Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Rachele Florenza

Pages: [1] 2 3 ... 19
1
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: lundi 17 octobre 2022, 20:45:54 »
Malgré la brutalité de son amant qui la réduit de plus en plus à son ancien état d'esclave, Rachele garde une forme étrange de clarté d'esprit. La drogue que son nouveau Maitre n'oubli jamais de lui injecter à beau la maintenir dans un état de servilité et d'abrutissement, la belle Dona preserve parfaitement les apparences tout en obeissant efficacement à ses ordres.

L'hypnose de la machine Thekane et le comportement autoritaire de Ryo ont fait ressurgir son "autre elle", celle qu'elle était devenu sous l'endoctrinement d'esclave parfaite que lui avait infligé son oncle. Et cette autre elle a été formée, non, formatée pour obeir au mieux aux ordres du mieux qu'elle peut.

Au font de son esprit, enchainée dans une petite cage gluante, la vrai Rachele assiste horrifié au spectacle, se débattant et hurlant pour sortir et reprendre le contrôle. Mais pour le moment, elle est trop faible, et Ryo trop précautionneux.
Et elle l'accompagne dans la limousine couleur crême.

Rachele – Silvio, nous dinons à "L'Au-Delà" ce soir.

Le chauffeur acquiesse de la tête et Rachele referme la vitre sans teint qui les sépare. Les mains tremblantes, l'esprit toujours surchauffé par le lavage de cerveau que la machine vient de lui infliger, elle ne pense qu'à une chose, jouir en empalant sa gorge sur le membre de son flic. Mais celui-ci la repouse et la maitrise en la prenant à la gorge, ce qui l'excite encore plus...

Très vite la limousine arrive à sa destination, mais pas suffisament pour empécher qu'une petite flaque de mouille se soit formée là où elle était assise les fesses à même le cuir du fauteuil. La belle mafieuse dégluti, rabat les pants de sa robe sur son intimité jusque là offerte à la vie de Ryo et le guide vers l'ascensseur de l'hotel particulier, le repaire de son ancienne Lieutenant... et probablement la plus dangereuse... Vierna.

Quand il arrête l'ascensseur, Rachele à l'impression d'être en train de fondre de désir, ses pensées totalements obscurcies par son désir. Mais même alors, la brutalité du ripou la surprend et lui fait pousser un petit gémissement de surprise quand il la retourne contre la rembarde de l'abitacle.

Rachele – Ho je...

Elle n'a pas le temps de dire un mot de plus que déjà il lui arrache le fin tissu de son string et presse son gland turgessant contre la délicate plissure de son anus trempée de mouille. La jeune femme parvient à lever une main à ses lèvres pour etouffer ses propres cris au moment où il commence à s'enfoncer en elle.

Rachele – Hen! Mmmph...

Le premier coup de rein a été un mélange si brutale de douleur, de plaisir et de satisfaction du désir qu'elle n'a pas reussi à retenir son premier cri. Ryo la sent se cambrer toute entière devant lui et sent sa queue se faire écraser dans un  étau de chaire brulante tant l'anus de la belle se contracte autour.

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L'échange est aussi sauvage que silencieux. A chaque coup de butoir, Rachele ettouffe un hurlement entre ses doigts et se cambre contre lui. Deux fois, trois fois, quatre fois, cinq fois... elle n'arrive plus a compter parce qu'elle commence déjà a jouir. Et visiblement il la sent venir tant elle lui écrase la queue, car très vite, il vient à son tour.

Rachele pousse un long râle de plaisir et souille sa robe de quelques goutelettes e ciprine alors que son ventre se rempli de foutre chaud. Puis sans un mot, il se retire et referme sa braguette, Rachele de son coté se redresse et remet les pants de sa robe en place, comme si de rien n'était, dans une synchronicité parfaite. Ça été rapide, brutal, elle a jouit, elle est satisfaite et peu reprendre son rôle.

L'ascenssion reprend quelques instants et les portes s'ouvrent sur un aéropage de serviteurs qui l'assaillent de question bienveillante et hypocrites: "Dona désir la baie vitrée ou le petit salon ?" "Votre ami mange avec vous ou il restera debout ?" "Quel fleurs préférez vous à votre table Sinora Florenza ?"

Cette mascarade est interrompu par un rire cristalin et envoutant suivi d'une voix suave.

Vierna – Comment ? Ma cliente préférée s'invite chez moi sans me prévenir ?

VIERNA
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La femme qui fend une foule subjuguée par sa présence est élancée, rousse et dispose comme Rachele d'un corps d'une perfection sculpturale. En la voyant, tous les instincts du flic, du dur à cuir rompu au danger, se mettent en alerte pour résister au magnétisme écrasant de la jeune femme.

Elle semble parfaite, trop parfaite, son visage , véritable gravure de mode, est trop lisse, trop dépourvu d'imperfection humaines. Sa splendeur appel à des désirs fou et défendus, à lâcher prise, à perdre le contrôle et même lui ne doit qu'a sa volonté d'acier  de ne pas ressentir un sentiment d'admiration, non, pire, de dévotion.

Elle arrive devant le duo et plonge son regard étincelant dans celui de Rachele, elle  plisse les yeux l'espace d'un instant avant de les tourner vers Ryo. Ce sont deux puits étincelants, des gouffres d'une eau claire mais toxique et le flic sent qu'au delà de ces abysses, quelque chose de bien plus grand le regarde.

Vierna – Ho... je comprend mieux maintenant... tu voulais me faire la surprise et me présenter ton nouveau cavalier... Ou serais ce un roi ?

