Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Wonder Girl

Pages: [1] 2
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Dictature d'Ashnard / FIGHT WOMAN ALCOHOL AND SEX !
« le: mercredi 27 février 2019, 22:06:13 »

Bien sûr, il y avait des points positifs à vivre sur Terre, mais il y en avait également des négatifs. Pour une Amazone comme Donna, une vie paisible et sans approches belliqueuses, c’était un peu comme une tarte sans sucre, un couscous sans son harissa ou une politicienne de droite sans son sel. Guerrière née, elle avait besoin de cet élan d’adrénaline, elle avait besoin de ressentir la peur de la mort, la souffrance des blessures, elle avait besoin d’exprimer complètement et intégralement son caractère pour vivre heureuse. L’adrénaline, c’était sa cam et rien de mieux que Terra pour snifer sa dose mensuelle. Donna enfilait son armure, son épée dans son fourreau qui était fixé à sa ceinture, son bouclier ficelé à du cuir au niveau du dos et son fouet magique enroulé, accroché à sa hanche gauche. Terminant cette session d’apprêt, elle faisait passer sa cape par-dessus ses épaules.
Dans Seikusu, elle cherchait puis traversait un portail au hasard.
La voilà en Ashnard, à la capitale. Les banderoles étaient hautes, les musiciens jouaient, l’alcool coulait à flot, les visiteurs étaient nombreux alors que les odeurs se mélangeaient. Miam, la pisse d’orque et la transpiration des matamores en armure. Tout ce que la matriarche aimait ! Putain... ça sentait tellement fort le médiéval que même son nouveau shampoing à la vanille n’y faisait rien, nota bene, la prochaine fois prendre du feebreze à l’Himalaya pour vaporiser ceux qui s’approcheront d’elle. Soit, pour aujourd’hui elle s’en accommoderait. De toute façon, elle n’était pas une petite tapette d’humaine et ça n’allait pas être les tendances barbares et rustres des Ashnardiens qui allaient l’empêcher de distribuer des raclées.

Elle était droite, elle était fière, elle était forte. C’était une femme matriarcale, charismatique qui n’appréciait pas les hommes et dans un endroit aussi rempli de testostérones, qu’est-ce qu’on trouvait le plus ? Des hommes. Plus elle marchait dans l’allée principale, en se frayant difficilement un chemin, plus l’Amazone regrettait sa venue ; d’autre part, elle savait qu’elle trouverait forcément ce qu’elle cherchait malgré les multiples désagréments. L’impatiente se mêlait au dégout qui se mêlait à la colère, mélange alchimique très explosif. Donna était nerveuse, une vraie bombe à retardement.

La guerroyeuse entrait dans une taverne au hasard. Elle ne connaissait rien ni personne et se baladait à l’aveugle. Son entrée provoqua une vague de regards indiscrets. Elle ne le savait pas encore, mais les nombreux candidats inspectaient et analysaient déjà leurs futurs possibles adversaires. Tout était à la tension. Sur un air solennel alors que le silence pesait, Donna marchait et claquait ses talons renforcés contre le parquet en bois de la bâtisse, marchant à une allure normale vers le comptoir alors que tous ses pas brisaient les murmures des Ashnardiens.

-   « Bonjour. »

Déclarait-elle sobrement, sans aucune animosité dans le ton ou le regard. La neutralité marquait son passage. Et puis, les habitués semblaient intrigués. Voyant qu’elle ne cherchait pas vraiment les problèmes, tous se remettaient à boire, à rire et à boire avec brutalité.

-   « Qu’est-ce qu’il se passe ? L’ambiance m’a l’air un peu spécial. Ou bien est-ce un jour normal en Ashnard ? »

Le propriétaire était un petit homme vert qui se tenait debout sur le comptoir. C’était sûrement un homme et pourtant il était vêtu comme une femme et parlait comme une femme. Son apparence était androgyne et il ne mesurait pas plus d’un mètre. Sa peau était blanche, il était taillé menu et avait des cheveux courts blancs, la coupe au bol.

