Messages

1

Les alentours de la ville / Re : Souvenire d'enfance[FLASHBACK/PV]

« le: mardi 27 novembre 2018, 09:18:49 »

Il était faible devant mes provocations, et moi j'adorais qu'il me baise comme ça. Oui, au delà de sa condition de simple humain, il allait et venait en moi, frappant à chaque fois le fond en m'arrachant des cris de plaisir et d'envie. Je n'en pouvais plus, mes cordes vocales étaient en train de se déchirer tellement il me faisait hurler. J'avais décidé que je serais à lui, aussi longtemps que je vivrais. Et il m'affirma alors qu'il était lui aussi à moi, et qu'il comptait me culbuter jusqu'à ce que je devienne accro à lui. Mes lèvres furent happées par les siennes, mais ça ne m'empêchait pas de gémir contre sa bouche. Je n'en pouvais plus, il faisait une chaleur suffocante et je voulais qu'il continue de me faire du bien. La nurse n'était pas prête de revenir, alors on pouvait bien profiter de ce moment d'intimité pur pour s'envoyer en l'air comme des sauvages. Mes doigts glissèrent dans ses cheveux, je me mis à mordre sa lèvre avec envie. Je voulais encore et encore plus, toute la journée s'il le fallait. Il répondit alors à mes paroles :

Je suis tout autant à toi et je n’arrêterais de te posséder qu'une fois que tu ne pourra plus jamais te passer de moi....

Il se mit debout, continuant de me pilonner avec force. Et moi, dans tout ça, je ne pouvais de crier mon plaisir. Il s'enfonçait en moi avec facilité tant j'étais humide, sa lance de chair me transperçait et j'en redemandais. Entre deux gémissements, je lui demandais de continuer, avec des petits "encore..." qui voulaient tout dire. Ses lèvres contre les miennes coupèrent court à toutes mes supplications, mais je mêlais ma langue à la sienne avec envie. Il était devenu plus qu'un homme, il me prenait avec facilité et force, et en plus de ça, je sentais que mon premier orgasme allait arriver. Je plantais, sans vraiment le vouloir, mes griffes dans ses épaules. Merde, merde, pourquoi ça arrivait aussi vite ? Mon intimité se resserra autour de son membre, et un premier orgasme me parcourut. Je criais son nom dans toute la baraque, à bout de souffle, tout en continuant de gémir pendant qu'il continuait de me labourer.

2

Les alentours de la ville / Re : Souvenire d'enfance[FLASHBACK/PV]

« le: jeudi 15 novembre 2018, 14:50:15 »

Je voulais jouer à la femelle tentatrice, mais en même temps le laisser dominer. Deux envies assez peu complémentaires, et pourtant... J'arrivais à lui donner envie de moi, même si je n'étais pas forcément dominante. J'avais laissé son pantalon devenir lambeaux, mais il avait les moyens de s'en racheter. Et puis, j'avais eu une belle récompense à ça, voyant alors sa verge dépasser de quelques centimètres de son sous-vêtement. Je voulais m'amuser, je le caressais mais en me contentant de son tissu. Je ne le touchais pas peau contre peau, je voulais le faire languir et le rendre dingue de moi. Dès lors que la porte claqua, après que sa bonne l'ait informé qu'elle partait faire les courses, alors il changea de comportement. Il se fit plus hargneux, venant alors dévorer mon sein avec une envie grandissante. Il alternait, tantôt suçant mon téton, tantôt le mordillant, me rendant à chaque fois davantage dépendante de lui. Je savais qu'il en voulait plus, encore et encore. Et c'était aussi mon cas. Malgré le fait que ma main se frottait à son caleçon, le branlant à travers le tissu, je n'avais pas résisté longtemps à venir effleurer son membre qui dépassait. Du bout des doigts, légèrement, lentement. Il était chaud, bouillant, et je n'attendais qu'une chose : le sortir de son cocon de tissu. Je m'abandonnais aux gémissements de plaisir, ne cherchant plus à cacher que ce qu'il me faisait me plaisait. Je mordais ma lèvre, tout en continuant de jouer. J'avais envie qu'il continue, que ce moment si bon ne s'arrête jamais. Et justement, quand je sentis ses doigts bouger de nouveau, cela fut comme si il avait lu dans mon esprit. En effet, depuis tout à l'heure il passait ses doigts sur la surface de mon intimité, mais cela ne me suffisait pas. J'en voulais plus, encore plus, et il me donna ce que je désirais.

