Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Aemiliane Ganis

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Aemiliane Ganis

Pages: 1 [2] 3 4 ... 12
16
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: mercredi 26 décembre 2018, 19:38:14 »
Le doute et le trouble étaient toujours là. Il aurait été trop simple d’obtenir une réponse à sa question ; Meryl décida d’entretenir le suspense au maximum, comme si ce lien était la clé de voute de la suite. Essayant de faire travailler ses méninges, Aemi’ tenta de trouver par elle-même ce qui la liait à tout ceci, à Peach notamment. La réflexion et la logique étaient ses points forts en tant que scientifique mais, elle fut très rapidement perturbée puis interrompue. Hoquetant alors qu’elle sentit le pied de Meryl appuyer sur son sexe, elle rougit furieusement et ne parvint à se concentrer assez pour penser.

Pas le temps pour elle de se reconcentrer car Peach enchaina ! En effet, le garçon se pencha et finit par se mettre à la lécher. Au début elle fut surprise et grimaça doucement mais, rapidement, la langue de son nouvel amant lui procura bien du plaisir. Surtout au moment de ce premier baiser qui la surprit beaucoup par sa douceur et sa chaleur, malgré qu’il s’agissait d’un garçon ! Si elle n’avait pas vu sa trique déformant sa culotte, jamais elle n’aurait pu s’imagier qu’il n’était pas réellement du beau sexe. L’illusion était parfaite ... Si parfaite. Ce baiser envouta Aemiliane qui, timide au départ, se laissa peu à peu aller et embrassa en retour Peach.

Cependant, celui-ci décida de partir ailleurs et se mit à nettoyer le reste de son corps, de la même manière. Tout ceci était excitant et la jeune femme regardait le curieux éphèbe d’un air assez malicieux. Elle s’en mordit la lèvre quand il embrassa son ventre à plusieurs reprises, mais fut définitivement séduite quand il revint à la charge sur ses lèvres. Ainsi donc, les deux partagèrent un nouveau baiser et cette fois-ci, il fut bien plus langoureux et long ! Aemiliane y répondait avec désir tandis que ses mains frottaient le dos de Peach, stimulée et excitée par la pression de sa trique contre sa féminité.

Mais ce qui devait arriver finit par arriver ; voilà que Peach se mit à la pénétrer ! « Haaaa ! » Couina-t-elle de sa voix cristalline, rougissant furieusement. Ses mains furent capturées par son amant qui les plaqua au sol, tandis qu’il se mettait à aller et venir en elle, tout en l’embrassant encore et encore. Peach était une agréable surprise pour Aemiliane, qui s’attendait à être forcée de coucher avec un homme – ce qui serait tout sauf excitant à ses yeux. Mais là, malgré son sexe, malgré qu’il était bel et bien un garçon, c’était différent. C’était bon. C’était terriblement bon, même. La jeune femme couinait et embrassait son amant de toutes ses forces, ressentant chacun de ses coups de butoirs avec grand plaisir et extase.

Elle reconnaissait la poigne de Meryl, même si c’était différent. Peach était un garçon très doué avec sa queue, cela se voyait ! Il arrachait à Aemi’ de savoureux soupirs et gémissements, la poussant de plus en plus vers un énième orgasme. « HMMM ! » Rugit-elle de fougue et de plaisir, fourrant chaudement sa langue dans la petite bouche appétissante de Peach, le trouvant de plus en plus irrésistible comme sa mère. Son corps remuait et vibrait face à ses coups de trique, et bientôt elle se mit à ressentir de furieuses sensations en son bas-ventre.

17
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: mercredi 26 décembre 2018, 01:42:23 »
Aemiliane était encore loin d’être au bout de ses peines. Cependant pouvait-on parler de peine ? Il semblait que plus Meryl lui corsait l’affaire, plus elle aimait ça. Qui savait jusqu’où ça pouvait aller. En attendant de le savoir, voilà que la scientifique était aux pieds de sa nouvelle maitresse, en train de lui nettoyer doucement la queue. Rien ne fut dit. Ni Meryl ni Aemi’ ne pipèrent mot. L’esclave jouait docilement avec le sexe de la puissante F-Girl sous le regard de celle-ci. Main sur la hanche, smartphone en main en train de la filmer, la jeune femme observa ce sourire bref mais malicieux. Impatiente ? Peut-être elle l’était ... Mais elle ne savait pas à quoi s’attendre.

Néanmoins des réponses n’allaient pas tarder à lui être données. En effet, sans qu’elle ne puisse rien dire ni faire, Aemiliane se vit repousser en arrière, sur le dos, plaquée au sol. Meryl avait posé son pied sur son torse, la forçant ainsi à s’allonger au sol. Puis peu de temps après voilà qu’une étrange personne se joignit à la partie. Au début, l’intruse pensait à une autre femme ; son apparence était clairement féminine. La demoiselle s’approcha donc et se retrouva bien vite aux côtés de Meryl. Allongée de force au sol, sur le dos, Aemiliane avait donc un angle de vue assez particulier qui lui faisait voir sous la jupe semi-transparente de la fille.

Ce fut à ce moment-là qu’elle écarquilla ses yeux ! Il ne s’agissait pas d’une fille mais d’un garçon. La stupéfaction était de mise, mais elle en eut définitivement confirmation quand le garçon se mit à parler. Sa voix était douce et aigue, mais possédait un arrière-gout, un fond masculin subtil qui trahissait de son réel genre. Cependant la surprise fut encore plus grande quand elle apprit qu’il était le fils de Meryl ! La situation devenait très curieuse et surtout incompréhensible. Pourquoi avoir ramené son fils ici ? Pourquoi était-il si androgyne et féminin ? Tant de questions, si peu de réponses. Aemiliane restait là muette, à observer le jeune éphèbe et sa mère à tour de rôle à mesure qu’ils échangeaient.

Peach avait d’ailleurs un plug anal niché dans son fondement ; de cela, Aemiliane en était sûr en entendant le bruit de fond qui s’en échappait. C’était définitivement inquiétant, mais aussi, terriblement excitant. Néanmoins le plus troublant et inquiétant restait à venir. L’intruse leva ses sourcils et s’inquiéta en entendant Meryl lui dire que Peach – son fils – avait toujours désiré un petit-frère. Une déclaration qui n’aurait rien eut de troublant si elle ne fut pas suivie par une autre, visant Aemiliane elle-même. (Quel est le lien ... ?) Pensa-t-elle alors. Quel était le lien entre le désir d’avoir un petit-frère pour Peach, et elle-même ? La jeune femme n’avait pas fait le lien pour le moment, même si le regard plein de malice du garçon trahissait quelque chose de grave.

Voir mère et fils s’embrasser de manière si langoureuse, si obscène devant ses yeux la fit rougir et aurait presque provoqué en elle l’envie de les joindre ! Mais elle préféra poser cette question qui lui brûlait les lèvres. « Q-Quel est le rapport entre moi et ... L-Le souhait d’avoir un petit-frère ? » Finit-elle par demander, les joues rouges. En tout cas, malgré cette confusion et cette appréhension, l’excitation ne parvenait pas à quitter Aemiliane. L’idée de pouvoir jouer avec un garçon aussi mignon que Peach la séduisait beaucoup ... Qui savait ce que ce brave avait en réserve ? Il suffisait de voir comment Aemi’ lorgnait sur son membre et celui de sa mère tour à tour pour savoir qu’elle avait, encore une fois, très faim ...

18
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: mercredi 26 décembre 2018, 00:40:12 »
Les invectives de Meryl ne faisaient qu’exciter davantage Aemiliane, qui succombait pleinement alors à la F-Girl. Elle n’avait plus la force ni le courage de l’affronter. Cette femme était beaucoup trop puissante physiquement – et sexuellement – pour que la scientifique puisse espérer rétorquer. C’était d’ailleurs déjà trop tard pour ça ! Comment ferait-elle sans la trique de Meryl pour lui rappeler à quel point elle n’était qu’une chienne en chaleur ? Comment ferait-elle sans sa poigne ferme et viril pour la maintenir en laisse ?

