Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - The Dark Idol

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1
Il était difficile pour Saïki de se soulager du poids de Tama affalé sur son dos. Entre ses cuisses, un magma suintant et gluant maculait sa peau et coulait sur le tissu du canapé. L'homme s'était vidé dans ses fesses et ne s'en retirait pas, se prélassant de cette folle situation. L'idole eut néanmoins le réflexe d'ouvrir la bouche quand Kanda, à son tour, décida de se purger. La masse chaude qui s'écrasa en partie sur son visage lui fit l'effet d'une toile collante et odorante qu'on apposait sur elle comme pour un soin esthétique. La langue tirée, la bouche grande ouverte, elle ne manqua pas de capter les éventuels manquements de son agent pour les avaler ensuite goulument. Elle se sentait ... enflammée, vivante, bercée d'une réalité ouverte sur un destin dont elle s'était depuis toujours éloignée. Les choses étaient si simples quand on se laissait aller ainsi. Plus de formalisme ni de prises de tête concernant l'image et le paraitre. Nue, et prise sans ménagement et sans questions, c'est ainsi qu'elle souhaitait continuer d'être.

La nuit fut longue et ils baisèrent comme des chiens. Saïki enchaina les orgasmes et fut maitresse à déclencher ceux des autres. Son corps fut le réceptacle d'innombrables jouissances juteuses et elle s'en délecta autant qu'elle adora se sentir débordée. Et puis elle oublia le reste.

Elle se réveilla seule dans son appartement. La matinée était déjà bien entamée et c'est un rayon de soleil joueur caressant son visage qui l'avait dérangée dans son sommeil. Elle mit en moment à émerger, ne comprenant pas pourquoi elle était recroquevillée en position fœtale sur le tapis du salon. Quand elle bougea, elle couina, toute endolorie. Son corps lui faisait mal et quand elle s'assit, son fessier protesta vivement. Une odeur bizarre planait dans l'appartement et elle mit un moment avant de s'apercevoir que c'était sa peau qui sentait le sperme. Maculée de foutre, elle ne s'en était pas débarrassée et la semence avait séché, la tiraillant et laissant des trainées et tâches tenaces sur la totalité de son corps. L'idole se leva en grimaçant, tentant de se remémorer le déroulement de la nuit, comme au lendemain d'une cuite (qu'elle n'avait jamais prise). Le désordre régnait. Des cadavres de bouteilles jonchaient le parquet luxueux. Certaines avaient coulé sur le tapis et l'une d'elle était même brisée dans un coin. La pièce était sale, des traces de fluides de couleurs variées tapissaient les meubles, les fauteuils et même la télévision. Tout indiquait qu'une fête No Limits avait eu lieu et elle ne s'en souvenait p.....

Et elle s'en souvint... Saïki eut un haut-le-cœur violent et se précipita au toilettes où elle ne parvint pas à vomir malgré ses efforts. Elle alla à la salle de bain et l'image que lui rendit le miroir parlait d'elle-même. Nuls mots n'étaient nécessaires pour décrire l'actrice de porno hardcore qu'elle avait devant elle. Les cheveux en bataille, marquée de bleus, souillée comme jamais, la belle idole était à des années lumières de sa représentation publique.

"C'est ..."

Dégueulasse? Oui, effectivement, et le terme est faible mais ...

"...merveilleux."

Non, non! Ce n'est absolument pas ce qu'elle voulait dire. Là, elle voulait hurler son dégoût d'elle-même puisque tous les épisodes de la nuit ressurgissaient dans son esprit. Pénétrée, enculée, utilisée pour tous les travers imaginables, elle avait sucé des queues à s'en goinfrer et elle trouvait ça merveilleux? Saïki, la vraie, l'originelle, écrasée par le poids de la luxure hurlait alors qu'elle s'effaçait, ensevelie sous le joug de la tentation. Elle tenta de se raccrocher à un point de repère, Kanda! Non! Pas lui! Il était celui ... par qui toute cette apothéose était arrivée.

Le combat fut bref et c'est une Saïki sereine qui entra dans la douche pour y rester une heure. Quand elle en ressortit, elle alla se coucher avec en tête la pensée qu'il lui faudrait très vite retourner à son travail. Une montagne de choses à faire et de personnes à rencontrer l'attendait. Elle s'endormit le sourire aux lèvres et en imprimant dans son esprit le visage de son bienfaiteur.

2
C'est le gamin qui se rua sur elle et n'hésita pas un instant à la fourrer. Saïki baignait toujours dans une extase surréaliste et la brume qui isolait sa réflexion de la réalité était tenace. A cet instant, elle ne voulait qu'une chose et n'envisageait pas de se repentir.

"HAANNN!"

Le gosse y alla sec dès la première pénétration. Même si le passage était ouvert, et bien ouvert, le coup de rein qu'il donna la projeta en avant alors qu'il heurtait un angle tordu dans son rectum. Une humaine dans son état normal aurait hurlé de douleur mais l'idole n'éprouva aucune gêne, que du plaisir. La sodomie, de mémoire, était pour elle une découverte et elle s'apercevait qu'elle pourrait très bien s'en satisfaire tellement elle adorait ça. En plus, le mouvement imposé lui permettait de prendre la queue de Kanda en bouche et de laisser faire le reste.

Ses lèvres coulissaient le long de son chibre qui avait son goût et son odeur à elle. Elle le suçait avidement, goulument, salement, bavant dessus alors que son minois s'écrasait contre le ventre de son agent tandis qu'elle l'avalait. Là encore, c'était pour elle un exploit car délivrer une gorge profonde de cette qualité n'était ni dans ses habitudes, et encore moins dans ses ambitions initiales. Saïki déglutissait comme une professionnelle, uniquement concentrée sur ce qui allait fatalement jaillir et la sustenter. Quand elle ne sucait pas, elle crachait, embrassait, cajolait ce membre chaud, lui offrait son visage à souiller, ses cheveux comme écrin doré.

Derrière elle survint le premier changement qui pour elle ne s'exprima que par un "MMMMWWEEUUF???" interrogatif. Mais l'espace béant fut aussitôt remplit et la silhouette athlétique de Tama prit la place de celle du gosse. Des années de service respectueux s'évaporèrent en une seconde. Il la saisit par le épaules et l'encula comme un fou, frénétiquement. Il l'arracha à sa prouesse buccale et elle tenta vainement de reprendre le contrôle de Kanda.

"Ahhh Tamaaâââ !!!" Elle se cambrait sur son accoudoir, lui offrant la possibilité de la pulvériser sans qu'elle puisse rien faire d'autres qu'approuver. Le garde du corps grimpa des deux pieds sur l'accoudoir et la souleva par les hanches pour la marteler encore plus durement. Là, elle hurla, il cognait loin et ne retenait plus son désir pour sa star de maitresse. Elle poussa sur ses mains pour se rétablir et il prit immédiatement le contrôle de sa tête en torsadant ses longs cheveux autour de son poignet. Tama allait toujours au plus simple.

