Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Pink Widow

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: lundi 22 octobre 2018, 07:47:50 »
La douce et exquise voie de la corruption était toujours plus facile à franchir quand on y mettait une dose de sexe. Il semblait toutefois assez peu probable qu’Ana trahisse Overwatch pour Talon juste en s’envoyant en l’air avec Amélie. Dès lors, il était donc permis de se demander ce qu’Amélie faisait. À quoi jouait-elle avec cette femme ? Il aurait été insultant envers Amélie, toutefois, de croire qu’elle agissait sans but, qu’elle ne poursuivait pas une stratégie bien établie. Mais ça, Ana le découvrirait en temps voulu. Pour l’heure, Amélie nota surtout l’incapacité dans laquelle Ana se trouvait à pouvoir communiquer. Pas de « Maîtresse », mais une soumission implicite, et visible, puisque, agenouillée devant Amélie, Ana posa ses lèvres sur la combinaison d’Amélie, et tira doucement dessus. Widowmaker soupira brièvement, car la combinaison se colla contre elle, crissant doucement contre ses fesses, avant de commencer à descendre.

Quand la combinaison dépassa son bassin, la gravité fit le reste, car, en voyant son bassin, Ana s’arrêta sur place. Nue, elle exhibait son corps parfait, voluptueux et divinement proportionné. Ses lèvres intimes étaient imberbes. Amélie avait depuis longtemps choisi un traitement au laser pour se débarrasser de ses poils pubiens. Sa belle peau grisâtre était magnifique à voir, et, en outre, elle arborait sous son nombril un curieux symbole, un tatouage noir en forme de « W », pour Widowmaker.

Le regard d’Ana en la voyant se passait de commentaires. Amélie la laissa alors se rapprocher, et la jeune femme déposa un baiser sur son sexe, puis commença à s’y frotter, avant d’attraper délicatement l’une des mains de sa ravisseuse, pour la poser sur sa tête. Amélie laissa passer quelques secondes, comme si elle s’accordait le temps de la réflexion... Puis ses doigts se saisirent brusquement de la chevelure d’Ana, et elle l’empoigna fortement.

« Il existe un terme scientifique pour ce que tu ressens, Ana... Le syndrome de Stockholm, quand des otages se prennent de sympathie pour leurs ravisseurs. Mais, chez toi, je crois qu’il y a aussi un syndrome différent... Celui d’une frustration longtemps refoulée. Toi, Ana Amari, l’un des agents de proue d’Overwatch, une femme qui passe sa vie à faire des exercices et à travailler à son bureau... Tu n’es rien de plus qu’une grosse salope frustrée ! »

Elle serra encore les cheveux d’Ana, mais, surtout, écarta son visage de son sexe de quelques centimètres. Mine de rien, et malgré son corps svelte, Amélie avait une poigne imparable, ce dont Ana pouvait avoir une bonne illustration en ce moment. Tirant donc sur ses cheveux, Amélie sourit encore, malicieusement, et reprit :

« Tu veux lécher mon sexe, hein ? Fourrer ta langue dans ma foufoune ? Je n’y vois aucun problème... Mais je veux que tu me supplies de le faire. »

Ana pensait-elle que les choses auraient été aussi faciles ? Amélie pouvait se montrer également très perverse quand elle le voulait !

« Je veux que tu le dises, Ana... Que tu es une salope, et que tu supplies ta Maîtresse de pouvoir la lécher ! »

Et, si elle ne le faisait pas... Amélie aurait un prétexte parfait pour la frustrer, pour la punir, et ainsi pouvoir progressivement la rendre folle de désir !

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: lundi 08 octobre 2018, 21:16:10 »
Amélie esquissa un léger sourire devant l’émoi d’Ana. Elle était confuse, n’arrivant pas à admettre clairement qu’elle ressentait du désir pour elle. Elle... Une traîtresse ! L’ancienne femme de Gérard Lacroix, une tueuse qui avait trahi Overwatch, et qui travaillait maintenant pour Talon. La belle Ana était toute confuse, sur le point de basculer. Et, malheureusement pour elle, Amélie était encore très loin d’en avoir fini avec elle. Elle la provoquait donc, et, quand elle glissa qu’elles allaient faire l’amour, Amélie sentit Ana soupirer, encore plus confuse. Elle ne parvint qu’à susurrer faiblement son nom, et parla surtout avec son corps. Widowmaker soupira en effet, et sourit même, quand elle sentit les mains fébriles de la militaire se poser sur ses hanches, faisant crisser sa combinaison, avant de descendre palper son fessier.

« Hmmm... Voilà qui est bien, ma chérie. »

La Française esquissa un nouveau sourire malicieux, et déposa un nouveau baiser sur les lèvres d’Ana. Le corps délicieusement nu de la soldate se pressa contre le sien, et elle donna quelques coups de bassin, pour le simple plaisir de sentir sa combinaison claquer contre son corps. De délicieux et onctueux crissements, avant que les mains d’Ana, prenant un peu d’assurance, ne remontent. Elle palpa sa combinaison, faisant sourire la jeune espionne, qui sentit les mains d’Ana se poser finalement au-dessus de ses seins, caressant les rebords de sa combinaison, avant de tirer doucement dessus.

Voilà ! Ana passait aux choses sérieuses, et Amélie frémit en sentant sa combinaison caresser ses tétons pendant quelques secondes, avant que le haut de sa combinaison ne tombe. Celle-ci était bien pensée, et, délaissant le magnifique cul d’Ana, la femme à la combinaison rose replia sa tenue à hauteur de son bassin. À moitié nue, elle sourit à son amante, et l’embrassa une nouvelle fois, avant qu’Ana, silencieuse, ne se mette à genoux devant elle.

« Oh, ma beauté, tu es... Tu es si merveilleuse ! »

Plus Amélie employait le français, et plus elle était excitée. C’était un signe distinctif, un élément qui la trahissait. Ana se retrouva devant son sexe, encore recouvert par sa combinaison, et commença à la lécher... Ou, plutôt, déposa un simple baiser dessus. La main gantée d’Amélie caressa alors tendrement et fermement le visage d’Ana, empoignant ses cheveux, remuant cette longue masse chevelue. Elle réfléchissait à la suite, à ce qu’elle allait lui faire subir... Ce n’était pas les idées qui manquaient, mais Amélie devait surtout les ordonner.

Devant elle, Ana s’inclinait sagement, en position de soumise, et Amélie s’écarta un peu.

