Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sen Shua

Pages: [1]
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Les alentours de la ville / Comme un poisson dans l'eau (ou pas) [Lyli]
« le: jeudi 28 avril 2022, 18:44:31 »
C'est directement assise sur l'un des bords arrières du petit bateau de voyage qui vient de lever l'ancre, que je me dirige vers l'une des îles qui se trouve à seulement quelques heures de navigation. C'était un bout de terre qui ne comptait seulement qu'un port, avec un grand village. Je devais me rendre là-bas, pour transmettre un message important au petit temple de l'île qui ne compte que quelques prêtres, apparemment déjà trop occupés que pour avoir le temps de se déplacer sur le Nexus. Bien que je ne sois qu'une simple intermédiaire dans cet échange, je considérais ma mission comme vitale. Et quant à regarder ce qu'il y avait dans le contenu du message, c'était tout simplement au-dessus de mes forces et hors de tous mes principes.

Tandis que le vent gonfle puissamment les voiles blanches, je regarde l'écume que fait le bateau en avançant sur l'océan. Le soleil était vraiment radieux aujourd'hui et j'aimais bien me perdre à contempler par exemple le reflet que renvoyait l'eau. Durant le court voyage que j'entreprends, j'entends de temps en temps parler à haute voix au loin. Mais bien que nous étions peu nombreux en terme de voyageurs, j'ai essayé de rester à l'écart de tout le monde. Même si j'aimais me dévouer envers les autres, je détestais pas me faire remarquer ou discuter de choses que je trouvais inutile. Une partie de moi aimait la solitude et j'avais besoin de rester avec moi-même, à chaque fois que je le pouvais. Beaucoup de personnes ne comprenaient pas toujours bien mes convictions associées à mon mode de pensée. Mais je ne considérais pas ça comme un problème. Savoir qui j'étais et ce à quoi j'aspirais, était tout ce qui comptait pour moi. Le reste m'importait peu.

Pendant que le vent souffle dans mes cheveux. Que ma longue robe de prêtresse ballote à son gré, je sors de ma poche le support en bois en forme de tube, qui contient le message enroulé à l'intérieur. Sans évidemment chercher à l'ouvrir, je m'amuse à délicatement modifier sa structure, histoire de tuer un peu le temps. Depuis que mes pouvoirs sur le bois se sont réveillés il y a trois années, suite à la tragique perte de tous les miens, je n'ai pas toujours bien pris le temps nécessaire pour travailler certains détails à ce sujet. C'était donc une occasion de continuer de m'exercer un peu, sans risquer de déranger qui que soit... Sauf à une éventuelle sirène complètement stupide, inconsciente de comprends l'urgence du problème, alors qu'elle passe juste à côté du bateau et que le support en bois m'échappe des mains, pour passer par dessus le rebord du navire...

- Oh non!... Oh non!... C'est pas vrai!...

La panique s'empare immédiatement de moi quand je vois le précieux objet contenant le message à l'intérieur, tomber dans un peu plus loin l'eau... Je suis vraiment une idiote! Comment j'ai pu manquer d'inattention dans un moment pareil?... Si je perdais le message que l'on m'a confié, ce sera la mission toute entière et la confiance que l'on me porte jusqu'à présent, qui risque de couler avec!... Mais alors que j'étais prête à aller demander de l'aide aux marins, je vois quelqu'un qui sort de l'eau et qui attrape le précieux support qui commençait à s'éloigner rapidement avec les vagues...

- Hé! Toi! Rends-le moi vite, s'il-te-plait! Le navire est en train de partir! Ohé! Vite!...

C'est à plein poumon que je crie vers celle que je crois bien être une sirène. Mais même c'était la première de ma vie que j'en voyais une de mes propres yeux, ça allait bientôt être la dernière que je voudrais encore recroiser de toute mon existence après ça.

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Les alentours de la ville / Re : Encas sur la plage ( PV Sen Shua )
« le: mercredi 27 avril 2022, 22:33:39 »
Si j'ai réussis à m'intégrer sur cette nouvelle planète pourtant assez différente de la mienne, je rencontre des compromis particulièrement embarrassants, depuis que je me suis tout récemment inscrite dans ce lycée Mishima. Je l'ai rejoint à peine le premier jour, qu'un sale petit enfoiré du nom de Tani, un connard de ma classe, est directement venu le soir même dans le temple où je réside et en plus dans ma chambre, pour me violer! Je n'ai évidement pas été préparé à ça et il s'est malheureusement montré plus doué que moi pour m'avoir. Cette pourriture ne s'est pas gêné pour me frapper et faire de moi sa chose, le temps qu'il fasse son acte répugnant! Bien sûr, avec ce que j'ai enduré il y a à peine trois ans, j'ai appris à redresser la barre avec tout ça. Mais même si je suis devenue aujourd'hui plus apte psychologiquement à supporter ce genre de chose, je savais que les conséquences pourraient toujours être désastreuses. Alors c'est là que j'ai vu ce connard, qui s'est encore plus payé ma tête en envoyant ce qu'il a osé me faire subir, l'a fait partout autour de lui. Je ne savais pas que ce genre de choses était possible et c'est horrifiée, que je me suis retrouvée perdue dans ce qu'on appelle ici, des sites pornographiques! Des trucs dégoutants, on l'on voit tout un tas de personnes s'adonner sans aucune fierté à des bassesses sexuelles, devant des gens qu'ils ne connaissent même pas. Et c'est là-dedans, qu'on m'y voit en train de me faire violer, alors que je n'ai jamais rien demandé! Et malgré que je subisse subir un acte de souffrance que j'ai de nombreuses fois dus encaisser avant, on dirait que ça amuse tout le monde! Pire, on me cherche déjà des problèmes alors que je suis nouvelle. Bien sûr, je ne suis pas du genre à me laisser faire. Mais ma réputation dans cet établissement qui devait être la continuité d'une nouvelle vie agréable pour moi, semble déjà se compliquer...

Comme j'avais du temps ce soir, j'ai profité de la fin des cours de la journée, pour partir en direction d'une plage au hasard. J'avais besoin de m'aérer. Je voulais avoir un peu mieux les idées en place, pour savoir ce que je pourrais faire plus tard, si les problèmes continuaient de s'accumuler encore. Le soleil est en train de se coucher, lorsque je vois la plage déjà bien désertée en arrivant. Il y avait du vent et mes cheveux volent dans tous les sens, avec la robe réglementaire que je porte, quand je viens du lycée. Mais dans tous les cas, ça me faisait du bien. Alors je marche. Je me déchausse pour profiter du sable. Honnêtement, je préférais largement être seule, que d'être accompagnée par des idiots qui ne comprennent rien à ma philosophie de vie. Et alors que l'heure continue de tourner, je marche, jusqu'à m'arrêter dans un coin complètement isolé ou presque. Ici, comme si j'étais à l'abris du monde, je me laisse à regarder l'horizon. Sans bouger, j'essaye d'entendre le roulis des vagues tumultueuses, tandis que je ferme les yeux. Le vent frais, mais tout de même encore assez agréable en cette période printanière, pénètre dans mes narines. Tout serait ainsi parfait, s'il n'y aurait pas quelqu'un qui trainerait un peu trop près de moi à mon gout. Une fille dont je ne regarde absolument pas, mais que j'espérais voir partir le plus rapidement possible. Mais voilà que au lieu de faire ce qui aurait certainement été le plus censé de sa part au bout d'un moment, qu'elle se rapproche encore de moi, comme une grosse mouche bien collante et bien envahissante. Et lorsque je tourne a tête vers elle, pour comprendre ce qu'elle est en train de fabriquer à trainer un peu trop autour de moi à mon gout, elle m'attrape soudainement le bras. Puis elle m'envoie une sorte de décharge électrique!