"Suce le encore!" C'était un ordre et Saïki ouvrit grand la bouche pour reprendre la queue du démon jusqu'à la limite de l'acceptable ... et encore.

Que c'était sale et dégradant. Une catin avait-il dit? Mais oui, la plus grande de toutes! Une vraie pute qui écarterait les cuisses pour le premier venu! La véritable Saïki était transie d'horreur, loin, très loin de là, et encore, elle ne comprenait pas ce qu'il se passait.

Tama hurla à son tour et jouit au plus profond de ses reins avant de s'effondrer sur le dos de l'idole, baignant dans son propre jus.

3
Saïki fixait le plafonnier de la berline. Les lumières passantes saccadées des réverbères de la rue l'éclairaient à  écarts réguliers. Kanda avait joui en elle, à profusion. Elle avait senti des torrents de fluides chauds envahir son rectum et une partie de ses intestins. Dans son délire sexuel, elle s'était surprise a aimé ça et ses mains s'étaient posées sur son ventre comme pour protéger ce nouveau fardeau. Et quand il s'était retiré de ses fesses, elle avait voulu protester pour qu'il y reste, encore longtemps, des heures, pour toujours! Mais le jeune garçon ne lui avait pas permis de s'exprimer et lui aussi avait fait de la gorge de l'idole un déversoir dans lequel il s'était allègrement répandu. Saïki avait dégluti, testée cette nouvelle expérience et même si une sensation de brûlure dans le gosier l'avait saisi, là encore, elle en aurait demandé plus. Le gamin s'était ensuite purgé en partie sur son visage, superbe réceptacle à foutre et divine icône de perversité. Elle avait ouvert grand la bouche, tirant la langue en quête des ultimes gouttes de nectar épicées, sublime salope rattrapée par des années de frustration sexuelle.

L'idole ressuscitée cligna des yeux, revenant à une réalité déformée par ce qui bouillait dans son corps tonique. Trop exaltée? Dopée au sperme? Electrisée à l'adrénaline? Elle eut envie de recommencer aussitôt. Elle se sentait étrangement bien, comme si elle sortait d'une séance de relaxation tonifiante avant un concert. Elle se contorsionna pour s'asseoir sur la banquette tandis que les gosses se tassaient pour lui laisser la place. La petite avait du sperme sur le visage et Saïki se pencha pour lui lécher la joue, un vrai régal!

L'idole inspira, sa première vraie bouffée d'air depuis qu'elle était entrée dans cette voiture et aussitôt, elle voulut se jeter à nouveau sur ses partenaires. Il faisait chaud et l'habitacle était saturé d'excitants démoniaques. Simple humaine, que pouvait-elle faire d'autre que de se plier aux règles imposées par l'ange déchu.

"Quand nous serons rentrés, je te ferai découvrir d'autres choses encore, Saï-chan. Tu n'as pas terminé de redécouvrir ton plaisir."


"Tout ce que tu veux ..."

Saïki ne se serait jamais soumise à personne et l'idée ne lui vint pas de le contredire. Sa volonté était affaiblie et rien au fond d'elle ne tendait à s'insurger contre cette domination écrasante. Dans le rétroviseur, elle capta le regard fiévreux de Tama et le soutint. Elle sourit, éclatante sous son masque de sperme dégoulinant et en retour, le garde du corps fidèle passa sa langue sur ses lèvres. Les doigts de la main droite de Saïki se serrèrent autour d'une colonne de chair chaude. Inconsciemment, elle branlait son agent et son regard se déporta sur l'objet de son attention. Elle aurait plongé pour l'avaler à nouveau si ce n'est qu'ils arrivèrent à destination. Tama ralentit, tourna et fit passer à la berline la rampe donnant accès à l'immense parking souterrain enterré sous l'immeuble où résidait la star. Il se gara en souplesse et éteignit le moteur avant de descendre ouvrir la portière pour sa maitresse. Le quatuor s'extirpa de cette antre de luxure. Autour d'eux, d'innombrables voitures luxueuses dont de nombreux modèles colorés européens. Les caméras reliées au poste du gardien de nuit transmettaient les images en direct. L'homme de garde ce soir reconnut l'idole à distance mais se garda bien de zoomer sur elle. Un contrôle inopiné de ses supérieurs pourrait être fatal à son emploi. Loué soit son professionnalisme! Une longue trainée de sperme pendait du menton de Saïki à sa poitrine. Son visage luisait, tartiné de semence et se seins souillés débordaient de sa robe en stretch. Sa jupe remontait bien trop haut sur ses cuisses pour être décente et une véritable cascade coulait de son anus pour dévaler ses longues jambes. Elle s'agrippa à Kanda comme une pute à un riche client. L'air frais du parking aida à son rétablissement vocal.

"Tu montes avec nous Tama. Vous allez me déboiter à l'appartement, tous les quatre."

Oh qu'elle avait envie de ça, un empilement de corps sur le sien, une orgie pornographique dont elle serait le centre, encore une fois. Que l'un d'eux la prenne par les cheveux et l'abaisse à une position de servitude, qu'un autre la perfore à nouveau, aidé d'un second. Que tous la baise comme une chienne et se vident en elle pour la gaver de foutre.

Dans le hall souterrain, en attendant l'ascenseur, elle se colla à l'agent comme une ventouse, recherchant sa bouche pour l'embrasser et sa queue pour le masturber. Tama osa le premier geste et inséra un index dans ses fesses. C'est là qu'il voulait la prendre, comme les deux autres avant. Il serait sale et brutal, il avait du retard sur les autres chanceux.

"Haannn Tama! Tu veux faire de moi ta pute?"

Etait-ce bien Saïki la respectable qui parlait? Oh non, c'était le Dark Phoenix d'Asmodée qui prenait son envol, et pour longtemps.

Quelques minutes plus tard, ils poussaient la porte de l'appartement de l'idole et Saïki fonça, non pas à la douche mais au bar pour en sortir et déboucher une bouteille de champagne. Elle but au goulot et passa la bouteille à la gamine.

Le canapé serait parfait pour commencer et elle se posa sur un des accoudoirs après avoir remontée sa robe sur ses hanches, exposant son fessier.

"Qui commence?"


4
Perdre ses moyens, laisser faire les autres, arrêter de tout calculer... tout avait l'air si simple une fois qu'on ouvrait les portes de l'abandon. Sur la banquette arrière de la berline, l'orgie sévissait en durée et en intensité. La délicieuse douleur initiale passée, Saïki contractait son rectum autour du sexe du garçon pour l'inciter à se démener en elle plus vigoureusement. Ses muqueuses anales encaissaient des assauts incisifs et une petite voix interne lui chuchota qu'elle venait de trouver dans la sodomie une préférence sexuelle indéniable. La petite gothique excellait tout autant dans la dispense de plaisir que son passionné de compagnon, tout en étant le réceptacle de bien des errements de la chanteuse. Saïki mouillait comme une folle et en plus de se faire prendre les fesses, elle sentait une main insidieuse cherchant à l'envahir par son intimité jusque là presque préservée.

"Recule!"