Encore une fois, Meryl lui rappela sa place vite fait bien fait quand elle se mit, finalement, à jouir en elle. Meryl devenait plus violente et agressive quand elle approchait de son orgasme, n’hésitant pas à tirer sur la crinière de la jeune fille pour se défouler. Douloureux certes, mais diablement excitant ... Plus elle se montrait forte et dominante, plus Aemi’ semblait adorer cela. Au fond c’était toujours ce qui lui avait manqué ; une bourrelle à la poigne de fer qui ferait d’elle une parfaite petite chienne docile ! Ainsi donc, en tant que tel, elle se contenta d’encaisser le terrible orgasme de Meryl qui lui fit décharger des quantités absurdes de foutre en elle.

« Hnnn ! » Couinait fortement Aemiliane qui sentait ses intestins de tordre et se remplir de semence, encore et encore, jusqu’à raz-bord. Meryl fit déverser un véritable déluge de foutre dans ses entrailles jusqu’au point où son ventre gonfla, rien qu’à vue d’œil ! Une belle forme rondelette vint s’éprendre de son ventre, avant qu’elle ne s’écroule en entier au sol, lâchée par Meryl et sa garde. Endoloris et faible, Aemiliane était comateuse, entre la réalité et le coma. Elle se rendait compte que sa maitresse lui éjaculait dessus encore bien généreusement, l’arrosant comme s’il ne s’agissait que d’un sac à foutre. Mais ... Ô combien c’était bon et excitant !

Aemiliane n’avait clairement pas l’air très fière. Au sol, comateuse et couverte de foutre. Une allure peu flatteuse, qui collait bien à une prostituée, mais pas à elle ... Pas vrai ? C’était malheureusement en train de changer. La scientifique devenait accro à Meryl, à sa trique envoutante, à son sperme. L’effet de cette drogue combiné à tout ce qui s’était passé, avec en plus le fantasme profond de la jeune femme, avait eu raison de sa dignité. Esclave était-elle devenue. Reprenant peu à peu ses esprits, le premier réflexe d’Aemiliane fut de s’essuyer le visage et se lécher les doigts, récoltant ce délicieux foutre, n’en perdant pas une goutte !

Puis elle rampa au sol, s’approchant de la grande Meryl. Levant son regard vers le sien, elle l’abaissa ensuite vers sa si juteuse queue puis la caressa, avant de venir porter ses lèvres dessus. Meryl ne rêvait pas ; de son plein gré, voilà qu’Aemiliane se mettait à nettoyer son sexe ! Ce n’était pas une fellation mais, les nombreux coups de langues et langoureux baisers de la jeune femme étaient révélateurs sur ses intentions. Le rouge gagna ses joues alors qu’elle se sentait honteuse d’être devenue une esclave, d’être rabaissée à un tel niveau. Mais ce rouge trahissait aussi son excitation ! Oui, elle était excitée à l’idée d’être une dépravée, de n’être que la salope de Meryl. Au fond, elle en avait toujours rêvé et cette femme était sur le point de lui offrir ça.

Une fois le nettoyage terminé, Aemiliane resta à genoux devant Meryl, levant sa tête et ses yeux vers elle. « Et ... À ... À présent ? » Dit-elle d’une voix basse, presque soumise. Disant cela, elle s’approcha pour venir caresser les abdominaux si bien tracés de Meryl, finissant même par se pencher pour les embrasser et s’y frotter. De son autre main, elle caressait de manière nonchalante la massive queue de Meryl, qui même après un furieux orgasme, était encore très, très lourde et conséquente.

19
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: mardi 25 décembre 2018, 18:31:50 »
Le moment n’était pas encore venu pour Aemiliane de céder complètement, de lâcher prise entre les mains de Meryl. Non, elle n’était pas encore devenue sa petite soumise ! Mais cela ne saurait tarder vu ce qu’elle prenait ... D’un côté il y avait cette puissante F-Girl qui la sodomisait sans relâche et sans pitié et de l’autre, cette femme qui s’enfonçait hargneusement en elle, labourant ce qu’elle avait de plus intime et secret. Entre ces deux femmes, la scientifique n’était rien. Elle n’était qu’un vulgaire jouet, qu’une vulgaire poupée qui de seconde en seconde appréciait ce qui lui arrivait.

Elle ne parvenait plus à penser. Seule des gémissements, des couinements parvenaient à s’échapper de ses lèvres. Aemiliane enchainait orgasme sur orgasme sur la prochaine demi-heure, grâce à Meryl et à son endurance surhumaine ! Jamais son fessier n’avait été autant sollicité ... Jamais elle n’avait été sodomisée ainsi aussi durement et longuement. Meryl était définitivement d’un calibre supérieur et une fois qu’on y avait goûté, il devenait dur de s’en défaire. Aemiliane, dans ses pensées très troubles et confuses, se demandait réellement si elle désirait partir ; pourquoi ne pas devenir sa chienne ? Pourquoi ne pas juste pomper son dard à longueur de journée ?

Pourquoi ne pas être comme elle en fin de compte ? Meryl devait avoir une vie heureuse après tout ; elle sautait qui elle voulait, était une puissante femme, et devait en général avoir tout ce qu’elle voulait. Pourquoi ne pas juste rester et la servir ? Des pensées dangereuses et très alarmantes mais qui proliféraient de plus en plus dans l’esprit droguée et confus d’Aemi’. La jeune femme hurlait d’extase et de plaisir alors qu’on continuait de la prendre de partout, de solliciter son fessier à outrance, encore et encore. Chaque orgasme la rendait de plus en plus euphorique. Chaque jouissance l’amenait au bord du craquage.

L’esprit presque réduit à néant, elle écarquilla subitement ses yeux quand sa maitresse décida de tourner son visage de force pour venir embrasser ses lèvres. Sentir la bouche de Meryl, sa saveur, sa chaleur ... Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Aemiliane céda à cette attention et embrassa langoureusement Meryl en retour, acceptant donc ce baiser avec grand appétit ! « Hmmmmm ... » Ronronna-t-elle, essoufflée et en sueur, mais plus que jamais affamée et en manque. Elle profita de ce baiser au maximum, se régalant de la saveur des lèvres de Meryl, des lèvres de sa délicieuse maitresse ! Comment avait-elle pu nier l’évidence ?

En venant ici, en se faisant coincer par Meryl ... Comment avait-elle pu se leurrer elle-même ? Meryl n’était pas son ennemie mais au contraire, était une véritable chance pour elle. Une chance d’accéder à une vie remplie de luxure et de plaisir. Une vie de servitude qui lui permettra d’être avec Meryl pour toujours ! Aemiliane plongea encore et encore sa langue dans la bouche de la F-Girl, l’embrassant avec toute la fougue et la passion dont elle pouvait faire preuve. « Oui Maitresse ... Oui ... Je vous appartiens ... Je suis votre ... Je veux être votre ! » Finit-elle par dire, la voix mièvre et le regard très intense, plongé dans celui de Meryl.

Aemiliane caressa la joue de la femme et se mordit la lèvre. Elle gémit à cause de cette queue toujours plantée dans sa croupe mais, cela ne l’empêcha guère de se jeter à nouveau sur les lèvres de Meryl, l’embrassant très fortement et sensuellement. Aemiliane venait de franchir un point de non-retour ...