-   « Si tu veux des infos, faut payer. » C’était hautain et distant, nullement accueillant.
-   « Je n’ai rien. » Protestait-elle en fronçant les sourcils.
-   « Pas d’or, pas de beau nain. »
-   « De beau nain ? » L’incompréhension.
-   « Tu as un problème contre les nains ?! » Lui, il cherchait les emmerdes.
-   « Seulement contre ceux qui demandent si j’ai un problème contre eux. » Et s’il continue, il va les avoir.
-   « PAS D’OR PAS D’INFOS ! C’est pas en me provoquant que je vais t’aider, garce ! » Il sautait sur le comptoir, surement pour combler son manque de virilité et se grandir.

Impulsivement, Donna frappa de son pied dans un grand coup qui faisait frémir la maison. Elle avait une force quasi-divine. La femme déclarait.

-   « Je cherche une personne pour un duel à main nue. Si je perds, j’accepte de rendre un service. Si je gagne, je veux une bourse d’or bien remplie et des informations. »

Elle balayait la salle de son regard bleuté, attendant un ou une courageux(se)

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L'Art / Re : Poésie érotique
« le: mardi 26 février 2019, 20:44:46 »
Si tu aimes bien la poésie, je te conseil d'essayer les ballades. Ça a un certain charme, c'est assez impressionnant car au niveau du style, ce n'est pas facile à maîtriser, mais franchement, ça pourrait te faire kiffer ;)

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L'Art / Re : Poésie érotique
« le: mardi 26 février 2019, 20:30:43 »
Sympa ! Je lirais ce que tu fais à l'occasion.
Simple curiosité, tu t'aides de dictionnaires de rimes ou d'internet, ou bien c'est vraiment au feeling et au talent ?
Ps: si tu aimes vraiment ça, tu devrais essayer de faire varier les plaisirs, comme créer des ballades ou faire des alexandrins, des proses, des allitérations, des assonances... etc..ne pas juste faire des strophes.)

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Sortie amusante [Ft Diana]
« le: mardi 26 février 2019, 20:11:23 »
Lorsqu’elle patientait ainsi dans la rue et qu’elle regardait le monde tourner, Donna avait l’impression de vivre au ralenti face aux humains, voir même d’être en marche-arrière, comme si elle n’était pas faites pour cette nouvelle réalité, comme si elle n’était pas à sa place. Une sensation étrange et dérangeante qui faisait vaciller sa perception de l’environnement, de sorte à n’entendre les bruits étrangers plus que comme des échos lointains et diffus, de sorte à se laisser pousser par une personne pressée sans savoir comment réagir ; comme si Donna était totalement déconnectée. Elle avait longtemps affronté et connu la solitude de l’emprisonnement et voilà qu’elle se confrontait à la difficulté de vivre en société. Heureusement, l’Amazone aimait les défis.

-   « Pardon madame. »

Déclarait un homme qui venait de frôler son épaule, alors qu’il finissait de rire avec sa bande de copains. Une jeune fille passait, elle était au téléphone et suppliait ses parents de bien vouloir faire un versement sur sa carte bancaire. Donna était devant la distributeur, elle bloquait le passage sans le savoir, elle ne se souvenait que vaguement de ce qu’était un distributeur de billets.

-   « Vous ne l’utilisez pas madame ? Puis-je passer devant ? »

Au moins, les Japonais étaient réputés plus polis que les Européens, et heureusement, car sinon la tête de cette jeune blonde aurait pu être écrasée contre le fameux distributeur en un claquement de doigt. Donna hochait la tête et s’écartait, une docilité qui ne lui ressemblait pas. Elle essayait de tout voir, de tout regarder, de tout analyser, mais l’allée était tellement empruntée par un nombre affolant de gens, que le surplus d’informations la faisait buger.

Puis, Donna se mettait à sourire en coin à la venue de la personne qu’elle attendait, à la venue de cette femme qui était une partie d’elle, de cette femme qu’elle aimait, qu’elle admirait, qu’elle ne comprenait pas. Au final...Diana était un peu comme une mère non ? Woman avait bien des années derrière elle, Girl n’avait que seize ans et la seconde portait en elle les gênes, le sang de la première. L’amazone focalisait son regard sur celui de la princesse et s’en trouvait comme rassurée. Elle répondait en affichant toujours un léger sourire lointain et sa voix, sa voix elle était cependant très forte et fière, affirmée et mature.

