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Messages - Victoria Campbell

Pages: [1] 2 3 4
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Après l'effort le réconfort. Voilà ce qui peut résumer ma pensée à cet instant précis. J'ai obtenu exactement ce qui était nécessaire à mes travaux et suis parvenue à neutraliser la brutalité du monstre. Même si j'éprouve une certaine colère à devoir céder aux bas instincts provoqués par cette satanée poudre, je peux maintenant le faire en toute sécurité.

Bien que maté, le dragon reste vulgaire. Ses mots crus et cajolants devraient m'horrifier. Faire plisser mon museau aristocratique et me donner envie de me rhabiller pour aller éteindre seule le feu qui habite mon bas-ventre. Mais pour cette fois ... je le tolère. Ils font même monter en moi une étrange excitation. Sans plus songer à préserver ma pudeur, j'écarte mes lèvres intimes pour laisser la langue de l'entravé me fouiller. Mon autre main presse ma poitrine.

- Vas y oui fais moi du bien.

Mon sexe bouillonne littéralement. Les premiers coups de langues du monstre déclenchent en moi une vague de plaisir que je ne parviens pas à refreiner. Je rejette la tête en arrière et crie sans retenue. J'ondule et finis par bouger mon bassin en rythme, frottant mon con ruisselant de mouille sur le museau écailleux et laissant cette langue me pénétrer encore davantage. Il ne faut pas longtemps pour qu'une jouissance comme j'en ai rarement connu m'emporte. Je sens mon corps tressauter sans que je n'ai plus de contrôle sur lui, basculer au moment où mon esprit se perd loin au delà de la conscience. L'orgasme est puissant, il menace de me faire exploser le coeur.

Je ne reprend mes esprits que bien des secondes plus tard. J'ai basculé en avant. Je me retrouve nue allongées sur lui. Tête bèche, le corps couvert de sueur et les cuisses ruisselant de mes fluides intimes mélangés. J'ai le souffle court, les cheveux collés sur mon front luisant. Mon visage est à quelques centimètres du sexe dressé. Dans un état second, ma main fine vient s'emparer de la virilité de l'animal qui tressaillit au moment du contact. Je commence à lui imprimer un lent mouvement de va et viens. Je savoure sa réaction.

- C'est bien, tu as bien servi. Comme tu es mon ami tu as aussi le droit à un peu de réconfort.

Les fluides maculant le membre aux proportions inhumaines m'écœureraient en temps normal. Mais présentement, l'odeur animale qui se dégage de ce sexe m'inspire de l'envie. Je me repositionne, toujours assise sur son torse, croupe toujours tournée vers lui, je me redresse pour me mettre à hauteur de la tige turgescente. Mes lèvres frôlent le sexe palpitant et sans arrêter de le masturber, je commence à passer ma langue le long de la hampe.

Je viens de jouir comme jamais je ne l'ai fait et pourtant mon corps dit que ce n'est pas assez. Le simple frôlement occasionnel de mes seins contre les écailles du dragon et l'odeur musquée font remonter en mois des envies de luxure. J'avoue éprouver un plaisir pervers à voir ce monstre ainsi à ma merci. Chaque coup de langue, chaque mouvement de poignet provoque des sensations décuplées grâce à ma drogue. Je peux en l'espace d'un instant le faire se cambrer et gémir ou au contraire arrêter et le laisser pantelant et suppliant. Je continue ce petit jeu tant et tant qu'à un moment, mon corps réclame de nouveau son du. Je suis finalement autant esclave de mes pulsions que lui aujourd'hui. Quelle ironie. Je cesse mes jeux de langues, me retourne et rive mon regard à celui de l'animal. Avec une lenteur délibérée et provocatrice, je lèche mes doigts souillés et lui lance.


- Et si maintenant tu me montrais ce que tu vaux ?

Avec l'appétit d'une chatte en chaleur, je me glisse jusqu'à son bas ventre et viens souder mon bassin au sien. Une contorsion me suffit pour guider le sexe aux proportions intimidantes jusqu'à l'entrée de mon intimité. Mais je n'ai aucune inquiétude. Ma chatte ruisselle. Elle tremble d'envie d'être comblée, ici et maintenant. Même par cet appendice monstrueux.

Un soupçon de magie suffit pour que je desserre les chaines au niveau de son bassin. Que la fête commence !


2
L'arrivée de Dextra me fais à peine sourciller, tout juste un haussement de sourcil. Je souris et reprend une gorgée d'eau, le temps que la tirade colérique me soit lancée. J'admire l'emploi judicieux du sortilège de possession mais regrette le manque de sang-froid affiché par mon interlocutrice. Elle n'est heureusement pas la première à m'insulter, loin s'en faut.  Les démons avec qui je négocie essayent parfois de me déstabiliser de cette façon. Le plus souvent sans succès, hélas pour eux. L'Art doit être difficile à pratiquer pour quelqu'un d'émotif. C'est donc toujours maître de moi même que je repose le verre sur ma table et adresse un sourire poli à celle qui contrôle la poupée humaine en face de moi.

- Bonjour Dextra, merci d'avoir pris la peine de venir, je suis heureuse de vous rencontrer.

Aucune ironie dans mes propos. Avoir la chance de discuter avec une collègue, aussi perfectible soit sa magie à mes yeux, est une occasion rare et précieuse. Même si peut être dans quelques minutes nous essayerons mutuellement de nous faire frire la cervelle. Je joins les mains et poursuis d'un ton tranquille, attentive aux réactions que je pourrais déceler de la part du possédé ou de mon environnement. Le dialogue pourrait être une diversion et rester vigilante est une précaution qui s'impose.

- Tout d'abord, je vous présente mes excuses pour m'être introduite dans "votre" territoire. Je n'avais pas conscience d'empiéter sur le domaine d'une collègue.

Bref sourire. Je sais ma maîtrise de la magie supérieure à la sienne mais j'ai un respect pour notre profession et suis prête à faire le premier pas et à lui parler en égale. Un concours de circonstances heureux a fait que je me retrouve "chez elle" et je tiens donc à respecter les formes.

- Quant à vos allégations sur de possibles relations charnelles, je les réfute. Elles n'ont aucun attrait à mes yeux.

Mais le sujet semble malgré tout heurter la sensibilité de mon interlocutrice. C'est intéressant à noter. Mon regard reste rivé dans le sien. Attentive, concentrée. Mon esprit reste ouvert pour sentir les trames de mana qui nous entourent. Le lien de possession semble être pour l'heure le seul que je parviens à détecter. Je l'isole mentalement et pourrais m'amuser à remonter le fil. Ou le couper. Voire subtilement le modifier. Mais ce serait très impoli de ma part. Je n'envisage pas de recourir à ça sans provocation ou déclaration ouverte d'hostilité. Je pose les coudes sur la table et joins les mains lentement devant mon menton.

- Je m'appelle Victoria. Le hasard m'a fait camarade de classe de votre frère. C'est la raison de ma présence à ses côtés.

Mon ton est celui de simple constat. Puis je précise à tout hasard.

- Vous pouvez vous épargner la peine de chercher à l'utiliser contre moi. Ce n'est pas mon vrai nom.

J'imagine de même que Dextra a eu l'idée de changer elle aussi d'identité et de modifier la mémoire de son frère en ce sens. Il serait impensable qu'une pratiquante sérieuse des arts sombres laisse quelqu'un donner son nom véritable à tort et à travers. Je le saurais vite si la moindre escarmouche magique venait à éclater entre nous. Percer ses défenses serait pour moi comme mettre une pichenette dans une bulle de savon. Je laisse quelques secondes s'écouler avant de continuer avec le même calme.

- Je pense que notre rencontre, bien que fortuite, est une opportunité et que nous pourrions trouver des terrains d'ententes dans de nombreux domaines.

