Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lissandre Verrières

Pages: [1] 2 3 ... 15
1
« Hi hi ! Le deuxième doigt est rentré si vite. Tu as vu ça, Maki ? Notre jolie Camille est très excitée par notre présence à toutes les deux. »

Lissandre prenait son temps. Elle faisait aller les deux doigts à l’intérieur du fondement de Camille. Des allers et retours pour détendre (si besoin était ! ^^) la porte arrière. Elle doigtait le cul de Camille avec beaucoup de douceur et de perversité.

Puis ses doigts sortirent. Et il sembla à Lissandre que le fondement de Camille l’appelait. Il resta béant un instant avant de reprendre sa fonction naturelle et de se refermer. Alors Lissandre s’avança pour que Camille voit bien son visage et ses doigts. Plus particulièrement ses lèvres et ses doigts souillés.

« Je me demande quel goût tu as, ma charmante Camille ? »

La langue lécha le bout des doigts qui était entré dans le cul de Camille. Puis Lissandre avala ses deux premières phalanges. Que c’était délicieux de tirer les ficelles et de faire naître des émotions. Elle voyait bien qu’il se passait mille choses dans les têtes de Maki et Camille.

« Tu voudrais goûter, Maki ? »

Les lèvres étaient entrouvertes de la géante. Mais, en bafouillant difficilement, elle répondit que non. Qu’elle ne préférait pas. Qu’elle trouvait que c’était sale bien qu’un peu excitant tout de même… Nouvelle victoire pour Lissandre qui étirait de nouveau un sourire !

« Il me semble que je ne devrais pas être la seule à travailler. Hi hi ! »

Lissandre défit la tension qui retenait le ball gag dans la bouche de Camille. Puis son index se posa contre ses lèvres pour lui intimer de ne rien pour le moment.

Lissandre s’approcha ensuite de Maki et, d’un seul doigt, fit glisser la culotte qui sentait fort l’excitation de la géante. Derrière le sous-vêtement apparaissait un sexe poilu. Tirant sur la culotte qui restait au niveau des cuisses musclées de la géante, Lissandre la fit se rapprocher de Camille.

« Camille, je te prie de faire découvrir de nouveaux plaisirs à notre nouvelle amie. Pendant ce temps, je vais retourner derrière toi et chercher une réponse à une question. A savoir si un troisième doigt entrera aussi rapidement que le deuxième : hi hi ! »

2
Les contrées du Chaos / Re : Le Lapin de Pâques existe !
« le: dimanche 08 août 2021, 19:11:51 »
Le Lapin n’avait pas mis que des étoiles dans le ciel. Des étoiles brillaient également dans les yeux de Lissandre suite à ce tour de magie. C’était comme vivre un rêve. Pourquoi quitter la réalité quand elle était aussi belle et surprenante pour le monde mystérieux du sommeil et de ces ténèbres ?

Quel merveilleux doudou que ce Lapin à la tenue légère ! Comme une petite enfant, Lissandre souriait grand. Que ce câlin était chaleureux. Et cette petite queue rigolote ? Elle adorait jouer avec. Entremêler ses doigts dedans. C’était tout doux. C’était agréable.

« Tu es formidable. Le monde que tu crées vaut celui des rêves. Toi tu es réel et je peux en profiter de tous mes sens. Ma tête peut se souvenir de beaucoup de détails. Alors qu’un rêve, ça disparait aussi vite qu’on essaie de s’en souvenir. Je suis pressé de me débarrasser de cette corvée de sommeil pour te retrouver au réveil ! »

C’était plus fort qu’elle. Lissandre ne pouvait pas s’empêcher de jouer avec la petite queue du Lapin. Ses yeux se fermaient. Le sommeil gagnait de plus en plus de territoire. Pourtant, avec cette vision obscure, Lissandre avait l’impression de sentir des frémissements chez son génie. Son souffle accélérait-il ? Ce qu’elle venait de pousser, ça ressemblait à des gémissements de plaisir, non ?

Petit à petit, ses manipulations sur la queue rigolote et toute mignonne perdirent en intensité.

Petit à petit, Lissandre perdait pied avec la réalité. Elle s’envolait pour le monde improbable des rêves.

« Je suis vraiment mais vraiment fatiguée, jolie Génie… »

Elle bailla à s’en décrocher la mâchoire. Ses jambes remontèrent contre sa poitrine de sorte à prendre la position du fœtus pour dormir. Ainsi, elle mettait un « mur » entre elle et Fudge. Une façon inconsciente de pousser le Lapin vers la sortie du lit. Mais aussi une façon claire et nette d’arrêter de la tripoter parce que ses mains revenaient contre son corps.

« A demain, joli Lapin. Je vais rêver à toi et… (baillement) et à mes trois vœux. Oui… à demain (baillement) joli Lapin… »

Le marchand de sable avait été plus puissant que le lapin de pâques. Le sable du sommeil avait été plus fort que les œufs de gourmandise.

Lissandre s’était endormie.

