Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Spyro

Pages: [1] 2 3
1
J'expulse un bref instant l'air de mon museau tout en grognant, lorsque je vois la "pauvre fille" complètement terrorisée par ma présence. Mon regard impitoyable s'intensifie, alors que je commence à lui montrer mes dents pointues, dans un sourire volontairement carnassier. C'est alors que je remarque très vite sa chatte, juste au moment elle se pisse franchement dessus. La voir à ce point avoir aussi peur de moi et pour sa misérable vie de pathétique bipède toute branlante, me fait immédiatement partir dans un fou rire à la fois méprisant et diabolique.

- Hahaha... Hahahahahha... Hahahahahahahaha...

Soit cette allumeuse venait tout juste de s'envoyer en l'air avec une saloperie de son espèce, soit elle fantasmait de vouloir se faire violer comme une catin par le premier idiot qui passerait à sa portée, à la voir sans culotte. Alors pendant tout le temps où mademoiselle la pisseuse urine sur le sable qui se mouille rapidement entre ses cuisses, je la regarde faire avec autant d'amusement que de cruauté. Dès qu'elle a terminé de soulager son besoin de première nécessité, je me rapproche tranquillement d'elle. tandis que mes pattes s'enfoncent imperturbablement dans le sable, je passe d'abord mon museau sur sa chatte détrempée de sa propre urine que je renifle, avant de remonter un peu plus vers son ventre.

- Mais quelle vilaine fille! Ce n'est pas bien de se laisser aller comme ça, tu sais? Et venir ici toute seule sans personne. Sans avoir au moins de quoi te défendre contre les vilains méchants, ce n'est vraiment pas très prudent... Et en plus, la pauvre petite ne porte même pas de culotte.

Sans lui laisser le temps de réagir, je lui frappe violemment la tête avec le plat de la patte. Dès qu'elle touche son crâne, j'entends un bruit d'impact sourd. Cela ne lui fera pas de mal, mais ce sera déjà bien assez pour continuer de lui faire encore plus craindre ma présence, mais aussi la sonner le temps de quelques instants.

- Je cherchais un diner et il se trouve justement que tu es arrivée pile au bon moment...

Je profite de son l'inattention de cette salope pour lui déchirer ce sous-vêtement idiot, que la plupart des ces femelles portent. Un coup de griffe sans toucher une seule fois à sa peau de petit bébé fragile, suffit à déchirer ce tissus futile. Quant à son haut, j'écarte grand ma mâchoire pour aller me saisir de celui-ci. Pendant que je grogne, je la tire très violemment. Je secoue plusieurs fois la tête et je commence à la trainer dans le sable, jusqu'à ce que celui-ci se déchire grande en partie, presque aussitôt.

-Aaaaarrrrh! Grrrrr! Aaaarggh!

Une fois que je l'ai autant secouée qu'une proie que j'aurais éventrée avant d'en décrocher les boyaux, je recrache le gros morceau de tissu qui est partit avec, tout en la regardant avec mépris et furieuse excitation en même temps. sans connaitre cette fille, je la détestais déjà. Je détestais tout simplement parce que c'était une humaine! Et elle allait devoir être à mes pattes, si elle ne voulait pas que j'en fasse vraiment mon repas une fois pour toute!

- Dis-donc, c'est que tu as une sacrée paire de seins pour une sale grosse vache à lait, tu sais? Tu crois que si je te mettais enceinte fertilisant tes ovules avec mon foutre draconnique, que je pourrais en profiter pour le gouter après?...

J'écrase violemment l'un de ses seins, tout en continuant de l'observer avec agressivité. J'avais vraiment très envie de tuer cette pute! Mais en même temps, je ne voulais pas laisser une occasion de m'amuser avec une proie pareille!

- Ecoute moi bien, espèce de grosse crevure avec tes horribles cheveux. Si tu veux avoir une chance de ne pas voir tes membres éparpillés aux quatre coins de cette plage, tu vas faire exactement tout ce que j'attends te toi! Et pour commencer à me montrer ton obéissance de cloporte d'humaine remplie d'ordures infâmes jusqu'à la bouche, tu vas me montrer ce que c'est que d'être un vrai déchet! Un tas de merde sur pattes, qui aime bouffer ses propres excréments!

Bien que peux tout à fait utiliser mes pattes articulées, je me sers plutôt ma gueule pour lui attraper les cheveux par le côté. Je la force à se relever, pour qu'elle se mette accroupie. Je continue de lui parler, sans vraiment être gêné par cette prise aussi inexistante pour moi, que d'attraper une feuille.

- Je crois que c'est aussi comme ça, que les femelles de ta sous-race se mettent pour pondre leur progéniture nauséabonde, après s'être prostituées au bord des grands chemins ou dans ce que vous appelez chez-vous des "bordels"? Alors écoute moi très attentivement et ouvre grand tes oreilles, la pisseuse. Puisque tu as l'air d'aimer jouer avec tes déjections, tu vas commencer par me sortir ta plus grosse bouse ici sur le sable! Je veux te voir chier ta merde par terre, devant moi! C'est clair? Et quand ça sera fait, je vais te la faire bouffer, tout en te baisant la chatte qui sert à faire reproduire ton insupportable race de mammifère écoeurante! Est-ce que je suis assez clair pour toi ou je dois te le répéter, après t'avoir scalpé ton sale crâne de piaf primitif?

Je lui secoue la tête, tout en enserrant bien une partie de ses ridicules cheveux roses, avec mes dents de chasseur sanguinaire et impitoyable.

- Allez! Chie maintenant par terre! Et pousse bien fort, si tu ne veux pas que je la fasse directement sortir en t'arrachant moi-même les intestins! Vas-y pousse!

Tout en gardant ma parfaite emprise dominante sur elle, je commence à lui frôler la peau du ventre avec l'une de mes pattes griffues pour l'intimider.

2
Les contrées du Chaos / Re : Rencontre écailleuse [Pv Spyro]
« le: lundi 25 avril 2022, 19:57:33 »
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- Non... Ne partez pas non... Restez encore un peu avec moi.... Ne m'abandonnez pas encore... Seul... Je ne veux plus être... seul...

3
Je ne savais pas quel était exactement l'âge de cette vénérable dragonne noire, mais elle semblait rester beaucoup plus posée face à tout ça. Mais bien que son jugement restait tristement vrai, quant à notre combat face à la réalité de leur nombre incessamment et inacceptablement toujours plus croissant, je ressentais qu'elle était quand même heureuse elle aussi, de partager cet instant de triomphe avec moi.

- Je me doute, que tu as bien plus d'expérience que moi Annashu. Que ce soit en âge, en sagesse et même en batailles. Mais je crois sincèrement que ce que nous faisons, ne sera jamais inutile. Si tous les dragons. Toutes les créatures décidaient de s'unir, nous pourrions vraiment changer définitivement tout ça. Mais quoiqu'il en soit, ce que nous avons fait aujourd'hui restera un petit pas de plus en avant, pour tous les dragons!

Pendant que je continue de tourner autour d'elle, tout en m'assurant qu'il ne resterait éventuellement plus un seul bipède idiot encore en vie dans les parages, Anna me fait remarquer que je devrais songer à aller me nettoyer au lac, à cause de tout ce sang et ces tripes humaines, que j'ai encore sur moi. J'étais tellement pris dans notre combat, que je n'avais plus fais attention à ce détail. Mais ses mots qui me feraient presque rire, me font surtout sourire plutôt cruellement.

