Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ava Morris

Pages: [1] 2
1
One Shot / Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: mercredi 26 janvier 2022, 20:30:56 »
Il a tenté de résister, de s’échapper, d’être la voix de la raison. Mais le désir les dévore et Erin sait se faire convaincante. La mention d’un autre achève d’attiser sa jalousie. Son œuvre est parfaite ; les dernières résistances sont tombées. Erik la surprend lorsque sa main vient à la rencontre de son sein. Un soupir satisfait franchit ses lèvres. Mais elle n'a pas le temps d’y réagir plus longuement que ses lèvres s’emparent des siennes. Il prend les devants pour un baiser fougueux. Ses doigts se glissent dans sa nuque, elle y répond avec la même ardeur. Sa langue mêlée à sa congénère, elle l’oublie sa maladresse pour se laisser happer par l’instant. Enfin, son jumeau la gratifie des mots qu’elle attendait tant, de l’expression de cet appétit dévorant.

Il lui aurait suffi d’un doigt pour écarter sa culotte et le laisser aller entre ses chairs. Mais les vibrations incessantes de son téléphone laissées sur le lit l’agacent. S’il est aisé de les ignorer, la sonnerie qui se joint à l’appel soudain achève sa patience. Les lèvres pincées, elle peine à se lever pour le récupérer. Erin ne quitte pas longtemps les genoux de son frère, juste le temps de l’attraper et de faire descendre sa culotte, au passage. Libérée de ce dernier rempart, le gland gonflé vient se caler contre son étroite entrée. Il la nargue sans que l’impulsion pour y pénétrer ne soit donnée. Avant de s'adonner à ce plaisir, de remplir ce besoin, l’étudiante consulte son téléphone.

Un nouvel appel intervient. Sa main vient brusquement clore les lèvres de son jumeau.

« Fais vite, lance-t-elle, agacée et frustrée en décrochant. La voix à l’autre bout murmure quelques mots incompréhensibles. C’est tout ? J’ai pas très envie de te parler là. De toute façon, on se voit lundi à la fac. »

L’homme insiste, cherche à prolonger la discussion.
Le bassin d’Erin se presse contre la verge tendue, sous son impatience incontrôlable. La sentir si proche sans pouvoir assouvir ce besoin vicéral est une véritable torture. Cependant, son gland fraye son chemin dans cette chaleur humide et elle étouffe de justesse un gémissement indésiré.

« Je suis pas disponible ce soir. Patiente un peu, ça te fera pas de mal. »

L’appel coupé au nez de son interlocuteur, elle pousse son bassin pour entamer la délicieuse pénétration. Le téléphone éteint dans la foulée, elle ne tarde pas à l'envoyer valser sur les bureaux. Sa main libère les lèvres de son frère pour les posséder des siennes. A son initiative cette fois, un baiser langoureux débute. Sa langue vient tout de suite chercher le réconfort de sa sœur.

« Enfin, susurre-t-elle contre ses lèvres. »

Elle arrive à sa garde et apprécie quelques secondes le contact divin de sa queue. Enfin comblée, ses hanches entament de rapides et amples mouvements pour apprécier chaque centimètre de son pieu dressé. Sa voix obscène ne tarde pas à partager son plaisir ; entre soupirs et bruyants gémissements interrompus, les voisins se font à nouveau spectateurs involontaires des ébats d’Erin. Ces bruits scabreux paraissent plus authentiques, qu’il y a quelques instants.

2
Lèvres pincées, regard fuyant. Ava peinait à trouver le juste milieu face à son client. Tourmentée par ses sentiments contradictoires, l’envie s’en distinguait, plus forte, plus tenace. Elle tordait son estomac en une douloureuse frustration, l’animait que d’une volonté : la satisfaire. Mais se laisser aller devant le regard impudique du démon serait un aveu de faiblesse. La raison et le devoir la maintenaient à flot. Une fois la visite terminée, la blonde pourrait s’échapper sans mal, trouver un coin où nul regard indiscret ne l’atteindra.

Face à la porte, l’étudiante espérait, priait en Dieu auquel elle ne croit, sans conviction. Il était certain qui ne lui laisserait un instant de répit et bonne employée qu’elle, sans une protestation, elle le suivrait dans la pièce sombre. Pour une fois, Ava aurait préféré avoir tort.
La porte ouverte, seule la lumière du couloir éclairait ses premiers pas dans le labyrinthe. Assurée, elle connaissait le lieu par cœur et l’obscurité ambiante ne l’avait jamais effrayée. Non, ce qui cause sa gêne, son embarras était issu de l'atmosphère sensuelle que dégageait cet endroit ; menée par le désir, elle était prête à déborder à tout moment. Les lambeaux de ses convictions partiraient en fumée.

« Il y a une porte au bout du labyrinthe, nous reprendrons la visite de là-bas. »

Son pas était lent, malgré son impatience. Elle supposa la pièce vide mais ne put prendre le risque de blesser des clients fondus dans les ténèbres.
A mesure qu’elle avançait, la musique d’ambiance s’intensifiait ; à chaque venue, l’annexe était peuplée. Gémissements, soupirs, cris, les voix se mêlaient aux bruits obscènes. La mélodie disparaîssait au profit de la luxure. Son esprit lui jouait des tours car encore, elle s'imaginait ses longues nuits passées dans un coin du labyrinthe, assouvissant quelques désirs honteux.

Cet endroit avait toujours fait son effet à Ava. Le fait de s’y retrouver avec le charmant inconnu n’arrangeait guère son état. A chaque pas, elle se sentait sombrer dans les limbes du stupre, un abysse sans fond duquel elle ne reviendrait entière.
Et le savoir dans son dos, n’avoir l'œil sur lui où ses actions ne la rassurait. Son cœur battait la chamade. La moindre parole, le moindre contact auraient sa peau.