3
Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: dimanche 04 juillet 2021, 20:26:22 »
Si Lissandre se trouvait d’ordinaire plutôt excentrique et hyperactive, elle devait bien s’avouer que suivre le rythme de Nanika était rapide ! La femme avait déjà foncé vers sa fermeture éclair et lui faisait démonstration des cent techniques dont sa langue était capable.

« Hum ! Surtout ne t’arrête pas, Nanika. Tu me fais beaucoup de bien ! »

Soudain, une terrible angoisse la saisit. Elle qui s’est régalée tout à l’heure à jouer le bébé adulte en tetant le mamelon tout sucré et acide : que va penser Nanika de sa propre saveur ? Elle aurait presque envie d’appuyer ses deux mains sur la tête et repousser. Mais une chose principalement l’en empêche, une chose égoïste : le plaisir qu’elle reçoit !

« Je suis désolé. Hum ! Mais je dois être bien fade comparé à toi. Pardon pardon ! »

Parfois elle avait une réaction incontrôlable. Son bassin donnait un coup en avant. Comme s’il essayait de dire à Nanika que ce qu’elle lui faisait était bon et qu’elle en voulait encore plus ! Mais le cerveau de Lissandre restait bloqué sur la différence entre leurs deux corps. Elle adorait recevoir. Mais elle ne faisait que ça depuis le début de leur rencontre. Elle restait passive. Elle était la fille qu’on sauvait des méchants. Elle était la fille passive qui se donnait sans sourciller. Elle voulait elle aussi donner !

« Tu voudrais bien te retourner ? Comme ça, je pourrais essayer de te donner autant de plaisir que tu m’en donnes. Et, normalement, ma langue devrait faire des merveilles. Disons que j’ai eu un peu d’entraînement dans le monde duquel je viens : hi hi ! »

C’était une demande égoïste, elle s’en rendait compte. Car ce 69 qu’elle proposait était avant tout pour pouvoir enfoncer sa langue dans l’intimité de Nanika. La curiosité de Lissandre mourrait d’envie de savoir si sa mouille était également sucrée ! Est-ce que ce serait le même parfum que son « lait » ? Il fallait qu’elle résolve ce mystère !

*Faites qu’elle me surprenne ! Qu’elle continue et je me laisserais capturer entre ses bras. Si c’est une sorte de Reine-guerrière, je veux bien être sa prisonnière dans son château. Mais je veux en savoir plus sur ses pouvoirs et sur son corps ! *

4
Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: vendredi 02 juillet 2021, 09:41:43 »
Nanika n’aurait pas fondu sur ses lèvres, Lissandre aurait sauté sur l’occasion de lui poser de nouvelles questions. Mais l’embrasser était une expérience bien plus intéressante. Il y avait quelque chose de spécial chez Nanika. Quelque chose qui n’allait pas avec ce qu’elle voyait mais qui la rendait intrigante.

*Elle a un corps qu’on pourrait qualifier de parfait. Elle a une libido très forte et une grande générosité pour la partager avec moi. Et probablement bien d’autres. Dans ce cas, qu’est-ce que je manque ? Où est l’inconnue qui me permettrait de comprendre… qui ? *

« Au fait, moi c’est Lissandre. »

Voilà. Pas besoin d’en faire des tonnes mais au moins les deux femmes pourraient s’appeler par leur prénom.

« J’adore les gens uniques. J’adore les particularités et les exceptions. Ce sont eux qui valent de vivre sa vie. Les moutons ternes et obéissants qui font ce qu’on leur demande sans réfléchir me… j’ai envie de les baffer et de les réveiller ! La vie est précieuse et doit être vécue ! Pardon. Je m’emballe. Mais c’est un sujet sensible chez moi. »

Voilà qu’elle parlait de rébellion, d’évolution du genre humain avec une créature qui était tout sauf humaine visiblement, et qui avait pour seul désir de lui faire l’amour.

« En tout cas, je te remercie de faire attention à ma peau d’adoption. »

Son ton était sincère. Sa voix vibrait sous le plaisir que lui procurait les doigts de Nanika jouant avec son mamelon. Quant à ses yeux, ils ne cessaient d’aller du visage de son amante improbable à ses doigts qui jouaient à cache-cache dans une cavité très humide !

*Toute cette mouille me rend folle ! J’ai envie d’y glisser la langue. Mais si je le fais, je ne pourrais plus parler. Rhaa ! Que j’aime être partagée comme ça ! Ça veut dire que je vis quelque chose d’intense. *

« Vu que tu n’as pas l’air de savoir ce qu’est le latex, sache qu’il y a une fermeture plus bas qui te permettrait d’accès à mon intimité. Et pour être franche avec toi, c’est déjà bien humide là-dessous : hi hi ! »

5
Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: jeudi 01 juillet 2021, 08:55:49 »
Derrière la femme excentrique habillée de sa combinaison moulante de latex rose se cachait une enfant qui raffolait toujours autant des câlins et des sucreries. Alors se retrouver écraser contre le corps doux de Nanika et boire cette espèce de bonbon liquide et acide avait complètement charmé Lissandre !