- Avoir le sang frais des humains moi, n'est que la preuve des mes propres actes à vouloir leur les chasser définitivement de ce monde. Voir toute cette hémoglobine humaine et sentir son odeur jusque dans mes narines, me rend fier. Tout cela est le résultat de la force de ce changement, que nous voulons voir et apporter. Mais soit... Tu as malgré tout raison. Et puisque j'ai avec moi, une prestigieuse nouvelle grande amie, je ne vais pas lui refuser de me refaire beau pour elle.

Tout en plaisantant, malgré la légère douleur que j'ai toujours dans le dos à cause de cette satanée flèche que j'ai reçus, je vois la grande dragonne qui profite elle aussi un peu du spectacle, avant de me faire part de quelque chose d'assez inattendu. Dans sa grande générosité, la vénérable me proposait de partager avec moi, une petite partie de son butin pour être intervenu.

- Je ne suis pas venu t'aider pour te voler tes trésors, tu t'en doutes bien. Je l'ai fais parce que nous devons tout simplement être solidaires entre les dragons. Mais aussi parce que encore et toujours, nous devons tout faire pour éradiquer le plus possible de cette ignoble vermine, qui n'a pas sa place dans le rang des espèces vivantes!

Sans avoir pensé plus loin à son offre pour l'instant, je m'envole en direction d'un lac tout proche d'ici. Une fois arrivé, je plonge directement dedans comme si je m'abattais sur une proie en plein vol. Sous l'eau, je remue frénétiquement. Je me roule et je me tortille vigoureusement, pour essayer de retirer un maximum du sang et des tripes de ces sous-animaux, pendant que Lumière semble me regarder avec amusement lorsque je refais surface en sortant la tête de l'eau.

- Oh mais c'est aussi ton moment de gloire à toi aussi, Lumière! Merci d'avoir été là aussi pour Anna! Tu vois bien que tu n'es pas oubliée non plus.

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Les alentours de la ville / Prédateur nocturne à la plage [Olympia]
« le: mercredi 06 avril 2022, 18:15:58 »
Comme d'habitude, j'allais tranquillement me mettre en chasse pour chercher le prochain gibier à me mettre sous la dent, quand mes iris se rétractent immédiatement, à la vue de la proie inattendue à laquelle je fais soudainement face.

- Tiens, tiens... Qu'est-ce qu'on a là d'appétissant? Tu vois ce que je crois apercevoir, Lumière?

J'ai souvent l'habitude de traverser les portails, pour pouvoir me déplacer plus facilement dans les terres profondes et sauvages, que cette sous-race de dégénérés d'humains, appellent la contrée du chaos. En règle général et grâce à ma toute petite amie brillante et volante, qui me guide ou qui m'informe de leurs éventuelles présences, je n'ai juste qu'a emprunter ceux qui ne bougent jamais de leurs positions, pour me retrouver à un autre endroit bien précis. Sauf que comme je suis du genre assez curieux, j'aime bien savoir de temps en temps ce qui peut parfois se cacher derrière certains portails, qui ont une durée d'existence limitée. Ceux qui apparaissent et qui finissent par disparaitre, au bout d'un certain temps. J'étais donc à voler au bord d'une plage en fin de journée, quand celui-ci m'emmène directement sans grandes surprises, vers une autre. A la différence, qu'il y fait presque nuit. Et que mon odorat et mon ouie sensible, détectent en seulement quelques minutes de vol, une présence aux attributs bien trop reconnaissables et horriblement détestables à mes yeux, un humain. Ou plutôt après avoir sentit son odeur, une femelle humaine.

- Va voir s'il y a d'autres rats comme elle qui trainent dans le coin, pendant que je pars m'occuper personnellement d'elle. J'ai vaguement l'impression que notre amie, a déjà oublié ce que veut dire la peur et le danger de se retrouver seule, dans un endroit pareil.

Pendant que Lumière change vivement de direction pour partir en éclaireuse, je n'ai besoin que de quelques coups d'ailes de plus, pour atterrir tranquillement juste à côté de cette...

- Chose. Petite chose fragile. Dis-moi qu'est-ce qu'une pauvre petite salope comme toi, se permet de trainer toute seule par ici?

Lorsque j'observe cette catin comme une proie à bouffer jusqu'aux os sans attendre, un nouveau frisson de plaisir passe activement sous mes écailles, en la voyant maintenant de si près. Et avant même qu'elle n'ait le temps de me répondre, je sentais déjà qu'elle avait peur. Oui. Le jeu allait peut-être encore une fois bien amusant.

- Tu as de la chance d'être tombée sur moi, humaine. Il se pourrait que j'ai bien envie de jouer avec toi ce soir. J'imagine que tu es venue ici pour ça, non?

Pendant que je la regarde avec mépris et que je commence à me moquer d'elle, je me rapproche lentement. A me voir, nul doute que c'était la première fois de sa vie que cette ignorante rencontrait un dragon.

- Parle, bipède idiote! Dis-moi ce que je veux savoir, si tu ne veux pas que je te saute directement à la gorge sans réfléchir et que je fasse rouler ton cadavre sanguinolent dans les vagues!

5
Sa douce voix, ne fait pas vibrer que ma queue. Elle fait aussi résonance, dans mes tympans. Bien que j'aimerais lui exprimer toutes les pensées sales que j'ai pour elle, quelque chose m'en empêche. Même pourtant très excité, sans doute parce que je peux vraiment la considérer comme mon amie, je veux qu'elle se sente aussi bien que moi. La préoccupation du désir de l'autre, ne fait pas vraiment partit de mes habitudes. Mais je sais déjà que Victoria saura me combler, comme elle l'a déjà fait juste avant. Et plus ça durera encore et plus je vais aimer ça. Quant à Lumière, même si je ne l'oublie pas, je dois d'abord faire avant ça, ce qui doit être fait. De par ma loyauté et par mon amitié envers Victoria, je continue donc de la lécher passionnément, alors que j'ai vraiment la queue qui en a encore vraiment très envie. Son parfum de jeune petite délurée, n'arrête plus de m'enivrer, alors que j'ai en même temps de plus en plus de mal, à devoir me contenter seulement de "ça". A chaque coup de langue dans sa petite chatte, j'avale un peu plus de son délicieux jus de chatte. La belle est encore plus belle, quand je la vois se tortiller et couiner, juste au-dessus de moi. Le spectacle est même tout simplement parfait, quand elle se laisse aller à se frotter sur mon museau, qui ne cesse d'en redemander encore. C'était frustrant d'être immobilisé comme ça, mais c'était jouissif de la voir tressaillir sur moi, comme elle le fait. Au moins, elle s'amusait bien.

- Victoria... Victoria... Oui... Laisse-toi aller ma belle. Laisse-toi aller...

Pendant que mon museau ne cesse de respirer l'odeur de cette chatte d'humaine, mes iris de prédateur essaient d'observer d'elle, tout qu'ils peuvent voir. La vue a beau être imprenable, il n'y a pas que son trou tout gluant par ma salive et sa cyprine, que je vois. Victoria finit par trembler de plus en plus. Et plus je sens cette coquine me céder, plus je la lèche intensément. Ses efforts à se mettre à la tâche, pour me donner la chance de lui montrer que je suis meilleur, que n'importe lequel de ses sots de congénères paye enfin, quand je l'entends crier. Pendant qu'elle se lâche sans chercher à se retenir, je lèche encore et encore, en caressant autant que je le peux avec ma langue draconnique rapeuse, tout ce que sa chatte me le permet. Je fais tout pour être certain que la belle, sente son clitoris se faire laper à mort. Quand elle finit de jouir, elle vient plaquer ses cuisses d'humaines et toutes dégoulinantes de sa cyprine, contre mes écailles beaucoup plus rugueuses et remplies d'aspérités. Mon amie très coquine, ne reste pas bien longtemps dans cette position qui ne lui suffit surtout qu'à reprendre son souffle. Evidemment pas satisfaite du tout, tant qu'elle n'aura pas gouté à la meilleure partie que je suis prêt à lui offrir, elle descends rapidement un peu plus bas. En même temps qu'elle commence à me la toucher, ma bite réagit immédiatement au contact chaleureux de sa main.

