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Messages - Zabusa Hikiko

Pages: [1] 2 3
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One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: mardi 08 août 2017, 16:39:17 »
La prêtresse vint à se raidir en sentant la main la saisir, pour stopper son départ. Elle vint à écouter les propos d’Ariman, mais restait tout de même figée à l’idée qu’Ariman, avant certainement mieux réussit à se reconstruire, qu’elle ne l’avait fait, en faisant appel aux armes et au sang.  La brune ne sentait qu’un profond fossé entre elle et son interlocuteur, il avait l’intelligence, la qualité de rassembler des informations et l’art de les utiliser contre autrui. La prêtresse n’avait que son savoir comme messagère divine et celui apporté par sa préparation à l’attaque de Nexus, elle était bien plus proche des moines-guerriers que d’une diplomate.  Elle allait répondre quelques choses quand le collier vint à tomber.

Quand l’objet cessa de bouger au sol, l’adolescente se mit à ressentir comme un afflux de magie. Elle se rendait bien compte à présent que son pouvoir était comme un bras et que sans ce pouvoir, elle était terriblement faible.  Elle entendit la condition de sa liberté ici. Ne pas utiliser son pouvoir était tout à fait réalisable et elle ne se permettrait pas, reconnaissant qu’elle se ferait plus rapidement éclatée qu’elle n’aurait le temps de déployer sa capacité.  L’information de ne pas pouvoir se téléporter était un autre souci, elle ne savait pas où elle était et mieux valait éviter d’errer sans provision. D’autant qu’Ariman vint à prévenir qu’il y avait des démons, soulignant la dangerosité de l’endroit.  La jeune femme vint à hausser un sourcil en écoutant le « A moins que », ce qui n’était pas une bonne nouvelle. Elle connaissait le dilemme des deux choix et celui-ci était encore plus important quand il s’agissait de se voir offrir  la résurrection du royaume. La taille du territoire importait peu pour la prêtresse, tout comme le fait que la localisation change. Au contraire, elle rejoignait l’idée d’Ariman sur ses points là. Un petit royaume était un bon départ et de toute manière la masse de population avait grandement chuté, sachant que certains ne reviendraient pas, préférant rester dans leurs nouvelles vies, par confort.

On pouvait voir dans son regard, que la renaissance du rpyaume avait beaucoup d’importance. Mais, elle avait été manipulée une fois, elle ne ferait pas la même erreur une seconde fois. Elle abandonna l’idée de retourner à sa cellule. 

- Qu’elles sont les conditions pour la renaissance de notre royaume. Parlez avec franchise je vous prie. 

Elle comptait faire très attentions aux cartes qui seraient abattu sur la table des négociations. Elle vint à prier silencieusement sa déesse pour qu’elle bénisse cet événement et empêche que les conditions soient trop lourdes pour le peuple. La prêtresse pouvait vivre dans la honte, mais il en serait autrement pour son peuple. 

2
Zabusa vint à noter les réponses avec minutie, son travail consistait à écrire l’article sur Destin, aussi voulait-il avoir les informations les plus précise possible à ses questions, n’hésitant pas à en énoncer d’autre pour écarter toute erreur d’analyse. Contrairement à la plupart des journalistes, il n’essayait pas d’avoir une image enjolivée, mais le plus humain et proche de la réalité. Il n’avait pas insisté sur la localisation. Il était assez intelligent pour comprendre que le secret de la recette était la clé de sa réussite, une simple information suffirait à faire couler son marché. Le jeune employé ne fit aucun commentaire sur le monopole que l’entrepreneur avait sur la grenadine de luxe. Il marquait sur son carnet les deux éléments vendeurs, le côté naturel et la marge qui n’était pas grande. Le jeune orphelin sentait que ce texte était récité, cela ne devait pas être le premier interview et il était donc de son job à soutirer des informations nouvelles, sans pour autant mettre en péril Destin et son entreprise.

Zabusa aimait bien ce patron, qui n’avait aucunement l’air hautain, l’argent ne semblait pas lui monter à la tête et il avait une façon de parler qui était très agréable à l’oreille. Le lycéen pouvait sentir dans son attitude et sa manière de s’exprimer, une très grande aisance au public. Le jeune journaliste se disait que le patron devait faire un carton dans les  réunions. Il ne put retenir un léger rire devant l’histoire de la création de l’entreprise, venant à platement s’excuser. Zabusa se permit de dire qu’à son orphelinat, la grenadine n’était pas une boisson souvent présente, d’une part pour la santé, d’autre part au coût, car s’il s’agissait d’une boisson qui ne coûtait pas très cher pour une personne, pour une armée de bambin il en était autrement.

Le lycéen vint à avoir un air surpris en entendant Destin lui proposer de goûter un nouveau produit. Zabusa ne se faisait pas d’illusion, Destin restait un marchand et le fait d’offrir cette opportunité allait, irrémédiablement, permettre de mettre en avant sa nouveauté. Il fit attention aux détails, n’ayant pas fait l’affront de dire qu’il ne connaissait pas, personnellement les produits de cet entrepreneur, comme tous les adultes de l’orphelinat, il avait appris à prendre au moins cher ou au plus frais, excluant de ce fait les marques un peu trop  présentes.  Il put regarder la bouteille, qui était personnalisé et fait de telle manière que se planter avec une autre marque relevait d’une étourderie profonde.  Il apprit qu’il s’agissait d’un produit qui pouvait servir d’échantillon, un avant-goût, permettant au client de se faire une idée du sirop au lieu d’acheter ce dernier et savoir si l’argent mit valait le coup. 