Il glissa alors ses doigts en moi. Cela m'arracha un cri de plaisir tellement j'en avais envie, alors qu'il découvrait mon intérieur. Inutile de préciser que j'étais encore pure de toute relation, mais plus pour très longtemps. Il bougeait à l'intérieur de moi, je ne savais pas comment c'était possible qu'il sache d'instinct comment me rendre aussi heureuse. Il gigotait ses doigts pour caresser toute mon antre, comme s'il découvrait quels endroits me faisaient le plus de bien. Et moi, je gémissais comme une folle, tout en glissant lentement ma main sous son tissu pour libérer son épée de chair. Je murmurais alors qu'il était tendu, et que je devrais peut-être l'aider. Et alors il libéra mon sein, venant répondre :

Oui... Je suis plus tendue que Jamais... et j'ai besoin d'un fourreau pour apaiser ma lance...

Ses lèvres vinrent se coller aux miennes, et je lui rendais son baiser en mêlant ma langue à la sienne. Je sentais l'excitation entre nous, comme si on attendait ce moment depuis des années sans se l'avouer. C'était probablement mon cas, même si je ne voulais pas me l'avouer. Mes doigts saisirent alors son membre dur depuis la base, avant de le remonter jusqu'au bout. Et je redescendais, lentement, répétant mon geste avec toujours autant de lenteur. Chacun s'occupait de l'endroit de l'autre, c'était assez bon. OK, c'était même carrément bon. Je vins alors stopper le baiser, sentant bien que j'allais faire quelque chose qui allait fortement lui plaire. Je me redressais sur mes genoux, retirant les doigts couverts de cyprine de Kai. Je laissais mon visage se glisser dans son cou, alors que je commençais lentement à m'empaler sur son membre. C'était un peu douloureux, mais je le fis entrer au plus profond de moi. Dès que je sentis qu'il était au bout, ce qui d'ailleurs m'arracha un cri de bien-être, je murmurais :

Je suis à toi...

3

Les alentours de la ville / Re : Souvenire d'enfance[FLASHBACK/PV]

« le: mardi 13 novembre 2018, 08:51:27 »

J'aimais jouer, et pas dans le sens le plus pur du terme. Sentir ce vêtement frotter contre moi, alors que je cherchais à faire monter la température entre moi et Kai, c'était très agréable. Je n'étais pas en période de chaleurs, non, j'étais parfaitement capable de me retenir de faire ça. Pourtant, j'aimais me frotter à lui, déposer ma cyprine sur son pantalon comme pour marquer mon territoire. Il était à moi, de la tête aux pieds, et je voulais qu'il m'attrape dans tous les sens. Qu'il montre au monde entier que j'étais à lui, parce que c'était le cas. Mes lèvres s'écartèrent tout doucement quand je sentis ses mains se poser sur mon fessier. Je ne retenais pas ce petit couinement, à mi-chemin entre le couinement de surprise et un couinement animal, tandis que je profitais de cette sensation. Malgré le fait que ce soit un homme, il avait les mains douces. C'était agréable de sentir ses mains agripper mon postérieur, comme pour que je ne m'enfuis pas. Puis il parla, affirmant que ce n'était pas grave, et qu'il adorait quand je le câlinais. Je ronronnais de plaisir, alors que ses mains quittaient mes fesses. J'eus une moue de déception, avant de sentir ses doigts venir habilement détacher les boutons de la chemise que j'avais enfilée. Ce fut rapidement fait, et il se mit à embrasser mes seins. Je gémis doucement, pour ne pas alerter la nounou, ses lèvres étaient elles aussi si douces... Je laissais mes doigts se poser sur son torse, pour garder un semblant de stabilité. Sinon j'allais m'effondrer, et encore plus lorsque je le sentis gober mes seins. Il venait prendre en bouche ma poitrine, et alors je sus que c'était fini. Fini de ma retenue, parce qu'au moment même où sa bouche se posa sur mon téton droit, je ne pus m'empêcher de lâcher :

Oui....

