Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Akeshi

Pages: [1] 2 3 4
1
L'homme au couteau se met soudainement à hurler sur la femme en combinaison alors que celle-ci semblait passer d'otage en otage pour faire dieu sait quoi.

- Contente-toi de faire ce qu'on te dit au lieu de chercher les embrouilles !
Sauf si tu veux tâter de mon couteau avant cette pouf. Suffit de demander.


L'otage arrive tant bien que mal à tenir debout. D'ici on peut voir que ses genoux tremblent et seules les menaces de l'homme qui la tient parviennent à l'aider pour tenir debout et ne pas s'effondrer en larmes. Ce n'est plus qu'une question de minutes avant que les groupes d'intervention ne soient en place.

Dans la salle, le kidnappeur cagoulé se remet à jouir de plus belle sur l'étudiante à la seconde où son pied entre en contact avec son sexe. Je commence à me demander si il est vraiment humain car là ça commence à faire beaucoup de liquide. Même des scènes de crimes incluant plusieurs victimes étaient moins saccagées que les corps de ces pauvres étudiantes. Son éjaculation se poursuit depuis déjà dix secondes et la pauvre jeune femme continue de le masser de façon hasardeuse car la chose doit forcément la dégouter.

Par le passé il m'est arrivé de croiser des créatures étranges ou des humains dotés de pouvoirs étranges. Si j'en crois mon expérience, ce pervers fétichiste doit en être un car il n'est pas possible de produire autant de semence. Surtout qu'il ne semble pas prêt de s'arrêter de si tôt.

L'homme à la culotte n'en perd pas une image et se masturbe depuis le début dans son coin en observant la scène. Un agent est même venu me demander si on doit l'arrêter avec les deux autres ou non. Dans le doute on a fait comprendre aux groupes d'intervention que oui. On verra plus tard ce qu'on en fera.

Cinq minutes viennent de passer et l'homme continue d'enchaîner les éjaculations sous les yeux de son compère et des autres personnes qui semblent filmer la scène.

- Alors ? On a combien de gens qui regardent ?

Le commentaire provient de l'homme au couteau qui parle à la femme en combi rose. Tandis que son compère fini de recouvrir une bonne partie des jambes de sa victime dans un liquide visqueux.

2
Le film continue d'être projeté en arrière plan avec une femme qui se fait violer tous les orifices en même temps par la créature tentaculaire. Le truc des tentacule a toujours fasciné les japonais. Enfin, une partie des japonais vu que cela me dépasse complètement.

- Comment ça avance ?

Mon partenaire du soir communique par radio avec le groupe d'intervention qui est en train de se positionner aux deux sorties de la salle de cinéma. Une approche frontale est impossible car les deux kidnappeurs nous verront approcher d'où ils sont. La seule façon de les surprendre est de passer par les sorties en petit nombre et de se glisser dans leur dos sans qu'ils ne le remarquent.
Ou alors leur faire relâcher l'otage et sortir de leur plein gré.

Les discussions continuent en tout cas au milieu de la salle pendant que j'attends que les hommes se mettent de place pour prendre la parole et détourner leur attention. La femme à la combinaison a son portable à la main et semble prendre des photos ou des vidéos des évènements.

- On s'en branle de procéder de confirmation ! répond l'homme au couteau.

Son camarade n'attend même pas que son ami et la femme en latex se mettent d'accord pour baisser son pantalon et son caleçon pour faire apparaître un sexe dressé d'environ 12cm de long mais d'une épaisseur particulière. Elle est aussi épaisse qu'un poing formé par deux mains emboitées l'une dans l'autre.

Il se met ensuite à remuer les hanches en direction des deux étudiantes qui sont aussi tétanisées qu'écoeurées par la chose.

- Toi, la pétasse aux gros nichons. Mon frangin kiffe tes pieds ! Branle-le avec et tu pourras sortir.
Pendant ce temps l'autre va te filmer.

