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Messages - Li Hua

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Prélude / Re : Erelim, de chevalier saint à monstre maudit [Anéa]
« le: dimanche 15 mai 2022, 02:28:37 »
Je veux bien affronter mes peurs  :kappa: bienvenue

2
- Ehhnnnnnn…

Il ne faut pas grand-chose pour faire décoller Li, elle en mourrait d’envie en même temps, son bouton de rose gonflé et cette humidité salissant ses cuisses en témoignaient. Elle laisse sa tête partir sur l’arrière, gardant la bouche ouverte laissant des couinements s’échapper sous l’attention que son garde du corps prodiguait à sa petite chatte rose. Ses doigts mélangés à sa langue rendaient le cocktail détonant, une main de la mafieuse bascula sur l’arrière pour se tenir en équilibre pendant que l’autre allait se perdre dans les cheveux de Souta. Li appuyait sur sa tête pour qu’il intensifie ses coups de langue entre ses lèvres, cherchant à soutenir ses doigts à aller plus vite. À faire vibrer sa perle de plaisir.

- Ehn. Ehn. Ehn.

Les cris de la mafieuse sortaient de sa gorge à un rythme régulier, se coupant quelquefois pour qu’elle puisse reprendre son souffle. Sa grosse poitrine se soulevait, basculait de chaque côté de son corps, avant de complètement s’écrouler sur la droite quand Souta lui attrapa la cheville pour la soulever sur la table. La jambe en l’air, elle lui laissait l’entrée de sa petite chatte bien ouverte pour faire ce qu’il voulait, accélérant encore plus la cadence.

- Ehnnn… Oui Souta… Plus fort !!

Li aimait bien les rapports sauvages, brutaux, quand ça claque ! C’était sa façon d'extérioriser toute la tension qu’elle accumulait. La vie de cheffe d’une grande famille de mafieux n’est pas aisée tous les jours et parfois il fallait que ça sorte. En appuie sur sa main, la mafieuse se mit à ondoyer son bassin suivant l'allure de son garde du corps, rentrant avec envie ses doigts entre ses lèvres dans des bruitages humides.

- Ehn. EHn. EHN !

Jusqu’au moment attendu de l’orgasme où elle lâcha prise, son coude fléchi s’écroulant à moitié sur la table pour frissonner de tous les côtés en continuant de geindre, sa tête qui était restée droite regardait Souta se retirer, les lèvres couvertes de sa cyprine qui débordait à présent de sa chatte. Des gouttes de transpiration venaient de perler à la racine de ses cheveux, ses joues étaient rouge pivoine, elle reprenait sa respiration pensant que c’était à présent à son tour de se mettre à genoux pour s’occuper de la belle colonne de son garde du corps. L’avant-goût dans le bordel lui avait mis l’eau à la bouche, Li voulait l'engloutir comme il se devait cette fois. Sauf que Souta avait une autre idée derrière la tête.

- Vous devez écouter votre patronne !

Li pensait mettre sa suprématie en avant pour calmer les ardeurs de son garde du corps qui décidait ce qu’il voulait faire. Tout en le regardant descendre son pantalon, dévoilant à travers son boxer la queue de ses désirs, la mafieuse reprend la parole.

- Je donne les ordres, vous obéissez…

Il n'était pas ainsi dans la tête du garde du corps qui tira sur son boxer pour faire rebondir sa tige de haut en bas, ainsi que ses belles bourses qui balançaient entre ses cuisses. Il tira sur la jambe de Li, pour la rapprocher et l’empêcher de remuer se tenant entre ses cuisses pour chercher l’entrée de sa pêche humide. Glissant entre ses lèvres, percutant son clitoris gonflé pour la faire crier brusquement, sans se contrôler en levant abruptement son bassin pour faire tomber lourdement ses fesses sur la table.

- EHNNNN SOUTA !

Le temps de brailler son plaisir, son garde du corps avait commencé à s’introduire entre ses lèvres intimes, son gland chaud écartant sa vulve si serrée même avec les trois doigts qu’il lui avait mis il y a quelques minutes. Les cannelures de sa moule fournissaient un fourreau parfait pour la queue spectaculaire de son amant, détaillant ses veines gonflées, sa collerette, tout.

- Si vous pensez tenir la cadence ehnnnnn… Et remplir bien plus que ma EHNNNN petite chatte !

La faim de sexe de Li était grande après cette journée folle en émotion de toutes les sortes, elle devait évacuer, elle espérait que Souta avait de l’énergie à revendre et qu’il était prêt à la remplir autant de fois qu’il en avait besoin et qu'elle était capable de tenir sur ses jambes.

3
Li le sentait se dresser contre elle, gonfler dans son pantalon sans pour autant le débloquer, c’était à lui de le faire d'irrévocablement se laisser aller au plaisir de la chair avec sa sœur, l’affirmer pleinement et pour le reste du temps. Cette fois, sans hésitation il se leva du lit pour se libérer de son pyjama, arrachant son haut pour divulguer son torse musclé avec une pilosité légère le rendant vigoureux aux yeux espiègles de sa petite soeur. Son bas ne tarda pas à rejoindre le reste, roulant déjà pour faire apparaître son vif dressé, laissant Li sans mordre les lèvres.

- Yun tu es si beau…

Elle l’admire pendant qu’il remonte sur le lit à ses côtés l’attrapant entre ses mains viriles pour la faire se renverser, virevolter au-dessus de lui, son petit corps surplombant celui de son frère. Son visage au niveau de sa verge tendue, qu’elle sentait bon le mâle, l’enivrant prenant d'immenses inspirations pour savourer ce moment. Délicatement, elle commença à coller son minois contre sa verge détaillant les veines contre ses joues rouges, elle y déposa des tendres baisers tout le long pour se freiner dans ses grosses bourses brûlantes.

- Ehnnn…

Li ouvrit sa petite gueule d’ange pour venir les engloutir, d’abord celle de droite, puis celle de gauche alternant pour ne pas faire de jaloux. Elle les aspiraient entre ses lèvres pour y glisser sa langue méticuleusement, continuant de se frotter contre sa base virile tout en gémissant sentant son grand frère s’occuper de ses lèvres inférieures. Que c’était bon, elle sentait sa langue les ouvrir, presser contre son clitoris gonflé de plaisir. Elle accompagnait sa langue en ondulant son bassin contre lui.

- Ehhnnn. Grand-frère… Ehnnnn

Des petits cris de plaisir quand il venait à insister dessus, lentement elle remonta contre sa verge, laissant des traînées de salive tout le long jusqu’à son gland le serrant entre ses fines lèvres. Li, tournait autour de sa collerette. Profitant de son gland, dégustant le jus qui en sortait en bonne gourmande qu’elle était.

