Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jack Taylor

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C’est d’un air renfrogné qu’Akira quitte le bureau du proviseur. Cette fois-ci, il risque bel et bien l’expulsion pour avoir envoyé à l’hosto un terminale qui voulait faire le malin en le vannant sur sa taille. Ni une ni deux, Akira lui a écrasé les couilles d’un coup de genou bien placé, avant de lui balancer deux grosses droites et de l’envoyer faire une bonne sieste. Car si Akira n’est en effet pas bien grand, il est trapu, et plutôt musclé pour son âge. A la différence du bulletin scolaire, ses notes en sport sont très élevées. Chose plus surprenante encore, sur un terrain, Akira fait preuve d’un admirable fair-play.

Mais pas en dehors.

“Putain, 'fait chier !”

A tous les coups, son père risque de le défoncer. Physiquement. Le caractère orageux d’Akira - qu’il partage avec sa sœur jumelle - ne vient pas de nulle part. Son père, avant de se reconvertir dans l’import-export, était un trafiquant notable d’opiacés. “Akira, ça va ?” Avec humeur, Akira repousse la main secourable de Toshio, que son sous-fifre s’est permis de lui poser sur l’épaule. “Ouais c’est bon, casse pas les couilles, mec.” Ce soir, il faudra qu’il en parle à sa grande sœur, la seule capable - par il ne sait quel moyen - d’apaiser l’ire de leur père. Putain, il est même pas encore 9h30, et sa journée est déjà niquée. D’un geste de la main, il congédie son pote, avant de descendre d’un étage pour aller récupérer ses affaires d’anglais dans son casier.

“Mh ?”

Il fronce les sourcils lorsqu’il remarque le papier soigneusement plié en quatre sur sa pile de manuels scolaires. Immédiatement, son cœur s’emballe. Une écriture de fille ?! Wow. Il n’a jamais reçu de petit mot. C’est probablement une farce. Il baisse les yeux, fronce les sourcils. Assurément, c’est une écriture de nana. Fine ronde, soignée. Il embrasse les environs du regard, mais le couloir est presque vide ; la cloche a retenti depuis cinq bonnes minutes et il est déjà en retard. Pourquoi en cours ? Et si c’était une nana de sa classe… Sayuki ? Hana ? Rah. Impossible de savoir ! Dans le doute, il obéit à l’injonction, fourre le papier dans sa poche et se rend en salle 301, pour assister au cours lénifiant de M. Taylor, un connard arrogant qu’il n’a jamais pu supporter, mais qu’il se garderait bien d’essayer d’intimider. Alors que l’européen interroge une élève au hasard sur la séance de la semaine passée, il sort le petit papier de sa poche, pour l’ouvrir délicatement, la bouche sèche. Toilettes. 10h30. Mizuho.

“Putain c’est quoi ce… Bordel ?”

Il a juré à voix basse, mais son voisin, un binoclard de première, lui jette un regard courroucé. Mizuho. Nan, c’est carrément impossible. Mizuho, c’est cette putain de bombasse inaccessible au commun des mortels. La suceuse de prof. Il a encore croisé l’adorable brunette, juste avant de se rendre dans le bureau du proviseur et il se souvient assez clairement avoir croisé son regard au moins deux secondes, avant d’avoir détourné les yeux sans demander son reste. Mizuho et ses gros seins, ses jambes interminables et ses lèvres pulpeuses. Son air indolent et sa démarche féline. Entre ses cuisses serrées, Akira sent sa grosse queue enfler à vue d'œil. Et si c’était possible ? Si elle avait vraiment jeté son dévolu sur lui ?

***
Une bonne demi-heure plus tard, Akira, en nage, pousse enfin doucement la porte des sanitaires féminins. Sourcils froncés, souffle court, il est sur ses gardes. L’adolescent a beaucoup d’ennemis - à juste titre - et il n’a pas écarté l’idée d’un traquenard. Dans son poing serré, le petit mot doux qu’elle lui a écrit.

“Mizuho-senpai … ?”

Lorsqu’une voix féminine lui répond, le garçon sursaute, et son cœur loupe un battement. Impossible de savoir si c’est elle puisqu’en réalité, il n’a jamais entendu sa voix, même s’il s’est masturbé un nombre incalculable de fois en pensant à elle. Plusieurs cabines sont grandes ouvertes, vides. Il avance avec prudence. Seule la cabine du fond est fermée. Le garçon se penche légèrement, et constate qu’il peut apercevoir d’adorable petites pieds chaussés de mocassins vernis. Wow… Les doigts tremblants, il fait sauter les deux premiers boutons de son uniforme, avant de poser le plat de sa main sur le battant en bois verni.

“Mi… Mizuho-senpai.” tétanisé, l’adolescent recule d’un pas.

Il a du mal à y croire, mais c’est bien elle, sagement assise sur la cuvette des chiottes, le haut de son uniforme largement ouvert sur ses gros seins, compressés dans un élégant soutien-gorge en dentelle. Il rougit vivement, balbutie quelques monosyllabes. Son énorme chibre gonfle encore, jusqu’à tendre le tissu de son pantalon d’une manière particulièrement obscène. D’un geste, il plaque sa main libre sur son chibre, pour le plaquer sur le côté de sa cuisse, mais le mal est fait. Lorsqu’enfin il parvient à reprendre la parole, le regard fuyant, sa voix est faible, mal assurée.

“Tu… Voulais me voir ?”

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One Shot / Re : Le châtiment de la sœur. - Jack Taylor
« le: dimanche 08 mai 2022, 18:09:19 »
Majestueuse, Li émerge du bain dans lequel elle était plongée, échappant à ses caresses appuyées. Perplexe, Jim reste en place, laissant ses magnifiques yeux bleus glisser sur le corps sculptural de sa grande sœur. A l’ordre qu’elle lui donne, il se redresse, contourne la baignoire, avant de s’asseoir sur l’émail immaculé. La remarque suivante lui fait froncer les sourcils et il ne peut s’empêcher de rougir vivement. “Non… Non, non. Pas du tout.” Comme pour le contredire, son gros chibre est pris d’un soubresaut et rebondit contre son abdomen avec un claquement mouillé, souillant ses pectoraux d’une belle trace de pré-sperme visqueux. L’idée qu’il se comporterait volontairement mal pour qu’elle puisse ensuite le punir ne lui est jamais venue à l’idée et il se demande s’il n’y a pas un fond de vérité. Il attrape au vol le masque qu’elle lui lance, sourcils froncés. Ce n’est pas la première fois qu’elle lui demande de le mettre et cela signifie que la punition est imminente.

A cette idée, sa queue vibre de nouveau.

“J’ai probablement été un peu trop gâté…” Docilement, Jim attache le masque derrière son occiput, avant de laisser ses bras retomber le long de son corps. Il n’y voit plus rien, pas même un raie de lumière. C’est le sifflement de la lanière de cuir dans l’air qui l’avertit avant le choc. “Aie, ow, ow…” Jim a beau gigoter pour s’efforcer d’éviter la morsure de la ceinture, elle s’abat à plusieurs reprises sur la peau diaphane de ses cuisses, la meurtrissant de longues traînées rouges et douloureuses. Le gamin manque de tomber à la renverse dans l’eau tiède lorsque ses pieds dérapent sur le carrelage détrempés. Finalement, il parvient à se glisser au sol en se tenant au rebord en haletant, le cœur cognant contre sa poitrine. ses mains glissent sur le sol et, de mauvaise grâce, il se déplace légèrement pour présenter son joli petit postérieur bombé au miroir de la salle de bain. Sa petite corolle vierge et nervurée s'entrouvre légèrement lorsqu’il sursaute au coup de ceinture supplémentaire que Li lui assène sur le postérieur.