3
Chaque minute qui passe rend la situation plus cocasse et foldingue que critique et pleine de tension. Pas le genre de tension à laquelle on s'attend dans ce type de cas. Les situations rocambolesques s'enchaînent si rapidement les unes après les autres qu'aucune négociation a pu être entamée. Jusqu'à ce qu'un homme une culotte - ou plusieurs, dur à dire à cette distance - s'avance vers le duo criminel avec la main coincée sur son entrejambe. Il a beau être de dos, impossible de se méprendre sur ce qu'il tient dans sa main.

Comment est-ce que l'on est censé faire partir tout le monde si les rôles de chaque personne changent toutes les cinq minutes ? On a les deux kidnappeurs, une victime, puis une autre et un spectateur qui va les rejoindre... C'est à plus rien y comprendre.

Le pervers culotté s'approche du duo en restant à bonne distance et on peut voir son bras aller d'avant en arrière. Nul doute qu'il veut profiter du spectacle aux premières loges. Ce qui ne dérange pas plus que ça les kidnappeurs à première vue. Pendant ce temps nous attendons de voir comment la situation va évoluer sans pour autant prendre d'initiative. Inutile de faire empirer les choses. On attend le meilleur moment pour le faire.

L'homme cagoulé approche son visage de la femme à la combinaison pour lui glisser quelques mots avant de la pousser pour la faire tomber sur les fesses et se diriger vers les deux étudiantes afin de les faire le suivre sous la menace de sa batte. Entendre ses paroles est difficile même si je me doute que ce ne sont pas des compliments ou des mots doux.

Une fois revenu à son point de départ avec les deux jeunes femmes, il attrape la main de l'une d'elle pour se frotter l'entrejambe poisseux pendant une dizaine de seconde avant de remettre ça. La main de la jeune femme à la peau mat vire au blanc. Et pour ne rien arranger il lui attrape le poignet pour la forcer à souiller le visage de sa camarade.

- Alors, tu fais moins la maline là, hein ?

Puis son complice se tourne vers la femme en combinaison pour lui hurler un ordre.

- J'ai une idée ! Tu vas filmer et diffuser sur le net, allez ! Sors ton portable !
On va en tourner un beau de film.

4
La situation évolue rapidement. Trop rapidement. Et comme si nous n'étions pas là d'ailleurs. Je me contente toujours d'observer pour collecter autant d'informations que possible. Mon collègue du moment, lui, serre les poings et est à deux doigts de foncer dans le tas quand je lui glisse de ne rien faire. Si les choses se déroulent comme je m'y attends alors cela ne devrait plus être très long. Enfin, si j'utilise mon pouvoir pour manipuler ces deux criminels du dimanche.

Histoire de rassurer la jeune femme en combinaison qui regarde en notre direction je lui offre un grand sourire en faisant un oui de la tête. Puis j'engage le dialogue avec le chef du duo.

- Excusez-moi !

L'homme se tourne dans ma direction en gardant toujours le couteau collé à la gorge de son otage. L'air sévère mais d'un calme étrange.

- Ouais ?
- Qu'est-ce que vous voulez ? On sait ce que votre ami souhaite. Mais et vous dans tout ça ?
- Moi ? Je veux juste... Juste qu'il puisse réaliser son rêve avant qu'il soit trop tard.
- Trop tard ?

- ...

Il se renferme alors comme une huître et observe juste celui qu'il qualifie comme son frangin. Car le fait est qu'il n'a pas de frère. Pas de sang en tout cas. C'est du moins ce qu'indique son dossier que j'ai eu le temps de consulter avant d'entrer dans la pièce. Pour le moment je vais me contenter d'observer et voir ce qu'ils veulent vu que je peux intervenir et tout arrêter dès que je le souhaite.

L'homme cagoulé, lui, s'approche de sa futur victime et la tire de force vers lui pour glisser sa main libre dans sur la combi rose au niveau de son entrejambe. Et là, surprise générale. Un énorme soupir de soulagement quitte le tissu qui masque son visage. Son pantalon noir vire au blanc au niveau de son entrejambe.

- Sérieux ? Déjà ? C'est un record, même pour toi.

A moins que je me trompe, l'homme vient d'éjaculer sur lui en quelques secondes.