- Aaaaargh!!!

Passé la surprise avec cette espèce de dingue qui est bien en train d'essayer de m'agresser sans aucune raison, je ramasse aussi vite que mon corps soudainement fébrile me le permet, un morceau de bois qui traine par terre parmi tant d'autres. Je le transforme et je le durcis, pour que le bâton devienne une épée tranchante. Et sans lui dire quoique ce soit, à part la regarder avec l'envie de la décapiter sur place, je lui envoie des coups. J'essaie de faire d'avantage appel à la sagesse, plutôt que de me laisser aller à la colère aveugle, pour m'occuper de son cas. Malheureusement, elle se débrouille beaucoup mieux que je le pensais. Et puis elle va ensuite me renvoyer une décharge électrique encore plus puissante que la première, alors que cette conne qui est sortit comme de nul part, me regarde en se moquant de moi! Je me retrouve sonné et l'espèce de folle se jette sur moi et me plaque par terre, sur le sable. J'ai l'impression d'être comme encore plus sonnée, quand je l'entends prononcer mon nom, en même temps qu'elle me fait un  sourire de conne complètement attardée. cette fille est une malade! Et puis comment elle peut connaitre mon nom? Est-ce qu'elle viendrait du même lycée que moi?...

- Espèce de connasse! Comment... Comment tu connais... Aaaaaaargh!!!

Pendant que j'essaye de me reprendre, je n'ai même pas le temps de demander à cette tarée ce qu'elle me veut, qu'elle m'électrocute encore une fois tout en se payant ma tête. La douleur se propage tout à l'intérieur de mon corps et je suis prise pendant un instant, par une légère convulsion incontrôlable. La folle hystérique se saisit de l'une de mes mains, pendant qu'elle me caresse le ventre de l'autre. Espèce de sale morveuse! Et en plus, cette fille qui ne doit pas avoir beaucoup plus que moi en âge, continue de se foutre de moi! Peut-être qu'elle m'avait suivit en douce et qu'elle était bien venue ici pour m'emmerder? Mais le plus grave dans tout ça, c'est que je suis faite avoir... Comment une crevure pareille, a pu me surprendre comme ça?

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Les alentours de la ville / Re : Nostalgie au vieux manoir [Pv Sen Shua]
« le: mercredi 27 avril 2022, 20:32:06 »
Que l'ordre des prêtre me fasse confiance. Ou bien parce qu'ils ne veulent pas perdre leur temps à partir dans une chasse à la sorcière, qu'ils pensent n'être que des rumeurs, comme cela arrive parfois, j'ai été désignée pour partir faire une brève reconnaissance. On m'a demandé de me rendre dans un vieux manoir situé dans les hauteurs de la ville, pour vérifier s'il n'y avait pas la présence d'un éventuel démon ou fantôme. Malgré les informations qu'une personne était venue rapporter au temple, personne n'avait vraiment envie d'y croire ici. Apparemment, il semblerait qu'il se passe beaucoup moins de choses ici sur terre, que chez-moi sur Terra. Alors les rumeurs sont parfois erronées ou tout simplement exagérées. Mais d'un autre côté, je possède aussi des capacités, que certains n'ont pas. Mes ordres ont donc étés seulement d'aller vérifier si cela était vrai ou pas. Et dans le cas où ça le serait, l'ordre enverrait un prêtre plus compétent que moi, pour s'occuper de la créature.

Comme je ne prends jamais rien à la légère, je prépare le matériel nécessaire à ma propre défense, dans l'éventualité où je croiserais cette chose. Juste après être revenu des cours de la journée, je me prépare et je vérifie que tout soit prêt. Bien sûr, on aurait put envoyer directement la police sur les lieux. Mais ces derniers ne sont pas aptes pour forcément détecter ce genre de créatures et encore moins pour les combattre, si jamais ils devaient se retrouver directement en face. Il s'agit donc d'une importante responsabilité que l'on m'a confié et que je me dois d'entreprendre avec le plus grand soin, quelque en soit le résultat.

C'est après avoir pris le bus et reçus les renseignements sur l'adresse en question, que je me retrouve un peu plus tard devant la demeure inhabitée et suspectée d'abriter une dangereuse créature. Je traverse prudemment la cour négligée de ce grand manoir, alors que le portail grince à mon passage. Je fais un premier tour la bâtisse, avant de repérer toutes les issues envisageables. Mon choix se porte sur une fenêtre brisée et facilement accessible, puisque la porte était évidemment verrouillée. Bien que je commençais sans attendre mon exploration avec rigueur, je restais concentrée et très prudente en même temps. Mais je n'ai pas à attendre bien longtemps parmi la poussière, les débris de toutes sortes ou les quelques éventuels rats qui passent au loin, que j'entends un drôle de cri en provenance de l'étage. Même si je suis surprise, on m'avait évidemment mise en garde contre la possibilité que je rencontre plus un éventuel squatteur qu'autre chose. Cependant, si l'un d'eux essayait de m'attaquer, il risquerait d'avoir une bien mauvaise surprise avec mon épée en bois...

Je monte donc les escalier qui craquent à chacun de mes pas, tout en éclairant les marche avec une lampe. Lorsque j'arrive tout en haut, J'entends de plus en plus ces fameux bruits étranges. On aurait dit que cela ressemblait à des gémissements qui proviendrait d'une voix féminine... Et plus je me rapproche pour aller confirmer cette présence, plus je me prépare. J'avais activé une détection contre les éventuels morts et les créatures spéciales, mais ces dernières n'étaient pas assez puissantes pour que je parvienne à les ressentir de loin. Je saurais ainsi à quoi j'aurais affaire, dès que j'aurais poussé la porte d'où provient les bruits suspects... Bien qu'il n'y avait pas de lumière, j'ai faisais attention à éteindre momentanément mon propre faisceau lumineux, pour ne pas éveiller les éventuels soupçons. Mais c'est lorsque j'arrive tout proche de la porte, que je les détections s'activent! Cette fois, je viens d'avoir la preuve qu'il y a bel et bien une créature, qui se cache juste derrière.

Mais juste avant de redescendre, je suis poussée par la curiosité. Je voulais au moins savoir à quoi ressemblait cette chose et ce qu'elle faisait exactement, pour que je puisse rapporter avec moi un minimum d'informations sur elle. Lorsque je passe doucement la tête pour regarder à l'intérieur de la pièce, je n'avais vraiment pas besoin de l'éclairage, pour voir ça... Une fille en train de se masturber... Je trouvais ça légèrement dégoutant et surtout très étrange, que de faire ce genre de choses ici. Mais peu importe. Je préfère laisser la créature infernale à ses petites affaires et je commence à faire demi tour. La mission était terminée pour moi et il était urgent que je fasse un rapport sur l'état des lieux. Mais alors que tout semblait se dérouler sans accroche, mon pied bute sur quelque chose qui dévale l'escalier, alors que je m'apprêtais à réutiliser la lampe. Un objet assez dur et léger en même temps, dévale une bonne partie des marches en faisant du bruit!

- Et merde!