-   « Je vais bien grâce à toi. Et toi Diana ? Je suis contente de passer cette soirée avec toi ! » Terminait-elle sur un ton plus enjoué. Elle reprenait en levant l’index. – « Je te propose d’aller d’abord manger un quelque chose et puis on jouera, d’accord ? »

Donna conduisait Diana à l’intérieur d’une des nombreuses grandes surfaces qui  s’étalaient en des galeries infinies aux nombreux étages. D’abord, les deux jumelles passèrent devant des vitrines qui exposaient des appareils médias, Donna ne s’y intéressait guère, mais elle s’arrêtait au milieu pour demander.

-   « Quelque chose t’intéresse Diana ? Tu veux qu’on s’arrête ? Dit le moi, aujourd’hui je t’offre tout ce que je peux, c’est pour te remercier. Je te dois ma liberté. »

Fut au tour de quelques boutiques de friandises et d’alimentations générales. Donna ne souhaitait pas non plus s’y attarder, mais elle ne l’exprimait en rien, après tout, les envies de Diana étaient aussi importantes que les siennes, alors elle ne voulait pas prendre le pas sur ce qui allait se passer ce soir. Ensuite, l’Amazone posait son regard sur différentes images étranges, des femmes aux courbes parfaites et aux cheveux de toutes les couleurs, des dessins qu’elle n’avait pas encore vu depuis sa venue sur Terre. Deux hommes sortaient de la boutique et l’un déclarait.

-   « Franchement tu avais raison, c’est un peu vieillot, mais je regrette pas d’avoir commencé les Evangélion. Asukaaa est trop belle ! »

Attirée par l’inconnu, Donna se déplaçait vers la boutique, le regard fixe, sans oser y entrer. Elle se tournait vers Diana et pointait Kirito de SAO avec son index, en questionnant, intriguée.

-   « C’est quoi ça ? Tu aimes bien ? » Donna s’avançait un peu plus en avant pour en voir plus sur la boutique, pour regarder plus de produits. Elle voyait des peluches pokémons et émettait un léger sourire. – « C’est mignon ça ? Ça sert à quoi ? » C’était pas comme si les sorcières lui avaient déjà un jour offert une peluche, alors, elle n’en connaissait même pas le concept.

5
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: mardi 26 février 2019, 12:17:44 »
Non.
Embrasserais tu Lepen ou plutôt Melanchon ?

6
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: lundi 25 février 2019, 17:41:49 »
Non.
M'embrasserais-tu ?

7
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: lundi 25 février 2019, 17:40:20 »
The 100.

Jour ou nuit ? Pourquoi ?

8
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 25 février 2019, 17:38:18 »
1

9
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 24 février 2019, 23:18:54 »
5

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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: dimanche 24 février 2019, 22:45:56 »
Jetpack.

Admettons que tu sois le dernier homme sur terre et qu'il reste deux femmes (ou deux hommes si t'es une femme). L'une dois mourir et l'autre doit finir sa vie avec toi. Vous serez Adam et Eve. Ainsi la première est très gentille, aimante, est dotée de nombreuses qualités sauf qu'elle est très moche. L'autre est très belle, mais c'est une vraie peste qui ne t'aime pas, tu ne l'aimes pas non plus d'ailleurs car tu sais que c'est elle qui a causé la fin du monde. Mais elle accepte de coucher avec toi pour sauver le monde, cependant tu n'es pas certain qu'elle ne te tue pas après avoir eut son enfant. Qui choisis-tu ? La moche gentille qui t'aime ou la belle peste qui pourrait te poignarder ? Sachant que la première est vraiment hideuse et l'autre c'est la plus belle femme du monde.

11
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: dimanche 24 février 2019, 22:01:15 »
20 ans.

Ton plus grand rêve ?

12
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 24 février 2019, 21:51:51 »
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Centre-ville de Seikusu / Sortie amusante [Ft Diana]
« le: dimanche 24 février 2019, 17:56:22 »
L’ Amazone s’essayait à une énième tentative d’occuper son temps libre sur Terre. Elle avait trouvé un petit club de « boxe » tout près de chez elle. Qu’est-ce que la boxe ? Après s’être renseignée sur cette pratique en posant des questions au concierge de l’immeuble dans lequel elle dormait, Donna comprenait qu’elle avait jugé trop rapidement les humains. Certains d’entre eux, comme elle, semblaient être des guerriers. Combattre par amusement et sportivité ? Une perspective qu’elle adorait, qui la motivait, qui lui donnait envie de rapidement s’y inscrire pour se mesurer aux guerriers et guerrières terriens.