- Mmmh... Coquine! Je savais qu'il en fallait plus que ça, pour te satisfaire. Maintenant, je sais surtout pourquoi tu m'as emmené ici. Mais ce n'est pas grave. Tu es toute pardonnée.

Le respect que j'éprouve pour elle, me force me sentir un peu plus doux avec elle. Bien que je voulais lui montrer toute ma virilité, il était surtout important qu'elle n'oublie pas ce moment entre nous. Quant à moi, ma grosse bite se comprime encore, quand elle s'amuse à me branler. Et ça vibre encore plus fort, quand je l'entends me dire perversement, qu'elle allait encore me réconforter. Elle joint ses mots par les actes, en allant ensuite enfin me lécher la queue. A doucement s'emplir la bouche, de mon engin animal à l'odeur beaucoup plus agréable et virile, que les pauvres petit machins de sa sous-race incompétente, quand Victoria qui s'est d'abord redressée, sur mon torse solide et souple, donne toute une série de coups de langues bien passionnées, sur mon chibre.

- Oui! Ouais c'est bien ma jolie! Vas-y, fais toi plaisir et ne te retiens pas. Il y a que nous deux ici. Enfin presque...

Sans jamais lâcher mon pieu, qui imprègne toute son odeur dans la pièce presque autant que celle se sa belle fente remplie de mouille, mon corps se contracte, quand la petite vicieuse continue d'enchainer agréablement ses coups de langues. Je laisse la perverse s'amuser avec mon gros joujou, pendant que j'halète, à cause de ses redoutables performances. Entre sa délicieuse petite langue, qui me caresse surtout mon gros gland violet et sa main qui m'asticote bientôt comme si elle ne voulait plus que ressembler à une fille de joie, difficile de ne pas résister. Avec ma bite toute enflée par tant d'attentions, Victoria finit par arrêter et me regarde d'une façon très provocatrice, en se léchant en même temps les doigts qui ont touchés mon manche draconnique, avant de me dire quelque chose qui me fait presque déjà jouir d'avance!

- Hahaha! Enfin! Je vois que mademoiselle est comme moi, dans son genre. Elle ne sait plus tenir en place et elle a bien du mal à résister à ses instincts primaires. Mais c'est une sage décision et qui t'honore, Victoria. Vas-y! Laisse-moi alors enfin te montrer ce que vaux un gentil dragon comme moi. Je te promets que tu ne vas pas regretter le voyage!

Je rend gratuitement la provocation de mon amie, qui ne m'empêchera pas de penser qu'elle aime quand même vraiment la bite, mais je ne vais sûrement pas m'en plaindre. Je déglutis et j'ai les tempes qui battent comme lorsque je pars pour une très grande chasse, quand je vois ma petite femelle, qui va pour s'empaler sur ma trique, qui sent vraiment très fort dans cette pièce fermée. Mais au moins, elle est raisonnable et la chérie a bien compris qu'elle ne pourra que gagner au change, avec moi. C'est avec un grognement victorieux que je fais, que Victoria s'empale presque d'un seul coup sur mon bâton. Dès qu'elle glisse enfin dessus. Que mon dard se loge enfin dans sa fente toute mouillée et excitée, la sensation que je ressens est au moins aussi forte que le bruit que j'entends, quand elle s'embroche.

- Aaarh! Aaarh! Put... Si tu n'étais pas mon amie, je n'aurais pas pu m'empêcher de t'exprimer tous les mots particulièrement doux, que j'ai à cet instant pour toi, très chère...

La chaleur de son vagin complètement mouillé par ma salive et par sa mouille, entoure enfin délicieusement mon pieux. La contraction est redoutablement puissante! Mais ce qui va suivre, va presque complètement me rendre fou! Victoria qui comprend raisonnablement nos intérêts communs, va jusqu'à desserrer les chaines qui retenaient encore mon bassin. C'est donc sans pouvoir l'agripper avec mes pattes avant, que je me rue malgré tout dans sa chatte, en la pilonnant directement, comme un enragé! La sensation est immédiatement agréable et renversante en même temps!

- Aaah! Aaarh! Aaarh! Victoria! Putain! Je vais te défoncer comme tu le mérites! Aaah! Aaarh!

De la retenue que j'avais encore avant pour elle, j'éprouve une totale satisfaction à enfin pouvoir remuer librement toute ma grosse trique, dans ce superbe trou odorant et tout excité, qui appartient à cette fille qui aime s'envoyer en l'air! Je grogne, alors que je ne me gène pas pour la marteler. Je lui envoie directement, les plus puissants coups de bite que je peux. Je gigote avec autant de force que possible et chaque fois que je culbute dans à l'intérieur de la petite cavité serrée de mademoiselle, je n'ai alors plus qu'un seul objectif, la démolir et jouir dedans à tout prix! Plusieurs fois, pendant que je grogne avec vivacité et que je respire très bruyamment, les dents serrées, mon gland s'enflamment de plus en plus. A chaque fois que je lui balance un bon coup de rein bien vicieux comme elle le mérite, mon pieu s'enfonce tout au fond, en faisant un bruit causé par sa mouille! Chaque fois encore que mon gland s'enfonce sans retenue en elle, j'éprouve une immense joie à ressentir pulser à l'intérieur, de façon habituellement la plus primale qui soit. Son trou tout gluant et chaud me la caresse et me la presse sans arrêt, pendant que je n'arrête plus de pilonner vigoureusement mon amie, que je considère en cet instant, surtout comme ma trainée!

- Encore! Anh! Encore! Oh Victoria, je sens que c'est en train de monter! Oh c'est tellement bon de te sentir!

C'est avec fierté et une envie qui me dépasse complètement, que je tremble d'extase, alors que je défonce joyeusement sa fente comme elle le mérite. Ou tout simplement, comme elle l'a toujours voulu depuis le début. Je ne peux aussi pas m'empêcher d'avoir un sourire particulièrement vicieux, quand je vois son corps que je culbute férocement. C'est très gratifiant de la voir se faire bousculer comme ça. Il ne me manque finalement plus que ses encouragements et peut-être une éventuelle participation supplémentaire de sa part, pour l'aider à lui montrer pourquoi on dit que les dragons, ce sont aussi les patrons. Le jeu prend enfin une tournure qui me plait vraiment.

6
Annashu la grande dragonne, fait une démonstration d'agilité surprenante. J'avais beau être couvert de sang et continuer d'essayer tant bien que mal de trouver encore d'autres de ces sales petits déchets à massacrer, je tentais de garder constamment un oeil sur son avancée. Mais voilà que rapidement, la vénérable se retrouve dans une masse de brume noire. Si j'ignorais si elle était à l'origine de celle-ci, toujours est-il, qu'il se produit d'abord une explosion qui en était à l'origine, avant que la nappe de fumée noirâtre se propage encore plus loin, lorsque vient à mes oreilles encore une autre déflagration.

- Où comptez-vous partir comme ça, vous?