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Ville-Etat de Nexus / Re : La prêtresse et le lion [Asmodeus]
« le: mercredi 27 avril 2022, 19:09:18 »
- Je vais maintenant... passer à la bénédiction... Que... Que chacun se lève tour à tour et vienne face à moi...

Bien que le récital fut assez court, j'ai eu un mal fou à rester pleinement concentrée dessus. Des terranides m'avaient plusieurs fois regardés, souvent étonnés ou semblaient même inquiets. Mais bien que cette situation soit terriblement embarrassante pour moi, je continue de rester digne et de tenir bon, guidée la foi en mon devoir sacré. C'est ainsi que je les vois se lever un par un, alors que je sentais avoir chaud. Mais j'ai beau tout essayer pour ignorer ce qui se passe en moi, que j'ai l'impression de faiblir encore plus, lorsque je commence les bénédictions. C'était comme si quelque chose me caressait maintenant le corps du bout des doigts. Des caresses qui étaient à la fois glaciales et brulantes et qui se glissent sournoisement à répétition, sur le long de ma peau. Mais plus embêtant dans tout ça, c'est que j'avais l'entrejambe anormalement brulant! Alors pendant que je bénis un à un les terranides qui s'approchent, j'ai l'impression de jouir... Non en vérité, je suis vraiment en train de jouir, lorsque je suis sur le point de m'occuper du suivant qui s'est approché de moi!...

Même si je fais tout pour ne rien laisser transparaitre, je laisse malheureusement échapper des gémissements sourds, que le grand terranide qui se trouve en face de moi ne peut que hélas qu'entendre... Ma jouissance se répand alors très vite dans ma culotte! Si je pouvais tout simplement m'enfuir à cet instant, je crois que je le ferais sans hésitations! Je suis donc obligée de baisser la tête et de rester immobile pendant plusieurs longues secondes très embarrassantes, lorsque le terranide me regarde avec insistance. J'avais l'impression d'être dévisagée et le pire, c'est que j'appréciais secrètement cet instant!

- Ne faites pas attention à moi...

Je lui murmure de ne pas s'inquiéter pour moi. L'impressionnant mammifère à la tête de lion baisse alors la tête à son tour et j'entreprends maladroitement les gestes nécessaires, avec l'aide du parchemin sacré dans mes mains. Et lorsqu'il se retire et que les suivants s'avancent ensuite, j'ai finalement cette curieuse la sensation de mal-être qui se dissipe lentement...

- Oh mon dieu! Oh pardonnez-moi! Je ne sais pas ce qui est arrivé! Je suis vraiment désolée!

Dès que la cérémonie est terminée et que tout le monde est sortit, j'ai prestement refermé les portes derrière-eux. Quand je les ais entendues claquer avec résonnance, je me suis assise par terre sur les dalles, le regard face à l'autel. Bien que les sensations avaient en partie disparues, je me sentais déphasée! J'étais en transpiration et je ne savais plus quoi dire... J'ai alors décidé de prier un long moment en silence, tout en demandant intérieurement le pardon aux dieux, pour l'inexplicable faiblesse que j'ai ressentis durant la cérémonie de bénédiction sacrée, avant de me relever ensuite. Je profite pour remettre de l'ordre et de rester le plus éloigné possible du groupe, jusqu'à ce qu'ils décident de partir un peu plus tard. L'heure ayant maintenant bien avancé, je choisis de rester ici pour la nuit comme je l'avais convenu. Un peu après, je continue encore de méditer. Je mange ensuite seule et très sommairement dans la chambre, réservé à cet office. Avant de me coucher, je réfléchit encore un peu à ce qui s'était passé plus tôt. Je ne comprenais pas... C'était la première fois que cela m'était arrivé... J'en conclu alors que quelque chose, peut-être un objet appartenant à l'un des terranides en question, avait peut-être dut entrer en conflit avec mes propres énergies. Et puis au moment où je juge qu'il est bon que j'aille au lit, je me couche sans attendre. Bien que je ressentais toujours un fond de désir en moi, j'essayais de l'ignorer D'ici demain, tout cela ne sera plus qu'un lointain souvenir désagréable...

- Non! Lachez-moi! Non! Vous êtes trop nombreux! Je ne pourrais jamais tous les prendre! Kyyya!!!

Je me mets alors à crier! Je suis encore une fois dans le temple en train de refaire la cérémonie, sauf que tous les terranides me sautent dessus. Ils m'arrachent ma robe. Et puis lorsque je suis nue, ils sortent ensuite leurs horribles bites. Mais je n'arrivais pas à me défendre. Je suis alors plaquée sur l'autel et il y en un qui vient directement entre mes cuisses! Je lui dis que je ne veux pas, mais d'autres m'entourent et me force à faire tout un tas de choses dégoutantes. Je n'étais plus une prêtresse pour eux, mais leur jouet. Et ensuite, pendant qu'il m'enchainent à tour de rôle sur l'autel un à un comme je les avais bénis avant, je me revois soudainement au temple de ma ville natale. Les terranides qui me violent se transforment pour devenir ces humains qui nous ont détruits, les miens et moi! Et l'horrible scène ne dure pas une seconde de plus, que tout le monde disparait. Je me retrouve alors dans le noir et le silence, pendant que j'ouvre les yeux en grand. Je viens de rêver... Je viens de faire un horrible cauchemar...

- Oh... Anh... Anh...

Malgré que je me sois réveillée, je tremble comme une feuille morte. Je ressens des sueurs froides, tandis que mon corps est tout brulant en même temps. Mon vagin était encore une fois en feu. La sensation de tout à l'heure, était en train de recommencer. Mais qu'est-ce qui se passe encore, à la fin?... Et puis je mets la main devant la bouche, dès que je crois voir une ombre massive. Quelqu'un ou quelque chose se trouve à l'intérieur, avec moi! Et c'est la lune qui éclaircit à travers la vitre, un être massif à la grande stature. Il se tenait droit devant-moi! Il...

- Oh! Que...

C'est avec le regard à la fois effrayé et confondu avec mes désirs anormalement brulants, que je vois une bête... Non! Un terranide qui me regarde lui-même nu, avec son énorme sexe tout raide! La vue improbable à laquelle j'ai le droit, a pour réaction de me donner un nouveau sursaut de désir pendant un instant. Me voilà alors obligée de serrer mes cuisses mouillés, pendant que j'étais incapable de savoir ce que je devais faire. La scène était tellement trop bizarre. Et ce que j'éprouvais, l'était tout autant.

5
Pendant que je suis en train de finir de regarder toutes les notes que j'ai prise, je n'ai même pas le temps de remarquer que quelqu'un vient d'entrer sans prévenir. Je suis violemment bousculée et je me retrouve plaquée contre le mur. Je n'ai le temps que de pousser un gémissement de surprise. Dans l'incompréhension de ce qui se passe, je vois un garçon qui vient d'aller dans mon armoire, pour revenir m'attraper les poignets et me les nouer dans une vitesse qui m'épate moi-même...

- Qu'est-ce que tu... Aie!

L'espèce de malade qui est entré dans ma chambre sans m'en demander la permission, me gifle au moment où je commence à parler. C'est alors que je suis momentanément estomaquée, lorsque je vois qu'il a des griffes acérés à ses mains. Le garçon de ma classe que je crois reconnaitre, me déchire immédiatement la culotte, avant de me pousser presque aussi vite sur le lit. C'est avec stupeur, que je le vois sortir son téléphone de sa poche, puis le positionner en face de moi, avant de me dire quelque chose de complètement incongru, tout en me menaçant...