De plus, derrière la femme qui avait été effrayé et qui était parti avec un esprit de découverte d’un monde : il y avait une femelle avec des besoins primaires. Et il fallait avouer que Nanika avec le charme insolent d’une succube. Les courbes angéliques associées aux désirs infernaux. Donc sans protester, ses doigts s’étaient laissés conduire entre les lèvres intimes.

Décollant ses lèvres du mamelon sucré, une question se devait d’être posée :

« J’aime beaucoup. Mais je me demande si ton autre sein a la même saveur ? »

C’était avec un sourire de malice que Lissandre avait demandé. Que ce soit le cas ou pas, elle ne pouvait plus résister à l’addiction qu’était le sucre. Il fallait qu’elle continuer à téter.

Son majeur et son auriculaire travaillaient à trouver la meilleure façon de stimuler Nanika par l’intérieur. Tandis que son pouce stimulait son bouton de plaisir en appuyant dessus, en tournant autour. Lissandre était très à l’écoute de sa partenaire et améliorerait sa gestuelle jusqu’à entendre des gémissements de satisfaction.

« Comment est-ce que tu peux être aussi belle que puissante ? Je ne comprends pas comment tu peux réussir à affronter une meute de vampires sanguinaires et être capable d’avoir un corps donnant câlins et sucreries addictives. Dis-moi, s’il te plaît ! »

C’était plus fort qu’elle. La curiosité de Lissandre était puissante. Et, bien qu’elle prenait son plaisir à téter et à masturber Nanika : il fallait que son cerveau créatif apprenne.

6
Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: mercredi 30 juin 2021, 09:00:23 »
Perturbée. Sentiment qui venait de remplacer celui de la panique. Lissandre était donc perturbée de voir la femme en face d’elle avoir un pouvoir pour… revenir dans le temps ? Mais elle était aussi soulagée que sa peau d’adoption soit de nouveau « guérie ».

« Merci… »

D’une petite voix, elle avait remercié celle qui n’était peut-être pas une vampire qui lui voulait du mal au final.

*Mais !! *

Décidément, même cette rencontre était au-delà de l’imagination fertile de celle qui voulait révolutionner le monde du X avec ces histoires porno-fantasy. Pourquoi est-ce qu’elle se retrouvait face à une poitrine dénudée ? Et qu’est-ce qu’elle était sensée faire de cette information. Lissandre ne comprenait pas. Elle était donc paralysée par le cours des événements. Et… se laissa faire pour se retrouver collée contre les tétines à lait.

*Elle veut que je… tête ? Elle me prend pour… un bébé ? Elle veut vraiment que je boive son lait ?... Je ne comprends rien, décidément… *

Elle entrouvrit ses lèvres pour caler le téton entre. Mais son cerveau essayait toujours de se sortir de la noyade de cet enchaînement chaotique. Elle subissait les événements et agissait toujours pied au mur sans esprit lucide. Mais il n’empêchait que ses lèvres appuyaient gentiment sur le téton de celle qui n’était peut-être pas un vampire.

*Et puis pourquoi pas après tout. Si c’est une vile manigance, l’auteur de ma biographie pourra finir mon histoire sur une fin insolite et tout à fait à mon image. Oui, que je vive ou que je meurs, ça s’inscrira à ma légende personnelle. *

Ses mains se posèrent sur les hanches de Nanika. Elle ferma les yeux. La panique était définitivement partie. Elle commençait à s’apaiser. Enfin ses lèvres commencèrent à téter et boire le lait.

7
Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: mardi 29 juin 2021, 10:55:07 »
« MAAaaiis !! »

Nanika ne se rendait pas compte de la portée de son action. Elle n’y voyait qu’un jeu. Peut-être même qu’elle était excitée comme un enfant à Noël qui vient de retirer le papier cadeau pour accéder au jouet derrière.

Mais pour Lissandre, son geste revenait à l’avoir écorché vive…

« J’ai mal ! Pourquoi tu m’as fait ça ?! »

Au contraire de la rassurer, la plastique parfaite de Nanika l’effrayait. La situation était similaire à celle des cyborgs sur Terre. Plus les robots ressemblaient à des humains et plus le moindre défaut les transformait en monstres. Rendant l’expérience à leur proximité malaisante.

« Tu vois que tu cherches à me faire du mal ! Et j’ai suffisamment vu d’histoires avec des vampires pour savoir qu’il y en a qui peuvent rétracter leurs canines. Tout comme les vampires de nos jours ne sont plus ces gothiques habillés tout de noir et qui se dissimulent dans la nuit. Je dirais même que ton corps de femme, tes gros seins et le rose de tes cheveux est la nouvelle méthode de charme ! Tu es une vampire qui me veut du mal !!! »

Lissandre cachait sa poitrine en serrant ses bras autour. Une vaine protection devant une femme qui était parvenue à la tirer des griffes d’une meute de vampires. Mais elle était bien trop effrayée pour fuir à perdre haleine. En fait, elle était comme hypnotisée par cette présence devant elle et ne pensait même pas à se relever.

