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Messages - Lucie Backerlord

Pages: [1] 2 3 ... 10
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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 14 novembre 2018, 18:02:09 »
- Tricher peut être répréhensible dans beaucoup de choses, très chère. Mais pas ici. Je voulais simplement te faire comprendre oralement ma frustration après ce mauvais coup de ta part.

Il était évident que je n'allais pas me laisser faire. J'avais de la fierté, et c'était quelque peu de la triche. Je n'allais pas non plus commencer à faire la gueule pour si peu, mais j'allais me venger. En prenant mon temps bien évidemment. Il ne fallait pas précipiter les choses, et j'avais un plan bien établi en tête, que je comptais accomplir jusqu'à la dernière seconde. J'allais tout de même lui laisser la surprise de certaines choses. Je n'étais pas là pour être la plus prévisible possible. Si tel était le cas, il faudrait sérieusement que je me remette lourdement en question, et je n'avais pas envie de remettre à plat et en cause mes principes. En sentant ses mains sur moi, je me cambrais quasi instinctivement. J'étais assez sensible du bassin, il fallait bien l'avouer. C'était même l'une des zones les plus sensibles chez moi, bien que ce soit le cas chez beaucoup de monde.

Je plongeais mes mains sous sa combinaison sans aucune vergogne, venant lui malaxer les fesses sans crier gare. Ma langue jouant avec la sienne, je ne pensais pas à grand-chose. Si je commençais à me poser des questions sur ce que j'étais en train de faire en ce moment, j'allais m'arrêter immédiatement, car je ne serais même plus dans le bain. Mais fort heureusement, ce n'était pas le cas. Lui malaxant avidement le popotin, je préparais ma riposte, l'air de rien. Il ne fallait pas qu'elle se doute de quoi que ce soit, sinon, mon effet de surprise partirait en fumée. Ce qui n'était pas du tout favorable pour moi. Il fallait que je reste imprévisible sur mes mouvements pour le moment. Je finis par me relever, l'air de rien, comme si j'allais partir. Mais ce n'était pas le cas. Je la prenais contre moi, en enroulant ses jambes autour de moi, exactement l'inverse de la position dans laquelle nous étions. Je vins me jeter sur le lit avec cette dernière dans les bras. Et je ne sais par quel miracle j'arrivais enfin à lui enlever cette fiche combinaison, après un long moment à me dépatouiller avec.

- Pourquoi diable te rhabiller quand tu es bien mieux comme ceci? Ta logique sur ce coup m'échappe, très chère.

Pour manifester mon mécontentement, je décidais d'attaquer tout de suite. Pour le moment, je n'allais agir qu'avec mes doigts. La logique voudrait que je plonge mes doigts dans son entrejambe toute scintillante, mais je n'allais pas me contenter de si peu. Je décidais d'attaquer des deux côtés, et ce, sans prévenir. Trois doigts dans son anus, et le même nombre dans son vagin. J'étais dans une position assez bizarre, je devais l'avouer, mais j'avais connu bien pire. Mes mouvements démarraient sur les chapeaux de roues, ne voulant pas rester sur ma faim.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mardi 06 novembre 2018, 18:40:49 »
Mine de rien, je devais avouer que cette demeure était bien plus cossue que la mienne. je n'étais pas si riche que ça certes, mais j'avais tout de même un bon toit au dessus de la tête, et je n'en étais pas peu fière. Je ne faisais sans doute pas le poids, et pour ma fierté personnelle, je n'allais pas me lancer dans une sorte de comparaison, cela n'aurait absolument aucun sens. Je restais pour le moment couchée sur le dos, à faire des petits ronds de fumée. Pour quelqu'un voulant reprendre son souffle, c'était plutôt contradictoire. Mais j'assumais totalement ce fait, et mon attention fut quelque peu captivée par sa proposition. Je n'avais aucune raison de ne pas accepter en fin de compte. Je n'avais pas de réelle préférence en terme de vins, mon attention étant plutôt tournée vers d'autres alcools, mais il était clair que je ne supportais pas le vin blanc, sans que je ne sache réellement pourquoi.

- Disons que c'est le seul type de vin que je peux boire, en effet. Les autres, sans que je ne sache vraiment trop pourquoi, me sortent par les yeux.