J'accompagne mon offre d'un geste éloquent, écartant les mains et tournant légèrement les paumes vers elle, signifiant non-verbalement que la parole était sienne. Quelle sera la réaction de la jeune impertinente à ce rameau d'olivier offert ? Nous verrons bien. Entrer dans un conflit, même gagné d'avance serait à la fois coûteux en ressource et assez peu utile à mon niveau. Investir pour remporter un jeu sans enjeu est une attitude déraisonnable et la preuve d'un ego mal placé. Je ferais insulte à l'enseignement offert par mon clan.

3
Pardooooooon pour l'attente infiniiiiiie.
La rentrée, ca bouscule tout >_<

La plus merveilleuse des Princesses. La plus douce des Reines. Les compliments du géant d'opale sont du velours sur mon ego. Il n'en fallait pas plus pour m'amadouer. Après la sauvagerie de nos ébats dont les échos douloureux continuent de se répercuter en moi, il se fait subitement doux et cajolant. Nos langues se rencontrent et nous mélangeons une fois encore nos souffles. La magie crépite entre nous, des étincelles de mana courent nos épidermes. C'est une alchimie étrange et incroyable qui lie nos deux corps. Une alchimie que je ne pensais jamais vivre, moi qui n'avait que doux mépris pour les plaisirs de la chair.

Il a fallu qu'il débarque et me frôle pour que quelque chose d'inimaginable se déclenche. Au point que maintenant, moi Victoria Campbell, accorde à cet inconnu un droit que je ne me pensais pas prête à céder. Je le laisse accéder à la plus profonde de mes intimités, un privilège dont il ne saisit sans doutes pas la portée. Constatant la douceur de ses gestes et la prévenance dont il fait preuve, je m'abandonne entre ses mains. La magie qu'il utilise pour préparer l'acte déclenche en moi un doux frisson, plus efficace sans doutes que l'effet de ses doigts ou l'impudeur honteuse de ma situation.

Yeux fermés, haletante, c'est à peine si j'entends les autres promesses de la soirée. Un bain. Un massage. Oui très bien. L'idée m'arrache un sourire gourmand.  Et pendant ce temps mon corps s'habitue lentement à ce qui se prépare pour la suite. Et inévitablement vient le moment attendu. Je me cambre, j'offre ma croupe à cet inconnu. Et il répond à l'invitation avec cette fois encore une surprenante douceur. Si je retiens mon souffle au moment de l'insertion. La pénétration s'avère au final lente. Un mélange étrange de plaisir et de douleur s'impose à moi sans que je puisse dire que ce soit désagréable.  Je me détend sous ses mouvements, me cramponne à la nappe de la table et des soupirs d'aise finissent par sortir de mes lèvres à chacun de ses mouvements amples et lents. Devenu amant attentionné, Niqa s'enquiers de mon état. Haletante, assaillie par les sensations inhabituelles offertes par ce genre de rapport, je lui répond sans même songer à protester ou réagir à sa dernière provocation.

- Oui vas-y, continue ...

Prenant appui sur la table je prend l'initiative de pousser avec mes bras pour reculer mon bassin et imprimer un nouveau rythme, marquant à la fois ma coopération et mon souhait d'accélérer. Visiblement il n'en faut pas plus à mon partenaire. Ses mains posées sur mes hanches m'agrippent et impriment à mon corps des mouvements qui s'accélèrent peu à peu. Ses va et viens deviennent plus amples. Plus saccadés. Mes soupirs se transforment en gémissements. Lorsque le rythme atteint son paroxysme et que nos corps finissent par s'entrechoquer comme lors de nos ébats les plus fous, je suis soudainement submergée par des spasmes de plaisir qui me font crier à tue-tête et perdre toute coordination. Je tremble, tressaute, m'effondre en avant et finit front posé contre la table, sans parvenir à juguler la déferlante qui jaillit en moi pendant qu'il me pilonne sans répit. Je jouis. C'est incroyablement puissant et semble ne jamais pouvoir finir. Mon coeur est sur le point lâcher j'en suis certaine. Je vais exploser, mon être mon essence être dispersée aux quatre coins de l'univers. Il ne restera bientôt rien de moi, juste les échos d'un plaisir impossible et indicible.




4

- C'est bien, c'est bien ! Oui continues ...

Ses premières réponses me conviennent à merveille. Je possède son nom. Peut-être son nom véritable, allez savoir ? Celui qui me donnerait les pleins pouvoirs sur lui. Les autres éléments aussi fragmentaires qu'ils soient prouvent sa volonté de coopérer. Alors je le récompense à la mesure de ce qu'il mérite. Ma main continue de le caresser avec de plus en plus de vigueur. Je le sens sur le point de venir. Un sourire insolent orne le coin de mes lèvres alors que cette fois je lui permets d'accéder à l'orgasme. La libération est intense, violente. Des giclées abondantes de fluides explosent et viennent maculer  le torse du dragon (c'était prévu) mais aussi mon avant-bras, ma poitrine et même le bas de mon visage. La chaleur de la semence draconique qui m'éclabousse enflamme ma peau et fait monter en moi une bouffée de chaleur. Je porte par reflexe ma main souillée à mes lèvres et goûte au fruit de cette délicieuse séance de torture.

Le goût salé et l'odeur bestiale devraient me répugner. Mais la drogue que j'ai inhalée continue de jouer son effet pervers. La situation m'excite, quoi que je veuille y faire. Une boule de désir pulse au creux de mon ventre, mon corps réclame à son tour une libération. Mais je prend sur moi pour résister à l'appel ... pour le moment. Je dois avant tout passer à mon objectif. Je m'offrirai une récompense méritée une fois le devoir accompli.

Ma victime est dans un état second de béatitude et de relâchement. C'est le moment idéal pour moi. Ignorant l'appel désespéré de ma chair avide de stupre, je viens poser mes deux paumes le long de ses tempes. Toujours nue et maculée de fluides sexuels, j'ai dépassé depuis longtemps le stade de la pudeur. Les défenses  mentales du monstre sont brisées, ses barrières abaissées. Je n'ai plus qu'à m'insinuer dans son esprit maintenant malléable pour puiser les informations qui m'intéressent. En quelques secondes, mon esprit s'emplit du savoir que je convoite. L'autre monde, Terra. Les portails. La magie qui l'habite. Je suis fascinée par les découvertes que je fais.

Je laisse de côté les "a côtés" dont je n'ai que faire. Je découvre la haine primale  que Spyro voue aux humains ainsi que son origine.  Il dévore, tue ou viole mes contemporains ? Grand bien lui fasse ! Ca ne me regarde pas. Qui serai-je pour critiquer la moralité d'une créature ? La seule chose qui m'importe est qu'il ne soit jamais un danger pour moi. Et c'est bien la seule chose à laquelle je touche dans cet esprit : A l'idée fixe Tous les humains méritent d'être chatiés, tellement puissante et présente que tout mon savoir ne suffirait pas à l'effacer de son coeur, j'accole une simple mention, gravée en lettres de feu : ... sauf Victoria la sorcière. C'est une amie. Ai-je le moindre intérêt à avoir un "ami" dragon ? Je ne pense pas. Pas dans l'immédiat. D'ici la fin de la soirée je le renverrai dans son monde accompagné de sa libellule désormais inutile et il y a de grandes chances pour que je n'en entende plus jamais parler. Mais sait-on jamais ce que l'avenir peut réserver ?

Bien. Je viens d'achever ce que j'avais à faire. Je pourrais immédiatement renvoyer monsieur le reptile chez lui. Mais puisque par sa faute je me retrouve avec une soif inextinguible de relations charnelles, j'ai l'intention de profiter de sa présence encore un peu. Je vais une nouvelle fois chercher dans mon étagère une petite fiole. J'en profite pour trouver de quoi m'essuyer et reviens ensuite me planter près de sa tête. J'ôte le bouchon de la petite fiole et viens la passer sous ses naseaux du monstre pour qu'il en hume le parfum. Le revigorant est puissant il devrait faire effet. Je souris en voyant les paupières papillonner et lui caresse la joue avec douceur.

