Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Cassandre Harmington

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Cassandre Harmington

Pages: [1] 2 3 ... 31
1
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: vendredi 19 avril 2019, 09:24:48 »
Karen aimait son père, mais elle n’était pas Elizabeth. Elle était beaucoup plus indépendante, elle n’était pas du genre à se faire marcher sur les pieds et surtout… Elle n’était pas comme Elizabeth, prête à se sacrifier pour le bien commun, ou pour empêcher de provoquer des conflits… Non, ça, c’était pas le style de notre chère Karen. Karen était du genre à faire ces sacrifices, oui, mais uniquement en connaissance de cause. Elle était empathique, mais pas sacrificielle… Contrairement à Elizabeth qui au fond, était capable de se faire prendre par son père, si comme ça, elle empêchait un conflit d’exister… Bref, sans doute qu’il avait réussi à éteindre l’incendie pour Karen, mais le feu pourrait reprendre…

« Oublions tout ça pour le moment... »

« D’accord, allez, bisous. »

Elle embrassa son père sur la joue, et était bien contente. Elle pensait que son père comprenait que visiblement, elle était grande, et qu’elle pouvait donc prendre ses propres choix. Ainsi, elle retourna tranquillement vers sa chambre. Karen allait bosser son Japonais, étant donné qu’elle était encore loin de maîtriser cette langue, et bien qu’elle parlait parfaitement Anglais comme énormément de japonais, et bien, sans parler la langue locale, elle savait qu’elle risquait d’être fortement handicapée… Donc, voilà, Mary, Elizabeth, et Karen, toutes les trois étaient dans leur chambre… Donc, qui allait voir William ? L’aînée c’était peu probable, et il avait déjà fait son chemin avec la cadette… Il reste alors que la benjamine…

« Mary, je peux entrer ? »

Aucune réponse… Mais absolument aucune. Pourtant, William… Et bien, savait qu’elle était rentrée, étant donné qu’elle s’était montré, avant de se mettre dans sa chambre. Donc cela ne faisait pas de doute, elle était bel et bien rentrée… Donc, pourquoi ne répondait-elle pas ? Oh mon dieu, et s’il lui était arrivé quelques choses ? Bon sang de bonsoir, là… Cela ne faisait aucun doute, il fallait intervenir, il fallait faire quelques choses, peut-être qu’elle était en danger ! Je veux dire, quel adolescente reste dans sa chambre, et ne réponds pas alors qu’on l’appelle ? C’est absolument impossible, donc, cela veut dire qu’une seule et unique chose… Il va falloir ouvrir la porte, pour voir ce qu’elle est entrain de faire… Et ainsi...

Quand on ouvre la porte de la chambre de Mary, on peut voir une chambre assez sobre… Mary derrière son sourire toujours marqué, ses amis… En vrai, était souvent seule. Ses amis, tout était du faux… Elle n’aimait pas spécialement ses amis, elle souriait à des garçons alors qu’elle s’en fichait d’eux… Elle était enfaite assez froide et sans émotion, une sorte de cocon de protection, pour ne plus penser à la mort de sa mère… Bref, elle était là dans son monde, et voilà pourquoi elle n’avait pas entendue son père : elle écoutait de la musique. La musique lui permettait de s’échapper, d’être dans sa bulle, et que personne ne l’embête ainsi… Elle est bien mieux là, cela ne fait absolument aucun doute… Cependant, l’arrivée de quelqu’un fit l’effet de crever sa bulle, et elle dut bien en toute logique répondre :

« Oh Papa, je t’avais pas entendu. »

Cela, c’était pas faux. Elle n’avait rien entendue du tout. Elle n’avait pas entendue les engueulades et montés de voix entre Karen et leur père, elle n’avait pas entendu même que sa sœur ainée était rentrée… Nope ! Donc, elle ne savait pas que son père était dans une situation… Spéciale disons ses derniers temps. Elle n’avait rien entendue, contrairement à Elizabeth, pour l’anecdote, mais passons sur ce point. Là, on parle de Mary, pas d’Elise ! Ainsi, cette première, là, elle était tout simplement entrain de retirer ses écouteurs, et regarde tranquillement son père… Et se demandait pourquoi il venait ? C’était bien l’une des premières fois qu’il entrait comme ça dans sa chambre, et que visiblement, il voulait lui dire quelques choses… Donc, elle était curieuse. Sans doute était-ce quelques choses d’important ? Ainsi, elle demanda simplement :

« T’as besoin d’un truc ? »

On va pas accuser sa naïveté, c’est vrai qu’elle était naïve, mais elle ne pouvait pas imaginer ce qui s’était passé plus tôt, que cela soit la perte de sa sœur, ou bien l’engueulade entre son père et sa sœur… Oh, mais comme est Mary ? Et bien… Presque en provocation, l’adolescente n’avait qu’une chemise, et était en culotte sous sa couverture, bien contente d’avoir pu retirer le reste de ces vêtements. Quand elle était dans sa bulle, elle voulait être tranquille, elle ne voulait pas être contraire par des vêtements… Et ouais quand même ! Cela semble fou, mais voilà, c’était le caractère de Mary. Un caractère éolien, et rêveur, et ainsi, elle offrit un léger sourire à son père, attendant donc une réponse.

2
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: samedi 06 avril 2019, 22:50:27 »
Cela avait été dramatique, expressif, bref… Presque caricatural, théâtrale, mais… Karen avait voulu bien faire comprendre à son père que c’était hors de question qu’il tente de contrôler sa vie. Elle avait sa vie, elle faisait ses choix… Elle était adulte maintenant, elle était capable de vivre, et elle était capable de se débrouiller. Et là, son père avait tenté de s’introduire dans sa vie… Et pas du genre subtil, non, du genre j’ENFONCE LA PORTE AVEC UN ENORME COUP DE PIED LOL ! Voilà un peu le style… Donc vous devinez que ce n’était pas trop une super bonne chose. Mais pas du tout. Bref, quoiqu’il en soit, Karen était prête à sortir, à quitter cette vie… Ouais, elle était totalement prête et...