« Vous me suivez ? Lança t-elle au hasard dans le labyrinthe. »

Ses sens mis à rude épreuve, elle n’avait aucune idée où le blond se trouvait.

3
Le Seikusu Palace et cinéma / Re : Pour un palace avec toi - Ava Morris
« le: mardi 25 janvier 2022, 23:12:28 »
« Enchantée, Fend. Non c’est la première fois que je viens et je ne m’attendais à un tel luxe.  »

Sa famille vivait dans une opulence certaine ; il suffisait de voir la villa familiale. Pourtant, les palaces étaient un milieu dont les portes leur restaient fermées. Ava n’avait jamais cherché à les forcer. Déjà privée du soutien financier de son père, mettre des efforts inutiles dedans ne se serait avérée qu’une perte de temps.

L’ascenseur prit. La chambre fut trouvée sans mal. Elle laissa Fend entrer en premier et posa sa petite valise sur roue dans un coin, là où elle ne dérangerait personne.
La visite, malgré la grandeur des lieux, fut relativement rapide. Une entrée, une très grande chambre dotée d'un seul lit et une sublime salle de bain qui attira toute l’attention d’Ava.

« Cet endroit est vraiment magnifique, exprima-t-elle en rejoignant Fend. D’ailleurs vous pouvez me tutoyer. Nous devons à peu près avoir le même âge. Il n’y a aucune raison de rester si pompeux. »

Elle repartit s’asseoir sur le lit. Un dépliant était déposé sur le lit, résumant les activités. A ses côtés des chocolats en guise de cadeau de bienvenue. Et enfin, la blonde put remarquer une bouteille de champagne sur une console, non loin.

« Une activité vous a-t-elle tapé dans l'œil ? Pour ma part, j’apporte une affection particulière à l’eau donc les jacuzzis, la plage et la piscine me plairait bien. »

4
One Shot / Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: mardi 25 janvier 2022, 20:32:37 »
Au fil de la conversation, Erin se relève pour venir s’asseoir en tailleur face à lui, plus à l’aise pour l’observer, le détailler. Elle l’a toujours pensé et affirmé : son jumeau est un véritable canon. C’est peut-être pour ça qu’elle n’a aucun mal à convaincre des potes de le rencontrer. Jusqu’à ce qu’elles se rendent compte de sa maladresse avec la gente féminine. D’ailleurs, le mensonge sur sa dernière rencontre réhausse ses lèvres en un sourire taquin. Ses rougeurs sont adorables autant que sa tentative de rejeter sa précédente prétendante. Elle prend un soin particulier à les choisir, de véritables bombes. Puis, même s’il ne l’avait vraiment apprécié, une véritable femme dans son pieu est toujours plus agréable que se branler devant un porno.

Mais les options s’amenuisent et il s’embourbe à chaque rencontre. De ce fait, elle s’est proposée. Il ne l’a pas cru. Vexée en premier lieu, l’étudiante n'a pas réagi, laissant le silence faire son œuvre. Peu à peu, Erik semble comprendre jusqu’à son humour. Erin décide de le prendre au sérieux, comme une invitation. Bien sûr, elle a compris la tentative de son jumeau mais il lui ouvre une porte qu’elle ne peut refuser.
Descendant du lit, à peine quelques pas les séparent et la jeune femme vient s’installer sur ses genoux. Collée à lui, ses hanches ondulent contre les siennes, à la recherche d’un contact satisfaisant.

« Pas mal, hein ? C’est suffisant. »

Sa bouche se glisse au creux de son oreille puis descend le long de son cou. Son souffle brûlant s’écrase contre sa peau avec quelques baisers fugaces. Ses mains rejoignent son jeans pour se saisir de sa braguette. Descendue, ses doigts narguent la bosse naissante, avant de la libérer de sa prison. Ils entourent la queue pour la gratifier de quelques caresses lascifs. Mais l’impatience la gagne, le rythme s’accélère. De ses deux mains, elle le branle. De haut en bas, le mouvement expert s’accélère ; elle y met toute son âme. Sa voix délicieusement chaude vient s’ajouter.

« Je suis tes conseils et je choisis mieux mon amant. Mais si tu veux t’arrêter là, je peux toujours rappeler James. Il est parti la queue entre les jambes mais si je le supplie de revenir me baiser, je suis sûre qu’il sera ravi de faire la route. »

Son désir, son corps ne réclame que son jumeau. Mais la frustration mêlée à l’excitation, Erin a un véritable besoin à combler, maintenant. Si jamais Erik se refuse à elle, l’incompétent ferait l’affaire pour réparer les pots cassés. Mais elle n’y songe pas encore, pas vraiment. Ses mots ne sont que pure provocation pour le faire céder à ses plus bas instincts. Ses mains s’arrêtent. L’une maintient son membre pendant qu’elle se surélève. Son gland se presse contre son entrée, protégée par sa culotte humide.

« Tu n’as qu’une seule chose à me dire pour que ta longue traversée du désert s’arrête, Erik. Je te promets que je m’occuperais si bien de toi que tu en oublieras tes pornos et tes soirées branlettes. »


5
One Shot / Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: mardi 25 janvier 2022, 17:27:29 »
La télévision tourne en arrière-plan, accompagnée du grincement de la cafetière derrière. Les bruits animent le salon dans lequel Erin patiente, seule. Son attention est portée vers son écran, dans ses mains ; une série de sms y défilent et témoignent de l’excitation naissante. L’homme ne devrait tarder à arriver pour réviser. C’était ce qu’il était convenu au départ mais la situation avait dérapé depuis quelques heures déjà. Détachée de l’échange sulfureux par un bip sonore, l’étudiante se lève, péniblement.