5
La prise d'otage qui avait débutée à l'abri des regards s'était déportée jusque dans la salle de projection. Plusieurs sièges avaient été arrachées vers le milieu comme pour former une scène. Vu l'état des sièges en question ils ne doivent pas avoir coûtés cher à leur propriétaire. Et vu la nature de l'endroit ils ont dû en voir des vertes et des pas mûrs avec les années. Déjà que les gens s'envoient en l'air partout en ville. Alors un cinéma pour adultes.

Mon analyse de l'endroit est vite interrompue par l'intervention maladroite d'une des otages. Dans chaque situation de ce genre on a toujours une personne qui essaie soit de s'en sortir en expliquant qu'ils n'ont rien à faire ici ou une personne qui veut marchander sa survie. Ce n'est qu'un constat précipitée car je n'avais jamais vu cette femme avant aujourd'hui. Peut-être qu'elle ne pense pas à mal. Cependant je vois mal comment sa proposition pourrait arranger la situation.

L'homme au couteau est sans aucun doute le meneur à en juger par son calme comparé à son complice qui a du mal à tenir en place. C'est d'ailleurs lui qui prend la parole à la place de son camarade cagoulé.

- Reste où t'es, la perverse !

Il est vrai que sa tenue se démarque un peu. De là à la traiter de perverse. Si j'ai bien compris, c'est elle qui a gâché le plaisir des deux kidnappeurs. Elle est en très mauvaise posture et devrait éviter d'ajouter de l'huile sur le feu. Alors que je suis sur le point de prendre la parole le leadeur du tandem me coupe l'herbe sous le pied.

- On en veut pas de ton pognon ! Tu veux te rendre utile, hein ?

L'homme vérifie une énième fois qui est dans la salle de cinéma avant d'arrêter son regard sur les deux étudiantes. Puis se tourne vers son camarade qui lui fait oui de la tête. C'est là qu'il se retourne de nouveau vers la femme en combinaison rose.

- Cette pétasse était censée servir de cadeau à mon frangin. Mais t'as tout niqué. Alors tu vas aller me chercher une de ces salopes et la ramener ici. Sauf si tu veux te dévouer vu que t'as l'air de tellement vouloir rendre service. Et bouge ton cul !

Afin de faire remonter la pression, le couteau qui tient s'enfonce un peu plus sur la peau de la gorge de son otage. Au moindre faux mouvement et c'est un remake de Carrie qui attend tout le monde.

6
Ville-Etat de Nexus / Serveuse à dresser (Jeska)
« le: samedi 21 décembre 2019, 10:37:34 »
Cela va faire plusieurs années que je me suis retrouvé sur Terra. Les deux premières fut les plus dures car je n'avais ni argent ni autre ressource. Sans mon pouvoir... On aurait sûrement retrouvé ma dépouille dans un canal ou sur la table d'une famille de cannibales. Ou des parties de mon corps. Une pensée que je préfère laisser dans son coin.

A l'heure d'aujourd'hui je suis parvenu à me faire une place dans la noblesse. Pas au point de devenir un noble moi-même. Mais presque. Je suis le bras droit d'un seigneur qui me laisse gérer ses terres comme je l'entends car elles sont situées dans une partie peu glamour de la région. Certains verraient la chose comme un calvaire au lieu d'une opportunité. Une vision ridicule et étriquée lorsqu'on ne possède aucune imagination. Mon objectif sera d'exploité cette marche de manœuvre pour me hisser encore un peu plus haut dans la société. Et quand on ne possède ni fonds, ni relations, il reste un moyen d'y parvenir qui a fait ses preuves depuis des siècles : la luxure.

Pour y parvenir il me faudra des femmes. Séduisantes, exotiques. Ce n'est pas ce qui manque dans la région. Restera ensuite à les former, les dresser pour convenir à tous et satisfaire leurs moindres demandes.

Prétextant d'organiser une réception pour des partenaires commerciaux, j'ai contacté de nombreux établissements. Allant des tavernes aux artisans. Cela me permettra d'avoir un large choix pour trouver les femmes parfaites. Des femmes qui ne retourneront pas chez elles si je le décide.