Vierna le scrute plus profondément encore, un malaise est sur le point de s'installer quand saisit à son tour le bras de Ryo pour guider le duo vers le carré VIP.

Vierna - Peu importe ! Vous etes mes invités ce soir et je vous veux à ma table ! Vous serrez beaucoup plus amusant que mon dernier client.

Ryo est désormais entouré de deux superbes et sulfureuses créature. Aucun homme sur son passage ne peut s'empêcher de le regarder avec envie, jalousie, admiration, comme s'il était un Grand de ce monde, un de ses maitres. Et c'était peut etre ce qu'il était en train de devenir après tout...

La rousse leur fait emprunter un vaste escalier de marbre blanc, veiné d'un rouge artériel, presque sanguin, jusqu'à une estrade qui surplombe toute la salle de réception où un orchestre est en train de jouer.

Sur cette estrade, une table décorée d'une nappe de soie blanche brillante et un bouquet de roses rouge également, le même rouge que le marbre. A cette table est déjà installé un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de 16 ans, visiblement mal à l'aise et introverti. Il est entouré de deux femme, la première est la plus grande et belle. Elle doit avoir dans les 35 ans et porte un tailleur élégant et une paire de lunette, quand l'autre semble avoir le même âge que le garçon et porte un uniforme d'une prestigieuse école privée de la ville.

Vierna - Excuse moi Yaochi mon garçon, je devais recevoir mes amis. Je te présente Rachele, oui, tu as bien entendu, la Reine du Rachele'S Club et son cavalier Monsieur ?

Le garçon rougit, il semble encore plus gêné. Les deux femmes qui l'entourent lève leur regard vers Ryo et lui sourient. Le flic remarque immédiatement que quelque chose ne va pas chez elles. Elles lui sourient d'un air un peu niais et regardent fixement les choses en caressant distraitement le dos, les bras ou même... l'entre-jambe du garçon...

2
Le quartier de la Toussaint / Re : Blacksad [PV Veronika]
« le: samedi 08 octobre 2022, 12:42:03 »
Veronika - - non... pas ça... par pitié je ne peux pas... pas de vulgaires humains... pas des hommes c'est dégradant, tuez-moi à la place ! Je ferais ce que vous voulez, mais pas coucher avec des terriens...

En entendant sa nouvelle esclave la supplier, le sourire de Rachele se fait plus franc mais son regard, lui, durci d'autant plus.

Rachele – Ma pauvre petite pute... tu crois encore que tu as le luxe de choisir quoi que ce soit ?

La mafieuse soupire et allume une nouvelle cigarette avant d'en tirer une longue bouffée et d'en cracher la fumée au visage de Veronika.

Rachele – Je vais demander au tenancier du bordel de s'occuper de toi comme des autres putes humaines de bas étage, je suis certaine que la baise, les drogues et l'alcool te ferons entrer dans le moule.

Sur ces mots la porte en acier rouillée s'ouvre de nouveau et un homme répugnant et gras, uniquement vêtu d'un débardeur blanc crasseux et d'un sac "banane" à demi rempli de billets froissés entre dans la pièce pour empoigner la Néko par la chevelure.

Maquerot – C'est la nouvelle pute Boss ?

Dit il d'une voix enrouée par une consommation excessive de cigarette.

Rachele – Oui, traite la exactement comme les autres, je veux qu'elle soit aussi brisée et obéissante que le reste de tes putes.

Le porc sourit en entendant ces mots. Sans répondre, il salut sa patronne et met immédiatement un point d'honneur à faire ce qu'elle demande. Il tire les cheveux de Véronika en arrière pour lui faire relever la tête, il empoigne son beau visage entre les doigts graisseux de son autre main et lui crache sur les lèvres.

Maquerot – Si t'es sage t'aura droit à une double dose pour te sentir bien et l'honneur de te faire bourrer par ma queue.

Puis il saisit la laisse des mains de Rachelle et tire Véronika avec brutalité vers la porte qu'il vient de franchir et d'où proviennent les hurlements et les soupirs qu'elle entend depuis tout à l'heure. Rachele la regarde partir en lui souriant et en lui faisant un petit signe de la main.

Rachele – Bail bail Veronika... la prochaine fois que je te verrais tu ne te rappellera même plus de ton nom, tu seras une pute comme les autres.

Son rire résonne aux oreilles de la belle Néko enchainée jusqu'à ce que la porte se referme et que Véronika découvre l'ignoble bordel dans lequel son nouveau "propriétaire" la traine.

Des matelas crevés et jaunis par l’usage, le temps et le sexe sont disposés à même le béton défraîchi du sol. L’odeur de sueur, de foutre, d’urine, de sang et de cigarette mêlé à l’alcool y est entêtante. Les occupants y sont affalés comme des porcs dans la fange d’une étable en une énorme partouze où des hommes rustres et de peu de moyens : ouvriers de chantier, clandestins, petites frappes et salarieman sur le déclin, se font passer les filles après les voir malmené, violenté et baisées.

Abrutis par les drogues qu’on leur injecte constamment pour les garder dociles et obéissantes, les bras couvert de bleus dû aux piqûres, aux doigts et aux coups ; totalement épuisées, lessivées par les interminables heures de baise qu’elle subissent en permanence, ces jeunes femmes ne sont plus que l’ombre d’elle-même.

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Telle des poupées de chaire, des pantins dont on aurait coupé les fils, elles se laissent manipuler par des mains bestiales qui jouent avec elles comme si elles n’étaient que des objets qu’on peut casser. Elle se font pénétrer par tous les orifices sans qu’elle trouve encore la force de résister ou de hurler leur refus.