« Non, ne m'abandonne pas toi aussi ! »

Et après cette phrase de son père, elle n’était plus du tout prête. Car elle avait entendue le mot « abandonner ». Vous vous rappelez du départ, quand on parlait de Karen ? C’était une personne empathique. Trop empathique. C’était justement pour cela qu’elle s’était attaché au meurtrier de son père, alors qu’on pouvait se dire que cela n’avait aucun sens, et que normalement, elle devrait fuir l’homme, le meurtrier, comme on fuit une horde de moustique ? Et bien, voilà que c’était son empathie qui avait parlé… Et dans le cas de son père, le fait d’entendre cela, le fait qu’il se sentirait abandonner, si elle partait… Cela lui fit mal, d’un coup, elle eut vraiment mal à la poitrine en pensant cela… Ainsi, elle écouta :

« Sans ta mère, je suis devenue un véritable zombie et même avec l'aide de ta sœur... Si toi aussi tu pars... Qu'est-ce que je vais devenir ? Je refuse de perde la moitié de ma famille comme ça ! »

« ... »

Elle resta donc encore un bon moment, la main sur la poignée de porte… Elle pouvait partir là, elle pouvait partir et ne pas revenir, laisser son père dans sa haine… Mais non, enfaite, elle ne pouvait pas partir. Jamais elle n’arriverait à partir comme ça, comme si de rien n’était… Non, elle appréciait  trop sa famille, et elle savait que son père avait eu des difficultés, que cela avait été extrêmement difficile pour lui, toute sa vie… Et voilà qu’il se retrouverait tout seul… Enfin, non, pensa-t-elle, il y avait… Il y avait Elizabeth, après tout… Mais quand même… Finalement, après un long moment, vraiment long, qui dura bien une minute voir deux… Et bien, elle se décida… Elle recula, et se retourna vers son père, et vint jusqu’à lui...

« Je suis désolée Papa, je me suis emportée. »

Elle déclara cela d’une voix timide, et gênée. Et c’était vrai. Dans l’histoire, c’était elle qui s’était emporté… Après tout, elle reconnaissait qu’elle avait pas tant cherché à comprendre son père sur le coup, et qu’elle s’était de suite braquée… Elle devait faire des efforts pour mieux tenter de comprendre son père, et faire en sorte que tout se passait bien. Oh, je vous rassure, ce n’était pas un appel de pied à la soumission et au refus de ces propres principes, non, bien entendue ! C’était le fait qu’elle essayait de comprendre, comme toujours, ayant fait toute sa vie sur la tentative de comprendre les gens, de les comprendre pour les aider… Ainsi, si elle n’avait pas abandonner le tueur de sa mère pour une faute… Elle se devait de pardonner à son père pour une faute aussi, n’est-ce pas ?

« Je t’abandonnerai pas, Papa, je suis juste un peu perdue ok ? Je suis désolée, j’ai surréagi… Je voulais vraiment pas te faire du mal. »

En effet, elle était vraiment un peu perdue… Pour elle, cela faisait beaucoup de choses… Comme Elizabeth, le deuil de sa mère avait été fait d’une façon extrêmement différente que son père, ce qui pouvait amener des confusions… Elle l’avait fait en se plongeant dans le caritatif, et surtout, en espérant pouvoir aider, vraiment, le tueur de sa mère, en espérant que tout allait s’arranger par la compréhension… Bref, elle espérait que son père pourrait comprendre, mais voilà, elle ne devait pas passer par l’agressivité et la méchanceté. Non, elle devait passer, encore une fois, comme avec l’assassin de sa mère. Elle devait rester donc par la douceur et la gentilesse. Après tout, son père avait énormément souffert, donc… Elle se devait de le comprendre. Et surtout, de dire ce qu’elle pense sur ce point...

« Je t’aime Papa. »

Elle attrapa la main de son père, et lui offrit un véritable sourire. Bien sûr qu’elle aimait son père, elle avait toujours aimée son père, et jamais elle ne l’abandonnerait, jamais elle ne le laisserait de côté. C’était son père. Elle regrettait jusqu’à où elle s’était énervé tout à l’heure, tout juste un peu plus tôt. Ainsi, tenant la main dans ses mains soigneuse, elle plongea son regard dans le regard de son père… Elle n’était pas Mary, elle n’avait pas les yeux de sa mère, elle n’était pas Elizabeth, qui était très proche de sa mère, mais elle était bien une de ces filles, et cela se voyait, à son allure générale, et dans sa gentilesse… Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’elle était la seconde captive de son père…

3
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: mercredi 20 mars 2019, 13:51:22 »
La situation était l'exacte inverse de ce qu'on aurait pu penser de prime à bord. En effet, on aurait pu penser dans un premier temps qu'on aurait une Karen calme, tentant de défendre son poisson, contre son père qui lui, serait complètement furieux, incapable de garder son calme, et dans une fureur explosive... Sauf que même si son père commençait à quelques peu s'agacer du comportement de sa fille, et bien, celle qui était la plus en colère, dans cette situation, cela restait Karen. C'était aucunement William, qui arrivait bien à rester calme... Même si comme dit précédemment, disons que certaines déclarations commençaient à montrer un agacement de plus en plus avancé...

« Comment tu veux que je tourne la page si tu agites sous mon nez la source du problème ? »

Ouais, euh là, c'était pas faux. On va pas le cacher, hein, Karen rappelait quand même la source du problème à son père... Mais dans un sens, enfin... C'était extrêmement égoïste ce qu'elle allait dire, mais voilà, il faut bien le dire, ce n'était pas son soucis. Elle était grande, elle avait 18 ans, elle était adulte, et responsable ! Il était temps que cela soit à elle de gérer ce genre de situation, hein, il faut bien le dire ! Elle n'était pas une jeune fille comme Mary, ou bien une soumise à papa comme Elizabeth, elle était une indépendante, elle était caapable de se débrouiller bon sang de bonsoir ! Ainsi, elle écouta les bras croisé, tapotant du pieds, les déclarations suivantes de son père...

« Karen, tu es ma fille, ma première fille, et je souhaite par dessus tout ton bonheur à toi et à tes soeurs... Mais ce que tu fais... je ne peux pas l'accepter... Imagine si tu vis la même chose plus tard ? Tu accepterais que ton enfant soit en couple avec la personne qui a tué ton mari ? Tu te dirais simplement ok, elle fait ce qu'elle veut, c'est la vie ? Ta mère était toute ma vie ! Grâce à elle j'ai eu trois magnifiques bébés qui deviennent peu à peu des femmes aussi belle qu'elle l'était. La perdre elle, c'était sûrement la chose la plus dure que j'ai eut à vivre dans ma vie... Alors te perdre toi... à cause de lui... c'est comme s'il t'avait toi aussi enlever de ma vie... tu peux comprendre ça... »

« Non. »


Outch. Un non court, rapide, sans aucune hésitation, et après à peine quelques nanosecondes -c'est pas possible-, après qu'il ait dit sa longue tirade. On va pas le cacher, Karen ne tentait plus de comprendre son père. Elle n'essayait même plus, car elle en avait marre, elle était énervée. Elle en pouvait plus du comportement de son père, qui en gros, à ses oreilles, se résumait qu'à une seule chose : « JE VEUX PAS ». C'était à ses oreilles toujours, un caprice, une tentative de tout contrôler et de ne pas la laisser murir tranquillement. Elle était grande, comme dit précédemment, c'est elle qui choisissait sa vie.