7
Nous voilà installés dans la voiture de l'inspecteur en direction du cinéma. A en juger par la mine renfrognée du conducteur, la situation ne doit pas être encourageante. Pourtant l'envie d'en savoir davantage sur la scène qui nous attend est plus forte que le reste. Je me lance donc.
- Vous faites une drôle de tête.
- ...


Pas de réponse de sa part. Je peux néanmoins constater que ses sourcilles se froncent encore plus. Alors que je pensais la chose impossible quelques secondes plus tôt.

- La situation est si grave que ça ?
- Pire encore...
- Pire ?
- Je t'ai précisé qu'il s'agissait d'une prise d'otage.
- Oui, en effet.
- Eh ben... C'est un peu plus que ça.
- Nous sommes bientôt arrivés et je préfère avoir le plus d'informations possible à l'avance.
- C'est pas faux. Juste que... Putain !



Durant les DEUX années à travailler en collaboration avec cet homme, c'est la première fois que je le vois s'énerver. Lui qui est d'un naturel si calme, joyeux, réfléchit. En s'énervant ses doigts enserrent encore plus fort le cuir du volant. Comme s'il cherchait à s'y raccrocher de peur de perdre pied.

- Tu connais Shin ?
- Oui, c'est une jeune recrue qu'on a croisé quelques fois sur des scènes de crime.
- Sa soeur... Sa soeur est l'otage en question.
- .....


Je ne sais pas trop quoi dire. Que dire de plus en même temps ? Compte tenu de la situation le silence reste la meilleure option. Tout le reste du trajet s'effectue d'ailleurs dans un silence de mort. Dans ma tête s'enchainent plusieurs scénarios hypothétiques.


Nous voilà enfin sur place. Ma main se pose sereinement sur la poignée de la portière. Tout le contraire de mon partenaire du soir. Je peux vérifier du coin de l'oeil qu'il tremble et est légèrement sur les nerfs. Ma première réaction est de ne justement pas réagir et de ne faire aucun commentaire sur le sujet pour le moment. Inutile d'en rajouter. Je vais me contenter de l'observer et j'agirais en conséquence si la situation l'exige.

Comme on le voit dans toutes les séries télé l'endroit est bloqué et une zone délimité avec de nombreux rubans jaunes aux rayures noires caractéristiques des forces de l'ordre. Un homme se tient près du seul passage d'entrée pour s'assurer que les indésirables se tiennent à bonne distance. Entre les journalistes ou les curieux qui veulent satisfaire leur soif de morbidité on n'est jamais à l'abri de rien.

Alors que l'agent chargé de surveiller l'entrée salut l'inspecteur qui m'accompagne, celui-ci ne réagit même pas. Perdu dans ses pensées. Je me charge donc de répondre à sa place en souriant pour tenter de soulager l'atmosphère tendue.
- Bonsoir !
- Ah, euh... Bonsoir !
- Qui est l'inspecteur en charge ?
- Collins ! Mais il attend encore l'arrivée du négociateur.
- Le négociateur n'est pas encore là ?
- Non, monsieur...


C'était clairement la goutte d'eau de trop qui fait déborder une piscine plutôt qu'un vase. Furieux il fonce droit devant et passe à côté de l'inspecteur en charge sans même lui jeter un regard. Le pauvre bougre n'a rien fait de mal en plus. Lancer le dialogue avec un preneur d'otage sans formation causerait plus de dégâts qu'autre chose. Alors que nous avançons il me demande si je suis en capacité de m'en charger. J'accepte volontiers car ce n'est pas la première situation de ce type à laquelle je me retrouve confronté.

Les preneurs d'otages ne possédant aucune arme à feu, nous entrons tous les deux dans la salle de cinéma pour découvrir la chose de nos propres yeux. Deux hommes qui sont clairement les preneurs d'otages. Un homme, deux étudiantes et une jeune femme étrangement vêtue. Bon, ce n'est pas ce que j'ai vu de plus étrange à Seikusu. Mais quand même, il fallait oser.