J'entendis alors la porte claquer, la nounou lançant à la cantonade qu'elle allait faire les courses. On avait au moins une heure devant nous, ce serait assez. Je sentis ses doigts tâtonner entre mes cuisses, sans doute à la recherche de mon intimité. J'attrapais alors son poignet, tout doucement, avant de poser ses doigts contre ma vulve. Je gémissais de nouveau, ne retenant pas ma voix. Nous étions seuls dans la maison, il pouvait me culbuter dans toutes les pièces s'il en avait envie. Je m'abandonnais à lui, venant alors glisser ma main contre son pantalon. Ce vêtement était en trop, et je le déchirais. Oui, oui, j'avais toujours mes griffes au bout de mes doigts. Alors je déchirais le tissu, sans blesser mon Kai. Maintenant qu'il était en caleçon, je me fis un grand plaisir de masser son membre dur. J'étais une sacrée coquine, mais ça il ne le savait pas encore. Et moi non plus. Je caressais son membre au dessus du tissu, dans le bon sens, de haut en bas. Puis je vins murmurer :

Dit donc, tu es vraiment tendu... Faut que je t'aide à te détendre...

4

Les alentours de la ville / Re : Souvenire d'enfance[FLASHBACK/PV]

« le: mardi 13 novembre 2018, 08:05:35 »

C'était confortable de pouvoir se retrouver dans sa forme humaine, sur deux pieds. Je n'avais pas l'habitude, vu que je la prenais uniquement quand j'étais seule. Et vu que je collais pratiquement tout le temps aux basques de Kai, je ne pouvais être moi-même que très rarement. Mais bon, cela ne m'empêchait pas de me tenir bien droite, puisque dans tous les cas ma queue caudale faisait office de contre poids, et me permettrait de me rattraper si je faisais un faux-pas. C'était utile d'être à moitié lionne, la preuve. J'étais forte, plus qu'une simple humaine, mais aussi plus souple et plus affectueuse. Ma queue de lionne s'agitait doucement dans mon dos, membre à part entière de mon corps, prouvant que ce n'était pas un artifice. Après tout, j'aurais pu acheter des accessoires de lionne et me faire passer pour telle même si j'étais humaine. Or, ce n'était pas le cas, et les mouvements de ma queue le prouvait bien. J'avais attrapé une chemise dans son dressing, non sans avoir humé son odeur doucement. J'adorais l'odeur de mon maître, c'était rassurant et doux à la fois. Je l'enfilais, profitant de la douceur du tissu sur mon corps. Cependant, je n'avais pas de sous-vêtements, et hors de question de lui prendre un des siens. Pas quand on savait tout ce qu'il faisait dedans, non. Je me tournais ensuite vers lui en demandant confirmation. J'espérais qu'il ne m'en veuille pas de lui avoir volé un vêtement, et je fus rapidement rassurée quand il vint gratter une de mes oreilles. Je la bougeais lentement, me mettant un peu malgré moi à ronronner. Eh oui, les chats étaient mes cousins, donc je savais moi aussi ronronner. C'était plus grave qu'un ronronnement de minou, et plus puissant aussi. Alors je posais mon regard orangé sur lui alors que monsieur prenait la parole, pour me répondre avec affection :

Tu est toujours un adorable lionceau meme comme ca...