« Bon, puisque tu as envie d’utiliser ta belle petite bouche... Tu vas utiliser tes dents pour enlever le reste de ma combinaison. Et... Au fait, ne m’appelle plus Amélie. »

Elle lui caressa encore un peu le visage, avant de l’achever :

« Maintenant, ce sera Maîtresse pour toi. »

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: vendredi 17 août 2018, 12:50:25 »
Visiblement, renoncer à son ancienne identité, passer d’Amélie Lacroix à Widowmaker,  avait réveillé chez la jeune femme d’impressionnantes pulsions sexuelles, comme en témoignait le contenu de son armure murale. Amélie disposait certes d’une armurerie impressionnante, comprenant un grand nombre de pistolets et d’armes à feu, mais elle avait aussi cette partie privée, ce placard sombre abritant des trésors tout aussi intimes, si ce n’est plus. Face à cela, Ana marchait sr la corde raide. Comment ramener  Widowmaker dans le droit chemin ? Mais, au-delà de ça, comment croire qu’il pouvait encore y avoir la moindre chance ? Amélie avait massacré sa propre famille, elle avait tué son mari, certes sous conditionnement, mais sans aucun remords. S’il y avait bien une personne qui risquait d’y laisser des plumes, en s’accrochant encore au vain espoir de réveiller la fausse personnalité d’Amélie, c’était bien Ana Amari. En l’état, Widowmaker voyait une proie de premier ordre, car Ana était une femme influente au sein d’Overwatch, un outil indispensable pour Talon.

*Tout ce qu’il me reste est de la séduire… Ce qui est déjà bien parti.*
 
En voyant la collection de sex toys, Ana se mit benoîtement à rougir, un geste qui, bien évidemment, n’échappa nullement à Widowmaker. La femme se redressa, et laissa Ana caresser ses hanches, l’embrassant en retour. L’une des mains d’Amélie se posa sur ses cheveux, s’appuyant fermement dessus, tandis que l’autre alla caresser le creux des reins de la femme, sentant sa douce peau musclée, tendre et agréable. Sa main glissa doucement sur cette peau chaude, car, contrairement à Ana, qui avait encore du mal à avouer ses penchants, ce n’était pas le cas d’Amélie. Sa main descendit ainsi, et elle l’appuya sur le fessier de la femme, serrant entre ses doigts la masse moelleuse qui s’y trouvait.
 
Une bonne chair rebondie, ce qui ne manqua pas d’arracher à Widowmaker un onctueux frisson, tandis qu’elle poursuivit le baiser, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, jouant avec elle. Ana gémissait, sans oser parler, tout son corps parlant pour elle. Ses tétons durcis, le frémissement de son corps, sa chaleur corporelle, ses lèvres se collant fermement contre les siennes… Elle lui offrit ainsi un long baiser, qu’elle rompit ensuite, un sourire malicieux sur le coin des lèvres :
 
« C’est bon, hein ? Et encore, ma chérie, ce n’est là que le début… »
 
Que le début… Amélie comptait bien la séduire, et elle pinça le cul de la femme.
 
« Je vais m’occuper de toi toute la nuit, Ana… Qui sait ? Peut-être que, fondamentalement, j’ai toujours été secrètement et profondément attirée par toi. Tu as beau ne pas parler, ton corps, lui, répond à ta place… »
 
Elle se pencha à nouveau contre elle, et l’embrassa sur la joue, avant de murmurer malicieusement dans le creux de son oreille :
 
« Tu as envie que je te baise furieusement, ma belle Ana… »
 
Qu’elle le nie était, en réalité, encore plus drôle !

4
Quand on luttait contre une Widow, il fallait s’attendre à ce que ce moment arrive, celui où on finirait engluée dans sa toile. Et la toile d’Amélie était des plus agréables, mais aussi de celle dont on ne pouvait pas se défaire facilement. Et Ana était piégée dedans, totalement coincée. Elle venait de jouir contre Amélie, et, pour elle, ce n’était que le début du « calvaire ». Amélie approcha ses doigts imbibés de mouille de la jeune femme, qui se mit à les lécher copieusement, sa belle langue remuant dessus. Ana avait perdu tout son contrôle, et s’offrait désormais pleinement à sa ravisseuse. Souriant malicieusement, Amélie la laissa faire, jusqu’à sentir la bouche d’Ana se crisper sur son majeur, venant le sucer langoureusement, mais aussi avec appétit.

Amélie en gloussa doucement, et caressa avec sa main la joue de la femme :

« Voilà qui ne me surprend nullement, ma chérie. Tu préfères les femmes aux hommes, et, quand on voit le beau corps que tu as, tu dois être terriblement frustrée. Ma pauvre... Tu as de la chance que Widowmaker soit là pour veiller sur toi. »

Elle parlait d’une voix suave, chaude, sensuelle. Impossible de lutter contre ça, contre sa présence, contre son influence... Ana succombait doucement, et Amélie appuya encore sur elle. La femme décida ensuite de prendre un risque. Elle retira son doigt de la bouche d’Ana, et la libéra, tout en se relevant. Débarrassée de ses liens, Ana tomba au sol. Elle ne portait plus que ses sous-vêtements, et, tandis qu’Ana reprenait ses esprits, Amélie appuya sur un bouton mural, ouvrant une porte donnant sur un couloir, qui lui-même donnait à une chambre.

Amélie se retourna ensuite vers Ana, lui souriant, toujours aussi belle dans sa magnifique combinaison violette. Cette dernière moulait ses formes à la perfection.

« Je ne vais pas pouvoir soulager ta soif ici, Ana... Ma chambre nous attend. Viens, mon petit chat. »

Bien sûr, Ana pouvait aussi choisir de faire la rebelle, de chercher une échappatoire, ou de se battre. S’il y avait bien d’autres portes dans cette salle centrale, elles étaient hermétiquement closes. La seule option était donc d’affronter Amélie... Ce qui serait très difficile, vu sa tenue. Amélie, elle, se dirigea vers sa chambre, une superbe pièce avec un grand lit, et ouvrit un meuble, libérant plusieurs sex toys, dont une ceinture équipée de vibromasseurs internes et d’un gros gode externe.

Mais, pour ça, encore fallait-il qu’Ana accepte d’elle-même de lui faire l’amour... Sinon, Amélie devrait la neutraliser, et la violerait ensuite !