*J’ai fait une connerie. Jamais je n’aurai dû voyager seule comme ça ! On m’a répété encore et encore que mes expériences me porteraient préjudice un jour. Il faut croire que ma chance a tourné… Ca doit être la fin. Ma fin… *

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Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: lundi 28 juin 2021, 11:50:50 »
« MAIS JE SUIS HUMAIiiNE ! »

Ça avait été plus fort qu’elle. Incontrôlable. Elle avait dû crier pour répondre. Crier pour faire comprendre qu’elle n’était pas un jouet sans cervelle à peloter. Mais ça s’était entendue qu’elle n’allait pas bien car sa voix avait dérapé dans la sonorité du « -ai- ».

« Je ne suis pas une créature, comme tu dis ! Et c’est ma peau. Enfin, ce n’est pas ma peau de naissance. Mais c’est ma peau que j’ai choisie ! »

D’habitude, elle le justifiait aisément son choix de porter une combinaison moulante de latex rose. Mais ici, dans cette situation très particulière où les griffes de la peur enserraient son cœur : les propos de Lissandre étaient confus. Elle avait perdu de sa belle assurance qui lui permettait de survivre dans un système d’homme et inadapté pour les femmes avec des rêves comme les siens.

« Et qui me dis que tu n’es pas avec ces vampires ?! Qui me dit que tu es une gentille ? Tu es peut-être une créature encore plus machiavélique que ses vampires !! »

Ses yeux se brouillaient de larmes. Elles ne coulaient pas encore sur ses joues mais elle avait de se rouler en boule et de se cacher dans un coin sombre. Loin des regards. Loin des attentions des autres qu’elle ne pouvait contrôler.

Ses bras se croisèrent sur sa poitrine. Une protection vaine mais un symbole tout de même. Est-ce que ça empêcherait cette inconnue d’aller au bout de ses desseins ? Elle n’en savait rien. Elle ne connaissait pas sa puissance et ses compétences. Elle pourrait surement aller au bout de ses seins si elle voulait vraiment continuer à peloter.

9
Les doigts dans la paire de ciseaux ne tremblaient plus. Le geste était toujours retenu par des forces invisibles. Mais Lissandre avait trouvé une oasis de sérénité. Elle se tenait dans son dos. Elle ressentait sa chaleur humaine, ce qui lui permit de fermer les yeux. Une grande fatigue lui tomba dessus. C’était comme si elle était arrivée au bout de ces peines, comme si elle arrivait à la fin d’une course à pied et que le mental lâchait : faisant réaliser au corps à quel point critique il se trouvait. Alors Lissandre soupira/expira avec bruit.

« Merci, Enothis. Merci beaucoup d’être avec moi maintenant. »

Tout aurait été plus simple si Enothis avait pris le contrôle de sa main. Ou mieux ! Du ciseau pour couper les quelques centimètres de latex rose qui maintenant encore le tout dans une forme encore reconnaissable de vêtements. Mais non, Enothis avait déployé des trésors de manipulations pour lui laisser pleinement le contrôle du reste de sa vie. Sa destinée était entre ses mains. Lissandre devait prendre cette décision seule. Mais déjà elle ne souffrait plus d’hallucinations. Encore hésitante sur la suite, elle se savait en sécurité et en relative sérénité.

« Mais je n’ai pas encore la force d’aller jusqu’au bout de mon action. Je ne sais pas si j’aurai la force mais je ne veux pas que tu fasses ce geste à ma place. Dans l’immédiat, j’adorerais. J’ai presque envie de crier et de te supplier de le faire pour moi. Mais je me sentirais à tout jamais endettée. Et… ce serait un supplice pour l’esprit imaginatif et hyperactif que je suis. Alors merci de ne rien faire. Merci. »

La paire de ciseaux paraissait lourde. Comme si elle voulait finir de dévorer cette matière rose et étrange. Mais Lissandre ne pouvait permettre à cette créature d’acier d’agir à sa guise. Et… Mais… Pourquoi en fait ? Ce serait si simple de laisser le bras de la gravité l’aider à finir le travail. Pourquoi résister dans ce cas ? Lissandre était une belle femme. Forcément qu’elle avait dû retirer cette combinaison de latex de temps à autre. Evidemment que des hommes et des femmes l’avaient vu complètement nue. Et elle avait reçu beaucoup de compliments. Alors pourquoi faire un tel blocage ?

Soudaine, la révélation.

*Pour ne pas être comme tout le monde ! *

Un début de sourire. La paire de ciseaux n’était plus aussi lourde. Maintenant qu’elle comprenait pourquoi, elle commençait à accepter. Très bientôt, elle passerait à l’acte. Elle finirait le mouvement qu’elle avait initié. Il fallait simplement répondre à cette question : comment ne pas être comme tout le monde ?

*Je vais couper la combinaison. Je le sais maintenant. *

« Je vais renaître. »

Des mots prononcés à voix basse.

« Je vais me réinventer, Enothis. Oui ! C’est le moment où je vais sortir de ma chrysalide et devenir le papillon que j’étais destinée à devenir ! »

Avec l’arrivée de l’excitation, le geste avait été finalisé. Ça avait été comme les séances de piqure chez le médecin. On dit qu’on va piquer à trois. On fait le compte et on pique avant. Lissandre venait de faire exactement la même chose.