« Non, je ne peux le comprendre, car tu t'es infiltrée dans ma vie privée, et que tu veux m'imposer ta vision de la vie, en me mettant de suite coupable. »

Ouais, bon, là, c'est vrai qu'elle avait de quoi être énervée. Je rappelle que le SMS mentionnait le fait qu'elle commençait à peine, tout juste à penser à cette situation qui était donc totalement inédite pour elle. C'est pour cela qu'elle n'avait jamais parlé de ça avant. Là, c'était entièrement la faute d'Elizabeth, si son SMS n'avait pas été vu, sans doute que la situation aurait pu être expliquer plus simplement, avec moins de tensions et de soucis... Vous voyez ce que je veux dire ? Mais malheureusement, là, cela avait été fait de façon brutal, et donc, les deux étaient braqués... Et campaient sur leur position, refusant de bouger le moins du monde... Et ainsi, ce fut autour de notre chère Karen de reprendre la parole de façon assurée...

« Pour répondre à ta question : J'irais tenter, moi, de comprendre ce qui s'est passé. Et je tenterai de comprendre ma fille, au lieu de critiquer son choix qui n'est pas acté ! Je crois avoir des sentiments, mais je ne sais même pas si c'est réciproque, je ne sais pas ce qui va se passer, tout ce que je sais, c'est que je veux, en la mémoire de Maman, aimer et ne pas haïr ! »

Plus facile à dire qu'à faire ma vieille. Mais il fallait mentionner qu'elle n'avait pas tord sur un point : le fait qu'elle croyait juste, et donc, que rien n'était acté. Son père était allé très vite en besogne dans cette situation, estimant qu'ils avaient déjà une relation, alors que dans les faits, rien n'était fait. rien n'était acté, au contraire même ! Elle était au Japon, elle ne pouvait pas vraiment assurée que tout était fait, que tout était donc fini ! Ce n'était même pas fini, mais papa avait décidé de jouer les forceurs... Et bien, tant pis pour lui, il avait perdu dans l'histoire... Et ainsi, elle déclara d'un ton volontairement dramatique :

« Bravo, Pa'. C'est pas lui qui aura réussi à m'enlever de ta vie. C'est toi qui l'a fait seul comme un grand. Vas-y, déteste moi, engueule moi, emmène Elizabeth qui te suivra dans ta haine, j'm'en fous ! Je continuerai de vous aimer, de loin. »

Elle se dirigea vers la porte. Elle était peut-être -totalement- dans le mélodrame, mais elle voulait bien faire comprendre qu'elle était furieuse contre son père. Oh, enfaite, c'était pas tant « définitif » que ça. En temps normale, Karen restait une femme intelligente, sans doute qu'elle aurait la sagesse de réfléchir, et de revenir, s'excuser, et inviter son père à discuter plus calmement. Souvenez-vous dis plus haut ? Ce qui l'énervait grandement, c'était le fait que son père avait fouillé sa vie privée, et avait tenter de la juger, la critiquer, avant que rien ne soit vraiment fait. Peut-être une fois « cette » colère descendue, elle reprendrait un peu ses esprits, et les deux pourraient discuter paisiblement... Mais le problème, c'est... est-ce qu'il y aurait vraiment un après ? Comment allait réagir son père après de tels coups d'éclat ? Là, c'était une bonne question sans réponse pour le moment... je dis bien pour le moment...

4
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: jeudi 14 mars 2019, 19:44:45 »
Pas contente, voilà ce qu’était Karen. Pas contente envers son père surtout, mais pas contente aussi envers elle-même. Elle savait que cette discussion aurait lieu un jour, mais elle aurait voulu la contrôler, elle aurait voulu que ce soit ELLE, et ELLE SEULE qui amène la discussion sur le tapis, histoire de ne pas se retrouver fort dépourvue, quand la discussion fut venue. Vous comprenez ? Voilà pourquoi elle était donc fort embêtée de la situation. Mais bon… parfois, tout ne se passait pas comme vous voulez, et bien, vous n’avez pas d’autres choix que d’accepter que la situation n’est pas celle que vous voulez ! Il fallait donc faire avec, accepter, et se tenir prête à la situation donnée, en espérant qu’on arriverait à gérer ça…

Donc, elle l’écouta. Elle écouta ses arguments. Evidemment, Karen manqua de rouler les yeux hors de ses orbites tellement elle s’attendait à toutes les déclarations évidentes. Le coup des petits enfants fut la goutte d’eau qui débordait le vase. Ouais, il tentait de la faire culpabiliser. Putain, elle, elle avait fait des efforts ! Tandis que Mary avait ignoré, que William avait déprimé, et qu’Elizabeth avait tenté de tout garder difficilement en place, elle, elle avait tenté de comprendre, de pardonner… Donc, tenter de la faire culpabiliser… Elle allait vraiment pêter les plombs. Quel con pouvait-il être parfois ! D’ailleurs, elle allait lui faire comprendre, étant donné qu’il était de son devoir de faire comprendre à son père deux trois trucs.

« C’est ridicule. Tu connais rien de lui ! Tu sais pas à quel point sa vie a été difficile, et à quel point il regrette cette erreur ! »

Là, elle n’avait pas tord. Sauf qu’encore une fois, et bien… Son père ne lui reprochait pas du tout le fait d’avoir été gentille, le fait d’avoir voulu aider, le fait d’avoir voulu le ramener dans le droit chemin. Ce qu’il reprochait, et bien, c’était qu’elle était tombée amoureuse. Alors, bien entendue, c’était tout aussi stupide, étant donné qu’elle n’avait pas pu contrôler le fait qu’elle était tombée amoureuse… Mais voilà ! Donc, quoiqu’il en soit, il fallait bien préciser qu’elle n’était pas tombée amoureuse de l’homme qui avait tuée sa mère, mais bel et bien l’homme qu’il était devenue, après plusieurs années de prisons, après s’être racheté. Maintenant, il faisait des études, il commençait à se réintégrer… Il y avait de l’espoir pour lui ! Ainsi, elle déclara :

« Arrête d’imaginer des « si ». C’est arrivé, c’est arrivé. Maintenant, si tu veux t’aveugler dans la haine et être malheureux toute ta vie, c’est ton problème... »

Voilà. Voilà ce qu’elle proposait. Soit tourner la page, accepter l’avenir, soit rester aveuglé par le passé, et donc, rester malheureux. Elle… ? Elle avait fait son choix, depuis un moment. Son choix avait été prit, étant donné qu’elle était tombée amoureuse, elle avait donc prit le chemin du pardon, et avait décidé d’être heureuse. Maintenant, son père, lui, qu’allait-il faire ? S’aveugler dans sa haine, sa tristesse, le passé ? Pour Karen, visiblement, cela ne faisait aucun doute. Bon sang, elle n’aurait jamais cru que son père aurait pu être aussi stupide, et aussi peu intelligent ! Quoi ? Comment ça c’est la même chose ? Oui, mais euh… Elle est énervée… Faisant les cents pas, elle déclara plus pour elle-même.