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: mercredi 02 mai 2018, 08:56:55 »
Amélie était clairement en train de prendre son pied. Elle plaçait Ana dans un dilemme moral insoluble, entre son sens du devoir, le respect historique qu’elle avait pour son défunt mari, Gérard Lacroix, et cet amour lancinant pour elle, la Pink Widow... La voir lutter était un grand plaisir, et Amélie n’avait même pas besoin de la voir pour savoir que le visage d’Ana devait irradier de ce conflit intérieur. Le plaisir montait en elle, comme une vague irrépressible, et, malheureusement pour Ana, Amélie était terriblement douée de sa langue. Quand elle avait adopté sa fausse personnalité, elle avait aussi dû renier une partie de son identité sexuelle, ce que Talon savait, et avait utilisé au mieux. En changeant son orientation sexuelle, il avait été plus facile de permettre à la fausse Amélie d’émerger. D’un autre côté, sa bisexualité n’avait jamais totalement disparu, et, une fois sa véritable personnalité retrouvée, elle avait enfin pu soulager cette frustration, en couchant avec quantité de femmes.

« Ton sexe est vraiment délicieux, ma belle... J’adore te lécher. »

Elle sentait la mouille d’Ana le long de sa langue, et retournait la titiller. Elle alternait entre sa langue et ses doigts, les enfouissant en elle, et titillait son bouton de plaisir, que ce soit avec son organe lingual, ou avec ses élégants doigts, qu’elle pressait régulièrement. Maintenue par les tentacules métalliques, Ana était en train de partir ailleurs, dans une véritable transe. Amélie s’y attaquait donc, et les minutes passèrent, le silence étant rompu par les soupirs d’Ana, ainsi que par les bruits de succion d’Amélie. Elle léchait son sexe, elle le suçait, s’attaquant à son clitoris, encore et encore, tout en léchant ses cuisses, afin d’avaler sa mouille. Elle aimait beaucoup ce liquide séminal, son goût sur ses lèvres. Oh ! Indéniablement, les deux avaient longuement eu envie de se faire l’amour sans se l’avouer. Ana, parce qu’elle respectait trop Gérard, et Amélie, parce que ses pulsions sexuelles avaient été refoulées. Mais, maintenant, il n’y avait plus personne pour les diriger, pour leur dire quoi faire.

Ana finit par gémir, annonçant qu’elle approchait du point de rupture. Loin de s’arrêter, Amélie continua donc, et finit par se redresser. Elle voulait être aux premières loges pour l’orgasme d’Ana, et enfonça deux doigts dans son vagin. Elle la doigta énergiquement, pressant son bouton de plaisir, et les tentacules retenant Ana se retirèrent brusquement. La jeune femme tomba à même le sol, sans liens, mais, très rapidement, Amélie s’affaissa sur elle, et retourna la doigter, tout en observant son visage au plus près. Un sourire malicieux, elle attendait de la voir jouir sous son nez, et l’embrassa encore.

« Jouis, ma belle, allez... Je veux te voir jouir, Ana ! »

Elle continua à la doigter, encore et encore... La jeune femme ne pouvait plus lutter, surtout qu’Amélie s’amusait à frotter son corps contre le sien, faisant ainsi crisser sa combinaison. Ana respirait son odeur, voyait son visage observant le sien, tout ça... Et Amélie la sentit finalement jouir contre ses doigts. Elle sourit donc, et laissa ses doigts s’asperger de sa mouille. Un très bel orgasme, qui s’affirma dans un magnifique hurlement de plaisir, un cri de jouissance délectable qui amena Amélie à sourire malicieusement.

« Voilà, ma chérie, lâcha-t-elle en français. Regarde... »

Amélie remonta ses doigts gantés. Ils étaient maculés de mouille, et elle les approcha des lèvres d’Ana.

« Lèche-les, mon cœur. »

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: jeudi 15 février 2018, 22:15:03 »
Joueuse, Amélie semblait offrir à Ana une sorte de dernière étincelle, comme la cigarette qu’on offrait à un condamné. Mais, en réalité, elle fut assez surprise de voir Ana accepter docilement la situation, tout en demandant à Amélie de la baiser. Qu’est-ce que cela signifiait ? Amélie sourit, en se disant que la jeune femme espérait peut-être la radoucir, réveiller en elle cette Amélie qu’elle avait jadis côtoyé. Une doucereuse illusion, en réalité, mais, dans tous les cas, Amélie était bien décidée à passer aux actes. Ses mains caressèrent donc encore les cuisses de la belle femme à la peau basanée, glissant sur sa son corps, approchant ses mains de son aine. Insistant encore, Ana demanda alors carrément à se faire violer.

Les sourcils d’Amélie s’écarquillèrent légèrement, et elle sourit encore.

« Ne t’inquiètes pas, ma chérie, je vais te baiser bien comme il faut... »

Fléchissant les genoux, faisant au passage crisser sa combinaison, Amélie approcha ses lèvres du sexe de la femme, et glissa sa langue contre ses lèvres intimes, avant de partir à l’assaut. Un élan de douceur, de plaisir saphique, pendant que sa langue se faufilait, rapidement rejointe par ses doigts. En redevenant Pink Widow, Amélie avait réalisé que, tout en aimant les hommes, elle aimait encore plus les femmes, le plaisir saphique, les corps féminins, les soupirs et les courbes du beau sexe... Tout ça offrait des sensations infiniment plus agréables que de simplement coucher avec des hommes. Oh, bien sûr, et Ana allait en avoir la démonstration, Amélie aimait aussi beaucoup la brutalité qui accompagnait les rapports hétérosexuels, mais, pour l’heure, elle se satisfaisait pleinement de la féminité d’Ana, qu’elle titillait avec plaisir.

Tout en faisant cela, Amélie continuait à agir, sentant le plaisir monter doucement en elle. Elle sentait effectivement la résistance d’Ana s’effondrer, sa langue et ses doigts se recouvrant d’un léger liquide translucide, qui fila le long de sa gorge. Elle continua à la titiller, plus fortement, sa langue et ses doigts trouvant rapidement la zone sensible, le bouton de plaisir, sur lequel elle appuya, déclenchant alors une série de frissons sur tout le corps d’Ana. Immobilisée par les tentacules, la jeune femme ne pouvait que suivre, en sentant, petit à petit, le plaisir venir. Prenant tout son temps, Pink Widow continuait à la savourer, caressant encore sa peau, tout autour de son sexe.

« Allez... Laisse-toi faire, ma belle... »

Puis Amélie recommença, savourant sa féminité, encore et encore, sa langue joueuse se faufilant dans le corps de la femme, continuant à lui prodiguer un bien fou...