« Je suis libre, Enothis ! Libre : ah ah ah ! »

Elle se releva d’un bond. Elle se sentait légère. Des frissons parcoururent son corps. Certains d’excitation, d’autres de froid à ne plus être vêtue de rien.

« Je vais me faire tatouer. Oui, c’est ça. Je vais transformer mon corps en œuvre d’art vivant ! Quelque chose de géant. Quelque chose de magnifique. Un full tattoo en rose ? Mmm… Oui, pourquoi pas ! Ah ah ah ! »

10
Centre-ville de Seikusu / Re : Le pouvoir des macarons [avec Lied Mueller]
« le: dimanche 02 mai 2021, 13:17:45 »
Surprise. Lissandre ne s’attendait pas à voir une telle expression sur le visage de sa nouvelle amie. Elle y tenait décidément à récupérer ses macarons ! La surprise passée, un petit sourire s’afficha sur son visage. Si elle avait une telle alliée avec une telle hargne, le jeu changeait. Car oui, elle n’avait encore rien dit, mais elle avait une idée sur l’identité de celle qui les emmerdaient tant.

« Je ne suis pas encore sûre de savoir comment jouer par contre. J’ai bien compris que tu avais la motivation d’aller jusqu’au bout et, sur ce point, il n’y a pas de discussion à avoir. Tu auras tes macarons, peu importe qui se dresse sur ton chemin : ah ah ! »

Ça avait été dit sur le ton de la plaisanterie. Lissandre tenait à réfréner les impulsions guerrières de sa nouvelle amie. Bon, peut-être qu’elle aurait besoin de cette énergie de bataille. Mais pas tout de suite. Elle avait besoin d’une Lied qui pouvait écouter et réfléchir posément pour le moment.

« Je suis allé dans les différents fils de discussion. Et je crois que j’ai compris qui est derrière nos soucis. »

Lissandre se déplaça pour se mettre à côté de Lied. Son téléphone portable devint le centre de leur attention. Tout d’abord, sur un premier forum, le doigt de Lissandre pointa le pseudo de « One Punch Woman » puis elle scrolla un peu pour faire voir l’icône utilisé pour conclure le message : deux bras pliés pour faire ressortir le biceps. C’était le premier indice. Lissandre passa sur un autre forum de discussion. Elle pointa alors un second pseudo « LaHulkE ». A la fin du message, de nouveau la même icône : deux bras pliés pour faire ressortir le biceps. Lissandre pointa son doigt devant le visage de Lied avant qu’elle ne dise quelque chose, elle n’avait pas terminé. Elle alla donc sur un troisième forum pour démontrer la même chose, un pseudo différent – « Bibi-Ceps » pour la même icône de signature.

« J’ai fait passer un casting à une nana impressionnante il y a quelques semaines. Une beauté nordique de presque deux mètres de hauteur. Un physique de superhéroïne avec les épaules et les abdos. Le pack complet qui n’a pas besoin d’ajouts d’effets spéciaux. Tu vois un peu la stature de la nana ? Donc, forcément, avec un physique comme le sien, je l’invite à venir chez moi. J’ai un scénario de porno-affrontement. On pense que tout va se jouer autour d’une arène de gladiateurs dans l’Antiquité pour finalement apprendre plus tard que divers champions et championnes sont recrutés dans toute la galaxie. Mais je parle et je digresse. Encore. Désolé. Je reviens donc au sujet principal : Sonja DeUtgard. »

De nouveau le téléphone portable à coque rose de Lissandre redevient le centre de l’attention. Il y a un retour vers la page d’accueil pour finalement ouvrir le dossier contenant les fichiers images et vidéos. Lied peut alors découvrir dans les miniatures des hommes et des femmes nues. Des scènes suggestives d’acteurs et d’actrices qui posent en lingerie coquine ou en armure de fantasy. Mais aussi des fichiers contenant clairement des scènes de sexe. Pourtant ce n’est pas ça que veut montrer Lissandre. Voilà. C’est cette série d’images. Une femme au corps magnifique et quasi nue. Un corps de superhéroïne qui a pris modèle sur Dwayne The Rock Johnson. Une autre image et c’est un zoom sur sa tête. Une mâchoire carrée. Des traits délicats. Des yeux d’un bleu si pur qu’on croit plonger dans une eau glaciale entre deux banquises. Et des cheveux d’un blond blanc.

« C’est elle. Sonja DeUtgard. Une nana au physique incroyable mais au tempérament de merde. Comme moi, elle a vécu dans un environnement familial d’opulence. Son père est un riche homme d’affaire essentiellement dans le commerce du pétrole. Sa mère est morte en lui donnant naissance. Mais, contrairement à moi, elle a perdu son sourire et a cherché à faire comme son père : une quête de puissance. D’où ses formidables abdominaux par exemple. »

Lissandre zooma sur les abdominaux sur une photo.

« Bref. Voilà notre adversaire. Je ne sais pas où elle vit en ce moment. J’imagine qu’elle doit avoir une maison quelque part dans la région. Mais elle est grande. Elle a un sacré caractère. Elle est puissante au niveau physique mais aussi au niveau financier. »

Le visage de Lissandre ne montrait plus son sourire. Son visage s’était fermé. Tendu était probablement un meilleur terme. Quoiqu’il en soit, elle démontrait très clairement que la situation était sérieuse. Qu’elle prenait la situation avec sérieux et elle voulait faire passer le message à sa nouvelle amie venue d’ailleurs.