“Hmmgn…”

Lorsque le cuir se referme autour de sa gorge offerte, il doit se cambrer pour ne pas s'étouffer. Désormais, sa sœur se trouve en face de lui, il peut sentir l’odeur parfumée de sa peau, alors que l’ourlet de son peignoir lui chatouille le menton, que sa petite vulve fraîche effleure l’arrête de son nez. “Li…” murmure-il, son souffle brûlant caressant la chatte de sa grande sœur. Maîtresse…”, se reprend-il; avant de sortir une belle langue rose baveuse… Et laper délicatement le sexe de sa soeur, comme un vulgaire clébard, ravi d’un tel honneur, frémissant de crainte et d’impatience à l’idée de ce qui va suivre. Bientôt, il ose rapprocher sa bouche pour aspirer ses grandes lèvres, et reprendre son ouvrage avec un obscène bruit de succion. Entre ses jambes, son chibre pulse, de plus en plus rageusement.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: vendredi 08 avril 2022, 16:00:07 »
Insensible à la morsure de l’air frais sur mes couilles, indifférent à la proximité de l’autoroute, dont le ronronnement accompagne nos soupirs, je fouille sournoisement l’anus d’Astrid, alternant lents va-et-vient, ondulations presque circulaire pour la dilater davantage et mouvement plus brusques du bassin pour m’enfouir profondément dans ses entrailles tièdes, écrasant mes grosses bourses pleines contre sa pauvre petite corolle malmenée et poisseuse de pisse. De ses ongles, une Astrid extatique me laboure le dos, sa jolie poitrine tressautant à chaque nouveau coup de butoir, son bassin accompagne langoureusement le mouvement de mes hanches. Nos fronts se heurtent, je cherche son regard, plonge mon regard trouble dans le sien.

“... Su ? Je sais ma puce, je sais.” Mes propres mots m’étonnent, alors que je réalise que, quelque part je la comprends. Même si ça n’efface pas ma rage, ma rancœur et ma jalousie. Astrid et moi sommes pareil. Deux âmes corrompues, dépendantes à la dopamine, au plaisir sale, honteux et brutal, au sexe qui souille l’âme et le corps. “Mais ça ne t'aurait pas suffit. Ca ne t’aurait jamais suffit, sale chienne, tu…” Mais Astrid s’est redressée, juste assez pour plaquer de nouveau ses lèvres souillées contre les miennes. Avec avidité, j’accueille sa petite langue, que je caresse, que je suçote du bout des lèvres. Cette langue qui fouillait mon cul, quelques minutes plus tôt. Je grogne contre sa bouche entrouverte. Les jambes fléchies, je remue plus vigoureusement en elle, jusqu’à faire claquer mes hanches contre son pubis. Elle est suffisamment ouverte pour que je la défonce, désormais. Du revers de la main, je caresse un court instant sa bouille d’ange, avant d’empoigner la chair tendre de son cou et de serrer, pour la priver partiellement d’oxygène. Mon regard trouble passe de ses traits crispés par l’imminence de son orgasme, aux oscillations obscènes de la peau de son ventre diaphane sous l’effet de mes coups de butoir dans son petit anus. Je lui crache à la gueule, une fois de plus, avant de l’embrasser derechef, frissonnant lorsque ses petits tétons érigés s’écrasent contre mon torse.

“Putain. Tu pisses de mouille, sale pute”. Quelle tarée. Elle en fout partout, à se branler frénétiquement. Ça coule, ça gicle presque sur ma grosse bite, sur mes couilles et sur ma caisse neuve. “Jouis ma belle, jouis. Pour. moi.” Je la ravage, désormais. Les yeux écarquillés, rivés sur sa jolie petite gueule, je martèle son anus éclaté avec une surprenante facilité, la faisant littéralement tressauter sur le capot. Lorsqu’elle se cambre, ma main glisse dans son dos, pour la serrer contre moi. Retenant mon orgasme pour le coordonner avec le sien. Lorsque je sens son anus se contracter nerveusement sur mon gros chibre, un long râle rauque s’échappe de mes lèvres entrouvertes. Mon propre corps se cambre à son tour, à la rencontre de celui de mon Astrid alors que je me vide longuement en elle, tapissant son cul de longues giclées de foutre épais et brûlant, alors qu’elle même explose, éclaboussant mon pubis de sa cyprine. “Ton trou putain, ton sale trou…”, je murmure bêtement, avant de lier de nouveau mes lèvres aux siennes, étouffant ses soupirs avec avidité. Les mouvements de mon bassin s’apaisent progressivement, jusqu’à ce que le flot de mon foutre se tarisse et que, foudroyé par l’orgasme, je m’effondre à mon tour sur elle de tout mon poids, ma grosse queue palpitante toujours profondément fichée en elle.

“Hmm.”

Un frisson me sort de ma torpeur. Au prix d’un effort surhumain, je me redresse, posant mes deux mains des deux côtés du visage d’une Astrid échevelée et épuisée. Je la trouve d’autant plus belle, maintenant que je l’ai souillée. En soupirant, je parviens à me mettre debout, faisant glisser ma grosse queue débandée au dehors de son anus défoncé, qui ne tarde pas à dégorger de foutre, alors que je m’éloigne en titubant de ma victime. Rapide regard sur l’avant de ma voiture. je ne sais pas par quel miracle, mais la carrosserie semble n’avoir pas été enfoncée. Tant mieux.

“Toshio. N’oublie pas de laver le capot, après nous avoir déposés”.

Je résiste à l’envie puissante de prendre Astrid dans mes bras, pour la porter jusque dans la voiture, tant elle a l’air vulnérable, désormais. Mais elle ne mérite pas que je prenne soin d’elle. Seulement que je lui fasse mal. Peut-être que je devrais lui faire lécher le capot...Je consulte ma montre. Réunion avec les actionnaire dans trente minutes. Pas le temps. Je la désigne du menton à mon chauffeur, en remontant sommairement boxer et pantalon sur mes hanches.

“Rhabille-moi ça. Banquette arrière, on la dépose et on rentre au siège."

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One Shot / Re : Le châtiment de la sœur. - Jack Taylor
« le: vendredi 01 avril 2022, 23:40:50 »
Jim n’est pas dupe. Il sait que le ton doucereux de sa sœur aînée constitue le calme avant la tempête. Li n’hésite pas à utiliser la cajolerie pour arriver à ses fins… Avant de se montrer impitoyable. Le beau jeune homme en sait quelque chose. Pour autant - et comme d’habitude - il choisit de rentrer dans son jeu et de faire mine de croire à la mansuétude factice qu'elle affiche.

“Peur ? Non. Je n’ai pas eu peur.” Une lueur de fierté mal placée s’allume dans ses iris bleutés. “Je lui ai défoncé la gueule, à ce connard. A mon avis, il ne pourra probablement plus avoir de gosses… Enfin, de toute façon c’était visiblement pas sa priorité.” Il parle trop. Ça a toujours été l’un de ses plus gros défauts. Il parle trop et il s’enfonce.

La main mouillée de la jeune femme, glisse sur sa cuisse, effleure son chibre dressé. Les doigts de son aînée sont longs, soigneusement manucurés. Ses ongles crissent sur la toile de son chino. A l’ordre qu’elle lui donne, Jim se redresse à regret, pour s’éloigner de quelques pas. Avec soin, il se débarrasse de l’ensemble de ses vêtements, qu’il plie sur une chaise, avant de s’asseoir sur un petite tabouret placé derrière l’immense baignoire, dans le dos de sa grande sœur. Ses belles main de pianiste glissent sur les omoplates de la jeune femme, avant d’épouser l’arrondie de ses épaules musclées. Inutile pour le moment, son gros chibre pointe vers le plafond de la pièce, un léger filet de foutre tiède dégoulinant le long de sa hampe gonflée.