- Tu as été parfait. Nous avons fait le plus dur ! Mais il te reste une tâche à accomplir mon beau.

Et avant que le monstre n'ait l'occasion de pleinement reprendre ses esprits, je grimpe sur la table et m'assois jambe écartées juste au dessus de sa gueule. Mon sexe à quelques centimètres de son visage, j'offre à l'enchainé un spectacle sans doutes saisissant. Mes doigts descendent le long de mon entrejambe et écartent avec impudeur mes lèvres intimes.

- Tu sais ce que tu as à faire ? Sois gentil et je le serai aussi.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Je Le Veux À Tout Prix ! [Pv: Victoria Campbell]
« le: dimanche 11 juillet 2021, 16:01:59 »
La magie fuse et c'est un maelstrom soudain qui me soulève et me maintiens ainsi en une espèce de ... lévitation ? Quelle sensation enivrante de sentir la magie utilisée ainsi !  Gorgée de mana comme je le suis, il me vient l'envie de moi aussi m'amuser un peu avec tout ce pouvoir à ma portée. Je n'ai pas envie d'échapper à son étreinte non.  Pour rien au monde je ne voudrais interrompre cette séance de sexe sauvage et débridé ! J'ai juste envie de lui rendre la vie moins facile.

- Qu'y connais tu en douce..?Aaaah !

Ma provocation s'étouffe dans un cri de surprise. Il m'a pénétrée d'un coups violent et soudain avant que j'ai eu le temps de finir ma phrase. Et finalement ... tout velléité de lutter s'évapore. Je ferme les yeux, profite de ce mélange exquis de plaisir et de douleur qui monte en moi chaque fois qu'il me lime. Je fais appel à ma magie oui. Mais pour faire pression sur son bassin pour qu'il me presse plus fort, plus profondément. L'étreinte est encore une fois violente, sauvage et intense. Elle se termine avec une nouvelle apothéose ... et moi finis joue contre la table, à bout de souffle et le corps douloureux. La tête me tourne encore après le traitement que je l'ai laissé m'infliger. Un sourire finalement satisfait orne mes lèvres. Je sens l'energie courir à fleur de ma peau et si ca ne tenait qu'à moi, j'en resterai là. Jambes tremblantes, peau meurtrie, corps couvert de sueur et des fruits de notre union charnelle. J'ai eu plus que ma dose ... pour l'instant.

Alors encore en état de me provoquer demoiselle ? Et je viens de remarquer qu’il y avait encore un endroit que je n’avais pas stimuler chez toi. Es-tu adepte de l’anal, Victoria ?

Un petit pincement de fierté me titille en entendant cette déclaration. Je relève la tête, tourne un menton aristocratique vers lui. Je passe une main dans ma chevelure. Je dégage mon visage pour lui adresser un sourire où pointe l'espièglerie.

- Il est si facile de jouer avec toi Niqa. Il suffit de si peu pour t'amener où j'en ai envie.

Je viens caresser sa main et l'amener à mes lèvres où j'y dépose un baiser. Une étrange démonstration de tendresse après l'étreintes sauvage que nous venons de vivre. Je m'amuse à remuer le fessier un peu, le balançant de gauche à droite pour une fois encore l'inviter à s'en régaler.

- Si il n'y a que ça pour faire ton bonheur ... Vas-y. Mais sois-doux, d'accord ? Tu va finir par me briser en deux. Montres moi ton autre facette maintenant.

Pourquoi lui ai-je permis quelque chose pour laquelle je n'ai aucune appétence particulière ? Je ne sais pas. Une envie. Peut-être que je ne sais rien refuser à mon géant d'opale. Peut-être qu'en dépits de son comportement de brute j'estime qu'il a le droit à une récompense. Parce qu'à chaque fois que je lui permet quelque chose je me sens telle une reine adulée dont les faveurs sont recherchées et accordées avec une parcimonieuse grâce. Même attachée, fessée, bousculée, prise comme une bête, je me sens en contrôle de la situation. Et ca me plait.

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J'écoute. Semble ravie par ce que j'entends. Mon langage corporel maîtrisé fait savoir au garçon même à un niveau inconscient que je m'intéresse non seulement à ce qu'il dit mais aussi à ce qu'il est.

- Je suis persuadée que ta soeur et moi saurions nous entendre si jamais nous nous croisions.

En effet, plus il parle d'elle, plus l'image que je me fais de sa soeur se précise. Une apprentie sorcière probablement autodidacte au coeur noirci mais qui n'a pas appris à le cacher ni à maîtriser ses émotions. Elle utilise ceux qui l'entourent (c'est normal, ceux qui ont le pouvoir sont là pour dominer) mais n'a pas la subtilité de faire preuve de retenue ou de discrétion. Elle n'a pas non plus songé à investir dans les capacités de son frère en lui faisant briguer une position sociale lucrative grâce à sa magie. Avec un peu d'intelligence et d'ambition Senestra et elle auraient pu gagner sur tous les tableaux. Il y a souvent plus à gagner d'une collaboration mutuellement bénéfique qu'une domination à sens unique.

- Tout joyau brut a besoin d'être taillé. Je suis sûre que ta soeur pourrait changer, il suffit parfois de peu. Une rencontre, un coups de chance ... ?

Trouver une maîtresse plus expérimentée qu'elle qui accepterait de la dégrossir par exemple. Pour peu qu'elle accepte de renoncer à une fierté inutile. A voir comment elle réagira à mon invitation. Mal dans un premier temps j'imagine. D'ici quelques temps la porte du restaurant pourrait s'ouvrir sur une magicienne furieuse et une foule de sortilèges aussi brutaux que létaux fondre sur moi. Pendant qu'une partie de moi fait la conversation et continue de jouer de charme pour ranger de mon côté le frère benêt, une autre partie de moi est aux aguets et s'apprête à lever les barrières de défense voire à renvoyer à l'envoyeuse les malédictions les moins agréables. Même si c'est rare qu'une sorcière se présente sous son nom véritable, il est possible qu'elle n'ait pas cherché à altérer la mémoire de son frère et que Dextra soit son réel prénom de naissance. Auquel cas sa magie me fera probablement moins que l'effet d'un souffle sur un brasier.

- Je t'en prie. Tes histoires sont intéressantes.

Je souris à Senestra. Bavarder avec lui me plait finalement et c'est donc sans me forcer que je lui donne un aperçu de mon histoire.

- Oui j'ai de la famille en Angleterre. Je descend d'une vieille famille noble. J'ai des parents, des frères et soeurs. Aucun ne fait vraiment attention à ce que je fais de ma vie tant que je ne ternis pas l'image de la lignée et ne vais pas à l'encontre de mon éducation. Je sais que je n'hériterai jamais des titres ou des propriétés les plus prestigieuses mais ils m'ont offert une éducation et une liberté relative en échange ... d'obligations familiales occasionnelles et très raisonnables. Alors je suis venue ici pour gagner un peu d'indépendance et voler de mes propres ailes. Je ne le regrette pas, cette ville est riche en enseignements et en rencontres passionnantes. Je suis vraiment contente que nos chemins se soient croisés.

Tiens il me semble percevoir quelque chose à l'orée de mon champs de conscience. Contre-attaque en préparation ou la collègue s'apprête t'elle à faire son entrée ? Dans un mouvement qui a l'air naturel, mes doigts viennent caresser machinalement une des bagues que je porte en quasi permanence, prête à activer le sortilège protecteur qui lui est lié si c'était nécessaire. Pas de contre-attaque en préparation pour le moment non ... Je ne suis pas quelqu'un de violent par nature et je préfère de loin feindre la posture de la victime.