20
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: samedi 15 décembre 2018, 15:41:21 »
Cette sodomie était surréelle. Ô combien jamais on ne lui avait fait une chose pareille ... Pas avec autant de force et de brutalité. C’était ce qui lui manquait d’ailleurs, au fond. Cette sauvagerie sexuelle, qui lui faisait sentir qu’elle n’était qu’une salope entre les mains de son amante ! Quelque part elle aimait ce genre de choses et avait toujours manqué le fait que ses partenaires manquaient souvent de cette virilité. Attention, loin d’Aemiliane l’idée d’apprécier le genre masculin pour autant. Ce qu’elle désirait profondément était tout l’attrait viril, fort, sauvage et bestiale de la chose mais pas le genre en lui-même. Elle restait résolument attirée par les femmes, même les plus musclées et viriles !

Exactement comme Meryl, qui continuait encore et encore à s’acharner sur son pauvre petit séant. Aemiliane hurlait et pleurait à force de souffrir autant. Mais c’était cette souffrance qui lui procurait un plaisir si intense et si fou qu’elle en perdait pied avec la réalité. Sensible par nature, cette sodomie abrupte était donc une véritable épreuve de force. Elle n’était qu’une poupée de chiffon entre les puissantes de Meryl qui brutalisait son cul et bientôt sa poitrine, qu’elle malaxa aussitôt. Plus Meryl l’insultait, la traitait de pute et de salope et plus l’intéressée semblait se perdre dans les méandres de sa propre luxure. L’ingénieure était en train de se perdre elle-même, succombant à ses plus bas instincts.

Elle en venait à se demander si elle allait repartir, en fin de compte. Après tout, Meryl n’était pas si méchante ? Elle aurait pu la tuer, la torturer ou lui faire pire. Mais au lieu de cela, voilà qu’elle lui détruisait le cul, qu’elle était en train de satisfaire son fantasme tabou, qu’elle lui faisait enchainer orgasme sur orgasme ! Aemiliane fondait entre ses mains musclées et puissantes, au point où elle ressentit un véritable frisson d’extase rien qu’en entendant la grande femme clamer haut et fort qu’elle était sa salope désormais. À partir de cet instant, une partie d’Aemiliane su qu’il n’y aurait aucun retour en arrière. Le simple fait qu’on lui avait fait changé de tenue pour s’adapter au style local était un indicateur sur le devenir de cette femme.

Après son orgasme, Meryl décida de corser les choses. Une autre femme, entièrement recouverte de latex de la tête aux pieds, se joignit à elles. En d’autres termes, Aemiliane finit en sandwich entre ces deux femmes et ne tarda guère à se faire baiser par devant et derrière en même temps. Un rythme soutenu lui était imposé et si ce n’était grâce aux piqures qu’on lui avait fait, la pauvre se serait déjà évanouie. Mais là, son corps s’adaptait ; il accueillait autant la trique de Meryl que le gode son esclave sans même sentir d’excès. Au contraire ... Aemiliane ne sentit qu’un manque toujours plus grandissant de seconde en seconde. Elle voulait à tout prix se faire tringler, se faire baiser férocement. Ce comportement était-il dû aux produits qu’on lui avait injecté ? Ou était-ce simplement un comportement latent, qui avait toujours été présent en elle mais caché ?

En tout cas, elle hurlait et pleurait de douleur autant que d’extase. Entre Meryl et l’autre femme, son corps se trémoussait fermement et se balançait au rythme de leurs coups de butoir. Chaque coup, chaque claquement, chaque insulte ou mot poussait davantage Aemiliane au bord de la rupture, au bord de la raison ... Car viendrait un moment où son esprit lâcherait définitivement prise. Dès lors, Aemiliane sera de la pâte à modeler pour Meryl qui aura tout le loisir de la remodeler à sa guise !

21
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: samedi 08 décembre 2018, 21:14:00 »
Meryl était une femme si forte, si dominante ... Il était de plus en plus dur pour Aemiliane de lutter contre elle ! Ne serait-ce que par l’euphorie sauvage et décomplexée que lui procurait son sexe démesuré. Plaquée contre une table, l’ingénieure était traitée comme une putain, à être sodomisée sèchement par une femme à l’appétit sexuel insatiable. Mais le pire était qu’elle adorait ça ! Au fond, Aemi’ adorait sentir cette queue remonter son anus et venir écarteler ses chairs. Elle adorait se faire traiter de la sorte surtout par une femme à grande carrure comme Meryl. Tout était réuni pour rendre folle cette petite perverse qui avait fini par trouver plus forte et rusée qu’elle-même.

La table tremblait et grinçait à chaque coup de rein de la F-Girl. Celle-ci mettait très cher à Aemiliane qui en souffrait autant qu’elle en tirait plaisir. C’était extrêmement douloureux de se faire sodomiser ainsi mais, elle peinait à croire au plaisir fou qu’elle prenait en parallèle ! Sa petite rondelle se contractant autour du véritable troisième bras de Meryl témoignait de son état. Elle se crispait contre la table, couinait et hurlait, les yeux révulsés et l’esprit volant en éclat, quittant ce monde. Aemiliane continuait de subir et de se prendre coup sur coup droit dans son fondement, jusqu’à ce que Meryl décide de changer un peu.

En effet, la scientifique grinça subitement des dents quand elle se fit tirer par la tignasse, l’obligeant à redresser sa tête en arrière. Collée contre le corps si ferme et si musclée de Meryl, Aemiliane ne put revenir à elle-même voire pire, elle plongea davantage dans sa transe. Elle se surprit à avoir adoré se faire tirer ainsi la chevelure par Meryl. En fait, il suffisait pour celle-ci de simplement traiter sa proie comme une poupée sexuelle pour qu’elle se sente réellement extasiée. C’était l’un de ses grands fantasmes après tout, et c’était sans doute ça qui au fond avait fait qu’elle s’était soumise avec une certaine facilité.

Se faire dominer par une femelle alpha, si l’on devait formaliser cela. Madame Forge était une femme incroyablement charismatique et charmante mais Meryl ... Meryl était la concrétisation d’un grand fantasme ! Celui d’une femme forte, grande, très musclée et surtout, brute. Une femme avec une trique énorme et une virilité certaine, qui la prendrait comme si elle n’était qu’une vulgaire pute, qu’une vulgaire trainée des bas-fonds de Tekhos. C’était ce qui était en train de lui être fait et ô combien elle aimait cela. Son petit corps tremblait et remuait fermement à chaque coup de trique, un filet de bave commençait même à se former à la commissure de ses lèvres tellement était-elle en pur état d’extase, les yeux révulsés.

Plus rien ne comptait à part Meryl. Plus rien ne comptait à part ... Sentir la terrible queue de sa Maitresse en elle. Sodomisée, baisée comme une chienne, Aemiliane divagua définitivement alors qu’elle s’essaya à une réponse. « Hmmm-HmMMMMM !!! Haaa encore ... Encoooooore !!! Oui, oui M-Maitresse ! » Dit-elle spontanément, se rendant à peine compte qu’elle venait d’appeler Meryl par sa nouvelle fonction fraichement assumée. Face à tant de force, tant de rythme et de puissance dans les coups de trique de Meryl, Aemiliane ne résista guère longtemps. Après de nombreuses minutes, sa petite rondelle finit par se contracter de toutes ses forces autour la massive queue de la F-Girl, alors que l’ingénieure hurla, possédée par tant de luxure, frappée par l’orgasme. Aemiliane se crispa sur place et hurla, encore et encore, de la mouille coulant abondamment entre ses cuisses qui tremblèrent.

22
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: samedi 01 décembre 2018, 17:15:40 »
Quelle pouvait bien être la raison qui faisait qu’Aemiliane était aussi coopérative ? Après tout elle était venue ici, au départ, pour dénoncer la Fut-Corp. Pour trouver des preuves de leurs infamies, de leurs expériences atroces. Elle avait même commencé à trouver lesdites preuves rien qu’avec cet espèce de monstre difforme qu’elle avait libéré de sa cage en pensant à un sujet d’expérience. Rien que ça formait une preuve ! D’ailleurs elle ne savait toujours pas de quoi il s’agissait et, vu la situation, il était probable qu’elle ne le sache jamais. Qui savait ce qui se cachait encore aux tréfonds de ce bâtiment ? La jeune femme était venu pour cela mais, force était de constater qu’au final elle avait trouvé mieux à faire.