Elle coassa quand le serpent s'extirpa de sa gorge, ramenant avec lui un flot de fluides gluants. Elle tenta d'en aspirer comme lors d'un mauvais réveil et manqua s'étouffer quand elle avala de travers. Kanda la tenait comme sa chienne, fermement ancré dans ses cheveux. Un geste de lui et elle replongeait entre ses cuisses, un autre et elle était prête à faire tout ce qu'il ordonnait.

Mais l'ordre sec n'était pas pour elle et les jeunes gens se retirèrent d'elle aussitôt. A travers ses longs cils auxquels s'agglutinaient des résidus de sa gorge profonde, elle regarda son protecteur. le doux agent avait laissé place à un homme fort et dominateur. Comment ne l'avait-elle pas remarqué plus tôt? Cet aspect là lui plaisait et sa queue, encore plus. Comme un poisson cherchant l'air, elle chercha à happer à nouveau le sexe désirable qui n'était qu'à quelques millimètres de ses lèvres et voulut protester contre le vide soudain que son corps ressentait. Mais comme un jouet, elle fut manipulée pour être retournée sur le dos.

"Je....BLLLLLL !!"

Les testicules du garçon s'écrasèrent sur son nez et sa bouche fut emplie une nouvelle fois d'une queue bien différente de la première. Différente en taille, en épaisseur et en goût. La fille posa une main sous sa nuque pour donner à sa tête un angle plus approprié et deux secondes après, le môme vicelard s'acharnait dans sa gorge. Libérée de l'emprise de Kanda un court instant, elle eut un haut le cœur énorme et souleva le jeune sous l'effort. La gamine pesa alors de tout son poids sur elle pour la maitriser et à deux, ils en firent une superbe bouche à pipe. La sensation écœurante passa, la queue dans son gosier sembla grossir jusqu'à tout occupé. Son cou se déformait à chaque passage et la gothique accentua l'oppression en lui serrant la gorge comme si elle souhaitait l'étouffer. Saïki hoqueta une fois, deux fois et jouit superbement, son corps arcbouté en un angle improbable. Ce fut bref car Kanda revint aussi à la charge et l'encula comme une Bête sauvage, pilonnant son rectum, la ravageant et la poussant dans les ultimes retranchements de la raison.

5
Tassée et tordue dans une position inconfortable sur la banquette, Saïki se démenait pour se goinfrer de ce que ses partenaires avaient à offrir. Balayée la jeune femme stricte à la discipline millimétrée, balayée la morale dictée par des années d'efforts, terminés les retranchements dans une vie solitaire et aseptisée où le temps n'était jamais le sien. L'idole renaissait ce soir, l'esprit embrumé et perverti par la perfidie de Kanda/Asmodée. Non ... pas celle de son agent, mais la sienne, coupable d'avoir recalé et oblitéré sa liberté dans les méandres de son esprit. La jeune gyaru se lâchait. Son protecteur lui baisait la bouche avec toute l'amplitude dont il était capable. Son sexe glissait entre les lèvres pulpeuses de l'égérie pour s'enfoncer loin dans le goulet de sa gorge. Saïki fit des efforts. Si au début elle y mit les dents, elle comprit vite la manière de procéder et ses résultats furent appréciables. Elle n'était pas extensible et le gland de Kanda marquait une pause infime à chaque passage de sa luette, contraint par la résistance naturelle de sa cavité buccale à cet endroit là. Le goulet se resserrait mais une fois passé, la queue de l'homme plongeait loin dans le cou gracile, y imprimant sa marque à travers la peau fine. La bouche grande ouverte, l'idole le laissait la prendre de cette manière, pas soumise mais volontaire. Elle donnait de la tête autant qu'il la guidait et quand ses lèvres se refermaient sur la base épaisse du sexe, elle aspirait comme une morfale en quête de plus d'intensité. Son visage radieux combinait les affres de ce traitement brutal et le plaisir qu'il lui apportait. De son maquillage raffiné ne subsistait que des coulures noirâtres bavant de ses yeux sur ses joues. Son rouge à lèvres s'était vulgairement étalé autour de sa bouche lui donnant l'air d'une catin effrontée. Les gargouillis qui suivaient chaque intrusion dans sa gorge ajoutaient uns dimension sale à ce qui l'était déjà.

"GWWAARK GGLLLAAKK GGWWEEURRKK"
étaient les seules paroles compréhensibles qu'elle était capable de fournir tant l'homme y allait fort. Il semblait ne pas faiblir et elle ne le voulait pas non plus. Pour une fois, ce n'est pas elle qui dirigeait sa destinée et en l'état, ça lui convenait parfaitement. Sa prestation reflétait parfaitement son état d'esprit du moment et plus Kanda y allait fort, plus elle frémissait d'enthousiasme.

A l'autre bout de la banquette, le garçon la sodomisait au même rythme que son maitre lui prenait la bouche. Une fois passée la résistance naturelle du sphincter et le conduit anal dilaté, il put s'y déchainer en prenant appui sur le corps de sa victime. Ses coups de reins auraient pu briser des rocs. Il limait vite et bien comme si ce délice pouvait s'interrompre à tout instant. Saïki avait mal... mal car vierge de cet orifice mais l'extase qu'elle ressentait de se faire molester par ce passage là prenait le dessus sur tout le reste. Elle ne voulait pas que cela s'arrête, incitée d'autant plus à la débauche par la fille qui remplace sa langue par trois doigts impérieux.

Autour d'eux, la ville était devenue silence. Les brefs flashs des lampadaires les illuminaient brièvement, dévoilant tout le stupre qui se propageait dans la berline. Tama conduisait lentement, prudemment, trop absorbé par cette scène de baise à laquelle il s'inviterait volontiers.

A chaque commentaire de Kanda, Saïki tentait de répondre, ses mots étouffés par le membre gonflé qui occupait sa gorge. Ses tentatives se soldaient par des tsunamis de salive dévalant son menton et elle ne pouvait que faire comprendre son approbation en serrant la cuisse masculine de ses doigts tremblants.



6
Oh quelle libération que de céder à ses désirs les plus secrets, enfouis depuis trop longtemps sous une discipline de fer tranchante envers les bonheurs les plus charnels. Saïki se contorsionne entre ses partenaires. Sa poitrine ronde et nue est prise d'assaut par des langues habiles, ses jambes s'ouvrent sur une caresse inédite qui lui arrache gémissements sur gémissements. L'idole peine à trouver sa place. La contrainte de l'espace réduit se veut délicieuse mais elle voudrait être sur son lit à pouvoir offrir son corps sans retenue. Elle exhale un long soupir, se cambre sous une impulsion marquée de la jeune gothique et serre ses cuisses sur la tête de la fouineuse.

Ses mains s'activent  sur les sexes des deux hommes. Ses pouces et index encerclent les corolles des glands chauds et pressent la longue veine sur toute la longueur des queues alors que ses va-et-vient se densifient. Elle les masturbe frénétiquement comme si c'était sa seule occasion de pouvoir le faire avant de replonger dans le monde strict qui l'a élevé. Ses doigts agiles font des miracles et la réaction des hommes l'excite. Elle se sait belle et sexy, attirante, charmante et adorable mais qu'à cet instant elle soit bonne à baiser est ce qui la qualifie le mieux. Elle veut bouger, les chevaucher, s'empaler sur leur membre raide mais la place manque et entre ses jambes, l'orage est loin d'être terminé.