- Tu... T'es le garçon de ma classe?... Que... Pourquoi tu es ici?... Qu'est-ce que tu veux?...

Bien que j'étais en colère et que j'aurais certainement insulté de tous les noms d'oiseaux ce sale pervers, si j'aurais eu le temps de voir venir m'agresser en plein dans ma chambre, il m'a complètement prise au dépourvu. Je mets alors mes mains ligotés par les vêtements que je me force d'entretenir avec le plus grand soin, devant mon entrejambe complètement à découvert. Ce genre d'agression me mettait tellement mal à l'aise, à cause qu'il me rappelait tout simplement la pire période de toute ma vie, que j'ai souvent des difficultés à me reprendre au début...

- Va... Dégage! Dégage immédiatement de là, espèce de sale pervers dérangé! Casse-toi de ma chambre ou je... Aaaah!

Je n'ai pas encore eu le temps de répondre à ce connard, que je me reprends une nouvelle et humiliante gifle en plein sur la joue. Elle est si violente, que ma tête s'arrache presque. la douleur est immédiate et je continue encore de perdre le contrôle de la situation, durant un instant...

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Ville-Etat de Nexus / La prêtresse et le lion [Asmodeus]
« le: jeudi 07 avril 2022, 21:44:19 »
La hiérarchie de l'ordre du temple de Nexus, a demandé à ce l'un de leurs disciples vienne accueillir un groupe de terranides, qui attendra dès demain au niveau de la petite annexe du grand temple, situé à l'extérieur de la ville à une dizaine de kilomètres. Ces voyageurs ont besoin de recevoir une bénédiction, avant d'entreprendre leur propre chemin. Pour une raison qui m'échappe peut-être, on a décidé de faire appel à moi alors que je suis de service à Seikuzu, sur la planète appelée la Terre. Mais d'après ce que je sais depuis toujours, les terranides sont très mal considérés partout, y compris autant chez-moi, que ici. Je n'ai jamais bien saisis pourquoi ces êtres aux attributs plus ou moins animaliers, étaient sans cesse déconsidérés. Cependant, la mission que l'on m'a précieusement confiée, n'était pas vraiment compliquée à exécuter.

C'est assez tôt au lendemain, que je pars habillée de la longue robe blanche de prêtresse habituelle que je porte, dès que je suis en mission ou quand je prie tout simplement au temple. Pour me rendre d'ici au Nexus qui se trouve sur Terra ma planète d'origine, je n'ai qu'à simplement emprunter un portail qui se situe dans un recoin bien gardé du grande temple, tout proche de l'une des cours. C'était étrange d'utiliser ce procédé. Mais force est de dire, que c'était drôlement bien pratique. Je suis vraiment tombé des nues, la première fois que je les ai découverts et aujourd'hui, je les emprunte presque tout naturellement.

Arrivée ensuite directement quelque part dans le Nexus, je me dirige vers le temple de la ville pour indiquer que je suis prête à partir, une fois toutes les informations bien en main. Je quitte ensuite la zone et une fois à l'extérieur, je n'ai qu'à suivre les différentes indications qui précisent où se rendre, pour trouver entre-autre l'annexe en question. Lorsque j'arrive à un endroit où il n'y a presque plus que des collines verdoyantes, avec de jolies montagnes au loin qui se dessinent, j'aperçois l'endroit. Arrivée au pied de la structure, j'entre à l'intérieur. En tant que prêtresse, même apprentie, il était de mon devoir de me préparer pour accueillir les concernés comme il fallait, avant leur arrivée. Je n'ai finalement qu'à prendre tranquillement mon temps pour bien tout mettre en place, dans cet endroit où je suis toute seule pour l'instant.

Un peu plus tard, pendant que je me perds à regarder le paysage tout en méditant un peu, le groupe en question finit par arriver. La trentaine de terranides qui entrent solennellement à l'intérieur, prennent place sur les différents bancs de bois parfaitement alignés. Quant à moi, je me dirige derrière l'autel avec le livre de prière et les autres objets nécessaires à ce petit rituel, qui n'est pas vraiment très compliqué à entreprendre, mais qui reste important pour tous ces gens qui comptent sur moi. Lorsque je suis sur le point de prendre la parole, alors que tous ces curieux mammifères me regardent en silence, je ressens un court instant de malaise, avant de commencer.

- Bonjour et.. merci d'être venus. Puisse votre voyage être un peu plus agréable, grâce à la bénédiction des dieux qui croient en la bonté de chacun de vous. Quelque soit vos origines, personne n'est oublié en ces lieux sacrés...

Bien que je ne sois jamais vraiment très à l'aise pour parler devant tout un groupe de personnes, j'éprouve une étrange sensation qui ne m'aide pas à me détendre comme je le devrais... Malgré ce pourquoi ils étaient tous venus aujourd'hui, je devrais normalement me sentir assez en confiance pour les accueillir, sans réelles difficultés. Et pourtant, je continue d'avoir plusieurs fois des courtes hésitations, durant le récital que j'ai commencé à réciter...

7
- Bonjour. Mon nom est Sen Shua et je vous remercie de m'accueillir aujourd'hui, pour mon tout premier jour de cours avec vous. Je suis originaire d'un village assez lointain d'ici et qui ne vous dira certainement rien, si je dois prononcer son nom impossible. Je me suis installée à Seikuzu il y a un peu plus d'un an et je réside dans le temple de la ville, en tant qu'apprentie prêtresse. J'ai décidé de rejoindre l'ordre par conviction, mais il est aussi important pour moi de pouvoir continuer de poursuivre des enseignements enrichissants ici, à vos côtés. Merci à tous...

Ouf. La présentation est enfin terminée. Je déteste à devoir faire ça, mais ce sont les devoirs d'intégrations nécessaires, donc je m'y plie quoiqu'il arrive. Cependant, je n'en ai pas dit plus qu'il en fallait et je n'ai non plus spécialement envie que des élèves que je ne connais pas, me posent des questions indélicates sur moi. Pour éviter d'éveiller les éventuelles curiosités mal placées à mon égard ou encore devoir entendre les plaisanteries idiotes, je baisse la tête en courbant le dos vers l'avant, en signe de salut respectif. Je tourne rapidement les yeux dans la direction du professeur, histoire de lui faire comprendre mon désir d'abréger ce moment pour de bon.

- Très bien... Merci beaucoup Sen Shua. Tu peux aller t'asseoir à une place de libre, nous allons commencer le cours.