Pas écrasée contre lui, la mafieuse pouvait se mouvoir sans difficulté, laissant s'écrouler ses seins sur son bas-ventre, ses tétons effleurant sa peau brûlante. Li mourrait d’envie de le dévorer, pourtant dans un côté de sa tête, elle voulait que ce moment dure toujours ce soit pour ça qu’elle allait prendre son temps pour le faire venir. Et pas se jeter comme une affamée sur son vif raide.

4
Li s’amusait avec les belles boules offertes, elle venait les gober l’une après l’autre étalant sa salive doucement les roulant dans sa bouche sa petite langue tournant autour avec avidité, pendant que le dieu posa sa main sur sa tête pour l’encourager à continuer à aller plus loin entre ses cuisses. La mafieuse s’en amusait, venant chercher ses deux couilles en même temps entre ses lèvres pour les aspirer, gonflant ses joues sous les grosseurs. Ses mains n’arrêtaient pas de coulisser sur son vif, l’astiquant pour bien le faire gonfler, sentir ses veines rouler sous ses petits doigts.

- Ehnnnn…

Des gémissements sortaient parfois du fond de sa gorge, mélangés à des gargouillis et des sons humides, qui rendait le tout excitant à souhait, son intimité mouillant naturellement. Li sentit le démon se pencher sur son corps pour venir chercher ses fesses et sans ménagement enfoncer deux doigts dans son fondement. La mafieuse se crispa sous la douleur qui remonta le long de son dos. A sec, le démon venait de forcer son anus aussi serré que sa petite chatte rose, Li est obligée de lâcher les couilles du démon pour lâcher un couinement de douleur.

- EHN !

Court, puissant, Li fait vibrer ses cordes vocales aussi fort qu’elle le peut, remontant son visage contre l’énorme verge du démon qui vient frotter contre ses joues pendant qu’elle garde la bouche ouverte essayant de s’habituer à cette intrusion soudaine. Elle halète, plissant ses yeux en amande devant ce gland dégoulinant de pré-sperme en continuant de se crisper au moindre geste du démon, qui s’amuse à tirer sur son trou plissé pour le remonter, l’élargir.

- Ehhnnn.

Malgré la douleur, Li va venir poser ses lèvres sur le gland chaud du dieu, le faire vibrer entre ses lèvres pendant qu’elle continue de couiner. Sa langue chaude et humide tourne autour de sa collerette, avant de s’enfoncer sur ce vif frémissant. La mafieuse glisse dans des bruits humides mélangés à ceux de sa douleur, avalant cette verge brûlante. Un vrai délice pour la patronne gourmande, elle ne s’arrête pas centimètre après centimètre, elle passe sa glotte pour faire descendre la queue du démon dans sa gorge. Son nez vient se coller à son bas-ventre, son menton à ses bourses encore souillées de sa salive. Li lui offre une gorge profonde, chaleureuse, un fourreau serré pour son vif épais.

- Hnnnnn.

5
Une longue conversation dans la limousine de la Baronne, où Li avait fini par perdre son calme envers son adversaire, réduit à l’état d’animal avec ce collier, ces liens et ce bandeau la mafieuse ne pouvait pas imaginer à quelle sauce elle allait se faire manger. Son esclave écarte ses cuisses pour pouvoir y glisser son visage de folle dingue pour lui lécher l’entre jambe. Li essayait de la dégager, remuant comme elle pouvait à travers les liens qui la retenaient.

- Ordonne à ta cinglée de s’écarter.

L’ordre arriva bien tard, laissant le temps à son esclave de tremper sa langue dans la cyprine de la mafieuse, laissant des traînées brillantes entre ses lèvres

- Orgueilleuse…

Voilà un propos bien ironique venant de la Baronne. Le bandeau est retiré laissant à Li le retour de la vue, ses yeux en amande papillonnent le temps de retrouver parfaitement son sens. Découvrant qu’elle venait d’arriver dans un parking, l’esclave la sort de la voiture avec force manquant de la faire tomber avec les talons qu’elle porte. Ses pieds ont du mal à se stabiliser comme il faut avec cette hauteur à lui tordre les chevilles sous le moindre faux pas. En marchant, elle essaie de déterminer où elle se trouve, chercher le moindre indice qui pourrait la reconduire ici si elle arrivait à sortir pour détruire cet endroit en cendre. Dans sa tête, Li imaginait cette vengeance qui allait être mémorable. Il ne faut pas chercher la cheffe de la dynastie Hua.

La porte devant s’ouvre laissant place à une odeur familière, la mafieuse à également ce genre d’endroit à disposition sûrement pas pour les mêmes raisons. Li appelle ces endroits, les caves, des hommes et des femmes prisonniers pour tester la drogue qu’elle fabrique avant de la mettre sur le marché. Les détenues sont accros à leurs doses, ils ne peuvent pas s’en passer et une fois sous l’effet de celle-ci s’adonne au diable. L’urine, la sueur, le sexe tout se ressemble, il manque juste cette odeur d’opium qui vient mettre du baume au cœur de Li.

- Je vois que nos idées se rejoignent.

Li comprenait bien qu’ici ce n’était pas une cave comme elle avait conçu, le tout ressemblait plus à un bordel de la basse-ville, gagner de l’argent facilement sur le dos des pauvres qui viennent jeter le peu d’argent qu’ils ont dans des femmes qui ne peuvent pas se rebeller. Le principe de juste venir pour se vider les couilles qu’importe le trou. Le trio passe entre les corps chevauchés, certaines femmes semblent inertes sur le sol ou dans des vieux matelas, avant de passer une nouvelle porte qui mène à la pièce des rebelles. Des filles qui ne veulent pas se laisser faire et qu’on doit attacher pour qu’elle puisse rapporter de l’argent. Et Li allait les rejoindre à son grand malheur.

- Je vais te faire payer pour ça…

La mafieuse serre les dents, alors qu’elle essaie d’appuyer sur ses pieds pour ralentir la marche si seulement elle n’avait pas ses chaussures elle pourrait se défendre. Ici c’est presque impossible, le seul mouvement brusque manque de lui briser les chevilles et l’esclave zéro est là pour la retenir, la mettre au pas.

- On ne me touche pas sans en payer le prix…

Le cœur de la mafieuse s’emballait à un rythme fou, soulevant brusquement sa poitrine l’agitant en plus de ses gestes brusques pour essayer de retarder le moment qui allait arriver. Ses sourcils venaient à se froncer, laissant ses yeux en amande presque se fermer, les quelques babioles qui retenaient sa coiffure venaient de céder laissant ses longs cheveux descendre en cascade jusqu’à ses chevilles. Avant de venir se faire attacher sur ce matelas souillé qui avait dû voir des centaines de filles passer, voir plus. Li redressa sa tête pour dévisager la Baronne.

- Salope.