Elle se contentent de gémir et de crier quand les innombrables queues de leur tortionnaires les pénètrent sans ménagement, profitant du sperme du précédant client pour ne pas perdre de temps en lubrification.

Celles qui ont le malheur d’être suffisamment consciente de ce qu’elles subissent trouvent encore un peu d’eau que leur corps n’a pas utilisé en sueur et en ciprine pour pleurer pendant que leur « propriétaires temporaire », leur « locataire » les sodomisent avec une bouteille de vieux saké ou tente maladroitement une triple pénétration. Ou tout autre acte dépravé dicté par leur perversité.

D’autres dont le cerveau a totalement été détruit par les drogues et le traumatismes ou que la folie a transformé en nymphomanes hystériques, en viennent même à empoigner les bites dressées des clients qui les leurs présentent pour les guider vers leur bouche, leur cul ou leur pauvre vagin béant et déformé.

C'est au milieux de ce spectacle d'horreur pure, de violence et de pornographie abominable que le maquereau de Rachele traine sa nouvelle pute, ignorant les gémissements et les cris de refus de Véronika.  Le peut d'énergie qu'il lui reste à ce débattre ne lui permet pas de résister à la force de cet homme obèse, presque nu et suant, la queue encore luisante de la mouille de sa dernière victime.

Il l'entraine inexorablement vers le dernier matelas encore libre du bordel, entouré d' innombrables autres sur lesquels le même spectacle répugnant se répète encore et encore. Spectacle que la belle néko est sur le point d'intégrer... nouvelle figurante dans ce chaos de chaires fatiguées et soumises.

Alors que son "maque" l'enchaine à même le sol et lui prépare un fixe pour l'abrutir, les clients délaissent leurs putes humaines et se rapprochent de Véronika pour profiter de la nouveauté que leur offre une esclave Néko.


--- Deux mois plus tard ---

Station de métro désaffecté de Sekuzu.
Trois heures du matin

Brian – En continuant dans cette direction sur cent mètres on atteint la bouche d'aération du Rachele'S et on peut s'introduire dans l'infrastructure, ni vu, ni connu.

BRIAN
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Le jeune homme passe une main nerveuse dans la crinière ébouriffé et blonde de sa chevelure, la musculature svelte de ses bras mises en valeur par le néon rouge de la coursive et celle de son torse  par le tissu moulant de sa tenue de combat.

S'infiltrer dans l'enfer technologique de la baronne du crime locale, il n'y a que pour peu de personne qu'il aurait pris de tels risques. Hors toutes ces personnes sont avec lui maintenant, à l'exception d'une seule, celle qu'ils sont venu chercher...

Véronika, Brian la connaissait déjà alors qu'il n'était encore qu'un petit chapardeur de treize ans et elle, pas encore l'impitoyable chasseuse de prime cybernétique qu'elle était devenue par la force des choses. C'est son amie et des amies, il n'en a pas, en dehors des trois femmes qui lui font face et a qui il expose son plan d'attaque.

Samantha – Dona Florenza doit avoir un service de sécurité au top mon coeur, m'est d'avis qu'on arrivera pas à sortir Véro de là sans se battre...

SAMANTHA
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La beauté aux formes généreuses à peine dissimulées et à la chevelure auburn gratifie son mari d'un sourire carnacier. Toujours prête à se plonger au coeur du danger avec l'amour de sa vie. Pour la crinière blonde et le regard étincelant de Brian, elle serait prête à affronter l'Enfer et d'une certaine manière, c'est ce qu'elle s'apprete à faire. Longtemps, Samantha avait crain qu'il n'y ait plus que de l'amitié entre son chère époux et Véronika. Mais avec le temps, elle avait appris à l'aimer et à la respecter, au point de tout risquer pour la sauver.

Alicia – Remarque, si on peut en profiter pour coller une balle entre les yeux de cette salope avant de partir c'est tout bénèf non ?

ALICIA
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Ajoute la blonde sulfureuse en faisant une accolade à son grand  frère. Cela les fait tous sourire et détend l'atmosphere, l'optimisme guerrier d'Alicia ayant toujours le don de rassurer tout le monde sur leurs chances de reussites. Difficile d'imaginer que derrière ce ravissant regard turquoise se cache une terrible derviche, maniant les lames comme personne au point d'avoir fait de son corps tout entier une arme. Elle, elle n'a jamais rencontré Veronika, mais elle sait que si son frère est encore en vie aujourd'huis, c'est uniquement grace à la néko et le temps est venu pour elle de régler sa dette.

Elyse – Mais... je veux dire... vous êtes certains qu'on est suffisament nombreux ? J'ai regardé les plans, c'est immense le truc qu'ils appellent "L'AZYLUM"... il doit y avoir une armée de garde... de système de sécurité...

ELYSE
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Dit en frissonnant le ravissant petit bout de femme aux cheveux bleus. Son regard troublé semble trahir le danger que ses amis refusent de regarder en face. Entrer dans le Rachele'S Club est une mission suicide, ils le savent, elle le sait mais elle n'a pas le choix, elle doit les accompagner. Ce sont ses amis, ses seuls amis, et sans elle, ils ne pourront pas désactiver les système de sécurité du club.

Elyse – Et puis... après tout... on peu pas être sur qu'elle est bien là... on peut pas savoir que c'est elle... enfin, que c'est bien elle...

Bafouille t'elle en dernier recours dans l'espoir de semer le doute et de les dissuader d'agir.