« Tu veux du café ? »

Sa voix s’élève à l’encontre de son jumeau, enfermé dans sa chambre. Mais toute réponse, si tant est qu’elle existe,  est étouffée par l’arrivée soudaine de son copain et l’utilisation de leur désagréable sonnette. De brefs salutations, elle l’invite à patienter dans sa chambre le temps qu’elle finisse de remplir les tasses. La sienne prise, celle pour son frère laissée sur le plan de travail, elle le prévient avant de retrouver son amant :

« Au cas où, je te l’ai laissé dans la cuisine. Je vais réviser avec James. »

L’homme rejoint, Erin laisse la porte entrouverte, volontairement.
Leurs révisions peuvent débuter. Mais s’ils semblent partis pour respecter leur engagement, seulement dix minutes après, l’ambiance change. Très vite, les grincements du lit accompagnent les gémissements indiscrets de l’étudiante et elle ne fait aucun effort pour les dissimuler. Son jumeau et les voisins deviennent tous, malgré eux, les spectateurs de leurs ébats, ébats très courts cela dit. Être entendue aura été le seul véritable plaisir d’Erin face à la précocité de son partenaire. La honte accompagnant son incapacité à la satisfaire, il prétexte une fausse urgence pour disparaître, à peine rhabillé.

Surprise, énervée, la jeune femme reste là plantée dans son lit plusieurs minutes. Comment avait-il pu oser ? Sérieusement ?
Il faudra le temps d’une douche pour lui permettre de calmer ses esprits et chasser l’envie de le poursuivre et régler ses comptes avec lui. Sortie de la salle de bain, vêtue d’une culotte échancrée noire, d’un t-shirt serré, elle pénètre sans gêne dans la chambre de son frère. Sans lui prêter attention, elle profite qu’il soit installé à son bureau pour squatter son lit.

« T’as pensé à prendre ton café ? S’enquit-elle, en premier lieu avant de pester. Putain. C’est pas possible qu’il soit nul au lit, si ? Puis le coup de “on baise puis je me casse” mais quel connard ! »

Erin n’a jamais été pudique avec son jumeau. Proche de lui, elle lui raconte autant ses états d’âme que les détails de ses parties de jambe en l’air. Et à l’inverse, la demoiselle s’intéresse tout autant à celles de son frère, inexistant pour l’heure. Mais elle y travaille.

« Ah. Au fait, la pote que je t’ai présentée, tu te souviens ? Tu ne l'as pas convaincue et elle s’est déjà trouvé un autre mec. A ce rythme, à quarante ans, tu seras encore puceau, c’est pas possible. J’ai l’impression que plus je te présente de meufs, plus tu deviens empoté. »

Le fil de la discussion a vite changé. D’elle à lui. Ca lui évite d’attiser sa colère envers l’autre con et de l’oublier, un instant. Son attention est ainsi focalisée sur son jumeau, à qui elle jette des regards discrets.

« La seule solution, c’est que je m’occupe moi-même de ton cas. »

Si le ton emprunté semble léger, ses paroles sont sérieuses. Proche de lui, peut-être trop, ses parents avaient déjà remarqué dans leur adolescence qu’elle allait souvent trop loin -sans franchir une ligne incestueuse- ; elle aimait se faufiler dans son lit la nuit pour dormir à ses côtés ou discuter avec lui pendant qu’il prenait sa douche. Des limites claires avaient été posées. Et de peur de s’attirer leur colère, Erin était devenue presque sage, elle avait essayé de repousser son attirance pour lui, de l’ignorer. Jusqu’à aujourd’hui où ce dernier recours pour le décoincer, tâche qu’il lui tient vraiment à cœur, devient un prétexte pour franchir la ligne.
Mais la jeune femme ne va à sa rencontre, tout de suite. Elle reste posée sur son lit, curieuse d’observer sa réaction.

6
Le Seikusu Palace et cinéma / Re : Pour un palace avec toi - Ava Morris
« le: dimanche 23 janvier 2022, 19:22:30 »
Un matin, en partant pour le campus, Ava trouva dans sa boîte aux lettres une enveloppe. Soignée, en lettres d’or, son prénom s’accompagnait de son nom sur la face. Mais aucune indication de son expéditeur ne résidait sur le papier immaculé. Sa curiosité fut attisée. Pendant de longues minutes, elle observa le contenant, hésitant à l’ouvrir -comme s’il pouvait s'agir d’une mauvaise nouvelle-. Le courage prit, l’étudiante, alors en plein cours, l’ouvrit pour découvrir un papier aux quelques mots encrés.

Deux jours et une nuit au Seikusu Palace ? Tout était à son nom mais elle ne se souvenait pas avoir participé au jeu. Et avec raison, une amie lui avouera plus tard qu’elle avait tenté en son nom pour lui offrir en guise de cadeau d’anniversaire en retard. La surprise balayée par l’hilarité du petit groupe, Ava se décida d’honorer le présent. Le jour venu, muni du badge, elle arriva à l'hôtel.

Trouver l’entrée C fut plus compliqué que prévu. Muni de sa petite valise, dont les roues rappaient le sol rugueux, elle finit par trouver son chemin, non sans aide d’un employé. Bien en retard, de plus d’une vingtaine de minutes, la blonde alla s’asseoir à côté de son compagnon d’aventure, table 11. Vêtue d’une jolie robe bleue, marquée à la taille puis évasée, de talons hauts et de boucles d’oreilles discrètes, elle avait privilégié une tenue jolie, habillée mais raisonnable dans sa coupe.