Je me collais à lui, tout en me laissant grattouiller. J'adorais sentir ça, c'était vraiment un bien-être total. Cependant, ma main vint effleurer sans que je ne le veuille son pantalon. Et la dure bosse qui se trouvait en dessous m'apprit que me voir dans cette tenue lui plaisait bien. Je décidais alors de me montrer plus joueuse qu'avant. Ma main se mit à bouger, de façon très lente, contre son pantalon. Impossible de le nier, il aimait ce que je faisais. Alors je continuais, non sans insister un peu plus contre sa bosse. Je fis alors un mouvement, faisant semblant de perdre l'équilibre et nous faisant tomber au sol dans un couinement de détresse. Je faisais vraiment bien semblant, sans doute devrais-je envisager une carrière dans le théâtre. Mais pour le moment, je devais envisager autre chose. J'étais tombée sur lui, mon intimité légèrement moite collée à son pantalon, assise sur ses hanches. Je rougis alors, murmurant :

Oups, pardon...

Pourtant, au lieu de me relever, je me mis à faire de lents petits mouvements de hanches. Ma vulve humide commençait à mouiller son pantalon, pour mon plus grand plaisir.

5

Les alentours de la ville / Re : Souvenire d'enfance[FLASHBACK/PV]

« le: samedi 10 novembre 2018, 18:29:56 »

Je savais à quel point cela devait lui sembler étrange. Je n'étais qu'une lionne, à la base, pour lui. Mais je venais, avec une douceur et une gentillesse extrême de me dévoiler à lui. Dans presque tous les sens du terme, d'ailleurs, puisque j'étais toute nue. Mais cela ne me dérangeait pas, en soi je ne voyais pas en quoi je devrais être gênée de me retrouver nue devant lui. Je l'avais déjà vu nu, lorsqu'il se changeait alors que je dormais dans sa chambre. Et puis, c'était mon maître, je pouvais lui faire confiance. Je le connaissais mieux que personne, alors il n'y avait rien à craindre de lui. J'étais bien dans ses bras, mon corps dénudé contre le sien, profitant simplement de ce câlin improvisé. Mon visage calé dans son cou, une main posée sur sa cuisse et l'autre sur mon ventre, j'étais confortablement installée. J'étais son amie, depuis que j'étais arrivée dans la famille il y a deux ans de ça. J'avais toujours été proche de lui, j'avais toujours voulu lui dire qu'il n'était pas seul, mais je n'en avais jamais eu l'occasion. Parce que je ne devais pas me montrer, comme mes parents m'avaient toujours appris. Je restais calme, laissant mes oreilles rondes bouger doucement. J'avais envie de lui expliquer que moi je voulais de lui, qu'il n'avait jamais été seul et que je serais toujours son amie. Peut-être que j'étais différente, que j'étais sauvage avec beaucoup de monde, mais jamais je ne le laisserais tomber. Pas comme ses imbéciles de parents, qui ne lui donnaient pas d'attention. Il semblait un peu mal à l'aise, sans que je ne comprenne pourquoi. Comme si le fait de me voir ainsi le gênait, j'ignorais pourquoi. Alors quand il me questionna sur le fait que je sois nue, et surtout sur le fait que j'étais humaine, je reculais légèrement. Il pouvait m'observer, mais je faisais ça surtout pour pouvoir répondre distinctement :

J'ai toujours été semi-humaine, mais je l'ai caché. Et la raison de ma nudité... C'est simplement que je n'ai jamais eu de vêtements à me mettre, mais si tu en avais, cela serait avec plaisir.

J'avais bien vu son malaise, et je ne voulais pas qu'il y ait ce genre de sentiments entre nous. J'étais toujours cette lionne affectueuse et joueuse, j'espérais qu'il le comprendrait. Alors, agitant ma queue caudale, je venais lui tourner le dos et me pencher légèrement en avant, cherchant dans ses vêtements quelque chose à me mettre. J'attrapais une chemise, avant de l'enfiler et de la fermer sur mon corps, cachant ce qui devait être caché. Je me tournais vers lui :

C'est mieux ?