Vêtue de son armure, elle descendait les escaliers alors que la voix du vieux résonnait déjà dans les couloirs. Elle souriait en l’entendant chanter, il était bien le seul humain qu’elle appréciait.
-   « Celebration ! Celebrate the good time ! »
Chantait-il avec son accent anglais. Oui, il venait d’Angleterre. L’homme était assez grand bien que son dos était légèrement courbé par le travail qu’il avait accompli tout au long de sa vie. Il avait dans la cinquantaine et débutait une méchante calvitie, aussi chantait-il tout de même avec entrain alors qu’il passait le balais avec énergie et que des écouteurs bouchaient ses oreilles, le coupant du monde extérieur ; mais pas assez pour qu’il ne remarque pas l’étrange tenue de Donna. L’homme se tournait vers la belle résidante et enlevait un écouteur, l’air intrigué par ce qu’il voyait, il demandait.
-   « Tu comptes aller à la boxe dans cette tenue ? On va juste te demander de partir ou appeler la police ! Non, il te faut une tenue approprié et un sac de sport ! »
-   « Je ne suis pas certaine de comprendre monsieur, moi je suis une amazone, c’est normal que je porte mon armure pour aller au combat. »

L’homme rigolait en mettant sa main devant sa bouche. Il répondait de sa voix rouillée.
-   « Tu es une Brésilienne alors ? »
Donna hésitait un instant avant d’hocher la tête. Elle ne devait pas dévoiler sa véritable identité, voilà seulement que ce détail lui revenait. – « J’en suis une, oui. »
Le concierge soupirait, passant dans sa tête sa phrase fétiche depuis qu’il avait atteint la trentaine ; il faut tout apprendre aux jeunes de nos jours. Il aimait se répéter cette phrase pour se donner une autre utilité que laver de vieux couloirs et garder les clés d’un immeuble pourri.
-   « Attend moi ici ! Je vais te prêter les vieilles affaires de ma fille. »

Donna hochait la tête et patientait dans le hall en prenant place sur un vieux divan qui éjectait de la poussière alors que ses fesses pressaient les coussins verts. Plusieurs minutes plus tard, le cinquantenaire revenait avec un large sac de sport rectangulaire qui comprenait des vêtements de sport féminins. Il souriait à la femme et lui tendait aimablement le sac.
-   « C’est cadeau, tu peux tout garder et lorsqu’il faudra faire la lessive, tu n’auras qu’à me confier tes vêtements, c’est vraiment parce que t’es la seule que j’apprécie ici... »

Visiblement les sentiments étaient réciproques. L’une appréciait l’un, l’un appréciait l’une et les deux détestaient les autres. Et cela ne faisait que quelques jours qu’ils se connaissaient. Donna remerciait le concierge en le payant de cinquante dollar, puis remontait dans sa chambre pour enlever son armure et enfiler sa tenue de sport. Un petit short rose qui recouvrait à peine ses cuisses galbées et musclées, ainsi qu’un débardeur rose un peu trop serré et trop petit qui cachait avec peine son nombril. On pouvait facilement voir le bas de ses tablettes de chocolat, mais Donna n’était aucunement pudique. Dans son sac, elle avait prévu des vêtements civils de rechange ainsi qu’une bouteille d’eau et un peu de liquide en guise de dépannage et de nécessité.

Elle marchait dans la rue et attirait les regards, éveillait les passions et les fantasmes. Elle était belle. Trop belle. Son regard colérique, sa tête droite et la posture presque militaire qu’elle entretenait avec facilité, étaient les signes d’une femme fatale. La femme fatale de la rue qui opposait le marchand de journal à la quincaillerie du coin, respectivement tenu par monsieur Obouso et son frère, deux concurrents qui se menaient une guerre sans merci suite à une dispute. Donna avait pris grand soin de parfaitement repérer sa rue, cette rue où elle vivait. Toute bonne Amazone se devait de connaître le terrain sur lequel elle mettait les pieds.