Elle mima de ses lèvres “désolé” à son partenaire alors que l’organisateur commençait ses discours et ses explications. L’occasion de lui présenter de vraies excuses surviendrait peut-être après le discours de l’homme. Comme dans le courrier, les grandes lignes furent reprises : deux jours et une nuit étaient offerts, accompagnés de nombreuses activités. Il était important d’être célibataire et ouvert à de nouvelles perspectives bien que tout le monde savait déjà ce qu’il sous-entendait par là.

Pendant sa présentation, Ava s’était concentrée sur l’intervenant, au détriment de son complice. Elle ne lui avait jeté qu’un rapide coup d'œil, à son arrivée. Et une fois, la prise de parole terminée, son attention se glissait sur l’homme à la chevelure liale. Un sourire fleurit sur ses lèvres ; comparés à d’autres, l’étudiante avait eu de la chance. Son physique était loin de lui déplaire.

« Ava, enchantée. Et encore désolée pour le retour, s’excusa-t-elle. Avant de commencer, nous devrions peut-être aller poser nos bagages, comme proposé. Cela nous permettra de nous familiariser avec la chambre ! »

Mais sa proposition terminée, Ava remarqua l’absence de valise de l’homme.

« Vous n'avez rien pris avec vous ? »

Curieux. Mais elle n’allait pas s’étendre davantage sur le sujet. Déjà, la demoiselle prenait la direction de l’ascenseur : leur chambre était au troisième étage.

7
One Shot / Péchons ensemble, mon père (père yves+ava)
« le: dimanche 23 janvier 2022, 17:43:13 »
Le divorce de ses parents était intervenu de manière brutale, un véritable tsunami dans la vie de l’étudiante. Son père en était que plus détestable, elle l’évitait comme la peste. Et sa mère ? Elle n’avait attendu qu’une semaine ou deux pour refaire sa vie avec un prêtre protestant, l’inviter chez elle et le présenter à son enfant. Leur rencontre s’était limitée à une seule soirée, écourtée par le travail nocturne de l’étudiante. Mais elle lui accordait un charme certain, malgré son âge mature. Et Ava s’en trouvait impatiente de rallier la maison familiale lors des vacances d’été.

Son logement délaissé pour faire des économies, elle venait habiter deux mois avec le nouveau couple. A peine arrivée, dans cette immense villa au bord de mer, la blonde s’étonnait que rien n'ait changé. Gagnée lors l’impitoyable bataille juridique, elle s’attendait à ce que sa mère se soit amusée à déplacer les meubles, retirer les décorations qu’elle n’avait jamais tolérées, immondes à son goût. Peut-être était-elle trop occupée à fricoter avec son nouvel ami religieux. La demoiselle n’irait se plaindre. Au moins, elle ne se retrouvait pas dépaysée.

Après avoir fait un premier tour dans la demeure et délaissé sa valise dans sa chambre à l’étage, elle se dirigea vers sa propre salle de bain : une douche méritée après son court voyage. Les minutes défilaient alors que la blonde se prélassait sous l’eau. Vêtue d’une simple serviette, enroulée autour de son corps, elle se baladait librement dans la maison, habituée à faire bon lui semblait. Les escaliers pris, elle descendit vers le salon immense et sa cuisine accolée. Des baies vitrées ornaient chaque mur, donnant l’impression de vivre dans un véritable aquarium de lumière. L’une d’entre elles était une porte menant à la magnifique terrasse et piscine de la villa.

Elle avait coûté si cher à son père qu’il était risible de la voir tomber entre les mains de sa mère. Mais, Ava s’était promis de ne pas prendre partie et de s'installer confortablement sur le canapé. Quoiqu’il arrive, elle en serait l’unique héritière. Assoupie devant des émissions absurdes, l’étudiante entendit la porte s’ouvrir derrière. Sa mère arrivait, aux bras de son nouveau compagnon. La jeune femme se redressait pour les saluer, un léger sourire aux lèvres.

Mais l’étudiante s’attira immédiatement les foudres de sa mère.

« Habille-toi tout de suite ! »

Sa voix s’écrasa contre les parois vitrées. Mais avant que son sermon ne continue, son téléphone sonna : le travail. Depuis le divorce, elle avait décidé de reprendre sa vie professionnelle en main. N’ayant plus l’âge d’être mannequin, elle faisait maintenant partie d’une agence dénichant les talents de demain. Aujourd’hui, son aide était requise pour une réunion de crise. Peu rassurée de laisser son insupportable enfant avec le prêtre, elle ne put refuser l’appel urgent.

« Merde. Ava, va t’habiller. Elle se tourna vers Yves. Je suis désolée de te laisser. Si y a le moindre problème, appelle-moi. »

Rapidement, elle tourna les talons.
L’étudiante seule face à son nouveau beau-père voyait là la parfaite occasion de faire connaissance et de tromper l’ennui qui se profilait lors de ses longues vacances. S’approchant de lui, elle brisa le silence :

« Les habits sont-ils si importants, mon père ? Il me semble qu’Adam et Eve n’étaient guère vêtus. »

La retenue s’était effacée pour laisser place à une rare audace.