Zabusa, saisit délicatement le verre, venant à imiter le levé de Destin, avant de boire une toute petite gorgée. Une nouvelle expression de surprise vint à apparaître sur le visage du lycéen, qui porta sa main sur ses lèvres, avant de la rabaisser. 

- C’est excellent. 

Il ne pouvait pas exprimer pleinement la sensation qu’il avait eue. Zabusa reprit une gorgée, se retenant de tout boire d’une traite. Il n’était pas très habitué à la grenadine, mais il était suffisamment éveillée aux sens du goûr pour reconnaitre que ce produit était vraiment très bon. Il arrivait à sentir le rafraichissement de l’eau qui n’avait pas été corrompus par le calcaire ou des produits chimique, comme le chlore. Le goût de la grenadine était doux, mais restait très longtemps sur la langue, sans pour autant la saturer et dégoûter le buveur.

- Je dois avouer que la grenadine est un de mes péché mignon, mais celui-ci est le meilleur que j’ai bu jusqu’à maintenant.

La phrase avait été dite en toute franchise. Il adorait la grenadine et celle de Destin était terriblement tentatrice. Succombant au vice de la gourmandise, il vint à boire le reste de son verre, poussant un petit soupire de plaisir, avant de se rendre compte de son geste et baisser un peu la tête et les yeux. 

- Désolé. 

Zabusa rougissait un peu des joues, ayant bien conscience que ne pas profiter davantage de la grenadine, comme la haute bourgeoisie profiterait d’un bon vin, pouvait être un geste déplacé.

3
One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: mardi 08 août 2017, 09:38:25 »
La brune ne pouvait dissimuler le visage choqué, quand elle se faisait dire qu'elle était d'une famille noble et qu'elle pratiquait une forme d'esclavage.  Pour la première question, elle vint à hocher négativement de la tête, le terme Vilain n'étant pas connue d'elle. Par contre elle savait ce qu'était un serf, car beaucoup de royaume utilisait ce système. Elle pensait qu'il y avait une méprise sur sa condition et sur celui de son royaume et écoutait la longue explication de la différence, non sans mettre sa main droite sous la table et froisser un pan de sa robe en resserrant le poing dessus. Elle ne dit rien, mais elle comprenait qu'elle se faisait dicter sa conduite, tout comme le royaume où elle vivait se faisait juger par cet homme. Non, pour la prêtresse ce n'était pas un homme qui était devant lui, juste une créature qui se targuait de son savoir pour la rabaisser et humilier la civilisation où elle avait vécu.  Plus Ariman parlait, plus  colère pulsait dans son corps, elle résistait à l'envie de le tuer. Il avait certainement beaucoup de connaissance de l'ancien royaume de l'adolescente, mais il commettait une grave erreur en tentant de montrer les similitudes avec Nexus.  L'animosité était clairement palpable et la pièce semblait se refroidir sous la tension qui ne cessait de croître.

Elle attendit que le seigneur finisse ses explication, avant de prendre une coupe, qu'elle remplit d'un peu de vin, avant de stopper son élan. Il y eu trois minutes pendant lesquelles la jeune femme avait enchevêtré les doigts de ses deux mains, posant son front dessus, la blancheur des phalange montrait qu'elle se retenait de faire une action irréparable. Après tout elle avait des fourchettes et des couteaux, des armes de fortune, mais suffisantes pour rendre une personne aveugle. Puis ce silence vint à s'interrompre, la voix de la prêtresse résonnait de colère, mais aussi de vérité. 

-  Vous êtes venus une fois et vous vous permettez de souiller la mémoire de notre royaume et de notre peuple. Vous prenez vos grands airs par votre savoir, mais vous oubliez que vous êtes en face d'une femme de ce peuple.

Les doigts se resserrèrent, avant d'entendre un léger pouffement de rire.

- Le royaume devait être encore florissant à l'époque où vous êtes venu. Aujourd'hui notre peuple est dispersé aux quatre vents, le royaume n'est à présent qu'un lopin de terre, régit les royaumes autour. Que pensez vous que ma grande-soeur s'est époumonée à faire ? Pensez-vous que la Grande prêtresse d'Emuy n'a pas cherché à reconstruire le royaume perdu ? Elle a supplié que l'on puisse au moins vivre comme royaume annexé. Et qu'est-ce qu'elle a eu en retour ?

Le ton monta d'un coup, la bouche de la demoiselle se déformant hideusement.

- Elle est devenue une esclave brisée !  Tout ça pour rien si ce n'est le plaisir de l'humilier et détruire la volonté de notre peuple !

S'en suivit un rire qui était forcé par la douleur qu'elle ressentait à devoir se remémorer tout ça pour la chose en face d'elle.