« Bon sang, que j’ai été conne d’en parler à Elizabeth ! »

Elle ne faisait pas confiance en Elizabeth. Elle avait toujours été proche de papa, pensa-t-elle. Si ça se trouve, c’était elle qui l’avait cafté. Car ouais, le coup qu’il avait vu le téléphone COMME PAR HASARD au bon moment, elle n’y croyait pas. Sans doute qu’Elizabeth n’avait pas su quoi faire devant une telle situation, et donc, avait prévenue son père. Elle avait toujours été comme ça ! Mais bon, la seule coupable, dans l’histoire, c’était elle après tout. Elle reconnaissait qu’elle n’aurait pas du faire confiance à Elizabeth, et elle aurait du gérer tout cela toute seule. Elle ne pensait pas, car elle ne pouvait pas savoir que… Et bien, Elizabeth avait énormément sacrifié pour que justement, elle n’ait pas trop de soucis… Visiblement sans succès.

« De toute façon, t’inquiète. Tu ne voudras pas le voir ? Tu nous verras pas. Mes enfants n’auront pas à savoir que leur grand-père était un aigri qui n’a pas accepté qu’un homme pouvait se réformer. »

Bam, elle sortait ouvertement le fait qu’elle couperait les ponts sans aucun soucis. Après tout, elle était adulte ! Donc, elle pouvait décider qu’il était temps d’arrêter d’obéir aux ordres du paternel, et décidé qu’elle pouvait se débrouiller toute seule. Après tout, il suffisait de prendre son passeport, et ainsi, rentrer en Angleterre fissa. Elle n’avait pas du tout envie d’en arriver là, mais si son père ne lui laissait pas le choix, en restant aveuglé par sa pensée Moyen-Ageuse, et bien, tant pis ! Elle, elle n’avait pas envie d’être malheureuse toute sa vie en repensant à sa mère. Elle avait aimée sa mère, et celle-ci était morte trop tôt. Il était temps de faire le deuil, d’aller de l’avant, et de pardonner. C’est comme ça. Donc, ainsi, la jeune femme regarda son père. Qu’allait-il dire à ça ? Allait-il être intelligent, et chercher à comprendre ? Elle espérait.

5
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: samedi 09 mars 2019, 23:45:09 »
Une fois… Vraiment ? C’était impossible de savoir… Peut-être que finalement, notre chère Elizabeth allait changer d’avis, et elle allait rejoindre la prochaine fois de sa propre initiative le lit de son père… ? Ouais, c’était tout à fait possible, mais bon, on ne pouvait pas être sûre. Son « ça » et son « sur-moi » si on commencer à parler de psychanalyse carrément, et bien étaient en plein combat, et après cette première victoire du ça, il était possible qu’il en gagne d’autre plus tard ! Quoiqu’il en soit, tout cela, c’était du plus tard, elle avait d’autres choses à faire, là, maintenant, donc, elle devait se concentrer sur autres choses… Heureusement, ou malheureusement, et bien… Elle fut déconcentrée de cette tache par :

« Va te reposer, Elise, je vais m'en occuper, d'accord ? »

« Oki papounet ! »


Etait-elle naïve ? Stupide ? Bref, en tout cas, elle fit confiance à son père. Elle ne pouvait pas douter que les papiers allaient être donc conservés bien loin d’elle dans un coffre fort. Elle n’allait pas pouvoir y accéder. Mais voilà, peut-être euphorique à cause du sexe, voilà que notre chère Elizabeth décidait de faire confiance à son père, et allait tranquillement dans sa chambre. Une fois dans sa chambre, elle commença à jouer avec sa 3DS, et tranquillement faire une petite partie de Smash Bros en ligne, ignorant complètement le fait qu’elle s’était jetée presque sciemment dans la gueule du loup… Quel mauvaise idée… Mais voilà, elle était piégée maintenant, et elle avait presque acceptée son sort…

***

La première à rentrer fut Mary. Elle avait passée une super journée, et offrit un sourire à son père, tandis qu’elle retournait à sa chambre pour… Pleurer. Ouais, elle avait le mal du pays, mais tenta de faire le plus possible pour cacher cela à son père. Elle voulait rentrer voir ses amis, rentrer de nouveau à la maison, car le Japon, cela ne lui plaisait pas pour le moment. Ok, c’était peut-être temporaire, peut-être qu’elle allait aimer au final… Mais pour le moment, c’était si difficile ! Elle avait jamais vécue ça, et même le choc de la mort de sa mère, elle avait été si jeune qu’elle s’en souvenait plus tant que ça. Pour elle, c’était le plus gros choc de sa vie. Mais elle, on allait s’occuper de ces jolies fesses plus tard. Là, c’était autour d’une autre personne… Une personne plus importante dans cette situation :

Car quand Karen revint…

« Karen, vient me voir ma chérie, on doit parler. »

« Coucou Papa ! »

Elle était rayonnante, comme d’hab. C’était la plus vieille, et sans doute objectivement la plus belle du trio des sœurs. Elle avait une belle poitrine, des beaux cheveux, bref, elle était ravissante. Elle était contente de voir son père après cette journée, et elle comptait bien tranquillement discuter avec lui de ces premières journées au Japon ! Elle avait été réticente au début, mais y rester un peu avant de rentrer en Angleterre, cela lui plaisait plutôt ! Mais malheureusement, sa bonne humeur fut douchée… Visiblement, il… Il avait lu les SMS. Les SMS que la fameuse Karen aurait tenté de le cacher totalement… Mais voilà , comme il déclara :

« Il va falloir qu'on parle de ça. Et n'accuse pas ta sœur de quoi que ce soit, le portable était près de moi quand elle a reçu le message et le peu que j'ai vu m'a intrigué. »

« ... »


Ouh là… Le blanc fut glaciale. Mais quand je dis glaciale, c’est vraiment glaciale. Autant, comme j’ai dit précédemment, on sentait que le « coucou Papa », avait été un « Coucou Papa » content, là, elle était visiblement énervée. Énervée contre sa sœur surtout. Elle était furibonde contre Elizabeth. Déjà, car elle ne savait pas si elle pouvait croire son père. C’était bien le genre d’Elizabeth de cafter, elle n’aurait pas du lui faire confiance… Mais voilà, surtout… Même si elle n’avait pas fait exprès, elle aurait du faire gaffe putain ! C’était le texto que son père ne DEVAIT pas voir. Mais bon, quoiqu’il en soit, elle savait bien qu’elle n’allait pas pouvoir rester muette comme ça, aussi longtemps… Elle allait bien devoir parler. Et quand il faut parler… Et bien, elle commença alors à déclarer :

« En quoi ça te regarde ? J’tente de ramener un ancien criminel dans le droit chemin. Il peut être racheté, et Maman l’aurait voulu. »

Oui, totalement. Elle usa volontairement de l’image de sa mère pour faire comprendre à son père que c’était la bonne chose à faire. Après tout, il était de son devoir d’aider quelqu’un comme lui. Elle savait que le tueur de Maman, et bien… C’était pas un mauvais gars. Il avait fait une bêtise, une énorme, grosse, infiniment grosse même bêtise… Mais voilà, ça arrivait. Maintenant, elle estimait qu’il était inutile de le punir toute sa vie. Elle voulait l’aider à se relever elle voulait l’aider à qu’il retrouve le droit chemin. Et si l’une d’entre elles était morte à cause de lui, elle savait que leur maman aurait aidé à le faire revenir dans le droit chemin. D’ailleurs, ainsi, elle commença à déclarer, comme pour achever le coup :