6

Les alentours de la ville / Re : Souvenire d'enfance[FLASHBACK/PV]

« le: samedi 10 novembre 2018, 10:24:36 »

Grrrr... Foutu papillon, il ne se laissait pas attraper. J'avais beau essayer de lui sauter dessus, de le coincer entre mes pattes, dès que je les ouvrait pour vérifier que je l'avais eu, il se sauvait. Alors je continuais de lui courir après, comme un petit lion immature. Fallait que je fasse croire que c'est ce que j'étais, après tout. Et croyez moi, en deux ans dans cette famille de bourgeois, j'avais eu le temps de m'y habituer. Les parents de Kai, que j'appréciais beaucoup, n'étaient jamais là. Et ce n'est même pas une façon de parler, ils ne prenaient jamais le temps de revenir chez eux, laissant le soin à la nourrice de Kai de s'occuper de lui. Je ne connaissais rien de ses parents, au final, si ce n'est qu'ils loupaient tout avec leur fils. Noël, anniversaire, pâques, ils revenaient tellement peu qu'à chaque fois ils s'étonnaient qu'il ait grandit. Moi je voyais qu'il était malheureux, mais je ne pouvais rien faire. Une voix m'appela alors, depuis la porte d'entrée. La nourrice voulait que je rentre, sûrement à cause de ces gros nuages noirs qui signifiaient que l'orage n'était pas loin. Obéissante, je me dirigeais vers l'entrée, allant m'essuyer les pattes sur un genre de serviette placée à l'entrée. C'était ainsi qu'on me l'avait appris, je ne devais pas salir la maison avec des traces de boues. Alors je rentrais, évitant de justesse la caresse qu'elle voulu me donner. Je n'aimais pas qu'on me touche, seul Kai pouvait parce que c'était mon maître. À travers la porte de sa chambre, alors que je m'apprêtais à y entrer, j'entendis une plainte qui me fit mal au cœur :

Je suis toujours tout seul... pourquoi personne ne veut de moi...

Je me faufilais alors dans la pièce. J'étais là pour lui, mais je savais qu'il avait besoin d'une présence humaine. Alors, tout doucement, je m'approchais de lui. J'avais décidé de prendre ma forme à moitié humaine, en espérant qu'il n'aurait pas peur. Après tout, il ne m'avait jamais vue comme ça. Avec deux jambes, un corps fin mais musclé, une tignasse blonde et mes attributs de lionne. J'avais envie de le voir sourire, de le voir heureux en dépit de l'absence irremplaçable de ses géniteurs. Je m'approchais silencieusement de lui, mon corps étant nu faute de vêtements. Ma poitrine en formation trahissant mon jeune âge, je finis par aller m'asseoir en face de lui. Involontairement, je lui laissais une belle vue sur mon intimité, alors que je parlais :

Ne crie pas, n'ai pas peur, c'est moi... Milliana.

J'espérais qu'il me croirait. En attendant, je me rapprochait, à quatre pattes, pour venir me glisser entre ses jambes, comme toujours, pour le réconforter.

7

Prélude / Re : The Lion Queen [Koya]

« le: samedi 27 octobre 2018, 01:24:29 »

C'est ce que je voulais dire, des humains vivant sur terra XD normalement c'est bon comme ça

8

Prélude / Re : The Lion Queen [Koya]

« le: jeudi 25 octobre 2018, 19:07:20 »

Rechangé, du coup XD

J'attends le verdict

9

Prélude / Re : The Lion Queen [Koya]

« le: jeudi 25 octobre 2018, 18:30:26 »

Est-ce mieux madame ?

10

L'Art / Maybe I can find help ?

« le: jeudi 25 octobre 2018, 12:53:13 »

Coucou !

Ma requête est assez "simple", je recherche une gentille personne qui accepterait de me faire une signature pour ma lionne. J'ai trois images la représentant, les voici :

https://i.goopics.net/A0DY3.jpg
https://i.goopics.net/LkKGj.jpg
https://i.goopics.net/ldkX2.jpg

N'hésitez pas, si vous trouvez, à mettre une image de lion manga, je n'ai pas de critères précis.