- Nous avons copié ce système pour nous protéger. Nous étions un petit royaume avec comme unique force dissuasive la puissance de notre déesse, mais nous avons dû prendre ce modèle de gestions pour éviter de nous retrouver encerclé et détruit. Jusqu'à l’effondrement de notre royaume, les prêtres avaient la charges d'écouter toute les réclamations. Enfant, nous étions formé pour pouvoir faire tomber la pluie les jours de sécheresse ou chasser les nuages quand la terre devenait boueuse. Les serviteur de la déesse étaient vu comme des nobles, pourtant nous aidions dans le travail des champs, la notion de noblesse n'étant que dans le coeur des gens. Nous donnions notre pain à l'affamé, notre eau à l’assoiffé. Nous n'étions pas comme ses pourritures qui taxent et crèvent  à la tâche. Il y avait des taxes en nature, afin de faire des provision et que le peuple puisse se nourrir l'hivers, aussi n'était-ce pas à contre-coeur qu'ils payaient.  Nous donnions une partie de nos bénéfices aux royaumes autour, en guise de pacte de non-agression.

La pression sur ses doigts semblaient se relâcher légèrement.  La prêtresse avait mal, mais cela faisait du bien de parler.

- Quand le royaumes fut conquis par l'armée, nous avons tout perdu. Je me rappelle encore de l'odeur des maisons qui brûle le cri du peuple qui se faisait massacrer ou enlevé. Nous avons tenu le plus longtemps possible. Mon pouvoir n'était pas grand et tout ce que j'ai pu faire s'est soigner les quelques personnes qui fuyaient avec moi.  Cela n'avait prit que deux jours pour que le royaume tombe en ruine. La famille royale et ses serviteurs ont été exécuté pour un motif débile, le peuple qui n'avait pas pu fuir durent obéir aux nouveaux seigneurs qui s'étaient partager nos terre, sans garantis de pouvoir manger à sa faim  l’hiver d'après.

La tension semblait descendre après chaque syllabes.  La suite de ses propos étaient froid, comme pouvait l'être la froideur d'une lame.

- Vous ne devriez pas vous inquiéter de notre peuple, vous n'êtes qu'un étranger, rien de plus. Je dirais même plus, vous n'êtes pas humains, ce qui vous interdis davantage de nous juger, nous, créature si faible qu'il nous failles conquérir les autres sans motif et tuer nos semblables. Vous ne pouvez connaître la sensation d'être dans un carcan terrestre, foulant un sol qui n'est plus votre. Vous ne pouvez pas comprendre cette impuissance qui vous foudroies quand vous voyez l'état des paysans jadis joyeux. Vous ne pouvez ressentir cette lave de haine et de folie qui me consumera jusqu'à ma mort.  Même morte je ne demanderais pas le pardon et ferais face au jugement implacable d'Emuy, n'attendant de notre déesse qu'un jugement impartial. Si elle fait preuve de clémence, elle m’enverras me faire dévorer indéfiniment dans la grotte des voraces, sinon elle m’enverras dans le lac de crystal où je serais condamnée à devenir folle devant mes pires souvenirs. Tout les soldats de notre ancien royaume sont préparés à ce que notre déesse condamne nos actes lors de notre dernier souffle. On peut dire qu'elle fait déjà preuve de clémence en ne nous châtiant pas de notre vivant.

S'en suivit un petit soupir, comme pour expirer des sentiments, sa voix fut plus chaleureuse.

- Vous parliez de calcul, mais la raison humaine n'est pas une addition de chiffre. Si j'ai agis de cette manière et que d'autres personnes m'ont suivi, c'est bien, qu'au fond d'eux, il ne voyaient pas d'autres méthodes. Si nous avons changé l’emblème de l'étendard c'est pour protéger notre peuple du mieux que nous pouvions, sans se cacher sous l’emblème d'une autre nation.  Mais vous ne devez pas comprendre. Après tout, vous avez une armée puissante, vous ne devez pas comprendre ce qu'est la faiblesse, la haine ou le désespoir.

Dans la dernière phrase, on pouvait sentir un léger trait d'envie Elle était envieuse de l'Oblirator, qui était seigneur, qui semblait ne pas avoir d'ennemi capable de le menacer et il semblait savoir bien gérer la diplomatie. Le brune avait semble-t-il abandonné l'idée d'Haïr cet homme massif, se disant qu'a présent, elle n'avait plus les moyen d'haïr quiconque. Elle se remit à soupirer et vint à se lever. La prêtresse n'avait au final pas touché au repas et semblait, au son de sa voix, plus épuisée qu'autre chose. Après cette période de haine, elle avait fait retomber toute pression, venant à avoir, naturellement, l'envie de dormir. 

- Je vais retourner à ma cellule, vous laissant choisir de mon destin. Je n'ai plus que ça à faire à présent. 

