Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Aldebaran

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Aldebaran

Pages: [1]
1
Les alentours de la ville / Re : Histoire d'une nuit sans lune [Akua Hotomi]
« le: samedi 13 janvier 2018, 11:00:46 »
Troublé un instant tandis qu'ils se dévisagent, Aldébaran croit reconnaitre la jeune femme. Il a bien l'impression d'avoir déjà vu ses yeux qui semblent violet dans l'obscurité. Mais il ne parvient pas à se souvenir face à qui il se trouve.

- P-Personne. Répond-il sèchement à l'interpellation de la jeune femme.

Il la plaque fort face contre un des murs bordant l'allée, prêt duquel ils se trouvent, sans réellement en prendre conscience. Le mur renvoie un bruit sourd lorsqu'elle entre en contact avec.
Dans un état second, il a l'impression qu'un autre agit à sa place. Il place son bras en travers du haut du dos qui lui fait face, faisant pression de tout son poids sur les omoplates afin d'empêcher la jeune femme de s'enfuir, ou de se retourner. Il colle une jambe entre celles de la demoiselle, son genou en contact avec le mur, et sentant ses fesses à travers les vêtements contre sa cuisse. Il espère bloquer toutes les issues.
Il sort enfin sa main avec le couteau pliable, sécurité toujours active. Il est saisit d'une excitation étrange.

- Ne bouge pas. Il se rend compte qu'il ne bégaye pas.

Il désarme la sécurité et la lame surgit dans un cliquetis sec, dirigeant la pointe vers la silhouette devant lui.

2
Les alentours de la ville / Histoire d'une nuit sans lune [Akua Hotomi]
« le: mardi 09 janvier 2018, 13:36:04 »
En fin d'après-midi Aldébaran était sorti trouver chez un grossiste un rouleau de scotch et des outils pour terminer de bricoler chez lui. Lorsqu'il eut ce qu'il voulait il prit le chemin du retour, mais la nuit déjà tombait sur la ville. Il décida de s'attarder un peu et d'entamer une promenade vespérale. Il déambula aux alentours du parc puis enfin la nuit ayant gagné son combat contre le jour il s'en fut en direction de sa maison. Les ruelles peu fréquentées de jour étaient sinistrement sombres et parfaitement désertes. Celle qu'il devait emprunter pour rentrer chez lui serpentait sur plusieurs kilomètres entre le dos de bâtiments qui jouxtaient les rues du quartier. On avait pas daigné installer d'éclairages publics si bien que seul quelques rarissimes lumières éclairant les cours des immeubles longeant la ruelle baignaient les environs d'une pâle clarté très ténue, et les nombreux coudes que formait le ruban de bitume entouré des murs délimitant les propriétés empêchaient de deviner à plus de 80 mètres ce qu'il pouvait y avoir.

Un peu effrayé il serra le rouleau de gros scotch qu'il avait glissé avec le ticket de caisse dans la poche droite de son sweatshirt et mis la main sur le couteau à lame dépliable, fraichement acheté, dans l'autre poche. La nuit était particulièrement sombre, sans lune et sans nuage pour réfléchir les lumières de la ville vers le sol. Il pressa le pas, obnubilé par l'idée de ne pas trainer.

Au détour d'un virage il aperçu une petite silhouette se démarquant à peine des ténèbres avoisinantes. Elle ne marchait pas très vite mais d'un pas assuré. Aldébaran n'aurait su dire quelle distance les séparait mais seulement que l'apparition lui tournait le dos et ne l'avait pas entendu vraisemblablement surement à cause du vent soutenu qui creusait des sillons dans son bas de survêtement ample. Même pour lui le bruit de ses semelles souples retrouvant à chaque pas la grossièreté du béton était imperceptible.
L'appréhension initiale d'un trajet dans une ruelle sordide qu'il avait ressenti s'estompa lorsqu'il s'approcha plus avant. Il devina que la silhouette était celle d'une femme de petite taille dont le seul attribut qu'il pouvait distinguer dans la noirceur nocturne était une chevelure extraordinaire formant des nattes de cheveux ondulant joyeusement au rythme de la marche, et ne semblant pas soumis à la tyrannie des flux d'air.


Irrésistiblement il se senti attiré par cette présence, il voulait l'approcher. Intrigué, mais aussi mû par un sentiment qu'aucun mot n'arrivait à saisir.
Libérant sa main droite de sa charge il s'approcha tandis qu'en lui frémissait un désir irrépressible. Il se porta à la hauteur de la silhouette qui malgré la proximité ne se précisa pas plus. Rendu à son niveau il se préparait à agripper une épaule.

3
Le coin du chalant / Re : Des charmantes pestes ont besoin de compagnie
« le: vendredi 05 janvier 2018, 23:43:00 »
Muramasa Akasha avec la trame 2) La lame cherche un nouveau propriétaire ; le précédent est mort, ça m'intéresse pas mal.