Car voici qu’à présent elle s’offrait d’elle-même à la grande dame au corps musclé. Présentant son délicieux fessier, elle attendait avec impatience de sentir la puissante queue de la femme se coller contre son anus et venir faire mal. Très mal. Cependant ce n’était pas exactement cela qui arriva ; du moins pas de suite. D’abord elle vit les gardes s’approcher et venir la tenir de force, la maintenant en place contre son gré. « Non ! » S’exclama-t-elle, restant tout de même raisonnable même si elle semblait quémander encore et encore du sexe. Elle avait refusé d’emblée ce collier mais, les gardes avaient une poigne bien trop forte. Elle fut forcée de rester en place, le corps plié pendant qu’un collier lui fut attaché au cou.

« Lâchez moi ! » S’exclama-t-elle en vain, se tortillant sur place même si cela ne semblait pas faire broncher les femmes. Ainsi donc elle se retrouva avec un collier électrique au cou qui certes avait l’allure d’un collier en latex pour esclave, mais qui assurait à Meryl un contrôle sur Aemiliane. Elle grinça des dents et grogna mais, que pouvait-elle faire ? Elle n’avait pas la super force de son idole ! C’était peut-être ça au fond qui lui avait couté si cher ... Le fait d’avoir voulu faire comme elle, être une héroïne le temps d’un soir. En tout cas, sa préparation ne s’arrêta guère au collier puisque juste après, on lui arracha de force le reste de ses vêtements. Le froid s’empara de son corps exposé contre sa volonté mais ne dura longtemps car aussitôt, on le couvrit avec d’autres habits.

Aemiliane sentit qu’on lui glissa de longs et sexy collants de latex, brillants et moulants. Puis on lui enfila des longs gants de la même matière. Serrant sa peau et son corps, elle se sentait autant excitée qu’exposée et donc gênée. Mais ... Elle était incroyablement sexy avec ça ! Le rouge s’empara de ses petites joues et elle gémit, malgré elle. Aemiliane hoqueta quand la seringue piqua sa peau et déversa encore un liquide inconnu dans son système ... Qui sait quels étaient les effets ? Finalement elle fut prête pour sa bourrelle qui s’approcha dans son dos, finissant poser ses mains ses hanches. La caresse des mains fortes et puissantes de Meryl la fit frissonner de toute part, surtout quand elles dérivèrent vers sa belle poitrine, la faisant haleter. Cependant avec le précédent discours, elle se rendit compte que toutes les gardes étaient, en réalité, des victimes. Des femmes qui avaient croisé la route de Fut-Corp, puis transformée en putes à leur service.

C’était terrifiant. Aemiliane ne voulait pas terminer comme ça ... Mais sa part sombre, sa part perverse et mauvaise lui soufflait, sournoisement, qu’un tel traitement serait tant fantastique, tant agréable ; qu’être une pute, une salope de service dévouée à Meryl et à sa trique serait une vie tellement plus satisfaisante et agréable ! Elle chassa vite fait ces pensées sombres au moment où justement, Meryl plaqua sa lourde trique contre sa rondelle et commença à forcer le passage. Une douleur insoutenable s’empara de l’ingénieure qui se mit à hurler, à serrer des dents, même si rapidement une autre sensation s’ajouta ; un plaisir intense, brut, féroce ! Un frisson fort, saisissant, qui la prit aux tripes et qui lui fit révulser ses yeux tellement c’était bon ! Un concert quasi-orgasmique qui changea Aemi’ en une simple petite poupée entre les mains de son amante qui se défoula contre son cul. Douleur et extase se mélangèrent, mettant un foutoir insoutenable dans l’esprit de la jeune femme qui au final, hurla qu’on vienne l’enculer encore et encore ... Ses ongles griffèrent la table, sa bouche s’entrouvrit et ses yeux se révulsèrent alors qu’elle était à moitié étouffée par le collier autour de son cou, renforçant cette sensation d’euphorie par un léger manque d’oxygène.

Se sentir sexy et putassière dans son accoutrement de latex était au départ une humiliation, mais plus Meryl lui mettait cher, plus elle la détruisait de l’intérieur ... Et plus Aemiliane semblait adorer n’être qu’une petite poupée de sexe, vêtue en tant que tel !

23
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: lundi 26 novembre 2018, 22:29:46 »
Les choses se gâtaient davantage quand l’identité de l’intruse fut révélée. Rien qu’avec un visage, ces harpies venaient de la retrouver et avait visiblement tout un dossier à son égard. Elles avaient trouvé qu’Aemiliane était une employée de GWC, une scientifique mais aussi, qu’elle entretenait un blog dédié à la figure controversée de Spider-Woman ! Comment avaient-elles fait ? Son site était tout petit et n’avait que peu de trafic, comparé aux résultats qu’on trouvait rien qu’en tapant Spider et Woman dans la barre de recherche. Tout cela craignait pour Aemiliane car sa véritable identité était révélée. Ces femmes savaient donc qui elle était ... Ce qui n’allait pas être sans conséquences.

Mais pour l’intéressée, ce n’était nullement le temps de réagir ou se plaindre. En lieu et place elle continuait à suffoquer contre la juteuse et si appétissante queue de la F-Girl, qui inlassablement, sans jamais se fatiguer, continuait de lui bourrer la gorge à grand coups de burin. Comme si cela n’était pas suffisant, voilà qu’elle fondait comme neige au soleil face au doigtée de cette femme collée dans son dos, la masturbant frénétiquement de ses doigts de latex. A force, Aemiliane avait jouit ; elle venait de s’humilier elle-même en succombant à un bel orgasme ! En d’autres termes, elle montrait qu’elle appréciait se faire traiter comme une petite chienne ... Ce qui n’était évidemment pas acceptable.

Cependant elle restait une petite vicieuse. Elle avait ses faibles et ses penchants. Malheureusement – ou heureusement – pour elle, la femme se tenant debout et détruisant sa gorge était la personnification d’un fantasme de longue date, sur les hermaphrodites grandes, fortes et dominantes. Cette femme avait tout pour exciter Aemiliane et la plonger dans un état d’euphorie sexuelle ! C’était d’ailleurs pleinement le cas. La scientifique succombait avec appétit à son immense trique qu’elle suçait et pompait même si elle se faisait pilonner la gorge de force. Elle voulait cette queue, elle la désirait, elle mourrait d’envie de la pomper encore et encore jusqu’à vider ses deux savoureuses sacoches.

D’ailleurs, cela ne tarda guère à arriver. Tout du moins en partie. En effet, la puissante femme finit par ne plus retenir son orgasme et se libéra d’elle-même, enfonçant fermement la tête d’Aemiliane contre elle, pourfendant sa gorge en enfonçant entièrement son membre dedans. Puis quand la scientifique sentit son corps vibrer, sentit sa maitresse du moment chauffer et râler d’un soupir viril, elle sut ce qui allait arriver. Et elle l’accepta à bras ouverts malgré tout le contexte, malgré tout ce qui venait de se passer ... Elle ferma ses yeux et commença à aspirer, de toutes ses forces, buvant encore et encore ce précieux foutre chargé d’hormones. Mais il y en avait trop ! Beaucoup trop. La pauvre se retrouva vite submergée et toussa alors que finalement la femme retira sa queue et termina son affaire directement sur son visage. Entrouvrant ses lèvres d’un geste presque mécanique, sans même réfléchir, Aemi’ se retrouva le faciès couvert de cette épaisse et délicieuse crème blanche très rapidement.