4
One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: lundi 07 août 2017, 03:51:21 »
La brune vint à se sentir insultée en entendant le premier mot qui sorti de la bouche du maître des lieux, venant à se demander si Arimant ne se foutait pas ouvertement de sa figure. La suite n’aidait pas à la calmer. Elle avait bien vu l’étendard de la citée de Nexus, elle avait bien vue leurs soldats ravager des villages, écraser la moindre résistance, embarquer les femmes et les enfants pour les vendre sur les marchés, elle avait bien vu sa grande sœur faire partie des lots à Nexus. Si Nexus n’était pas l’organisateur de tout-ceci, la citée avait tout de même une part de responsabilité en acceptant la vente des esclaves.  On pouvait cependant constater, sur les traits de son visages qu’elle n’avait pas du tout penser aux conséquences, signe qu’elle n’avait typiquement rien d’une stratège, elle n’était qu’une simple femme obnubilée par la déchéance de ce qui avait détruit son royaume et un membre de sa famille, rien de plus, rien de moins.  Dans sa folie de la vengeance, elle avait montré une certaine forme d’égoïsme, ne voyant que son peuple et ne présentant aucun intérêt pour les autres. Elle se mit à regarder avec froideur Ariman, pensant qu’au contraire elle n’avait rien en commun avec lui. Elle se disait que si cette personne l’avait capturé c’était bien pour profiter de ses pouvoirs ou d’avantage qu’elle pourrait apporter. Elle  n’était pas stupide au point de ne pas savoir que garder des prisonniers pour soi n’était pas un acte anodin.
Elle n’avait clairement que faire de la situation géopolitique de Nexus.

La brune n’eut pas le temps d’en placer une que l’Oblirator vint à parler de sa réputation. Elle avait surtout entendu parler de la mauvaise facette, celle d’un conquérant destructeur. Le côté diplomate avait totalement été occulté, mais cela restait humain, cette race faible et si éphémère avait tendance à se mémoriser bien plus aisément les actes néfastes que les actes bon, gangrénant ainsi leurs sociétés et minimisant la récompense des actes bénéfiques pour la nation.  Quand le nom de Nod, vint à se faire entendre, elle frémit, serrant des dents, se souvenant très bien qu’il avait osé la faire tant de chose pour au final se rendre compte qu’elle n’avait été qu’une poupée entre ses mains de marionnettiste, elle avait donnée beaucoup trop d’elle lors de ses « séances » afin de maîtriser son chant en toute situation.

- Je le connais et je jure sur ma déesse que si je le croise, il souffrira tellement qu’il implorera la mort.


La prêtresse était une vraie boule de colère, elle savait pertinemment qu’elle n’avait aucune chance de rivaliser contre cet individu, mais la vengeance était son moteur, ce qui la maintenait en vie.

- Nexus mérite d’être détruite, tout comme toutes les citées qui acceptent de vendre des esclaves d’autres nations. Ils n’ont qu’à vendre leurs nobles, ils réfléchiraient à deux fois avant de laisser des porcs vendre des personnes brisées et humiliées.

5
Zabusa parvint à suivre la demoiselle, venant à se faufiler dans la foule. Les regards se portant sur lui, il avait lui aussi une bonne réputation et un physique pas moche. Il se mit à zigzaguer dans les escaliers, à cause du monde, ce qui vint à être plus facile au fur et à mesure des étages. Il parvint enfin au toit, comme il l’avait supposé, il n’y avait pas grand monde et cela l’arrangeait, avoir des fangirls aux fesses cela venait souvent à l’ennuyer, car il se sentait comme entravé dans ses mouvements.   

Pour le lycéen, ce ne fut pas le banc qui était le mieux, il se mit sur le dos à même le sol, profitant du vent qui venait caresser son visage et faire un peu bouger ses cheveux, observant le ciel en poussant un petit soupir de plaisir. Quand il entendit le commentaire d’Ayano, il vint à pencher la tête sur le côté pour observer la camarade de classe. Il répondit avec un sourire.

- C’est pour cela que j’aime bien cet endroit, il y a peu de monde, on peut se décontracter tranquille et même faire le pitre, sans être dérangé, surtout que personne n’a encore comprit que l’on pouvait fermer la porte de l’extérieur, ce qui est bien pratique quand on ne veut pas être dérangé. 


Il retournait le visage vers le ciel.

- De toute manière aucun surveillant ne vient ici, c’est un peu comme un sanctuaire des élèves, même si des crétins s’amusent à l’utiliser pour voler l’argent des autres.

6
One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: lundi 07 août 2017, 02:19:56 »
La prêtresse vint à observer  la pièce, cela n'était pas encore un endroit facile à s’extraire. Elle put constater le contenu sur la lourde table, il y avait de nombreuses victuailles, visiblement à l’attention de la prisonnière. Elle reçut l’invitation de s’asseoir, ce qu’elle fit, non sans observer les fourures sur le trône qui était réservé à sa personne. Elle vint doucement à s’asseoir, sentant la fourrure la préserver de la morsure glaciale de ce trône en pierre, ainsi que de l’incommodité de la roche. Elle continuait d’observer Ariman en notant qu’elle avait été inconsciente, comprenant pourquoi son corps était en forme. Elle ne put retenir un léger pincement de la lèvre inférieur, ayant largement comprit que la potion qui l’avait aidé à chanter si longtemps avait aussi un effet d’empoisonnement.