Cela ne m'empêche pas pour autant d'intercepter encore un autre petit groupe de ces lamentables fuyards sur deux pattes, que je massacre encore à bon coups de dents et surtout de griffes. Quant à la brume noire qui semble cacher maintenant complètement Annashu, elle se propage stratégiquement vers nos ennemis. Je profite de ce qu'elle a fait, pour me rapprocher doucement vers elle, tout en veillant bien sûr à tuer avec grand plaisir, toute la vermine qui oserait encore se terrer dans les parages. Lorsque j'entre enfin dans le camp, celui-ci n'est plus qu'un immense brasier. De ce que j'arrive à voir à l'intérieur du nuage, qui m'oppresse moi-même légèrement, il y a des corps calcinés ou d'autres se trouvant dans un état plutôt étrange. Parmi eux, quelques uns semblent se tenir la gorge, tout en demandant de l'aide. Aide que je leur apporte volontiers, en les égorgeant ou en leur broyant la face, quand ce n'est pas les tripes que je fais exprès de retirer de leurs ventres, avec tout ce qui suit avec.

- Rhhhha! Rhhhaa! Regardez-moi toutes ces belles tripes! Elles feront un beau trophée à ramener, en guise victoire.

J'avais tellement tué d'humains sur ce champ de bataille avec mon amie, que j'étais partiellement pris dans une forme de démence jubilatoire. Je sentais surtout que je ne regrettais aucun de mes actes. Ces saloperies d'humains, étaient encore une fois venus pour nous menacer. Alors j'étais fier et heureux d'avoir pu participer à ce carnage, qui signe pour eux une défaite qu'ils n'oublieront pas de si tôt. Le temps d'éliminer les derniers déchets encore en vie, si on pouvait appeler ça, le calme semble finalement revenir. Quant à Annashu, je la voyais posée tranquillement, droite et fière en plein milieu du reste du camp. Debout, calme et encore une fois majestueuse. La victoire a tout simplement été éclatante.

- Bravo Annashu! Grâce à ton aide, nous avons pu éliminer ensemble tout ce troupeau d'imbéciles, qui ne méritent même pas le nom d'être vivants. Aujourd'hui et grâce à nous, la planète est enfin débarrassée de quelques centaines de ces hideux humains pathétiques. Et ce jour, je ne serais pas prêt de l'oublier.

Je vole autour d'Anna, tandis que la fumée semble se disperser plus vite que prévu. Bien qu'elle avait atteint les humains, ses étranges propriétés ne semblaient pas à prendre à la légère. Même pour moi, je sentais qu'elle pourrait finir par devenir nocive, si je devais la respirer trop longtemps. Et c'est ainsi que je fais face à Anna, couvert de sang. De violet, j'étais maintenant devenu entièrement rouge. Rouge du sang de tous nos ennemis, que nous avons massacrés aujourd'hui et sans la moindre pitié. Nous sommes la vie. Nus sommes la mort. Protecteurs de la planète, ainsi que ses serviteurs. Tout comme les bourreaux de la véritable justice, en même temps. C'est par le chaos s'il le faut, que nous remettront un jour l'ordre des choses à leur véritable place. Nous sommes les dragons et nous éliminerons la race humaine, qui n'est rien d'autre qu'une erreur. Nous sommes les dragons et nous vivrons éternellement.

- Vive les dragons!

7
Les contrées du Chaos / Re : Rencontre écailleuse [Pv Spyro]
« le: dimanche 20 mars 2022, 17:03:55 »
J'arrive à me sentir déjà un peu mieux, quand Shad essaie de me rassurer. Mais ce qui réussit à apaiser en partie ma colère, ce ne sont pas seulement que ces mots, mais les gestes qu'elle a pour moi. Est-ce uniquement à cause de ses origines?... En attendant, ses attentions me font du bien et même si je n'en dis pas plus, j'aime ce qu'elle fait pour essayer de m'encourager.

- Merci Shad. Je sais que nous venons tout juste de nous rencontrer, mais je me rends déjà compte que j'apprécie beaucoup ta présence. Tu es différente de la plupart des individus que j'ai croisé par ici. En même temps, c'est certainement aussi dut au fait que tu n'es pas humaine...

Ma respiration ralentit et je sens qu'elle retrouve un rythme un peu plus régulier, lorsque Shad continue de me caresser. En fait, je me demande même si un jour, quelqu'un a vraiment fait ça pour moi...

- C'est assez inhabituel de me faire caresser... Bien que je ne me verrais plus me passer de Lumière, tu devines bien qu'il est plutôt assez difficile pour nous à cause de notre différence de taille, de partager ce genre de choses. Quant à ma soeur, bien que nous soyons tous les deux proches, nos liens sont aussi un peu plus particuliers. Donc en forêt, quand on est un chasseur solitaire comme moi, qui pourrait bien connaitre...

Si j'arrive à être enfin un peu mieux, je me sens tout-à-coup comme étrangement fatigué. Plus je lui parlais et plus j'avais envie de dormir. Qu'est-ce qui se passe encore?...

- Je suis content de t'avoir rencontré Shad... Et bien que j'ai beaucoup de colère en moi depuis très longtemps, au moins tu feras partit des personnes en qui je sais que je pourrais faire confiance. Tu sais que j'agis pour le... bien...

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8
Pendant que la grande dragonne noire, m'explique rapidement quelques détails sur elle et se présente en même temps, elle arrive à remarquer la présence de mon amie, malgré la différence de taille complètement colossale. Tout ça, en commençant déjà à prendre son envol. Prête pour la bataille suivante, qui promet d'être sanglante à mort. Voilà qui est vraiment parfait.

- Elle s'appelle Lumière et tout comme moi, mon amie te salue avec tout le respect que quelqu'un comme toi mérite, Anna. Et les ennemis de mes ennemis, seront toujours mes amis. Je serais ravis de participer avec toi, à cette bataille. Que l'herbe et la roche deviennent rouge, de leur sang putride. Mort à tous les humains!

Après avoir encore une fois été gagné par la passion et la haine d'éviscérer ces bipède pourris jusqu'aux os, la grande dragonne finit de se déployer. La stratégie était simple, puisqu'elle partirait directement tous les carboniser, pendant que moi, je m'occuperais comme prévu des fuyards, en survolant par les flancs. Je m'envole d'abord aux côtés de Anna, la grande écailleuse, pendant qu'elle se prépare à cracher les flammes de sa colère, qui vont certainement dépasser tout ce je peux imaginer, à ma propre taille. Evidemment, il est difficile pour nous d'être discrets dans cette situation et forcément, les loques sur deux pattes qui se trouvent en face, ont largement eu le temps de nous repérer et commencent déjà à s'organiser. Pendant que le son d'un cor de guerre retentit plusieurs fois, en guise de signal de notre arrivée, je me sépare peu de temps après de Annashu. Lorsqu'elle se retrouve à portée de leur campement merdique, elle déverse directement des énormes jets de flammes. Les idiots crient et commencent à courir dans tous les sens, pendant que je me réjouis déjà de les voir tous se faire lentement rôtir souffrance. Leur campement se met à brûler et les pauvres petits soldats, semblent avoir déjà du mal à réagir contre elle.

- Oui! Regarde encore nos ennemis brûler comme un vulgaire fétu de paille, Lumière! Le spectacle n'est-il pas magnifique?