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Les contrées du Chaos / Re : Siren's Beach [Lyli]
« le: mercredi 03 janvier 2018, 02:47:37 »
Amélie n’était pas en position très avantageuse. Elle n’était pas dans un élément naturel pour elle, face à des sirènes qui semblaient aussi voluptueuses que cruelles. Nanami, par exemple, qui semblait être la sirène la plus douce, était sûrement la plus cruelle. Dans sa tête, Amélie se rappelait encore les légendes circulant sur les sirènes. S’il en existait qui étaient pacifiques et agréables, d’autres, en revanche, étaient dignes des légendes grecques. Elles chantaient et usaient de leurs charmes pour attirer les marins, et les noyer ensuite. Et, visiblement, Amélie était plutôt tombée sur cette partie-ci. Leur chef lui dit tout simplement « au revoir », la condamnant à une mort certaine sans aucune hésitation. Les yeux de la femme s’écarquillèrent, puis elle sentit la queue de Nanami s’enrouler autour d’elle, et la faire couler par le fond. Des bulles d’air s’échappèrent de ses lèvres, mais Pink Widow se refusa à laisser la panique s’instaurer en elle. En réalité, elle faisait preuve d’un impressionnant sang-froid, qui n’était rendu possible que par son entraînement intensif au sein de la Red Room.

La femme plongeait donc par le fond, voyant le regard malicieux et pervers de Nanami devant elle. En réalité, Amélie en venait à songer à sa contre-attaque. Ses bras étaient encore libres de ses mouvements, et elle n’avait qu’à les tendre pour saisir la gorge de la femme, et lui briser le cou. Si ces femmes voulaient la guerre, elles allaient être servies ! La tueuse y songeait déjà lorsqu’une autre sirène s’approcha, et la perturba, en repoussant Nanami. Le reste fut ensuite un peu confus, car les deux sirènes qu’elle avait perçus arrivèrent, et se disputèrent entre eux. Visiblement, la brunette n’avait pas envie qu’on tue Amélie, ce qui sembla amuser la sirène à la peau basanée, qui comprit alors que la sirène voulait une amante.

*Essayons de la jouer finement, je ne pourrais pas combattre trois sirènes en même temps…*

La brunette avait été la première à l’embrasser, un baiser un peu particulier, puisqu’elle diffusa de l’oxygène dans ses poumons. Les sirènes pouvaient donc stocker de l’oxygène en elles ?! C’était une information de premier ordre, qui montrait bien qu’elles pouvaient se montrer dangereuses. Voyant cela, la basanée réagit, et opta pour un véritable baiser, plus sensuel, langoureux, et qui ne manqua pas de stimuler un peu Amélie. Dire que, il y a encore quelques minutes, cette sirène l’avait condamné à mort… Et, maintenant, elle lui roulait une pelle !

*Des folles furieuses… Ou, plutôt, totalement amorales. Je ne dois pas oublier ça.*

Amélie naviguait en eaux troubles. Elle, elle était plutôt habituée à avoir un fusil à lunette, à faire feu à distance, à espionner… Mais, somme toute, malgré les apparences, cette mission consistait à s’infiltrer, et à récolter des informations. Elle était en territoire particulièrement hostile, avec un arsenal très réduit, et neuf chances sur dix de mourir noyée…

La routine, quoi.

Sa vie était désormais tenue entre les doigts de Lyli. La petite sirène s’approcha d’elle, et lui mordilla le creux du cou, tout en lui chuchotant qu’elle allait l’aider à sortir d’ici. Il fallait encore croire à son honnêteté, mais, du peu qu’Amélie avait vu de ces sirènes, elle ne doutait nullement de leur honnêteté. Après tout, la sirène à la peau basanée avait annoncé sans aucune hésitation qu’elle allait la tuer. Amélie réfléchit donc rapidement, et croisa le regard de Lyli. Elle ne pouvait pas parler du fait de sa position, mais réagit autrement.

La main de la femme se posa sur les cheveux de la femme, et elle alla alors l’embrasser, pressant son corps contre le sien. Un message clair, des intentions avouées et sans équivoque. Sa langue fila dans la bouche de la femme, et, avec son autre main, elle caressa le bas du dos de la femme, descendant encore un peu plus, jusqu’à pouvoir caresser le rebord de ses fesses. Lyli était étrangement la seule sirène dénuée de queue caudale, ce qui ne la rendait pas moins agréable. Peut-être était-ce là la raison de sa gentillesse ?

Amélie serait en tout cas rapidement fixée…

8
Les contrées du Chaos / Re : Siren's Beach [Lyli]
« le: mercredi 27 décembre 2017, 07:52:27 »
À la réflexion, le plan d’Amélie n’était pas le plus sûr. Se jeter nue dans la gueule du loup... Elle savait la réputation des sirènes, qu’on disait anthropophages. Cependant, l’autre plan aurait été encore plus vain. Ce lagon était bien trop isolé pour que les sirènes ne la remarquent pas, et, si elle avait sorti son fusil à lunettes sur la jetée, nul doute que les sirènes auraient compris d’emblée qu’elle n’était pas animée de bonnes intentions. Amélie avait donc dû opter pour une autre stratégie, et nageait en ce sens. Consciente qu’elle prenait des risques, elle se risquait quand même vers le lagon.

Alors qu’elle se rapprochait du rivage, l’attaque vint de manière presque totalement inattendue. Amélie sentit un déplacement d’eau, et, le temps de tourner la tête, sentit quelque chose la heurter sur le flanc. Elle se retrouva la tête dans l’eau, et la secoua, désorientée, avant de sentir une queue la frapper au visage, la plongeant davantage dans l’eau. Fort heureusement, lors de ses années de formation au sein de la Red Room, elle avait fait de nombreuses leçons d’apnée, apprenant ainsi à maintenir sa respiration sous l’eau pendant plusieurs minutes. Mais là, la différence, c’est qu’elle devait se battre dans l’eau, zone où elle n’avait aucun contrôle sur son corps, ou presque.

Rouvrant les yeux, elle vit une sirène se rapprocher, avec une longue queue bleue, et une lueur déterminée sur le regard. Le pied d’Amélie la frappa au visage, et la femme se retourna, cherchant à s’éloigner. Rapide, la sirène la poursuivit encore, et frappa son ventre avec sa queue. Amélie posa ses mains devant elle, retenant ainsi très légèrement cette queue caudale, mais les écailles glissèrent entre ses doigts, de sorte que la sirène put la frapper à nouveau, cette fois au visage. Amélie lâcha des bulles d’air en sentant la douleur se répandre dans son corps.