Brian – Si... C'était elle... pas de doute possible... On l'a tous reconnue...

Une chappe de silence gênée tombe sur le groupe à l'évocation de ce qu'ils ont vu. Véronika avait disparu depuis presque deux mois. Sans laisser de trace. Elle avait été recruté par Dona Florenza, une puissante baronne du crime qu'elle devait recontrer et a partir de ce moment là,  personne ne l'avait revue... jusqu'à ce jour où le petit groupe avait entendu parler de vidéo pornos avec une néko...

Ils avaient refusé d'y croire bien que la description corresponde. Il leur avait fallu se procurer un des ces odieux enregistrement pour être frappés par l'horreur de la réalité. C'était le spectacle de leur amie, le corps couvert de traces de coups, de manipulation, de piqure et de viol. Ses membres cybernétique de combat avaient été remplacés par des prothèse humaines, sa poitrine avait gonflé de manière pornographique. Son regard vide et fatigué  fixait l'objectif de la camera pendant que des hommes se masturbaient devant elle pour éjaculer d'épaisse rasades de sperme sur son visage et sa langue pendue.

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Tout était devenu clair alors. Dona Florenza ne l'avait pas recruté, elle l'avait enlevée pour la prostituer dans son bordel. Et désormais, Brian et sa bande étaient les seuls à pouvoir la sauver. Après quelques jours d'une préparation hâtive, les voila fin prêts, il ne leur reste plus que quelques mètres à parcourir avant d'arriver aux bouches d'aération du Rachele'S Club...



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Le coin du chalant / Re : Gangster Paradise
« le: mardi 16 août 2022, 23:10:39 »
Coucou les auteurs/trices,

Je cherche toujours des auteurs pour cette trame:

Type: personnage de One shoot ou personnage pouvant être transformé dans son BG pour devenir une nouvelle Lieutenante de Rachele.

Interdits: scarto interdit uniquement

Autres tabous: aucun

Personnage recherché: féminin fort, avec attache familiale et/ou amicale puissante: sœur/épouse/jeune mère/fille majeure. Ou groupe d'amies, bataillon de guerrières.

Trame:
Vous/votre groupe, attirez l'attention de Max qui décide de vous enlever et de vous soumettre aux plus incroyables sévices pour vous transformer en fantasme incarné pour la riche clientèle de son Club privé. Pour ce faire elle vous fait enlever et séquestrer dans les sous sous sols de son repaire, là où les esprits forts qui s'opposent à elle sont transformés en esclaves sexuels.

Si le sujet vous intéresse n'hésitez pas à consulter ma fiche de personnage et à me répondre en MP/discord.

4
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: dimanche 14 août 2022, 23:06:13 »
Curie est d'abord surprise par les libertés que prend l'impressionnant personnage, mais cela semble rapidement lui plaire. Peut être quelque chose de prussien dans sa manière de tout dominer naturellement, comme si tout lui était du, cela lui rappel les hommes qu'elle fréquentait durant son court âge d'or. Aussi le laisse t'elle babiller et se venter de ses prouesse tout en s'amusant de sa vantardise. Ce nouveau "pion" était de toute évidence bien plus intéressant qu'elle ne l'avait cru.

Ryo - Quel était le gage ma chère? Que je vous attèle à l'une de ces machines pour une durée raisonnable?

En désignant la machine à côté d'Elyse, Curie fronce les sourcils et lève son index en direction de Rachele.

Curie – Attention ma chérie, tu sais que cette machine utilise de la pink paradise... et avec ton... passif.. c'est dangereux, tu pourrais vite replonger, une simple dose pourrait suffire.

La doctoresse ne crois pas si bien dire et toute l'ironie de la chose est précisément qu'elle ignore que sa protégée est déjà retombée dans ses anciens travers. Pire que ça, elle ignore que la belle baronne est en ce moment même sous l'influence d'un petit cocktail prodigué par Ryo et que par conséquent, la brancher à la machine risque d'aggraver encore plus son état.

Mais Rachele n'a pas le choix et ça, Curie ne le sait pas. Aussi acquiesce t'elle sans faillir, malgré le risque, détournant quelques instants le regard pour écraser une larme de désespoir entre ses cheveux, consciente que cette machine va la briser toujours plus et offrir toujours plus de contrôle à son nouveau maitre. Elle s'installe sur le siège de la machine sous le regard dubitatif de Curie qui active la console de commande.

Ryo - J'espère que c'est pas dangereux pour elle, on peut régler ce truc au plus bas?

La doctoresse lui montre le système de commande et la manière de s'en servir pendant qu'elle active le programme pour Rachele.

Curie – Ce n'est pas qu'une question d'intensité mais aussi de durée de traitement. Plus l'esclave reste longtemps attachée à la machine, plus son cerveau est reprogrammé pour désirer et ressentir des orgasmes buccaux. Plus les orgasmes sont intenses et plus l'esprit de la victime se brise vite et plus ça dure, plus sa volonté diminue.

Elle se retourne vers Rachele alors que la machine commence à vrombir et que le god gluant de lubrifiant s'approche de son cul.

Curie – C'est pour ça qu'on ne va pas faire durer ça trop longtemps ma chérie, il faut que tu reste toi-même malgré ton gage.

Rachele ne dit rien. Elle est faite. Dos au mur. Elle doit obéir ou son empire sera détruit. Elle prend une grande inspiration et réprime de nouvelles larmes quand le casque de lavage de cerveau se pose sur ses oreilles, que les électrodes et les tubes se faufilent dans ses oreilles jusqu'à sa matière grise.