Pendant que mon coeur tambourine d'excitation, à mesure que Annashu commence à décimer tous ces cloportes qui essaient de riposter, je reste pour l'instant toujours bien à distance et hors de portée de leurs projectiles. Il ne me faut pas attendre bien longtemps, pour voir certaines de ces pauvres merdes, essayer déjà de s'enfuir. Malheureusement pour eux, l'endroit où ils avaient établis leur campement, qui était en train de se faire réduire en cendres, était situé sur une plaine plutôt accidentée. Quelle erreur grossière de stratégie. Ils ne pourront même pas au moins trouver le temps, pour se cacher comme des lâches, dans la foret qui les entoure. Voilà ce qui arrive, quand on oublie que la nature restera toujours la plus forte! Mais en même temps, ce genre d'erreurs leur va tellement bien.

- Hahahahaha! Brulez! Brulez tous! Bandes de sale dégénérés d'humains, complètement attardés!

Pris dans l'adrénaline, je me précipite en plein vol, vers un premier petit groupe de ces pitoyables lâches, actuellement en pleine fuite. Comme Annashu, je fais appel aux flammes, qui remontent très vite par mes voies respiratoires, avant de projeter toute une gerbe bien brulante, sur ceux qui se trouvent juste à quelques mètres de moi. Pendant que je les touche sans aucune difficulté, j'alterne avec des boules de feu. Je bouscule aussi directement certains d'entre eux, comme de vulgaires quilles. Ces mêmes quilles ridicules, que j'ai tant de fois vues dans ce putain de cirque, tant aimé par ces petits minables, aujourd'hui devenus si désorganisés et tellement vulnérables.

- Alors? Qui est maintenant la bête de cirque dégénérée, qui ne sert à rien?

Pendant que certains comme d'habitude crient ou me supplient de les épargner, je finis de rôtir tous ceux que j'ai commencé à brûler. J'éventre et j'égorge, tous ceux qui sont encore debout. Mes griffes se plantent et déchirent leurs armures de sous qualité, alors que j'en attrape d'autres à pleine gorge, en plantant mes crocs en plein dedans. Le sang en jaillit aussitôt, au point que je suis rapidement éclaboussé par leur semence rougeâtre et toujours aussi dégueulasse. Par ce même fluide sanguin et chaud, qui leur permet de pouvoir vivre comme ils ne le méritent pas. Et plus j'en tue, plus je me sens enragé et heureux en même temps. La haine une fois ressurgit, est un poison qui tient n'importe qui debout!

- Vous avez tués les miens sans aucune pitié! Maintenant, c'est vous qui allez encore une fois y passer! Vous allez tous crever, comme des rats!

Terminé. Le petit groupe est passé de vie à trépas, beaucoup plus vite que prévu. Ils sont si faibles... Mais je n'ai pas le temps de me reposer, que mes iris de chasseur, qui ne recherche plus rien d'autre que ses prochaines proies à abattre sur le champ, rencontrent d'autres petits insectes, qui tentent doucement de s'éparpiller. Alors, je continue de rugir. Je les rôtis. Je les tue, avec autant de violence que je le peux. Têtes, bras, jambes, tripes, cervelles, os, tout y passe et tout recouvre le sol. Et quand certains semblent vraiment arriver un peu trop loin, Lumière fait appel à un portail de téléportation, qui se déplace vers eux, pour les envoyer vers une autre destination, où ils finiront par s'échouer et par mourir. Aucune pitié!

- Grrrrrrraaaaaaaa! Grrrrrrraaaaaaa! Grrrrrraaaaaaaaa!

Alors que je suis presque entièrement couvert de sang. Que ma rage a complètement ignoré la douleur, que j'ai reçue en plein dans le dos, je rugis à chaque fois que je décime un groupe, qui ne peut tout simplement rien faire contre nous. Chaque humain qui meurt, nous rapproche un peu plus de la victoire et de la vengeance. Chaque humain qui meurt, nous rapproche encore vers l'extinction finale de cette race inutile, composée de déchets et qui souille notre planète qui souffre chaque jour, à cause d'eux. Mais alors que je m'envole encore une fois vers un autre groupe de ces idiots, je vois une énorme boule enflammée, se faire lourdement projetée par ce qui ressemble à une catapulte et qui cible directement Annashu depuis le camp, en grande partie détruit par les flammes. Mais si elle pouvait peut-être réussir à esquiver, il y a soudainement d'autres inquiétantes boules de feu, qui s'en mêlent et qui sont ensuite tirées par d'autres catapultes. Non!...

- Annashu! Attention!

Evidemment, crier ne servait à rien. J'étais beaucoup trop loin d'elle. Donc je préviens Annashu du danger imminent, par télépathie. Aussi, alors que je voulais me rapprocher pour les éradiquer, avec leurs maudits jouets, j'entends leur stupide cor de guerre qui retentit encore une fois. A cet instant, une volée conséquente de flèches enflammées, volent en plus en direction de ma nouvelle amie...

- Merde! Annashu! Annashuuuu! Je ne peux pas me rapprocher de toi!

Non! Je ne pouvais plus rejoindre leur foutu camp, maintenant qu'ils tiraient en masse! Déjà que je savais que ça pouvait être dangereux pour elle, je n'aurais aucune chance de pouvoir les approcher, pour l'aider maintenant! Cependant, j'aperçois de temps en temps des projectiles qui disparaissent spontanément. C'était suffisant pour moi, pour savoir que Lumière essayait comme elle pouvait de protéger notre amie, en déviant à distance tout ce qu'elle pouvait, en déplaçant un des nombreux portails de téléportation qu'elle contrôlait. Mais ça n'allait pas être suffisant pour protéger Annashu, qui était en danger. Quant à l'armée qui commençait à se faire pourtant bien décimer, elle semblait maintenant s'être suffisamment bien organisée, pour tenir ses positions et répondre efficacement à nos attaques. Merde!

- Anna? Est-ce que ça va?... Qu'est-ce que je peux faire pour t'aider?...

Je ne pensais à aucun moment, que toute cette vermine qui grouillait encore, était capable d'adopter une telle stratégie. Là, ça sent juste le roussit à plein museau...

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Les contrées du Chaos / Re : Rencontre écailleuse [Pv Spyro]
« le: dimanche 13 février 2022, 18:30:40 »
Au moment où je croyais franchement que ça allait sentir le cramé pour moi, tout ça à cause de ses sales yeux qui me regardent de plus en plus dangereusement, Shad réagit, en faisant appel à un autre style de magie. Mais quoiqu'elle fasse, je compte bien ne pas lâcher prise! Je suis déterminé à aller jusqu'au bout, pour au moins la sauver! C'est alors que le monstre hurle soudainement et que quelque chose en lui, se met comme à exploser en plusieurs fois. Mon amie en profite aussitôt pour se transformer encore une fois en louve et c'est sans réfléchir, que je me décroche de la chose infâme, pour me retrouver maintenant sur son dos.

- Bien joué Shad!

Pendant qu'elle court avec moi, qui l'alourdit encore davantage à cause de ma queue qui ne répond plus du tout, je me retourne pour regarder l'espèce de loque de chair qui se tortille, avec Lumière qui nous suit juste derrière. Durant notre fuite, je fais en sorte de m'accrocher à Shad, tout en essayant de ne pas la blesser, avec mes griffes acérées. Je dois donc me maintenir sur elle comme je peux, jusqu'à ce que nous finissons rapidement par retourner à l'entrée. Quand je descends de son long dos, le coeur encore battant à vive allure, Shad se soucie de ma queue.

- Merde! On était pourtant si proches de l'avoir!