*Merde, je dois rejoindre le rivage, c’est la seule solution !*

La sirène continuait à l’affronter, à la harceler, lorsqu’Amélie sentit une autre sirène, à la peau bronzée, se rapprocher... Et sa présence sembla calmer l’autre, qui relâcha la pression sur le corps d’Amélie. Pink Widow remonta alors à la surface, et aspira de l’air, en voyant la sirène remonter à son tour. Elle avait ordonné à Nanami, l’autre sirène, de se calmer, tout en se tenant devant Amélie, et en lui expliquant qu’elle était prête à la noyer, mais qu’une autre sirène avait su l’en dissuader. Amélie tourna sa tête vers la sirène en question, une belle femme aux formes langoureuses, et avec des cheveux coupés courts.

Amélie frémit alors en sentant la sirène à la peau bronzée se rapprocher, sa queue caudale s’enroulant autour d’elle.

« Je... Je m’appelle Amélie, répondit alors l’intéressée. Je viens de Tekhos, où j’ai appris qu’il existerait un lagon magique, peuplé de sirènes... »

Elle soupira alors, et rajouta, en posant ses mains sur les épaules de la sirène qui s’était rapprochée d’elle.

« J’ai toujours eu envie de rencontrer des sirènes, c’est tout... Et on dit aussi que ce lagon abrite un trésor, que les sirènes protègent. Je voulais voir ce qu’il en était... Mais, à la réflexion, j’aurais peut-être dû m’abstenir. Je... Je ne vous veux pas de mal, et suis prête à retourner chez moi si vous le souhaitez. »

N’étant pas en position de force, Amélie préférait louvoyer, et ainsi pouvoir mieux se sortir de cette situation délicate...

9
Les contrées du Chaos / Siren's Beach [Lyli]
« le: lundi 25 décembre 2017, 16:26:47 »
Le Cheetah s’arrêta lentement au large, et Amélie, dans sa fine tenue d’été, se rapprocha du bastingage. Elle releva ses lunettes de soleil, et attrapa ses jumelles, observant au loin le superbe lagon. Un endroit paradisiaque, situé au large de Tekhos, en pleine mer. Un endroit très difficile d’accès pour les Nexusiens, même si on voyait parfois quelques voiliers. L’ensemble formait un étonnant contraste avec le bateau de plaisance de luxe qu’Amélie avait loué à une station balnéaire tekhane, Costa Del Sol. Elle continua à observer le lagon abandonné. Une première couche de terre entourait l’île, qui se décomposait ensuite en une série de criques et de baies s’articulant autour d’une grande montagne verte. Aucun signe de civilisation. Elle-même avait bien failli se noyer en arrivant ici, l’écosystème étant étrangement perturbé à proximité, avec des tempêtes, des maelströms, des tornades aquatiques...

Amélie n’était pas fâchée d’avoir réussi à traverser la tempête, suivant ainsi sa balise. Si elle était ici, ce n’était pas tant pour jouer la touriste tekhane en quête de sensations fortes que parce que Talon l’avait envoyé sur une mission très importante. Et Pink Widow comptait bien obéir. Sa mission, en l’occurrence, était de récupérer une sirène. Elle ignorait ce que Talon voulait en faire, mais elle soupçonnait fortement des expériences amphibies liées aux écailles de sirènes. Amélie avait réussi à retrouver une sirène, et lui avait mis un traceur sur le corps, traceur qui lui avait permis de remonter jusqu’à ce lagon reculé.

*Avec un peu de chance, c’est ici que les sirènes se réfugient...*

Que ce soit ou non, Amélie marquerait au moins des points. Elle se prépara donc, et enfila son maillot de bains, avec son casque de visée, puis bondit sur la terre ferme, et nagea ensuite, s’immergeant dans l’eau. L’inconvénient, c’est qu’elle avait dû se séparer de son fusil de combat, mais il lui restait encore la plus redoutable de ses armes pour retrouver la petite sirène...

...Son corps !

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: lundi 04 décembre 2017, 07:49:18 »
Amélie avait beau jouer avec Ana, s’attaquer à ses seins, et tenter de la stimuler, elle n’en était pas totalement inconsciente non plus. Pink Widow savait très bien que sa proie n’attendait qu’une ouverture pour se retourner contre elle, qu’une seule occasion pour la renverser, et prendre le contrôle. Ana Amari était un officier d’Overwatch, et Amélie n’allait prendre aucun risque. Elle profitait du corps de sa proie, mais sans rien faire qui puisse amener Ana à se libérer, et à retourner la situation à son avantage. Amélie était, après tout, autant une professionnelle que l’était Ana. Et, tout en jouant avec son corps, Amélie jubilait en sentant que la femme était en train de céder. Physiquement parlant, son corps ne pouvait pas lutter contre les stimuli qu’Amélie faisait.

La femme à la combinaison moulante violette en profitait donc, retournant, encore et encore, embrasser ses seins. Ana essayait de lui parler, et Amélie sourit, se désintéressant de ses seins, pour l’embrasser dans le creux du cou. Ses mains s’attaquèrent ensuite à ses seins, les malaxant, pinçant les tétons. Elle sentait la pointe durcir, le corps d’Ana frissonnant et réagissant positivement au désir qu’elle ressentait.

« Quoi ? Tu préférerais que je te tue directement, Ana, c’est ça ? »

Elle lécha tendrement la joue.

« Tu n’es rien pour Talon, tu sais. Mes supérieurs ne m’ont pas ordonné de te capturer, ni de t’interroger. Tout ce que je fais, là, je le fais pour moi seule. Tu vois... Tu as beau te persuader que je suis une esclave, c’est la vraie moiqui se tient en face de toi. Amélie Lacroix a toujours été une couverture, un mensonge. Je sais que tu es encore persuadée du contraire, mais tu es bien placée pour connaître les techniques de formation et de conditionnement de la Red Room, non ? »

Un conditionnement si parfait que même les propres élèves issus de la Red Room avaient oublié d’où ils venaient. Amélie, comme les autres filles résultant de ce programme, avaient subi un lavage de cerveau les amenant à croire qu’elles étaient toutes issues d’un orphelinat formant des ballerines pour le Théâtre Bolchoï de Moscou. Pour autant, Amélie était bien disposée à faire la conversation avec Ana. Ses mains s’approchèrent de la culotte de la femme, et elle la déchira tout en lui répondant :

« Je suis comme toi... J’ai eu envie de toi dès le début, je dirais, mais sans avoir conscience... Jusqu’à ce qu’on se rencontre toutes les deux là-haut. Quand je t’ai battu, et que tu te tenais à terre devant moi, je me suis dit que... Ce serait dommage de te tuer, sans en profiter un peu. Je n’ai aucun espoir de te changer, Ana, mais... Au moins, avant de te tuer, je t’offrirai plusieurs heures de pur bonheur, alors, si j’étais toi, j’en profiterai... »

Au moins, Ana était fixée sur son sort. Amélie comptait bel et bien la tuer après l’avoir longuement violé... Même si elle n’était pas sûre que le terme « viol » soit bien adapté à la situation. En tout cas, elle joua de ses tentacules, et les jambes d’Ana se redressèrent, tout en s’écartant l’une de l’autre, facilitant l’accès à son intimité. Remuant son corps d’avant en arrière, Amélie tapait dessus, esquissant un nouveau sourire mielleux.