4
Prélude / Re : Aldébaran Augusta, l'enfant oisif. [Valilouvée]
« le: mercredi 03 janvier 2018, 16:45:03 »
Merci à vous, et petite modif au passage en fin de poste.

5
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: mercredi 03 janvier 2018, 15:51:06 »
Sachant que mon personnage ce n'est pas Zukerberg ou quelqu'un dont on connait la richesse via Forbs ou la liste annuelle du Times, mais qui prétend quand même être extrêmement riche (riche à milliard !), je me suis longuement demandé s'il y a des limites à la richesse que peut posséder un personnage inventé, un humain sur terre par exemple comme le mien, et si oui qu'elles sont ces limites ?

De plus j'ai attentivement lu tout ce qui concerne le rp et les lieux dans lesquels il peut prendre place.
L'idée directrice est qu'un rp peut prendre place n'importe où sur terre, concernant la terre si j'ai tout bien comprit, cependant étant donné l'absence de topic "reste du monde" est-on obligé de partir d'une zone de Seïkusu comme base du rp pour ensuite partir vers l'infini (terrestre) et au-delà ?

6
Le coin du chalant / Re : Une lycéenne naïve |Hana Mida|
« le: mardi 02 janvier 2018, 16:09:05 »
Je suis assez intéressé, cependant pour moi cela serait plutôt dans un lieu extérieur au centre d'études. (Voir ma fiche, mais j'ai passé l'âge d'étudier).

7
Prélude / Aldébaran Augusta, l'enfant oisif. [Valilouvée]
« le: lundi 01 janvier 2018, 23:30:38 »
Prénom : Aldébaran
Nom : Augusta
Âge : 27 ans
Sexe : Masculin, et hétérosexuel
Race : Humain


Physique :
A 27 ans il est plutôt petit, environ 1.75m. Sa démarche a un ton curieusement aérien qui est grandement dû au fait qu'il ne pèse que 64 kilos.
Il est sec, et d'un type assez carré. On devine que s'il se donnait la peine de se muscler il aurait la carrure typique de ces petits gymnastes aux épaules et au torse développés maintenus par la ferme gaine d'une ceinture abdominale saillante. Malheureusement pour lui, il ne possède pas tout cela, même s'il n'en demeure pas moins que ses fins et frêles muscles restent saillants, sous une peau blanche assez claire.
Son visage est relativement long, ses pommettes sont assez hautes, elles donnent une forme légèrement creusée à ses joues. Son nez est discret et filiforme il surplombe une bouche aux lèvres discrètes mais dont on entrevoie la possibilité d'un large et franc sourire. Ses yeux sont tout à fait singuliers. Certains jours quand il fait particulièrement beau on les jurerait d'un vert pâle, mais d'autres, lorsque la lumière est plus ténue, lorsque le soleil est voilé, ils apparaissent gris clair avec de petits éclats bleutés qui percent dans l'iris.
Il a l'habitude de porter la barbe taillée assez courte, mais pas trop. Celle-ci couvre l'ensemble de son menton et s'étend très prudemment jusqu'à la mi-joue. Elle est assez dense et d'un brun un peu plus accentué que celui de ses cheveux.
Ceux-ci sont taillé court, mais rarement coiffés et généralement ils sont hirsutes, très fins et densément implantés.
Son corps pour le reste est équilibré. Ses jambes sont justement proportionnées, de même que ses bras.
Aldébaran vient d'un milieu assez aisé. Lorsqu'il était plus jeune il portait l'uniforme du pensionnat dans lequel il était. Depuis il a gardé l'habitude de s'habiller en costume de pantalon noir et veste noire pour les occasions importantes. Pour le reste il s'adapte aux situations. Lorsqu'il est chez lui sans personne il est souvent en survêtement assez ample, et lorsqu'il est dehors il est habillé de façon tout à fait ordinaire.
Il a une arme qui lui a été transmise. Une magnifique épée à la lame fine et droite, à double tranchant qu'il conserve dans un fourreau serti de pierres dont il n'a jamais eut la curiosité de faire estimer la valeur. Celle lame magistrale repose chez lui sur une commode basse, et il ne sais pas vraiment s'en servir bien qu'il ait souvent joué seul à guerroyer avec quand il était jeune.