7
Il ne faut pas provoquer longtemps l'être de mana pour qu'il réagisse. Ses doigts se referment sur ma gorge, je ne fais rien pour me soustraire à sa strangulation. Bouche entrouverte alors que je halète pour continuer à trouver de l'air malgré la pression. Je me retrouve moitié portée, moitié trainée jusqu'à la table de la salle à manger où je suis jetée comme un simple objet et retrouve mon souffle. Il me saisit, soulève le bassin et c'est ainsi, arquée, les épaules appuyées contre le froid de la table qu'il entre de nouveau en moi et m'offre exactement la sauvagerie à laquelle je m'attendais.
Rapidement je crie, me tortille sous ses assauts furieux. Mes doigts se crispent sur la nappe de la table et l'empoignent de plus en plus fermement à mesure que le plaisir monte. Niqa est cramponné à moi, ses mains sont deux étaux qui emprisonnent mes hanches. Je serai incapable de me soustraire à sa brutalité, même si je le souhaitais.

Une vague de puissance magique émerge peu à peu de notre union déchaînée. Les vagues de mana crépitent, distordent la réalité autour de nous.
Les lumières de la pièce vacillent alors que simultanément des runes lumineuses apparaissent sur le corps dénudé de l'être de mana. Si mon esprit était rationnel à cet instant, il s'inquiéterait sans doutes des conséquences de nos actes débridés. Nous risquions littéralement de tout faire péter autour de nous à laisser de telles forces brutes s'exprimer. Mais en cet instant précis, mon esprit n'est absolument pas capable du moindre discernement. Si on baise à en faire péter la barraque et bien tant pis ! Il ne restera que nos corps nus et épuisés au milieu d'un océan de destruction.
Tant pis. Que ca engloutisse l'immeuble ou même le quartier avec nous ne me concerne absolument pas en cet instant. Ce que je ressens. Dans mon corps, avec cette verge qui me laboure les entrailles et me brise la voix tellement je m'époumone. Dans mon esprit, avec ces vagues de magie qui déferlent et me font vibrer à l'unisson des pulsations émises par nos corps regorgeants de mana.

Ses mouvements deviennent saccadés, désordonnés. Je le sens approcher du moment fatidique. Il se cabre en une ultime ruade et là, planté au plus profond de moi, il se déverse en moi. Quelques trainées blanchâtres perlent lorsqu'il se retire et me laisse retomber sur la table, essoufflée, souillée et en sueur. Un sourire narquois étire mes lèvres alors que je le contemple de nouveau. C'est une bête que j'ai en face de moi. Une bête qui semble loin d'avoir perdu de sa vigueur et de sa hargne visiblement. Il me fait mettre à genoux devant lui. Indifférente au décor où bibelots et meubles commençaient à se déplacer, j'accompagne le mouvement, me positionne à genoux devant lui. Cuisses écartées, dos cambré, je fais face à son bas ventre sans me faire prier. Mes deux mains ramène mes cheveux collés de sueur en arrière, dégageant mon visage pour river mon regard sur l'épieu de chair qui m'est présenté.

- Regardez moi cette bête encore prête à repartir à l'attaque.

Ma position n'est soumise qu'en apparence. Menton relevé, regard brillant d'une joie perverse, j'empoigne son sexe luisant et le masturbe avec des à coups secs et amples. Je ne serre pas au point de faire mal non mais la limite est proche. 

- Je n'ai jamais vu un élève aussi indocile. Je ne sais pas si j'ai envie de te faire ce cadeau.

Petite étincelle de moquerie au fond du regard, je finis pourtant par approcher ma bouche de sa hampe. J'y dépose un coup de langue joueur, à peine un frôlement. Juste de quoi le titiller, lui donner envie que j'en fasse plus. Et j'ouvre alors la bouche pour accueillir ce sexe offert. Quelques va et vient à peine, des coups de langues appuyés. De quoi entretenir la flamme de mon amant tout en exécutant finalement sa demande. Avec l'attitude d'une princesse, je me redresse et lui fais face quelques secondes. Je passe une main sur son torse et dessine du bout de l'index le contour d'un des étranges tatouages.

- Dire que tu ressemblais à un gentleman.

Le ton est ironique, plein de provocation. Je joue avec sa patience, pour le simple plaisir de me faire désirer. Avec une lenteur calculée je me retourne et viens coller mon dos à lui. Je me déhanche lentement. J'appuie le haut de mes fesses contre son intimité et bouge avec lenteur pour provoquer le désir. Je lève le bras, et viens chercher sa nuque que je caresse avec une ferme tendresse. Je tend le cou et tourne la tête vers lui pour murmurer.

- Si tu me veux sur cette table on dirait que tu va devoir m'y contraindre ...

Peut-on imaginer incitation plus claire ? Je joue avec le feu, aspergée d'essence et tend même l'allumette à mon pyromane.

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Mes mouvements de bassin affolés font exploser au creux de mes reins une jouissance que je n'avais jamais ressentie. Sentir l'étau de ses phalanges autour de mon cou décuple mon plaisir. Etranglée, empalée sur lui et ondulant pourtant comme une chienne en rit, je pourrais légitimement avoir honte. En ressentir de la gêne. Et pourtant ... non ! Ma conscience se perd une fois encore, projetée loin par le plaisir et le manque d'oxygène combinés. Encore une fois, je m'égare, m'oublie. Parcourue de soubresauts désordonnés, poussant des gémissements étouffés. Je finis en sueur, hors d'haleine, abandonnée strictement là où il m'a laissée m'effondrer. Sur son torse que je caresse d'une paume distraite. C'était si bon ...

Mais visiblement rien n'est terminé. Il me saisit de nouveau, m'assure de ses bras puissants et soulève mon corps frêle comme s'il ne pesait rien.
J'ai le reflexe d'enrouler mes jambes autour de son bassin et de m'agripper à son cou. J'écarquille un peu les yeux. Il va vraiment être capable de me porter tout en me baisant ?? Visiblement Oui ! Brutal animal, il se met à me pilonner sauvagement et sans répits. J'encaisse, ferme les yeux sous les vagues de plaisir qui me prennent de nouveau d'assaut.

Au plus fort de la tourmente, alors que nos corps s'entrechoquent, j'en viens à m'agripper à son cou comme une désespérée. J'enfouis mon visage au creux de son cou pour y crier de tous mes poumons avant de finir par mordre pour étouffer mes cris. Et quand enfin l'apothéose arrive, qu'il pousse des grognements et se raidit, je sens un afflux soudain de mana parcourir mon corps. Sa semence explose et m'emplit, diffusant une étrange chaleur en moi.

Nous restons ainsi immobiles quelques secondes. Qu'il est beau et puissant quand il se laisse aller ainsi ! Ma main remonte derrière sa nuque, je rive un regard fasciné dans le sien.

- Wow ... tu as été ... incroyable.

Il se retire. Mon entrejambe inondée dégouline et macule l'intérieur de mes cuisses sans que je ne donne l'impression de m'en soucier sur le moment. Il me dépose avec douceur sur le canapé. Je m'attendais à beaucoup de choses de sa part mais pas à ce qu'il revienne à l'assaut si vite. Surprise, je pousse un cri quand il me force à me retourner. Croupe dressée, mise sur mes quatre pattes comme un animal prêt à la saillie. Je sens son poing se refermer sur mes cheveux et ma tête être tirée en arrière, me forçant à me cambrer. Sans me laisser de répits, le voilà qui se place derrière moi. Un sourire d'anticipation perverse étire mes lèvres fines.

- Vas y, ne te retiens pas.