« Et ça marche. »

Elle ne précisa pas que cela marchait au point qu’elle en était tombée amoureuse de cet homme… Mais passons. De toute façon, ce n’était pas à son père de se meler de ça ! Ouais, car là, le papounet, aux yeux de notre Karen, il était VRAIMENT entrain de se méler de ce qu’il ne le regardait absolument pas ! Qu’il se concentre plutôt sur d’autres trucs, car là, bah… Elle n’aimait pas du tout ça. Elle préférerait largement qu’il se concentre sur son installation ici, étant donné que bah, c’était à lui de s’en occuper. Ouais, elle aimait vraiment son père, mais le fait qu’il tente de se mettre dans SA vie privée, visiblement, c’était suffisant pour commencer à vraiment l’agacer… Donc, voilà… Ouhlalal… On allait voir comment cela allait se terminer, mais sans doute mal si vous voulez mon avis.

6
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 03 mars 2019, 10:18:23 »
Bah ça tombe bien on est le 4 mars... Ah bah euh non qu'est-ce que je raconte ?

7
One Shot / Re : La quête du Lait V2 [PV]
« le: jeudi 28 février 2019, 22:38:10 »
Le tout était extrêmement inconfortable. La situation… Dois-je le préciser ? Oui, allez. Donc, je vous rappelle qu’Ingrid était attachée. On pourrait croire, à juste titre, que le fameux gode qui était placée dans son intimité était la pire chose qu’elle subissait… Et vous n’auriez pas totalement tord. Je dis pas totalement tord, car voilà, il fallait bien se dire que c’était sans doute le plus gênant, oui, le plus inconfortable oui, mais pas le pire. Car le plus douloureux, c’était la chaine qui forçait ses bras à être attachés au plafond. C’était douloureux, très douloureux, elle voulait que ça cesse, car elle avait très mal aux bras maintenant. Arrêtez par pitié, elle voulait que ça stoppe. Elle ne savait pas pourquoi elle était là, ce qu’elle avait fait de mal…

Mais elle n’était pas seule. Malheureusement, l’autre fou excité lubrique était encore là. Et il était clairement toujours en chaleur, étant donné qu’il louchait sur son corps… Mais il était en compagnie d’une femme. Celle-ci était brune, et visiblement, avait clairement pas envie d’être là. On pourrait presque dire avec raison qu’elle préférait n’importe quel lieu plutôt que cet endroit, et cela, et bien, notre chère Ingrid ne pouvait que l’approuver. Malheureusement, les deux femmes ici présentes étaient minoritaires dans la pensée, bien que majoritaire en nombre, étant donné que le mec déclara :

« Ferme donc ta gueule. Tu veux que ta famille voit la vidéo où tu te fais enculer par deux mecs dans le bus ? J'ai aussi la vidéo dans l'église. Tu sais, quand tu nettoies le sol couvert du sperme des curés qui t'arroses de pisse pendant ce temps. » 

Ingrid ne savait pas qui était cette femme, et ne comprenait pas exactement ce qu’elle avait fait. Mais visiblement, l’histoire montrait que la femme et l’homme avait une relation. Elle ne comprenait pas les subtilités du chantage, et se contentait de gémir pour tenter qu’on lui retire le gode ou… Ou qu’on fasse quelques choses avec ces seins, car ils étaient si chaud… Elle put assistée alors totalement à l’acte de pénétration en levrette, qui fut d’une violence innouise. D’ailleurs, après avoir fini la levrette assez rapidement, il fit tourner la femme, pour que celle-ci finisse l’acte sexuelle par une bonne fellation. L’autre abruti lubrique alors décida d’en profiter pour porter sa casquette de professeur, et expliqua :

« Tu vois ce liquide qui sort de sa bouche, pétasse ? Tu vas bientôt pouvoir y goûter. Ca s'appelle du...  C'est du lait. Et tu auras besoin d'en boire régulièrement pour rester en bonne santé. Mais pas ce soir, le boss a malheureusement dit non. C'est con, hein ? Cette petite salope sera la seule à en profiter. Hein, pute ? Tu l'aimes mon lait ? » 

Non. C’était de la violence gratuite et mauvaise. Cela se voyait, cela se sentait. Elle était peut-être stupide, mais elle avait suffisamment d’intelligence pour se rendre compte qu’évidemment, cela n’était pas du tout quelques choses que cette « petite salope », chose qu’elle ne savait pas vraiment ce que cela voulait dire. Peut-être était ce qu’elle était ? Oui, c’était sans doute ça. EN tout cas, elle n’aimait pas ça, et visiblement, le lait était donc quelque chose qui était extrêmement désagréable, absolument horrible… Et qui était donné de force ? Ouais, c’était visiblement ça. Elle était loin d’imaginer qu’en vrai, c’était ce que développait ses seins, là, maintenant. Non, elle était bien loin de la réalité, et pour une rare fois, la réalité était bien plus rassurante que le mensonge énoncé par autrui.

Ainsi, pendant une demi-heure, elle entendit les cris de tortures de cette femme, une violence absolument infecte, une pure preuve de la pourriture humaine. Quel malchance ! Elle avait juste voulu améliorer son physique, et ainsi, elle allait finir ainsi. Et cette femme, qu’avait-elle fait ? Elle supposait sans doute la même chose qu’elle. Elle aurait bien aimé qu’elle reste, mais ce ne fut malheureusement pas le cas : Après donc cette fameuse demi-heure, le « couple » en quelques sorte, quitta les lieux, l’homme emportant la femme avec elle. Tant pis, elles ne pourraient pas discuter. Donc, de nouveau, notre chère jeune Ingrid se retrouva seule, à attendre, et surtout à espérer encore qu’on vienne la sauver, ou juste lui expliquer…

Une fois seule, son désespoir était encore plus grand. Elle avait juste envie de mourir, de se laisser violenter et mourir ainsi. Elle ne saurait ainsi jamais qui elle avait été, d’où elle venait… Elle serait juste un cadavre anonyme qui aurait perdu la vie visiblement entre leur griffes. Sans doute que des cadavres, ils en avaient empilés… ? Sans aucun doute. Pourquoi elle voudrait rester en bonne santé ? Depuis qu’elle s’était retrouvée dans cette source, elle n’avait été que violentée. Elle préférait mourir. Pas de chance, visiblement, une belle femme n’allait se transformer qu’en squelette décharnée si pas plus de subtilité et de douceur était fait. Ou alors, le gang qui avait capturé notre cher Ingrid avait des idées derrière la tête, et savaient comment empêcher cela ? C’était possible. On avait bien vu que leur leader était un être absolument terrifiant… D’ailleurs, qu’on soit clair, rien que penser à lui fit frissonner de peur la jeune femme.