J'en prenais donc un verre, ne sachant pas vraiment à quoi m'attendre. Et pour le coup, je fus plutôt surprise. Je n'avais pas une immense affinité avec le vin, mais pour le coup, c'était plutôt bon. Je n'allais pas boire ça comme une rustre, cul sec. Il n'y avait qu'avec l'absinthe que j'agissais ainsi, ayant pris l'habitude de la boire de cette manière. Ce qu'il ne fallait surtout pas faire, surtout si elle était mal diluée. Il me fallut quatre ou cinq gorgées avant de finir ce verre, car de toute évidence, je n'avais pas envie de passer pour une personne malpolie ou que sais-je encore. Ce qu'elle me dit par la suite me fit sourire. Je n'avais qu'une très mauvaise compréhension du Français, au grand mot je ne connaissais qu'une dizaine de mots. Et bien évidemment, ces mots ne servaient pas du tout à faire une phrase complète et correcte. Je ne compris donc que le dernier mot, ce qui suffisait amplement.

- Disons que j'ai pas mal d'idées en tête de ce genre.

Idées que je comptais bien évidemment explorer. Mais chaque chose en son temps. Je posais donc mon verre vide sur la table de nuit, avant de revenir m'écrouler sur le lit quelques instants, pas plus de 10 secondes. Le reste allait suivre, j'allais mettre chaque idée dans ma tête dans une suite logique. Car je comptais mettre à profit mon imagination. Et pour le moment, cette dernière me criait de faire quelque chose ô combien original. Elle venait de se rhabiller, et j'étais nue, mais cela ne posait aucun problème. J'allais m'occuper de tout ceci avec les dents. Prenant l'anneau de sa zipette entre mes dents, je le faisais glisser vers le bas, d'une façon terriblement lente. Je mis donc de longues secondes avant d'avoir ouvert totalement cette fermeture. Me mettant ensuite contre elle, mes jambes autour de son corps, je venais lui mordiller les lèvres en ricanant.

- Petite tricheuse.

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Son hypothétique invitation sonnait bien à mes oreilles. J'avais l'habitude des sabbats, puisque j'étais une sorcière au sang pur. Et à vrai dire, faire un sabbat avec une consœur de son calibre, voilà une idée qui me plaisait beaucoup. J'en venais à la conclusion que ma prestation ne l'avait pas laissé indifférente. Ce qui était une bonne chose. Je pouvais en être assez fière au fond de moi. Je restais affectueuse, car j'agissais toujours de la sorte avec quelqu'un que je considérais comme un bon coup. J'étais affectueuse de manière générale avec quelqu'un que j'estimais, peu importe comment. Je devais lui montrer que ce genre d'invitations me plaisait, et j'avais déjà les mots pour cela.

- J'aime les sabbats de manière générale, très chère, mais j'avoue qu'avec une consœur de ton calibre et surtout avec de tels invités, je ne saurais dire non à un telle invitation. Si l'idée te traverse l'esprit un de ces jours, compte sur moi pour te répondre de manière positive. Je ne saurais répondre négativement à tout ceci.

Me retirant pour souffler quelque peu, je me relevais afin d'aller chercher mon paquet de cigarettes, restant dans une des rares poches de ma combinaison. M'allumant une cigarette, je le posais sur la table de nuit, lui signifiant qu'elle pouvait piocher dedans si elle en ressentait l'envie. Retombant sur le dos sur le lit, je faisais des ronds de fumée, alors qu'un fort goût de menthe m'envahissait la bouche. Je m'amusais avec quelque chose qui n'était pas fait pour cela, et qui paradoxalement amenait plus vers la terre que vers le ciel. Mais ma longévité parlait pour moi. Je savais que j'étais accro à tout ce merdier, mais je faisais avec, et au fond, si je devais m'en passer, cela ne se passerait pas bien du tout. Je soupirais de bien être, étendue dans le lit, complètement nue, avec une semi vigueur visible.

- Laisses moi quelques instants et on fait ce que tu veux ensuite. Je ne dois pas avoir la même endurance que toi, mais je n'ai pas non plus à rougir. Du moins, c'est ce que j'ai pu comprendre avec l'air de quelques succubes par le passé. Mais j'ai encore des idées avec toi, si tu m'en laisses l'occasion bien évidemment.

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Je n'allais tout de même pas m'avouer vaincue aussi facilement. Il faut dire que j'avais une certaine dose de fierté, et que parfois, cette fierté prenait le dessus, sans que je ne la contrôle vraiment. Dans ces moments-là, il ne fallait pas que je puisse montrer quelque élan de faiblesse que ce soit. J'allais donc devoir tenir le plus longtemps possible en sachant que tout ceci était peine perdue, en sachant qu'elle allait jouer avec moi le plus longtemps possible, jusqu'à me faire flancher. Les sorcières agissaient toujours de cette manière, et c'était la raison pour laquelle j'appréciais tout particulièrement mes consœurs au lit. Alors que je sentais que je commençais tout doucement à basculer, mes ongles se plantaient légèrement dans son fessier, sans non plus y aller comme la dernière des bourrines. Je devais juste tenter de me contrôler durant quelques instants. Ma langue jouant avec la sienne étouffait mes gémissements, mais certains arrivaient tout de même à passer la barrière de ma gorge.