Curie – Qui inflige un châtiment à le devoir d'y gouter comme on dit... Enfin bon, c'est toi qui voit ma chérie... tu vas faire un petit voyage au pays des merveilles...

Curie active le bouton de lancement du programme et le god commence à lisser la plissure de l'anus de Rachele en s'y enfonçant lentement. Au même moment, le casque commence à bombarder la jeune et belle mafieuse de sons et d'image pornographiques de fellations et de gorges profondes, exactement comme Elyse, pendant que les tubes éjaculent la pink paradise directement dans son crâne. Ses grands yeux bleus se révulsent d'un coup alors qu'elle jouit brutalement.

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Curie – Voila, après ça elle voudra bouffer de la queue pendant quelques jours... mais si ça ne dure que quelques minutes ça passera vite.

Dit elle en se retournant vers Ryo pour lui sourire d'un air pervers.

Ryo - Remarquable! Le gage commence! Appréciez maitresse, je n'en ai pas pour longtemps! Tu me fais visiter ton royaume?

Curie lui sourit de nouveau et lui reprend le bras en se levant.

Curie – D'accord. Par contre on fait vite, on ne doit pas laisser Rachele plus de quelques minutes sur la machine. Sinon les doses de pink et le programme vont vraiment lui flinguer le cerveau comme les autres putes.

Sur ces mots elle le guide en blottissant son corps sculptural contre sa jambe gauche et son membre viril. De toute évidence, elle aime les hommes mais aussi les femmes, au vue de ses victimes de prédilection. Pour ne pas perdre de temps et risquer la santé mentale de Rachele, elle lui présente les pièces adjacentes pour lui montrer ses machines et ses expériences.

Le flic comprend vite qu'en contrôlant Curie et ses technologies, il peut remodeler n'importe quelle femme à sa convenance, physiquement, mentalement, à tous les niveaux. C'est comme ça que le Rachele'S Club fourni des esclaves sexuelles exceptionnelles et de toute natures à sa clientèle riche et puissante. Elle les fabrique à partir de femmes et d'hommes qu'elle brise, qu'elle broie puis qu'elle remodèle pour convenir aux fantasmes les plus fous. Et désormais, se sont ses fantasmes les plus fou à lui qu'il va pouvoir réaliser.

Il y est presque, il ne lui manque pas grand chose, juste une occasion, une chance...
Quand il voit le défibrillateur, il sait que cette chance est venue, que c'est le moment.

Ryo - Tu sais pas y faire, regarde j'te montre.

En quelques secondes seulement, tout est fini. Aucun témoin de ce qui vient de ce passer, pas même la lieutenante de Rachele qui git à ses pieds et qui n'a rien vu venir. Une de moins, plus que deux, et celle là lui permettra de prendre le contrôle des autres s'il "la joue bien". Les besognes d'homme de main, il connait bien, ramasser un corps, le placer dans la broyeuse, attendre, puis recommencer... c'est long mais Ryo est méthodique, la récompense est trop belle pour commettre la moindre erreur.
Quand il a enfin fini, il juche Curie sur son dos et prend la route de la salle où l'attendent Elyse et Rachele...

Quand il entre dans la pièce, Rachele et Elyse sont dans un état de prostration et t'extase. Les yeux écarquillés dans une stupéfaction total, les pupilles levés au ciel pendant que coulent des larmes de folie et de désespoir à mesure que la machine leur ravage le cul et le cerveau.

Ryo - J'te ramène ta copine. T'inquiète! Elle est pas morte.

Rachele n'est plus en état de lui répondre, pas même de remarquer sa présence. Curie lui avait dit qu'elle ne devait pas dépasser quelques minutes d'exposition pour préserver sa santé mentale, la balade qu'il avait fait puis son petit carnage lui avait pris plus d'une heure. Heure pendant laquelle Rachele avait été abreuvée d'orgasmes, de suggestions hypnotiques et de pink paradise.

Ryo - T'as un corps à finir sur le trottoir ma vieille. On va lui trouver une utilité...

Le ripou installe la troisième femme sur la machine encore vacante et suis les instructions de la machine pour un programme hyper hard et efficace, histoire de la rendre plus malléable quand il voudra "négocier" avec elle.

Curie – Que... quoi ?! Mais qu'es ce que ! HAAA !

La doctoresse se réveille brutalement en sentant le god monstrueux s'enfoncer imperturbablement dans son cul. Elle regarde autour d'elle et soudain, elle comprend.

Curie – Non ! Pas moi ! Pitié pas moi ! Je...

Le casque de lavage de cerveau vient de lui tomber dessus et un sexe énorme en latex gris s'est enfoncé entre ses lèvres pour l'obliger à le sucer, transformant ses cris de refus en gargouillement de gorge profonde.

Elle commence à pleurer en sentant le programme se lancer et son esprit se dissoudre de plaisir alors que les orgasmes commencent à la faire bondir sur son siège.

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Ryo contrôle enfin la situation, mais il doit faire attention, Sonia et Zéro sont encore hors de contrôle et peuvent le faire tomber d'un claquement de doigt. Il doit donc continuer de la jouer fine, quitte à laisser la belle Elyse en proie aux machines de l'Azylum...

Il lui accorde quand même un répits en désactivant le programme. La belle petite flic est toute groguie mais elle est toujours consciente d'elle-même, elle lance un regard de détresse et de peur déchirant à Ryo.

Ryo - J'y suis pour rien pour ce qu'il t'arrive et je peux pas changer ça. par contre, je vais faire en sorte que tu en reviennes gagnante. Mais il va falloir que tu fasses des efforts.