Le premier des deux hommes, qui tient la soeur de l'officier sous la menace d'un couteau prend la parole dès qu'il nous voit alors que nous avons annoncé notre entrée pour éviter les mauvaise décisions de leur part.
- Restez où vous êtes, les poulets ! Un pas de plus et je lui agrandis le sourire, pigé ?
- Entendu. Nous restons là.

La première chose à faire dans ce genre de cas est de s'assurer que personne n'est blessé. Ce qui est le cas... Pour le moment.

8
La journée fut longue, pour ne pas changer. En ce moment les crimes ne cessent de s'enchaîner les uns après les autres. Comme si un mal planait et grandissait dans l'ombre de cette ville qui n'a jamais été épargné par les comportements criminels depuis sa création. Mais là... On frise les records.

- T'es sûr de toi ? Pas que je doute de ta parole. C'est juste que...
- Oui, vous pouvez y aller les yeux fermés.
- Ca me semble un peu trop simple.
- Justement ! Personne ne s'en douterait tellement c'est évident.


Il m'arrive régulièrement d'être consulté par des inspecteurs pour des affaires sur lesquelles ils bloquent. Dans le cas présent il s'agit d'un homicide passionnel commis par le mari. Une affaire simple dans son exécution et sa résolution. Agissant sur un coup de sang il n'avait pas eu le temps d'effacer toutes les traces de son crime.

- En tout cas, merci.
- Je vous en prie. Vous m'apportez souvent des affaires intéressantes.
- Ah, il est déjà aussi tard ? Ma femme va encore me remonter les bretelles. Heureusement j'ai fini pour-


A cet instant, le téléphone de l'inspecteur se met à sonner. Et à voir sa mine déconfite la soirée n'est pas terminée. Loin de là.
Il se tourne alors vers moi pour me lancer : - Il y a une prise d'otage dans une salle de cinéma ! Un détraqué aurait agressé une femme et la menace au couteau.

Voilà qui change clairement des homicides. Intervenir avant qu'un drame se produise est assez rare. J'avoue que cela m'intéresse beaucoup et je me retiens de suggérer mon aide. Chacun a son rôle à jouer et j'ai un certain statut à préserver.

- Tu veux m'accompagner ?
- Volontiers.
- Bon, pas de temps à perdre. Ma voiture est devant. Allons-y !


Cette soirée s'annonce palpitante et pleine de surprise. Il ne nous faudra pas plus de quinze minutes pour arriver sur les lieux.

9
Voilà un titre qui va attirer des coinvoitises, c'est certain.  ;D

Bienvenue dans le coin en tout cas. En espérant que tu trouves chaussures à ton pied pour rester dans le thème des dessins animés innocents.

10
Prélude / Re : Agent en mission
« le: vendredi 11 octobre 2019, 08:40:19 »
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.

11
Le coin du chalant / Re : Sors ton épée!
« le: jeudi 10 octobre 2019, 15:59:40 »
Coucou, vous !  :D

Je veux bien me dévouer pour lancer la machine. Par contre cela risque de se faire via la section one-shot car mon pauvre détective ne vit pas dans le coin. Et même si il devait finir à Terra je le vois mal réussir à intégrer les échelons dans l'empire. Ce serait possible grâce à son pouvoir, mais voilà.

Si jamais tu as une préférence déjà de ton côté on pourrait s'en servir pour trouver une idée précise à laquelle donner forme.

12
Le coin du chalant / Re : Des trames, encore des trames. -Hentai ou pas-
« le: mardi 08 octobre 2019, 17:37:28 »
Petit up.

13
Prélude / Re : Créée pour votre plaisir (ou pas)
« le: mardi 08 octobre 2019, 17:36:37 »
Bienvenue dans le coin et bonne chance pour ta fiche.

14
Prélude / Re : Jeska arrive!
« le: lundi 23 septembre 2019, 19:43:12 »
Bienvenue à toi. Très jolie fiche.  :D

15
Centre-ville de Seikusu / Re : Obéissance et humiliation [Sonya]
« le: lundi 23 septembre 2019, 08:48:16 »
Il ne lui aura pas fallu très longtemps pour abandonner et montrer son vrai visage. Après, ce n'est que l'excitation qui parle. Un bref moment de laisser aller qui ne durera pas. Mon nouvel objectif sera de graver ce sentiment dans son esprit pour qu'elle ne l'oublie jamais. En tout cas j'aime ce qu'elle me montre en venant chercher ma queue dans sa position. C'est limite si elle ne va pas se démettre les épaules ou se casser le dos pour sentir quelque chose la pénétrer. Elle remue tellement qu'elle en perd l'équilibre et bascule en arrière pour se retrouver avec ses propres jambes sur ses seins.