Ecoutant toujours Ariman en silence et ne touchant pas au repas, elle resserrait légèrement le poing en entendant le maître des lieux annoncer qu’il avait fait des recherches sur sa contrée. Elle ne savait pas où il voulait en venir, mais la colère commençait à monter en elle. La prêtresse aurait certainement préféré avoir affaire à une personne cherchant à la rabaisser, la traiter en simple prisonnière. Cette attitude envers elle la rendait malade, sans compter le fait de la recherche de son blason, ce qui revenait à mettre une lame de cuivre dans une plaie tout juste refermée. 

Elle baissait le regard vers le livre. Le blason de sa famille était spécial, du fait que le titre de prêtre était héréditaire, avec les pouvoirs qui se transmettaient par le sang. Il s’agissait d’une femme tenant deux lances croisées, l’une symbolisant la protection du domaine, l’autre étant le symbole du bras armé de la divinité d’Emuy. Les lèvres de la brune se mirent à trembler de colère. Si la prêtresse avait changé le blason ce n’était pas pour rien, celui de sa famille et de son statut de prêtresse était trop lourd à porter.

- Vous n’avez pas fini … vous ne savez rien de nos anciennes terres. Ce blason n’existe plus depuis que la capitale de Nexus, que vous avez défendue, a ravagé nos terres.

La brune se mit à frapper du poing droit la table. Avant de se mettre à crier.

- Si vous n’étiez pas intervenus nous aurions pu avoir notre vengeance ! Nous aurions pu apprendre à ses monstres la douleur que notre peuple a connu ! J’aurais pu venger l’humiliation que ma sœur a eu par ses pourritures !

La prêtresse semblait presque perdre son souffle dans cette phrase, ayant une respiration lourde. Elle n’avait rien perdu de la haine qu’elle avait pour Nexus et cela se voyait dans son regard. Elle était presque aveuglée par cette vengeance, n’ayant visiblement pas perdu l’envie de détruire la capitale de ses mains. 

7
Zabusa était content qu'Ayano ne se fâche pas du passage du vouvoiement au tutoiement. Elle aurait été en droit, après tout elle était la sempaï de Zabusa et méritait, de ce fait, une plus grande marque de respect. Le jeune homme ne le faisais pas par manque de politesse, loin de là, il se disait juste que cette lycéenne avait une aura particulière. Il ne pouvait pas dire s'il s'agissait d'une capacité surnaturelle ou autre chose, mais il arrivait à ressentir un petit quelques chose chez les gens. Cela pouvait être de la solitude, de la perdition ou tout autre chose. Il sourit en entendant Ayano accepter d'échanger les numéro, osrtant un portable qui aurait fait rigoler beaucoup de gens.

Zabusa n'était pas très riche et cela se voyait surtout dans son téléphone, un modèle assez vieux, qui ne pouvait que prendre des numéros en contact, appeler et écrire des sms, pas de quoi aller sur internet ou encore faire des photos. Il s'en fichait un peu personnellement, cet outil servant pour ce qu'il était conçu, à savoir pouvoir contacter des personnes que cela soit par voie orale ou écrite.  Il vint à enregistrer le numéro d'Ayano, transmettant le sien au passage et venant à envoyer un sms pour vérifier qu'il n'avait pas fait d'erreur. Cet envoi était aussi pour savoir si Ayano était du genre à mentir sur son numéro de téléphone, il n'en aurait pas tenu rigueur, avec les pervers qui traînent dans la ville et les disparitions de personnes, mieux valait se montrer prudent.

Le lycée ne vint pas à avoir une réaction en voyant le contact "info-chan", il n'avait pas fait attention et cela n'aurait rien dit au jeune homme. Quand se présenta la question d'occuper le temps, Zabusa vint à réfléchir.

- Nous pourrions nous reposer un peu sur le toit, il y a peu de monde à cet heure et il fait beau, autant décompresser un peu avant les cours, non ?   

Le jeune homme ne savait pas trop à quoi il s'exposait, le toit était un endroit très isolée et le brouhaha des lycéens rendait ce lieu propices aux coup-fourrée, sans doute était-ce pour cela que certains actes de rackette ne se faisaient que sur ce lieu.

8
One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: dimanche 06 août 2017, 07:40:22 »
La prêtresse rouvrit doucement les yeux, tentant de se relever, avant de sentir l’air frais caresser sa peau et donner la chair de poule.  Elle regardait son corps, n’ayant plus la sensation que sa gorge contenait les flammes de l’Enfer et semblant avoir une bonne forme. Elle constatait le collier, tentant d’utiliser sa capacité pour faire un vent tranchant contre un des murs de sa cellule. Sentant le collier se mettre comme à chatouiller sa gorge et qu’aucun sort ne puisse sortir de sa voix, qui marchait bien, comme si elle avait dormit pendant plusieurs jours, elle comprit qu’il s’agissait d’un collier neutralisant  ses capacités. Elle ne chercha pas à pousser son pouvoir au maximum, préférant s’économiser, paraître faible et attendre qu’une opportunité se présente à elle pour s’enfuir. 

Elle passa donc un long moment à contempler le plafond de sa cellule, l’ambiance était trop sordide et froid pour qu’elle puisse vraiment retrouver le sommeil, de plus son corps semblait avoir totalement récupérer, donc ne souhaitait pas se reposer davantage.  Elle put donc regarder la moindre aspérité, le moindre mobilier, afin d’en tirer un divertissement contre l’ennui qui l’a prenait. 