Je remercie le professeur d'un signe de tête. Puis j'ignore tous les regards, pour m'asseoir de préférence à une table où je pourrais entendre correctement le cours, sans risquer d'être dérangée. Je fais un nouveau petit signe de tête sans jamais faire de sourire, vers ma nouvelle voisine de table. Puis je sors de ma sacoche, un cahier neuf, avec quelques stylos de différentes couleurs. Quand je suis correctement installée, j'écoute avec rigueur et attention, tout ce que mon nouveau professeur de cours nous dit. Bien que j'entende par moment du chahut, jamais je ne tourne la tête pour regarder autre part, sauf si je suis vraiment dérangée pour suivre ce que l'on nous dit. L'heure se passe sans incidents et je suis les autres élèves, qui heureusement ne semblent pas vraiment prêter attention à moi dans l'ensemble, hormis quelques garçons aux pensée surement dégoutantes. Sacoche à la main, tenue réglementaire propre et impeccable sur moi, je vais plusieurs fois changer de salle et me présenter poliment, mais très brièvement, au nouveau professeur qui nous accueille à chaque fois. Arrivé aux heures du déjeuner, je m'assois seule en bout de table et je mange tout ce qui est servit sur mon plateau sans exceptions, tout en veillant à ne pas faire de tâches sur mes nouveaux vêtements. Je ne prête encore une fois pas attention aux chahuts, qui sont beaucoup plus bruyants que ceux des cours. Une fois terminé, je quitte la cantine pour aller m'asseoir sur un banc, dans la cour prévue aux élèves. Bien que je sois assez curieuse de connaitre certains endroits, je veille à ne pas sortir du chemin qui nous est normalement destiné, durant ces heures de pauses. Je connaitrais bien assez vite ces derniers, tel que par exemple la bibliothèque, le moment voulu. Quant à des lieux tels que les dortoirs, puisque je ne loge pas ici mais directement dans le temple, je n'ai donc rien à y faire. Finalement, pendant que je regarde les notes que j'ai prises sur mes tous premiers cours, la sonnerie retentit. Je repars ainsi pour une après-midi entière, en direction des cours suivants.

En fin de journée, le professeur de notre dernier cours me rappelle un règlement interne des plus importants et dont j'avais déjà pris note, en me demandant de rester pour nettoyer la salle, étant donné que j'étais la nouvelle arrivante. J'accepte mon devoir tout en lui manifestant un signe de respect et dès que la plupart des élèves sont sortis, je m'attèle à la tâche qui m'a été confiée, sans discuter. Pendant que je nettoie, j'entends parfois soit quelques rares élèves encore en train de trainer, alors qu'il est formellement interdit de discuter dans les couloirs, à ces heures. Mais surtout, j'ai parfois comme une impression assez curieuse, qu'on m'observe de loin. Pensées sans doute futiles auxquelles je crois, parce que je ne me sens pas encore un minimum à l'aise, malgré mon désir formel d'être là.

Une petite demi-heure plus tard et le rangement effectué, je quitte à mon tour la salle, pour sortir ensuite de l'établissement. Pour mon tout premier jour de cours, la hiérarchie du temple m'a gentiment proposé de me laisser les quartiers entièrement libres, pour aujourd'hui. Ce qui me laisse un peu de temps pour découvrir un peu mieux le quartier, mais sans non plus trop trainer inutilement. Arrivée ensuite à une station de bus, j'attends debout, avec la mallette toujours bien à la main, jusqu'à voir celui-ci rapidement arriver. A l'intérieur, je n'ai pas longtemps à m'asseoir, que je me lève sans hésitations pour laisser volontiers ma place, à une personne âgée. Dans le bus rapidement bondé, je me retrouve assez vite dans mes quartiers. Je marche ensuite tranquillement, en direction de la petite butte qui mène au temple, alors que le soleil d'hivers semble déjà presque couché. Arrivée sur place, je salue respectueusement les rares personnes que je croise encore à cette heure et j'échange rapidement quelques mots avec les autres prêtres, qui me demandent si ma première journée de cours s'est bien déroulée. Une fois traversé les différents endroits après les avoir quittés, je me sens plutôt contente d'arriver enfin dans ma chambre. L'intérieur n'a évidemment rien de luxueux et tant mieux. Un lit, une armoire pour pouvoir ranger mes affaires, une table avec une chaise pour écrire ou lire, une salle d'eau. Voilà tout ce qui me convient ici.

- Ouf. Je suis finalement contente d'être rentrée. Je crois que je vais avoir besoin d'un peu de temps, pour m'habituer à ce lycée Mishima. J'espère aussi qu'on continuera à ne pas trop faire attention à moi, là bas...

Sans attendre, je me mets un peu plus à l'aise en retirant presque l'intégralité de la tenue scolaire réglementaire. Une fois que je ne porte plus que les sous-vêtements, je range précautionneusement mes affaires dans le placard. Je retire ensuite tout ce qui se trouve dans la mallette et je consulte pensive sur la table, encore tout ce que j'ai noté de ma première journée là-bas, durant plusieurs minutes hasardeuses. La douche ne sera d'ailleurs certainement plus très loin aussi.

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Le coin du chalant / Une prêtresse pour vos vices et services
« le: mercredi 06 avril 2022, 19:13:17 »
Chalant fermé.

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Prélude / Re : La vertue de l'âme et du bois [Vanéalidée !]
« le: mercredi 06 avril 2022, 19:09:25 »
Merci tout le monde. Et Rin oui elle t'aiderait du mieux qu'elle pourrait, mais n'es-tu pas mieux de rester dans la luxure et de lui faire partager de bons moments?

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Prélude / La vertue de l'âme et du bois [Vanéalidée !]
« le: lundi 04 avril 2022, 22:21:42 »
Identité : Sen Shua
Âge : 15 ans
Sexe : Féminin
Race : E.S.P.er
Sexualité : Bisexuelle

Physique :

Typée du plein orient, Sen Shua est une jeune fille aux longs cheveux noirs, qui tombent élégamment dans son dos et en deux longues nattes sur le devant. Légèrement relevés grâce à deux jolis rubans blancs, qui ornent sur chaque côté de sa tête, pour compléter à l'ensemble. Elle possède un visage à la fois gracieux et juvénile, sur lequel se dessine de beaux sourcils, avec des yeux bridés à la couleur noisette, ainsi qu'une petite tâche de naissance, qu'elle arbore délicatement sur la pommette gauche. Des joues légèrement rosées et à la peau parfaitement impeccable, où se complètent un petit nez et une fine bouche, harmonieusement dessinée. A ses lobes, sont attachés deux boucles d'oreilles en lien avec son histoire et qui symbolisent le yin et du yang, sur une surface ronde, chacune reliée par une minuscule chaînette. Au niveau de sa stature en globalité, Sen Shua n'échappe pas à la règle classique de la norme féminine de sa race, par exemple avec sa petite taille. Tout juste 1m50 pour sa part. Des courbures qui sont aussi bien fines, qu'elles sont en même temps élancées. Une petite poitrine parfaitement ferme, relevée et arrondie dans toute sa splendeur.

Quant à ses vêtements, la petite asiatique en herbe possède différentes tenues, bien qu'elle en arbore plus généralement deux en particulier. Comme elle est aussi prêtresse, il est donc assez courant de pouvoir la voir habillée dans une longue robe blanche, ceinture, noeuds et symboles généralement rouges ou noirs, dessinés sur toute la longueur du tissu. Ses chaussures, plutôt douces au toucher, disposent de couleurs semblables. Quant à sa tenue de sortie, Sen Shua qui n'est pas du genre à se négliger, porte généralement une longue chemise blanche, sur laquelle se trouve une robe noire une pièce dans le style chinois, coupée au niveau des bras, serrée et cintrée impeccablement au torse et à la taille, élégamment dégagée au niveau des jambes, grâce aux parties coupées sur chacun des côtés. Elle peut aussi porter par dessus, un long tissu vert foncé et fin, qui la couvre des épaules, jusque pratiquement au niveau des pieds et y faisant office d'un excellent coupe-vent, pouvant assez bien retenir la chaleur en cas de froid. Quant à ses petites chaussures résistantes, souvent noires ou marrons, elles vont élégamment avec l'ensemble du reste qu'elle porte. Elle peut cependant utiliser jusqu'à des bottes, si elle compte marcher dans des endroits plus délicats que simplement du plat. En plus de ses deux tenues, on peut éventuellement rajouter son habit de lycéenne réglementaire, avec sa chemise blanche, son veston noir, sa robe de la même couleur et ses chaussures traditionnelles. Dans certaines circonstances, il est même possible de la voir porter une épée faite entièrement de bois. L'explication à ce sujet est précisée dans son histoire et dans ses pouvoirs magiques.