Un murmure dans sa bouche quand elle voit l’homme s’approcher d’elle, ce certain Marco, lui aussi allait le payer… Et se retrouver sans couilles pour le reste de ses jours. Il se laisse tomber sur Li, lui coupant la respiration sous son poids, elle ouvre grand la bouche pour chercher l’air qui n’arrive plus dans ses poumons pendant un instant, crachant sa salive en même temps.

- Sale porc… Ehnnnn. Ne me touche pas.

Entre des gémissements elle lui crie dessus pour qu’il enlève ses sales pattes, elle tente de lui donner des coups de genoux pour le faire reculer alors qu’il se poste entre ses cuisses la verge tendue pour chercher l’ouverture de la mafieuse.

- Non…

Li essaie de se mouvoir sur le matelas, tordant son bassin de chaque côté pour éviter sa queue humide qui frappe contre l’intérieur de ses cuisses.

- Non… Non !

Elle ne va pas pouvoir tenir longtemps à l’esquiver ainsi, il vient maintenir son bassin pour enfin réussir à l’empaler d’un coup sec. Son intimité serrée s’ouvre pour le laisser à peine passer, Li croit sentir un craquement au niveau de son bassin comme s’il venait de la déchirer. Elle lève la tête vers le haut, creuse son dos sous la douleur, la bouche ouverte pas un son n’arrive à sortir si bien que la douleur est insupportable. Coincés au fond de sa gorge, seulement des gargouillis arrivent à se faire entendre dans la pièce, pendant qu’un excédent de salive vient maculer ses joues rouges.

Li est encore consciente, elle aurait préféré tomber dans les pommes. Li est encore en vie, elle aurait préféré une balle dans la tête. Elle n’arrive même pas à pleurer, son visage déformé par la douleur, est figé dans le temps pendant que l’homme la besogne comme une prostituée. Ses seins rebondissent au rythme des coups du client qui veut aller plus loin dans l’intimité serrée de la mafieuse, l’ouvrant de plus en plus.

6
One Shot / Re : L'essentiel en enfer est de survivre. - Clad Oyio
« le: dimanche 08 mai 2022, 18:59:20 »
Pas un bruit dans le hangar, Vankov regardait simplement Li, il inspectait sa marchandise fraîchement acquise, la mafieuse avait envie de lui cracher au visage même dans sa situation inférieure attachée sur cette chaise de toutes parts. Mais la distance ne lui permettait pas, trop peur de se tourner en ridicule et de se postillonner dessus, il fallait se révéler patiente pour Li, ne pas faire n’importe quoi si tôt. Déjà parler, négocier s’il acceptait à un moment de lui répondre se montrer aussi silencieux n’allait pas aider.

- Vous avez perdu votre langue mon cher Vankov, vous étiez plus loquace quand on négociait les deux dans mon bureau.

Li voulait lui faire cracher quelques mots, cesser ce silence quand Vankov sort de sa poche un pistolet. Le cœur de la mafieuse fit un bond dans son thorax, elle fronça les sourcils, c’était peut-être un peu de trop.

- Vous savez si je viens… Disparaître, vous allez à l’encontre de maints problèmes. Et vous n’aurez jamais les réponses à vos questions.

Elle prenait de longues inspirations, des gouttes de sueur venaient sans tarder à apparaître à la racine de ses cheveux.

- Si vous vouliez juste me tuer, il fallait venir directement chez moi au lieu d’envoyer vos hommes. Je vois qu’on laisse le mauvais travail à ses subordonnés et que monsieur n’a rien entre les jambes.

À cet instant, Li voyait uniquement la provocation pour se défendre d'essayer de frapper sa virilité, chez les hommes se moyen de défense était relativement efficace.

- Petite…

Un dernier mot, avant d'entendre les détonations du pistolet en quelques secondes, la mafieuse peut voir sa vie filer devant ses yeux, son enfance avec ses frères, l’adolescence stricte, sa prise de position à la tête de la dynastie Hua, les relations qui ont marqué sa vie. L’amour charnel de ses frères et de son père. Sauf que curieusement elle était toujours en vie, tremblante sur sa chaise, ses orteils recroquevillés vers l’intérieur. Derrière Vankov deux de ses hommes venaient de s'écrouler raides sur le sol, Li était perdue encore plus quand le chef de clan expliqua la raison de son acte.

C’était donc ça l’arrière goût au fond de sa gorge, cette souffrance entre ses cuisses, les deux sbires avaient osé la violer pendant qu’elle était dans les vapes. Vankov ne pouvait même pas avoir foi en ses hommes pour une simple tâche, il avait bien fait de les éliminer. Li aurait fait de même.

- Se faire dépasser par vos hommes… Monsieur Vankov… Vous subissez beaucoup d'échecs en peu de temps.

Déjà Li, puis ses sbires, c’était une mauvaise journée pour lui. La mafieuse peut sentir sa chaise se lever, pour se baisser en arrière comme chez le dentiste, petit à petit elle ne voit plus son challenger pour laisser place au plafond du bâtiment. Cette fois c’était à son tour d’endurer les travers. Il déchire sa robe, pour positionner sur ses tétons deux pinces, elle grimace sentant le fer froid croquer ses petites boules roses.

- Je ne vais rien vous dire Monsieur Vankov, nous avons déjà écoulé l’opium, les filles de même, il ne faut pas attendre en affaires. C’est un peu… EHNNNNNNN !

Une décharge électrique traverse ses seins passant par ses tétons, elle lève son buste de la chaise en criant, la bouche grande ouverte, les ses yeux en amande de même, la douleur est inqualifiable. Une piqûre vive qui ne veut pas s’arrêter, au point de lui trancher la parole, de laisser un filet de bave couler le long de sa joue. Le choc s’arrête net, laissant tomber le corps de Li sur la chaise brusquement, soufflant bruyamment, ne se remettant pas de la douleur, la sentant encore dans ses seins même si le courant n’est plus allumé.

- Je ne dirais rien, monsieur Vankov. Il m’en faudra plus pour craquer…

Ne jamais divulguer ses informations, Li avait joué, elle allait accepter les conséquences et surtout préserver ses biens durement acquis.

7
Enfin, ils venaient d’arriver dans la planque de Souta, Li en avait marre de déambuler dans la basse-ville depuis tout ce temps, pouvoir se reposer allait faire du bien au binôme. Arrêter de toujours se méfier des autres, penser qu’ils sont poursuivis, éviter des bâtiments et faire des détours. La mafieuse pouvait enfin souffler, quand la porte de la planque se ferma dans son dos, elle déposa ses sacs sur le sol pour regarder un peu plus les environs se dirigeant vers un plan de travail avec Souta.

- Vous assurez que je vais bien ?

Il faut très peu de temps pour Li, pour avoir sa réponse, son garde du corps lui arrache son haut pour faire jaillir ses seins libres, il vient se fixer à elle, ses mains chaudes se posent sur sa peau pour lui détacher plusieurs frissons.

- Un contrôle ne fait jamais de mal à personne.

