Royaume Terranide / Re : Le bal des Poupées
« le: lundi 06 février 2017, 12:04:14 »« Je… je ne sais pas d’où c’est venu… peut-être que maîtresse Evangeline le sait… »
Mais ce n’était pas la question pour le moment, puisque les deux vampires décidèrent d’échanger leur place. La maid regarda Mélinda la changer de position pour pouvoir s’allonger sur elle, une main serrant la sienne, sa verge caressant ses cuisses. Elle ne prononça pas un mot, mais son regard voulait tout dire. Quand ce sexe long et dur entra en elle, elle poussa un long couinement de joie.
« Aaaahhhh ! »
Décidément, impossible d’échapper au plaisir quand on était dans le même lit que ces femmes. Karuta remuait son corps au rythme des allées et venues de la verge de son amante en elle, augmentant ainsi le plaisir ressenti. C’était un petit truc que lui avait appris les formateurs de sa maîtresse, plus difficile à faire quand elles étaient deux à la prendre, mais là c’était assez simple.
« Oohh… oui… encore… encore… »
Peu à peu, la lumière violette qui avait enveloppé la maid lors de son précédent orgasme revint planer autour de son corps. Même si la théorie de Mélinda était complètement ridicule, vu la façon dont cette aura se manifestait, on aurait pu croire que cela avait vraiment un lien avec l’excitation sexuelle. Mais la jeune fille ne s’en préoccupa pas vraiment, sa seule inquiétude du moment était d’assurer en tant que partenaire sexuelle pour que les vampires n’aient rien de mauvais à rapporter à Evangeline. Plutôt mourir que de décevoir une maîtresse aussi merveilleuse qu’elle.
Au terme de ces va et viens furieux, Karuta atteignit l’orgasme, et brilla à nouveau de cette même mystérieuse lumière avant qu’elle ne disparaisse. Grâce à son collier, elle évita la fatigue, et put se tenir prête à recommencer. C’est alors qu’elle se rappela d’une histoire qu’on lui avait raconté sur les vampires.
« Dites moi maîtresses… on m’a dit que les vampires aimaient boire le sang des gens… en les mordant dans le cou. Est ce que… c’est vrai ? »
Elle attendit leur réponse, puis leur présenta son cou.
« Aimeriez vous… boire le mien ? »