Il ne lui en faut pas plus pour enfoncer sa hampe en moi.  Son sexe glisse en moi avec une facilité déconcertante. Je suis ouverte, offerte, excitée et encore trempée de son foutre. Si le rythme est d'abord doux, il ne tarde pas à devenir plus rapide Son bassin claque sur mes fesses à un rythme soutenu m'assenant de véritables fessées à chaque coup de rein.

- Vas y oui ! Encore, plus fort !

Mes encouragement doivent fonctionner car ses assauts se font soudainement plus forts, plus soutenus. En appui sur mes bras, je peine à encaisser chaque coups de boutoir et finit par basculer en avant, sous l'impulsion de l'un d'eux particulièrement ample et virulent. Il relâche soudainement mes cheveux. Je m'effondre sur mes avant-bras, ma joue touche le tissu du canapé. Ses deux mains se posent sur ma hanche pour mieux m'agripper et le coït reprend, sauvage et sans pitié. Je me sens bientôt sur le point d'exploser aors que son souffle à lui se fait plus rauque. Je sens que nous allons très bientôt atteindre un nouveau pic ensemble ... !

Et c'est le moment où une sonnerie retentit dans l'appartement.

Dring. Une fois.

Il continue, me faisant crier.

Dring. Une deuxième fois.

Avec un gémissement de frustration, je suis contrainte de lui faire comprendre que je dois me dégager. Bien à regret ! Je mets plusieurs secondes à me relever, jambes tremblantes, corps encore parcouru de frisson de plaisir. Il faut encore plusieurs coups de sonnette avant que je ne parvienne à aller attraper un peignoir dans la salle de bain et à me glisser jusqu'à la porte d'entrée que j'ouvre avec humeur après avoir jeté un rapide coup d'oeil par le judas. Le livreur de nourriture ... Evidement. Jamais je ne lui avais ouvert avec cette allure. Il faut une première fois à tout. Il ouvre des yeux ronds de surprise  et vire immédiatement à l'écarlate en voyant mon allure : Echevelée, visage rouge, couverte de sueur et le cou marqué de traces sauvages.
 Quelle différence avec l'allure de bourgeoise proprette et maquillée que j'avais toujours offert à chacune de ses visites. Je transpirais aujourd'hui le stupre à plein nez, sans même parler de mes genoux brûlés par les frottements clairement visibles en dessous de mon peignoir mal ajusté.

- V...votre livraison Mademoiselle Campbell.

Je grimace un sourire en réponse. J'attrape un des billets posés sur le meuble d'entrée et lui tend en échange de sa livraison . Mes pourboires sont toujours généreux. Une habitude héritée de mon éducation aristocratique.

- Merci. Bonne soirée à vous.

Ton naturel, détaché. Comme si il n'y avait STRICTEMENT RIEN DE SUSPECT à voir, en dépit des cris de plaisir qu'il n'a pu manquer d'entendre à travers la porte ou mon allure au moment où l'huis de mon logis s'est ouvert. Je referme avec un soupir contrarié et viens poser le sac de nourriture sur la table avant de retourner auprès du géant d'opale qui devait être dans un état de frustration proche du mien.

- Notre repas est arrivé. Mais je crois que nous avions quelque chose à finir avant, non ?

Avec une lueur de défi au fond du regard, j'ote mon peignoir. M'apercevant que les reliquats de nos premiers ébats continuait de me salir l'entrecuisse, j'utilise le tissu du vêtement pour m'essuyer avant de l'abandonner au sol et venir me planter en face de l'être de mana vers qui je lève les yeux et adresse un sourire de pure provocation.

- A moins que ca n'en soit trop pour toi ? 

Je le provoque, je m'amuse. Je vois bien qu'il crève encore d'envie de me prendre, son excitation est visible. Dressée comme ça devant lui, je me rend compte qu'en dépits des assauts furieux dont je viens d'être la victime consentante, je me sens dans une forme éblouissante. Le contact si intime avec le mana de l'être m'a emplie d'une énergie démesurée. Je me sens gonflée à la fois de pouvoir magique et de libido. La magie palpite à fleur de ma peau, je pourrais presque la sentir crépiter au contact de l'air.


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Centre-ville de Seikusu / Re : Je Le Veux À Tout Prix ! [Pv: Victoria Campbell]
« le: dimanche 04 juillet 2021, 11:00:43 »
Il prend place face à moi. Puissant et dominateur, il écarte d'autorité mes cuisses déjà ouvertes pour lui. Ca y est le moment attendu arrive ! Je frémis d'anticipation, je me tends vers lui.  Bassin relevé, regard criant *s'il te plait !*, je me prépare à la pénétration. Il se positionne au bord de ma fente brûlante. Il va venir en moi, c'est imminent. Encore un tout petit instant ... et ... non ! Il se retire ! 

- Non ! Qu'est-ce que tu ... ??

Mais ma protestation meurs avant d'avoir commencé car  c'est sa bouche qui vient remplacer la verge attendue. Quand sa langue vient frôler mon entrejambe, je soupire d'aise et me cambre en arrière. Il me lape et m'explore. Je suis incapable de retenir mes gémissements. Avec cet étrange mélange de contrainte consentie et de désir qui nous lie depuis le début de nos ébats, je saisis sa crinière et m'y agrippe avec force. Je presse mon bassin contre ses lèvres. J'émet un râle frustré chaque fois qu'il joue avec moi, qu'il tarde à me faire plaisir. Il le fait exprès je le sais. Il me laisse m'impatienter juste ce qu'il faut avant qu'un coup de langue ou un suçon sur mon bouton me fasse frémir, haleter et finalement donner de la voix.

- Niqa ! Oh ..! Ne t'arrêtes pas ! Aaaah !

Yeux fermés je me laisse aller en arrière et suis envahie par une vague de plaisirs comme j'en ai jamais encore connue. Un spasme me secoue alors qu'un orgasme monte en moi. Je crie, me cramponne à sa tête, le presse contre moi alors que mon feu intérieur explose littéralement. Je n'existe plus l'espace de quelques secondes, l'esprit envoyé voler quelque part loin.  Il dérive au milieu d'un champs de paillettes et de mana. Quand je reprend conscience de ce qui m'entoure, l'être de mana avait bougé. Il m'avait laissé pantelante, allongée sur le cos. Le corps couvert de sueur, les cheveux défaits et les yeux fous. Il vient se positionner entre mes cuisses ouvertes. Son sexe dressé, prêt à entrer en moi. Je suis loin d'être rassasiée, j'en veux encore plus !

- Oui ... viens .. s'il te plait.

Je voudrais bouger mon bassin, nouer mes jambes autour de ses hanches pour l'emprisonner et l'inciter à me prendre. Mais ses mains tiennent encore fermement mes cuisses. Cette sensation d'entrave me frustre autant qu'elle m'excite. Mes mains caressent son torse, se régalent des courbes de cette poitrine parfaite sous laquelle un coeur de mana pur bat. Je sens ses pulsations, elles font résonner quelque chose en moi de terriblement primal. Le membre du géant d'opale vient en moi. Doucement d'abord. Ma bouche s'entrouvre à mesure qu'il avance. Et quand soudain il me pénètre d'un coup de rein puissant mes yeux se closent et mes lèvres laissent s'échapper un nouveau cri.

Ses mains rejoignent mes hanches si fines et me saisissent. Les va et vient commencent. Il est violent, presque brutal. Et j'aime ça. Un plaisir sans limite m'envahit. Mes jambes libérées se croisent derrière son bassin. Elles accompagnent chacun de ses mouvements, l'invite à poursuivre ses assauts, à les accélérer. Plus fort, plus vite, plus loin.

Il vient de nouveau chercher le contact de mes lèvres. Je lui saisis la tête et dévore les siennes avec une avidité animale. Je presse ensuite mes seins menus, je l'invite à s'en régaler. Qu'il se repaisse de mon corps juvénile de tout son saoul ! Il lui est offert.

