucy, le petit ver démoniaque s'agite en tout sens et s'écrase frénétiquement contre la paroi de verre.

Sonia - Mais oui mais oui tu vas pouvoir le baiser... laisse moi juste t'ouvrir la porte...

La qatari cajole la petite bête répugnante comme une mère attentionné puis elle prend un scalpel. Elle soulève le sein gauche de Lucie et presse la lame contre la garbure de celui-ci pour pratiquer une petite incision. Elle utilise les ciseaux encarteurs pour ouvrir une petite porte d'entrée et une pince pour extraire le premier asticot démoniaque de son bocal. Elle le tiens juste au dessus de la petite plaie ouverte sur le sein de Lucy et lui sourit.

Sonia - Ta nouvelle vie commence esclave... notre petit parasite va venir s'installer dans ton sein et fusionner avec ta chaire pour se nourrir de ton lait et de tes orgasmes et pour pouvoir se goinfrer en permanence il va augmenter ta lactation et tes sensations de plaisir, le moindre effleurement ou massage te provoquera des sensations orgasmiques et te fera jouir du lait par les tétons !

Elle écarte les dents de sa pince, le ver démoniaque s'enfonce sauvagement entre les chaires ouvertes de Lucy et pénètre dans son sein. Elle le sent se frayer un passage entre ses cellules graisseuses jusqu'au centre de son sein. Elle sent ses innombrables petits tentacules se planter dans chacune de ses glandes mammaires pour y injecter son venin mutagène, son sein se met à grossir et se dresser fièrement alors que son téton se met cracher de petites goutes de lait dont le simple ruicèlement lui procure de petites vague de plaisir qui embrase ses reins.

Sonia referme la plaie, met des points en tissu et la couvre avec une gaze scotchée. Un bleu commence à apparaitre sur le sein de Lucy pendant que le parasite se dissolve et fusionne avec son système nerveux et son flux sanguin.

Sonia - Ne t'inquiète pas, La cicatrice et le bleu vont disparaitre très vite, admire plutôt la taille de ton sein ! Tu vas devenir une vraie bimbo avec le deuxième !

Et la lieutenante perverse allie le geste à la parole en passant de l'autre coté de Lucy pour répéter l'opération. Le sein droit de la belle réagit comme l'autre, il gonfle et se dresse, le lait se met à en couler et des sensation de plaisir la submergent.

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