Il fallait avouer que le tentacule qui était en train de labourer mon postérieur n'aidait pas vraiment pour garder mon calme. Mais au fond de moi, je savais qu'il était nécessaire que j'arrête de lutter, ce que je fis finalement, laissant de côté ma fierté. Car il fallait savoir abandonner au bout d'un moment. Toutefois, mon timing était plus bon, puisque je décidais de lâcher prise au moment même où ma consœur montrait ses limites. Je donnais par conséquent mes derniers grands coups de bassin, mes gémissements s'amplifiant donc instantanément, jusqu'au coup final. La décharge qui se produisit en moi fut si violente que je me cambrais à l'extrême, au point de venir planter de manière plus radicale mes ongles dans ses fesses, poussant un très long gémissement d'aise. Bien évidemment, je ne pouvais que me vider en elle, de manière bien moins quantitative que la première fois, cela valait de soi.

Je venais ensuite m'écrouler sur sa poitrine, jouant doucement avec ses tétons comme la dernière des gamines, reprenant quelque peu ma respiration. Il fallait que je reprenne ma respiration, et que je me calme un peu.

- Voilà pourquoi.... J'aime me faire mes consœurs, c'est toujours.... plus mouvementé qu'avec les autres.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: samedi 13 octobre 2018, 16:50:35 »
Je trouvais que Bayonetta avait eu une très bonne idée en se redressant. J'aimais beaucoup ce genre de choses. C'était le genre de choses qui apportait un petit peu de piment dans une activité où l'on prenait parfois ses aises, et qui pouvait amener un peu de routine. Après, rentrer dans une routine en s'envoyant en l'air pour la première fois avec une personne, cela ne me ressemblait pas du tout. Et à vrai dire, cela restait très peu crédible à mes yeux. La routine s'installait au long cours, pas aussi rapidement. Pour faire bonne figure, j'augmentais drastiquement la vitesse et la puissance de mes mouvements de vas-et-viens, du moins autant que cette position me le permettait. J'en venais même à la plaquer contre moi, en surélevant son bassin, et surtout, en agrippant fermement son fessier entre mes mains. Mes gémissements étaient donc amplifiés en conséquence, d'autant plus que le simple fait de sentir ses tentacules me sodomiser de la sorte me faisait le plus grand bien.

Je luttais aussi intérieurement pour ne pas jouir une nouvelle fois aussi rapidement. Je savais très bien que je n'étais plus vraiment en position de force, et qu'il fallait que je m'adapte. Mais j'allais tenter de faire ce que je pouvais pour ne pas perdre la face. Je n'allais donc pas à ma vitesse de croisière, ce qui me permettait de tenir encore un peu plus longtemps. Je ne savais pas si j'allais pouvoir être en synchronisation avec elle, mais au fond de moi, ce n'était pas ce qui me préoccupait le plus. Je me demandais surtout si j'allais pouvoir faire ce que je voulais faire par la suite. Et je n'allais pas le dire, car sinon, ma vengeance ne serait pas complète. Instinctivement, pour étouffer quelque peu mes gémissements, je venais l'embrasser à pleine bouche, jouant avec sa langue, sans me poser la moindre question. Lorsque je me sentais bien, sexuellement parlant avec une personne, je réagissais toujours de la sorte.

Il ne me restait plus que quelques instants avant de jouir à nouveau. Je pouvais le sentir, et je faisais une fois de plus ce que je faisais pour tenir le coup, ce qui n'était pas chose simple, surtout avec une sorcière comme elle empalée sur moi.

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Les bas fonds / Re : On s'amuse bien [Feat Vi]
« le: samedi 13 octobre 2018, 16:06:14 »
Visiblement, ce que je faisais avait l'air de bien faire marrer ma nouvelle voisine de comptoir. Pourquoi pas. A vrai dire, au fond de moi, l'attitude de ce mec me faisait bien rire, même si je ne le montrais pas. Je devais garder une certaine image autoritaire lorsque j'agissais de la sorte. Afin de donner du poids à mes paroles. Si ce n'était pas le cas, je n'étais plus crédible. Quand cet abruti présenta ses excuses, il fallait vraiment tendre l'oreille pour les entendre. Mais au moins, il les présentaient. Maintenant, il fallait que je réfléchisse à ce que j'allais faire. Je desserrais petit à petit l'emprise de ma main sur sa gorge, pour ne pas le tuer connement. Toutefois, je le gardais plaqué sur le comptoir, afin qu'il ne puisse pas s'échapper. Il fallait qu'il comprenne à qui il avait affaire, pour qu'il se rappelle de ne plus jamais agir comme un sale con.