“Peut-être. Mais je ne suis pas pédé. Et puis…” Il marque un temps de pause. La pression de ses doigts s’intensifie sur les muscles de son aînée. Jim sait y faire, et ce n’est pas la première fois qu’il la masse. “Je refuse que ma première fois de ce côté-là ait lieu avec un individu aussi dégueulasse. C’est vraiment pas juste.” De source sûre, Jim sait qu’avant de s’abaisser à se vautrer dans le stupre avec des inconnus, Li a découvert la sexualité dans les bras de son père et de Kun.  Audacieux, il dépose un tendre baiser entre ses omoplates humides. Mais lorsqu’elle se met en colère, il se redresse, se raidit, observant à la dérobée ses doigts glissant sur ses gros seins, frôlant ses mamelons gonflés. Il sait que cette fois, il n'attend pas de réponse, et il garde docilement le silence, d’autant que la mafieuse observe ses réactions dans le miroir qui leur fait face.

Mais lorsqu’elle le rabaisse, il baisse les yeux et serre les dents. Ce n’est pas la première fois qu’elle l’engueule, mais cette fois, elle y va fort, allant jusqu’à comparer sa virilité à celle de son frère aîné… Une comparaison d’autant plus injuste que celui-ci a une dizaine d'années de plus que lui. “Grande soeur…” Petite, sa queue ? le coup lui fait mal. Pourtant il le sait, sa verge est bien grosse mais… pas autant que celle de son père, ou de son frère. Accablé, il détourne le regard, comme un enfant pris en faute - ce qu’au fond, il est. L’évocation du nom de son père le sort de sa torpeur et son cœur s’emballe. Les fureurs du patriarche sont terribles et Jim se souvient encore de son dos zébré de sang par le martinet de son père…

“Une punition. Je mérite d’être puni.” La voix du jeune homme est étouffée, enrouée par la honte. “S’il te plaît Li, corrige-moi.” Les yeux de la jeune femme brillent d’un éclat féroce, sauvage et cette fois, Jim sent que la sanction qu’elle lui réserve pourrait bien être terrible.

20
D’un pas alerte, mais tranquille, Andy déambule dans le parc de l’établissement depuis une bonne vingtaine de minutes. Il est plus de deux heures du matin, mais malgré tout il fait bon, probablement une quinzaine de degrés. Andy est habillé le plus simplement qui soit : jean, sneakers blanches et hoody brandé aux couleurs de l’établissement. De sa capuche rabattue sur son visage juvénile, s’échappe de jolies mèches blondes en désordre. L’ambiance est étrange, presque surnaturelle. Andy lui-même ne sait pas véritablement quelle est la raison qui l’a poussé à se réveiller en sursaut avec une érection monumentale, et à quitter son lit douillet pour se vêtir et se ruer à l’extérieur au lieu de - tout simplement - se branler et se rendormir, comme d’accoutumée. Son érection d'ailleurs n'a pas diminué et plus il s’éloigne du campus, plus l’excitation l’envahit, sans qu’il puisse en déterminer la source.

“Mmh.”

Andy jette un regard alentour, soucieux, avant de s’arrêter sous un chêne. Personne. Avec précaution, le jeune homme abaisse la tirette de la fermeture éclair de son jean vers le bas, avant d’extirper sa grosse queue veineuse, suintant déjà de pré-sperme laiteux qui coule sur la paume de sa main. Mais qu’est-ce que je suis encore en train de faire, se morigène-il, avant de ranger son chibre dans son boxer et de s’éloigner d’une centaine de mètres en grommelant. L’allée débouche bientôt sur une petite place, avec en son centre, une petite fontaine surmontée d’une sculpture de pierre. Il s’agit d’un point de rencontre pour les étudiants, qui déjeunent souvent alentour.

“Personne.”

Andy finit par s’asseoir sur un banc, face à la fontaine. De ses doigts cripsés, il agrippe son sexe à travers le tissu de son pantalon, incapable de réprimer ses pulsions. Son coeur bat la chamade, ses pupilles sont dilatées et il ressent un mélange d’anxiété larvée et d’excitation fauve, presque animale, à tel point qu’il redoute sa propre réaction si une élève - comme une joggeuse nocturne - venait à croiser son chemin. Inquiet, il passe en revue sa journée de la veille. A-il été drogué à son issu à quelque aphrodisiaque ? Peu probable. Sportif de haut niveau, Andy prépare seul, et particulièrement soigneusement ses paniers repas chaque dimanche pour le reste de la semaine. Sans vraiment s’en rendre compte, le jeune homme s’est affalé contre le dossier du banc, et ses doigts tremblant ont fait glisser son sexe gonflé en dehors de sa prison, avant de se refermer sous l’épais gland violacé pour commencer à la branler avec lenteur. Soupirant d’aise, le jeune homme frémit, les sens en éveil, appréciant le contact de sa paume rêche contre la douce peau de son vît moite. Les yeux mi-clos, l’esprit ailleurs, il caresse négligemment ses bourses pleines. Impatience. C’est bien de l’impatience qu’il ressent, mais pour quoi ?

Bien loin de là, à une dizaine de kilomètres, un noctambule invétéré, l’agent Taylor chausse également ses baskets. Mais à la différence d’Andy lui, est déterminé à évacuer son excitation sexuelle par une activité utile; la course à pied - deux masturbations successives n’ayant pas été suffisantes à l’endiguer. Au rythme de croisière qu’il a choisi d’adopter, il lui faudra néanmoins une bonne trentaine de minutes avant de croiser - éventuellement- le chemin d’Andy Prescott.

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One Shot / Re : Le châtiment de la sœur. - Jack Taylor
« le: lundi 28 mars 2022, 13:05:05 »
Jim a merdé, il le sait et il s’en veut.

Mais il en veut également à sa sœur, de l’avoir envoyé accomplir une mission aussi difficile pour un adolescent comme lui. De taille moyenne - voire petite, avec des traits androgynes, Jim est un jeune homme élancé affichant un air des plus farouches et une confiance en lui surprenante, pour un gamin de son gabarit. Par ailleurs, il apporte toujours un soin particulier à son apparence physique, ce qui accentue l’impression de sophistication qu’il renvoie. Ce jour-là, il porte un chino khaki, de jolies bottines marrons, une chemise bleu clair, assortie à ses yeux et un tricot  sans manches bleu marine. Ses poignets sont ornés de bracelets d’or et d’argent et ses longs doigts fuselés, de diverses bagues coûteuses. Comme d’accoutumé, ses longs cheveux blancs sont réunis en une jolie queue de cheval qui pend sur son épaule gauche. Depuis de longues minutes, il fait les cents pas dans le hall du manoir de sa sœur. Être traité comme un vulgaire subordonné par sa sœur aînée est toujours aussi humiliant.

“Monsieur Hua ? Votre sœur va vous recevoir.”

Jim hausse les épaules et soupire, avant d’emboîter le pas au majordome, sans parvenir à calmer la légère appréhension qui lui serre la poitrine. Li sera en colère, et lorsque Li est en colère, elle est capable de tout. Merde alors ! La mission avait pourtant bien commencé. Il avait réussi à dégotter un petit stage, directement au service d’un des plus haut cadre du groupe KPM, mais ce sale porc n’avait pas tardé à lui faire des avances, jusqu’à le coincer dans les toilettes de la boîte et de lui agiter sa queue dégueulasse - et ridiculement petite - sous le nez. Jim n’avait pas pu se retenir. Trois secondes lui avait suffit à envoyer son genou dans les couilles de son patron, son coude dans son menton et son pied dans ses côtes, avant de prendre le large. Cette espèce d'ordures avait même taché sa chemise préférée de sang. 