C’est alors que la porte s’ouvrit, laissant entrer l’étrange personnage.  La prêtresse ne pouvait que frémir en regardant cet ou plutôt ces être, considérant bien plus l’arme et son manieur comme deux entités bien distinctes, tous deux débordant d’une magie qui était presque suffocante. Elle entendit l’ordre, si elle pouvait employer la magie, elle aurait certainement montré de quoi elle était capable devant cette personne manquant de délicatesse envers elle.  Mais, elle s’exécuta dans broncher. La brune n’avait pas été sourde. Ariman, dans sa contrée, il était considéré presque au même niveau que l’empereur d’Ashnard, c’est-à-dire une créature d’une puissance sans borne et dont la cruauté n’avait d’égale que son sadisme, jouant avec la vie d’autrui come une enfant joue avec des petites figurines de bois.

L’esprit de la jeune femme se mettait à carburer, observant celui qui l’accompagnait, guettant le moindre moment où lui et la lame allaient baisser leurs gardes, afin de pouvoir tenter de se carapater à toutes jambes. Elle se doutait que l’être était rôdé dans le combat, aussi un face à face révèlerait du suicide.  Elle ne vit aucune opportunité pendant le trajet. Elle ne savait pas comment elle allait finir, rester humaine et en vie serait sans doute une bonne chose, mais elle n’était à présent pas mieux logé qu’une esclave, sachant que les traités pour les prisonniers de guerres n’étaient jamais appliqué, la signature ne servant que de mascarade pour se dire être « civilisé ».




9
Le jeune lycéen vint à hocher de la tête positivement, gardant toujours ce sourire qui me rendait adorable. Il n'avait pas besoin d'en dire plus, car il était un simple livreur, bien qu'il ne pouvait s'empêcher d'avoir une petite pensée sur ce que contenait cet objet. Il entendit la question sur les rumeurs qui circulaient sur elle, ce qui était compréhensible dans le fait qu'elle semblait être une élève modèle, donc assez peu soucieuse de ce que l'on disait sur elle et se consacrant uniquement sur les études. Aussi il se mit à répondre avec franchise.

- Et bien, on dit que vous êtes une élève qui travaille beaucoup et qui a une bonne réputation envers les enseignants et les élèves. Je ne peux pas en dire plus, car j'avoue porter assez peu attention aux rumeurs, car on peut colporter tout et, surtout, n'importe quoi.

Zabusa vit Ayano tendre une petite lettre avec un petit coeur sous forme de sceau, ce qui était très mignon et vint à faire tourner la tête du jeune homme pour regarder autour de lui. Ce genre de lettre pouvait tellement être l'archétype d'une lettre pour donner rendez-vous et faire une déclaration. Il saisit avec douceur la lettre en venant à la remercier comme il se devait. Il ne vint pas à regarder tout de suite, ce qui pouvait encore plus donner un quiproquo si une personne venait à regarder.

- Tu souhaites que l'on échange nos numéros ? Cela pourrait faciliter la prise de contact, si tu souhaite d'autres livres et que je ne suis pas forcément en cours? Je ne t'oblige à rien, tu peux refuser cela ne m'offusquera pas. 

Le lycéen attendait la réponse.

10
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 05 août 2017, 12:19:16 »
A les mains en feu ... pourquoi les supermachés vendent des sac avec des angles qui agressent les mains ?  

12h19

11
Zabusa avait une bonne répudiation, une très bonne réputation même. Il était bosseur, se donnait à fond, avait un travail pour payer des trucs aux enfants de l’orphelinat. Il avait tout pour avoir une certaine popularité. Cependant, cela ne lui montait pas à la tête, bien au contraire, il n’aimait pas trop cette popularité, car il n’avait pas vraiment un instant à lui. C’est aussi pour cela qu’il acceptait une demande d’une agence quelconque, sans chercher à se renseigner dessus. On lui proposait une simple livraison, pas le genre de chose qui payait beaucoup, mais il aurait sa part et pourrait certainement se payer un petit vers dans un bar qu’il avait vu. Ce qui venait par contre de l’intriguer, c’était la destination de la livraison, le lycée en lui-même. Cela restait assez atypique, mais cela voulait aussi dire qu’il était le mieux placé pour faire ce boulot. Il reçut la description du lieu, le mur de l’enceinte, près du panneau donnant le nom du lycée, autant dire le genre d’endroit que l’on ne se pose pas sans raison.  La description était assez rapide, n’ayant que le nom de famille, avec un peu de recherche il comprit que c’était Ayano. Il en avait entendu parler, une fille tout à fait normale, assez sociable. Le pauvre Zabusa ne pouvait savoir que c’était une façade, façade qui évitait toute suspicion dans le colis, pensant qu’elle désirait simplement ne pas passer par l’intendant du dortoir, qui était du genre un peu parano et à ouvrir les colis des élèves pour s’assurer qu’il n’y avait pas une bombe.

Il avait pris son sac de cour, contenant la petite boite, enfin petite, on aurait pu y caser plusieurs livres de cours, mais cela l’arrangeait au final, il avait l’idée toute trouvée pour venir accoster le destinataire. Il vint à sortir et vit la demoiselle. Il vint à bifurquer avec son sourire amical, faisant un signe de la main. 