« Voilà. Tu sais à peu près tout ce que je sais. Du coup, j’ai une seule question à te poser. Ensuite, on fera ce que tu voudras ou on ira chez moi. Je t’invite à y dormir si tu le souhaites. Donc : est-ce que tes macarons colorés valent le coup de se frotter à la terrible Sonja DeUtgard ? »

11
Le métro et la gare / Re : La loi de Murphy [ Pv ~ Lissandre Verrières]
« le: samedi 24 avril 2021, 09:03:33 »
Des pleurs en silence. Malgré le déclic qui avait amené toute cette douleur dans son cœur, Lissandre continuait à vouloir jouer l’adulte chez qui tout allait bien. Elle ne pouvait pas se permettre de craquer davantage. Elle voulait protéger Enothis et… Enothis aussi voulait protéger Lissandre. Alors pourquoi continuer à jouer la comédie alors que toute cette putain de soirée était une tragédie ? Les deux filles étaient dans un câlin. C’était le moment parfait pour masquer ses sentiments et se laisser aller.

*Je jure qu’ils paieront. Je ne sais pas comment mais ils paieront ! Tête de gazon et Papy voyeur deviendront les pires personnages de mes histoires. Ils prendront tellement chers que ce sera ma revanche. Oui, pas de revanche dans la vraie vie. Dans mes histoires. Et je ferai en sorte de les exposer publiquement ! *

Avant le premier baiser, Enothis réitéra sa demande de sexe. Lissandre était incapable de savoir si elle le voulait vraiment, si c’était la drogue ou encore les événements. Elle ne savait pas. Mais l’intensité dans ses mots la touchaient. Elle-même ne savait plus ce qu’elle désirait. Elle était partagée. Il y avait la revanche contre les « méchants ». Il y avait la mise au repos et l’ambiance de cette chambre dans un love hôtel semblait la câliner. Mais… elle devait se l’avouer, la petite bouille d’Enothis, sa poitrine généreuse et ses jolis mots la réchauffaient de l’intérieur. De la chaleur humaine en partie, mais aussi un début de feu dans son bas-ventre.

Puis le premier baiser. Elle se sentit comme une princesse dans un film Disney. Ce premier baiser stoppa net ses pensées. Elle regarda Enothis sans comprendre ce qu’il se passait. Ce n’était plus elle qui détenait le rôle de protectrice. De par ce baiser, c’était maintenant Enothis la « grande ». Elle pouvait se laisser aller aux douceurs et aux attentions de la « petite sœur ».

Ce baiser sur sa peau nue… Un frisson parcourut tout son corps. Les lèvres d’Enothis étaient douces et… elle voulait que ses lèvres posent d’autres bisous un peu partout sur son corps. Sur sa… peau de naissance.

« Enothis… »

Il y avait toujours des barrières qui s’imposaient, qui se mettaient sur son passage pour atteindre Enothis.

« Je ne sais pas… Peut-être que… Je… »

Elle se mit à trembler. Pas de plaisir. Elle-même ne savait pas trop pourquoi. La peur ? Probablement un début d’explication. Lissandre ressentait que ce qui allait suivre serait le franchissement d’un point de non-retour. Ce qui allait suivre allait changer des choses. Les conséquences dans le futur étaient impossibles à prédire.

Lissandre s’en alla brusquement dans la salle de bains !

Si elle se retournait maintenant pour donner une explication, si elle prenait le temps de dire quelques mots : non… elle ne pouvait pas. Elle savait que son geste soulevait des questions. De l’incompréhension. Probablement même de la douleur. Mais Lissandre devait être égoïste pour pouvoir donner. Elle devait d’abord penser à elle avant de pouvoir prendre soin d’Enothis. Alors, dans la salle de bains, elle fouilla dans les tiroirs des meubles. Il y a des jouets sexuels, il y avait des préservatifs : il y avait forcément des tas de choses pour faire du sexe. Mais ce n’est pas ça qu’elle cherchait. Sa main tira un nouveau tiroir et : « bingo ! ». Une paire de ciseaux. Sans prendre le temps de réfléchir, sans se donner un instant d’hésitation : les lames d’acier froides glissèrent entre sa peau de naissance et sa peau d’adoption.

Sa précieuse combinaison moulante de latex rose : éventrée.

Lissandre en souffrait. Elle savait que c’était dans sa tête. Mais son pouvoir d’imagination qu’elle travaillait et améliorait depuis des années lui donnait des images à voir derrière ses rétines : celle d’une lame qui tranchait son corps. C’était un vêtement, elle le savait. Mais c’était comme se suicider. Comme ses samouraïs qui se tranchaient le ventre pour faire le seppuku. C’était douloureux et de nouvelles larmes coulaient sur son visage.