“Grande sœur.”

D’un pas qu’il veut tranquille, Jim pénètre dans l’opulente salle de bain de Li. L’intéressée, confortablement installée dans son bain, lève les yeux vers lui lorsqu’il s’approche, un verre de vin dans ses jolis doigts. Sans honte, il laisse son regard glisser sur le corps luxurieux et exposé de sa sœur aînée, s’attardant sur les grosses aréoles de ses seins. Rien d’inhabituel ; Li et ses frères sont proches, bien davantage encore que ce qu’ils veulent bien avouer en public. Ses tétins érigés, Jim les a goulument sucés bien plus d’une fois, sa grosse bite veineuse fermement branlée par sa grande sœur adorée. Il s’agit d’une récompense qu’elle lui octroie lorsque ses résultats sont satisfaisants. Lorsqu’il échoue en revanche, sa sœur a plutôt tendance à le punir, parfois sévèrement.

“Je… Suis désolé. Les choses ne se sont pas vraiment passées comme prévu. Hiroki est une ordure.” Le cœur battant, l’adolescent s’avance, jusqu’à s’asseoir sur le bord de l’énorme baignoire familiale. “Il a essayé de coucher avec moi. Je sais qu’il faut se sacrifier pour la famille mais… Ça, c’est hors de question.” Il tourne la tête vers sa sœur, le regard vif, perçant, les lèvres entrouvertes. Il a beau connaître par cœur le moindre détail du corps de sa grande sœur, il est toujours fasciné lorsqu’il la voit nue et sa grosse bite durcit déjà contre la toile de son pantalon.

“J’espère que tu comprendra.” 

Peut-être que cette fois, elle passera l’éponge, qui sait.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: samedi 26 mars 2022, 10:35:23 »
Quelle magnifique petite poupée de stupre. Les yeux rieurs, ma grosse queue enfoncée jusqu’aux couilles entre les lèvres de la jeune femme, je la besogne avec nonchalance, mes doigts glissés dans ses longs cheveux châtains. Mais brusquement, la poupée se rebelle et de ses petites mains blanches, elle appuie sur mes cuisses pour me repousser vers l’arrière. Surpris, je recule d’un pas, sourcil froncé. Est-ce que c’est déjà trop, pour elle ? Je comprends bien vite qu’il n’en est rien. Pantelante, la chatte ruisselante de pisse, Astrid fait glisser son soutien-gorge sur ses épaules d’albâtre, dévoilant son opulente poitrine, compressée dans un élégant soutien-gorge. Putain, j’avais oublié qu’elle avait d’aussi grosses loches. La fausse ingénue se redresse, non sans difficulté, avant de me rejoindre pour empoigner ma grosse bite. Elle sait y faire, et je grogne d’aise, les lèvres serrées.

“Putain ouais.” Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle se montre aussi entreprenante et bordel, ça me plaît. Un grand sourire s’épanouit sur mon visage, lorsqu’elle le rapproche du sien avec autorité. Elle pue la pisse. “J’aime donner ce qu’elles méritent aux sales petites putes comme t… Mhhhh…” Impossible de terminer ma phrase; se redressant sur la pointe des pieds, Astrid a écrasé sa petite bouche entrouverte contre la mienne. Dégueulasse. Le goût de mon foutre, je le connais. Ma pisse, ça m'était jamais venu à l’idée de la goûter, et je grimace de dégoût, incapable pourtant, de décoller mes lèvres des siennes. C’est âcre, acide et odorant. Mais une fois encore, je me rends compte que ça m’excite. Les yeux mi-clos, j’accueille sa petite langue fureteuse entre mes lèvres, y presse fiévreusement la mienne, alors qu’elle m’attire, puis me pousse vers le capot. “T’es vraiment, sale Astrid…” Ma voix a faibli. Sensation vertigineuse. Je sens que le contrôle m’échappe en partie. Astrid me tient à sa merci, fourrant sa langue entre mes lèvres, branlant fermement ma grosse bite. Presque sans m’en rendre compte, je me retrouve adossé, puis assis sur le capot de mon véhicule les yeux écarquillés. Mon cœur bat la chamade. Mais lorsque nos lèvres se séparent, encore reliées par un long filet de salive souillée, je fronce les sourcils. Ma main empoigne ses cheveux, pour tirer sa jolie petite gueule vers l’arrière, et je lui crache au visage.

“C’est pas toi qui décide quand je te baise, sale pute.” Une gifle sonore accompagne mes propos. Mon autre main glisse dans son dos et mes gros doigts s’insinuent dans son sillon fessier, jusqu’à glisser sur le renflement de l’orifice poisseux et dilaté d’Astrid. Sans hésiter, j’y glisse majeur, index et annulaire, pour la fouiller sans ménagement. Le trou est tiède, bien distendu. Shlick shlick. Toshio a bien travaillé.  A mon tour, je rapproche mes lèvres de son oreille. “Tu n’as pas bien poussé, il reste du foutre dans ton cul, sale chienne. Peut-être qu'on devrait directement pisser dans ton cul, la prochaine fois.” Je l’embrasse de nouveau, plus délicatement, cette fois-ci. Agité par des sentiments contradictoires, j’ai envie de lui faire autant de mal que de bien. “Viens-là, ma puce.” Le ton est doux, mais impérieux. Je la repousse doucement, pour me redresser et intervertir nos positions, l’incitant à s’asseoir sur le capot, face à moi “Retire ça”, je lui souffle, en désignant son soutien-gorge, alors que j’abaisse sèchement mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles.

Enfin, je m’avance entre ses jambes, le souffle court, venant percuter sa petite chatte souillée de mon gros gland, l'y frotter sournoisement pendant de longues secondes. “Je veux te voir quand je t’encule, petite pisseuse.”, je lui précise, avant de fourrer mes gros doigts souillés du foutre de Toshio dans sa petite bouche entrouverte. “Nettoie, connasse.” De la paume de mon autre main, j’appuie fermement sur son abdomen pour la maintenir en place, avant de présenter mon chibre devant sa petite corolle défoncée et suintante et de pousser, en grognant comme un vulgaire animal, mon front heurtant le sien dans l’opération. “Hmmm…. Ha… Astrid, putain, ton trou…” Mes doigts quittent sa bouche pour empoigner sa hanche gauche et me donner une meilleure prise. Malgré le travail de Toshio, la petite chienne est encore trop serrée pour mon énorme chibre, et je dois forcer pendant de longues secondes. “Pousse chienne, pousse bien pour la grosse queue. Là…. Hmm... !” Lorsqu’enfin elle se détend, je glisse brusquement en elle jusqu’à la garde, écrasant mes bourses pleines contre sa vulve détrempée, manquant de gicler dans l’opération. Le coeur battant, le front collé à celui d’Astrid, mes yeux plongés dans les siens, je reste immobile l’espace de quelques secondes, avant d’imprimer un mouvement lent, mais profond à son bassin, fouillant ses entrailles avec délectation, les doigts enfoncés dans la chair de ses hanches pâles, me délectant de l'infâme bruit mouillé de ma pénétrations.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: mardi 08 mars 2022, 13:15:51 »
“Elle a joui ?”

Je m’adresse à mon chauffeur, je ne fais pas confiance à Astrid. Toshio encore hagard, secoue la tête en signe d’ignorance. Les doigts gourds, le regard vide, il s’affaire à remonter son pantalon et à ranger son sexe désormais flasque. Je ne lui en veut pas, difficile d’être concentré quand on démolit le cul d’une aussi jolie petite pute.