- Bonjour Ayano-sempaï. J’ai ce que vous aviez demandé.

Il sortit naturellement le colis, qui était anonyme, mais dont les dimensions parleraient sans doute à la lycéenne, en rajoutant derrière.

- Vous êtes toujours très studieuse, j’ai eu du mal à trouver le livre que vous demandiez. Il a coûté un peu cher, donc cela m’arrangerait que vous me remboursiez une partie, comme convenue. Après, je peux attendre ce soir pour venir chercher la somme, tant que je suis rembourser, le reste importe peu.

Zabusa ne savait pas si Ayano avait l’enveloppe sur elle, d’où la dernière phrase. Il désirait juste faire son travail et n’allait pas poser de question sur le contenu, après tout si on ne lui avait pas communiqué qu’il s’agissait d’un couteau, c’était pour une raison fort simple.  Qui d’un tant soit peu sain d’esprit irait livrer un tel objet au lycée. Encore heureux qu’il n’y ai pas de détecteur de métaux dans l’enceinte, sinon il aurait eu une drôle de surprise


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One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: jeudi 03 août 2017, 20:24:45 »
La prêtresse ainsi que la cavalerie se mrient à frémir en voyant cet espère de dragon, les montures réagissent pas surprise avant de se faire calmer par leurs monteur. Ce ne fut qu’à cet instant que tous se mirent à regarder le ciel et se rendre compte que la partie était jouée. Le silence était maître du domaine et les soldats n’osèrent pas bouger, ne voulant pas énerver cette bête qui ne semblait qu’attendre un geste, une parole pour déchiqueter l’inconscient qui viendrait à vouloir tenter quelques choses. La brune vint à saisir sa boucle d’oreille gauche, alors que le leader du petit groupe vint à la regarder, comme attendant les ordres.  La prêtresse fit mine de capituler, le chef du petit groupe saisit doucement un petit sifflet autour de son coup.

- Nous allons signaler notre défaite avec cet objet, quiconque entendra ce bruit mettra un pied à terre. Pour notre armée cela est signe que nous ne pouvons plus nous battre.

Le soldat attendit d’avoir la réponse de l’Obliratire et vint à souffler dans l’objet, les montures venant à pousser un petit piaillement assez unique, comme sion venait de tirer sur une de leurs plumes. La monture du chef de groupe se mit entre Ariman et la prêtresse, cette dernière en profitant pour jouer sa dernière carte. Elle vint détacher ses boucles d’oreilles et saisir le premier objet pour les briser. Aussitôt les soldats furent comme transformer en brume et disparurent, le groupe d’armée qui avait abandonné la prêtresse furent entourer de brume et des bruit de monstre, des cris se mirent de peur, avant de ne laisser qu’une armée. La prêtresse était la seule encore présente, avec un léger sourire vainqueur. Elle n’aurait jamais laissé son peuple subir une seconde défaite et encore moins réduite davantage en esclavage. Elle ne pourrait plus utiliser les éléments aussi facilement, cet objet  étant un artefact donner par la déesse du Royaume, Megsui, déesse de la musique et des éléments. L’adolescente était certaine que la déesse veillerait à ce que son armée ne soit pas trouvable par les engins démoniaques d’Ariman, tout comme elle savait qu’elle avait totalement perdue.  Elle tenta de rigoler de sa situation minable, mais n’y parvint pas, sa gorge et ses forces venant à manquer, elle vint à s’effondrer, le souffle étant difficile à trouver, ses veine ressortant et ses lèvre d’un bleu bien plus intense que précédemment. 


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One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: jeudi 03 août 2017, 01:20:25 »
L’armée se mit à resserrer les rangs derrière la prêtresse, suivant l’assaut avec toute l’énergie qu’ils avaient, les montures venant à montrer des signes d’épuisements. La meneuse vit la monture se diriger vers Ariman, ne pouvant pas bouger le petit doigt pour l’éviter, ce ne fut que grâce aux réflexes de l’Oblirator, que la charge semblait avoir pris fin.  La monture démoniaque redevint un simple animal, venant à mal tomber et se briser les pattes, alors que la prêtresse vint à faire des roulé-boulé.  Elle  essaya de se relever, mais ses jambes manquaient de force, la monture de Nod ayant apparemment drainé une partie de l’énergie par la partie inférieur de l’humaine.  Lors que le colosse venait à s’approcher de la brune, un sifflement se fit entendre. Si une partie de l’armée vint à continuer l’assaut, une autre, toute sur les drôles d’oiseaux, se mirent à se scinder. Ce groupe, d’une vingtaine de personne, était sans doute ceux plus proche de la prêtresse et voyait en elle une jeune femme qui bravait le danger pour honorer sa nation morte.  Un autre sifflement se mit à se faire entendre et le groupe se scindait en deux. La première vint à charger le colosse arme à la main, dans le but de le distraire, alors que le seconds se mit entre l’agresseur et la prêtresse.  Le leader improvisé vint à donner les ordres.

- Occupez-vous de lui le temps que notre prêtresse se remplit !  