« Je vais tellement adorer te baiser de partout, ma chérie... » conclut Amélie.

C’était la promesse d’une séance particulièrement intense qui s’annonçait...

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: lundi 13 novembre 2017, 07:33:38 »
Amélie ne manqua pas de glousser en entendant Ana lui dire de ne plus parler de Gérard. Elle frotta son nez contre le creux de son cou, et l’embrassa à nouveau sur la joue, faisant preuve d’une incroyable affection. Un changement assez inattendu par rapport à ce qui venait de se passer, mais qui illustrait l’objectif profond d’Amélie : torturer, mentalement parlant, la belle Ana. En fait, et pour être honnête, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle allait faire avec elle. Elle n’avait reçu aucune instruction concernant Ana Amari, et n’avait d’ailleurs pas encore informé Talon de sa capture. Normalement, la procédure usuelle aurait été de prévenir ses supérieurs, qui lui auraient alors ordonné de leur amener Ana. Widowmaker n’était pas une interrogatrice, ce n’était pas à elle qu’il revenait d’interroger ou de torturer Ana. Nul doute que Talon aurait eu un grand intérêt à pouvoir interroger une femme aussi influente au sein de l’organisation. Alors, pourquoi n’avait-elle pas livré Ana ? Et pourquoi ne l’avait-elle pas tout simplement tué à l’île de San Giorgio ? Les questions se bousculaient dans sa tête, mais elle ne les montrait évidemment pas, préférant continuer à s’amuser avec cette femme, à palper son délicieux corps, et à l’embrasser.

D’ailleurs, Amélie retourna poser ses lèvres sur les siennes, et déplaça l’une de ses mains, venant serrer entre ses doigts le bonnet du soutien-gorge de la capitaine. Elle tira légèrement dessus, et massa ensuite le sein à travers ce bonnet, en sentant la fermeté et la rondeur.

« Tes costumes ne font pas honneur à ta belle poitrine, Ana... Et puis, c’est toi qui as parlé de Gérard. Tu espérais peut-être m’émouvoir ? Je crois que tu ne comprends toujours pas. Mes souvenirs ne sont pas morts. Je me rappelle très bien de nos conversations le soir, quand je vous préparais à manger, et que tu venais m’aider dans la cuisine, ou quand tu me demandais si j’étais heureuse de ma vie ici... »

Des souvenirs... Plutôt perturbants, en réalité. Elle y repensait parfois, et, si elle ressentait du dégoût envers la faible femme qu’elle avait été alors, elle se rappelait aussi de cette insouciance, de ce bonheur factice... Mais non moins réel. Et cette sensation était pour la moins troublante. Enfin... Amélie revint à la situation actuelle, et dégrafa le soutien-gorge de la femme, qui tomba au sol. Ana était toujours prisonnière des tentacules, et Pink Widow approcha ses lèvres des seins de la femme, venant les embrasser et les lécher, tout en les malaxant avec ses mains.

« Hmmm... Oui, voilà... » soupira-t-elle.

Elle titilla un téton avec ses dents, se concentrant sur cette partie du corps de la femme.

« J’adore tes seins, Ana... Toi aussi, tu aimerais embrasser et palper les miens, hein ? Ne rien pouvoir faire sur mon corps, ça doit te frustrer terriblement... Tu peux me l’avouer, Ana, tes yeux parlent pour toi. »

Et Amélie lui sourit encore, malicieusement, avant de retourner s’y attaquer...

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: vendredi 27 octobre 2017, 08:38:49 »
« Je me demande ce qui te fait rougir, ma chérie... Mon corps, ou les tentacules ? Sachant que tu n’as jamais rougi en ma présence... Peut-être es-tu plus coquine que ce que tu crois, Ana ? »

Moqueuse et espiègle, Amélie ne perdait rien de son venin. C’était, là aussi, une différence notable avec l’ancienne Amélie, ce personnage factice et créé de toutes pièces pour servir les besoins de Talon. L’ancienne Amélie était relativement timide, renfermée. Quand Pink Widow repensait à elle, elle ne voyait que du dégoût et de la honte pour la faible femme qu’elle avait été. Elle se rapprocha donc, pendant que les tentacules métalliques s’écartaient.

« Mais tu as raison sur un point, amour, je préfère faire ça moi-même... »

Ana se retrouva à sa hauteur, et Amélie se rapprocha d’elle, venant caresser ses cuisses. Ana put alors noter que, outre sa petite tenue bleue, elle portait aussi des collants. D’élégants bas mettant en valeur ses non moins magnifiques jambes. Les tentacules retenant Ana à hauteur des poignets tirèrent alors, soulevant les jambes d’Ana, les mettant à gauche et à droite du corps d’Amélie, avant de les amener à se replier sur elle-même.

« Hum, quelle énergie ! Sers-moi fort, ma puce... »

Souriant encore, la femme caressa le visage d’Ana, et se posa sa main sur sa nuque, puis l’embrassa. Prudente, elle n’y mit pas encore la langue, ne voulant pas que son ennemie la morde, et se contenta juste d’appuyer son visage contre le sien, une main sur sa nuque, l’autre partant dans le dos d’Ana, caressant son dos... Et fut rapidement rejointe par la première main. Les deux allèrent se poser sur le cul bien musclé d’Ana, venant le pétrir et le malaxer, Amélie appuyant fortement dessus, tout en prolongeant son baiser. Elle sentait une certaine forme de résistance et de rigidité musculaire sur le corps d’Ana, des gestes trahissant sa nervosité. Sa rougeur, ses soupirs, des crispations un peu trop fortes...