8
One Shot / Re : L'Entreprise [PV : Alice]
« le: jeudi 28 février 2019, 19:34:33 »
Leona avait-elle des soucis psychologiques ? Alors là, je dis oui ! Comme dirait Julien Lepers. Enfin, si Julien Lepers lit ce genre de RP, ou participer à ce genre de truc, là, je vous avoue que je suis pas mal choquée. Franchement… Julien, ce n’est pas raisonnable ! Mais bref, alors, donc, oui, il y avait clairement des soucis entre elle, et les autres, et particulièrement le sexe masculin. Sans doute que Kenji en la voyant penserait qu’elle est membre du complot féministe (spoiler, si vous n’avez pas joué à Katawa Shoujo, jouez y. Franchement. En plus c’est gratuit.).. Mais elle avait un soucis. Peut-être un complexe, une souffrance, une mauvaise éducation… Tant de choses possibles, bien que l’éducation était sans doute lié. Etait-elle une victime ? Non sans aucun doute. Mais il y avait des choses à comprendre… Dans son comportement.

Mais abandonnons un peu cela, et concentrons-nous donc sur la scène. Nous avons vu les hommes, nous les avons étudiés, nous avons fait des blagues sur eux -ce qui est grosso-modo 80 % de mes paragraphes, n’est-ce pas ?-, Et bien là, concentrons-nous sur le beau sexe, comme dirait Ronsard ! (Oui, Juliens Lepers est accompagné de Ronsard). Donc, il y avait des femmes, mais elles n’étaient pas dans la même position que les hommes. Elles, elles n’étaient pas réduites à de la Forniphilies (quand vous aimez les objets, et l’objectification), mais elles restaient des esclaves, c’étaient des femmes de harem… Et là, Lucie devait rejoindre ce « harem » pour le moment. Ainsi, Leona la présenta au groupe :

« Mes chéries, je vous présente une nouvelle recrue !  Vous l’appellerez... Choupette ! C’est ma chienne personnelle, et je compte l’offrir en cadeau à ma mère ! »

Lucie, enfin, Choupette s’inclina. Donc, c’était sa son nom ? Elle allait pas cacher non plus… Elle était extrêmement honoré d’entendre qu’elle était la « chienne personnelle » de Leona. Alors, ok, elle devinait que c’était que temporaire, ce n’était que exceptionnelle pour cette soirée. Mais quand même ! C’est franchement un immense honneur d’entendre cela ! Elle rayonnait à l’intérieur, mais elle tentait de le montrer le moins possible. Donc, elle regardait les deux femmes qui furent les premières parmi la quinzaine d’esclave ici présente, à s’intéresser à elle. Pendant qu’elles venaient, Lucie, enfin Choupette remarqua donc les quelques femmes qui allèrent vers Leona. De suite, reflexe, elle surveilla ses esclaves, avant de se raviser. C’était stupide, sans aucun doute que celle-ci étaient tout autant formée, et donc, ne posait aucun soucis.

« On va s’occuper de toi, Choupette...
 -  Que tu ne manques pas d’amour...
 »

Elle fut surprise -mais tenta de nullement le montrer, quand même, c’est important-, par les femmes.  Physiquement, elle était parfaite, comme toutes les autres femmes, cela ne faisait aucun doute. Elle devinait que la Lactos -oh, c’est surprenant vu le nom-, se concentrait énormément sur les seins, qui étaient souvent la partie la plus belle des femmes ici présentes. Mais ce fut surtout le comportement des deux femmes. Etait-elle toujours à Ravenborn ? Sérieusement ? Elle se souvenait de la violence, de comment elle avait été brisée. Et voilà qu’elle se retrouvait dans des situations ou… Tout le monde était gentil avec elle ! Et elle en était contente. Mais elle ne devait pas le montrer non ? Elle devait être parfaite. Pour sa déesse. Ainsi, elle déclara :

« Merci à vous. »

Ouah, froid ! Elle déclara cela d’un ton mécanique, prête à faire ce qu’elle allait devoir faire, c’est à dire, du sexe. C’était à ça qu’elle était bonne. C’était sa spécialité, c’était ce qu’elle devait faire avant tout. C’était très important, étant donné qu’elle devait toujours satisfaire ses divins propriétaires non ? Donc, y comprit les deux autres esclaves qui étaient devant elle. Avec elles aussi, elle devait être parfaite. Pour que Leona soit satisfaite. Depuis qu’elle était ainsi, elle ne pensait qu’à une seule chose : Satisfaire sa déesse, faire ce qu’elle devait faire, être parfaite. Car ainsi, sa déesse serait satisfaite. Et c’était ça qui était important. Donc, en toute logique, elle commença à déclarer :

« Que dois-faire Choupette ? »

Oh, peut-etre que le lavage de cerveau, avait un peu trop bien marché. Elle était peut-être devenue un peu trop docile et obéissante. Peut-être… Ou peut-être que cet étape était tout à fait dans le système de formation, permettant après avoir développé son obéissance, et sa parfaite soumission, de lui redonner un peu d’indépendance, tout en ne retirant en rien sa soumission. C’était aussi le plan avait l’élevage qu’elle avait fait de notre chère Jeanne ! C’était justement ça le but. Faire en sorte qu’elle soit toujours soumise et obéissante envers Leona et sa mère, cela ne faisait aucun doute, mais qu’elle soit pas non plus froide et déshumanisé. Faire un mélange entre Lucie et F-182, c’est à dire… Oui, exactement ça. Choupette. Elle avait été Lucie. Elle était F-182. Il était temps de devenir Choupette maintenant.

9
Dictature d'Ashnard / Re : La Vache du Bonheur [Cassandre Harmington]
« le: jeudi 28 février 2019, 19:32:32 »
Trop c’est trop. Même endurante, comme elle était, Cassandre devait se reposer maintenant. Comme dit précédemment elle avait une soirée et une journée même en général très fatiguante. Il y avait même des moments qui avaient été durs pour la vachette, le kidnapping était évidemment le moment dont je veux parler. Mais est-ce qu’elle regrettait cette journée ? ABSOLUMENT PAS ! Au contraire, même, elle avait absolument passer une merveilleuse journée. On va même le dire… C’était la meilleure journée de sa vie. Pourquoi cela ? Et bien, car elle avait découvert plein de choses, plein de gens… Bref, cela avait été absolument exceptionnelle, et très enrichissant pour la vachette qui s’était découvert plein de nouvelles passions, comme la chanson. Donc, fatiguante, oui, mais génial.