Merci j'vous aime

11

Prélude / The Lion Queen [Valikoyée]

« le: jeudi 25 octobre 2018, 12:20:48 »

Identité : Milliana
Âge : 20 ans
Sexe : Femelle
Race : Hybride lionne
Sexualité : Hétéro

Physique :
– Quelle est la corpulence de votre personnage ?
Un corps fin, élancé, d'une taille moyenne. Elle est semblable à une gazelle, ses membres sont fins mais musclés. Elle a une silhouette qui plaît, du moins qui pourrait plaire. Ses bras sont féminins, gracieux, tout dans ses gestes la rend simplement belle. Elle est aussi semblable à une colombe, si légère qu'on croirait parfois qu'un coup de vent l'emporterait au loin, dans sa brise. Sa peau est semblable à une crème à la vanille. Beige, à la texture si douce et si dépourvue d'imperfections... Ses formes sont pourtant généreuses, elle est pourvue de chair là où il faut. Elle n'est pas plate, mais elle n'a pas un physique surdimensionné non plus. Somme toute, elle est belle. Mais ça, seul Kai le sait.
Pour les autres, elle est différente. Les autres voient en elle une lionne. Gracieuse mais puissante, au pelage semblant doux mais impossible à toucher à la vue de ses crocs. Elle est assez imposante, n'hésitant pas à gonfler son pelage lorsqu'elle est en colère. Elle impressionne par sa taille, mais aussi parce qu'elle est toujours collée à Kai.

– À quoi ressemble son visage, nez, yeux, bouche, cheveux ?
Un visage rond, qui parait un tantinet plus fin vu l'épaisse chevelure que la demoiselle a. Les yeux de la belle lionne sont dorés, et expriment avec facilité ce qu’elle ressent. Elle ne cache pas ses sentiments, on sait rapidement quand on lui plaît ou non. Ses oreilles, rondes et douces, donnent envie de la câliner comme une petite peluche, et cette envie est encore plus forte lorsqu’on découvre la queue qui se trouve juste au niveau du bas de ses reins. Elle a un nez fin, petit, qui lui donne un air de poupée en porcelaine. De même, sa bouche rosée donne envie de l’embrasser.

– Possède-t-il des traits particuliers qui le distinguent, des tatouages, des cicatrices ?
Ce qui pourrait mettre la puce à l’oreille sur son hybridation, c’est le fait qu’elle exprime des sentiments très humains à travers son regard de lionne.

– Comment a-t-il l'habitude de s'habiller ? Porte-t-il des armes ?
Elle n’a pas besoin de s’habiller puisque seul Kai connaît la vérité à son sujet. Cependant, lorsqu’elle enfile des vêtements, c’est surtout des choses qui lui plaisent. Et les seules armes qu’elle a, ce sont ses griffes et ses crocs.

Caractère :
– Quelles sont les qualités de votre personnage ? Ses défauts ?
Milliana est une jeune lionne ayant deux facettes. D'un côté, elle sait se montrer tendre, loyale et dévouée à son ami. Elle est joueuse avec lui, elle est aussi très câline. Elle l'aime, ça se voit. Et de l'autre, elle est froide et distante avec les autres personnes. Elle reste toujours loin d'eux, sauf quand Kai est là. Elle reste collée à lui, elle le protège et n'hésite jamais à montrer les crocs si elle trouve qu'une personne est trop proche de lui. Légèrement possessive sur les bords, sa confiance en son ami est inébranlable.

– De quoi a-t-il peur, ou n'aime-t-il pas ?
La plus grande peur de la jeune lionne, c’est de perdre Kai. Elle n’aime pas qu’on s’approche de lui, elle n’aime pas les menteurs, les hypocrites et les profiteurs. Elle reste cependant capable de se retenir d'arracher la tête d'une fille qui essaye de séduire Kai. Difficilement, certes...