Amélie lui malaxait les fesses, et retourna le petit jeu d’Ana contre elle, en l’embrassant dans le creux du cou, tout en lui faisant quelques précisions techniques :

« Pour ta gouverne... Je contrôle ces tentacules par la pensée, grâce à une puce neuronale. C’est un système inspiré de celui du Docteur Octopus. Les tentacules qui te retiennent réagissant à ce que je leur ordonne de faire. »

Une précision utile, pour comprendre comment les tentacules remuaient le corps d’Ana. Ce préambule fait, Amélie lécha tendrement le cou de la femme, et mordilla un peu ce dernier, frottant son corps contre le sien, provoquant des bruits de crissement et de frottement, sa combinaison heurtant la peau nue de son amante.

« Toi qui parles si souvent de Gérard... Je me demande comment il réagirait en apprenant que sa chère Ana s’envoie en l’air avec sa femme, et désire qu’elle lui fasse l’amour. Depuis combien de temps est-ce que tu as envie de moi, Ana ? Rassure-toi, je vais satisfaire tous tes fantasmes, amour... »

Nouveau baiser, cette fois sur la joue de la femme, tandis qu’Amélie donnait de légers coups de reins, juste pour le plaisir, fétichiste, de faire craquer sa combinaison contre les cuisses de la femme. Elle lécha ensuite l’oreille d’Ana, et en mordilla légèrement le lobe, avant de rajouter, d’une voix basse :

« Je vais te baiser pendant des heures comme jamais tu n’as été baisée auparavant, sale truie. »

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: dimanche 22 octobre 2017, 14:18:13 »
Amélie sourit devant les propos d’Ana. Elle lui affirma qu’elle mentait, qu’elle était toujours la femme de Gérard Lacroix, et que rien ne ferait d’Ana son « esclave ». Amélie, qui s’était mise à califourchon sur son corps, sourit alors, caressant ses épaules :

« Pourtant, l'idée d'être mon esclave n'a pas l'air de repousser tant que ça ton corps... »

Moqueuse, Amélie n’avait rien à voir avec le cliché de la tueuse décérébrée, froide et amorale, qui accomplissait ses missions comme un robot. Chez Amélie, le conditionnement était bien plus subtil, et était la preuve que Talon avait tenu compte des échecs précédents au sein de la Red Room. Froide et amorale, Amélie l’était, mais elle se montrait aussi provocante et... Piquante. Elle remua un peu sur le corps d’Ana, faisant légèrement crisser sa combinaison.

« Je vois comment tu me regardes, Ana... Mon corps, mes formes... J’ai senti la manière dont ton corps réagissait à la manière dont je t’embrassais. Je me suis toujours demandée ce qui pouvait motiver une femme comme toi à s’investir autant dans Overwatch, et dans les projets secrets des États européens. Maintenant, j’ai la réponse... »

Amélie lui sourit encore, et sa main gantée caressa le visage de la femme, son pouce venant titiller ses lèvres pendant quelques secondes. Son autre main, elle, avait recommencé à masser l’un des seins du Capitaine, et Amélie gloussa légèrement... Puis se redressa brusquement, et s’approcha d’une console située contre le mur.

« Talon est née d’une scission avec HYDRA. Mais l’organisation dispose de beaucoup de bunkers et d’avant-postes secrets... Comme ici. »

Widowmaker appuya sur un bouton, et le décor se mit à évoluer. Une trappe s’ouvrit sous Ana, et elle se mit à descendre.3 Le plancher, en réalité, s’avéra être un ascenseur, la cave dissimulant l’accès à un bunker secret. Comme dans un de ces vieux films de James Bond à l’époque des années 1970’s, Ana se retrouva dans une pièce métallique, et constata que l’objet sur lequel elle avait été  initialement attachée, était une table assez futuriste, qui changea de forme, et la maintint en position couchée. Le plafond se referma ensuite, et Ana put voir que l’avant-poste était plutôt petit, puisqu’il ne comprenait qu’une pièce, mais abritait beaucoup d’armes. Des râteliers étaient situés le long des murs, avec une série de mines Venom, et diverses armes : pistolets, fusils d’assaut, fusils à pompe, ou encore des accessoires de rechange pour le Widow’s Kiss. Devant Ana, il y avait un ordinateur.

Amélie arriva ensuite devant son champ de vision, et lui sourit encore.

« Bienvenue dans mon nid, Ana. Ici, je vais pouvoir commencer à faire de toi mon esclave... »

Elle lui sourit encore, et rejoignit l’ordinateur, puis pianota sur le clavier. Le corps d’Ana fut alors arraché de la table, maintenu en l’air par des tentacules qui jaillirent depuis les murs, et s’enroulèrent autour de ses poignets et de ses chevilles.

« Contrairement à ce que tu crois, la femme qui aimait Gérard Lacroix est morte. Enfin, elle n’a toujours été qu’un mirage, une personnalité suffisamment convaincante pour que je m’en persuade moi-même. Mes goûts sexuels, justement, en sont l’illustration. Quand j’étais la femme de Gérard, j’étais sexuellement frustrée, car on m’avait conditionné pour être hétérosexuelle... Alors que, en réalité, je suis bisexuelle, avec une préférence pour le beau sexe. »

Amélie sourit encore, et approcha d’autres tentacules.

« Ne t’inquiète pas, je viendrais m’occuper personnellement de toi... Mais, pour l’instant... Jouons un peu. »

La femme appuya sur un bouton, et les tentacules qui immobilisaient Ana diffusèrent alors des arcs électriques sur son corps. Amélie laissa cette torture se faire pendant quelques instants, puis relâcha ensuite la pression.

« Commençons... J’ai développé un programme expérimental, et je suis ravie que tu y participes. »

Amélie lança ce dernier, et d’autres tentacules s’approchèrent alors, présentant une forme phallique, et caressèrent les parties intimes d’Ana.

« Comme je suis gentille, je te laisse le choix... Soit je m’occupe personnellement de ton corps, soit mes tentacules le font... »

Qu’est-ce qu’Ana allait décider ?

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: mardi 10 octobre 2017, 22:57:46 »
« Je ne suis pas totalement idiote, ma chérie, glissa-t-elle en français. Je connais très bien la technologie des armures Overwatch. Tu ignores à quel point Talon est bien renseigné sur vos capacités de financement. »

Amélie avait une voix sensuelle, provocante, n’étant nullement déstabilisée par le calme d’Ana. Elle l’avait installé sur une chaise spéciale. Pink Widow appuya d’ailleurs sur un bouton à proximité, et la chaise se déploya, couchant la femme en position horizontale. Amélie retourna ensuite vers elle, prenant tout son temps. Elle savait qu’Overwatch était une organisation européenne très particulière, au croisement des chemins entre l’Union Européenne et le Conseil de l’Europe. Officiellement, l’organisation répondait de la seconde organisation, plus développée et plus structurée que la première, mais, économiquement, c’était l’Union Européenne qui la finançait. Overwatch était donc gérée par les deux puissantes organisations régionales, et Talon en savait beaucoup sur eux.