Caractère :

1_ Qualités et Défauts :

Sérieuse - Disciplinée - Dévouée - Courageuse - Sensible - Vertueuse

Introvertie - Rebelle - Méfiante - Têtue - Assez directe - Rigide au premier abord

2_ Détails :

En voyant Sen Shua, on pourrait généralement la décrire à première vue comme étant assez froide. Une jeune fille qui engage rarement les conversations par elle-même, surtout si elle estime que ce n'est ni important, ni intéressant. Discrète, voir effacée, elle n'aime pas qu'on lui pose des questions sur sa vie personnelle. Pour ne pas aider au tableau de la sociabilité, elle peut même facilement se montrer rebelle et remettre vivement à leurs places les autres, dans certaines circonstances. Sans doute un peu trop franche et directe du collier, elle n'a pas peur de dire ce qu'elle pense vraiment à la personne qui se trouve en face d'elle, peu importe si cela peut parfois être blessant ou non. Du genre à ne pas changer son avis ou ses positions facilement, lorsqu'elle pense être dans son bon droit, la rigidité qu'elle peut souvent donner l'impression d'avoir, la fait prendre à l'arrivée par les autres, pour une fille résolument antipathique, rabat-joie et ennuyante. Cependant, Sen Shua porte en parallèle une grande blessure intérieure lié à son passé, qui fait qu'elle reste assez méfiante et a surtout du mal à accorder facilement sa confiance, aux hommes en général. Cela peut aussi se traduire sur le plan sexuel avec ces derniers, où elle peut en arriver à faire preuve d'une certaine forme de soumission et de crainte en même temps, en cas de rapport forcé. Bien que ce ne soit pas impossible, il restera aussi très difficile pour un homme d'arriver à la séduire, sans devoir user de certains stratagèmes, comme par exemple en trouvant le moyen d'arriver à la faire boire.

Mais de cette jeune fille d'apparence peu sociable, si souvent critiquée par ses camardes ou par n'importe quelle personne qui la connaitraient tout simplement mal, ignorent la liste des qualités débordantes et impressionnantes, qui se cachent sous cette première couche à l'apparence dure et surtout bien illusoire. D'abord sérieuse et disciplinée, Sen Shua est une jeune fille qui fait preuve d'une droiture impeccable et assez rare. Elle se donne pour suivre un code de conduite et de moral strict que sa mère lui a enseigné, porté sur les principes, les valeurs et l'honnêteté. Elle est courageuse, déterminée à ne pas lâcher facilement ce qui lui tient à coeur et ce sont généralement l'ensemble de ces qualités là, qui la font le plus souvent prendre à tord pour une personne seulement rigide. Mais là où la jeune orientale excelle peut-être le plus, se trouve principalement dans sa dévotion à toute épreuve. Dévouée à aider les autres de manière totalement désinvolte, Sen Shua est une fille qui sait très facilement tendre la main, envers ceux qui ont des problèmes. Prête à rechercher toutes les solutions possibles, pour pouvoir arriver à un résultat concluant, elle est même prête à aller jusqu'à prendre des risques, si elle estime que la cause qu'elle cherche à soutenir ou à défendre, lui parait juste et en vaut la peine. Tant pour les autres, que pour elle-même. C'est donc parce qu'elle est généreuse, altruiste et en harmonie avec un comportement de bonté et de justesse, qu'elle est considérée à juste raison cette fois-ci et par ceux qui prennent le temps de la connaitre un minimum, comme une personne tout simplement vertueuse. Et c'est sans parler de la grande sensibilité dont elle est capable de faire preuve, une fois la coquille définitivement ouverte et sa confiance gagnée. Il est aussi à préciser que Sen Shua a aussi des gouts et des qualités, que beaucoup de jeunes filles possèdent en général. C'est par exemple le cas avec tout ce qui est mignon, comme par exemple les peluches. Même si elle évite de dépenser le peu d'argent qu'elle a, à n'importe quoi, elle manifeste aussi de l'intérêt envers de nombreux loisirs, y compris les sucreries, les mangas et les jeux-vidéos, évidemment bien trop chers pour elle.

Histoire :

C'est dans la partie orientale profonde de Terra, situé plus exactement dans un joli petit village où poussent les bambous verdoyants et autres arbres majestueux, que Sen Shua voit le jour. Fille de la prêtresse locale qui tient un temple, qui aide et qui participe en partie à la prospérité de ses habitants, la petite fille avait déjà tout pour avoir le destin déjà tout tracé par sa mère. C'est aux côtés de ses parents, mais aussi avec son frère et sa soeur, qu'elle grandit dès son plus jeune âge, entourée entre l'amour et les valeurs que l'ont lui inculque. Parmi ses années d'insouciance, Sen Shua est souvent emmenée à devoir remplir les obligations que ses parents et en particulier sa mère, attendent d'elle et de ses fraternels. Et la petite fille qui s'épanouit au fil de ses premières années, est aussi celle qui veille le plus précautionneusement à ne jamais manquer au moindre de ses devoirs. C'est toujours très serviable, joyeuse et avec le sourire aussi rayonnant que les premières lueurs printanières, qui annoncent la fin des hivers les plus froids et les plus rigoureux, que tous sont unanimes pour trouver en Sen Shua, la parfaite future héritière de sa mère.

Cependant, Sen Shua ne fait pas que répondre seulement à ce que sa mère lui enseigne, avec philosophie. Elle doit aussi souvent travailler dur avec son propre père, un professeur d'art martial qui lui enseigne avec les siens, ainsi qu'à d'autres jeunes gens talentueux et désireux d'apprendre, l'art du corps et du combat, au sens le plus noble. C'est armée de la propre épée d'entrainement faite de bois, longtemps utilisée par son paternel, qu'elle y apprend encore et toujours avec parfaite droiture, tout ce que l'on attend d'elle.

Mais c'est lorsqu'elle arrive au début de son adolescence, qu'elle va connaitre plusieurs chamboulements majeurs, qui vont quelque peu contrecarrer son existence jusque là joyeuse et insouciante, au seing de son village. Alors que les habitants continuent comme ils peuvent leurs activités habituelles, des rumeurs d'un groupe de mercenaires appartenant à une dangereuse guilde d'assassins et sévissant dans la région, commenceraient à se faire entendre. Comprenant que quelque chose de très grave était en train de se diriger rapidement droit sur eux, le village se protège comme il peut, craignant le pire arriver. Manquant d'informations sur les motivations réelles de ces dangereux criminels sans foi ni loi, ses parents ont tout juste le temps d'apprendre de source sûre, que se trame quelque part une lourde conspiration au seing de certains dirigeants mêmes des villes voisines, que le village se fait attaquer peu de temps après, presque sans prévenir...