– Au contraire, quelles sont les choses qu'il apprécie, par quel projet est-il motivé ?
Kai. Tout se résume en un seul mot. Elle aime Kai, elle apprécie sa compagnie, peu importe ce qu’ils font. La jeune femme est très proche de lui, partageant sa couche et uniquement la sienne.

– Comment se comporte-t-il avec les autres ? Quelle est sa vision de la société ?
Elle est froide, reste toujours sur ses gardes et ne laisse personne d’autre que Kai la toucher. Pourquoi ? La société est devenue pourrie, tu ne peux avoir confiance qu’en toi-même.

Histoire :
– Qui étaient les parents de votre personnage ? Comment et où a-t-il grandi ?
Mes parents étaient deux hybrides, issus du même mélange. Lion et humain. De ce fait, il était logique que je sois comme eux. C'étaient des Terranides, j'ai grandis en tant que telle. Ils étaient formidables, dévoués à leur tâche et toujours souriants. Je les aime du plus profond de moi, et ils sont gravés dans mon coeur. Ils sont aujourd'hui malheureusement décédés, mais cela n'empêche pas que je les trouve formidables. Bien qu'ils n'avaient que le rôle de serveurs dans un bar, ils avaient toujours un mot gentil pour les clients, un sourire pour les personnes tristes et un bonbon pour les enfants dans leurs poches. Ils travaillaient d'arrache-pied pour m'offrir le meilleur avenir qu'ils pouvaient, même si leurs horaires étaient très compliqués. Ils avaient parfois du mal à joindre les deux bouts, mais ils restaient toujours avec le sourire devant moi. Ils veillaient à mon confort et mon bonheur avant le leur, et je leur en serais éternellement reconnaissante de m'avoir vendue à ce couple de riches, qui eux étaient humains, bien que vivants sur Terra. Ils voulaient le meilleur pour moi.

– Quel(s) événement(s) marquant(s) ont fait de votre personnage ce qu'il est aujourd'hui ?
L'évènement qui a fait ce que je suis de moi, c'est ma rencontre avec une personne merveilleuse. Le fils des personnes qui m'ont adoptée, un jeune homme qui était fils unique. Sans doute était-il malheureux, alors ses parents lui ont acheté un lionceau. Car oui, pour eux, je n'étais qu'un lionceau. Ils ignoraient qu'en réalité, j'étais une hybride. Et je ne comptais le dire à personne. Jusqu'à ce jour où Kai s'est confié à moi. Il avait l'air tellement peiné, tellement seul, que je me suis dévoilée à lui. Nue, certes, mais j'ai pris ma forme humaine. Je lui ai fait comprendre qu'il n'était pas seul, que je serais toujours là pour lui. Il était le seul à savoir, le seul à me connaître. Je n'avais aucune pudeur avec lui, aucune gêne et j'étais dévouée à lui. C'est ensemble que nous avons découvert nos corps, mutuellement. Et c'est avec lui que j'ai découvert bien plus que ça.

– A-t-il eu l'occasion de se faire des amis, des ennemis, des connaissances, de lier des relations amoureuses ?
Mon allié, mon ami, ma bouée, appelez-le comme vous voulez, c'est Kai. Il n'y a que lui qui soit proche de moi, même ses parents ont du mal à m'approcher. Pas parce que je suis dangereuse, non, mais parce que je suis souvent collée aux basques de MON Kai. Faut pas que les filles s'approchent de lui, vous comprenez.

– Fait-il ou a-t-il fait partie d'une organisation, d'un club, ou d'un corps d'armée ?
Suis-je seulement obligée d'y répondre ? Non.

Autre :
– Votre personnage possède-t-il des pouvoirs, des connaissances ou des compétences particulières ? Est-il sportif ?
Nope, chef !

– Ses possessions ou son réseau de connaissances sortent-ils de l'ordinaire ? Habite-t-il un lieu spécial ?
Elle n’a rien d’extraordinaire, si ce n’est sa faculté d’hybridation.

Comment avez-vous connu le forum ?
DC d’Hisma.

"Je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l'hébergeur de LGJ"