“Peut-être qu’on devrait l’attacher à un arbre, et faire payer les automobilistes pour l’enculer à la chaîne…” Je la regarde s’avancer en titubant vers moi, déjà détruite, et pourtant toujours demandeuse, le regard vitreux, la bouche légèrement entrouverte. Elle chute, plus qu’elle ne s’agenouille devant moi. “Elle en fout partout”, murmure Toshio qui se rapproche d’un pas lourd, les yeux rivés sur son œuvre. A mes pieds, Astrid sort sa petite langue rose. Cette même petite langue avec laquelle elle me fouillait l’anus, quelques minutes plus tôt. Je frissonne, m’avance d’un pas pour claquer mon chibre sur la gueule de mon ancienne fiancée, souillant son joli visage de pisse froide, avant de s'immobiliser, pour lui permettre de m’obéir.

“Là, là, lèche bien la pisse, ma puce, ma queue est bien sale…”

L’espace d’un instant le doute, le dégoût même se peignent sur le visage de la jeune femme, avant de s’effacer. Je m’étonne d’être presque surpris de la facilité avec laquelle Astrid se plie aux plus scabreux de mes ordres, et du revers des doigts de ma main droite, je caresse délicatement sa joue, grogne d’aise lorsqu’elle enfourne de nouveau mon sexe souillé entre ses lèvres avides. “Pu-tain, quelle salope tu fais.” d’elle-même, Astrid enfonce mon énorme vit jusqu’à la garde, faisant glisser mon gland au fond de sa gorge. Ma main libre se perd et se crispe dans ses cheveux lorsqu’elle l' extrait pour chatouiller mon méat de l’extrémité de sa petite langue. La sensation est particulière, entre la gêne et le plaisir. Je grogne, mordillant ma lèvre inférieure, puis me penche vers l’avant, lui crachant sèchement au visage, avant de forcer le passage de ses lèvres d’un coup sec du bassin, me servant de ma prise sur sa chevelure brune pour la maintenir en place.

“Bouge pas…Ca vient.”

Il me faut quelques secondes de concentration et de relâchement pour finalement parvenir à expulser un petit jet de pisse résiduel, directement dans la gorge d’Astrid. Dans le dos d’Astrid, Toshio s’est rapproché. Il a retrouvé ses esprits, et me désigne les petites fesses d’Astrid du menton. Peinant à comprendre, je fronce les sourcils, entamant dans le même temps des mouvements brusques du bassin pour baiser la gorge de ma proie, sans même la regarder. Lorsque Toshio abaisse sa fermeture éclair, je comprends, souris, et hoche la tête. Je baisse les yeux vers Astrid, que je sens suffoquer, hoqueter sur ma grosse bite. De nouveau, sa salive dégouline sur mes bourses gonflées.

“On va te nettoyer aussi, va…” Le regard brûlant, Toshio dirige son sexe amoli vers Astrid, qui lui tourne le dos. “Ecarte ton cul avec tes mains. Montre ton trou sale à Toshio, petite conne.” Toshio attend quelques secondes puis, qu’elle s'exécute ou non, il grogne d’aise alors qu’un jet dru et coloré gicle de son méat vers les petites fesses meurtries d’Astrid. La pisse brûlante, tâche son chemisier, s’insinue dans son sillon fessier, percute le trou souillé et béant de la jeune femme. De mon côté, galvanisé par l’instant, je baise sa petite bouche avec rage, écrasant mes couilles contre son petit menton couvert de bave.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: lundi 21 février 2022, 19:11:04 »
Amusé, je regarde Astrid obéir avec un empressement notable. A son petit air contrit on pourrait croire qu’on l’a forcée, mais je sais qu’il n’en est rien. Je ressens encore l'étreinte de son petit anus autour de mes gros doigts, à l’orée de l’orgasme que je lui ai interdit. Même si Toshio la dégoûte -ce qui peut se comprendre - je sais qu’elle meure d’envie de sentir sa grosse bite le ravager, ce qu’elle ne tarde pas à confirmer verbalement, comme je le lui ai demandé. La petite chienne remue, se cabre presque pour frotter la corolle sale de son anus contre le sexe érigé de mon chauffeur.

“C’est vraiment une sale petite pute”, hoquète-il en plaçant l’une de ses grosses mains sur les hanches de la jeune femme pour la maintenir solidement contre le capot de la voiture. “Bouge pas, là, lààà…Hmmmm…” Lentement, mais fermement, il s’enfonce en elle, les yeux exorbités, la bouche entrouverte. Son autre main se referme sur la gorge d’Astrid, qu’il comprime. “Défonce-la. J’ai besoin que tu me l’élargisses bien. Tu peux gicler en elle, si tu veux.” J’adopte un ton calme, posé, nettement plus neutre que l’excitation qui m’habite. Avec une lenteur calculée, je dézippe la fermeture éclair de mon pantalon, pour en extraire mon chibre, plus impressionnant encore que celui de Toshio, l’astique avec lenteur.

“Mh.”

Il me faut quelques secondes pour faire légèrement redescendre l’excitation, afin d’uriner longuement sur le bas-côté, d’un jet dru et translucide, alors que, le ventre écrasé contre les petites fesses de son amante, Toshio la besogne désormais plus rageusement. Je sens son regard sur mon sexe, m'en amuse. La pauvre petite ne sait pas encore ce que je lui réserve... De là où je me trouve, je ne vois pas la queue de mon chauffeur malmener le petit trou détrempé de la jeune femme, mais aux mouvement saccadés et brutaux de mon chauffeur, aux sursauts de la pute, aux bruits de claquement obscènes et mouillés qui s'élèvent malgré la circulation, j’en déduis qu’il y va bien fort. Dans l’excitation, il en perd un bouton de chemise, alors qu’il se penche par-dessus son épaule pour écraser ses lèvres contre les siennes, glisser sa grosse langue dans sa petite bouche haletante. Voir Astrid soumise aux assauts de ce porc, se trémoussant comme la dernière des chiennes comme ce soir-là a quelque chose d’indubitablement galvanisant. “Monsieur je… Raaaaah sale pute, sale pute…. Hmmmgh…” Déjà ? hoquetant de plaisir, mais également de surprise, comme s’il ne s’attendait pas à jouir aussi vite, Toshio se vide longuement en elle, l’étranglant presque de ses gros doigts bagués. Lorsqu’il la relâche enfin, la pauvre petite pute glisse, son menton heurte le capot.

“Ici, chienne”, je lui ordonne, en désignant l’herbe et le gravier, à mes pieds. “Viens nettoyer, maintenant.” négligemment, je secoue ma grosse bite, pour qu’elle reprenne l’essentiel de sa vigueur. Ce que je lui impose n’est pas vraiment nécessaire, mais le pouvoir qu’elle a exercé sur moi quelques minutes plus tôt m’est resté en travers de la gorge, et j’ai bien l’intention de me venger de la pire des manières. Putain, ce que je peux avoir hâte de l'enfiler...

“Allez, magne, j’ai pas toute la journée.” 

25
Jack hausse un sourcil en constatant l’étroitesse du Lilas ; il lui faut forcer le passage pour introduire un second doigt en elle, à se demander si la jeune femme n’est pas vierge. La perspective d’y enfouir son énorme bite et de la ravager le fait frissonner d’aise et il grogne en faisant tournoyer une langue habile autour du chibre de Lilas qui lui ravage la bouche. Chaque chose en son temps ; pour le moment c’est lui, le chien, la petite salope à sa maîtresse. Quoiqu’il en soit, le traitement lui plaît, puisque la jeune femme chute vers l’avant, arrimant ses mains à ses hanches, meurtrissant sa peau de ses ongles. Mais la punition ne tarde pas.

“NGHHH !!”