Ses genoux tombèrent contre le sol. Agenouillée, Lissandre ne pouvait plus bouger. Sa main rebondit sur le sol, la paire de ciseaux toujours coincée dans ses doigts. Elle tourna le visage vers Enothis :

« Je n’y arrive pas. Je n’arrive pas à aller jusqu’au bout. Ça me fait trop mal. Vois comme je saigne tant… »

Elle ne saignait pas. C’était le pouvoir de son imagination et les séquelles de la soirée qui lui donnait cette impression de s’être vraiment coupée la peau. Ce n’était que le latex qu’elle avait coupé. Quant à la combinaison, les lames froides d’acier avaient coupé depuis le cou jusqu’au niveau du nombril. Mais il restait encore quelques centimètres de latex avant de rejoindre la fermeture éclair au niveau de l’entrejambe. Quelques centimètres pour finir de saccager cette peau d’adoption. Quelques centimètres pour « se mettre à nue »…

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Zone Sous-Marine / Re : Légende urbaine - Monstre marin [avec Lyli]
« le: dimanche 18 avril 2021, 10:34:34 »
Les signaux d’alerte auraient dû retentir à pleins poumons ! Ils étaient bien là, certes. Mais l’esprit curieux de Lissandre les réduisaient au silence. Elle vivait une expérience inédite avec une sirène. Une sirène ! Donc elle se laissa faire. Elle eut le temps de comprendre qu’elle plongeait dans l’eau. Mais elle ne paniquait pas. Au contraire ! Tout ça l’excitait. Jamais elle n’avait expérimenté pareils préliminaires.

*Sauf que je ne vois plus rien maintenant. Je sens toute cette eau autour de moi. Je ressens si fort le corps de la sirène dans mon dos. C’est… C’est fantastique ! *

Même sous l’eau, Lissandre pouvait parfaitement comprendre la sirène. Elle avait manqué essayer de lui répondre puis s’était ravisé au dernier instant. Certes elle aimait bien parler. Mais en cette situation, elle préférait garder son air encore plus ! Plus longtemps elle pouvait rester sous l’eau, plus longtemps elle pouvait frissonner du plaisir des caresses et des morsures. Car c’était de plaisir qu’elle ressentait les crocs de la sirène. Elle aimait bien ce côté sauvage dans ce corps si sexy qu’elle avait.

*Mais je n’ai pas de temps à perdre. Regarde, voie comme j’ouvre mes cuisses pour toi. Et je vais faire bien plus : hi hi ! *

Sa main chercha à l’aveugle la fermeture éclair. Elle la trouva rapidement. Cette combinaison moulante de latex rose était sa peau d’adoption. Elle la connaissait par cœur. A tel point qu’elle avait réussi à la retrouver dans un bac rempli d’autres combinaisons de latex. La fierté avait étreint son cœur ce jour-là. Mais elle n’avait pas le temps pour les souvenirs. Alors sa main tira sur la fermeture éclair : révélant à la sirène sa peau pâle.

Mais surtout son intimité accessible.

*C’est délicieux de se sentir nue sous l’eau. J’ai l’impression de faire de l’exhibition : hi hi ! *

Pour preuve de son excitation, Lissandre donnait des petits coups de rein. Elle ondulait sous l’eau comme si elle pouvait se faire plaisir avec la caresse des courants marins.

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Les terres sauvages / Re : L'instinct de prédation
« le: dimanche 18 avril 2021, 10:18:46 »
Les yeux fermés. Les larmes coulant sur ses joues. Lissandre luttait de toutes ses forces en remuant ses bras et ses jambes. Mais elle était seule face à un groupe de prédateurs. Seule face à des êtres qui l’avaient capturé, qui l’avaient terrifié de leurs crocs et de leurs soifs de son sang à elle. Les vampires étaient effrayants en vrai !

Puis tout s’était arrêté. Tout avait changé. Ses yeux étaient toujours fermés mais elle réalisa qu’elle ne luttait plus. Et… elle n’était pas toute seule. Il y avait quelqu’un d’autre. Des souvenirs revenaient. Des mots. Des morceaux de phrases « pas désolée » et encore « t’amène ailleurs ma belle ». Quelqu’un l’avait sauvé. Et ce quelqu’un était une jeune femme.

Elle ouvrit les yeux. Elle vit d’abord les arbres et les fleurs. Seulement ensuite une jeune femme… étrange. Ça ne pouvait pas être elle qui l’avait sorti de son embarras. Elle chercha alors une grande guerrière en armure à la beauté enlaidit de vilaines cicatrices. Mais elle ne voyait personne d’autre. Lissandre ne comprenait pas. Elle se demanda même si ce n’était pas une ruse des vampires. Pour jouer avec elle.

« Qu’est-ce que vous me voulez ?! »

La panique était toujours dans sa voix. Son corps était toujours en état d’alerte d’avoir été si proche d’être vidé de tout son sang.

« Je voulais simplement voyager, moi ! »

Elle commença à reculer. Le cul par terre, écrasant les fleurs. Les mains partis en exploration pour ne pas rencontrer un obstacle qui ralentirait la fuite misérable.