La jeune femme le regarde, un filet de salive coulant du coin de ses lèvres devenues pulpeuses à cause des traitements hormonaux, lutant pour ne pas le supplier de la laisser lui sucer sa grosse queue. Elle secoue la tête pour rejeter ce désir nymphomane et absurde, mais c'est désormais douloureux, car la machine l'a déjà changée, et maintenant, elle a envie de jouir en suçant des bites.

Elyse - A...attends!

Ryo - Quoi?

Elyse - Je veux pas crever ici.


Visiblement, la jeune femme n'a pas encore compris le sort qui lui était réservé ici. Qu'il n'avait jamais été question de la tuer, mais de la garder comme une pute, une esclave sexuelle de luxe pour servir Ryo dans ses moindres caprices.

Ryo - J'le permettrai pas mais tu retrouveras pas ta vie d'avant. Fais moi confiance.

Conclut il en réactivant la machine.

Elyse – Non ! Je t'en supplie je veux pas devenir uneGAAAA.... Hooooo... gaaaa oui... oui... sucer oui ho gaaaaag gag gag...

Le god en latex gris vient de se faufiler à nouveau dans sa bouche, elle se met à le sucer avidement en faisant d'épais bruits de gorge quand il lui déforme la trachée. Le casque recommence à la bombarder de stimuli hypnotiques et tout son corps se met à danser comme celui de Curie et de Rachele. Le spectacle est à couper le souffle.

Ryo - Et toi? Tu mérites de vivre tu crois? Je t'enverrais bien dans le broyeur sale chienne. T'as du bol d'avoir la meilleure bouche à pipe du coin.

Quand il désactive la machine et la saisit par le bras pour la laisser tomber par terre, Ryo découvre pour la première fois le visage de Rachele, celle qu'elle aurait du être, c'est à dire celui d'une belle jeune femme de 22 ans pleine de désir. Bien dressée par la machine à vouloir sucer de la queue, elle se met directement à genou et lui lance un regard totalement soumis et pervers, ouvrant grand la bouche pour tirer la langue en guise d'invitation à lui prendre la gorge.

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Mais le flic résiste à la tentation, continuer de la traiter comme une chienne est presque aussi excitant que de la voir supplier pour sa queue. Elle le suit à quatre patte, peinant à retenir son envie de se jeter sur sa braguette pour en extirper son membre imposant.

Elle y parvient à grand peine jusqu'à ce qu'elle atteigne la salle de bain où elle commence à faire sa toilette, luttant toujours contre son désir. Mais quand celui-ci lui lance depuis la chambre:

Ryo - J'ai la dalle! On sort bouffer? Tu m'emmènes à ton adresse préférée? Mets du rouge à lèvres, j'ai envie de me faire colorier la bite en public.

Son esprit vacille de nouveau et son conditionnement à sucer des queues la dévore totalement. Elle enfile une nouvelle tenue, toujours plus provocante et pornographiques, met le plus vif de ses rouge à lèvres, puis revient à quatre patte se glisser entre les cuisses de Ryo pour le supplier du regard de lui baiser la gorge, exactement comme elle l'a fait quelques minutes plus tôt à l'Azylum.

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: vendredi 29 juillet 2022, 22:41:48 »
Ryo - J'te défoncerais la gueule plus tard, faut que tu sois pas trop pourrie pour après.

Rachele ne répond rien, elle n'en trouve pas la force, à peine en exprime t'elle l'envie, intérieurement, mais cette petite voix qui l'appel à résister pour le salut de son corps et de son âme  se fait de plus en plus discrète à mesure que Ryo la tient avec ses petits cocktails.

Au lieux de ça elle fixe la queue monstrueuse de son nouveau Maître, gonflée de veines palpitantes, qui s'écrasent contre son visage pour y grossir et y essuyer son pré-sperme qui déjà ruisselle de son urètre affamé de jouissance. Machinalement, comme poussée par ses plus bas instincts mais surtout par son dressage d'esclave sexuelle, la belle brune saisit ses propres seins entre ses mains pour les relever vers le haut tout en les écrasant l'un contre l'autre. C'est alors que le puissant minotaure qui règne désormais sur son labyrinthe les empale d'un coup sec et écrase son gland sur ses lèvres.

Hoo... doucem.. euuu... pardon... je veux di..dire... merci Maître... merci...

Mais il semble ignorer totalement ses murmures pour se concentrer sur son plaisir égoïste et brutale. Il commence à aller et venir bestialement entre ses deux superbes mamelons. Il est si fort et animal que Rachele à du mal à suivre le rythme, sa queue est si énorme et agressive qu'elle parvient à lui faire mal aux seins ! C'est la première fois qu'un homme parvient à lui donner la sensation de se faire violer de cette manière... sans même la pénétrer...

Ryo - "Putain que t'es bonne à ça Max! Mais t'es faite pour tapiner! C'est la seule chose qui te réussit"

Grogne sauvagement le flic pendant qu'il lui baise les seins et la bouche en même temps, tans sa queue est longue. Au fond d'elle, Rachele sait que c'est faux, elle sait ce qu'elle a crée avec son club et ses relations, elle ne veux pas le perdre et surtout, elle a besoin de sa dose quotidienne pour bien se sentir. Alors, elle doit se soumettre pour préserver son empire et le petit cadeau de son Maitre...