 Il prend l'initiative de changer de position et moi, docile, j'accepte de suivre le mouvement. Me revoilà à califourchon sur lui, cuisses écartées. L'étreinte se desserre pour mieux pouvoir recommencer. Je saisis la hampe de chair et la guide jusqu'à mon intimité qu'elle n'aurait jamais du quitter et d'un coup de rein décidé je m'empale de nouveau dessus. Mouvements du bassins, d'abord lents. Après la fureur je me fais douce. J'ondule, je profite de chaque sensation. Mes mains parcourent son corps, caressent son torse, palpent ses bras, ses abdominaux. Je porte à mes lèvres les mains qui s'égarent sur moi. C'est un bref moment de tendresse et de répits qui suit le corps à corps furieux que nous venons de vivre.

Saisie par je ne sais quel instinct pervers ou animal je saisis une de mains qui me caresse et viens la porter à ma gorge délicate. Mon cou frêle parait fragile et minuscule en comparaison de la patte solide du géant d'opale. Mais je l'incite pourtant à refermer ses doigts autour de lui. Un regard long, appuyé. Je rive mes yeux émeraudes dans le sien pour lui dire *Vas-y oui, tu peux*. L'étranger est sauvage mais il est aussi doux. Je veux sentir sa force, sa brutalité. Encore.

Sentir les doigts se refermer sur moi me stimule plus que je ne voudrais l'admettre. Bientôt j'éprouve le besoin de ressentir plus. Plus fort, plus vite, plus sauvage. Alors mes mouvements se font plus amples, plus secs, plus saccadés. Je me met à utiliser l'être de mana, pour mon propre plaisir. Coups de bassins de plus en plus forts. Mes cuisses sont mises à contribution pour me soulever et me laisser retomber sur lui, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Nos corps claquent, s'entrechoquent. Et chaque heurt finit par m'arracher des cris. Je sens peu à peu monter la jouissance en moi je me cambre en arrière. Si j'avais le souffle pour, je lui crierai : *Vas y Niqa, oui ! Encore ! Encore un peu !* Mais il n'y a pas besoin d'être sorcier pour le lire dans mon regard que je suis à deux doigts de me laisser submerger de nouveau par le plaisir. Mes  mouvements de hanche deviennent plus désordonnés, plus erratiques.

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Il est sûr de lui. Il est conquérant. Il est possessif. Son attitude devrait me faire crier d'indignation. Pourtant quand ses dents mordent la chair pâle de mon cou, c'est un cri d'obscène plaisir que je lâche. Je lève la tête, offre la pâleur de ma gorge à ses crocs envieux. Mains toujours bloquées, tout mon corps se tend et frissonne.

- Oui Niqa ! Vas-y mords-moi, marques-moi, possèdes-moi !

Mon bassin ondule contre le sien. Quelques millimètres de tissu à peine me séparent de son érection grandissante. Je le sens grandir, je le sens réagir à ce que je lui fais. Véritable animal en chaleur, je me frotte à lui sans pudeur ni honte. Je joue avec ses désirs autant qu'avec les miens. A la seconde où il consent à libérer mes entraves, mes mains se précipitent elles aussi pour arracher les barrières de tissus qui séparent nos corps fiévreux. Sa chemise déjà entrouverte ne fait pas long feu. Les deux pans sont écartés d'un geste brutal et avide, sans aucun respect ni pour les boutons ni pour les coutures. Les vêtements tombent. Les siens, les miens. L'être de mana peine à ôter mon soutien-gorge. Je profite de cet instant pour passer mes mains puis ma bouche sur son torse. J'y laisse moi aussi les marques de mon passage. Mes ongles se font griffes et tracent des sillons rosés. Mes lèvres avides viennent chercher son mamelon qu'elles viennent happer avec gourmandise. La pointe de mes incisives frôle son sein, jouant à la limite floue entre douleur et plaisir. Mais le repis est de courte durée.  Nos lèvres se retrouvent, voraces, affamées. Nos souffles et nos langues se mélangent avec fébrilité. Mes seins mis à nus sont immédiatement pris d'assaut pendant que simultanément mon intimité commence à recevoir son lot d'attentions. Ses doigts écartent la dentelle et me découvrent trempée, ruisselante. Les frôlements de sa peau sur mon point sensible me font avoir des soubresauts incontrôlés, accompagnés de gémissements aigus. Ses lèvres abandonnent ma bouche pour venir  s'occuper des deux petites pommes qui me servent de seins. Le fruit semble à son goût car une fois encore, il finit par morde dedans avec l'appétit d'un affamé. Un mélange étrange de plaisir et de douleur m'assaille.  Mes bras l'enserrent, caressent son dos. Agrippée à lui mes ongles se font griffes.

- Continue, ne t'arrête pas !

Comme répondant à ma demande, un index se décide à passer la barrière de ma vulve. La pénétration me fait pousser un soupir de plaisir. Un deuxième doigt ne tarde pas à s'inviter et un lent va et viens commence. La magie qui émane de l'être de mana mélangée à la stimulation me font perdre la tête,  je m'arque en arrière, crie. Loin de me calmer, ses caresses sont comme le vent qui attise le brasier au creux de mes reins. Je brûle littéralement, j'ai l'impression de me consumer. Et alors que sens mes fluides inonder sa main, mes jambes se dérobent sous moi. Heureusement le bras sûr de mon amant surnaturel s'enroule autour de ma taille et me soutient sans peine. Yeux fermés, tête rejetée en arrière un étrange vertige me gagne. Comment est-il possible que je m'abandonne à ce point entre les bras de cet inconnu ? Je n'en ai aucune idée. Seul compte l'instant présent et l'incroyable pouvoir qui me traverse et fait frissonner chaque fibre de mon être. Véritable poupée de chiffon à sa totale merci, c'est à peine si j'ai conscience d'être allongée sur le canapé du salon. Il me laisse là haletante, contorsionnée de désir. Il ôte les derniers vêtements qui l'habillent. Je fais de même avec des mains tremblantes. Ma jupe, ma culotte inondée rejoignent le sol et je reste là devant lui, allongée, offerte. Est-ce une étincelle de triomphe que je vois luire dans ses yeux plein de malice ? Je m'en fiche mes bras se tendent vers lui, je l'appelle à moi d'une voix brisée.
 
- Prends moi Niqa je t'en prie ! Donnes moi tout !

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Il se dirige vers moi. J'écarquille un instant les yeux.

- Non je ... !

Inutile. Nos lèvres qui se rencontrent de nouveau. Et voilà.

Echec

et

mat


Mes dernières défenses tombent. Je ne peux plus résister. Je ne le veux plus.  Mes lèvres collées aux siennes s'entrouvrent et receuillent avec avidité sa langue. Son contact m'électrise, il me rend folle. Une main passe derrière sa nuque, j'essaye de l'attirer près, encore plus près de moi.
Mes mouvements son désordonnés, je tremble d'excitation contre lui. L'éloignement de nos lèvres me laisse hors d'haleine, haletante, frustrée par cette séparation même si elle ne dure que quelques instants. Ses mains cherchent les miennes. Nos doigts s'enlacent. Je me laisse plaquer contre cette vitre. Une flambée d'excitation monte en moi. Je sens le pouvoir déferler ...  à travers lui. Y a t'il que cela ? Est-ce la seule explication à ma conduite incroyable. Non .. Il y a définitivement quelque chose de plus que je ne peux définir. Je me laisse dominer par mes pulsions et par cet être contre qui je ne peux strictement plus lutter.