- Mon petit, si j'avais mon flingue sur moi, il y aurait non seulement un grand trou dans ta sale gueule de rat, mais aussi dans ce comptoir. Et je n'ai pas vraiment envie de repayer un comptoir à ce charmant barman. La prochaine fois que t'es trop bourré pour connecter deux neurones, évites les gonzesses dans mon genre. Surtout si tu tiens à la vie. Parce que là, si ma voisine n'avait pas été là, j'aurais très bien pu te tuer à mains nues.

Je le jetais ensuite contre une table voisine, et je le vis partir, en regardant ses pieds. Il devait avoir compris. Mais si ce n'était pas le cas, il allait devoir comprendre par la suite, car certaines personnes n'étaient pas aussi coulantes que moi. Je terminais donc mon verre d'une traite avant d'en demander un autre. Il venait de m'énerver, et je n'aimais pas être énervée. De ce fait, je m'allumais une autre cigarette en tendant mon paquet à ma voisine au cas où. Je tirais de grandes lattes pour faire des ronds de fumée, comme une gamine. Mais au moins, j'assumais totalement ce fait. D'une traite, je buvais la moitié de mon verre, sans me poser la moindre question. J'avais l'habitude de boire de l'absinthe, par conséquent, boire un verre à limonade rempli d'absinthe ne me poserait aucun problème. Il fallait de toute façon avoir l'habitude, ce que certaines personnes n'avaient pas du tout.

- Quand tu fais partie de l'armée, généralement, tu sais te débrouiller avec tes dix doigts. Surtout quand tu occupes mon poste. Mais bon, savoir se battre à mains nues, j'ai toujours considéré ça comme important. Quand tu n'as plus d'armes sur toi, les seules armes restantes sont tes mains. Donc, des putes tu disais?

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 29 septembre 2018, 15:39:01 »
En la voyant faire, je ne pouvais pas m'empêcher d'exploser de rire. Je n'appelais pas vraiment cela de la finesse, mais cela marchait tout de même relativement bien. Je ne pouvais pas nier ce fait, cela serait mentir au plus haut point. Je désarmais donc mon arme, avant de m'accroupir à côté de lui en lui expliquant à quel point il venait d'avoir de la chance. Se prendre un coup de pied dans les parties était certes douloureux, mais au moins, il pouvait s'estimer heureux de ne pas s'être fait sauter le caisson. Toujours en riant, je me relevais, et tapotais la tête d'Alix. Aucune finesse. Mais je l'aimais bien cette petite, elle avait quelque chose de particulier. Si je pouvais tirer d'elle un peu de finesse, cela arrangerait pas mal de choses. Mais je n'en étais pas encore là, et il fallait que je pense à d'autres choses avant.  Comme par exemple, le simple fait d'aménager ma vie avec cette dernière chez moi.

Je prenais donc avec Alix le chemin du retour, jusqu'à rentrer chez moi. Une fois chez moi, j'allais donc ranger chaque petite chose à sa place, car mine de rien, parfois, je pouvais être maniaque, mais je contrôlais cela relativement bien. Du moins pour certaines choses. Une fois ayant rangé tout mon bordel, je pouvais enfin faire ce que je voulais. Je me dirigeais donc dans ma chambre afin de changer de fringues. Pour prendre tout simplement un débardeur blanc, un jogging blanc, et c'était tout. Je n'avais pas besoin d'un habit de cérémonie chez moi, et ce même si j'avais de la visite. J'allais me jeter dans le canapé comme une espèce de loque, laissant donc Alix faire ce qu'elle voulait. Je n'étais pas sa mère, et je n'avais pas à lui dire ce qu'elle devait faire, tout simplement car je considérais qu'elle était assez grande pour prendre des décisions toute seule.

- Tu sais, je viens de me rendre compte d'un truc. J'ai pas l'habitude de ramener une nenette au boulot. Mais mes hommes sont loin d'être cons, et je pense que tu n'auras aucun problème à t'intégrer dans mon équipe. Ceci dit, il y a d'autres personnes qui ne sont pas d'accord avec mes décisions. Evidemment, il faut que ce soit des non-gradés. Je te demanderais juste une chose. Tu ne réagis pas si on te fais chier, mais tu m'en parles. Je cherche toujours une excuse pour leur en mettre plein la gueule car ils me pompent le système en permanence. Je ne vais quand même pas laisser un troupeau d'abrutis me faire chier alors qu'ils sont censés comprendre depuis belle lurette que je suis leur supérieure.