8
Le métro et la gare / Re : Mains inconnus & chaleur insoutenable (camille+ava)
« le: dimanche 23 janvier 2022, 16:40:56 »
Pour la première fois, Ava se trouve coincée contre un inconnu. Habitué à gérer la foule dense, à prendre le métro aux heures de pointe, aucun homme n’avait auparavant plaqué son érection contre ses fesses. Ou peut-être, n’est-ce qu’un pur hasard ? Et qu’il bandait déjà avant. Le mouvement des passagers l’y aurait ainsi conduit dans une heureuse coïncidence. La blonde ne trouve pas le contact désagréable, dérangeant que ses amies et collègues ont pu lui raconter. Oh non, la situation est excitante et frustrante. Elle attise un désir presque malsain ; elle répond à des fantasmes inavoués. Peut-être est-ce l’étudiante qui est anormale ? Mais la question ne se pose pas à son esprit, embrumée par l’envie.

A chaque occasion, où la locomotive connaît des perturbations, elle ondule ses hanches contre son bassin, à la recherche de plus. Plus qu’un contact accentué de sa queue prisonnière du tissu. Elle désire sentir ses mains parcourir son corps, s’arrêtait sur ses tétons honteusement dressés à travers sa robe, sentir sa peau contre la sienne. Les lèvres mordues, les mains tremblantes, il est difficile de résister à la tentation. Lui offrirait-il plus ? Incapable d’attendre pour répondre à cette langoureuse question, sa main droite se faufile dans son dos. Son index et son majeur se collent au tissu rugueux de son jeans, pour parcourir de haut en bas cette bosse qui anime ses plus bas instincts.

Dans un élan incontrôlé, ses doigts viennent défaire le premier bouton de son bas. Et sa main chaude se glisse dans ses sous-vêtements. Toute raison est perdue et la foulée oubliée pour assouvir ce désir enflammé. Elle vient enrouler sa main le long de sa queue. Par des caresses légères, elle se perd dans le stupre. Presque inarrêtable, ses gestes se veulent discrets mais ne le sont pas vraiment. L’étudiante attire des regards, ceux d’un homme assis à sa gauche. Désireux de connaître le même sort. Pourtant, elle l’ignore ; il ne la dissuadera pas d'arrêter tant que son appétit ne sera rassasié, par l’inconnu dissimulé dans son dos.

Enfin, c’est ce qu’elle crut. L’arrêt soudain du métro la surprit. Une voix métallique sortant des hauts-parleurs la sortit des abysses de la volupté. Ils sont arrivés à la station suivante. Les portes s’ouvrent et sa main revient devant elle. La gêne naquit sous le brutal retour à la réalité. Elle peine à réaliser qu’elle venait de branler un parfait étranger. Même pour elle, cela semblait irréel. Pourtant, après quelques descentes, de nouveaux voyageurs rejoignent le wagon. Poussé de nouveau, sa protubérance se frotte à ses fesses. Non, elle n’a rêvé. Pourtant, mené l’embarras, les joues légèrement rougis, elle ne tenterait plus. Mais son imagination endiablée, son caprice inassouvi l’empêche de reprendre pleinement possession de ses esprits. Plus que jamais, son corps réclame un plaisir charnel, jusqu’à rendre douloureuse cette frustration ancrée dans sa peau.

Les regards insistants du pervers à côté sont remarqués. Habituée à être celle qui observe, ce changement de situation la met mal à l'aise, sans en comprendre la teneur. Pourtant, elle ne bougera d'un pouce, son corps avide ne lui obéissant plus. Ava n'est plus qu'une proie à la merci de son prédateur.

9
Mise à nue par un simple regard, ses moyens à peine retrouvés se perdaient déjà. Telle une caresse sensuelle, son corps s’échauffait sous cette attention. Sa peau en devenait brûlante, ses lèvres se pinçaient. La retenue était difficile à trouver ; sa raison peinait à contenir son désir. Toute la journée durant, le spectre de leur rencontre l’avait hanté. L’image de cet homme, les brefs mots échangés. Frustration et regrets s’étaient mêlés pour la rendre ce soir intenable. Pourtant, face à cette pensée, aucun client ne trouva grâce à ses yeux. Ce soir-là, il était le seul qu’elle désirait ardemment. Des heures s'écouleraient avant la fin de son service. L’impatience la guettait déjà.

Cependant, ses paroles la ramenèrent à la réalité : il était un client, elle son hôtesse. Guidée par sa raison, son envie mise de côté, un sourire tendu vint relever ses lèvres. Toute pensée libidineuse disparut de son esprit. Seul son devoir lui apparaissait comme une ligne conductrice, un chemin de vertu qu’elle ne devait quitter.

« Bien sûr, si vous voulez bien me suivre. »

D’une main, elle tira le rideau pour les laisser entrer dans le salon désert ; les rares clients du jour s’étaient déjà déportés vers les annexes du club  Au bar, seule demeurait Sarah qui fusillait sa collègue regard. Prise d’un ennui profond, la soirée s’annonçait bien longue pour elle. Ava l’ignora afin de guider son client. Les règles plus strictes de l’entrée, considérée comme une mise en bouche furent énoncées, comme un texte récité. Après tout, si elle se désirait libérer de toute tentation, la réalité était bien différente. Son corps réclamait ; son esprit niait. Le déni créaient l’embarras.

Sans attendre, elle le guida ailleurs d’un pas presque pressé. L’étudiante ne souhaitait que se débarasser de cette pression par la solitude ou… Elle s’empêcha d’y penser. Son attention se focalisa sur la visite. Et ils arrivèrent justement dans une intersection. A gauche, le passage sombre se profilait, envahi d’une multitude de portes. La blonde précisa qu’il s’agissait des chambres mises à disposition des clients. Insonorisés, personne ne le dérangerait dans ces cocons intimes. En face, une porte plus importante se dévoilait et à gauche, le couloir continuait.