Pendant que je regarde ma queue comme pétrifiée, j'étais surtout inquiet pour la faune environnante, en sachant qu'il y avait ces saloperies qui rodaient juste à côté. Que pouvait bien faire de tels monstres, par ici? Je ne les avais jamais vus avant... Quant à Shad, ils lui avaient dérobés un précieux pouvoir et sans celui-ci, il serait probablement beaucoup plus difficile pour nous, d'arriver à repousser ces choses ignobles...

- Ma queue a été touchée, par cette saloperie! Comment ces choses ont pu se retrouver ici? Ces aberrations, défient tout simplement la loi de la nature...

Mais je pouvais faire ce que je voulais, je n'arrivais vraiment plus du tout à bouger la queue. Seulement, je me sentais surtout en colère de savoir que je pourrais peut-être ne plus pouvoir être utile à Shad, sans elle. Ni quand je pourrais au moins m'en resservir, si un jour j'en guéris tout simplement...

- Pardon Shad... Je ne pensais pas que ça serait aussi difficile... Je m'en veut de pas avoir été plus vigilant... J'ai fais la promesse de t'aider, mais j'ai peur de ne pas pouvoir tenir ma parole, à cause de ça...

Pendant que je lui parle, je regarde la louve avec colère et tristesse en même temps. Je ne pouvais pas croire, que nous ne pourrions pas faire plus. Tout ça, à cause de moi...

- J'ai l'habitude d'affronter des dangers. J'ai souvent dus faire face à des imprévus. Des épreuves difficiles. Comme tu le sais, ici, l'environnement est constamment impitoyable et il ne faut jamais baisser sa garde, si on veut espérer survivre. Seulement, à chaque fois que je ressens l'échec, j'ai l'impression de revoir mon passé d'une manière ou d'une autre. C'est pour ça que j'ai choisis de me battre. Je ne veux plus jamais revoir encore tout ça...

Pendant que je m'inquiète sur la suite des événements, je vois Lumière qui vole autour de nous, avant de se poser sur ma queue complètement paralysée. La pauvre devait être aussi inquiète et nous avions à peine eu le temps de nous préoccuper d'elle...

- Au moins, toi et Lumière êtes toujours en vie. C'est l'essentiel...

Pour la première fois depuis peut-être très longtemps, si je ne compte pas ma soeur, je me rapproche de Shad et je frotte ma tête contre la sienne. C'était une marque d'affection que manifestait notre tribu et certainement les dragons en général.

- Je m'en veux de ne pas avoir été à la hauteur de tes attentes. Je suis désolé Shad, mais je ne sais pas comment je vais pouvoir t'aider maintenant...

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Les contrées du Chaos / Re : Rencontre écailleuse [Pv Spyro]
« le: dimanche 30 janvier 2022, 19:47:38 »
Mes flammes touchent en plein, l'ignoble créature. Quant à savoir si elles ont été suffisamment puissantes, elle avaient eu au moins l'effet de retourner l'attention de la maudite chose, vers moi. Shad, qui avait réussit à mieux esquiver son attaque, réplique par un gros jet de flammes ardentes, ressemblant un peu mien. La créature et les vers, qui étaient sortis de son corps, continuaient de se faire brûler. Mais ces immondes asticots, se démultipliaient presque autant, que Shad en cramait. C'était la première fois, que je rencontrais un monstre pareil. Donc j'ignorais complètement, quels étaient les points faibles de cette foutue horreur...

- !ertsnom elas icI

Mais l'oeil flottant, qui commence de plus en plus sérieusement à nous enquiquiner, avec sa troupe de vers de terres merdiques, répète encore quelque chose d'incompréhensible, juste avant qu'un autre rayon reparte encore vers elle. Par chance, elle reste agile pour continuer d'esquiver, alors que l'une des statues qui est directement prise dans le rayon, se fait tout simplement détruire... J'essaie avec Shad de continuer de brûler cet oeil infâme, en même temps que les asticots, qui ne veulent toujours pas nous lâcher non plus. Puis le monstre répète encore son charabia fatiguant et tente de me viser encore une fois. Rapide, mais pas autant que je le voudrais, à cause de ma queue qui est devenue lourde, j'arrive de justesse à éviter l'attaque de ce truc. Sans compter avec les vers, qui s'approchent de plus en plus dangereusement de moi. Je dois ainsi faire un effort supplémentaire, pour arriver à décoller. Malheureusement, je suis incapable de pouvoir me diriger...

- Shad! Il faut que nous partions d'ici! Je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps comme ça! Surtout à cause de ma queue!

Mais alors que je n'aime vraiment pas l'idée de la fuite, qui n'est seulement réservée qu'aux être faibles et aux misérables, comme le sont ces satanés petits humains tous frêles, le monstre s'est encore retourné dans la direction de Shad. Je profite de la chance de le voir de derrière, pour battre des ailes et essayer de l'attraper. Mais je sentais que je ne pouvais malheureusement que me diriger seulement en ligne droite, à cause de ma queue qui ne répondait absolument plus...

- Ne touche pas à mon amie, espèce de sale déchet remplis de merdes humaines puantes!

Tandis que je m'élance. Que je ressens l'adrénaline qui coule dans toutes mes veines, je parviens heureusement à attraper la chose, qui est au moins aussi grande que moi. Je fais donc appel à toute ma force, pour planter mes griffes dans ses chairs. Un liquide noir qui doit être son sang, sort alors juste là où je les aies logées.

- Maintenant Shad! Vas-y! Utilise toute ta puissance! Ne regarde pas à moi!

Pendant que je suis accroché au monstre, qui semble déstabilisée par mon poids inattendu, tous les horribles petits yeux reliés à cette chose vraiment dégueulasse, se tournent alors vers moi. Puis ils se mettent à luire d'un rouge soudainement intense.

- Vite Shad!...

- ...!dahS etiV

11
Enfin! Je me suis enfin vidé les couilles! C'était parfait... Oui c'était délicieux, mais j'en veux encore... Encore! Mais je me sens étrangement si fatigué...  Je ne suis normalement pas affaiblit, après ça... Alors pourquoi, j'ai ensuite l'impression de comme perdre quelque chose en moi? La ca... La pu... Non... J'ai oublié... La voix... Cette voix que je reconnais et qui me parle au loin...

- Tous les humains méritent d'être châtiés... Sauf Victoria la sorcière. C'est une amie.

Alors que je ne comprends pas bien ce qu'il se passe, je parle doucement. Je réponds mot pour mot, ce que vient de me dire la voix, tout au loin. La voix de la fille... Victoria... Une curieuse tristesse m'envahit soudainement. J'avais froid. Tout était noir... Mais heureusement, la tristesse cesse rapidement. Elle devient vite autre chose de beaucoup plus gai et de joyeux. Victoria... Oui Victoria m'a aidé... Elle m'a aidé à me sentir mieux. Victoria mérite vraiment d'être mon amie! Rien que pour ça... Pendant que tout a l'air d'être encore flou, je sens un parfum. Mon odorat puissant respire maintenant cette odeur étrange, mais qui ne m'est peut-être pas complètement étrangère... Victoria...

- Vi... Victoria...

Tandis que je suis toujours plongé dans le noir, j'entends de nouveau sa radieuse petite voix. Et doucement, son visage et l'ensemble de son corps délicieusement nu, me fait face. C'était Victoria, ma nouvelle amie qui me parlait. Et en même temps qu'elle me disait qu'une autre tâche difficile m'attendait, son corps se met entièrement à briller. Victoria était pourtant une humaine, mais elle était vraiment différente des autres... Depuis qu'elle m'a aidé à me sentir bien... Je suis ensuite aspiré par elle. Et doucement, son étrange lumière qui s'enveloppe tout autour de moi, laisse ensuite encore place aux ténèbres... Non ce n'était plus les ténèbres. C'était tout simplement le noir...