La femme se rapprocha encore, et grimpa sur le corps de la femme, se mettant à califourchon sur corps, frottant sa combinaison brillante contre elle. C’était une combinaison faite dans un matériau unique en son genre, évoquant le latex. Elle se courba lentement vers la femme, tout en caressant d’un doigt ses lèvres.

« Je sais que vos armures disposent de balises permettant de les tracer. Alors, tu vois, j’étais obligée de t’en délester... Mais j’avoue que la vue ne me déplaît pas. »

La jeune femme n’avait pas oublié Ana Amari, à l’époque où elle était en France. En réalité, Amélie se souvenait très bien de l’époque où elle était infiltrée, mais n’y accordait pas plus d’importance que ça. Talon veillait régulièrement à ce que son conditionnement soit maintenu, et qu’elle ne se révolte pas contre ça. Elle continua à s’allonger, jusqu’à approcher ses lèvres des siennes.

« La Amélie Lacroix que tu as connu... Ça n’était qu’une couverture, tout le temps. J’ai pu passer tous les détecteurs et les scanners de ton organisation, car je n’avais moi-même pas consciente de mon statut... Avant que mes employeurs ne me rappellent à eux en utilisant le mot-clef qui a réveillé ma véritable personnalité. »

Pourquoi lui raconter tout ça ? Ses lèvres se posèrent ensuite sur celles de la femme, et elle l’embrassa tendrement, tout en déplaçant l’une de ses mains le long de ses seins, caressant tendrement et délicatement le bonnet du soutien-gorge, non sans un certain plaisir.

« Mais peu importe... À vrai dire, si j’ai choisi de te capturer, de t’épargner, c’est parce que, tu vois... Je t’ai toujours trouvé très belle, et... Je n’ai encore jamais eu la chance d’avoir une belle esclave comme toi à mon service... »

Amélie sourit encore, malicieusement et sournoisement...

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Les alentours de la ville / Re : Opération Veuve-Noire [PV : Pink Widow]
« le: lundi 02 octobre 2017, 22:39:00 »
Elliot savait que la bataille était vaine. Seule Widowmaker pouvait le sortir de ce mauvais pas, mais elle était en ce moment en train de combattre une entière escouade des agents d’Overwatch. Et elle n’allait sûrement pas risquer d’affronter le reste de la brigade située sur ce yacht. Elliot était en tout cas impressionné par tant de moyens déployés, mais... Eh bien, il ne comprenait pas vraiment la stratégie d’Overwatch. Plusieurs agents se rapprochèrent alors, et annoncèrent à « Don Palermo », ou quel que soit son véritable nom, que le Capitaine Amari était porté disparu, et que la cible s’était enfuie à bord d’un hors-bord. Des agents d’Overwatch la pourchassaient, avec le soutien de la police vénitienne. De fait, des hélicoptères ne tardèrent pas à les surplomber. Elliot n’entendit rien de tout ça, lui, mais savait très bien ce que cette agitation signifiait. Puis « Don Palermo » se retourna ensuite vers lui, comme pour savoir ce qu’Elliot pensait de sa proposition.

« Euh... Si je devais être honnête... Je ne comprends rien à votre proposition. Vous avez sacrifié l’une de vos meilleures agentes... Pour me capturer, moi ? je ne suis qu’un petit pion dans cette organisation, et, maintenant que je suis tombé, le peu d’informations que je sais ne sera plus valide d’ici quelques heures. Vous ignorez à qui vous avez affaire, mon ami. Talon est une organisation très perfectionnée, capable de démanteler en quelques heures à peines ses installations. La base que j’avais est probablement en train d’être totalement vidée en ce moment. Je n’ai rien de particulier à vous offrir. »

Le passé d’Elliot était relativement banal. Il avait été un simple rouage dans l’armée avant de rejoindre Talon. La vieillissante Europe offrait beaucoup d’opportunités de reclassement pour bon nombre de militaires. Il suffisait de voir comment l’armée française traitait ses soldats pour constater que le seul rempart qui empêchait l’armée de s’effondrer, c’était leur fierté et leur honneur... Mais, au bout d’un moment, même l’honneur ne suffisait plus. Elliot avait rejoint Talon, autant par nécessité financière, que par conviction. Il en avait marre de voir l’armée entre les mains de bureaucrates, de technocrates, et d’économistes, qui pensaient à la sécurité nationale en terme de coûts et de bilans-comptables plutôt qu’en songeant à la sécurité et au respect de l’uniforme.

Alors, Elliot n’avait rien de particulier.

« Je sais que toute votre opération n’a eu que pour but de capturer notre arme spéciale... Alors, je ne vois pas ce que je peux vous offrir, Talon ne lèvera pas le petit doigt pour moi... »

Il était sincère sur lui-même, et sur le rôle qu’il menait au sein de l’organisation.



Les arcs électriques frappèrent le corps de la femme, la réveillant rapidement. L’ampoule au plafond grésilla lentement, puis Ana ouvrit les yeux. Elle put rapidement constater qu’elle était attachée par les poignets et par les chevilles, à l’aide de sangles reliées à des chaînes métalliques, avec des pinces électriques posées sur son corps. Une magnifique peau nue et sombre, son armure ayant été retirée, la mettant en petite tenue.

« Ça y est ? Tu es réveillée, Ana ? »

Une voix sensuelle et moqueuse sortait de l’obscurité, sur la droite de la femme, que la Capitaine dut rapidement reconnaître. Amélie se rapprocha alors d’elle, et lui sourit légèrement.

« Ne t’inquiète pas, nous sommes toujours à Venise... Pour l’heure. Mais tu es un petit insecte coincé dans ma toile, ma chérie... »

Les doigts d’Amélie glissèrent le long du bras de la femme, un doigt après l’autre, mimant, à sa manière, les pattes d’une araignée qui avancerait le long de sa peau.

« Et tu vas me dire tout ce que tu sais, ma chérie... De gré... Ou de force ! »

Qui sait quel traitement horrible Amélie lui avait réservé ?

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