"Ah j'en peux plus! Arrête! Je ..."

Elle donne un coup de rein pour écarter la fille qui ne lâche rien, bien au contraire. La langue experte plonge loin en elle et l'idole laisse échapper un jappement de plaisir. Elle n'a pas d'autre choix que de se tortiller et pousser le garçon faire la portière pour prendre de l'espace et plonger sa tête entre les cuisses de Kanda. Elle se jette goulument sur sa queue et l'avale de moitié, pressant le membre entre ses lèvres. Dans sa bouche, c'est le chaos le plus total. Elle l'aspire bruyamment, le moleste, l'enlace de sa langue déchainée. Le gland malmené s'enfonce dans ses joues, râpe son palais, cherche sa voie jusqu'à ce qu'il atteigne sa luette. Le choc est frontal et brutal, elle hoquète, éructe, tousse sans toutefois l'abandonner. Elle le suce comme une affamée, tente à nouveau de lui faire passer le goulot de sa gorge et est de nouveau mise en échec par ses réflexes nauséeux. En d'autres circonstances, elle ne s'y serait même pas essayée mais là ... elle le veut.

De l'autre côté de la banquette, un duel à lieu entre les deux jeunes gens. Qui aura le bénéfice de sa chatte, si bien préparée. Saïki ondule du bassin, invitant le garçon à la prendre sans plus attendre. la fille semble autoritaire et l'équilibre se trouve quand avec un soupir, le garçon vient humecter sa queue entre les lèvres de la vulve trempée, avant de remonter d'un niveau et de lui perforer l'anus.

Saïki écarquille les yeux de surprise, se cabre, glisse sur la banquette, provoquant par là le passage direct de Kanda dans les tréfonds de sa gorge. Elle tremble de tout son corps, sous le coup de la douleur et de son plongeon dan l'interdit. Son orgasme la foudroie et la fille fait les frais de son plaisir alors qu'elle s'activait à envahir à nouveau son vagin. Le garçon n'a pas de manières. Il la sodomise durement, ravageant cet orifice vierge de toute insertion jusqu'à présent.

Et elle bave, oh qu'elle bave, la bouche emplit et utilisée comme ...

7
"Tama, attends!"

Le feu venait de passer au vert et le chauffeur pila de façon assez inélégante à la demande de sa maitresse. Dans le rétroviseur, son regard interrogateur scrutait la vitre de séparation teintée qui allait peut être se baisser.

"Ces deux jeunes là..."

"Oui?"

"Ils..."

Le garde du corps sortit précipitamment de la berline pour suivre Saïki qui s'en était extraite sans prévenir. Elle se dirigeait vers un jeune couple passif au look moderne. Professionnel, Tama appréhenda le terrain, l'environnement et tout ce qui était susceptible de nuire à sa patronne pour qui il avait une admiration sans bornes. Il était un peu inquiet. Les évènements de la journée l'avait surpris de par leur nature contraire aux habitudes de l'idole, d'ordinaire si minutieuse dans son emploi du temps. Elle avait agi curieusement et encore une fois le prouvait par cette sortie impromptue.

"Je vous ai déjà vu tout les deux."

Ils ne répondirent pas vraiment, mais leur attitude incitait à une découverte plus intrusive. Leur regard et leur gestuelle demandait plus que ce qu'il n'y paraissait. L'air était lourd soudainement, et la même impression d'humidité fit serrer ses cuisses à Saïki. Tama n'en menait pas large non plus et il se surprit à mater les fesses de sa patronne moulées dans sa robe indécente. L'idole eut subitement très envie de ... baiser. L'impression irrésistible qui s'ancrait en elle la déstabilisait, brisant tous les codes de conduite qu'elle se devrait de tenir. Après tout, à leur manière de la regarder, ils ne seraient pas contre une aventure avec celle qui hantait les rêves de plus d'un fan. Elle opta pour la manière abrupte plutôt que de se perdre dans des explications confuses.

"Un verre chez moi, ça vous dit?"

Ils approuvèrent et Tama leur tint la portière de la voiture pour que tous y entrent. Le salon de cuir était spacieux mais ils durent se serrer sur la banquette arrière.  Saïki se serra contre Kanda et sa main se posa peut être involontairement à l'intérieur de la cuisse de son agent. Elle ne l'ôta pas et bien au contraire, renforça la pression de ses doigts alors qu'ils glissaient un peu trop vulgairement plus haut. Le jeune garçon se colla contre elle puis suivit la fille. Tama referma la portière, dans un état second, enviant les deux invités, puis s'assit à sa place et la berline reprit sa route. Encore une fois, il regarda la vitre le séparant de l'arrière et il se demanda ce qu'il pourrait s'y passer.

La main libre de Saïki vint tout naturellement se poser sur la jambe du garçon, au même endroit que sa jumelle et elle ne l'enleva pas non plus. Imperceptiblement, elle imprimait de légères pressions alors que son esprit bouillait d'une envie furieuse de se désaper là, maintenant. A un moment, elle n'eut plus d'issue à explorer et ses poignets butèrent contre ce qui tout naturellement, l'attirait depuis le début. Elle daigna enfin plonger son regard dans celui de Kanda. Il brillait de désir et de tout un tas de fantasmes tous plus obscènes les uns que les autres. C'est à ce moment-là qu'elle ne prit plus de gant et leur attrapa leur paquet pour les branler avec passion.
 

8
Assise à Sa place, Saïki ne disait mot. Elle avait chaud, son corps bouillait d'une énergie ne demandant qu'à être mise à profit. Ses sens semblaient s'être exacerbés et des bribes de discussions parvenaient à ses oreilles. Le quatuor masculin commentait en termes crus son intrusion. A d'autres tables, des questions fusaient, des interrogations demeuraient quand à ce qui avait peut être été, ou pas. Une femme s'offusquait, un homme temporisait, arguant la jeunesse moderne. Il perçait une certaine jalousie dans ces paroles. L'idole était empourprée. Elle sentait l'odeur des mâles en rut, en était imprégnée, et serrait sa main coupable contre sa poitrine. Pourquoi avait-elle fui? Par principe évidemment! Ce n'était pas quelque chose à faire dans un restaurant. Elle se surprit aussitôt à blâmer l'endroit et pas son comportement. Elle s'affaissa contre le dossier de sa chaise, un sourire de requin aux lèvres. Et puis après tout .... Elle tournait la tête dans la direction où tout avait commencé et ... fut coupée dans son élan par Kanda.

"Sans jugement aucun, Saïki-chan, je pense que tu t'es parfaitement trouvée."

Encore une fois, l'ordre et la mesure la rappelait à la discipline. Elle exhala longuement avant de saisir son verre d'eau pour en boire quelques gorgées. Tout autour d'elle, le monde entier semblait vouloir attiré son attention. Mais ... hein? Quoi? Elle tenta de se concentrer à nouveau sur Kanda.