« Repose-toi, ma jolie... Tu l’as bien mérité. »

Elle put entendre néanmoins cela avant de se coucher, un sourire aux lèvres. Elle put remarquer les baisers, et quelques modifications de position, sans aucun doute pour aider son gros ventre à dégonfler un peu -car oui, il fallait quand même rappeler qu’elle était bien remplie de sperme, la pauvre vachette-, mais ce fut à peu près tout. Bientôt, elle sombra complètement dans les bras de Morphée, et s’endormit totalement, dans un sommeil profonde. Elle était bien contente, et avait passé une super journée. Elle était d’une joie et d’un contentement qui ne faisait aucun doute : elle était extrêmement heureuse d’être ici. Elle n’aurait pas pu mieux tomber. Non, c’était complètement impossible, elle était dans un lieu génial.

***

Mmmh… Le sommeil fut si agréable… Cassandre dormi comme un bébé, bien que Melinda et Mikoto elle restèrent encore active un petit moment. C’est pratique son entrainement pas la déesse Lust visiblement, et c’est vrai que contrairement à Cassandre, elle avait beaucoup d’expérience, l’une grâce à la magie, et l’autre grâce au fait que c’était Melinda (dois-je vraiment préciser plus ? Non je ne pense pas.) Quoiqu’il en soit, elles aussi avaient fini par s’endormir, en toute logique. Elles n’allaient pas non plus rester éveiller toute la nuit ! Fallaient qu’elles dorment. Puis, c’était agréable de dormir aux côtés de Cassandre et Mikoto, n’est-ce pas ? Une bonne nuit pour dormir enfin un peu...

Mais la nuit à une fin, et la journée un début et… Ouah, je crois pas que j’ai sorti de phrase aussi bateau depuis un bon moment ! Bref, Cassandre fut réveillée doucement par la fameuse Mikoto, qui semblait toujours autant débordante d’énergie. Être une magical girl, c’est vraiment incroyable pensa la vachette qui émergeait. Et dire qu’elle aussi, elle avait beaucoup d’énergie, mais qu’elle était bien loin d’être aussi capable que la fameuse Mikoto… Faut dire elle était vraiment incroyable ! Moins que la maîtresse, mais personne n’était autant incroyable qu’elle ! Quoiqu’il en soit, après leur soirée, elles devaient absolument faire quelques choses, quelques choses d’important que Melinda lui avait dit hier… Ainsi, elle déclara :

« Coucou Mikoto, allez, viens, on va se la… »

Elle remarqua Melinda encore endormie. De suite, elle calma sa voix qui est beaucoup trop forte, pour passer un chuchotement.

« On va se laver. »

Ni une, ni deux, elle attrapa Mikoto, et la traina vers la salle de bain. Et oui, deux choses à dire. Premièrement, c’est logique, Mikoto ne savait pas où était la salle de bain vu qu’elle était arrivée dans la nuit. Mais surtout, il ne fallait pas oublier… Cassandre était une Ushi ! Et donc, elle avait de la force ! Pas autant qu’une vampire, mais plus qu’une magical girl, surtout légère comme notre chère Mikoto ! Ainsi, Cassandre était largement capable de la porter comme une princesse. Cela étonna bien entendue Mikoto, mais elle apprécia particulièrement que Cassandre la porte ainsi, sans aucune hésitation. Ainsi, il n’y avait pas que Cassandre qui se sentait adopter en ce nouveau lieu, elle aussi, elle se sentait intégrer…

Et ainsi, les deux femmes se lavèrent. Ce fut sans sexe, je tiens à le préciser… Mais pas sans attouchement et caresse intime, bien entendue. Mais Cassandre avait une idée derrière la tête et l’avait expliqué à Mikoto qui était entièrement d’accord, et qui trouvait donc l’idée extrêmement bonne, mais parfaite et nickel. Donc, pas le temps de faire l’amour alors qu’on se lave. Bon, les caresses, c’est obligatoire, et puis, c’est pour s’aider à se laver, donc, cela compte pas comme quelques choses de mal ! Oh que oui, c’est moi qui vous le dit. Ainsi, les deux furent entièrement propre, habillé, prêt à faire leur truc… Ainsi, un petit moment s’écoula, avant que Melinda puisse entendre, peut-être même la sortir du sommeil si elle dormait encore…

« MAITRESSE PETIT DEJEUNER ! »

Et oui ! C’était ça le fameux truc qu’elle voulait faire, notre Cassandre!Un bon petit déjeuner ! Et ouais, Melinda l’avait bien mérité, aujourd’hui, ça serait petit déjeuner au lit, et fait par Cassandre, et donc également Mikoto qui évidemment avait aidé, étant donné qu’elle avait été là, et dans le coup avant la vachette ! Cela aurait été absurde qu’elle ne soit pas invitée à participer ou pire qu’elle y soit chassé ! Cela n’aurait eu aucun sens, et Cassandre en avait bien entendue conscience ! Donc, Mikoto et Cassandre avaient combinés leur talent, non pour faire une magnifique scène orgiaque comme hier soir, mais un bon petit déjeuner. D’ailleurs, Cassandre en présentant le plateau à Melinda, déclara et expliqua :

« Hihi, on a fait ça avec Mikoto ! »

On aurait pu croire le tout maladroit et pas très bon, vu le côté un peu pas doué de nos deux protagonistes, mais… Non ! Pas du tout ! Les œufs et le bacon étaient parfaitement cuit, le lait fraichement trait -on se demandait d’où il venait...-, le jus d’orange nickel, la présentation parfaite… Et ouais, il fallait pas oublier que Cassandre n’avait pas été QUE éduqué à donner du lait. Elle n’était pas une vachette bas de gamme que tu enfermes dans un mur, seins libre service, et que tu traits jusqu’à ce qu’elle soit fini ! Non pas du tout. Cassandre avait été éduquée pour être une vachette à traire, mais aussi une vraie maid, capable de cuisiner, de nettoyer, etc. Elle n’était pas la meilleure dans ce genre de tache, mais elle était largement capable de se débrouiller, et elle venait de le prouver, avec l’aide de Mikoto bien sûr, qui fut d’une aide enthousiaste et très précieuse, cela ne faisait aucun doute.

10
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: jeudi 28 février 2019, 19:30:06 »
Elle était entrain de le faire ! Elle était vraiment entrain de le faire ! Elle avait qu’avait tant résisté, qu’avait tant fait en sorte que cela n’arrive pas… Et voilà qu’elle se retrouvait à faire l’amour avec son propre père. Et le pire, c’est que si quand elle avait commencé, elle avait ressenti de la gène, de la honte, qu’elle était entrain de faire l’un des trucs les plus tabous qu’elle n’avait jamais fais… Et bien maintenant alors que l’acte était bien entamé (oui, ça je crois qu’on peut le dire sans soucis que l’acte est bien entamé, hein), et bien… Voilà qu’elle considérait cela comme normal, comme si de rien n’était, comme si elle faisait quelques choses que n’importe quelle fille pouvait faire avec son père… Alors que dans les faits, non, ce n’est pas non plus si communs…

« Mhhh, vas-y, ma chérie... détends-toi.  Relâche-toi ma chérie... Papa va continuer encore un peu... »