Alors que les premières maisons brûlent. Que les habitants commencent à rapidement tomber sous les armes de leurs bourreaux des ombres, le clan arborant des couleurs avec un symbole mortuaire peu engageant, se déchainent dans tous le village. Destructions, meurtres, viols, tortures, vols, personne n'est épargné par ces assassins sanguinaires et inhumains, qui ne cherchent ni à négocier, ni à donner la moindre raison à leurs agissements. Face à ce déchainement d'horreur, Sen Shua qui a ordre de rester dans le temple pour s'occuper des villageois qui ont réussit à se réfugier à temps, ne peuvent résister bien longtemps. Alors que la jeune fille voit la tête de son propre père se balader au bout d'une longue pique parmi d'autres, son frère qui était avec elle, meurt égorgé avec plusieurs des leurs, dans un nouveau odieux bain de sang horriblement sanglant. Tandis que le temple est rapidement cerné. Que les corps tombent les uns après les autres à l'intérieur du bâtiment, face à des hommes qui ne ressemblent plus qu'à des barbares, ayant pactisé avec les pires des démons. Qu'il ne reste finalement plus qu'un dernier groupe, composé majoritairement de femmes et d'enfants repliés et terrorisés, dont Sen Shua et ce qui reste encore de sa famille, elle va alors se faire violer sur le propre autel du temple, avec sa mère, face auquel elles se tenaient. Quant à sa soeur et les autres, peu importe leur âge, une partie vont exactement subir le même sort, pendant que d'autres vont parfois avoir droit à des tortures inhumaines, de la part de ces bouchers venus des enfers. Face à tant d'horreur insupportable, alors qu'elle ne cesse de se faire culbuter comme un vulgaire pantin désarticulé, dans un endroit qui sent l'hémoglobine et les tripes ouvertes, la jeune fille finit par tomber dans l'inconscience.

Alors qu'elle finit par miraculeusement se réveiller. Encore vivante et épargnée de toutes blessures graves. Les vêtements entièrement déchirés et avec la nausée jusqu'au plus profond des tripes, elle y voit avec horreur des cadavres inertes et sanguinolents, joncher ce qui reste encore du sol. Comme épargnée par la main divine, alors qu'un incendie avait consumé presque entièrement le temple, lorsqu'elle était entré en état d'inconscience, Sen Shua qui est galvanisée par les émotions les plus noires et les plus désespérées, quitte les décombres encore fumantes, où s'entassent les morts parfois encore visibles, à ses pieds. Tandis que quelques cris rauques de villageois encore agonisants, pouvait parfois se faire entendre au loin. Que le son des derniers mourants, déchirent le silence maintenant fait de plomb. C'est lorsqu'elle se rend à ce qui peut encore tristement ressembler à son ancienne maison, que la pauvre Sen Shua tout juste sortie de la fleur de l'enfance, y trouve parmi les décombres hasardeuses, quelques souvenirs de sa vie, à l'insouciance maintenant à jamais brisée. Son pouvoir jusque là endormit se réveil soudainement, lorsqu'elle met la main sur la fameuse épée en bois, qui appartenait à son père et qui lui avait été léguée. Dans sa colère, dans sa rage mêlé avec le désespoir, Sen Shua qui explose telle une bombe à retardement, détruit tout simplement avec son arme à la main, le reste encore debout de sa maison faite elle aussi de bois. Chose qui lui serait tout simplement impossible de faire en temps normal. Et comme possédée. Gagnée par des sentiments terriblement amers, qu'elle n'avait jusque là jamais gouté auparavant, elle continue de réduire en morceaux encore tout ce qu'elle peut, déracinant ou coupant presque d'un seul coup, des arbres parfois massifs sur sa route, tandis qu'elle est en train de doucement quitter le village fumant qui fut encore le sien la veille, pour se rendre elle ne savait où.

C'est âgée de seulement douze ans, que Sen Shua se retrouve à vagabonder dangereusement toute seule, sans avoir de buts réellement précis en tête. Tel un zombie, l'adolescente est rapidement contrainte pour pouvoir tout simplement parvenir à survivre, en arriver à devoir tantôt mendier, tantôt voler de la nourriture dans les étalages ou encore tristement devoir se prostituer, dans le seul but de faire plaisir à d'odieux pervers dépravés et ainsi gagner quelques misérables pièces sales. Après plusieurs mois de déchéance à dormir et à errer parmi la crasse, l'urine et le vomi des soulards, dans les endroits parfois les plus rebutants au possible. A devoir manger des détritus, comme un déchet nauséabond appartenant au théâtre des ombres cruelles et tourmentées. A renoncer à toute sa dignité et à ses valeurs qui faisaient autrefois sa fierté, Sen Shua finit par retrouver une parie de sa détermination et ne se fixe alors plus qu'un seul objectif : retrouver ces hommes qui ont tués les siens et se venger de leurs commanditaires, par n'importe quel moyen. Une tâche ardue et presque impossible, pour une jeune fille comme elle qui a tout perdu et qui ne sait même pas par quel bout doit-elle tout simplement commencer.

Mais alors qu'elle semble aveuglée dans sa quête perdue de vengeance absolue, Sen Shua qui parvient à obtenir difficilement quelques informations assez évasives, finit par arriver à la demeure de l'un des prétendus assassins. Lorsqu'elle y pénètre à l'intérieur, tandis qu'elle voit l'homme tranquillement à table en train de manger avec sa famille, la jeune vagabonde perdue ne fait preuve d'aucune pitié. Devenue à son tour un assassin sortit des ombres. Usant des techniques que son père lui a enseigné, elle abat sa cible avec surprise dans une agilité féline, qui meurt alors sur le coup, le crâne fendu en deux par l'épée de bois, devenue maintenant si particulière. Et lorsqu'elle s'enfuira, couverte des éclaboussures du sang de l'homme peut-être coupable, peut-être innocent, mais surtout un père qui vient de s'effondrer devant sa famille, ce sera surtout pour qu'elle y voit le même regard d'effroi qui a autrefois été le sien, maintenant accroché dans les yeux de cette femme et de leurs deux enfants, aujourd'hui à leurs tours privés d'un proche.

Tandis qu'elle continue sa route. Que le sombre chemin qu'elle a emprunté et qui l'a lentement isolé, fait glisser son coeur dans les profondeurs d'un océan de larmes au gout de salé, Sen Shua finit peu de temps après par tomber sur un groupe d'enfants en train de jouer, dans un village ressemblant au sien il fut un jour, non loin d'un temple lui rappelant vaguement des souvenirs enterrés. Gagnée soudainement par les émotions du passé, alors qu'elle semble ressentir pour la première fois, comme des regards de pitié et de tristesse se tourner vers elle, la jeune fille s'écroule et tombe en larmes. En quelques instants seulement, les enfants qui étaient en train de s'amuser joyeusement comme elle-même l'avait un jour fait, accourent dans sa direction. Touchée par des émotions qu'elle pensait avoir oublier à tout jamais, en entendant soudainement leurs mots de compassions et d'encouragements inattendus, leurs attentions la touchent et ravivent soudainement quelque chose en elle. Comme si on appuyait sur la touche d'un piano qui n'a plus servit depuis longtemps et qui émet en retour, un son qui a toujours été là. Amitié, amour, compassion, tendresse, tant de mots liés chacun à une note de musique, qui jouées toutes ensembles, peuvent composer leurs propres chansons. Et alors que les notes oubliées s'enchainent doucement les unes après les autres. Que son vieux piano tout grinçant à elle, résonne jusque dans ses cordes musicales devenues vocales et qui tremblent à mesure que ses larmes coulent, une autre main se tend encore vers elle. Comme si elle représentait soudainement une bouée de sauvetage qui pourrait la ramener à la surface, Sen Shua l'attrape. Avec elle, au bout de ces doigts maigres et usés qui enserrent à présent sa propre main crasseuse, un sourire serin, sans aucun jugement sur sa condition, se dessine sur les lèvres impassible du vieil homme qui se tient droit, fier et debout, dans sa tenue de prêtre. Pendant un instant, la jeune fille voit à travers lui sa propre image du passé, où elle se rappelle avoir été cette apprentie prêtresse, aux côtés de sa mère et de tous les siens. Tout comme lui, elle aussi n'aurait pas hésité une seule seconde à tendre la main, avec sérénité, avec compassion, sans aucune arrière pensée. Et tout comme lui, elle lui aurait tout simplement demandé ce qui ne va pas. Et elle n'aurait même pas eu besoin d'entendre directement une réponse, pour comprendre son profond égarement...