Elle ne put que tousser et surtout reprendre son souffle. Une véritable bouffée d’air frais, qui lui rendit ainsi sa raison. Ce ne fut qu’à ce moment-là qu’elle se rendit réellement compte des dégâts ... Elle était nue, elle venait de se faire violer la gorge par une brute épaisse qui lui avait éjaculé à la figure sans aucune forme de respect ni retenue. Pour couronner le tout ... Elle semblait avoir aimé ça ! Haletante, le regard plus troublé que jamais, Aemiliane se redressa comme elle le put tout en s’essuyant le visage. « Si ... Si tu comptes vraiment me retenir ici et croire un seul instant que tu peux faire de moi ta petite salope ... » Dit-elle tout en ayant le regard curieusement braqué sur la magnifique musculature de la femme. Ses petites mains se levèrent et partirent caresser ce si beau et solide corps, passant ses doigts sur le relief ferme de ses abdominaux puis ses bras, en se mordant la lèvre. « Alors autant que j’en tire plaisir au lieu d’en souffrir ... J’ai ... J’ai toujours rêvé de me faire sauter par quelqu’un comme toi ! Et puis qui sait, peut-être tu me laisseras partir si je suis assez gentille ... » Dit-elle d’un ton incroyablement franc, une lueur de malice dans son regard. Aemiliane se hissa subitement sur la pointe de ses petits pieds puis partit tendrement et langoureusement embrasser la femme, capturant ses délicieuses lèvres contre les siennes, l’emportant de force dans un sulfureux baiser.

Puis elle se dégagea, tournant le dos à la femme tout en prenant appui contre la table sur laquelle elle fut prise il y a quelques temps à peine. Ensuite elle bomba son fessier rond et charnu, offrant une vue imprenable à celle qui avait toutes les commandes à cet instant-là. « Montre-moi ce qu’une F-Girl a vraiment dans le ventre ! » Dit-elle alors en penchant sa tête sur le côté, invitant directement la femme à venir lui détruire sa petite rondelle toute rose. Cependant, cela ne l'empêchait de penser qu'elle ne devrait pas succomber autant à ses pulsions, car elle savait au fond qu'elle risquait d'y perdre plus que d'y gagner ... Ou plutôt, elle savait qu'elle devait briser un tabou si elle désirait vraiment, sincèrement, éprouver du plaisir à faire tout ceci. Mais était-elle prête à se l'avouer ?

24
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: vendredi 23 novembre 2018, 20:55:07 »
Le manque d’air créait chez Aemiliane un frein supplémentaire, une barrière de plus l’empêchant de se libérer de cette situation. Plus elle se laissait faire, plus elle se faisait piéger et entrainer dans une spirale de sexe et de douleur paradoxale, mais furieusement addictive. En d’autres termes elle parvenait de moins en moins à laisser sa raison dicter sa conduite au profit de sa grande perversité, de son goût pour le sexe et les femmes musclées comme celle qui était en train de détruire sa gorge. Le manque d’oxygène lui rendait les pensées légères, presque superficielles ; comme si elle venait à peine de se réveiller et qu’elle n’avait pas toute sa tête.

Mais elle n’était pas dans les mêmes conditions. Ici, il y avait un danger ! Un grand danger, même. Aemiliane continuait de se faire prendre la gorge par cette queue gargantuesque, ressentant le plaisir sans la douleur incommensurable du passage d’un tel membre dans sa gorge grâce à la piqure. Autrement dit, elle savourait réellement ce qui était en train de lui être fait. Sucer une telle trique était très addictif et plaisant pour elle, au point où elle se voyait de moins en moins repartir d’ici sans avoir jouit. Néanmoins elle se ravisa vite de cette pensée qui l’effraya ... Elle devait fuir plutôt que rester ici. C’était pure folie de vouloir coucher délibérément avec cette femme ! Qui savait ce qu’elle allait lui faire ?

Pourtant se défaire de l’emprise était dur. Horriblement dur. Aemiliane subissait les coups de trique et elle perdait peu à peu pied avec la réalité sans jamais pour autant sombrer totalement. Elle était maintenue dans un état à mi-chemin entre l’euphorie et la raison. Entre l’inconscience et la conscience. Cependant elle était encore loin de voir et ressentir toute l’attirance qu’elle éprouvait envers sa bourrelle. Elle écarquilla ses yeux en sentant une garde venir dans son propre dos pour ensuite commencer à la caresser doucement, faufilant sa main entre ses cuisses pour venir s’occuper de sa féminité qui était un véritable feu de forêt incandescent. « HM ! Hmmmm ... ! » Gémissait la jeune femme, la bouche pleine, ne pouvant que pousser des cris et couinements.

Son corps était bouillonnant, chaud et en sueur. Elle vibrait de plaisir et d’extase maintenant que quelqu’un était en train de s’attaquer à sa zone si sensible et intime. Elle serra ses cuisses pendant les premières secondes, luttant vainement contre son corps qui finit par se relâcher et permettre à la garde de la satisfaire. Mais ce qu’elle vit ensuite ... Ce qu’elle vit la fit complètement fondre. Alors qu’elle peinait à penser de manière rationnelle et censée, se perdant dans ses fantasmes et ses vices, elle observa avec intérêt l’autre garde qui s’approcha de la puissante femme, gode entre les cuisses. Quand elle se mit à pénétrer sa maitresse, à lui marteler le fondement, la scène fit terriblement, extrêmement plaisir à Aemiliane.

Une si puissante femme, à la forte carrure et au fessier si ferme et si musclé, se faisait enculer par une de ses subordonnées. Aemi’ tentait de lâcher son emprise obsessive sur le fessier de la femme mais à chaque fois, elle se les faisait remettre en place de force, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus envie elle-même de quitter cet endroit. Elle s’acharna alors dessus, à le masser, à le malaxer et tâter sa fermeté tandis qu’elle sentait les coups de trique dessus, provenant de la garde. Voir cette dame se faire prendre par derrière déclencha un déclic en elle, une sorte de vice caché qui se révéla dès lors. Elle ne savait pourquoi mais, l’idée même de sodomiser cette femme, de sentir une queue rentrer dans un cul si ferme et si solide la mettait dans un profond état d’excitation. Un fantasme, peut-être ? Perdue dans ses pensées floues et confuses, corrompue par ses fétiches, sa perversité et son manque d’air, Aemi’ commença alors à s’imaginer à la place de la garde.

En train de sodomiser cette femme, en train de claquer sa croupe et malaxer ses seins. Mais aussi, elle s’imaginait se faire réduire en petite pute de service, se faire violée et traitée comme une petite chienne par cette même femme, se voyant la servir et la vénérer pour toujours, à vouloir coucher encore et encore avec elle dès que la moindre occasion se présenterait à elle. Ça serait si facile de réaliser tout ceci ... Si facile. Il lui suffisait de tout abandonner, y compris elle-même. Mais, elle ne pourrait cependant jamais réaliser la première partie de ce fantasme étrange qui était de pouvoir sodomiser cette femme. Ce rappel à la réalité la frappa d’un seul coup et elle retrouva un peu ses esprits, arrêtant immédiatement de penser à tout cela. Elle se crispa mais, son corps la trahit ... Se faire détruire la gorge et même plus profond, tout en se faisant masturber de force finit par venir à bout de sa résistance.

« HMM – HMMMMMMMMMMM !!! » Couina-t-elle puissamment contre la trique de sa violeuse, alors qu’elle se tordit en avant, se bombant et plaquant ses cuisses l’une contre l’autre. L’orgasme la frappe de part en part et elle enferma la main de la garde contre sa féminité pour jouir dessus, pour sentir encore ces fins doigts de latex en elle, pour prolonger le plus que possible son fougueux orgasme qui la fit baver au coin des lèvres ... Et qui la fit définitivement avoir honte.