Lorsque j'ouvre les yeux, ce n'est d'abord pas Victoria que j'aperçois, mais sa chatte! Je suis surpris de la voir si près de moi. Elle était tellement proche de mon museau, que je pouvais arriver à la lécher avec le bout de la langue, si je le voulais. Ses magnifiques jambes étaient écartées, juste au-dessus de ma tête. Et mon amie m'offrait une vue absolument irrésistible, alors que je suis en train de ressentir en même temps, ses délicieuses effluves. Elle se touchait juste au-dessus de moi et elle semblait vraiment ne plus vouloir attendre...

- Coquine!... Tu es une vraie coquine Victoria! Tu mérites que je te dise, que ta chatte est vraiment aussi belle que toi!

Content de retrouver ma nouvelle amie, envers laquelle je ressentais une infinie reconnaissance et empathie, je ne cherchais plus à me soucier de ce que j'avais finalement oublier. C'était devenu maintenant sans aucune importance. Victoria était là et nous pouvions bien continuer de passer un bon moment ensemble, tous les deux en tête à tête.

- Ta petite intimité ne peut vraiment plus attendre, ma chère! Mais je continuerais de croire, que je fais partis des espèces, qui peuvent t'apporter bien plus de satisfaction, que tes pitoyables congénères...

Je décide de ne pas perdre de temps, pour lécher du bout de la langue, cette adorable petite chatte toute excitée! Mon devoir était de la satisfaire et surtout, de vraiment la convaincre qu'elle trouverait meilleur parti, avec un être de mon espèce. Bien que j'étais un peu agacé d'être toujours lié par ces foutues chaines, je commence doucement à bouger le bout de ma langue, qui vient tout juste de traverser les douces petites lèvres humides, de mademoiselle la petite sorcière coquine. Et pendant que je l'agite plusieurs fois de haut en bas, ma bite recommence à franchement me faire mal! J'en avais autant envie que tout à l'heure! Une seule jouissance n'allait pas me suffire et j'aurais tôt ou tard besoin qu'elle me libère, si elle voulait vraiment savoir de quoi j'étais capable de faire, avec ma bite draconnique. En attendent, son délicieux parfum intime de jeune femelle toute excitée, était en train de m'emplir totalement les narines. J'avais envie d'aller plus loin. Je voulais goûter toute sa chatte, avant de lui faire ressentir ma grosse queue, dans ses petites chairs à la fois fragiles et agréables.

- Merveilleuse! Tu es à la fois coquine et merveilleuse, Victoria! Je crois vraiment que tu es l'humaine la plus délicieuse, que j'ai pu rencontrer!

Après lui avoir un peu exprimé les choses inhabituelles, que je ressentais pour une humaine comme elle, je continue de gigoter ma langue dans sa petite chatte odorante, que j'avais envie de baiser avec ma grosse trique!

12
- Vous ne ferez aucun mal à cette dragonne, tant que je serai là! Saloperies d'humains!

Dès que j'ai aperçu la présence de cette sous-espèce, qui trainait dans les parages, je me suis précipité sur le premier venu pour le décapiter net avec mes griffes, à l'atterrissage. La tête de cette vermine s'est décrochée directement et s'est envolée au loin, pendant qu'une giclée de son sang aussi rouge que celui de la haine que j'éprouve envers eux, m'éclabousse. Mais la cause soudaine de ma plus grande colère, n'était pas leur seule infecte présence, mais de ce qu'ils essayaient de faire à cette grande dragonne, qui semblait comme être prisonnière et immobilisée, dans sa grotte.

- Pitoyables petit êtres! Je vais tous vous réduire en charpie et je broierais ensuite vos os!

Pendant que mon amie Lumière s'est momentanément éloignée de moi, je profite qu'elle se soit mise en sécurité, pour continuer de les massacrer l'un après l'autre. Bien qu'ils avaient l'air d'être plutôt nombreux, je n'ai pas arrêté d'en décapiter ou d'en éventrer d'autres, partout où j'abattais mes pattes griffues, sur ces enfoirés. Leurs armes minables, ne pouvaient de toutes façons pas faire grand chose contre moi. Même si elles pouvaient tout de même avoir raison de moi, si je ne restais pas assez sur mes gardes ou si ces sales parasites, arrivaient à me submerger sous leur nombre. Cependant, je ressens tout mon corps vibrer à l'unisson, pendant que je donne le maximum, pour essayer d'aider cette dragonne, qui semble avoir été piégée. Pendant que je continue d'attaquer et de faire gicler leur sang nauséabond tout autour de moi, je reçois plusieurs fois des coups de leurs épées et même de leurs cure-dents volants. La plupart ne font que m'effleurer, bien que quelques-unes réussissent à passer plus loin, que la couche des mes écailles. Ca faisait mal, mais je n'avais pas le temps de me préoccuper de la douleur et des blessures, que ces microbes essayaient de m'infliger.

Et lorsque je les vois se repositionner, alors que j'ai vraiment l'air d'être maintenant ciblé par deux foutus magiciens de mon derrière qui s'en mêlent, je m'envole. Prêt à cracher une volée de flammes, pour les rôtir comme de vulgaire piafs, je suis pris de court par quelque chose provenant de la grotte, juste en-dessous de moi. Ce qui semblait retenir la dragonne, volait maintenant en éclat, en même temps qu'une gerbe d'énormes flammes, carbonisait tous ces pathétiques déchets à ma place. Le rugissement de cette majestueuse dragonne, qui se montrait soudainement, était aussi puissant que celui de sa propre taille. Et tandis que le reste des idiots, qui se sont agglutinés stupidement devant sa grotte, essaient de lâchement s'enfuir, elle rugit encore fois. Bien que ses cris ne m'affectaient pas comme cette bande de vermines, qui se couchaient les uns après les autres, ils me donnaient pourtant presque la chair de poule... Elle faisait partis d'une catégorie de ces très grands dragons, que j'avais déjà vu une fois, il y a maintenant bien longtemps. Mais Sa taille était incomparable à la mienne et malgré ma supériorité face aux humains, il n'y avait aucun doute que je puisse faire le poids, face à elle. Ces idiots l'avaient sous-estimés et maintenant, ils en payaient de leur pauvre pathétique vie. Bien fait pour eux.

Pendant que je continue de voler dans le ciel, nous finissons par nous observer. Même si nous ne parlions pas, nous arrivions sans problèmes à nous comprendre. C'était cela la magie des dragons. Et nos regards remplis de haine, envers cette maudite espèce sur deux pattes, ne faisaient que nous rendre encore plus complice et plus forts... Juste après nous êtres intensément observés, la grande dragonne noire m'adresse télépathiquement, un message en langue draconnique. Elle me remerciait pour l'avoir aidé dans l'urgence, bien qu'elle attirait en même temps mon attention, sur un tout autre groupe de ces sangsues à abattre. Mais même s'ils avaient l'air beaucoup plus nombreux que les précédents, je n'avais pas peur et j'étais prêt à me battre jusqu'au bout, pour les écraser jusqu'au dernier. Et avec une telle dragonne à mes côtés, je n'avais plus de soucis à me faire là-dessus.

- Ce n'est rien. Tu n'as pas à me remercier, grande et vénérable dragonne. Je ne fais surtout que chasser, ceux qui veulent nous détruire. Leur présence en ce lieux et sur cette terre, est déjà inadmissible. Mais Je suis prêt à en découdre avec eux et avec toi à mes côtés, maintenant! Finissons ce qu'il y a à faire!