« Non, pas UNE chienne... MA chienne. »

Entre ses aboiements vulgaires et sa langue qui laisse couler sa salive partout je ne sais même pas par quoi commencer tant d'idées perverses et dégradantes pour elles se bousculent dans ma tête. J'attrape ma bite pour la frotter sur son anus complètement à découvert. Sans défense. Je commence à alors à appuyer dessus avec mon gland pour lui arracher un énième couinement d'excitation. Tout excite cette femme, c'est incroyable. Je me demande si la moindre pratique la dérange. Mais je me retire avant de faire entrer mon gland.

« Pas maintenant. Ton cul y aura droit. Plus tard. »

Mes mains prennent alors sur ses cuisses une fois que je positionne mon gland à l'entrée de sa chatte. Et là je pousse de toutes mes forces en enfonçant mes doigts dans sa chair. Jusqu'à sentir mes couilles se coller contre la peau de son cul. Je reste comme ça quelques secondes en reumant simplement le bassin. Je pousse encore pour m'assurer que mon gland embrasse son utérus. Et je me retire aussi lentement que possible pour savourer chaque recoin, chaque pli de son sexe. Le sentir m'aspirer fort afin de ne pas me laisser partir. Et je m'y enfonce d'un coup sec comme un bélier. Je veux l'entendre crier aussi fort que possible. Mes mains aussi doivent lui faire mal car je ne contrôle plus ma force. Ce n'est qu'un détail inutile dans ma tête.

« Pour te défoncer, je vais te défoncer. Plus aucune bite ne pourra te faire jouir en dehors de la mienne. »

Et là je me mets à écraser encore plus ses jambes sur ses seins. Son énorme poitrine épouse la forme de ses mollets. Puis je mets à la labourer brutalement dans cette position incofortable pendant une bonne vingtaine de minutes avant de me retirer pour lui jouir au visage une seconde fois. Mon sperme vient encore l'éclabousser et se coller à sa peau sans qu'elle ne puisse rien y faire. L'odeur va lui rester dans les narines toute la nuit.

Comme plus tôt, je lui ordonne de me sucer pour me refaire bander et reprendre notre petit jeu. Je la prends ensuite en levrette et d'autres positions durant deux longues heures. Pour finir par encore lui éjaculer sur le visage. J'ignore combien d'orgasmes elle a eu mais elle n'est pas encore au bout de ses surprises. Alors qu'elle est étendue sur le sol avec le visage à moitié couvert de sperme suite à ma dernière éjac, je la retourne pour la libérer de ses menottes. Je la tire une nouvelle fois par les cheveux pour lui ordonner de me suivre.

« Suis-moi, on va aller jouer ailleurs. Mais à quatre pattes, comme une bonne chienne. »

Là, je me dirige vers mon pantalon pour récupérer mon portable et ouvrir la porte. Nous nous dirigeons ensemble vers la porte. J'en profite pour lui claquer le cul une ou deux fois par amusement. On descend ensuite les escaliers pour nous retrouver dans le bar qui est à moitié vide vu l'heure. Les gens se retournent tous vers nous. Choqués, excités... En tout cas, personne ne reste de marbre devant ce spectacle. Enfin, le spectacle n'a pas encore vraiment commencé.

J'attrape de nouveau Sonya par les cheveux pour la faire venir avec moi près d'une table. Je pose mes fesses sur un des sièges en me tournant vers elle tout en ouvrant les jambes pour lui indiquer ce que j'attends d'elle avant de confirmer la chose de vive voix.

« T'attends quoi ? Ma bite va pas se sucer toute seule. Montre à tout le monde ici présent tes talents. »

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