25
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: dimanche 18 novembre 2018, 19:07:19 »
Aemiliane ne savait pas vraiment pourquoi elle faisait cela. Elle avait juste une envie pressante de sexe rien qu’en voyant la taille de ce mandrin sous son nez. Qui avait dit après tout qu’elle était toute chaste et pure ? Au contraire, elle était de ce point de vue là une véritable Tekhane dans l’âme ; addict au sexe. Il y avait là face à elle une puissante F-Girl, avec un membre démesuré mais très appétissant, qu’elle léchait d’ores et déjà avec un certain entrain. Oui, elle commençait à apprécier le potentiel des F-Girl mais, cela n’excusait en rien les atrocités qui se tramaient par ici. Elle n’avait en rien oublié le but principal de sa mission ; faire éclater la vérité sur la Fut-Corp.

Mais pour cela il fallait des preuves. C’était ce qu’elle était venue chercher ici mais, les choses s’étaient rapidement gâtés pour elle. Voilà qu’elle était retenue avec une belle F-Girl qui lui offrait gracieusement sa queue ; pour une petite perverse comme Aemi’, c’était une distraction trop grande pour être ignorée. Ainsi donc elle léchait et embrassait avec appétit ce membre et enfouissait son petit visage contre. Cependant il semblait que la F-Girl avait un autre plan en tête. Contre toute attente elle commença à enfourner son énorme membre dans la bouche de la jeune femme malgré l’étroitesse de celle-ci. Aemiliane couina de douleur et tenta de se libérer, mais ne sentit que la ferme poigne de la femme à la place, maintenant sa tête en place de force.

Puis Aemiliane vit la garde se rapprocher avec une étrange seringue au liquide violet. Elle se tortilla sur place, ne désirant pas se faire piquer et injecter un produit dont elle ne connaissait pas les effets mais, ne put faire grand-chose pour empêcher cela. Elle se fit piquer à la gorge et couina encore, jusqu’à ce que rapidement elle sentit la douleur s’estomper. Aemiliane comprit alors qu’elle venait de se faire, en quelques sortes, anesthésier la gorge ... Pour faciliter le passage de ce monstre de sexe. D’ailleurs elle écarquilla fortement ses yeux quand la puissante F-Girl se mit à s’enfoncer en elle. « HMMM ! » Rugit-elle non pas de douleur mais d’un mélange de gêne ... Et de plaisir. Sa gorge gonfla beaucoup, se déforma bien à vue d’œil mais grâce à la précédente piqure, aucune douleur n’était ressentie.

L’intruse se voyait ainsi se faire violer la gorge par ce mandrin disproportionné, qui rentra complètement en elle jusqu’au point où elle ne put que baver sur cette queue. Elle perfora sa gorge, pourfendit ses entrailles pour se glisser bien profondément, faisant manquer d’air à Aemiliane. L’oxygène lui manqua et lui rendit les pensées confuses, la tête légère, lui faisant révulser ses yeux alors qu’elle perdait doucement pied avec la réalité. Mais elle ressentait aussi tout le goût de cette trique, de ce gros morceau de chair qu’elle était en train de pomper ; car effectivement, la scientifique commençait à bouger d’elle-même sa tête pour venir sucer la F-Girl. Etait-ce là une preuve supplémentaire de sa perversité ? Bien évidemment.

26
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: dimanche 04 novembre 2018, 22:29:07 »
Au fond, avait-elle réellement attendu ce moment toute sa vie ? Probablement pas mais, ce qui demeurait vrai était bel et bien que ça l’excitait. Elle avait entendu parler de la Fut-Room et du service très particulier de cet établissement mais, n’avait jamais franchi le pas de ses portes. Pourtant ce n’était pas l’envie qui lui manquait ; l’idée de se faire bien défoncer par de belles et puissantes femmes musculeuses, dotées de membres aussi gros qu’infatigables était très séduisante. Aemiliane avait des fantasmes particuliers et quand on la voyait, on ne se doutait pas forcément à première vue qu’elle était du genre à adorer se faire tringler de la sorte. Et pourtant ...

Et pourtant c’était ce qui était en train de se passer. La jeune femme continuait à se faire sauvagement prendre par une F-Girl qui semblait décidée à lui faire payer son intrusion. Mais visiblement le baiser qu’elle vint lui arracher la surprit. En quoi était-ce surprenant ? Aemiliane était en train de se laisser aller, de succomber à son fantasme en se disant qu’après coup, elle parviendrait sans doute à se sortir de cette situation. Peut-être qu’en acceptant de jouer avec cette femme, de lui servir de vide-couille, la pilule passerait mieux ? C’était à tenter, en tout cas. Ainsi donc Aemi’ continua de se faire prendre encore et encore, repoussée dans ses derniers retranchements alors qu’elle finit, inévitablement, par jouir à nouveau.

« HAAAN ! » Couina-t-elle de toutes ses forces, un nouvel orgasme la saisissant de partout, faisant vibrer son corps tout entier alors que le foutre de sa partenaire vint bourrer ses entrailles. Elle n’avait jamais vu une telle quantité de foutre en une seule fois ... C’était surréel ! Elle se faisait remplir, encore et encore, son ventre finissant par gonfler à vue d’œil. « Hmmm ... Haaaa ... » Gémit-elle finalement, tombant au sol quand sa puissante partenaire la laissa tomber. Un mélange de foutre et de mouille inondait son entrejambe, donnant à Aemiliane l’aspect d’une pauvre prostituée dont on aurait abusé. Mais ... Elle se sentait incroyablement bien. Se faire tringler ainsi, se faire baiser de la sorte ... C’était quelque chose dont elle avait eu envie depuis fort bien longtemps.

Puis une douleur s’empara d’elle au niveau de sa chevelure. Elle se la fit empoigner par la femme qui tira dessus pour lui faire pencher la tête en arrière, afin de mieux lui présenter son énorme mandrin, encore dressé même après ce déluge de foutre. « J-Je n’espérais rien ... Je ... Je ... » Dit-elle, hésitante. Ses yeux étaient braqués sur ce puissant sexe en érection, qui provoquait en elle un terrible voire un féroce appétit. Elle lorgnait dessus, la voix entrecoupée alors qu’elle finit par succomber à ses désirs. La jeune femme posa ses mains sur les fermes cuisses de sa bourrelle puis vint plaquer son visage contre ce gros bracquemart. Obéissant à la lettre, elle inspira un grand coup, reniflant l’odeur viril et enivrante se dégageant de cette trique, avant de commencer à la lécher avec appétit.

« Ahh c'est si bon ... Hmm j'aurai du ... J'aurai du venir plus souvent ... » Dit-elle. Il ne fallut guère longtemps pour voir Aemiliane lécher et embrasser ce bâton de chair de partout. La jeune femme semblait même y mettre du cœur ! Elle était comme possédée, comme une droguée pouvant enfin soulager son besoin en poudre blanche. La scientifique se régala en léchant ce sexe de toute part, en l’embrassant et en le frottant contre son petit visage. Mais il lui en fallait plus ... Bien plus. Aemi’ termina sur le bout rosé de cette tige aussi rigide qu’une barre de fer, puis se mit à l’enfourner lentement dans sa bouche. Rien que cette partie occupait presque la totalité de sa bouche mais, elle ne se découragea guère ! La jeune femme suçota et pompa sur la cerise de sa partenaire de fortune, enfournant cette partie dans sa chaude bouche, se préparant lentement à enfourner tout le reste ...

27
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: dimanche 04 novembre 2018, 16:28:50 »
Aemiliane peinait à croire qu’elle se donnait en pâture ainsi. Mais comment faire autrement ? Comment résister à une pareille queue ? Jamais elle n’avait ressenti autant de plaisir à se faire tringler par une hermaphrodite qu’à présent ... La seule pouvant égaler ce sentiment étant l’inimitable Miranda Forge. Mais, toujours était-il que la puissante femme au corps d’athlète était en train de la rendre folle à force de la bourriner ainsi. Son petit et menu corps remuait fermement à chaque coup de trique, ceux-ci rendant de plus en plus euphorique la jeune femme. Ses yeux finirent par se révulser alors qu’elle enroula pour de bon ses cuisses autour de sa bourrelle qui semblait ne pas en avoir fini avec elle.