Chuchote la mafieuse, avant de se mordre la lèvre inférieure sous les caresses de Souta sur son corps, elle prend une profonde inspiration quand il arrive à ses tétons dressés vers le haut. Ses pointes sont gonflées, sensibles qu’un rien ne la fait pousser un couinement de plaisir tout en fermant à demi-mots ses yeux en amande, reculant jusqu’à que ses fesses viennent s’enfoncer dans la table. Souta la lève sans difficulté pour l’installer dessus, se jetant sur sa poitrine pour la suçoter, baver dessus pendant que sa main en profite pour se faufiler entre ses cuisses pour tâter le terrain assurément.

- Ehnnnn…

Li prend des inspirations de plus en plus grandes, sa poitrine s’écrase contre le visage de son garde du corps qui est blotti contre sa poitrine. La patronne lève une de ses mains pour venir caresser l’arrière de sa tête, ses doigts filent dans ses cheveux mi-longs pour l’encourager à continuer de téter sa poitrine. D’y aller franchement. L’aspirer, baver, le mordiller tout ce qu’il voulait, Li ondulait sur la table en regardant le plafond de la pièce. Son autre main commença à se poser sur son torse, pour dessiner ses muscles en dessous de son t-shirt mouillé, pour descendre contre ses abdominaux, son nombril, passer le haut de son pantalon pour arriver à son vif. Ses doigts venaient le serrer au-dessus du tissu, le cajoler pendant qu’il était encore dans son pantalon pour le faire de nouveau croître. Pendant que lui s’occupait de son intimité, jouant avec son clitoris boursouflé de plaisir, tremblant ses doigts dans son excitation humide.

- Une habitude ? Ehnnnn…

Li s’arrête brusquement sentant les doigts de son garde du corps commencer à forcer l’entrée de son intimité serrée, elle s’ouvre avec difficulté pour le laisser passer même avec toute sa mouille. Ses doigts sont compressés, alors qu’il fait passer un troisième, la patronne gémissement encore plus fort le sentant frotter son intérieur, appuyer sur ses zones sensibles.

- Ehnnn… Non, c’est la première fois… Ehnnnn… C’était pour nous sortir du pétrin bien entendu !

Un sourire mesquin s’affiche sur son doux minois déformé par le bonheur des doigts de Souta dans sa petite chatte rosâtre.

- Je crois… Ehnnn ! Qu’il faudrait vérifier plus en détail ! Ehhhnnnnn… Voulez-vous bien jeter un œil de plus près ! Ehnnnnn.

Li écarte plus ses cuisses sur la table laissant la place pour Souta, une façon détourné de lui demander un cuni mais il allait comprendre aisément, la patronne n’en doutait pas. Humidifiant ses lèvres, elle vient quand même se pencher en avant pour chercher les lèvres de son garde du corps afin de l’embrasser sans ménagement, laissant sa salive imbiber sa bouche pendant que sa langue vient chercher goulument la sienne pour s’amuser avec juste plusieurs secondes.

- Et après ça sera à mon tour de vérifier… Ehhhnnn… Que mon employé se porte au mieux, il serait dommage de découvrir une blessure… Ehhhhnnnn…

Li fait battre ses lèvres ensemble, elle avait bien envie de finir ce qu’elle avait commencé dans le bordel, le reprendre en bouche salement.

8
One Shot / Re : L'essentiel en enfer est de survivre. - Clad Oyio
« le: mardi 26 avril 2022, 16:00:35 »
Dans les vapes, Li ne réagissait pas, même quand elle se faisait violer par les deux hommes de son rival Vankov, les deux profitaient de son antre serré et de sa bouche, la pilonnant avec leurs vifs dressés jusqu’à se vider en elle dans des râles de plaisir. Ils venaient d’avoir leur vengeance après ce qu’elle venait de faire, ils avaient réussi à profiter de son corps de déesse sans que leur patron ne soit au courant. Ils prirent le temps de la nettoyer pour ne pas laisser de trace, de lui remettre des vêtements avant de l’extraire de sa demeure pour la transporter au point de rendez-vous.

C’est uniquement des heures après qu’elle venait à reprendre connaissance, assise sur une chaise une horrible douleur se réveilla à l’arrière de sa tête mais aussi des picotements au niveau de son intimité. Li voulut lever ses bras pour apaiser les sensations dérangeantes qu’elle ressentait remarquant à ce moment qu’elle ne pouvait pas. Ses yeux en amande venaient à s’ouvrir délicatement, sa tête penchée vers le bas elle vit directement les liens qui retenaient ses poignets et plus bas ses jambes écartées sur la chaise.

- Qu’est-ce…

La mafieuse avait encore du mal à réagir comme il faut, les coups à l’arrière de son crâne qu’elle avait subis aidaient à conserver ce flou dans sa tête. Elle tira sur les cordages pour s'efforcer de se libérer, elle remarqua que sa robe était déchirée jusqu’à sa hanche seulement ses seins étaient encore cachés sous le tissu. Sa petite intimité serrée aux lèvres rosâtres apparaissait entre ses cuisses écartées.

Li leva enfin la tête, pour voir en première ligne Lee Vankov et ses hommes derrière, c’est là que tout commençait à lui revenir. L’attaque dans sa maison, l’homme qu’elle avait réussi à anéantir, les deux autres avec qui elle se battait qui étaient là aussi sous ses yeux.

- Monsieur Vankov… Bonsoir, où bonjour, je ne sais pas dans quelle mesure de temps j’ai dormi, vos hommes ne sont pas d’une considérable amabilité avec les dames.

La mafieuse bascule la tête sur le côté pour soulager cette douleur lente qui était toujours à l’arrière de son crâne, elle en profitait pour examiner où elle se trouvait. Le bâtiment ressemblait à un hangar, les grosses lumières pointées sur elle ne lui permettaient pas d’analyser les détails l’éblouissant quand elle se focalisait de trop sur un point.

- Nous allons pouvoir discuter, c’est ce que vous vouliez, n'est-ce pas ?

Li ne laissait rien paraître de la peur qui montait dans son ventre, elle savait que la situation était très compliquée pour elle et qu’elle allait sûrement morfler.

- Vous ne voulez pas me détacher ? Que je sois dans de meilleures conditions.

Les hommes de Vankov devaient le savoir, la libérer n’était pas recommandée, elle pouvait encore se bagarrer et même estropier le boss si elle le voulait. Attendant une réponse, Li avala sa salive, elle avait la bouche très sèche et il y avait un goût curieux qu’elle n’arrivait pas à déterminer qui persistait jusque dans sa gorge. Semblable a quelque chose qu’elle avait mangé qui ne voulait pas circuler, pourtant elle se souvenait qu’elle n’avait dévoré que des fruits… Et non, un membre de plusieurs centimètres couvert de poils. .