Elle lui lance de petits regard de chienne honteuse pendant qu'il lui bourre le creux des seins encore et encore, pilonnant ses mamelons qu'elle peine à serrer contre sa verge en acier jusqu'à ce qu'enfin, il jouisse. Il éjacule dans sa bouche grande ouverte, sur son visage parfait qu'il souille entièrement au point de lui faire fermé un œil atteint par une chaude rasade de foutre. Enfin il jouit encore et son sperme ruisselle dans la vallée formée par les seins obusiers de son esclave qui dégluti difficilement pour avaler la semence qui empli sa bouche.

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Quand il se lève pour la prendre en photo, la belle ne bouge toujours pas, elle reste dans la même position, retenant le sperme sur sa poitrine en maintenant ses mains sur ses seins. Ryo prend de superbes clichés de son esclave fixant l'objectif d'un regard innocent et un peu perdu dans cette position de soumission totale.

Ryo - Va t'fringuer, pas de douche, je veux que tu garde mon foutre sur ta peau. Et oublie pas, je veux que ce soit une pute qui sorte de cette chambre. Ce sera carnaval, tu inventeras un truc.

Pour toute réponse, la belle mafieuse ferme les yeux, une larme de résignation coule de son œil droit pendant qu'elle hoche la tête si bas qu'on dirait qu'elle se prosterne. Puis elle se dirige à quatre pattes vers sa buanderie...

Pendant ce temps là, le flic fait ses plans, prépare son piège, élabore diverses possibilités avant de choisir sa cible prioritaire: Curie. En cherchant bien dans les affaires de Rachele, Ryo découvre un objet aussi incroyable qu'inattendu, le poteau rose même. Une photographie, ancienne mais en parfait état de Curie mais quand elle était encore un médecin nazi pendant la seconde guerre mondiale. Et bien que l'uniforme la rende détestable, le flic découvre également qu'elle est d'une beauté époustouflante elle aussi.

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Une fois la photographie récupérée et le dossier Curie Nazie crée dans le cloud, il se retourne et découvre une Rachele absolument somptueuse en soumise. La robe qu'elle avait porté jusqu'alors était faite du même matériaux, du vinyle noir, mais celui-ci reflète totalement la soumission et l'invitation au viol. De superbes cuissardes à talons hauts, des gants qui se finissent par des sabot de jument et un corset noir ouvert sur les seins et qui forme un collier autour de son cou gracile. Le tout, ligoté d'une superbe corde d'un rouge étincelant qui lui li les bras et passe dans l'anneau autour de sa gorge pour en faire une laisse:

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Malgré toute sa cruauté et son inhumanité, le démon de la basse-ville ne peut s'empêcher d'avoir le cœur empli de fierté, de désir et de satisfaction à l'idée de savoir que cette splendeur, cette perfection féminine, lui appartient désormais. Et pour que cela continue, encore et encore, il sait ce qu'il doit faire, tout les jours, régulièrement, pour la garder toujours auprès de lui...

Ryo - Tu es très belle Rachele, viens me voir.

Elle approche à quatre patte en dandinant des fesses, toute émoustillée à l'idée de recevoir sa récompense, chassant la voix de la raison qui lui hurle de fuir, préférant s'assoir sur les genou de son geôlier pour qu'il puisse lui passer une chaine de plus autour du cou, pire que cela, jusque dans les veines. Comme une enfant, elle le regarde faire, hypnotisée par la couleur de l'acier qui pénètre sa peau, par celle de son sang qui trouble la transparence du liquide maudit, par le subtile sifflement du piston qui pousse inexorablement la drogue vers son corps vulnérable qui se pâme de plaisir...

Rachele – Hooo... c'est... c'est bon... hooo

Elle se cramponne à Ryo pour ne pas chavirer sur le sol, ses yeux se révulsent et se ferment à moitié pendant qu'elle se laisse retomber contre sa poitrine puissante et virile, cherchant stabilité et réconfort entre les bras du bourreau qui la condamne à la servitude. Puis le tournis commence à passer et elle se sent bien, toutes les choses compliquées de la vie ont été chassée de son esprit, la peur, les tracas du quotidien, la complexité de ses pensés confronté à ses innombrables choix, envolés... désormais tout est simple, il n'y a plus de choix, plus de pensée, le maitre décide pour elle et elle fait selon ses désirs, en échange de quoi il la fait jouir et lui donne son cadeau pour qu'elle se sente bien, comme le faisait Jucio il y a longtemps. Sous l'influence de la drogue, la vie et l'esprit de Rachele deviennent une page blanche sur laquelle rien ne s'écrit jamais car son seul rôle est d'essuyer le foutre de Ryo comme s'il s'agissait de papier toilette...

Ryo - Allons-y Max! c'est toi la patronne

Rachele se relève et prend la laisse entre ses dents pour que Ryo puisse s'en saisir. Puis elle le guide vers l'ascenseur. Une fois à l'intérieur, elle couine comme une chienne pour lui montrer le panneau de commande. Elle pose son nez sur le mot: "AZYLUM" et vient lécher la main du flic qui tient le trousseau de clef qu'elle utilisait avant qu'il ne devienne le nouveau "boss".

Bien entendu, le flic comprend et l'ascenseur descend vers les profondeurs du club, vers l'Azylum, ses laboratoires abominables, vers Elyse et Curie...


--- RETOUR A L'AZYLUM ---


Les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur un concert feutré et terrifiant. Ses instruments sont les innombrables gorges de celles qui finissent ici. Leurs hurlements de folie, de douleur et de jouissance parvenant des différents sas des laboratoires qui ornent les couloirs de l'asylum, l'usine à esclave de Rachele, territoire incontesté de Curie...