Je m'amusais avec un de mes briquets, qui traînait sur la table basse. Je n'avais pas de al à faire valoir mon autorité, mais il y avait toujours une petite poche de résistance. Et tôt ou tard, je finirais bien par la mater. Il était hors de question que je perde la main contre des gamins qui se sentaient supérieurs à tout le monde. J'étais persuadée que le simple fait qu'une femme leur soit supérieure les mettait en rage. A mes yeux, il n'y avait pas vraiment d'autre explication logique.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: vendredi 21 septembre 2018, 17:32:53 »
Ainsi, dans cette position, je pouvais enfin aller beaucoup plus vite. Ce qui était un plus non négligeable. De ce fait, mes mouvements du bassin se faisaient de plus en plus puissants, bien évidemment, tout comme mes gémissements. Mais au moins, je contrôlais ce que je faisais. J'en profitais ainsi pour agripper de manière effrontée sa poitrine, la tirant quelque peu vers l'arrière, pour ainsi faire en sorte qu'elle cambre ses reins, et de ce fait, glisser plus profondément en elle. Modulant l'amplitude de mes mouvements à la limite du supportable pour moi, je continuais à la pilonner sans me poser de questions. Toutefois, je savais au plus profond de moi-même que j'allais tout de même avoir besoin d'une pause à un moment ou à un autre, car je ne pouvais tout simplement pas tenir indéfiniment. Elle devait sûrement le sentir, si elle y faisait un peu attention. Mais pour le moment, j'étais tout de même capable de continuer pendant un temps certain.

- Tu penses... que j'allais passer mon temps... à simplement gémir? C'est mal me connaître, très chère.

En la sentant faire, je ne pus m'empêcher de couiner de façon très sonore. Mais un couinement plus que positif. Dans cette position, j'alternais coups de reins et ondulations, afin d'amplifier ses propres mouvements. Voilà qui était une très bonne initiative. Je préférais largement les pénétrations anales aux pénétrations vaginales, même si ces dernières ne me dérangeaient pas du tout. Mais après tout, il était normal d'avoir une préférence. Si ce n'était pas le cas, je devrais me poser des questions. Mes gémissements devenaient de plus en plus puissants, jusqu'à même devenir de petits cris. Si elle voulait me faire flancher, j'allais devoir me montrer plus intelligente, et adopter des mouvements de triche pour durer plus longtemps. Mais elle s'en apercevrait très vite, et j'étais persuadée qu'elle agirait de ce fait en conséquence. Mes mains agrippant toujours plus sa poitrine, je faisais en sorte que mes mouvements du bassin soient encore plus puissants, ce qui créait un claquement des plus sonores, ayant même une dimension obscène.

Je faisais ce que je pouvais pour ne pas flancher, tout en allant toujours plus vite. Un véritable dilemme. Mais je ne devais pas montrer le moindre signe de faiblesse, par pure fierté personnelle, même si ma voix partait très haut, à chaque fois que mon bassin claquait contre le sien.

- J'obtiendrais... vengeance... tu le sais ça?

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 20 septembre 2018, 23:09:23 »
- Tu préfères que je t'appelle pauvre conne en permanence? Je peux le faire si tu veux, sauf que je ne le penserais pas une seule seconde.

Je m'allumais donc une clope, en étant totalement avachie sur la banquette. Je pourrais très bien rester comme ça pendant des heures. Il y avait certaines positions, comme cette dernière, tellement confortables qu'on ressentait l'envie de ne plus jamais les quitter, ce qui n'était bien évidemment pas possible. Au bout d'un moment, il fallait bien se lever pour partir, car mine de rien, je n'avais pas très envie de passer ma vie dans une décoration pareille. Ce n'était tout simplement pas possible pour moi. Il y avait une limite dans le manque de goût. Je pouvais très bien passer quelques instants ici sans aucun problème, mais y rester à vie serait tout simplement en dehors de mes forces. Je n'étais pas une experte en décoration, mais je savais très bien que certaines choses ne se mariaient pas avec d'autres, et je partais souvent de ce constat très simple pour faire ma propre décoration.

- J'ai pas pour habitude de continuer à baiser avec quelqu'un qui ne me satisfait pas. Et comme je suis une sorcière, j'ai des besoins à satisfaire. Mais je peux t'assurer que si t'avais été mauvaise, je te l'aurais fait comprendre depuis pas mal de temps. Je suis plus qu'honnête sur ce genre de choses, je ne m'amuses pas à simuler ou autres conneries du genre. Si tu t'y prends mal, je te le dis, point barre.