Débutante en sexe, elle obéissait au doigt et à l’oeil à son père. Faut dire celui-ci ne donnait pas des ordres méchants, au contraire. Il n’y avait rien de violent ou méchant dans cet amour, ce qui faisait qu’elle l’approuvait totalement. Au contraire, tout était douceur et on s’occupait bien d’elle. Elle ne pouvait que aimer. Elle ne pouvait que approuver. Elle ne pouvait qu’aimer. Ainsi, elle se détendait, se relachait, se laissait faire, offrait donc à son père aussi bien son entière soumission que son entière coopération, appréciant de plus en plus ce qui était entrain de lui arriver… Bon sang, son père était bon, c’était le coup parfait pour une première fois, et elle était heureuse de ce qui lui arrivait… Cela se sentait dans ses gémissements, dans ses actes, dans ces dires…

« Oh bon sang, Elise ! »

Et voilà ! Le double orgasme, une magnifique scène ! Enfaite, dans les fait, ce n’était pas tout à fait un double orgasme, elle avait orgasmé, elle, peut-être une bonne minute avant son père. Mais vous connaissez la licence artistique de l’écrivain : on peut se permettre de faire quelques choses d’un peu différents, tant que c’est beau ! Vous connaissez Dumas ? C’est celui qui a dit « on peut violer l’histoire, tant qu’on lui faire de beaux enfants ! » Et bien, là, c’est pareil, on peut violer tant qu’on fait un bon RP… Mmh… Je crois que je me suis trompé. Bref, quoiqu’il en soit, elle était dans un état de grand bonheur, de jouissance, elle était heureuse, vraiment heureuse de ce qui lui arrivait. Mmh, que de bonheur ! Et ainsi, quand son père commença à lui demander comment ça c’était passé, elle n’hésita pas avant de répondre :

« J'espère que tu as aimé, ma chérie ? Je suis en tout cas heureux d'avoir partagé ça avec toi... Cela restera notre petit secret, ma chérie... Mais si tu veux recommencer, dans la journée, ce soir, plus tard, tu peux venir me rejoindre dans mon lit, Elise. »

« Voyons Papa, j’ai dis, ça ne serait qu’une seule et unique fois ! Mais… C’est vrai que j’ai adoré papa... »

Elle tint bien à le préciser… Mais elle n’avait aucune idée de si cela allait vraiment rester le cas, franchement. Elle avait aimé, et ne ressentait plus de honte à cela. Après tout, c’était son père, et c’était un secret entre lui et elle. Donc… Il n’y avait pas de soucis non ? Personne ne saurait jamais rien de cette escapade et des… mmh… prochaines ? Elle ne savait vraiment pas s’il y en aurait pas, mais elle pouvait pas non plus ignorer que peut-être que cela arriverait. Elle décida de ne pas y penser pour le moment, et de laisser cela dans le champ des possibles, mais sans plus de détail. Oui, elle avait l’impression que c’était un bon compromis pour le moment. Ouais, elle décida donc de laisser ainsi… Quoiqu’il en soit, elle écouta attentivement les déclarations de son père, déclaration très important...

« Si tu as la moindre question, tu peux m'en parler, Elise... Tu as été là pour moi depuis que ta mère n'est plus... Et moi, je n'étais pas vraiment là pour vous trois... Je veux me rattraper, si tu as la moindre question... J'y répondrais, ma chérie. »

« Papa, tu as toujours été là. Sans toi, on aurait été seule et à la rue. T’as au contraire jamais pris soin de toi. »

Sans hésitation, elle se laissa tomber dans les bras de son père, et lui offrit un câlin. Elle trouvait totalement absurde quand il disait qu’il n’avait pas vraiment été là. Au contraire, il avait toujours été là, il avait tenu malgré le désastre et le malheur. C’étaient elles qui n’avaient pas fait assez, et Elizabeth estimait qu’elle avait fait un grand pas pour que son père aille mieux. Car au contraire ce qu’il disait, il a toujours pris soin d’elle, et jamais de lui, ce qui fait qu’il était dans cette dangereuse pente de l’autodestruction. D’ailleurs, elle estimait même que s’il avait prit soin de lui, sans aucun doute que tout cet épisode n’aurait jamais eu lieu. Mais voilà, il y a eu lieu. Donc inutile de faire comme si cela lui avait déplu -au contraire même-, mais voilà… Elle déclara alors d’un ton joueur, qui lui avait manqué ses dernières heures :

« Allez, Papa, je me rhabille ! Imagine Karen entre maintenant hihi ! »

Elle avait retrouvé son état d’avant tout ça ! Ce ton joueur, taquin, qui ressemblait tant à celui de sa mère. Elle avait retrouvée sa bonne humeur, et ne stressait plus. Même l’histoire de Karen et son « petit copain » meurtrier, et bien, voilà qu’elle y pensait plus, contrairement à son père. Non, elle avait retrouvée un ton innocent et content, comme si elle était elle-même contente de ce qui s’était passé, et qu’elle en avait eu bien besoin. Ouah, c’est quand même totalement fou, vous imaginez ! Voilà qu’elle aurait besoin de cela ? Bref, quoiqu’il en soit, elle termina de totalement se rhabiller, mettre bien ses vêtements, laissant quand même -cela serait absurde de penser à de l’intimité après ça-, son père voir son corps alors qu’elle se rhabillait. Une fois cela fait, elle se tourna vers son interlocuteur et déclara :

« Va falloir s’occuper de ces maudits papiers ! Karen et Mary vont sans doute bientôt rentrer en plus ! »

Entièrement habillé, elle revenait sur le sujet de base, un peu comme si rien n’était arrivé, bien qu’elle était toute contente. Toute contente, car elle avait prit son pied, qu’elle avait découvert l’amour et qu’elle avait passé un super bon moment malgré ses premières réticences… Et aussi, deuxièmement et plus important encore… Son père avait passé un bon moment. Sans aucun doute qu’il avait passé une des meilleures après midi depuis bien longtemps, depuis que leur mère était morte. Elle était heureuse qu’elle ait pu faire quelques choses de pour elle si simple, mais sans doute si important pour son père.  Donc, elle était contente. Mais retour à la réalité, elle devait s’occuper de ces maudits papiers ! C’était vraiment important, si elles voulaient s’émanciper un jour, et vivre au Japon ou retourner en Angleterre…

11
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 25 février 2019, 15:05:48 »
Je neuf pense pas que ça soit volontaire... C'est compliqué de trouver parfois !

12
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 24 février 2019, 21:22:16 »
Une vachette peut-elle se proposer ?

13
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 23 février 2019, 10:22:30 »
On est bien tout les quatre, hein =D ?

14
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 22 février 2019, 16:10:16 »
Et voilà le gâteau ! Une belle Cassandre !
Venez la gouttez <3

10 !

15
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 22 février 2019, 09:59:35 »
Oh oui mince ! Sept pas con comme remarque ! Quelqu'un en a ? Mon cul pour de la farine !!!

Pages: [1] 2 3 ... 31