9
Li est contente de son coup, il n’y avait pas que Souta qui pouvait profiter en venant caresser sa petite fente humide, elle aussi pouvait s’amuser en venant le faire bander sous son boxer. Fin sourire narquois, la mafieuse enleva ses mains baladeuses pour reprendre le chemin de la planque qui commençait à se faire attendre… Li avait mal aux pieds à force de marcher sans chaussures, même si intérieurement elle bouillonnait la pluie venait glacer son corps au point de lui donner la chair de poule, ses vêtements horribles lui collaient à la peau dessinant chaque pixel de son corps. Par chance, son garde du corps lui propose de s’arrêter à la supérette de quartier pour faire quelques achats.

À l'intérieur, LI pouvait se chauffer un peu et faire son choix dans un éventail de vêtements par très étoffé, ça sera toujours mieux que ce qu’elle portait présentement. Ce maillot, avec cette phrase l’écoeurait plus que tout, elle se demandait encore comme une femme pouvait acheter ce genre de vêtement si graveleux.

- Bien, je vais chercher des vêtements.

Souta avançait l’argent pour les frais, Li lui rembourserait l’intégralité quand elle sera rentrée bien entendue pour les vêtements et même les fournitures prisent à côté pour temporiser dans la planque. La mafieuse regardait la sélection de tissu, ce n’était pas de la grande qualité, mais toujours mieux que ce qu’elle portait à l'heure actuelle. Li se saisit d’une jupe qu’elle posa par-dessus ce qu’elle avait déjà pour s’imaginer comment elle serait dedans, la patronne ne portait jamais de pantalon préférant mettre ses interminables jambes en valeur. Cette jupe ne lui plaisait pas, peut-être que la robe au fond allait être mieux… Dans la continuité de la journée, elle n’arriva pas à atteindre la robe, deux employés du magasin venaient de l'intercepter.

- Ce n’est pas croyable.

Li n’en revenait pas, ces hommes ne savaient pas se contenir en voyant une fille dans la rue, c’était parce qu’ils étaient dans les bas quartiers qu’ils pensaient qu’ils pouvaient tout se permettre. La patronne était fatiguée de ces agissements et surtout de toute cette aventure, elle essaya de contester, mais les deux hommes avaient très vite la dominance pour la tirer dans un coin d’un rayon.

- Je vous ordonne de reculer, sinon je vais devoir appeler mon…

Même pas besoin pour Li d’appeler son garde du corps à la rescousse il était déjà là, attrapant la main de l’employé pour le faire abandonner et aussitôt… En profiter ! À son habitude, il ne manquait pas une opportunité, pour tripoter sa patronne, lui claquant ses fesses pour les saisir et pétrir, sa grosse main serrait fermement son postérieur dodu.

- Chaton soit gentil, il ne savait pas que tu étais monté comme un étalon.

La patronne, vient installer sa main sur le pantalon de Souta au niveau de son vif pour le cajoler devant les employés, coulissant de haut en bas sur son membre.

- Il aime bien se la raconter sur sa troisième jambe.

Li vient presser plus fortement sur sa troisième jambe justement, serrant sa main autour pour en divulguer l’épaisseur aux employés tout en se léchant les lèvres.

- Ehnnnn… Et c’est bien vrai, j’adore les hommes avec une énorme queue et des bonnes couilles. Ehnnnn… Chaton ! Tu sais bien comment t’occuper de moi, j’ai hâte de rentrer à la maison.

La conversation se clôt, les employés retournant à leur occupation, Li lâchant son garde du corps avec un sourire en coin après ce qu’elle venait de lui dire allant finir de choisir une nouvelle garde de robe. Elle opta pour une robe longue, un gilet fin, qu’elle allait porter quand ils pourront quitter la planque, elle prit des bricoles pour s’occuper de ses cheveux, un rouge à lèvres pour être convenable après, une serviette pour se sécher et pour finir une paire de basket qu’elle mit sans attendre et laissa Souta s’occuper du reste.

Il paya le tout, Li prit quelques sacs avant de sortir du magasin escorté de Souta pour se remettre en route, qu’il était bon pour la mafieuse de marcher avec des chaussures même si c’était des simples baskets.

- Allons… Cha-Ton ! J’aimerais bien retirer ses vêtements, me sécher comme il faut pour me réchauffer. Dites-moi que nous allons bientôt arriver.

En partant, Li se tourna pour attraper les employés regardant par les vitres de la porte, elle se colla contre Souta pour enfiler sa main libre autour de sa taille et contourner encore des problèmes. S’ils venaient encore à croiser des fous dans la rue, au moins ils n’allaient rien tenter normalement.

10
- Lorkhan.

Li n’avait jamais entendu ce patronyme, pas même dans les nombreux ouvrages de sa bibliothèque. Il faut dire qu’il y avait de plusieurs démons qui peuplaient les enfers, chacun voulant s’approprier un intitulé, pareil pour les anges et comme les humains. Que se soit au paradis, sous la terre et sur la planète tout le monde voulait grimper, s’approprier le maximum de pouvoir. La mafieuse était pareille, au Japon elle était connue, dans le monde il restait du travail ! C’est pour ça qu’elle ne devait rien lâcher et toujours avancer pour asseoir sa puissance.

Sauf que pour le moment, elle n’était pas en train de conquérir le monde, c'était juste un démon qui avait oublié ce qu’il était venu chercher et réellement faire. Si méchant en arrivant au point de vouloir la violer, à présent avec les mains de Li sur son vif il se laissait faire calmement. La patronne sentait son sexe gonfler et décida de la libérer de son emprise, baissant son pantalon pour qu’il tombe sur ses chevilles, laissant cette longue queue prendre l’air, rebondir de haut en bas sous l’oeil curieux de Li. Ses mains pouvaient reprendre plus facilement, glissant sur ce vif veineux et brûlant.

- Ehnn…

Un souffle s’échappa de ses lèvres, laissant sa carapace s'effondrer autour de son visage laissant apparaître sa peau pâle en dessous, suave, ses petites lèvres rosâtres en forme de cœur qui allaient bientôt s’occuper du démon.

Li fléchit les genoux pour se mettre à genoux en face du dieu, elle colla son visage contre son vif, passant ce morceau de chair sur sa joue, puis l’autre, sa petite langue sortait pour l’effleurer pendant qu’elle le gardait tout contre elle semblable à un précieux joyau qu’elle contemplait. Le sperme du démon qui perlait au bout de son gland chaud s’étalait sur le visage de la mafieuse, laissant des petites traces blanches modérément brillantes avec la lumière.

- Ehnnn…

Elle plongea sa tête entre les cuisses du dieu pour venir appréhender ses belles bourses entre ses lèvres, un gobant une pendant que l’autre tombait sévèrement contre son menton, ses joues étaient gonflées sous la dimension de cette perle. Savoureux, Li en profitait étalant sa salive dessus au point que ça déborde sur son minois, elle prit l’autre couille en bouche pour qu'elle ne soit pas jalouse. Pendant ce temps, ses deux mains astiquaient son vif pour ne pas le laisser sans petite douceur. Li n’allait pas le recevoir entièrement en bouche, maintenant, elle voulait laisser son divertissement grimper, voir s’il allait pouvoir le supporter ou céder pour lui briser la mâchoire.