Bien incapable d’articuler le moindre mot avec le membre de Lilas fiché au fond de sa gorge, Jack cambre brusquement son bassin vers le haut, envoyant sa grosse queue poisseuse heurter le visage angélique de Lilas. “Ghhhmm…” Sous l’effet de la surprise, il s’est étouffé sur sa queue, et s’efforce de respirer par le nez pour ne pas manquer d’air, le corps secoué par moult soubresauts. Ses entrailles sont en feu et il lui semble que son chibre va exploser. Le regard vitreux, la bouche entrouverte et le menton ruisselant de salive, il hoquette, stimulé de toute part. C’est la première fois depuis un très long moment que Jack est dominé par l’un de ses partenaires et à sa propre surprise, il adore ça.

“Hmmm…”

Il sent Lilas se crisper autour de ses gros doigts, pendant qu’il la fouille sans ménagement, s’acharnant sur la petite prostate gonflée de la pulpe de son index et de son majeur lorsqu’il la trouve, la caressant et la percutant alternativement. Gicle, salope lui enjoint-il silencieusement, alors que ses bourses imberbes s’écrasent sèchement sur son visage à chaque nouveau coup de butoir. Sa gorge est brûlante, douloureuse. Il frissonne de nouveau lorsque les crachats de sa maîtresse d’écrase sur son chibre, qu’il sent son souffle tiède contre ses bourses pleines. Putain oui. Bourses odorantes que Lilas ne tarde pas à flatter et à suçoter pour son plus grand plaisir… Avant de jouir. Son petit corps gracile s’arque contre sa gorge, et la jeune femme gicle brusquement dans le fond de sa gorge. Resserrant l’étau de ses lèvres autour du frein, l’odieux professeur peine toutefois à tout avaler, tousse et manque de s’étouffer. La tête lui tourne, ses gros doigts se figent dans l’anus de Lilas. Il comprend enfin ce que ressentent ses partenaires quand il les étouffe avec son énorme chibre. Lorsque Lilas se retire enfin, du foutre dégouline de ses lèvres jusque sur son menton, et Jack Taylor, haletant, écarquille les yeux en constatant que la petite garce tient son téléphone au-dessus de sa gueule souillée. 

“Saloperie…” Murmure-il en s'efforçant de déglutir. Sa gorge est douloureuse et les vibrations continuent à le faire tressaillir. Il lui suffirait de tendre le bras pour aracher l’appareil des mains de la jeune femme, mais il n’en trouve pas la force. “Haa…” Du foutre coule sur sa joue et puis… Autre chose. Ses doigts quittent l’anus de Lilas, retombent le long de son corps, sur la table.

“Put- humpff”

L’ordure. Trop sidéré pour réagir, il plisse les yeux pour se préserver du jet d’urine chaud, et odorant… Puis se rappelle de la caméra et.. Entrouvre les lèvres, résigné, sirotant le jet de pisse. C’est dégueulasse, ça empeste et… “Hmm…” Il frissonne, sa grosse bite se dresse, rebondit sur ses abdominaux. Il aime ça, d’être à la merci d’une créature aussi frêle et vulnérable que Lilas. L’urine le souille, dégouline sur sa gorge, son corps musculeux, et Jack manque encore de s’étouffer, les yeux mi-clos. Lorsqu’enfin le flot se tarit, c’est d’une voix rauque, cassée, qu’il s’adresse à Lilas.

“Maîtresse je… Puppy veut jouir.”

Au bord du précipice, la respiration lourde et le corps parcouru de spasmes, l’agent Taylor n’aspire plus qu’à la libération. Pour l’heure, l’idée de sa vengeance paraît lointaine, évanescente.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: samedi 12 février 2022, 12:32:11 »
Je maîtrise avec difficulté le sentiment de honte qui menace de m’envahir. Je revois sa petite gueule d’ange surprise, ravie de découvrir l’effet de ses petits doigts fuselés dans mon anus. Peut-être que je me suis un peu trop dévoilé, et ça m’agace. Le moment est venu de lui rappeler qu’ici, la chienne, c’est elle. Je claque une nouvelle fois l’adorable petit cul diaphane, me penche pour cracher sur la corolle boursouflée de son anus. Astrid proteste pour la forme, mais je connais les femmes dans son genre. Un mauvais sourire s’étire sur mes lèvres pincées quand je la vois s’observer à la dérobée dans le rétroviseur intérieur de la berline. d’une voix doucereuse, je l’accable. “Ils vont tous voir la pute que tu es” Mes dents s'enfoncent dans la peau de ses fesses. La morsure est appuyée, mais contrôlée. De la pulpe de mon index, j’explore les aspérité de son anus. “Ce qu’on peut te mettre dans le cul.” La pauvre petite pute se branle, Je la sent frémir, fébrile.. “Tu veux mes gros doigts dans ton petit trou mh ?” J’appuie l’extrémité de mes doigts sur la petite corolle. De ma main libre, je l’attrape par les cheveux pour la forcer à se cambrer encore davantage. “Fait oooh…”, je lui ordonne, en approchant mes lèvres de son oreille. Et doucement mais inexorablement, je glisse mes doigts en elle.

“Merde, ça rentre tout seul…”

Pour la première fois depuis le début du trajet, Toshio semble réellement troublé. Je ne lui en tiens pas rigueur ; à sa place, j’aurais été incapable de me concentrer sur la route pendant aussi longtemps. Un rapide coup d'œil à l’extérieur m'apprend que nous avions quitté l’effervescence de la ville pour emprunter une route forestière moins fréquentée. De mes gros doigts bien lubrifiés par ma propre salive, je la fouille, leur imprimant de petits mouvements circulaires pour bien l’ouvrir. Astrid est brûlante, serrée, je la sens se contracter par réflexe, avant de se détendre progressivement. Elle a l’habitude, et ça se sent. Quelle putain de chienne. Je recourbe mes doigts vers l’intérieur, les écarte légèrement au fond de son rectum.

“Elle a déjà un jouet dans la chatte, ce serait dommage de le lui retirer, hein, Astrid ?” Je tire sèchement ses cheveux vers l’arrière. “Montre ta langue connasse.” Lorsqu’elle s’exécute, je crache dessus. “Je crois qu’on a pas vraiment le choix, il va falloir l’enculer.” Toshio rentre dans mon jeu. Avec une moue résolue, il hoche la tête. “Pas le choix, patron. Vous voulez que je l’ouvre un peu pour vous ?” Nous n’en somme pas à notre coup d’essai, et Astrid est probablement assez maligne pour le deviner. “Ouais ouais.” Je désigne ma grosse bite encore molle du menton. “Je vais avoir besoin de quelques minutes de toute façon.” J’aperçois un petit chemin forestier à une centaine de mètres sur la droite. “Tiens, arrête-toi là.”

Avec nonchalance, je branle désormais le cul de ma petite chienne, le ronronnement constant de la voiture ne couvrant pas l’obscène bruit de succion que produit son trou de balle dilaté en avalant mes gros doigts, non plus que celui du claquement de mes phalanges contre son orifice. “Ne jouis pas tout de suite”, je grogne à son intention.” Si tu jouis, je ne t’enculerais pas.”   