Jusqu’où irait-elle, d’ailleurs ? En tout cas elle tenu le coup jusqu’à ce que Aemiliane, ne pouvant plus lutter, finit par jouir. Un terrible orgasme la frappa, la saisit de part en part, faisant courber son corps sous l’euphorie de la jouissance. « HMMMM ! » Rugit-elle de sa voix douce, rouge de honte pour avoir osé jouir ainsi entre les bras d’une méchante femme, mais aussi rouge de plaisir car cette même femme venait d’apporter à Aemiliane un plaisir fou. Faisant fi de ses insultes et injures, elle ne put cependant pas ignorer la douleur provoquée par le choc contre le mur. Le choc de son dos de faisant plaquer de force contre le mur, alors que son corps était en suspens en l’air, maintenu uniquement par l’inarrêtable femme.

Elle gémissait en continue, se mordant la lèvre et rougissant comme une tomate pendant qu’elle se faisait prendre en toute impunité. Aemiliane avait cru à une humiliation mais, cette queue était si ferme, si appétissante, si ... Jouissive, qu’elle ne parvenait à ne rien voir si ce n’était l’extase qu’elle lui procurait. Le fait que la femme soit musclée et autoritaire plongeait d’avantage l’intruse dans sa transe car cela correspondait à l’un de ses fantasmes. Preuve qu’elle sombrait et ne se rendait pas compte de sa situation, l’intrépide scientifique décida de venir capturer les lèvres de sa partenaire quand celle-ci plaqua sa poitrine contre la sienne.

Leurs visages étant proches, elle en profita pour venir poser tendrement ses lèvres contre les siennes, faisant abstraction de toutes les reproches qu’on pourrait lui faire ; à savoir que se donner ainsi à l’ennemi était une mauvaise chose, que succomber aux charmes d’une telle brute était humiliant, etc. Pour Aemi’ rien de tout cela ne comptait désormais ; elle désirait se faire prendre, encore et encore. Elle désirait jouir, désirait même pomper cette queue jusqu’à lui vider ses bourses ! Il ne faisait aucun doute, d’ailleurs, que ça serait la première chose qu’elle ferait une fois que la montagne de muscle déciderait de la reposer au sol. En attendant elle continuait de gémir voire hurler d’euphorie à force de se faire empaler ainsi.

28
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: samedi 03 novembre 2018, 16:21:16 »
La priorité pour Aemiliane était de se sortir des griffes de cette brutasse. Mais comment faire ? La seule solution qu’elle avait trouvé fut d’user de ses charmes et de l’apparente frustration sexuelle de la dame à son avantage. Mais, en vérité elle jouait avec le feu ; et elle était sur le point de se brûler. Alors qu’elle venait de frotter sa cuisse contre l’impressionnante trique de l’immense femme aux beaux muscles qui la faisait scandaleusement loucher des yeux, elle déglutit en sentant la poigne se détendre sur son cou. Elle tomba finalement comme une pierre au sol sur ses fesses. « Aïe ! » Gémit-elle sur le coup, crispant son visage alors qu’elle sentit subitement la massive queue de l’inconnue taper son front.

Puis, elle sut qu’elle venait de se brûler quand elle entendit cette histoire de collier. « Non ! Pas de collier, j’aime pas ça et ... » Dit-elle, se faisant interrompre par les gardes qui l’attrapèrent puis lui apposèrent le collier de force, autour du cou. L’étau de serra sur sa fine et délicate gorge qui a présent était prisonnière de cet étrange appareil qui ne présageait rien de bon. Aemiliane n’avait pas prévu de se retrouver en laisse ainsi. Cela compliquait ses plans et les possibilités de s’enfuir. Mais, même dans cette situation critique elle gardait espoir ... Elle finirait par trouver un moyen pour s’échapper d’ici et faire éclater la vérité ! En attendant elle regarda la dame lui expliquer qu’en réalité, ce collier était un appareil à décharge électrique et qu’il se déclencherait dès qu’il se retrouverait à plus de deux mètres du boitier qu’elle tenait.

La scientifique écarquilla ses yeux au moment où, sadique comme est cette brute, celle-ci jeta le boitier au loin, déclenchant la décharge électrique. « AAAAAH ! » Cria alors Aemiliane, serrant ses dents et se faisant clouer au sol alors qu’une violente, très violente douleur se manifesta au niveau du collier sur son cou. De puissantes décharges électriques parcourait son corps et la paralysait au sol dans une douleur incommensurable et insupportable. Cette harpie ne plaisantait nullement et venait de mettre en laisse Aemiliane pour de bon, pour un certain temps du moins. La scientifique convulsa à terre mais finit par se calmer et se ressaisir quand le boitier fut récupéré et mit de nouveau à porter. La scientifique offrit un air et un regard hostile à son assaillante qui avait dès lors le toupet et l’irrespect de lui donner une insulte pour nom !

(C’est toi la salope ici ! Tu vas voir quand je sortirai d’ici, ton manège va vite tourner court.) Pensa Aemiliane. Cependant ce n’était pour l’instant pas au programme car on conduisit de force l’intruse dans une salle de contrôle. Elle n’avait pas le choix, à cause de ce maudit collier ! Et alors qu’elle pensait subir un interrogatoire musclé, voilà qu’elle se fit violemment pousser sur une table. Le choc lui fit terriblement mal au dos mais, à peine eut-elle le temps de rouvrir ses yeux qu’elle sentit l’immense femme la plaquer puis lui déchirer sa jupe courte. Elle n’eut guère le temps de l’insulter qu’elle vit l’épais membre frotter ses cuisses et ses hanches avant de s’enfoncer brutalement en elle, lui procurant bien plus de douleur que de plaisir. « HAAAAAA ! » Hurla-t-elle, de douleur, d’effroi plutôt que de plaisir alors qu’elle avait l’impression de se faire déchirer en deux, littéralement. La douleur était presque aussi intense que celle du collier électrique et pendant au moins une dizaine de minute, elle ne ressentit rien d’autre que de la souffrance.

Puis lentement, avec honte certes mais tout de même, le plaisir commençait à remplacer la douleur ... Le corps d’Aemiliane réagissait face à ces puissants coups de trique et bientôt ses cris de douleurs se transformaient en cris d’extase malgré elle et malgré le fait qu’elle refusait de se soumettre aussi facilement. Etait-ce au fond un fantasme, pour elle ? De se faire prendre par une puissante femme physiquement ? Une femme à la forte carrure et au caractère très dominant, qui la prendrait encore et encore, la faisant hurler comme jamais elle n’avait hurlé dans sa vie ? L’hypothèse n’était pas à écarter ... Mais après tout, Aemiliane restait et restera une petite perverse ! Au point que son corps remuait et vibrait d’extase mais aussi que ses douces cuisses vinrent lentement s’enrouler autour de sa partenaire pour mieux la sentir lui bourriner la chatte.

29
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: jeudi 01 novembre 2018, 14:08:16 »
La situation échappait doucement au contrôle d’Aemiliane. Elle n’était pas Spider-Woman ... Elle n’avait pas de sens développés, ni de super-force pour se sortir des mauvaises passes. Cela elle s’en rendait compte à présent ; quand elle était essoufflée après avoir courue comme une dératée pour se planquer derrière une porte. Voilà donc qu’elle se pensait à l’abri, même si elle se doutait que la sécurité finirait par la retrouver vu leur équipement de pointe. C’était pour cette raison qu’elle devait se remettre à fuir. Mais de là où elle était, il n’y avait qu’un seul passage. Un long couloir étroit menant à un escalier.