Li tendait ses fesses en arrière, les ondulant sous la vision du démon, la poudre sur son corps commençait à s'éteindre un peu partout laissant des plaques s'écrouler sur le sol avant de s’évaporer dans une énergique odeur d’opium. Des sons lubriques s’échappaient de sa bouche en même temps que ses gémissements de satisfaction à téter ses grosses bourses pleines de son foutre infernal.

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- Je ne veux pas savoir si on va nous attraper… Yun, grand frère, je veux savoir si je te fais envie…

Li leva légèrement son buste sur le lit, pour s’approcher un peu plus de son frère, collant sa bouche vers son oreille, soufflant sur ses cheveux pour les dégager. Fermant une nouvelle fois les yeux, elle laissa sa respiration sonner telle une douce mélodie à son frère. Elle était rapide, chaude, une chansonnette où son excitation dansait sans masque. La mafieuse avait envie de le croquer, de venir titiller son lobe d’oreille pour descendre dans son cou s’enivrer de son parfum tentateur. Pourtant, elle le respectait, elle ne voulait pas le forcer à franchir les interdits alors qu’il devait être tiraillé dans son choix. Une partie de sa conscience voulait demeurer les pieds sur terre, être un frère parfait pendant que l’autre voulait venir saisir cette opportunité en laissant son corps agir sa grande main venait cajoler la douce intimité de Li sans pour autant y pénétrer, s’occupant que de l’extérieur. À chaque passage, la petite sœur prenait une considérable aspiration, son bassin s’enfonçait dans le lit attendant simplement la réponse de son cher frère.

- Tu ne vas pas le regretter.

Qu’elle était florissante de sentir son frère capituler contre elle, de laisser sa cuirasse pour pouvoir s’offrir à elle, dans ce lit au milieu du vide. Personne n’allait les voir, personne n’allait les entendre, que les deux pour partager ce moment torride. Familiale.

- Ehnnn. Grand frère… Toi aussi tu me fais envie.

Les lèvres de Li se referment sur l’oreille de son frère, suçotant son lobe d’oreille quelques secondes pour plonger ensuite dans son cou, embrassant chaque parcelle de sa peau, pendant qu’elle se redresse presque complètement pour l’inviter à se coucher dans le lit avec elle afin qu’elle puisse se blottir à ses côtés. La petite sœur continue de descendre à la naissance de son thorax tirant sur son haut pour dégager sa peau et continuer de lui offrir moult baisers sulfureux. Elle se stoppa collant son oreille contre son buste, écoutant la mélodie de son cœur, qui devait résonner contre le sien.

Son bras vacant s’étira pour se faufiler dans le dos de son frère pour lui prodiguer de délicates caresses, partant de sa nuque pour débarquer vers son pantalon passant au-dessus pour presser ses fesses, laissant paraître un moelleux sourire sur ses lèvres.

- Ehnnn.

Sur le côté, le bassin de Li venait ondoyer contre le corps de son frère, comme elle le fait avant dans le lit, sa fine chemise de nuit remontait contre sa douce peau dévoilant des parcelles pâles de son épiderme. Sentir son frère si proche, pouvoir se délecter de son parfum, le goûter quand elle le voulait, Li était si bien même perdue au milieu du temps, elle se sentait en sécurité dans les bras de son frère.

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One Shot / Re : L'essentiel en enfer est de survivre. - Clad Oyio
« le: mercredi 20 avril 2022, 23:23:06 »
La porte du bureau de la patronne venait de s’ouvrir, elle leva les sourcils voyant la piètre surprise faire son avènement. Il y avait une défaillance dans la sécurité et des ennemis avaient réussi à en tirer profit pour arriver ici, la mafieuse leva son bras vers son ordinateur sur le côté pour baisser le capot et le verrouiller. Il y avait des données importantes à l’intérieur, elle prenait des précautions pour la suite des événements pendant que les hommes s’approchaient armes à la main pour l’encercler.

- Je serais heureuse de converser avec Monsieur Vankov sur je sais quoi…

Li laisse les hommes s’approcher d’elle, lui attrapant ses bras pour la contenir.

- Pourtant le cœur ne m’en dit pas.

Li ouvrit la bouche laissant s’envoler une fumée pâle vers l’homme à sa droite, qui rentra sur-le-champ dans son nez sans lui laisser le choix. La mafieuse n’était pas une humaine, elle avait des aptitudes assez surprenantes, qu’elle ne contrôlait pas. C’était au petit bonheur la chance quand elle en avait nécessité, ou que ses émotions étaient vraiment fortes. À l'instar de forte douleur, d’une puissante excitation par exemple. Ici, ses pouvoirs venaient la défendre, de la fumée d’opium en considérable quantité venait d’être inhalé par son ennemi le laissant s'écrouler au sol net, overdose, le pauvre homme venait à se tordre sur lui-même en bavant. L'achever avec son arme devrait être une meilleure fin, moins douloureuse.

Hélas, pour Li son pouvoir avait été énormément sollicité ces derniers jours, dans les attaques et son état de surmenage n’allait pas lui permettre de réitérer l’exploit pour les deux hommes qui restaient dans son bureau. Au fond de son organisme elle sentait cette pénurie, ce pouvoir qui venait de s’endormir en manque de force. C’était à elle de passer à l’attaque et elle le pouvait.

- Votre patron devrait vous enseigner à traiter les femmes d’une autre manière.

Souffla Li se redressant en même temps de son fauteuil tout en empoignant son plateau de fruits pour le larguer sur l’homme à sa gauche et le fragiliser, la laissant s’échapper pour qu’elle puisse prendre de la distance avec ses opposants.

- Vous voulez faire quoi avec vos armes ? Me tirer dessus j’en doute ! Mon petit doigt me dit que Monsieur Vankov a besoin de moi vivante.

Par contre si Li arrive à récupérer une des armes c’est le festival, après ce qu’elle a fait, les hommes doivent se douter qu’elle ne va pas tergiverser à leur tirer dessus. La mafieuse se jette à terre sur l’homme au sol, les yeux révulsés sur l’arrière il a rendu son ultime souffle sans qu’on le remarque, dans sa main il tient encore son arme. Li va tenter de le récupérer, essayant de le dégager sous les doigts crispés de l’ennemi qui à cause de l’overdose le tenait de toute sa force. L’adversaire qui se tient devant le bureau n’hésite pas pour se lancer en avant pour l’entraîner en roulé-boulé dans sa chute pour l’empêcher de récupérer l’arme.