Je tirais de grandes lattes et faisais des petits ronds de fumée. Je ne savais pas vraiment quoi faire, donc j'acquiesçais sur le fait de rentrer. Car il n'y avait vraiment pas grand chose d'autre à faire autrement. Sur le chemin du retour ceci dit, un poivrot commença à me taper sur le système, mais je fis semblant de ne pas l'entendre pendant quelques instants, le laissant continuer, pour ensuite avoir une raison de faire ce que j'allais faire. C'est au moment même où il se mit à m'insulter de pute que je dégainais mon pistolet, et que je plaquais le canon sur sa gorge, ce qui le fit très rapidement reculer, jusqu'à être coincé contre un mur. Il ne faisait plus vraiment le mariole avec le contact du métal froid contre sa pomme d'adam. Surtout quand il entendit le chien s'armer. Je ne comptais bien évidemment pas lui tirer une balle dans la gorge, simplement lui faire peur pour qu'il comprenne que je n'étais pas du genre à me laisser insulter de la sorte.

- Je ne sais pas si le déchet humain qu'était ta mère t'as inculqué une quelconque once de respect, mais je suis capable de te tuer pour si peu. Et je n'éprouverais pas le moindre remord. Tu veux mourir pour si peu? Alors excuses toi.

Bien évidemment, il ne voulait pas le faire, donc je pressais encore plus le canon sur sa gorge.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 12 septembre 2018, 21:59:59 »
Je n'avais pas la meilleure endurance physique au monde. C'était un fait avéré. Mais, contrairement à certaines futas qui n'avaient pas une très grande endurance, et qui devaient espacer leurs rapports sexuels afin de recharger, ce n'était pas mon cas. Je pouvais très bien, si mon endurance le permettait, enchaîner les rapports avant de tomber à court. Et je savais combien de fois je pouvais m'envoyer en l'air d'affilé avant de tomber en panne sèche. Un nombre assez considérable par rapport à un être humain normal. Toutefois, je savais qu'ici, il ne fallait pas que je m'attende à quelque chose d'habituel. Je n'avais pas pour habitude de copuler avec quelqu'un utilisant des tentacules durant l'acte sexuel, mais je ne trouvais pas cela dérangeant. Cela ajoutait même du piment à mes yeux, ce qui était hautement profitable, non seulement pour moi, mais aussi pour elle. Car il n'y avait rien de plus horrible que la routine.

A la suite du changement du changement de position, je pouvais souffler un petit peu avant de reprendre de plus belle. Et pour le coup, je n'allais pas me priver. Dans cette position, je pouvais enfin donner tout ce que j'avais, sauf si bien sûr elle trouvait un moyen de me faire flancher. Pendant quelques instants, je me retrouvais donc à donner les coups de reins les plus puissants dont je pouvais être capable, ce qui donnait un résultat sonore des plus obscènes, vu avec quelle puissance mon bassin claquait contre le sien. Mais quelque chose changea par la suite. J'avais beau disposer des deux organes génitaux au complet, je préférais largement le sexe anal que les pénétrations vaginales. Et je ne savais pas si elle avait lu dans mes pensées ou non, mais le simple fait qu'elle prenne cette initiative était réconfortante. Et je n'avais pas eu besoin de demander quoi que ce soit.

Ainsi, dans cette position, je commençais à onduler du bassin entre chaque mouvement de vas-et-viens que je faisais. Pour amplifier tout ceci. Elle n'avait pas besoin d'une phrase pour comprendre qu'elle venait de faire le bon choix. Mes gémissements suffisaient, puisque ces derniers étaient bien plus puissants et sonores qu'auparavant. Je me demandais même pourquoi elle n'avait pas eu cette idée plus tôt. Mais je n'avais pas vraiment de quoi me plaindre, puisque j'étais servie. J'avais bien eu un moment pour souffler en changeant de position, mais comme toute l'excitation n'étant pas retombée durant cette courte, très courte période, je ne pouvais que jouir en elle, en poussant un gémissement assez long, et en calmant quelque peu mes mouvements du bassin... Avant de repartir de plus belle, sans demander mon reste. J'allais pouvoir faire ça encore quelques fois avant de tomber raide. Du moins, c'était comme ça que j'étais bâtie physiologiquement.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: dimanche 09 septembre 2018, 16:22:20 »
Je n'avais plus qu'un objectif en tête désormais. Tenir le plus longtemps possible, ce qui allait être un peu difficile étant donné le mal de chien que j'avais à résister à ses assauts. Et quand je pensais qu'elle allait devenir bien plus raisonnable, elle me surprenait encore. Ce qui était, je devais l'avouer, plutôt positif venant d'elle. Car si je commençais à tourner dans une routine au sein d'un même et unique acte sexuel, je n'allais pas m'en sortir. Je détestais par dessus tout la routine. Car je considérais que cette dernière était on ne peut plus toxique et n'était pas du tout propice à l'inspiration et aux nouvelles choses, ce qui, bien entendu, durant un acte sexuel, était fondamental à mes yeux. Je résistais donc, ce qui transparaissait à travers mes gémissements, qui devenaient de plus en plus rauques et espacés, comme pour marquer le fait que je luttais intérieurement pour ne pas flancher trop vite.