« Laissez-moi tranquille ! »

Les larmes recommençaient à couler. Ça ne servait à rien de fuir. L’environnement était trop énorme pour espérer se cacher rapidement. Elle était trop affaiblie pour jouer à ce jeu mortel de cache-cache. Son mental brisé : elle abandonnait. Elle s’immobilisait dans sa futile tentative de fuite.

« Laissez-moi tranquille… S’il vous plaît… »

Sa voix mourrait dans sa gorge. Les derniers mots étaient un murmure plus que quelque chose de parfaitement audible.

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Zone Sous-Marine / Re : Légende urbaine - Monstre marin [avec Lyli]
« le: dimanche 04 avril 2021, 10:21:05 »
Elle était sous l’eau et elle l’avait entendu très clairement !

*Pourquoi j’aurai besoin d’être bonne en apnée ? Et- Mais attends, elle vient de m’appeler chérie ? *

Il se passait beaucoup de choses en même temps. Tant que même elle commençait à avoir du mal à suivre. Et pourtant, elle avait un esprit enfiévré ! Le problème venait qu’elle n’avait pas le contrôle du rythme. C’était la sirène qui imposait. En même temps, Lissandre s’était littéralement jetée dans son élément à elle. Pas très malin comme manœuvre.

« Bien sûr que j’ai des questions. Comment tu peux parler alors que tu es sous l’eau ? Comment est-ce que tu peux t’appeler une sirène alors que tu as des jambes ? Et ça, ce n’est que le début de ma liste. »

Parce que… là son esprit commençait à penser à autre chose. Au durcissement des tétons dans son dos, l’humaine excitait la sirène ! Et pour Lissandre, c’était important. Elle avait assez de charme pour donner envie à une créature normalement imaginaire de faire des choses avec son corps ! Et elle ne s’en privait. Malaxage de poitrine d’un côté. Caresse sur le bas-ventre. Heureusement qu’elle n’avait pas de pénis car elles seraient déjà emboîtées l’une dans l’autre, Lissandre n’en doutait pas.

Le corps de Lissandre était également communicatif. Ses tétons à elle aussi durcissaient, luttant contre la matière du latex. Une légère rougeur gagnait ses joues tandis qu’un feu commençait à s’embrasser dans son bas-ventre. Elle se demanda d’ailleurs si elle pourrait encore dire qu’elle mouillait dans l’eau ? Car… bah elle serait dans l’eau.

*Elle va peut-être m’emmener dans une sorte de gros coquillage cinq étoiles ? On sera installé sur une sorte de lit tout mou et entourés de pleins de perles blanches et chers. Je pourrais respirer et je pourrais profiter de cette rencontre avec une sirène dans tous les sens du terme : hi hi ! *

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Zone Sous-Marine / Re : Légende urbaine - Monstre marin [avec Lyli]
« le: vendredi 02 avril 2021, 22:25:21 »
Lissandre se sentait toute seule soudainement. Et un peu idiote également, debout sur cette plage à observer l’eau de l’océan.

Ses doigts se posèrent sur la commissure de ses lèvres. Là où la sirène l’avait bisouillé. Ce geste la travaillait. Est-ce qu’elle avait posé délibérément ses lèvres à cet endroit ou est-ce qu’elle avait glissé à cause de l’eau ? Lissandre pensait connaître la vérité. Et… entre ça et une sirène avec des jambes : sa curiosité s’était élevé à un très haut niveau !

*Elle a dit que les sirènes noyaient vraiment. Ce n’est donc vraiment pas prudent de plonger à l’eau. *

Ses yeux regardaient avec envie l’endroit où avait disparu la sirène.

*Mais… Comment résister ? C’est une sirène, quoi ! Une sirène que je n’ai jamais vu ailleurs autre que dans les mangas ou les films ! Une sirène avec des jambes !! *

Elle allait peut-être mourir noyée. C’était une possibilité. Elle n’allait rien voir car elle ne pourrait pas ouvrir les yeux dans l’eau salée de la mer. C’était une certitude. Mais Lissandre ne pouvait absolument pas la laisser partir comme ça ! Il y avait beaucoup de questions sans réponses !!

« ATTENDS-MOI ! »

Elle plongea dans l’eau sans se préoccuper des affaires qu’elle jetait derrière elle. Elle fit bien plus de bruit que la sirène en plongeant dans l’eau. Pour autant, Lissandre restait une femme qui faisait du sport régulièrement et qui était habillée d’une tenue de latex moulante. Autant dire que son plongeon restait très acceptable. D’un point de vue humain, bien entendu. Car d’un point de vue de sirène, ça devait être à peu près pareil qu’un plat dans une piscine ?

Elle sortit la tête de l’eau et s’éloigna rapidement de la plage en nageant le crawl pour la rattraper.

« Attends-moi ! Tu ne peux pas me quitter maintenant ! J’ai des questions pour toi ! Je serai sage, promis. Alors ne pars-pas, s’il te plaît. »

Elle ne serait pas sage. Lissandre serait hyperactive et parlerait beaucoup. Beaucoup trop, probablement ! Mais peu lui importait les punitions si elle pouvait prolonger son entrevue avec la sirène qui n’était pas sensé exister dans son monde à elle.

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