Lorsque Toshio s’arrête sur le bas-côté, je retire brusquement mes gros doigts de son anus béant, et m’affaire à tranquillement remonter mon boxer et mon pantalon. Le chauffeur coupe le contact, et gentiment, fait le tour du véhicule pour ouvrir la portière de notre petite passagère. “Si mademoiselle veut bien se donner la peine. Non non, vous devrez retirer votre pantalon et votre culotte, vous n’allez pas en avoir besoin.”  Il tend une main secourable, s’efforçant de dissimuler un sourire amusé. Au dessous de sa bedaine, son pantalon est déformé par une bosse conséquente, qu’Astrid ne peut manquer de remarquer. A mon tour et sans me presser, je m’extrais de la berline. De son côté, Toshio a pris Astrid par la main et guide la jeune femme vers l’avant du véhicule. “Voilà. Je vais vous demander de bien vouloir poser vos deux mains sur le capot, à présent…”

Les mains dans les poches, je les rejoins. Il fait frais, presque froid. D’un signe de tête, j’invite Toshio à sortir sa queue, un chibre épais, moins impressionnant que le mien, mais nettement au-dessus de la moyenne nationale, qu’il masturbe d’un geste lent et mesuré, en se rapprochant de sa victime. Debout, à moins d’un mètre d’Astrid, je la toise de toute ma hauteur. Ce n’est pas la première fois que je vois Astrid se faire démolir le cul devant moi, mais cette fois-ci, je contrôle la situation. “Toshio va t’ouvrir le cul pour moi. Demande le lui gentiment. Réclame sa bite.” Dézippant la fermeture éclair de mon pantalon, j’en extirpe de nouveau mon sexe, qui gonfle à vue d’oeil.

Derrière elle, Toshio a desserré le nœud de sa cravate et après avoir à son tour claqué ses petites fesses, il les écarte sèchement. De là où je suis, je ne le vois pas, mais j’imagine qu’il a collé son gros gland contre l’anus entrouvert de la jeune femme, en attente de mes ordres. Si Astrid s’exécute, je prononce les mots magiques de leur délivrance respective. “Encule-la.” Bien évidemment, Toshio ne porte pas de préservatif.

 



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One Shot / Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: jeudi 27 janvier 2022, 16:57:32 »
“Putain.”

Ses lèvres à quelques millimètres de celles de sa sœur, Erik fronce les sourcils, agacé. C’est l'autre, qui les interrompt. Ce qu’il peut le détester, de se tenir une fois de plus entre Erin et lui. Lorsqu’elle se retourne, il tente de lui attraper le poignet pour l’empêcher de s’emparer de son téléphone, mais elle est trop vive pour lui, et sourde à son grognement de protestation, elle bondit de ses genoux pour s’emparer de l’appareil d’une main, abaisser sa culotte de l’autre, pour dévoiler une jolie petite fente rose et luisante, soigneusement épilée. ‘“hm-mh.” La petite main d’Erin s’écrase sur ses lèvres entrouvertes alors qu’elle se réinstalle de nouveau face à lui, pressant le renflement de sa vulve poisseuse contre sa hampe. Le gland dérape, la grosse queue frotte contre les lèvres intimes de la jeune femme. De ses mains fiévreuses, Erik s’est emparé de ses hanches, enfonçant la pulpe de ses doigts dans sa peau tendre et tiède.

Vlan, le téléphone ricoche contre l’écran de son ordinateur portable et ses dents s’entrechoquent avec celle d’Erin lorsque brusquement, elle s’empale sur son gros gland. “Haa…” Stupéfait, il lui faut de longues secondes avant de répondre aux caresses de la langue de sa sœur, alors qu’il sent son chibre écarteler ses chair tendres et molles, jusqu’à ce que ses couilles ne frottent contre son intimité.

“Enfin”, répète-t-il, stupidement.

L’une de ses mains remonte entre ses omoplates pour se refermer sur sa nuque, afin de l’attirer encore plus près. La pointe de ses cheveux violets chatouille son nez, ses épaules. Elle sent bon le propre, sa petite salope de jumelle. Salope. Le mot résonne dans son esprit. Il a envie de l’insulter, pour se venger de tout à l’heure, pour la remettre en place, mais les mots ne franchissent pas ses lèvres. Contre ses lèvres, il l’entend couiner, gémir et soupirer, alors qu’elle s’empale sèchement sur son chibre. Arrimée à ses épaules, Elle le baise. Salope. Ses doigts remontent le long de sa nuque, se perdent dans ses cheveux. Il l’embrasse encore, nerveusement, accompagne le mouvement de ses hanches avec son bassin. Sous le poids de leurs deux corps en mouvement, l’antique chaise de bureau grince. Erik s’empare de la lèvre inférieure de sa jumelle, qu’il malmène du bout de ses dents blanches.

"Ça te plaît hm ? Salope”, ose-il enfin le coeur battant, les reins en feu.

Mais le téléphone vibre de nouveau, et Erik serre les dents. “Réponds-lui”, finit-il par murmurer, surpris par sa propre réaction. “Parle-lui. pendant qu’on le fait. Que je te remplis.” Cette fois-ci le ton est plus assuré, presque impérieux, ponctuant ses mots d’un coup de bassin plus appuyé.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Retrouvailles [Cata]
« le: jeudi 27 janvier 2022, 16:15:29 »
Haletant, l’homme contemple sa femme, prostrée sur le col, luisante de pisse froide et néanmoins ravie, plus resplendissante que jamais. Tout autre que Catalina aurait été révoltée, révulsée par le traitement dont il vient de la gratifier, mais pas elle. Pensif, la tête légèrement penchée sur le côté, il se demande si Catalina Taylor a des limites ou si le concept lui est tout simplement étranger. Ses réflexions sont interrompues par le contact des doigts, puis des lèvres tièdes de la jeune femme sur son gland, qu’elle tète avec avidité. Cette fois, il la laisse lui bouffer le chibre sans intervenir.

“Putain, qu’est-ce que t’es bonne, sale pute.”

Les mots sont durs mais le ton est doux, presque tendre. Lorsqu’il estime son office terminé, il tire sèchement sur sa tresse, avant le bassin pour écraser de nouveau sa grosse queue contre son visage souillé. Les ongles de la veuve noire effleurent la peau si sensible de ses couilles et il soupire d’aise lorsqu’elle se retourne pour lui présenter sa croupe de chienne, raffermissant sa prise sur sa tresse pour l’inciter à se cambrer encore davantage, à bien creuser les reins. Sa main libre s’est emparée de sa verge, qu’il branle nerveusement, avant de s’agenouiller à son tour, derrière elle et de claquer sèchement ses petites fesses pour le plaisir de les voir rebondir. L’insulte qu’elle lui adresse le grise et il grogne d’impatience entre ses dents serrées.

“Montre-moi ton trou, salope”, grogne-il, "Écarte ton cul !”

Réflexion faite, il se demande s’il a vraiment repris le dessus sur elle, ou si au fond, il est l’esclave de Catalina, son chien en rut, prêt à lui casser les reins au premier claquement de doigt. Sa supplique sonne comme un ordre, et ça lui plaît mais… Il décide de la faire languir, pour la punir de son impudence. Il se penche en avant, crache sur le trou offert, dilaté. “Tu t’es bien ouverte, ma puce.”, murmure-il, taquin, avant d’écraser sa bouche contre l'œillet maltraité, de l’embrasser à pleine bouche avant d’y darder une langue avide pour la fouiller. Le goût de sa cyprine et de sa propre pisse explose sur ses papilles. C’est dégueulasse, mais ça ne l’arrête pas, au contraire. Sa langue s’agite en elle, racle ses entrailles. Lorsqu’enfin il se redresse, le souffle court, c’est pour remplacer sa langue par deux de ses gros doigts pour la fouiller vigoureusement, faisant claquer ses phalanges contre l’orifice défoncé. Il approche ses lèvres de la croupe de son amante, dépose un chaste baiser sur sa hanche, avant de tirer brusquement sur sa natte vers l’arrière. L’instant d’après, ses doigts quittent leur fourreau visqueux et son énorme gland caresse le pourtour nervuré de son petit trou.

“Là…”Le trou est obscène, luisant de stupre.

Sa main poisseuse s’arrime à ses hanches, et Jack s’enfonce en elle avec délectation. Penché au-dessus de son corps arqué, il couvre de baisers brûlant ses omoplates et bientôt sa nuque arquée. Ses doigts enroulent de nouveau la tresse autour de ses phalanges, et il approche ses lèvres charnues de son oreille, dont il mordille brièvement le lobe.