Maintenant, des tentacules. Je souriais en coin, car clairement, je ne m'attendais pas vraiment à quelque chose comme ça. Mais ce n'était pas dérangeant, car tout ce qui sortait de l'ordinaire pouvait être intéressant, surtout si bien utilisé. Je n'avais donc pas la moindre objection envers tout ceci. Et même si j'en avais une, je ne l'exprimerais pas, car j'étais très ouverte d'esprit et ouverte à bien des pratiques, bien plus que le commun des mortels. Je me laissais donc totalement faire, en frissonnant bien entendu, alors que mes gémissements étaient encore plus amplifiés. J'avais la vague impression qu'elle voulait littéralement me faire basculer, ce qui était quelque peu transparent dans ses propos, du moins à mes yeux. Je faisais ce que je pouvais pour garder de puissants coups de reins, dans le même rythme à chaque fois. Ce qui n'était pas chose aisée, vu le traitement qu'elle me réservait.

- Oh, je sens que tu es quelqu'un de très créatif et d'inventif. Et j'aime ça.

Je ne pouvais pas mentir à ce sujet. J'avais un état d'esprit très simple. Si je n'aimais pas quelque chose, je mettais fin à cette dernière immédiatement. Mais si je continuais, cela voulait tout dire. Je ne m'amusais pas à simuler ou d'autres conneries de ce genre. J'avais même horreur des personnes s'adonnant à ce genre de pratiques. Ce ne serait donc pas demain la veille que je m'adonnerais à ce genre de choses. J'avais tout de même hâte de voir la suite, alors que je creusais mes reins afin d'avoir une plus grande amplitude dans mes mouvements.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 08 septembre 2018, 20:55:59 »
En la voyant me demander si elle devait me payer un loyer, je ne pus m'empêcher de ricaner ouvertement. Elle ne pouvait pas le savoir, bien évidemment, donc je n'allais pas lui en tenir rigueur. J'étais propriétaire de ma baraque depuis pas mal de temps déjà. Je n'allais pas m'en vanter, ce serait on ne peut plus puérile, surtout envers elle. Vu comment je l'ai ramassé il y a quelques jours, le concept même de propriété foncière devait être quelque chose qui lui passait au dessus de la tête, ou même qu'elle ne connaissait pas. Mais il était vrai que je n'étais pas à plaindre, que ce soit financièrement ou avec la maison que j'avais. Lui tapotant donc doucement la tête, je réfléchissais à une réponse un tant soi peu intelligente à lui donner. Car il était hors de question de commencer à lui dire de la merde sous prétexte qu'elle ne savait pas de quoi elle parlait. Du moins, je voyais les choses comme ça.

- Chaton, ça fait plus de 100 ans que je suis proprio de cette baraque. Ça fait depuis belle lurette que je ne paie plus le moindre loyer dessus. Alors je ne vais pas commencer à te faire raquer alors que je n'ai strictement rien à payer. Je ricanais en lui tapotant doucement la tête. - Ceci dit, si tu tiens à me payer un loyer de cette manière, je ne vais pas commencer à te l'interdire. Bien au contraire, je serais même disposée à te laisser payer autant que tu le voudrais.

Je n'allais tout de même pas lui ordonner d'oublier cette idée, alors que je savais très bien, au fond de moi, qu'elle venait d'avoir une très bonne idée, et que je n'allais clairement pas le regretter. Mais tout dépendait de ce qu'elle entendait par payer. Soit elle évoquait le futur et dans quel cas j'allais devoir attendre, soit elle évoquait l'instant présent, ce qui ne me dérangeait pas le moins du monde, même si pour moi, ce n'était pas l'un des meilleurs choix de lieux pour ceci. Mais je n'allais tout de même pas lui faire la réflexion sur un tel choix. Ceci dit, je ne savais pas vraiment ce qu'elle sous-entendait à l'instant présent. Le moyen le plus simple de savoir serait de pénétrer son esprit, cependant, je n'avais guère envie d'en faire un légume pour les prochaines heures. Donc, j'allais devoir la jouer fine.

- Tu serais pas la première à essayer de me tringler dans ce genre de lieux. Toutefois, bien que ce ne soit pas le meilleur choix de lieux, j'avoue que ça ne me dérangerait absolument pas.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: dimanche 26 août 2018, 23:36:54 »
Je savais très bien qu'elle n'allait pas me laisser tranquille. Mais il s'agissait d'une sorcière. Quelle sorcière, digne de ce nom, laissait tomber sa proie lorsqu'elle pouvait s'en servir? Aucune. J'avais été élevée dans cette optique, même si je n'étais pas une sorcière des plus agressives. Ceci dit, généralement, lorsque je tombais sur un partenaire sexuel qui valait le coup, je ne le laissais pas tomber si facilement. Encore fallait-il tomber sur quelqu'un qui valait le coup. De temps à autre, je tombais parfois sur quelqu'un de profondément incompétent, et lorsque c'était le cas, je ne m'embêtais clairement pas à simuler. La franchise était la meilleure des solutions, même si cette dernière pouvait ne pas faire plaisir. Je détestais mentir aux autres. Pourquoi mentir aux autres si je détestais que l'on me mente? Cela n'avait absolument aucun sens.