Le regard dur et déterminé en même temps, je me rapproche de cette gigantesque dragonne. Et plus je me dirige vers sa tête, plus je remarque sa gigantesque corpulence. Lorsque je ne suis plus qu'à quelques mètres d'elle, je ressens une douleur dans le dos. Une flèche de ces vermines s'était plantée en plein derrière-moi, pendant que je les combattais... Je grimace légèrement, avant de reprendre ensuite la parole, prêt pour l'attaque qui va les détruire, une bonne fois pour toutes.

- ... Maudits humains! Je crois que j'ai été blessé juste avant... Mais c'est bon, ne t'en fais pas. J'ai déjà connu des douleurs bien pires, que celle-ci... Je te laisserais seulement passer devant et de mon côté, je m'occuperais personnellement de tous ceux qui essaieront de s'enfuir. Il ne doit en rester plus un seul, en vie. Ces cloportes doivent encore une fois apprendre de leurs erreurs, en devant tout simplement payer le prix fort!

Alors que Lumière est maintenant revenue vers moi, je reprends un peu plus de distance et je me présente à la dragonne.

- Je m'appelle Spyro. Je ne suis pas originaire de ces terres, mais j'y habite depuis longtemps. Et toi, comment t'appelles-tu? Je ne t'ai jamais vu avant. Et pourtant, je voyage beaucoup dans ces "Terres du Chaos", comme les nomment si bien nos tendres amis, les humains...

Bien que j'étais prêt à en découdre, je sentais que je n'allais malheureusement plus pouvoir aussi bien lutter, que tout à l'heure. Mais peu importe leur nombre. Avec cette dragonne, ces microbes n'allaient pas avoir la moindre petite chance de s'en sortir.

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Personnages prédéfinis / La soeur du dragon
« le: mercredi 26 janvier 2022, 22:36:30 »
Bonjour, s'il y a des intéressés, je propose Ember, la soeur de Spyro. Une partie de son histoire a des points communs avec lui, tel que le massacre de son peuple par les humains et leur captivité dans un cirque de créatures, durant de nombreuses années. Lorsqu'ils se sont libérés, ils ont fuit pour aller vivre dans les contrées du chaos, où ils ont continués de grandir. Bien qu'ils se voient régulièrement, chacun ne vit pas tout à fait au même endroit. Ember peut avoir le même âge que Spyro ou être un peu plus âgée que lui. Quant à sa personnalité, si elle ne tient pas non plus les humains dans son estime, mais sera peut-être moins portée à les abattre à vue, contrairement à son frère de sang. Malgré qu'elle a du caractère, elle serait sans doute un peu plus mesurée que lui. Je laisse une bonne liberté au personnage, à condition de respecter ce qui leur est principalement en commun. Je souhaiterais aussi quelqu'un de motivé, qui a envie de jouer une créature et qui serait volontiers intéressé de faire quelques ébats sympathiques, avec mon dragon.


14
- Imbécile! Idiot de terranide!

Je lui renvoie un puissant coup de pattes dans la figure, quand j'entends les idioties qu'il me raconte. Mais comme je ne voulais pas le tuer au moins tout de suite, je me forçais de ne pas abimer son beau petit visage, qui contraste avec la majorité des jeunes mâles de sa misérable race.

- Qui t'a dit, pour ma cachette? Personne n'est censé devoir être au courant!

Tout en continuant d'écraser exprès de tout mon poids, ce frêle petit terranide tout efféminé, je continue instinctivement de le renifler. J'étais alors en train de réfléchir de plus en plus à le laisser en vie, lorsque je commençais à être étrangement excité. Je sentais ma bite qui se déployait, entre mes deux pattes arrières. Ce n'était pas habituel... Ce genre de choses, n'arrivait seulement qu'avec des femelles...

- Je devrais surtout réduire ta tête en bouillie et répandre le reste de tes boyaux sur les parois, pour faire comprendre à tous ceux de ta sous-espèce merdique, de ne pas s'approcher de cet endroit! Mais à cause de toi, je vais surtout devoir cacher mes trésors ailleurs...

Cette fois, ma bite était vraiment dure. Elle se frottait contre lui, alors que je bougeais en même temps... C'était plutôt bizarre et je ne comprenais vraiment pas, comment je pouvais être excité envers un mâle... Alors pour peut-être comprendre, j'attrape ses vêtements que réduis en pathétiques lambeaux, tout en le menaçant de ne surtout pas bouger un seul de ses poils terranidiens...

- Ne bouge pas petite salope, ou ce seront tes tripes, qui vont se déchirer avec tes vêtements!

Avec le regard cruel, je termine de mettre en lambeaux tous ses vêtements. Même le bas était entièrement déchiré. Il ne lui restait plus que ses minables bottes, toutes boueuses... Alors je reste sur mes gardes tout en me reculant légèrement de lui sur mes pattes, pour pouvoir l'observer entièrement... Sa peau était toute blanche et il avait quelque cicatrices. Ce devait donc être un de ces jeunes aventuriers inconscients, qui croient que rien ne peux leur arriver. Et de son corps, mes yeux se posent sur sa petite bite. Mais en me rapprochant de nouveau, pour mieux sentir ses hormones de jeune mâle, ce n'était pas exactement ça qui m'excitait chez-lui! En fait, j'avais tout simplement envie de le baiser! Tant pis si ce n'était pas une vraie fille, je ressentais juste le besoin de me vider dans son petit derrière!

- Espèce de petite salope! Je ne sais pas pourquoi tu m'excites comme ça, mais maintenant je sais déjà comment je vais te punir! Je vais surtout te baiser à mort, comme je baise toutes ces putes d'humaines et certaines, de ton insignifiante race dégénérée!

De plus en plus excité de vouloir vraiment violer ce petit mâle tout frêle et qui ressemble si fortement à une femelle, je le bascule sans aucune difficulté sur le ventre. Quand je vois son petit cul, je pose mon museau dessus. Tandis que je m'imprègne de son odeur anale, par où où sortent ses déjections fécales, je suis tenté de le lécher. Dès que ma langue passe sur le petit trou du cul, de cet être avec ses grandes oreilles et sa queue poilue, j'ai ma bite qui enfle complètement!

- Je vais te baiser, comme toutes ces trainées avant toi, tu entends? Je vais te violer, jusqu'à ce que ton petit trou du cul se mettent à cracher toute ma semence et ton sang! Tu es maintenant à moi, jeune terranide inconscient! Et si tu te montres bien sage, peut-être que j'accepterais de te laisser vivre...

Pris par mes pulsions sexuelles, qui ne peuvent maintenant plus du tout attendre, je prends ma bite dans l'une de mes pattes articulées, avant de l'approcher vers son petit derrière. Tout en veillant à ce qu'il soit bien positionné sur ses quatre "pattes", je commence à à enfoncer ma bite, dans ce ridicule petit trou de chair, qui m'excite.

- Mmmmh! Je crois que je vais finalement bien m'amuser, avec toi. N'est-ce pas petite pute? Qu'est-ce que tu en penses? Tu veux aussi ma queue, avoue-le?

Pendant que je me moque de lui, mon gland vient de passer à l'intérieur. Même si ça restait toujours un peu étrange pour moi d'avoir autant envie de violer un mâle, je trouvais que c'était bien excitant.

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Prélude / Re : Un dragon presque familier [Vanéalidé !]
« le: lundi 17 janvier 2022, 23:44:20 »
Je reprends en main mon petit dragon après un arrêt. Mon chalant est disponible pour tous les détails.

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