Qu'entendait-il par là? La remarque était à interpréter  dans quel sens? Tout allait très vite. Il devait parler de son virage professionnel bien entendu! Pas de sa déliquescence manifeste au contact d'hommes qu'elle ne voyait même pas. Salope! s'intima t'elle, mais sur un ton laissant entendre que c'était bien le cas.

"Je ... oui ... en effet! Et encore merci pour tout. Sans toi, je ne serais plus qu'une âme perdue."

Sa voix était un peu particulière, féminine mais teintée d'une légère âpreté et le silence se fit autour d'eux. Des hommes guettaient, cherchaient la présence de leur si particulière voisine. Saïki se racla la gorge et continua tout bas.

"De rentrer? Maintenant?"

Elle hésita, si ils partaient maintenant, elle perdrait peut être cette sensation qui pesait délicieusement sur son bas-ventre et à cet instant, elle était dans l'indécision la plus totale. Mais des années de discipline revinrent la sauver au grand galop. Elle se redressa bien droite et arrangea sa tenue.

"Tu as raison, c'était une excellente soirée mais il est temps de partir."

Le temps qu'un responsable réponde à leur demande et que l'addition soit réglée, ils sortaient de l'établissement. Un concert de cris les accueillit et la sécurité, renforcée,  en prévision de la sortie de l'idole, par un manager réactif, dut résister à l'assaut de fans déchainés. Saïki alla à leur rencontre, les apaisa et les remercia pour leur soutien, leur promettant de nouvelles chansons très bientôt. Et puis le calme apaisant du salon de cuir de la limousine les berça ensuite. L'idole avait du mal à regarder Kanda dans les yeux. Ce qu'elle avait vécu ce soir, et cette journée, avait été moralement une épreuve à traverser. Elle lissa sa robe. Maintenant que tout était terminé, elle trouvait qu'elle ressemblait à une pute. Elle serra les cuisses et se tourna vers la rue. Tama conduisait en souplesse et les lumières de la nuit se reflétaient sur les vitres de la voiture. La nuit, Seikusu se parait des couleurs flashy des néons omniprésents. Saïki aimait la nuit. Elle soupira, elle était fatiguée à présent.

"Un dernier verre chez moi?"

9
La galoche qu'il lui colle est passable, très franchement, mais l'élan est sincère et Mizuho ne pense même pas à faire une remarque désobligeante. Ce petit con lui plait et bien qu'il l'ai traitée de tordue, elle a des plans très précis pour lui. Ils unissent leurs langues en un baiser baveux qu'elle accentue volontairement en se pressant contre lui. Les fluides, elle aime ça. Plus il y en a mieux c'est et quand il la délaisse avec une grimace de dégoût, elle ne peut s'empêcher de rigoler en aspirant le filet gluant qui pendouille de son menton.

"Non, ce n'est pas dégueulasse. Moi, j'adore ça. je pourrais en avaler toute la journée."

C'est bien ce qu'elle faisait d'ailleurs fréquemment et dès qu'elle en avait l'occasion comme aujourd'hui. Sous ses airs de jeune étudiante, elle était une véritable bouffeuse de bite. Elle s'en goinfrait sans modération et n'avait aucun complexe à ce sujet. Le seul changement récent la concernant était qu'elle avait décidé de s'assagir. Elle n'allait plus sucer des queues mais une seule, toujours la même, celle de son petit copain car à son âge, quasiment toutes les autres filles étaient casées et en tant que senpai, il lui fallait montrer l'exemple. Akira était un choix murement réfléchi. Il avait du charme, excitait les étudiantes, entretenait un physique agréable et ... avait une très grosse queue. Elle n'allait pas le lâcher comme ça et il allait falloir qu'il s'accroche car sortir avec une prédatrice comme Mizuho était un challenge majeur.

Et puis, il apprenait vite, passant dans la brusquerie ses ignorances en matière de sexe. il venait de la saisir par la nuque et amena le visage de la jeune fille entre ses cuisses. C'est tout ce qu'elle demandait.  Elle a demandé qu'il lui baise la gueule et c'est ce qu'il fait. Son gros sexe perfore la bouche de Mizuho pour racler et labourer ses muqueuses, le bombé de ses joues et l'étroitesse de son gosier. Elle lui sert d'exutoire et elle garde les mains bien sages sur les cuisses de son nouveau petit copain. Sa tête suit les mouvements imposés par Akira et l'angle difficile de la pénétration ne fait qu'augmenter son envie de ... plus fort. Elle gémit d'envie, gargouille des encouragements étouffés dans des éructations crasseuses, plonge plus profondément sur cette queue quand les limites physiques l'empêchent de passer la luette. Elle manque vomir, se ressaisit in extremis, rote et tousse un geyser de bave jaunâtre, des larmes pleins les yeux. Son rimmel coule et marque ses joues de longues trainées noires. Elle adore et secoue la tête quand les couilles d'Akira ressent contre son menton. Elle voudrait les lécher mais il ne la laisse pas faire, trop occupé à la malmener. Elle est comblée, il l'insulte et à la première volée d'insanités, elle glisse une main entre ses cuisses pour se caresser. Le traitement est sale et vulgaire et Akira se rend compte qu'il y a peut être été un peu fort et la repousse comme on jetterait un truc usagé.

Mizuho se redresse, luisante de bave, son noeud de cravate défait et sa chemise déboutonnée jusqu'à la poitrine. Les résidus de fellation ont coulé entre ses seins et elle y glisse un doigt qu'elle porte ensuite à sa bouche. Elle murmure juste, confidente.

"Ne t'excuse pas, tu as tout compris."

Puis ...

"Viens!"

Elle se lève et l'entraine derrière un local technique où elle s'accroupit dos au mur. Experte, elle le défagote en un instant et se réjouit en frappant dans ses mains devant ce sexe qui a tout l'air d'être inépuisable. Puis elle guide les mains d'Akira sur sa tête et ouvre grand la bouche en tirant la langue.

"AAAAHHHHH!!!"

Comme chez le docteur ...

10
Il régnait une température d'enfer dans ce maudit restaurant. Saïki avait chaud et résistait difficilement à l'effervescence qui s'était emparée de son corps. Bridée par des années d'efforts et d'investissement personnel, c'était comme si quelque chose en elle avait choisi cette soirée pour se libérer. Tout comme au studio, plus tôt, elle avait sa culotte trempée. Comme souffrante, le front écrasé contre son avant bras, elle haletait, en proie à cette idée persistante qu'elle devrait profiter de cet anonymat de circonstance pour oser l'impensable. Lutter contre cette forme vicieuse de luxure était difficile. L'esprit sérieux et rationnel de Saïki était aux prises avec ce vide de concupiscence physique qu'elle trainait avec elle depuis bien trop longtemps. Elle mit cet état sur le compte de l'alcool mais revint bien vite sur cette idée. Elle arrivait à réfléchir, à raisonner, à se retenir, mais insidieusement , la petite voix mesquine qui l'incitait à plus de débauche, sa voix à elle, prenait de plus en plus d'espace dans son raisonnement.