Pour la première fois de sa vie, Troy allait pratiquer un sport humain. Elle se présentait au chef de la salle de boxe, payait les frais d’inscriptions et allait déposer son sac au vestiaire, dans un casier sous cadenas. L’homme qui l’avait accueillie répondait au nom de Sato, il était un ancien boxeur professionnel au ventre bedonnant qui enseignait sa passion aux nouvelles générations, comme il le disait si bien. En tous cas le trentenaire n’était pas moche, si bien que Donna venait à lui gratifier un sourire en guise de remerciement pour l’avoir laissée utiliser les gants et la salle.

Malheureusement, tout ne se passait pas comme prévu. Déjà, à peine serrait les gants autour de ses poignets que l’homme la prévenait qu’elle ne pourrait pas combattre aujourd’hui, car elle n’avait aucune expérience en boxe. Contrariée, Donna pestait une unique tentative.
-   « Laisse-moi te prouver ma force. »
Balançait-elle sobrement avant de donner un coup de poing dans un punchingball, qui fut propulsé contre le mur avec force, alors que le machin se décrochait de son maintien en acier. L’homme était bouche-bée et marmonnait quelques mots avec difficultée.
-   « Ah et bien, oui en effet, Mademoiselle Troy, vous êtes même un peu trop forte pour notre salle de sport, je crois... »
Déclarait-il en cherchant une explication logique à ce qui venait de se passer. Quant à Donna, elle était blasée et énervée. Elle s’attendait à mieux, elle s’attendait à ce que cette vulgaire caresse ne soit vue que comme cela, elle s’attendait à ce que l’homme se moque d’elle, afin d’avoir une occasion de lui montrer sa véritable force pour mieux le surprendre. Il n’en fut rien.
L’Amazone repartait aussitôt d’où elle venait, profondément déçue. Elle remontait le sac dans sa chambre et remettait des vêtements appropriés pour sortir en ville. Des bottes noires, un jean bleu moulant, un débardeur, un sweat à capuche gris et une veste légère en cuir clair.

Elle marchait, encore, en plein après-midi ensoleillé, cherchant quoi faire ; puis elle entendait une discussion qui attirait son attention. Deux jeunes filles parlaient d’une rue dédiée aux loisirs, une rue où l’on pouvait s’amuser et manger. Elles parlaient d’une salle d’arcade ? Donna était curieuse, elle sonnait à Diana, impatiente d’en découvrir plus. Seulement, la guerrière n'était pas habituée aux téléphones et ses doigts pianotaient avec une extrême lenteur sur le clavier du petit portable. Il lui fallait plus de deux minutes pour composer un numéro.

- « Salut Diana ! Tu connais la rue d’Ayabusa ? Il parait que c’est une très longue allée commerciale en ligne droite. J’ai entendu dire qu’on pouvait y trouver de nombreuses choses pour s’amuser et passer une bonne après-midi ? J’aimerai bien y aller avec toi. Qu’en dis-tu ? »

Suite à cet appel, Donna prenait le métro pour se rendre à Ayabusa, où elle attendait Diana au point de rendez-vous qu’elles avaient fixés, c’est-à-dire au tout début de la grande allée commerciale. L’Amazone traînait les pieds avec nonchalance, les mains dans les poches, se remettant à peine de sa déception du matin.

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 24 février 2019, 15:40:29 »
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Le coin du chalant / Re : Écrivons notre chemin dans la vie
« le: dimanche 24 février 2019, 14:34:38 »
Coucou ! :)
Je pensais peut-être partir sur un rp de ce type : Olgar se retrouve pour la première ou deuxième fois sur Terre et il est tout perdu à Seikusu. C'est là que Donna tombe sur lui et remarque chez lui ce qu'elle constate chez elle ; ils sont tous les deux complètement paumés. Donna pourrait décider de l'aider à retourner chez lui, sinon si Olgar est curieux, elle pourrait lui montrer ses peintures, ses photos et lui partager sa nouvelle passion pour l'art !

Qu'en dis-tu ? ;) Tu pourrais repartir sur Ashnard avec un joli selfie XD

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