Ainsi, je la laissais faire pendant un temps certain. Je savais très bien que je n'allais pas pouvoir gérer plusieurs heures de ce traitement, car au bout d'un moment, il me faudrait faire une pause. Je connaissais certaines sorcières qui pouvaient passer leur temps à faire des galipettes, mais ce n'était pas mon cas. Au bout d'un certain moment, le corps commençait à ne plus suivre, mais fort heureusement, ce n'était pas le cas en ce moment pour moi. Ceci dit, je devenais de plus en plus active par la suite, estimant que cela faisait maintenant bien trop de temps que je ne faisais plus grand chose. Et lorsque je redevenais active, je ne faisais pas semblant. Mes coups de reins devenaient de plus en plus puissants, voire agressifs, mais dans le bon sens du terme. Il était évident que je n'étais pas là pour faire mal, quand bien même certaines personnes adoraient ce genre de pratiques. Même si cette position n'était pas des plus pratiques pour être totalement active, je m'en sortais tout de même pas trop mal, alors que mes mains venaient agripper ses fesses avec fermeté.

- Je ne te promets pas d'avoir la plus grande endurance du monde, mais je pense que tu n'auras pas de quoi te plaindre.

Je savais très bien que je n'allais pas durer la nuit, mais ce n'était pas un incident diplomatique si cela se produisait. Mes mouvements du bassin se faisaient encore de plus en plus puissants, ce qui me tirait de profonds gémissements. Ceci avait pour effet d'amplifier ma prise sur son popotin, sans que je m'en rende compte. Par moments, je faisais des choses sans même m'en rendre compte. Et lorsque l'on me disait que j'avais agi de la sorte, par la suite, je n'y croyais pas vraiment. Je faisais ce que je pouvais, dans la position dans laquelle je me trouvais. Et je m'en sortais plutôt bien, à vrai dire. J'avais encore quelques idées en tête, que j'espérais pouvoir accomplir par la suite.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: dimanche 26 août 2018, 22:31:18 »
Je souriais. A mon sens, elle suivait la voie de la raison. Elle aurait très bien pu me dire d'aller me faire foutre, ce que j'aurais pu comprendre, mais non. Et si elle faisait du bon boulot, elle n'allait pas le regretter. Je n'étais pas du genre à laisser de côté ceux qui bossaient bien pour moi. Mes hommes les plus méritants s'en sortaient même très bien. J'avais pour habitude d'ajouter à leur salaire des primes de mérite. Tout cela pour les motiver à faire de mon unité l'une des meilleures qui existe. Et ils savaient comment me remercier après. Plus je les récompensais, mieux ils travaillaient par la suite. Un cercle vertueux où tout le monde était gagnant. En l'entendant me demander si je pouvais lui avancer de la thune, je ricanais, avant de me redresser. J'étais persuadée qu'elle allait me faire ce coup-là, et je ne m'étais pas trompé. De toute manière, cela ne me dérangeait pas du tout.

- J'veux bien faire ça. Mais bon va falloir que tu me rembourses à un moment donné. Et vu ce que t'as été capable de faire, je pense te demander une petite compensation... Pas du tout financière.

Je ricanais encore plus. Elle devait sûrement savoir de quoi je voulais parler. Et mine de rien, j'étais assez fière de moi pour le coup. Je n'allais tout de même pas lui demander de me rembourser de manière financière pour si peu. Cela n'était clairement ni poli ni fair play, et de toute évidence, je détestais demander de l'argent aux autres. Surtout, j'avais un train de vie bien supérieur au sien, donc je pouvais me permettre ce genre de choses, après tout. En y repensant, j'allais sûrement devoir faire ce genre de choses pendant un certain temps, mais cela ne me dérangeait pas plus que ça. J'allais donc payer ce que nous venions de manger, avant de revenir vers elle, me vautrant une nouvelle fois dans la banquette. J'allais aussi devoir la garder chez moi pendant quelques temps, mais si je ne voulais pas, je n'allais en aucun cas le lui proposer. Je ne proposais jamais de choses que je ne voulais pas, au fond.

- Dans ce cas, je vais te garder un peu chez moi, histoire que tu gagnes suffisamment de thunes pour t'établir quelque part. T'en fais pas, je serais pas trop chiante.

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