Un gémissement ténu lui échappa et son cœur fit un bond dans sa poitrine. Sa main avait glissé entre ses cuisses et elle se caressait doucement. Son visage vira au cramoisi et elle exhala un râle de plaisir qu'elle étouffa dans sa serviette. Quelque part, dans les profondeurs de ses pensées décisionnaires, un verrou et céda et un torrent de désir la submergea.

"Je ... j'arrive ... Il me faut ... encore ..."

L'idole de toute un génération se leva, faible sur ses jambes et se redressa. Elle respira profondément, raffermissant son emprise sur elle-même. Son regard, bien que caché, passa de troublé à assuré avec une teinte de vice en guise de voilage. Quelques secondes de plus la confortèrent dans son choix et quand elle fit un pas, ce fut pour se diriger sans hésiter vers la table de quatre où les hommes continuaient de converser.

Comme guidée par un sens nouveau, elle ne trébucha sur aucun obstacle et ne s'arrêta qu'à quelques centimètres de l'un d'eux. Parler n'était pas utile. La chanteuse laissa ses doigts courir sur les épaules de l'homme qui frémit en retour. Saïki apposa ensuite sa main contre la poitrine du chanceux et pressa pour qu'il s'assure que la caresse soit volontaire. Immédiatement, une main masculine remonta comme un tranchoir entre les cuisses de Saïki pour venir s'ancrer à seulement quelques centimètres de son intimité. Elle rabattit la tête en arrière et trembla de tout son corps, la bouche ouverte sur un cri silencieux. De l'autre côté, elle imposa à un autre convive le même traitement et l'homme réagit de la même manière que son voisin. Des interrogations discrètes fusèrent, auxquelles il fut répondu par l'affirmative. Le doute plana sur la tablée un court instant, avant que les deux derniers se lèvent et viennent à tâtons se coller derrière l'idole. L'un d'eux, très cavalièrement vint se frotter au fessier de Saïki, il était dur et tendait le tissu de son pantalon à le faire craquer. Il se colla à elle et lima le creux de ses fesses tout en la prenant par les hanches. Les deux autres qu'elle caressait se levèrent et les mains de Saïki restèrent au même niveau mais pour s'attarder contre des braguettes prêtes à exploser. Elle serra ses doigts autour de choses qu'elle crevait d'envie de découvrir aussi elle s'activa à les cajoler, les caressant sur toute la longueur. Le dernier des quatre hommes put se glisser devant elle et sans ménagement, après palpations, découvrit sa poitrine en tirant sur la robe de stretch. La seconde d'après, il la pelotait sans vergogne et elle dut se mordre les lèvres pour ne pas crier. Coincée au centre du quatuor, Saïki vivait un grand moment d'extase. Derrière elle, l'homme se mit à gigoter comme s'il la prenait, devant elle, l'autre fit de même donnant au rythme une aura de sexualité dépravée. Ils la caressaient, ne laissant aucune partie de son corps souple inexplorée.

Un Ziiiiiip discret fut émit et aussitôt une masse chaude et collante vint se loger entre ses doigts. Elle sortit de sa transe à ce moment-là, soudainement consciente de se qu'il se passait. Elle sursauta et bredouilla une excuse inintelligible et réussit à s'extraire de ce piège. Désorientée, elle se perdit et s'effondra sur les genoux de quelqu'un. Kanda la rattrapa au vol, frôlant un sein arrogant au passage. Saïki fit un effort immense pour ne pas se faire remarquer et parvint après s'être excusée à rejoindre sa place. Elle haletait, toujours sous l'emprise de ses pulsions. Son combat interne était d'une violence inouïe. Ses yeux brillaient de peur et d'excitation.

"Je me suis perdue..."

La seconde d'après, les yeux rivés sur son agent, elle léchait sa main, celle qui avait serré le sexe de l'inconnu, sur toute la longueur de sa paume, en un geste pornographique hautement significatif.

11
Les gorgées de vodka lui brûlaient la gorge, intenses caresses calmées par l'arrivée tardive du jus de tomates. Saïki passait un moment délicieusement excitant. Kanda avait raison, pourquoi ne pas en profiter. Ces dernières années avaient été synonymes de travaux forcés entièrement dédiés à l'évolution de sa carrière. Elle avait travaillé si dur qu'elle en avait oublié le principal: vivre. C'était le triste lot commun des idoles tant la concurrence était rude et sans pitié. Mais aujourd'hui, la roue tournait. Les efforts  à fournir n'en seraient pas moins exigeants mais quand une autoroute à succès s'ouvrait sous vos pieds, on avait toutes les raisons d'être d'excellente humeur. La proposition hasardeuse et risquée de l'agent la fit rire. L'alcool aidant, ce joli son cristallin trouva en écho les murmures commentés de voix masculines tout autour d'eux. Est-ce l'air un peu chaud qui attisait les convoitises de leurs voisins ou bien se faisait-elle des idées guidées par les vapeurs de la boisson.

Comme une proie chassée par un prédateur implacable, Saïki jetait des regards curieux vers la provenance des sons qu'elle captait. Inconsciemment, son index courait le long de sa gorge jusqu'au creux de son décolleté déjà profond pour tirer le tissu léger vers le bas. Sa respiration s'accéléra quand les quatre hommes qu'elle avait par mégarde abordée s'esclaffèrent ensemble. Etaient-ils beaux et désirables? Leurs mains sur son corps ...

Le serveur vint perturber ce début de songe à teneur hautement érotique et elle sursauta avant de se ressaisir. Ce qu'on leur servit était aussi raffiné que le vin blanc était exceptionnel. Mais il n'était jamais bon de mélanger vin et vodka en aussi peu de temps. Saïki étant une ascète et aficionada de la condition physique, la réaction chimique rendue par le mélange des deux liquides eut un effet pour le moins déconcertant.

L'idole se mordit la lèvre, anticipant ce qu'elle allait oser faire, et oubliant que peut être quelqu'un pouvait voir dans cette obscurité. Elle tira sur le haut de sa robe, dévoilant ses seins avant de commenter.

"Ouvrir ta chemise? Quelle drôle d'idée ... Et tu trouverais cela excitant?"

L'instant d'après, elle serrait tellement ses cuisses pour retenir une éruption qu'elle en eut le souffle coupé. Sa jolie poitrine avait réintégré son écrin et elle trouva refuge en faisant un sort à son poisson. Son cœur battait la chamade. Braver le code lourd et compliqué de la bienséance sociale nippone coûtait cher quand on l'avait gravé en soi. Mais n'étais-ce pas pour cela qu'était né le Dark Phoenix? A cette pensée, elle s'assombrit, la combattante prenant le dessus sur l'euphorique. Le souvenir de l'image de Toshiro et de la gamine forniquant lui fit l'effet d'une douche froide. Ils venaient de s'effondrer par un jeu qu'elle menaçait de débuter elle-aussi. Il y avait une différence entre provoquer et dépasser la limite de l'exhibition sexuelle.