« Devant vous, il s’agit d’un labyrinthe plongé dans l’obscurité. Il y est cependant interdit d’y parler. L’idée est d’oublier la vue et de trouver un partenaire à l’aide de vos autres sens. C’est un lieu particulièrement populaire les soirs de grande affluence. »

Ava ne l’avouerait pas, mais elle était elle-même une grande amatrice de cette annexe. Lorsque son service se terminait avant la fermeture, elle aimait se perdre dans ce lieu de volupté, le parfait défouloir après une soirée de frustration. Si cette dernière était une compagnonne régulière de la blonde, elle n’avait rarement été aussi forte que ce soir, aussi douloureuse. Pourtant, plus que jamais, l’étudiante était décidée à la combattre. Intenable, la moindre avance, attention de l’homme suffirait à abattre sa raison.

« Elle est vide ce soir, me semble-t-il. Mais vous pouvez y faire un tour, si vous êtes curieux. Je vous attends ici pour le reste de la visite. »

Sauf s’il demandait le contraire, auquel cas Ava exaucerait sa volonté.

10
Le coin du chalant / Re : (ava) plongez dans la luxure.
« le: dimanche 23 janvier 2022, 01:24:55 »
Simple mise à jour du chalant :
Ajout des idées 4 et 5 pour Ava.
Ajout des idées One Shot (que j'avais oublié dans un coin).

Vous pouvez me contacter par message privé pour un rp ou ici. Je suis ouverte à toutes propositions et les idées proposées sont totalement modulables.


11
Le métro et la gare / Mains inconnues & chaleur insoutenable (camille+ava)
« le: dimanche 23 janvier 2022, 00:10:36 »
Adossée à un lampadaire, Ava pianote distraite sur son téléphone. Des messages envoyés à des amis, une série de gifs sans queue ni tête : tout est bon pour tromper l’ennui jusqu’à l’arrivée du métro. Elle n’a levé la tête mais pendant les quelques minutes attendues, le quai s’est rempli. Le voyage s’annonce inconfortable. Habituée à se déplacer aux heures de pointe, la blonde n’est guère effrayée par cette perspective. Au contraire, quand la locomotive fait son apparition, que les passagers sont descendus, elle se fraye, sans mal, un chemin vers la porte du fond. Face à cette dernière, elle garde son téléphone en main pour se distraire. Le restant des voyageurs entre, l'étudiante se retrouve pousser, presque plaquée contre le métal glacé. Ce n’était qu’un mouvement de foule ; elle a encore la place de respirer et peut s’en éloigner un peu.

C’est à la station suivante que les choses se compliquent. Une nouvelle foule se présente mais peu sont sortis. Ils poussent, encore et encore jusqu’à rentrer. Ses mains, ses pieds et son front sont plaqués contre la paroi chromée pour se maintenir debout, dos aux inconnus. Elle se sent bousculée, son espace est réduit. Une femme lui tourne le dos à droite. Deux hommes sont assis à gauche et derrière, un autre homme. Son torse la frôlait déjà mais sous le nouvel élan humain, son corps entier vient épouser les formes de la demoiselle. Et il n’a guère la place de s’éloigner. Elle ne peut le voir, juste sentir son contact. Car ce soir-là, Ava a adopté une robe échancrée. Dos nu, sa peau laiteuse est dévoilée jusqu’à le début de son fessier. Mais le tissu ne couvre que peu, se terminant juste en dessous. Chaque contact lui arrache un sensuel frisson.

L’alarme prévient ; les portes se renferment.

Les corps agglutinés lui donnent chaud, trop chaud. Mais jamais elle ne tente de retrouver la paroi fraîche pour se calmer. Oh non, elle reste collée à l’inconnu derrière elle, malgré les quelques maigres centimètres libres qui la séparent de la porte. Son souffle est raccourci, son cœur s’emballe. Habituée à cette situation, Ava reste stoïque, à l’accoutumée. Pourtant, cette fois-ci, son corps ne lui répond plus, s’échauffe à ce contact indésiré. Et rien ne va. Elle n’est censée réagir ainsi. Elle devrait fuir contre le métal, quitte à trouver une position fort inconfortable. Mais rien. Impossible de bouger. Comme si l’étudiante est une proie s’offrant de son plein gré à un prédateur ? Ou est-elle simplement persuadée que bouger n’y changera rien ? Ainsi, elle s’évite un effort indésirable et une condition incommode pour un trajet qui s’annonce bien long.

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Prélude / Re : The Eminence in Shadow [Anéa]
« le: vendredi 21 janvier 2022, 22:46:29 »
Bienvenue !

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Centre-ville de Seikusu / Goutte après goutte, le vase déborde (asmodeus+ava)
« le: vendredi 21 janvier 2022, 13:58:11 »
Baignée dans une lumière tamisée, Ava était avachie sur le comptoir. À ses côtés, sa collègue, Sarah prenait soin de répondre aux attentes des rares clients. Leurs boissons récupérées, ils retournaient vers leur partenaire dans les confortables canapés de velours vermeille. Aucun ne résidait au bar, ce soir-là, afin de tromper l’ennui des deux employées. Leur seul divertissement était d’observer les jeux de séduction, la tension se crée entre les couples. Et quelques gestes sensuels se perdaient. Des mains se baladaient sur les corps avides. Il était souvent difficile pour elles de rester que simples observatrices. La tentation de les rejoindre, de se perdre dans l’une des nombreuses annexes dédiées au plaisir était certains soirs une véritable torture. Pourtant, elles tenaient bon. Surtout Ava, particulièrement sensible à ces scènes. De plus, pour le travail exemplaire, la propriétaire avait convenu avec elles un accès libre et total au stupre, en dehors de l’heure de travail. Ce que la blonde ne manquait jamais. Bientôt, leur seul divertissement quitta la pièce pour trouver un brin d’intimité.