Le petit groupe n’avait certainement pas de chance de le vaincre. La prêtresse sentit son cœur se comprimer. Elle vint à parler aussi fort qu’elle le pouvait, sa gorge la faisant tellement souffrir qu’elle avait l’impression de régurgiter de la lave à chaque syllabe qu’elle prononçait.  

- Re …trai …te


Le leader de ce petit groupe vint à regarder la prêtresse avant de se mordre les lèvres et sortir un petit pistolet qu’il braqua vers le ciel, tirant une fusée sifflante qui vint à laisser dans sa trainée une couleur verte et explosa en bout de course de façon très stridentes. Immédiatement, le petite groupe se mit à  effectuer une charge suicide contre Ariman, pour le blesser autant qu’ils le pouvaient et, à défaut, utilser leurs corps et ceux de leurs montures pour permettre à la prêtresse de s’enfuir.  Pendant ce temps l’armée principale se mit à se scinder en deux. Ceux respectant l’ordre et ceux qui bifurquèrent vert la zone de tire. Les montures furent maltraitées pour arriver le plus rapidement auprès de la prêtresse, mais il allait falloir compter bien deux minutes, dans les meilleurs des cas, pour que la cavalerie vienne soutenir le petit groupe contre Ariman. Une troupe d’une trentaine de cavalier arriverait, pendant que plus de deux cents hommes fuyaient la capitale.  

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 02 août 2017, 06:17:28 »
*Zabusa se dit qu'elle est folle.*

*Ahs sourit.*

06h17

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One Shot / Re : Nexus en danger [PV Libre]
« le: mercredi 02 août 2017, 03:11:38 »
Le bruit de la bataille acharnée se faisait de temps à autre interrompre par la foudre qui tombait sans cesser, semblait gagner en puissance à chaque fois qu’elle frappait le sol. La prêtresse était dans une situation de plus en plus difficile, son corps ne cessait de transpirer, alors que ses lèvres devenaient de plus en plus bleues. Elle était bien trop concentrée sur son chant et éviter de stopper, qu’elle ne se rendait pas compte qu’elle ne faisait qu’aggraver l’empoisonnement qui semblait la ronger de l’intérieur. Ses plus fidèles troupes continuèrent d’avancer,  défendant farouchement l’adolescente, qui était le symbole de cette attaque contre cette nation oppressive.  La prêtresse savait que l’échec serait amèrement payé, ils avaient attaqué la capitale, dévasté des rues et semer le chaos, l’armée avait aussi fait preuve d’une magie proche de la nécromancie, tout était fait pour que l’instigatrice mérite la peine capitale, à savoir la peine de mort. Elle n’avait rien d’une tacticienne, Nod était clairement le cerveau de l’armée et comme il n’était plus présent l’armée était naturellement moins efficace, moins tactique dans ses choix. 

L’armée parvint aux portes de la moyenne citée, la prêtresse usant de sa foudre, le chant perdant en force au moment où elle tombait, sa gorge la faisait terriblement souffrir, son souffle devenant de plus en plus dure à garder, son esprit venant à perdre petit à petit de la cohérence. Elle se sentait faible et cela la faisait rager intérieurement, elle n’avait pas subit tout cet entrainement pour s’écrouler devant les porte du palais, elle devait tout faire pour réussir, même si pour cela elle devait y perdre la voix. L’armée allait se mettre à faire tomber la seconde porte, quand la monture de la prêtresse reçue une  flèche. Immédiatement les rares magiciens qui restaient dans l’armée vinrent à bombarder les archers qui avaient osé désarçonner la prêtresse, cette dernière montant la monture de Nod, à cet instant elle sentit la peur se mettre à la saisir à la gorge, elle se remit à chanter, essayant de reprendre là où elle avait stoppé, mais elle se rendit compte de quelques chose, son corps, sa voix ne semblait plus lui obéir.

Le brouillard et la pluie glaciale se mirent à stopper net, cependant les nuages restèrent sombre et l’armée attaquante, comme les soldats de Nexus vinrent naitre des tornades, ravageant la citée, il n’y avait aucune cible précise, ce n’était que des tornades qui emportaient tout ce qui se trouvaient sur le passage. La monture se mit à rire, ayant la même voix que Nod.

- Alors prêtresse, contente de ce spectacle, en tout cas j’ai une belle vue sur cette dévastation. Tu m’auras été utile, un outil parfait. Dommage qu’il ne te reste pas assez longtemps pour pouvoir te venger. Dire que certains t’ont suivi dans ta folie, folie dont je me désaltèrerais pendant un bon moment. Adieux. 

Le cheval semblait prit d’une frénésie et se mit à charger, l’armée suivant aveuglément leurs commandantes, fonçant droit dans le piège tendu par Ariman. La prêtresse allait égosiller sa voix en usant de la foudre sur Métabrutus et allait condamner son armée, sans pouvoir faire autre chose que se soumettre à l’emprise de Nod.



Le magicien était à présent hors des murailles de la ville, venant à remettre bien sa cape.

-  Notre déesse sera ravie de savourer cet élan de Folie. Bon il me faut chercher une autre victime. Les êtres assoiffés de vengeances sont si nombreux.

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