Sans suit un foutoir brutal au sol, Li échange des attaques avec son adversaire, sa robe fendue se déchire sur la longueur jusqu’à ses côtes, quand le second vient derrière elle pour la cogner avec la crosse de son arme, un bon coup derrière la tête qui vient la tinter laissant sa force s’échapper.

- Encore un.

Le deuxième coup tombe sans attendre, laissant Li tomber sur l’avant sa chute arrêtée par l’homme avec qui elle se battait, il la repousse en arrière sans ménagement.

- Doucement avec elle, le patron ne va pas être ravi si elle est trop abîmée.

- Cette pétasse ne mérite que ça.

L’homme se lève pour la contempler allongé de tout son long sur le sol, dans la bataille sa superbe coiffure s'est défaite laissant ses interminables cheveux se déployer le long de son corps allant jusqu’à la pliure de ses genoux. Du bout du pied, il marche sur la robe déchirée pour la traîner sur le côté, découvrant l’antre de la mafieuse. Une intimité sans système pileux comme le reste de son corps, des lèvres intimes faiblement roses et serrées même avec les cuisses écartées. L’homme s'humidifie les lèvres, il a envie de la déguster avant son patron, sachant qu’il n’a pas le droit et pourtant il a bien envie de lui faire payer ce qu’elle a fait.

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Les ronronnements des moteurs de ses adversaires réagissaient derrière elle, pendant que la mafieuse prenait la fuite dans le quartier, des phares venaient l’aveugler pour qu'elle ne change pas de route, ainsi que des individus armés. La trajectoire de sa fuite était toute tracée pour qu’elle se jette dans la gueule du loup, Li le comprit rapidement, elle essayait quand même de changer de route, tentant de forcer les portes de certains bâtiments bien entendu fermés. Rien ne voulait capituler devant la persévérance de la patronne qui se devait de s'orienter dans une impasse sombre. Les murs des immeubles montaient jusqu’au ciel l’étouffant, toutes les fenêtres étaient bouchées pour que rien ne puisse paraître. Li arriva à ce mur, le dernier, ne pouvant pas le franchir elle se retourna les pieds en sang suite à sa course insensée.

Des 4x4 venaient d’arriver pour lui verrouiller la route si elle voulait se remettre à filer dans la direction opposée, Li savait que c’était perdu d’avance… C’était la conclusion, elle devait bien se l’avouer. Sa poitrine se soulevait sous sa robe, tendant les coutures du linge, elle était bien athlétique mais la fatigue mélangée à l’adrénaline rendait les choses plus ardues. Des hommes en costumes venaient de faire leur avènement, Li venait de ferrer le plus gros poisson de la ville.

- Max.

La mafieuse pensait que les plus grosses têtes allaient mettre plus de temps à réagir, organiser les troupes, choisir les attaques, cela demandait une incontestable élaboration. Est-ce que cette attaque était un coup à pas de chance, que Max avait juste demandée d’attaquer toutes les voitures de la mafieuse et que par malheur c’était Li qui se trouvait à l’intérieur. Ou carrément un brillant coup de génie. Une autre personne fit son apparition entre la lumière des phares des grosses cylindrées, une femme dans une combinaison très spécifique. La baronne avait des goûts spéciaux pour décorer ses subordonnées, tout le contraire de son dressage qui avait l’air de fonctionner à la perfection en voyant cette pauvre fille. Chacun avec sa technique propre, Max semblait être accro aux décharges électriques, Li préférait employer des drogues dans ses cellules et voir la décadence des hommes.

Et pour achever le tableau, c’était autour de la baronne de faire son avènement, assise dans sa limousine, ne prenant pas la peine d’en sortir.

- Bonsoir à vous, je ne pensais pas avoir une riposte si promptement. Surtout de votre clan, ma chère.

Li restait droite, ne tremblait pas, passant ses mains dans son dos pour appuyer dessus pour garder la tête haute malgré la transpiration qui avait fait son apparition à la racine de ses cheveux ébouriffés à cause de sa course fulgurante. Pourtant, les apparences cachent bien des choses, derrière cette carapace de marbre, la mafieuse savait très bien qu’elle n’était pas dans une position de force, que la peur la dévorait petit à petit. La seule chance qu’elle avait était ses hommes qui pouvaient venir la chercher, sauf qu’il fallait gagner du temps. Elle devait rejoindre la zone sécurisée, ses hommes étaient au courant puisqu’elle devait y arriver avec son chauffeur… Ils allaient se mettre à sa recherche, tracer son téléphone portable, son ordinateur, la puce dans sa voiture tout objet connecté qu’elle avait à sa disposition. Ils allaient constater son accident et intensifier les recherches sans délai. Li le savait, ils allaient arriver pour la libérer, de son côté elle ne devait pas s'effondrer, montrer que la cheffe de la dynastie Hua savait maintenir la tête froide même dans les situations complexes.

Max pourrait la descendre sur le champ d’une balle dans la tête pour ce qu’elle venait de faire, pourtant la mafieuse savait que ça n’allait pas arriver ! La baronne n’allait pas rayer cet affront si vite, la course-poursuite n’était qu’un avant-goût qui allait conduire Li dans les griffes acérées de Max.

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Li se retenait de ne pas brailler pour ne pas ameuter tout l’immeuble dont les immenses gorilles qui les cherchaient dans les pièces voisines, rongeant son frein en essayant de se débattre comme elle le pouvait de son côté. En levant la tête, elle remarqua que c’était cette maudite ceinture qui était coincée dans la fenêtre… Les prostituées ont véritablement des goûts horribles, en plus d’être effroyable visuellement ce n’est pas pratique.

- Ehnnn.

Les mains de Li forcent sur le chauffage quand elle sent un objet rond se placer entre ses fesses.

- Que ? Que faites-vous ?

Un marmonnement que Souta ne peut pas comprendre dans l’autre immeuble, avec la pluie qui tombe en plus créant un rideau, impossible que Li arrive à se faire comprendre la tête en bas. Elle sent encore une fois l’objet au bout rond se fixer, cette fois contre son antre humide écartant ses lèvres pour se retirer… La patronne se met à remuer avec plus d’énergie tirant le plus fort possible sur le radiateur, plus vite elle se libère plus vite son garde du corps arrêtera de la bousculer. Le bout rond vient entrer en relation plusieurs fois après sa peau, touchant encore ses fesses, son intimité, rentrant dans son épiderme quand le moment de la délivrance arrive. Les coutures autour de la ceinture viennent à capituler la laissant sur le carreau et laissant Li se renverser intégralement dans l’immeuble lui laissant échapper un gémissement de libération.

La main sur sa poitrine, Li prend de larges inspirations, le sang commençait à lui monter à la tête, son visage est rouge pivoine avec des gouttes de sueur au niveau de la racine de ses cheveux. Pourtant, elle n’a pas le temps de se délecter ce moment, elle doit faire signe à Souta qu’il peut traverser et lui tendre la main pour l’aider si besoin avant que les malabars arrivent pour l’embarquer. Li se met sur ses genoux pour se redresser en face de la fenêtre, sauf qu’elle n’a pas le temps de se soulever complètement qu’une ombre vient barrer sa vision.