« D’habitude, tu mouilles rien qu’à les observer, commenta Sarah. »

Le regard las de la blonde remonta sur elle.  Mais elle ne vint répondre à sa provocation, empreinte d’une réalité de notoriété publique ou presque. Son esprit était ailleurs, préoccupé par une rencontre : un homme, un autre étudiant rencontré plus tôt dans la journée. Si à son habitude, elle ne sympathise avec les inconnus, à la faculté, celui-ci lui a laissé une impression étrange, différente, sans savoir quoi. Marquée par cette dernière qu’elle fut incapable de définir, la blonde ne cessa d’y penser pendant ses cours, jusqu’à ce soir, au travail. Un regret demeurait néanmoins : de n’avoir pris la peine de prolonger la discussion. En retard pour son cours suivant, elle avait donné raison à son assiduité. 
Agacée face à sa léthargie, Sarah encadra ses joues de ses mains et plongea ses pupilles chocolats dans les siennes.

« Va vérifier que personne n’attend à l’accueil. »

Son ordre la surprit mais elle se leva tout de suite, obéissante. Si le club était peu peuplé ce soir, une visite ou deux lui permettrait peut-être de regagner de l’aplomb.
Et un seul rideau séparait le salon de l’entrée. Ava se faufila entre les tissus et patienta devant un comptoir d’appoint. Aujourd’hui, elle s’était vêtue d’une jupe courte rouge et d’un chemisier blanc, presque transparent sous lequel sa lingerie de dentelle vermeille se dévoilait. Accroché à ce dernier, un badge indiquait son prénom. Mais ce dernier était dissimulé par sa crinière tombant comme cascade d’or sur sa poitrine. Elle paraissait trop grande pour le guichet, élevée par des hauts-talons noirs.
Après quelques minutes à peine, un nouveau client se dévoila. Mais son visage familier la déstabilisa.

« Toi, ici ? »

Ses mots laissaient entendre sa surprise et son incertitude. Pour la première fois, tout se mélangeait. La frontière si bien entretenue entre ses études et son travail éclataient sous ses yeux. Loin d’avoir honte du métier choisi, il était pourtant difficile de savoir comment réagir devant cet autre étudiant. Son manque cruel de professionnalisme se lisait dans ces mots. Décontenancée, elle se mordillait les lèvres, cherchant les paroles adéquates à prononcer. Cependant, ce n'était pas sans compter l’éruption de Sarah, qui avait entendu par mégarde tes paroles prononcées trop fort et intéressée par le bel Adonis, elle ne tardait à prendre les devants.

 « Je vais-
- Non, ta présence est essentielle au bar. Je vais me charger de l’accueil de Monsieur. »

Déçue, elle tourna les talons sans demander son reste. Quant à Ava, elle prit quelques secondes supplémentaires pour remettre un peu d’ordre dans ses pensées. Accompagnée d’un charmant sourire, elle reprit :

« Est-ce votre première fois ici, Monsieur ? Avez-vous besoin que je vous fasse visiter les lieux et vous en explique le fonctionnement ? »

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Centre-ville de Seikusu / dans les bras de la volupté (jason+ava)
« le: vendredi 21 janvier 2022, 01:47:44 »
Ouvert depuis quelques heures déjà, une petite foule peuplait le salon principal et les pièces annexes. Sous les échanges langoureux, les mains baladeuses, les corps s’échauffaient dans les canapés écarlates. Lorsque le désir, l’envie atteignait leur paroxysme, ils disparaissaient en quête d’intimité. Madame Sawada, l’élégante propriétaire, s’occupait de l’accueil. Dès que l’occasion lui venait, elle appréciait découvrir -ou redécouvrir- les visages qui viendraient peupler son club. Des habitués faisaient alors leur entrée. Après quelques bavardages futiles, ils trouvaient leur chemin. La femme s’était inscrustée auprès d’amis de longue date. L’homme s’était faufilé jusqu’au bar pour retrouver la serveuse, Ava. A peine installé, son regard se perd dans l'avantage décolleté, sur cette robe trop courte. Un silence s’installa, long et lourd de sens. Le désir ne se dissimulait pas en ce lieu libidineux et les pénibles avances ne tardèrent à tomber. La blonde ne répondait jamais lors de ses heures de travail et encore moi à ce qu’elle et ses collègues surnommaient : le gros porc.

Ce surnom, il le méritait pour ne pas comprendre la négation des employées, harcelées presque chaque soir. Mais l’argent résolvait ce problème et tant que les autres clients n’en faisaient pas les frais, aucune mesure n’arriverait. Au point qu’Ava ne rêvait plus qu’à la fin de sa soirée. Pour supporter sa répugnante présence, son regard, son attention se perdait sur les couples installés aux tables et dans les canapés, aux échanges aussi discrets que sensuels. Elle les enviait. Si d’autres devenaient insensibles à cette vue répétée, elle n’y voyait que son désir attisé. Ses lèvres se pinçaient, ses pupilles jades ne les quittaient alors que distraitement, elle nettoyait les verres entre ses mains. Mais l’homme revenait à la charge, la sortait de ses lubriques pensées et l’agaçait d’autant plus. Son attention se perdit cette fois, sur sa montre, discrètement posée à côté de l’évier. Désormais, l’étudiante comptait les minutes qui la séparaient de la fin de son service, de la délivrance. Si cette dernière ne devrait tarder, l’appel de sa patronne sonna comme une délivrance.