Il n’y avait pas d’autre choix possible ! Aemiliane accouru donc vers le fond du couloir et commença à gravir rapidement les marches. Peut-être que cela allait la mener à une issue ? En tout cas elle n’avait pas d’autre option pour le moment. L’adrénaline pompée partout dans son corps la faisait bouger de manière précipitée mais, cela n’empêcha guère la subite main de venir l’empoigner soudainement à la gorge. « ARGH ! » Gémit-elle brusquement, manquant de s’étouffer alors qu’une douleur saisissante s’éprit de son dos. Plaquée contre le mur et endoloris, elle se rendit compte avec effroi qu’elle était soulevée et maintenue par une femme au très fort gabarit. Une femme très musclée et en colère, qui n’hésita guère à lui faire mal.

Aemiliane avait du mal à respirer et à répondre. Elle s’agitait au-dessus du sol mais, elle ne parvenait guère à faire plier le bras de son assaillante. Il fallait réfléchir et vite. Que faire ? Quoi dire ? Aemiliane était forte pour les analyses rapides, fort heureusement. Elle remarqua vite la colère de cette femme, mais aussi, son sexe exposé et tendu qui se frottait contre ses cuisses. Si elle était en pareil état, c’était qu’elle venait de faire l’amour mais n’avait pas pu finir son affaire. Elle était donc, probablement, frustrée. Peut-être pourrait-il en tirer avantage ? Mais la scientifique préférait avant songer à une option moins humiliante ...

Sauf qu’il n’y en avait pas beaucoup. Se battre avec cette femme était impensable ! Lui mettre un coup bien placé, surtout avec sa zone sensible ainsi exposée, pourrait lui offrir de quoi fuir mais si jamais elle venait à se faire rattraper elle savait qu’elle risquait sa vie. Aemiliane déglutit puis commença à doucement bouger sa jambe pour frotter lentement le sexe en érection de la femme, tout en la regardant dans les yeux. « C-Ca serait bête de me tordre le cou alors qu- ... Que ... Il pourrait servir à autre chose ... » Dit-elle en ayant du mal car sa gorge était comprimée. Pour mieux appuyer ses dires, Aemiliane se mit à frotter plus sérieusement la trique de la femme avec sa jambe, excitant davantage ce membre. « On p-peut s’arranger ! » Finit-elle par dire, espérant qu’elle pourrait trouver un moyen de fuir une fois qu’elle serait en train de satisfaire cette femme. Pour parfaire le tout, la scientifique lui fit ses inimitables yeux de biche !

Elle peinait encore à croire à la carrure de cette dame. Elle était si forte, si musclée, était-ce naturel ? Ou était-ce là la manifestation du sinistre F-Gen sur lequel Aemiliane enquêtait ? C’était sa principale raison d’être ici après tout.

30
Tekhos Metropolis / Re : Tomboy [PV]
« le: lundi 29 octobre 2018, 20:47:29 »
La Fut-Corp. Encore une mégacorporation sombre et obscure qui était en train de ronger Tekhos Metropolis, comme bien d’autres dans son genre. GWC ne faisait pas partie du lot bien entendu – après tout, la fouineuse de ce soir était employée là-bas ! Elle ne pouvait pas se permettre de penser du mal de sa propre entreprise et surtout, de sa propre patronne qu’elle aimait beaucoup. Aemiliane était une brillante scientifique, le jour. Une matière grise qui mettait à profit son savoir pour le compte de GWC mais pas que ! Depuis peu, l’intrépide aidait à combattre le crime à Tekhos Metropolis grâce à Spider-Woman ; l’héroïne tant décriée par la presse.

C’était un secret qu’elle devait garder bien entendu. Mais étant une groupie de la femme araignée, le destin les avaient réunis toutes les deux et voilà qu’à présent elles coopéraient ensembles. D’ailleurs, leur relation allait bien au-delà de cela ... Mais, ce n’était guère le sujet. Aemiliane aidait la justicière costumée dans ses escapades, généralement en lui servant de support technique et logistique. Elles formaient un brillant duo ! Mais étrangement, la scientifique sentait qu’elle n’en faisait pas assez ... Elle sentait un manque, un vide à combler. Elle devait s’investir plus personnellement dans la lutte contre la criminalité.

Pour se faire, elle avait décidé depuis peu de se déplacer personnellement sur le terrain, à ses risques et périls. Sans prévenir Spider-Woman évidemment, sinon celle-ci l’en aurait tout bonnement empêché afin de la préserver. Mais Aemi’ était du genre à n’en faire qu’à sa tête et surtout, à ne pas considérer assez le danger. Ce soir, elle allait malheureusement se heurter à la réalité. Tout commença quand la malicieuse scientifique décida de s’infiltrer, de nuit, dans l’usine principale de la Fut-Corp. Une entreprise malsaine et poursuivie par les autorités, pour plein de raisons. Aemi’ savait que Spidey travaillait dessus mais, elle était décidée à lui donner un sérieux coup de main en allant voler des informations pour elle.

C’était son plan, son idée. Ses talents de pirate informatique lui permirent de passer les premières sécurités, et sa silhouette fine ainsi que sa belle souplesse firent qu’au final, pour une simple agente de support, elle se démenait plutôt bien sur le terrain ! Le bâtiment qui l’intéressait était celui qu’on nommait Bâtiment 33 et selon les premiers renseignements d’Aemiliane, celui-ci était le meilleur candidat pour cacher de lourds secrets. Elle se retrouva nez-à-nez avec une série de portes verrouillées, dans une aile menant au cœur dudit bâtiment. Si jusqu’à présent la voleuse ne s’était pas fait repérer, rien ne disait que la chance continuerait de lui sourire. Elle observait les portes et fut alors convaincue qu’elles cachaient des pauvres cobayes, des sujets d’expériences qu’elle devait, dès lors, libérer.

Rapidement, elle se dirigea vers la première cellule – l’endroit lui faisant de plus en plus penser à une prison – puis entama le piratage du système de verrouillage grâce à un ordinateur embarqué dans un appareil sur son bras. La technologie Tekhane, il n’y avait rien de plus beau à voir ! Aemiliane finit alors par déverrouiller cette première porte, avec l’espoir de sauver sa première victime. Le sas s’ouvrit, mais la pièce était plongée dans une étrange pénombre. C’était une cellule étroite, très étroite ... Un cruel sort pour la personne située dedans. S’il s’agissait bien d’une personne. Car quand la jeune femme posa son regard dessus, elle plissa des yeux puis les écarquilla, alors qu’un rugissement retentit. « AH ! » Cria-t-elle subitement, prise par surprise, ne pensant guère un seul instant que sa voix pouvait la faire repérer.

Aemiliane sauta en arrière alors que l’hideuse créature difforme commençait à avancer vers elle. « HIDEUX ! » S’exclama-t-elle alors que puisant dans toutes ses forces, et grâce à l’adrénaline, elle parvint à refermer le sas sur le monstre. Son cœur battait très fort et très vite. Elle commençait à réaliser qu’elle ne trouverait pas que des victimes ici, mais aussi ... Des horreurs. Tout s’enchaina à partir de cet instant car, la levée de sa voix avait attiré les deux gardes circulant sur cette aile. « PAS UN GESTE ! » Hurla alors le premier, arrivant derrière Aemiliane. Celle-ci se mit alors à courir de toutes ses forces, chanceuse de ne pas se trouver sur le chemin d’une des nombreuses balles qui ricochèrent à droite à et à gauche.

Elle était repérée, et les choses n’allaient qu’empirer. Mais elle était plus que jamais déterminée à poursuivre sa mission, de lever le voile sur cette horrible entreprise ! La jeune femme courrait donc, tentant de semer la sécurité qui avait d’ailleurs activé l’alarme, retentissante à présent de partout. « ZUT ! » S’insurgea Aemiliane, alors que dans la précipitation et la volonté de semer le garde, elle se faufila derrière une porte de service, qui menait ... Quelque part. Elle n’avait pas réfléchit avant d’entrer, désireuse uniquement de se cacher.

Pages: 1 [2] 3 4 ... 12