Qui est cette étrangère que j'aperçois dans le miroir du salon ? Cette lycéenne lubrique et sans pudeur, plaquée contre une paroi de verre. Ce n'est pas moi. Jamais je ne me conduirais ainsi. Des lueurs folles dansent au fond de son regard.  Un brasier brûle entre ses reins elle se tortille comme une chienne en chaleur. Incapable de réprimer ses pulsions, elle vient avec une impudeur totale coller son bassin à celui de l'homme qui la domine.
Une de ses jambes s'écarte, se lève. La voilà qui enserre le bassin de l'être de mana, obligeant leurs corps à rester soudés. Quelle attitude scandaleuse. Le scandale ... qu'en ai-je à faire ? Oui je suis la fille de ce miroir. Oui je me colle à lui comme la dernière des trainées et je n'aspire plus qu'à une seule chose : Qu'il me prenne. Ici, maintenant. Qu'il fasse de moi ce qu'il désire. Qu'il me fasse crier, hurler, supplier de ne plus jamais s'arrêter. Plus rien d'autre ne m'importe. Sa dernière question n'amène qu'une seule réponse, passionnée, presque criée tellement le feu qui m'anime est ardent.

- Je t'en prie, ne t'arrête pas ! Je te veux comme jamais j'ai voulu quelqu'un, je n'en peux plus !

La capitulation est totale. L'aveu de la faiblesse de ma chair et de ma volonté est définitif. 

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La zone industrielle / Re : Dans l'ombre des puissants (Privé Iki Ota)
« le: lundi 28 juin 2021, 17:40:29 »
Bien sûr. Personne n'avoue jamais avoir besoin de ces accessoires. Et c'est toute la difficulté de leur commercialisation. Heureusement la plupart du temps ce genre de commerce est délégué auprès de dealers des rues, qui eux même passent par un réseau de prostituées ... ou par je ne sais même pas qui. Ca ne me regarde pas tant que leur protection reste acquise et que l'argent me remonte. Cela dit, je ne peux qu'avouer que pour un homme de son âge, le proviseur semble remarquablement entretenu.

- Quelle forme remarquable vous avez !

Le compliment est sincère, même si il demeure un mince sourire au coin de mon visage quand il dit ne pas ressentir d'effets particuliers après avoir bu mon élixir. Mais quand il verra qu'au bout de trois, dix, douze rounds il aura encore une forme olympique, il changera d'avis. Tout est affaire de patience.

La poupée de chair que j'ai entre les mains joue son office. Docile, bouche ouverte, elle reçoit la violente pénétration de l'homme en pleine gorge sans rechigner. Quelle triste déchéance. Ma "camarade de classe" subit les outrages de son proviseur elle n'en a pas été consciente jusqu'à ... maintenant.

- Allez il est temps de te réveiller ma belle.

Je coupe le sortilège de contrôle et soudain elle reprend conscience de son environnement. Ses yeux s'écarquillent, elle pousse un gémissement de surprise et a un geste brutal de recul que j'avais anticipé. Ma poigne était solide, le cri s'étrangle alors qu'un coup de rein décidé la bâillonne. Le proviseur avait ralenti le rythme, sans doutes brièvement surpris par le changement brutal d'attitude. Mais il a l'air d'être le genre d'homme à savoir gérer. Je me penche à l'oreille et lui murmure. Suffisamment fort pour lui aussi entende et soit (peut-être ?) excité par les paroles.

-Surprise adorable petite poupée ... Non tu ne rêves pas tu es bel et bien à genoux avec la bite d'un inconnu dans la bouche. Avises toi de te mettre les dents et tu le regretteras amèrement, je me fais comprendre ?

La "gamine" (a t'elle un âge si différent du miens ?) semble terrorisée, effrayée. Désorientée, paniquée par les cris de ses camarades en train de se faire violer à quelques mètres d'elle, elle tente de se débattre, de retirer le corps étranger de sa bouche. Mais le proviseur la tient fermement par les couettes et moi même la bloque en position agenouillée. Le vieil homme a toute latitude pour reprendre son va et viens à travers les lèvres de son élève. Un sourire de joie mauvaise orne mes traits. Est-ce que d'ordinaire je prend plaisir à torturer ainsi mes contemporains ? Pas particulièrement. Mais disons que l'ambiance se prête à ce genre de jeu. Je me sens comme un chat qui s'amuse aux dépends d'une souris sans défense.

- Voilà le genre de fille qui se croit supérieure et à l'abri de tout. Une fille qui ne prend pas assez de précautions pour se défendre. Cette nuit va te changer à tout jamais ma belle. Toi et tes copines allez avoir des tas de tucs à vous raconter je crois.

Elle gémit, essaye de crier quelque chose mais les sons qui s'échappent de sa gorge ressemblent à des gargouillis étranglés. Ses yeux s'inondent de larmes. Vu qu'il devient inutile de lui tenir la tête, je lui caresse la nuque avec un air maternel et lui dit d'un ton plein de comprehension.

- Ma pauvre chérie. Je sais. Sois heureuse de ton sort, c'est toi qui a encore le droit au meilleur traitement.

Une vérité stricte. De l'autre côté du salon, je pouvais voir la blonde, les deux bras bloqués en arrière, la tête plaquée sur l'assise d'un canapé en train de se faire ravager par un homme chauve mais solidement bâti. Ses coups de boutoir sont autant de punitions pour l'infernale petite amazone qui refuse de rendre.  Déjà couverte de fluides écœurants, déjà outragée par plusieurs hommes, elle contine de se débattre, de tenter de donner des coups de reins et de ruer, ce qui provoque l'hilarité de ses tourmenteurs. La brune quant à elle semble plus raisonnable, elle a abandonné la lutte. Elle se retrouve allongée sur le dos, jambes écartées en se cachant le visage avec les mains alors qu'un corps maigre et décharné la besogne sans répits tout en lui murmurant d'obscènes propos que la distance m'empêchent d'entendre.

Quand un des hommes se retire pour céder sa place il a la merveilleuse surprise de se sentir gaillard et prêt à retourner à l'assaut derechef grâce à mes surprenants breuvages. Ceux qui se sont osés à la poudre bleus crient de plaisir, se retrouvent pantelants au sol après chaque orgasme, l'esprit au bord de la rupture. Avant de reprendre conscience et vouloir repartir à l'assaut séance tenante ! Autant dire que ces deux pauvres lycéennes n'en sont qu'au tout début de leurs peines.  La soirée semble commencer sous les meilleures augures. De mon point de vue bien sûr. J'aime voir mes clients heureux.

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Non pas si près ... non non noooooon. L'energie qu'il dégage augmente, elle me frappe de plein fouet. C'est intenable, c'est comme si un incendie parcourait ma peau..

Victoria ? C’est ma présence, c’est moi qui te mets dans cet état-l...?

Nos lèvres se retrouvent soudainement collées l'une à l'autre. Que s'est il passé ?! Bon sang c'est moi qui ai bougé ! Je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase, je me suis littéralement jetée dessus. Mes deux mains ont agrippé le col de sa chemise pour l'attirer à moi avec davantage de ferveur et maintenant je me retrouvais là à goûter au contact merveilleux de ses lèvres. Je sens. JE SENS le mana couler à travers son souffle. Ce contact est comme une décharge. Mon coeur bat à cent à l'heure, mon souffle se fait court. Je sens mon ventre brûler de désir et mon corps entier tendre vers ce contact. Il me faut faire un effort de volonté incroyable pour rompre ce contact et me relever soudainement. Hors d'haleine, le visage rouge, je recule jusqu'à la baie vitrée sur laquelle je m'appuie pour essayer de reprendre mes esprits. Non mais je ressemble à quoi au juste ? Je me jette sur un garçon comme une collégienne en chaleur.

- Oui ... C'est toi.