Trois années plus tard, Sen Shua ouvre doucement les yeux, alors qu'elle est au même moment gagnée par d'agréables souvenirs d'un temps heureux. Tandis qu'une douce musique à la fois triste et harmonieuse, résonne à ses oreilles au seing du temple où elle se trouve, pour célébrer dignement des funérailles, la jeune prêtresse accompagne la famille du défunt, jusqu'au cimetière où il y sera ensuite enterré. Sen Shua, qui a apprit à remarcher pas à pas sur ses anciennes traces. A revenir progressivement vers la lumière. En acceptant de renoncer à sa vengeance aveugle, pour pouvoir sortir des ténèbres où elle s'était enfermée, est aujourd'hui redevenue prêtresse. Longue a été sa route et ses périples, pour en arriver là. Bien qu'elle ne pourra jamais oublier le malheur qui l'a frappé avec les siens, le prêtre qui lui a tendu la main ce jour là, lui a offert deux boucles d'oreilles à la représentation des forces du yin et du yang, pour symboliser son courage à s'être remise debout, après avoir été plongée dans la souffrance, lors de son départ du village qui l'a accueillit et où elle y est restée durant une année, pour se reconstruire. Vivant tantôt des moments heureux, tantôt des moment parfois plus délicats, la jeune fille qui est déterminée à ne plus jamais perdre la foi en ses convictions, a finit au fil de ses périples, par quitter sa contrée natale, pour se rapprocher du Nexus. C'est ici qu'elle y rencontrera un prêtre, qui lui proposera de partir tantôt dans la région et ses environs, tantôt vers un autre monde à travers des portails, où la jeune fille aura quelque peu du mal à s'adapter au début, avant de finalement réussir à s'habituer doucement.

L'enterrement terminé, Sen Shua qui dispose de quelques modestes revenus en tant que prêtresse, quitte à présent le temple pour partir faire ses toutes premières heures de cours, dans un lycée répondant au nom de Mishima, le nouvel établissement qui l'accueil. Désireuse de continuer d'apprendre, malgré un emploi du temps chargé, la jeune fille aux yeux bridés qui vient de fêter ses quinze printemps, ressent secrètement un désir nouveau, mais qu'elle semble avoir encore du mal à identifier. Ou peut-être éprouve t-elle ce besoin simple et naturel, de vouloir vivre aussi comme n'importe quelle jeune fille de son âge. Sans jugements. Loin de tous les titres. Au moins juste le temps d'un instant, tout simplement.

Autres :

1_ Pouvoirs Magiques :

- Magie du bois : En tant que E.S.P.er, Sen Shua a développé une magie très particulière qu'elle a hérité de sa mère lorsqu'elle était encore vivante, à savoir le bois. Quelque soit le genre, elle a la capacité de pouvoir changer en un instant sa forme et sa qualité. Elle peut ainsi transformer une porte des plus résistantes, en bois pourri qui se casse en un instant, comme elle peut changer une vulgaire branche, en un bois d'une solidité remarquable et capable de trancher n'importe quoi ou presque, si elle le désir. Bien qu'elle utilise l'épée de son père qui a surtout une valeur sentimentale pour elle, il lui suffit de se concentrer pour arriver à obtenir la qualité de bois qu'elle souhaite. Si elle ne veut pas faire de mal, elle peut se servir de son arme uniquement dans le but de cogner ou d'assommer. En revanche, si ses intentions sont d'aller plus loin, parce qu'elle a par exemple affaire à des monstres ou bien à des individus de la pire espèce, ses armes peuvent devenir aussi tranchantes que les katanas de meilleures qualités et tout ça, sans avoir à subir de réelles pénalités particulières de poids. Bien qu'elle soit toujours en phase d'apprentissage, Sen Shua peut aussi réduire en poussière tout le bois qui se trouve à sa portée et faire prendre forme à peu près ce qu'elle veut en le réutilisant, mais sans pouvoir dépasser le maximum en densité de bois, de ce qu'elle a obtenu en poussière. Par exemple, si elle veut créer des statuettes en bois, il lui faudra peu de poussières. Mais si elle veut construire une statue ou même une maison entière, il lui faudra avoir réduit un équivalent de bois en poussière, peu importe qu'il s'agisse à la base du même type de bois ou non.

2_ Talents :

- Discipline martiale : Tout comme elle doit continuer de se perfectionner dans l'art à maitriser le bois, Sen Shua a apprit à se battre avec son épée, comme à main nue. Sans prétendre être une championne, elle est capable de mettre à mal sans problèmes un individu qui n'aurait pas reçut d'apprentissages particuliers.

3_ Les activités de Sen Shua, le temple de Seikuzu :

En tant que prêtresse, bien que le terme exact soit de la qualifier toujours d'apprentie, à cause de son âge, Sen Shua assiste les autres prêtres plus importants, lorsqu'elle est présente au temple de la ville. Elle y pratique des cérémonies de mariages, d'enterrements et encore d'autres, directement liées à certaines fêtes locales ou nationales. Elle part aussi parfois en sortie et elle accomplit naturellement un tas de devoirs, qui font partis de sa vocation. Elle y exécute aussi de temps en temps des missions en leurs noms, qui la font parfois aller dans la ville, les alentours ou même sur Terra, avec principalement mais pas non plus exclusivement, le Nexus. Ses aptitudes martiales ont convaincus certains prêtres de la laisser prendre part à des missions, parfois plus délicates. Bien qu'elle ait interdiction de se mettre formellement en danger, il s'agit peut-être de la seule règle à laquelle Sen Shua fait de temps en temps abstraction. Si elle loge surtout dans le temple, elle se rend aussi régulièrement au lycée de la ville, dans le but de tout simplement continuer à apprendre. Même si elle est souvent occupée, elle trouve bien évidemment le temps suffisant de pouvoir tout simplement sortir et se détendre un peu, si elle en sent le besoin. La plupart de ses activités restent assez semblables lorsqu'elle est mobilisée vers le Nexus et ses environs, bien Sen Shua ait reçut l'autorisation de rester plus régulièrement à Seikuzu.

Sen Shua dispose aussi d'objets donnés par les autres prêtres, qui lui permet de pouvoir répondre face à certaines situations, notamment en cas d'imprévus. Bien qu'ils ne soient pas vraiment très puissants, ils lui apportent une sorte d'aide magique utilitaire, parfois bien pratique. Elle peut ainsi disposer :

- De premiers soins sous diverses formes
- De l'eau bénite contre les morts revenus à la vie
- Des parchemins de bannissements rapides contre les démons
- Des parchemins d'invocation de glyphes qui bloquent momentanément la magie
- Un sceau capable de pouvoir prodiguer plusieurs protections provisoires à son activation

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