“Maintenant, ton chien va t’enculer”.

Joignant le geste à la parole, il projette son bassin vers l’avant, faisant claquer ses lourdes bourses contre sa petite chatte détrempée. Lorsqu’elle se cabre sous l’assaut, il répond à son invite, plante ses dents à la base de son cou pour y laisser une profonde marque rouge, légèrement sanguinolente. Sa main gauche se referme sur sa gorge fragile qu’il compresse entre ses gros doigts, pour la priver partiellement d’oxygène. Au fond de ses entrailles tièdes, il remue négligemment sa grosse bite en elle, écrasant sans pitié ses hanches de son bassin. “Plus. Fort, hmm ?” Sournois, il ralentit temporairement la cadence de ses coups de reins. Du bout de son nez, il chatouille sa nuque, s’enivre des vestiges de son parfum suave, et probablement hors de prix. La chienne compresse son chibre avec son cul, et l’agent Taylor frissonne, gronde d’extase. “Supplie mieux que ça, catin”, la nargue-il, en faisant lentement coulisser sa poisseuse en dehors de son fourreau soyeux, jusqu’à la collerette de son gland violacé.

29
One Shot / Re : Tu vas adorer être à mon service Julian.
« le: jeudi 27 janvier 2022, 16:09:18 »
Julian se rembrunit. Il a été impoli et il le sait. Bien qu’il soit loin d’être idiot, ses paroles dépassent bien souvent sa pensée. Il déglutit avec lenteur, abaisse légèrement le menton, affectant un air contrit.

“Ce…N’est pas ce que je voulais dire, veuillez m’excuser.”

Bravo Julian, excellente première impression. Lorsqu’elle avance brusquement vers lui, il ne recule pas, hausse lentement un sourcil. Il n’est pas beaucoup plus grand qu’elle et ça l’incommode. Par dessus l’épaule de la conseillère, il aperçoit la domestique se précipiter pour nettoyer la tâche incriminée. Un léger tic nerveux agite sa lèvre inférieure. Il ne l’envie pas. En multipliant les bourdes comme celles-ci, il pourrait bien se retrouver à sa place en un rien de temps.

"Ça ne me semble pas nécessaire.” En dépit de ses dehors orageux, Julian a bon fond. “Peut-être est-ce vous la véritable responsable, par ailleurs”, ajoute-il, avec une pointe d’ironie dans la voix, ce qu’il regrette immédiatement.

“Peut-être qu’une simple chiquenaude pourrait suffire”,

balbutie-il, soucieux de de réorienter la discussion et s’efforçant par ailleurs de chasser de son esprit l’idée de corriger la Conseillère, de claquer ce superbe postérieur laiteux à coup de lamelles de cuir… Puis soudain, une idée lui vient. Avec empressement, le jeune homme glisse ses doigts dans le revers de sa veste, dont il sort une lettre cachetée du sceaux de son père, qu’il lui tend du bout des doigts.

“Voici la lettre de recommandation que mon père m’a intimé de vous remettre. Vous y trouverez mes… références.”

Soit pas grand chose, en réalité. De très bon précepteurs, quelques trophées d’escrime et d’équitation, sa personnalité présentée de manière relativement objective, sans fioriture. Intelligent, loyal, entêté. Ce qu’il ignore, c’est que la fin de la missive contient quelques phrases destinées aux seuls yeux de la Conseillères. Des lignes audacieuses, obscènes même, rappelant d’anciens ébats des plus torrides.

“Madame la Conseillère, est-ce que tout va bien ? vous avez pâli.”

Il hausse un sourcil inquisiteur, sensible à l'infléchissement du comportement de son hôtesse. Son père l'aurait-il menacée ? Le bougre en serait bien capable ! Dans le dos de sa maîtresse, l’esclave s’incline à son intention pour le remercier, et s’efface discrètement dans le corridor par lequel elle l'a introduit.

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One Shot / Re : Tu vas adorer être à mon service Julian.
« le: mercredi 26 janvier 2022, 17:51:28 »
Dans l’antichambre, le tout jeune homme s’impatiente. Depuis son arrivée il y a une quinzaine de minutes, il s’est levé à plusieurs reprises pour faire les cents pas, y compris en faisant volontairement claquer les talons de ses chaussures neuves - et cirées - contre le carrelage de la villa Fabius, afin qu’on remarque sa présence. Julian le sait, cet entretien constitue une chance incroyable pour les Antonius de prouver leur attachement à la couronne et de ne pas définitivement sombrer dans la honte et l’oubli. Erik Antonius son père, issu de l’une des plus anciennes familles du royaume et aventurier intrépide, a mangé son héritage en expéditions coûteuses, avant de se lancer dans la contrebande pour couvrir ses dettes. Échappant de peu à la prison, le patriarche a néanmoins été soigneusement écarté du conseil auquel il siégeait. Désormais aigri, presque sénile, il a hypothéqué la plus grande partie de son patrimoine pour n’être pas exproprié par la couronne afin d’éponger son colossal déficit bancaire.

“Excusez-moi. Pourriez-vous de nouveau indiquer à Madame que nous avons rendez-vous ?”

La jeune femme qu’il a arrêtée d’un signe autoritaire de la main se tourne vers lui avec un sourire contrit. C’est la troisième fois que le jeune homme lui pose la question.

“Madame est encore occupée, je vais voir ce que je peux faire, Monseigneur.”

Julian souffle sur la mèche qui vient de glisser devant son nez, agacé. Il se lève de nouveau, s’observe dans la glace qui lui fait face, réajuste le col de sa redingote en soie rouge. Le vêtement est magnifique, l’étoffe éclatante, mais à y regarder de plus près, les manches et les revers sont élimés et à certains endroits, le tissu est légèrement décoloré. D’une main aux longs doigts fuselés, Julian ramène ses cheveux de jais vers l’arrière, esquisse une moue boudeuse. A défaut de la mâchoire carrée et virile de son père, il a hérité des traits fins et anguleux de sa défunte mère, de son nez aquilin et de ses lèvres pleines et incarnates. Ses yeux gris orageux, il les tient toutefois du Patriarche.

"Monseigneur Antonius ?” Monseigneur de rien du tout, songe-il, en se retournant précipitamment, un peu gêné d’être interrompu en train de s’observer sous toutes les coutures. “Madame va vous recevoir. Si vous voulez bien me suivre ?” L’intéressé se contente de hocher la tête, le cœur battant. La femme qu’il s’apprête à rencontrer a une influence considérable sur le Conseil et son père lui en a parlé des heures durant en des termes très - peut-être trop- élogieux.

“Madame la Conseillère royale.”


Élégante, voluptueuse, altière, Prisma Fabius trône dans un vaste sofa, d’où elle le toise. D’un pas rigide qu’il veut martial, le jeune homme parcourt les quelques mètres qui les sépare avant de poser un genou à terre et de s’emparer avec précaution de la main diaphane de l’aristocrate pour en effleurer le dessus de ses lèvres tièdes, plongeant son regard dans ses beaux yeux verts. La peau est tendre, fraîche. Lorsqu’il se rend compte qu’il la tient depuis de longues secondes, il relâche son poignet, avant de se redresser et de reculer d’un pas, presque au garde à vous. Il n'est pas très grand, mais athlétique, avec des hanches bien prises.

“Julian Antonius pour vous servir, ma dame. J’espère ne pas vous avoir fait trop attendre…”
Dans sa tête, son discours préparé à l’avance s’embrouille. La tâche sombre qu’il aperçoit sur le velours du siège sur lequel est installée la conseillère l’incommode. Il fronce les sourcils. “Vous avez renversé du vin”, achève-il, avant de ramener sur elle ses prunelles singulières.

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