Face à un homme des plus séduisants, visage inconnu pour l’habituée employée, l’ordre fut donné de lui faire visiter les locaux. Et à son oreille, la propriétaire ajouta qu’à l’instant où la visite se terminirait, son travail prendrait fin pour la soirée. Elle serait libre de vaquer à ses occupations ou de rentrer chez elle. Libérée d’un poids, la précipitation lui en avait fait oublier sa montre. Trop tard, tous les prétextes étaient bons pour éviter de retourner derrière le bar face à l’immondice qui y campait toujours.
Ses pupilles retombèrent sur le client qu’elle prit quelques secondes pour détailler. Mais sans oublier la politesse et son devoir, la blonde se présenta.

« Je suis Ava. Afin de vous aider à vous familiariser avec les lieux, je vais vous faire visiter. Je vous prie de me suivre, Monsieur… ? »

Quittant le sas d’entrée, ils pénétrèrent dans le salon principal. La décoration était discrète. Un bar se situait dans un coin, fourni en alcool et devancé par une rangée de tabourets. A quelques mètres, des canapés entouraient quelques tables. Des couples étaient encore présents, discutés vivement, chastement. Mais la plupart tatait déjà le terrain. Leurs mains se gissaient entre les cuisses de certaines, sous les jupes d’autres. Les femmes n’étaient en reste, parfois assise sur les genoux de leur amant d’un soir ou les doigts jouant avec les boucles de leur ceinture. Comme un jeu de frustration, la pièce n’était qu’un avant-goût de la luxure plus audacieuse que l’on retrouverait au fil de la visite.

« Ici, les couples se rencontrent, font connaissance. Ils partagent un verre et discutent. La gérante tient à ce que ce salon reste… un plus chaste ? Un prélude aux ébats plus animés que nous pourrons trouver ailleurs. Si vous vous sentez prêt, je vous invite à me suivre. »

A peine la porte franchie, des bruits obscènes venaient peupler l’étroit et sombre couloir où ils se trouvaient. Ava n'était pas indifférente à ce spectacle auditif. Lèvres pincées, jambes serrées, elle essayait pourtant de faire bonne figure.

« Le club offre de nombreux services pour répondre à toutes les attentes. Si vous souhaitez de l’intimité après avoir trouvé un ou une partenaire, vous pourrez vous rendre à votre droite. De nombreuses chambres sont mises à disposition. Cependant, si vous aimez les expériences plus publiques, d’autres pièces sauront sans doute vous ravir. Avez-vous une préférence ? Un endroit que vous aimeriez absolument voir ? »

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Le coin du chalant / (ava) plongez dans la luxure.
« le: jeudi 20 janvier 2022, 12:08:30 »
Nouvellement validée, je cherche à lancer mon personnage ! Vous pourrez trouver une présentation très brève d'Ava puis des idées de RPs. Cependant, nul besoin de s'arrêter à celles-ci, si Ava vous intéresse, on pourra toujours en trouver des nouvelles en mp.  :-*

Ava Morris.
19 ans.
Etudiante en droit, le jour.
Hôtesse dans un club échangiste, la nuit.
Pansexuelle.

Propositions de rps pour Ava.

1. [H]Le pervers du métro : Ava termine sa journée de cours. Obligée de prendre le métro pour se rendre au travail, elle se retrouve bloquée aux heures de pointe. Les gens ne cessent de pousser pour se trouver une place et aux corps agglutinés s'ajoutent des mains baladeuses.

2. [H]Le séduisant professeur : Les détails seront à voir avec l'autre joueur. Cependant, cela peut se dérouler sous deux temporalités : lorsqu'Ava est au lycée Mishima ou aujourd'hui, à la fac.

3. [H]Nouveau venu : Employé nouvellement engagé ou client timide du club, Ava est désignée pour lui faire visiter les lieux, lui apprendre les règles mais la situation finit par déraper. Le professionnel laisse place à l'intime.

4. [H]Merde : De repos, Ava en profite pour partir à la piscine. Et après une longue séance, dans l'intimité des vestiaires, elle s'adonne à un plaisir solitaire. Mais était-elle vraiment seule ?

5. [H]Soirée VIP : Ava entretient sa liberté, loin de ses parents. Jusqu'à ce qu'elle se retrouve obligée de participer à une soirée privée sur un luxueux yacht. Tous les moyens sont bons pour y échapper, davantage en compagnie d'un bel inconnu.

6. Comme mentionné plus haut, je suis ouverte à toutes autres propositions. Il suffira juste de me contacter par mp.


Proposition de rps OS.

1. [H]Prisonnier.ière/Gardien.ne : Ils n'ont rien à faire ensemble. Pourtant, face au désir, les obligations s'oublient et les corps se découvrent.

2. [H]Inceste ; Beau-père/belle-fille : Il est le nouvel époux de sa mère. Séduisant homme, elle ne résiste à l'inviter dans sa couche.

3. [H]Inceste ; Jumeaux : Ils ont toujours été inséparable. Mais aurait-on imaginé que leur amour fraternel se mue en un avide désir ?

4. [H]Stalker/Stalkée : Populaire, elle est victime d'un stalker. Il ne cesse de l'observer depuis sa fenêtre, de la suivre dans la rue jusqu'au jour, il passe un pas et pénètre chez elle, en sa présence.

5. Comme pour les RPs avec Ava, je suis ouverte à toutes autres propositions (comme pour l'inceste où je ne me limite aux propositions faites). Il suffira simplement de me contacter par mp ou à la suite du chalant.


Dans les deux cas, ceux sont principalement des idées destinées à des écrits érotiques qui me sont venus. Cependant, vous pouvez me contacter pour RP social, sans soucis.

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