Saïki réajusta sa tenue et se tint bien droite à sa place. Bien sûr, elle seule savait ce qu'elle venait de faire. Ce serait son petit secret et même si cela lui avait plu, elle ne recommencerait pas.

"Ce poisson est délicieux, une vraie merveille. merci de me faire découvrir cet endroit si spécial."

Elle but de l'eau, abandonnant dans un effort de volonté, le vin.

"Encore un peu et je me laisserais entrainer dans les bras du démon ..."

A cette évocation, elle crut s'embraser et s'effondra sur ses avant-bras posés sur la table. Son front était chaud et elle se dit avoir trop bu. Elle releva un œil brillant de luxure et tourna la tête vers le quatuor, toujours le même. Mais pourquoi avaient-ils des voix si sexy?

"Tu ... tu apprécies l'endroit?"

Vite! trouver une échappatoire émotionnelle ... et résister!

12
A.d.o.r.a.b.l.e. ! Le rougissement d'Akira et son balbutiement étaient super mignons. Mizuho le capturait directement et en public, et les deux garçons qu'elle connaissait de vue qui le suivaient étaient encore plus écarlates. Mais même si elle leur adressa un petit sourire d'excuse parce qu'elle leur volait leur chef, ils ne comptaient pas dans ses plans. C'était amusant de le voir réagir, tout gêné, un peu maladroit alors qu'habituellement il était la confiance en soi incarnée. Mizuho lui prit la main pour avancer dans le couloir et elle prit tout son temps pour l'emmener sur le toit. Ils croisèrent des classes entières se ruant à l'assaut des jardins et parcs du campus pour déjeuner. Tous se taisaient en les croisant. Les garçons jetaient des regards de jalousie lourds de reproches à Akira, oubliant sous l'emprise de la colère son statut de caïd tandis que les filles évitaient de leur porter des regards trop insistants. Des jolis couples, il y en avait pleins et qui ne cachaient pas leur proximité. Ils déambulaient ensemble, partageaient leur repas et parfois même s'autorisaient à un baiser quand il n'y avait pas de surveillants aux alentours. Ils alimentaient les papotages et les rumeurs mais il n'y avait rien de mal à ça. C'était la vie normale sur un campus japonais.

Seulement là, Mizuho et Akira se tenaient par la main, aux vues de tous. C'était presque aussi érotique qu'un show de cabaret pour adultes. L'une était la reine du lycée, et l'autre le maitre des hors la loi. Ca allait parler entre les bentos à midi et tout le bahut serait au courant avant la reprise des cours. Ce petit salopard d'Akira avait fait main basse sur celle que tous rêvaient de peloter. Beaucoup pleureraient en se masturbant ce soir...

En réalité, Mizuho dominait naturellement la situation. Elle tirait Akira derrière elle sans lui laisser le choix de pouvoir s'échapper. Sur le toit, il faisait bon. Un petit vent altérait la chaleur des rayons du soleil et les jardiniers du campus avaient installé des citronniers et des orangers à côté des bancs et des bacs à fleurs. En plus d'être odorants, les fragrances des agrumes repoussaient les moustiques.

“Tu voulais parler de quoi ? je suis désolé d’avoir… Joui si vite tout à l’heure, je n’ai pas trop l’habitude… Tu as faim ? J’ai un bento si tu veux.”

Mizuho mit sa main devant sa bouche et lâcha un petit rire de gorge. Il était si mignon, presque timide à éviter son regard. Elle lui répondit, malicieuse.


"Ne t'excuse pas. Tu as fait ce qu'il fallait. Je voulais te sucer depuis un moment. Je t'avais repéré et je savais que tu serais un bon coup. Les puceaux sont toujours les meilleurs et ... "


Elle tapota à côté d'elle, sur le banc sur lequel elle s'était assise, pour qu'il vienne la rejoindre.


"... la deuxième fois est toujours plus savoureuse avec vous, comme si vos couilles se remplissaient de sperme encore meilleur après s'être vidées."


Elle parlait d'expérience. C'était une affirmation. Elle glissa sa langue dans l'oreille d'Akira avant de lui murmurer.


"J'ai encore faim de toi."


Le ziiiiiiiiiiiip de la braguette du pantalon d'Akira qu'elle descendit indiquait le suite. Elle libéra d'une main experte la queue énorme qui ne demandait que ça et y posa son nez pour s'enivrer de sa forte odeur de musc.


"MMmmmh c'est bien, tu ne l'as pas lavée."


Mizuho plongea sur sa cible en lissant une mèche tombante derrière son oreille. Elle l'y maintint d'un geste gracieux et s'appliqua à se mettre en bouche le gland gonflé d'Akira. Elle le titillait de la langue tout en le gardant au chaud, ses lèvres verrouillées autour du manche. Elle lui fit visiter la souplesse de ses joues en l'y poussant confortablement. L'entrejambe d'Akira sentait fort et elle se délectait de cette odeur masculine souillée. Sans trop appuyée sa fellation, elle hochait la tête en rythme pour s'adonner à sa passion.

La porte d'accès au toit grinça et elle s'arracha à sa pipe pour se redresser en une seconde. Mizuho attrapa le bento qu'Akira exhibait l'instant d'avant et lui plaqua entre les cuisses. Les lèvres de la salope luisaient et un filet de salive brillait sur sa joue. un surveillant apparut, faisant une ronde pour s'assurer que tout aille bien. Il tiqua en les voyant et s'apprêta à dire quelque chose en s'approchant mais Mizuho prit les devants.


"Bonjour Akiyama-sama, vous aussi profitez de ce beau temps pour venir déjeuner sur le toit? Akira-kun m'a préparé un bento bien ... juteux. Vous voulez goûter?"


L'autre, une brute épaisse, savait très bien à qui il avait à faire. Il jeta à Akira un regard lourd de jalousie et fit demi-tour en grognant.
Mizuho rit joyeusement avant de se lover à nouveau contre lui.


"Baise-moi la bouche Akira-kun. Tu veux bien?"


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Re-bienvenue :)


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C'est marrant comme la terreur des couloirs du lycée peut être bien obéissante en position de faiblesse. Complètement réceptif à la demande de Mizuho, Akira trouve après le départ de l'intruse une nouvelle liberté qu'il extériorise en osant prendre une initiative. Le jeune garçon est prêt à exploser, la manipulatrice le voit bien. Aussi, elle le laisse faire, les mains maintenant bien sagement posées à plat sur ses cuisses. Elle mouille follement, totalement investie dans la tâche qu'elle s'est fixée, c'est à dire déguster tout ce que le garçon va bien pouvoir lui lâcher. Elle adore ça, savourer les fluides masculins qu'elle extirpe savamment de ses partenaires. Elle n'est ni détraquée, ni malade mentale, c'est juste qu'elle aime ça, point final.
Akira glisse en toute facilité dans les profondeurs de sa gorge, zone inexplorée jusque-là. Elle pensait épargner au puceau la folie de cette pratique là mais puisqu'il décidait d'y plonger, elle n'allait pas l'en empêcher. Le facefuck qu'elle subit est fébrile, amateur, désordonné. Un pro l'aurait faite gémir mais là, elle se contenta de tirer la langue et d'ouvrir grand la bouche pour le laisser passer sans encombres. Mizuho avait eu la surprise de le découvrir énorme mais ce n'est pas pour autant qu'elle avait du mal à l'accepter. Tout récemment, un touriste américain, un grand black membré comme un taureau, l'avait déboitée pendant une heure et elle avait toussé pendant des jours, la gorge toute irritée. Il faudrait qu'Akira délivre plus de vigueur pour la laisser dans cet état.