Sa mâchoire claque sous le choc, Souta venait de l’embarquer dans sa chute, roulant sur le côté pour s’arrêter un peu plus loin de la pièce. Li avait la tête qui tournait avec toutes les acrobaties qu’elle venait de faire, restant allongée sur Souta le comprimant entre sa poitrine sentant uniquement ses mains appuyées contre ses fesses fermes. Ce n’est pas terminé, d’un simple déplacement de bassin son garde du corps envoie sa patronne sans scrupules sur le côté pour se mettre à cheval sur son bassin, la dominant de sa stature.

- Vous…

Li le pointe du doigt prête à enchaîner quand elle entend les voix des malabars dans l’appartement à côté lui coupant la parole, elle ne va pas se risquer à causer à ce moment sous peine de se faire détecter. Souta vient en tirer profit passant ses doigts sur sa vulve moite, la mafieuse vient se mordre la lèvre du bas pour ne pas faire de bruit, se tortillant sous les cuisses musclées de son garde du corps.

- Ehnnnn…

Juste des gargouillis sortaient de ses lèvres closent, le volume montant quand il entreprit à plonger son doigt dans son antre serré, ne le laissant pas traverser même avec toute son humidité présente. Il s’arrête, ne forçant pas le passage préférant remonter sur le corps de Li, laissant une traînée moite sur les vêtements qu’elle portait.

- Je ne risque pas d’attraper froid à l'heure actuelle.

Li était en feu, son corps respirait la luxure à ce moment, elle avait du mal à se maîtriser et son corps criait à la baise. Sa petite chatte serrée dégoulinait de cyprine, tachant ses cuisses, ses tétons étaient gonflés à outrance sous ce t-shirt trop petit pour les maîtriser comme il faut. Souta l’aide à se relever, ses jambes tremblantes frottaient l’une contre l’autre pour faire baisser la pression dans son bas-ventre.

Elle ne rajoute rien passant devant, elle prenait des importants inspirations pour se détendre et faire descendre la pression. L’immeuble était vide, entièrement en ouvrage, sans lumière elle faisait attention où elle marchait pour ne pas choir une nouvelle fois. Ils arrivèrent assez vite en bas, il allait quitter du bâtiment quand une ombre se leva sur la façade. Li se retourna pour coller Souta contre le mur, tirant sur le haut de son pantalon pour faire rentrer sa main à l'intérieur, attrapant son vif pour le masser. La main adroite de la mafieuse glisse langoureusement sur le sexe de son garde du corps, alors que l’ombre apparaît laissant place à un chien errant.

- Fausse alerte…

Li ricana se collant contre son garde du corps, son souffle brûlant frôlant son cou plongeant sa deuxième main dans son pantalon pour y agripper ses bourses pleines.   

- Vous n’allez pas attraper froid non plus avec la température qu’il fait ici.

La mafieuse fit claquer ses lèvres, retirant ses mains après être sûr que Souta était bien dur.

15
Li se tenait à distance, écoutant ce que le démon ou le dieu - elle avait encore un peu de difficulté à repérer la différence à ce moment - avait à lui dire. Le sourire carnassier qu’il affichait en permanence n’effrayait pas la mafieuse, dans son cosmos il n’était pas rare de voir ce type d’expression… Au contraire, ce qui inquiétait véritablement Li était de ne pas voir les émotions de ses challengers, ceux qui ne laissent rien apparaître pour mieux émerger de l’ombre. Ce n’était pas le cas de cet homme en face qui jouait beaucoup sur le spectacle ! Les fumées, les postures, son visage se déformant, son rire, tout, il était dans l’excès face à Li pour l'impressionner.

- Le dragon de ces dames…

La main de Li se lève devant sa bouche pour engloutir un ricanement.

- Un homme ne viendra jamais dire qu’il n’est pas brave au lit, son ego ne tiendrait pas.

Personne ne se vante d’être moindre sous la couette, ne pas parvenir à combler une femme pourtant lui pourrait ! Il est le dieu du viol, de l’esclavage, passer sa jouissance avant celui des autres… Se vider les couilles sans faire jouir sa partenaire pour la laisser sur le carreau, les cuisses pleines de mouille à implorer d’atteindre le septième ciel. S’il disait vrai, ce dieu n’était même pas un dragon, il était juste un prince, un roi ! Prendre sans rien accorder en retour, à part la désolation. Et que dire, Li adore la désolation, elle vient à se mordiller les lèvres furtivement pendant que la divinité vient à taper du pied pour changer le paysage de la pièce.

L’enfer venait de naître entre les murs de la demeure de la famille Hua, la chaleur était asphyxiante brûlant les poumons de la mafieuse quand elle prenait sa respiration, les flammes dansaient dans l’ombre sous des silhouettes monstrueuses.

- Les enfers… Avec tout ce que j’ai fait dans ma vie, c'est ici que je viendrais après mon ultime souffle.

Li s’approcha d’une flamme plaçant sa main au-dessus, ses doigts ondulant dans le brasier sans se brûler grâce à sa cuirasse de protection. La patronne avait déjà eu affaire aux enfers quand elle avait invoqué un démon il y a certains mois, elle avait même vendu son âme à celui-ci pour le servir pour l’éternité. Cette perception lui était que familière et le serait toute sa vie.

- Qui suis-je ? Une mortelle que vous mourrez d’envie de baiser sans y parvenir. Que vous essayez d’effrayer pour que je vous supplie d’arrêter.

Mettant la mécanique en route, Li se mit à chalouper vers la divinité, ses fesses ondulant à chacun de ses pas, ses seins opulents suivant ce rythme torride.

- Que vous avez envie d’entendre glapir comme la dernière des chiennes. Celle que vous avez envie de briser.

Li arrive à la hauteur du démon pour lui faire face, posant ses mains sur sa poitrine pour cajoler ses tétons gonflés.

- Celle que vous voulez voir à genoux pour pomper votre queue à point de l’étouffer pour qu’elle ferme enfin sa petite gueule.

En même temps, la mafieuse vient balancer sans courtoisie sa main contre l’entrejambe du démon pour évaluer son paquet, l’englober de sa petite main.

- Je pourrai encore poursuivre, mais dans tous les cas je ne suis qu’une humaine, Li Hua. Et vous ? Votre nom ! Si je dois le crier, j'aimerais bien le découvrir.

La main de la mafieuse continuait de masser avec vivacité le paquet de la divinité, son autre main venait à rallier celle déjà présente pour renforcer ses caresses perverses et pour bien le prendre en main, ne rien omettre. Son vif, ses bourses, Li s’occupait de tout.

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