Caractère : (150 mots minimum)
A 27 ans Aldébaran est l'héritier, selon le mythe transmit dans sa famille, d'une antique famille européenne. Il n'a jamais vraiment cru à cela, même s'il est vrai que le patrimoine familiale est important, et lui permet de vivre en électron libre.
Aussi on peut dire que c'est un oisif dans le sens où il n'est aucunement productif. Il est cependant légèrement perfectionniste. Mais surtout il est curieux des choses du monde. Le premier de ces traits fait qu'il abandonne souvent ce qu'il entreprend par peur de ne pas parvenir à la perfection. Le second lui a permit de ne jamais rigidifier son esprit, et ainsi de rester ouvert aux nouveautés qu'elles qu'elles soit. Cependant Aldébaran est un homme de science, pour lui hors de question de croire en une divinité révélée, comme c'est le cas des grands monothéismes terrestres.
Ce rationalisme se retrouve dans sa passion pour l'astronomie qu'il s'est découvert jeune. Le fait de se perdre dans l'abysse noir et le vertige que procure cette perdition l'ont toujours fasciné.
Au contraire Aldébaran nourrit un peur de l'eau, dans le sens où il craint d'être dans l'eau ou sur l'eau dans une situation où il ne peut voir le fond.
Enfin il est bègue.
Il était à l'origine très extraverti et très avenant, avec une tendance à l’exagération qui tantôt émerveillait ses amis tantôt le couvrait de ridicule. Cependant il a grandement changé pour devenir très réservé, taciturne sans pour autant se désintéressé des autres. Au contraire, avec ses amis il est des plus fidèle et curieux de leur personne, et prêt à faire de son mieux pour aider s'il le peut.


Histoire : (400 mots minimum)
Aldébaran est né dans le sud de la France. Ses parents appartenaient selon leurs dires à une prestigieuse famille de l'antiquité qui avait perduré jusqu'à lui.  Les Augusta étaient apparentés selon la légende aux Julii par un batard de Claude, 5e césar. Cependant rien n'avait jamais été confirmé que ce soit par l'histoire officielle ou bien par ses aïeux. Le seul prestige dont il fut jamais témoin fut la richesse manifeste qui l'entoura toute sa jeunesse. Il appris ce qu'il pu dans un pensionnat privé. Mais il n'était pas réellement brillant, et les études furent pour lui une sorte de chemin de croix. Heureusement l'enthousiasme de l'adolescence et les amitiés qu'il avait noué le portèrent d'un bout à l'autre de son parcours scolaire.
A ses 13 ans il hérita d'une lame exceptionnelle. Son père qui depuis qu'Aldébaran avait 5 ans était resté seul pour l'éduquer lorsqu'il revenait du pensionnat, lui expliqua qu'elle était transmise depuis des générations et des générations dans la famille. Elle n'était pas, comme ces épée de fantaisie, dotée de pouvoirs magiques ou d'autres frivolités incongrues. Elle était juste l'insigne de la supposée puissance passée de cette famille.
Cette épée, Aldébaran l'utilisa beaucoup jeune pour jouer chez lui, faisant de grands moulinets, piquant, lacérant ou écorchant l'air qui fusé le long du métal. Mais vers 15 ou 16 ans il avait rangé ce jouet et l'avait laissé prendre la poussière.
Sa mère quant à elle avait quitté son père, mais ils ne divorcèrent jamais. Elle avait succombé à une vie faite de mondanités. Elle avaient de nombreuses fois trompé son mariage pour finalement partir avec un autre qu'elle ne conserva pas longtemps. Quoiqu'il en fut elle chercha jamais a revoir Aldébaran à partir de cette séparation. Et de fait Aldébaran n'eut à la revoir qu'une fois par la suite, lorsqu'il avait 19 ans.
Lorsqu'il finit ses études à 18 ans son père lui transmit une part de son patrimoine pour qu'il puisse vivre. En fait un comptable qui s'occupait de la famille avait ouvert un compte à son nom et transféré ce qu'il fallait transféré.
Plus tard, l'été suivant son entrée dans sa dix-neuvième année son père mourut mais c'est sa mère qui hérita du patrimoine qui restait à son père. Pendant l'enterrement cette dernière vint faire scandale, et c'est à ce moment qu'Aldebaran quitta l'Europe terre de sa jeunesse pour l'Asie qu'il sillonna 2 ans avant de s'attarder au Japon.
2 années durant il avait vécu dans un hôtel avant de s'établir dans une maison de la ville de Seikusu. L'achat de sa maison fut facile, car ceux qui la lui vendirent prétendaient qu'elle était maudite par un fantôme. Mais il ne s'était pas intéressé vraiment au sujet, et depuis qu'il y habitait, il n'avait jamais rien remarqué d'inhabituel. Il s'est offert les service d'une agence de domestique qui fait faire le ménage les lundi, mercredi et samedi chez lui. Il vivait depuis son arrivée au Japon une vie d'oisif. Vaguement artiste sans jamais avoir rien produit. Passionné par les récits de science-fiction qui l'envoyaient au fin fond des étoiles. Son principal souhait serait d'écrire une telle histoire, ou mieux encore de la vivre.




Autre :
Aldébaran est incroyablement riche, même s'il ne dispose pas de tout l'héritage familiale, le peu qu'il a lui permet de vivre sans travailler.
La fortune issu du don de son père représente environ 10 milliards et demi de dollars. Cependant cela ne représente que les 2 tiers de la fortune familiale des Augusta, le reste étant détenu par sa mère.

Pages: [1]