Elle n'eut pas à attendre longtemps. Le peu d'expérience du garçon joua contre lui et il jouit sans pouvoir plus se retenir. Elle l'attendait et qu'il vienne comme il le fit l'enchanta pour la journée. Elle attendit d'avoir la bouche pleine pour avaler et ne ferma pas les yeux quand il s'étala sur son visage.  Il s'épandit à foison.  Akira la tartinait outrageusement et elle rit devant tant de vitalité. Des bulles de sperme gonflèrent sous ses narines quand une giclée remonta insidieusement par son canal nasal.

Motivé, Akira revint au fond de son gosier pour lâcher une énième éjaculation. A elle, ça ne posa aucun problème tant qu'il y avait à boire. Elle patienta en le regardant bien dans les yeux et la commissure des ses lèvres étirées exprimaient un sourire de satisfaction. Akira se tenait aux parois comme s'il s'en servait pour rester loger loin en elle. Il se vidait abondamment et Mizuho lui montra son pouce pour qu'il comprenne qu'elle validait la manière.
Afin d'être sûre de ne rien perdre, elle mit ses mains en coupe sous son menton pour récupérer le plus possible le savoureux nectar qui la rendait folle. Akira avait terminé et se rabattit contre la porte l'air ahuri. Elle pencha la tête en arrière pour verser ce qu'elle avait pu sauver dans sa bouche et déglutir bruyamment.


"Ca t'as p...."


"Je... je dois y aller Mizuho Sempai !"

Elle n'eut pas le temps de terminer qu'Akira s'enfuit comme un voleur prit la main dans le sac, la laissant couverte de sa gloire. Mizuho sourit. Akira ne savait pas ce qui venait de lui tomber dessus. La princesse du campus quitta sa cabine pour aller s'observer dans un miroir au dessus d'un évier. Elle aima ce qu'elle vit et lécha ses mains avant de venir chercher les trainées de sperme du bout de l'index pour ensuite les porter à ses lèvres. Délicieux! le goût était unique en son genre, c'était une belle trouvaille. Ensuite, elle constata les dégâts sur son uniforme et fit le maximum pour restaurer un semblant de dignité à ses vêtements. Pour le reste, un peu d'eau suffit.

Elle alla ensuite jusqu'à son casier pour se refaire une beauté. Elle avait toujours tout ce qui fallait pour réduire les dégâts ... La sonnerie sonna peu de temps après qu'elle eut terminé et elle venait d'arriver à l'un des étages des salles de cours. Akira allait sortir, elle avait regarder le planning des classes et savait dans laquelle il était.

Elle s'adossa au mur, face à la porte, les cuisses croisées et les mains dans le dos.

La porte s'ouvrit et une horde d'étudiants en sortie, excitée par la perspective d'une pause bienvenue. Tous firent silence en la voyant et baissèrent les yeux. Mizuho était TRÈS connue sur le campus. Quand Akira parut entouré de sa bande, elle lui adressa un sourire sans équivoque. Une mèche de ses cheveux pointait un peu, collée par un amas de sperme qui lui avait échappée.


"Bonjour Akira-kun! Tu veux bien venir marcher un peu avec moi?"


Elle comptait l'emmener sur le toit du bâtiment, ouvert aux élèves, notamment pendant la pause-déjeuner. Mais ce n'est pas de Bento dont elle avait envie.


15
"Oups! Hey! interdit de gâcher la moindre goutte!!!"

Mizuho se précipite pour laper d'un coup de langue râpeux la grosse queue sur toute sa longueur afin d'en prélever tout ce qui en coule. Elle marmonne un truc pas compréhensible et déglutit.

"A partir d'aujourd'hui, tu n'as pas le droit de gicler ailleurs que dans ma bouche ou sur mon visage d'accord?"

Le visage contre le sexe d'Akira, la goule s'imbibe de tout ce qui l'excite: la grosseur d'une belle bite, sa capacité à délivrer un max de sperme et à terme, jusqu'où elle pourra s'enfoncer dans sa gorge.

"Y'a pas de mal, n'hésite pas."

Akira venait de lui saisir la tête et s'agitait contre elle. Elle le laissa faire, qu'il prenne confiance et surtout que ça puisse durer le plus longtemps possible. Elle levait les yeux vers lui pour capter son regard et ne plus le lâcher. Qu'il était loin le petit dur qui se la jouait sur le terrain du campus. Il pouvait tenir tête sans problème à trois élèves plus âgés que lui et là, il n'en menait pas large face à une simple fille. Mizuho glissa ses mains sous la chemise du garçon et les remonta haut pour malmener ses tétons. Elle faisait des ravages avec sa langue qui paraissait interminable. Autant elle s'activait à la glisser pour écarter les lèvres du prépuce, autant elle s'enroulait autour du manche pour le râper sans merci.

C'est à ce moment-là que la porte des toilettes s'ouvrit à la volée et qu'une personne vint s'installer dans la cabine à côté de la leur. Mizuho posa son index sur ses lèvres et intima le silence à Akira. Ce n'était normalement pas nécessaire mais aux vues de l'état du garçon, un petit rappel était de mise. Ils entendirent un froissement de vêtement, puis un pet et le bruissement pressé d'un long jet d'urine. Mizuho sut mettre à profit la pétrification subite d'Akira en pressant ses lèvres autour du gland du garçon. C'était chaud et dégageait les effluves de la journée. La jeune salope s'en délecta en soupirant et le pompa avec application. Elle n'avait pas besoin d'appliquer une fellation magistrale, elle sentait bien que sa victime ne pourrait pas tenir longtemps. Aussi, elle s'appliqua à déguster la protubérance sans lui laisser le temps de récupération dont Akira avait fatalement besoin.

A côté, l'utilisatrice avait fini et quitta les lieux après avoir tiré la chasse d'eau. La pipe de Mizuho se fit plus pressante, plus affamée et entre deux aspirations, elle cajolaient cette queue contre son visage comme une petite fille à sa poupée. Les succions devinrent obscène et si Akira essayait de bouger, elle l'enlaçait de ses bras pour le garder au contact de sa bouche.

Une alarme lança un bip d'avertissement et sans cesser de sucer, Mizuho regarda sa montre. elle mâcha littéralement le gland tourmenté quand elle lui dit.

"Il va falloir que tu retournes en cours."

Du coup, elle le branla en douceur des deux mains, juste devant sa bouche grande ouverte, langue tirée. Il était temps qu'elle se nourrisse.


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