Pas besoin de mentir ou de tourner autour du pot ou de mentir. Soit l'être de mana est d'une grande naïveté soit il est déjà bien au courant de l'effet qu'il provoque chez ses victimes et se joue de moi. Je pourrais quitter la pièce, fuir encore plus loin. Mettre un terme à ce cours qui risque fort de ne pas m'apporter du tout les réponses que j'attend ! Pourtant quelque chose me retiens. Est-ce que secrètement je voudrais céder à mes pulsions insoutenables là maintenant tout de suite ? Non ! Non non ! C'est par intérêt que je reste. Oui parfaitement. Rien d'autre. Un simple calcul. Le désir d'accéder à ces connaissances malgré tout.

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Le chéri capitule ? Parfait. La sensation de sa langue étrange et râpeuse courant sur mes doigts éveille de nouveau le début d'un désir inavouable. Décidément les effets de cette poudre sont terribles. Même à petite dose. Ca me conforte dans l'idée que j'ai choisi l'outil et le moyen de pression idéal pour obtenir ce que je veux.

- Tu es raisonnable. Je viens avec douceur lui caresser la crête osseuse derrière son crâne. Tu ne le regretteras pas tu sais.

Avec douceur je viens me positionner a côté de lui, reposant mon corps quasiment nu contre le sien, chaud et écailleux.  Le contact est-il aussi agréable pour lui qu'il l'est pour moi ? Je n'ai pas de honte à m'abandonner. Ici, personne ne saura jamais à quelles transgressions honteuses je me suis adonnée. Et cet endroit a de toutes manières vu des choses bien plus choquantes se dérouler. Mon visage est tendu vers le sien, je murmure presque à ses oreilles. Une main sur le côté de sa tête, l'autre descend de nouveau jusqu'à son membre frémissant que je saisis et viens masturber avec douceur. Cette fois, j'ai l'intention de me faire gentille ... Si lui consent à l'être bien sûr. Donnant, donnant. C'est la règle.

- Dis moi pour commencer. Comment t'appelles tu ? Et parles moi de ton monde s'il te plait.

Mes caresses continuent ... Elles ralentiront s'il garde le silence. S'intensifieront s'il se montre bavard. Et si il finit ? Aucune importance. Recevoir l'orgasme le plus puissant qu'il ait jamais eu le mettra en confiance pour la suite. La poudre aura tôt fait de faire remonter le désir et avec la promesse de ce nouveau délice, il continuera à parler.

Et moi dans tout ça ? Je ne suis pas encore décidée. Une chaleur sourde habite toujours le creux de mes reins. Un feu couvert qui ne demande qu'à se rallumer d'ici peu. Charge à moi de voir comment j'aurais envie de l'éteindre.

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La zone industrielle / Re : Dans l'ombre des puissants (Privé Iki Ota)
« le: samedi 12 juin 2021, 19:21:05 »
A peine un geste de ma part suffit pour que soudainement, les deux filles changent d'attitude. Elles clignent des yeux, découvrent les lieux, les tenues dans lesquelles elles sont habillées et surtout se rendent compte qu'une horde d'hommes commence à se saisir d'elles.

- Mais qu'est-ce que ... ?

- Hyaaaah mais ?!! Qu'est ce que vous nous faites !!! Non !

La soudaine réaction de la grande blonde et de la rêveuse surprend d'abord, mais les hommes se reprennent vite, ravis par cette résistance inopinée.
La brune est rapidement maîtrisée et ses vêtements arrachés. Elle pousse des cris étranglés alors que des mains avides s'emparent d'elle, juste avant qu'elle ne soit bâillonnée (A moins que son soudain mutisme s'explique par autre chose . La situation est confuse de là où je me tiens). En revanche la petite blonde lutte comme une lionne. Même avec un homme la tenant par chaque bras et jambe, ses ruades déstabilisent, elle manque de peu de faire "très mal" à un de ses agresseurs et récolte deux gifles magistrales en retour.  Sa résistance fait rire. à 6 sur une adolescente, ces messieurs finiront bien par l'emporter, non ?  Son destin parait inéluctable, elle ferait mieux de cesser de lutter ... Je sors comme promis les flacons des substances voulues et viens les montrer à l'assemblée avant de les poser sur une table basse.

- Ceci ... Je montre de petites fioles à dose unique. Pour faire durer les choses pendant des heures.

Littéralement des heures. Encore et encore. Dix rapports d'affilée si ils le souhaitent ...

- N'ayez pas peur, il n'y a aucun effet secondaire. Pas pour vous ... par contre leurs partenaires ne sont pas au bout de leur calvaire ...

- Et si vous voulez sentir chaque sensation comme jamais vous les avez ressenties ...

Je montre des petits flacons de poudre remplis d'une poussière joliment bleutée.

  Essayez donc ceci ... une simple pincée de poudre dans le nez vous verrez. Vous ne pourrez plus vous en passer. Si vous voulez que vos "compagnes" ressentent absolument tout également ...Bref coup d'oeil pour la petite brune entre les jambes de qui un homme était sur le point de commencer à s'affairer ... soufflez leur une pincée sur le visage. Vous verrez qu'elles redemanderont de tout ce que vous leur ferez ...

Bref sourire. Je me souviens avec de la fois où j'ai subi l'effet de cette poudre à mon insu ... Le moindre froissement de tissu sur ma peau m'avait presque mise à genoux de désir. Je ne me souviens même plus du nombre de fois où j'ai atteint l'orgasme ce jour là ... un étrange dérapage, je ne sais toujours pas si j'ai passé un agréable moment ou si je dois me sentir horrifiée d'avoir perdu le contrôle. En tout cas l'effet est intenable. Ce n'est pas pour rien que je porte un masque couvrant le visage et le nez aujourd'hui. Je préfèrerai tant qu'à faire éviter de me laisser aller à des appétits indécents au milieu de tous ces hommes, surtout s'ils prennent les fortifiants que j'ai amenés.

La démonstration finie je me retourne vers "le maître". J'ai gardé avec moi bien assez de produit pour qu'il s'amuse également. Il tient à ce que je participe ? Bien, je vais plutôt me tenir du côté des bourreaux dans ce cas. Nous verrons bien où tout ca va nous mener. Je souris alors que je lui répond.

- Occupons nous à deux de notre petite chérie, dans ce cas ... ?

L'élève était restée stoïque jusqu'à maintenant, toujours charmée. Pendant que ses amies se faisaient violer elle se contentait de regarder. Je suis l'homme jusqu'au coin discret où il souhaitait nous emmener. Avec douceur je viens caresser les cheveux de la lycéenne, la forçant à tourner la tête vers l'homme.

- Regardez moi comme elle est belle ... Dis-moi trésor, as tu déjà sucé un membre aussi gros ?

- Non madame, je ne l'ai jamais ... sucé personne.

La réponse me surprend et me ravit à la fois ! Je ne pensais pas en capturant ces filles "au hasard" que je tomberai sur une proie totalement innocente.

- Une première ! Tu es vierge aussi, j'ai raison ?

Elle hoche la tête et sourit, radieuse et docile.

- Merveilleux.

J'échange un regard avec le "client". La marchandise que je lui livre est encore meilleure que ce que j'imaginais.

- Que diriez vous, si elle se réveillait avec "vous" dans la bouche, très cher ? Je suis certaine que c'est une expérience que vous n'avez jamais vécue.

Et elle non plus, ca va sans dire.

-Allez ma chérie. Tu vas gentiment t'agenouiller et te préparer à accueillir le maître dans la bouche, d'accord ?  Et alors qu'elle s'exécute, ouvre la bouche et tire la langue docilement, je m'accroupis derrière la Lycéenne. Je viens avec douceur ramener ses mains en arrière et les lui lie avec une lanière de cuir. Ca facilitera les choses pour la suite.

Puis je viens avec douceur emprisonner sa mâchoire de la main droite, prête à lui maintenir la bouche ouverte aussitôt qu'elle prendra conscience de ce qui se passe. Je suis prête à faire cesser mon sortilège aussitôt qu'il sera en elle.

- Elle est à vous. Apprenez lui donc la vie.

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