La baronne du crime guide son nouveau Maître vers celle-ci de coursive en coursive, de couloir en couloir, traversant des laboratoires dans lesquels Ryo découvre l'incroyable diversité de machines à esclaves, aux technologies folles.

Dans l'une d'elle en particulier, il reconnait les casque de lavage de cerveau qu'il avait déjà vu fixé au visage d'Elyse pendant qu'une machine la violait et remplissait son ventre. Là, ces casques sont fixés sur les visages d'une dizaine de jeunes femmes de diverses origines, enchainées à des lits sur lesquels elles sont impitoyablement baisées par des clients du bordel. Leurs visages ne laissent que peu de secret sur l'état mental dans lequel les plonge cette odieuse "thérapie". Certaine gémissent de plaisir, totalement épuisées par les orgasmes à répétition, la bouche entre ouverte et la bave au lèvre, totalement hébétée et décérébrée. D'autres hurlent de plaisir, le sourire au lèvre, la langue pendante de manière pornographique alors que leur esprit fond et que leur personnalité vole en éclat. Une seule chose subsiste, la nymphomanie...

La chose la plus impressionnante sur ces jeunes femmes, c'est la taille de leurs seins, de leurs hanches, l'aspect charnu et gonflé de leurs lèvres intimes et de leurs tétons ainsi que la pilosité de leurs dessous de bras et de leur vulve.

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Curie – Traitement hormonal de stade 4

La voix vient de derrière Ryo et Rachele. La doctoresse se trouvait derrière un moniteur de contrôle et s'en est levée pour rejoindre la baronne et son "lieutenant". Curieusement, Curie ne fait aucune remarque sur le fait que Rachele soit couverte de sperme et harnachée de manière humiliante comme une esclave. Le flic comprend alors que la baronne doit s'adonner de temps à autres à ce genre de jeu et que sans le savoir, elle s'était déjà condamnée en le faisant, puis ce que cela n'éveille pas les soupçons du personnel...

Curie – Augmentation de la taille des seins, des hanches, de la vulve qui devient plus épaisse et serrée, idéal pour les sensations de la queue du client. Explosion de la libido et de la fertilité également. Pour les poils, nous les faisons épiler au laser si le client préfère les modèles lisses...

Totalement absorbée par son plaisir d'expérimentation maléfique, l'ancienne doctoresse nazie, qui ne semble pas avoir plus de 20 ans, continue de décrire son travail et ce qu'elle inflige à ses pauvres jeunes femmes pour en faire des objets de plaisir. Elle utilise les mots "modèles lisses" comme si elle parlait de produits, de jouets, de poupées gonflables.

Elle leur passe devant et leur fait signe de les suivre en écoutant ce que Ryo pourrait lui dire. Elle traverse la foret de corps violés et conditionnés pour la baise et les entraine vers le fond de la pièce où une voix familière participe au concert de hurlement de jouissance...

Elyse... oui, c'est elle et elle est en train de jouir, très fort, elle hurle de plaisir quelque part devant eux, au milieux de ces corps attachés et transformés.

Curie – Ce sera la prochaine étape que nous franchirons avec votre hôtesse Monsieur Le Policier. Pour le moment nous la rendons oro-sexuelle...

Avant qu'il ne puisse demande ce que c'est, Ryo à un début de réponse en voyant la belle et jeune flic. La ravissante idéaliste est attachée nue à une chaise de laboratoire, un énorme god enfoncé dans l'anus la pilonne sans relâche. Sa bouche est maintenue grande ouverte et sa langue sortie pour permettre d'y accrocher des électrodes et des capteurs qui donnent de petites impulsions. Sa tête est équipé d'un attirail similaire qui grésille à chaque fois qu'un électrochoc lui est administré et la fait hurler de plaisir. Ses yeux enfin, sont maintenu grand ouvert pour l'obliger à regarder en boucle des images hypnotiques de femmes en train de sucer des queues et faire des gorges profondes.

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Curie – Pour faire plus simple, nous lui apprenons à jouir par la bouche. Pour qu'elle ressente chaque fellation que vous lui imposerait comme une pénétration anal ou vaginale.

La doctoresse infernale ricane, elle laisse glisser ses ongles sur un sein de Rachele qui tressaille avant de passer sa main dans le bras libre de Ryo.

Curie – Vous verrez, quand elle sera prête, elle vous suppliera pour que vous la laissiez vous sucer

Chuchote t'elle à l'oreille du flic.

Curie – Vous êtes venu voir l'avancement des travaux sur votre jouet ou juste promener Rachele pendant ses rares envies de soumission ? Vous êtes un chanceux vous savez ? La baronne ne laisse presque personne la traiter en esclave. Vous devez être quelqu'un de particulier.

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: lundi 04 juillet 2022, 18:11:51 »
Ryo - Bordel de petite salope! Tu vaux rien Max! Bouge ton cul! J'suis sûr que t'adores ça, te faire violer le fion par un bâtard de flic hein? Va falloir t'y faire chienne!"

L'homme qu'elle pensait transformer en pantin utile est désormais en train de besogner son petit cul et la traiter comme sa pute. Mais Rachele n'est pas en état de réfléchir à ce qui l'a mené là, à ses erreurs. Une folie sexuelle, cet étrange nuage rose qui embrouille son esprit autant que son champ de vision s'est emparée d'elle et lui impose de se soumettre au mâle qui est en train de lui plisser l'anus avec brutalité.

Et encore une fois ce sont les songes de sa vie d'esclave passé qui se mêlent aux images et aux sensations du présent. Car personne n'avait eu l'honneur de baiser son petit trou depuis qu'elle avait été libérée de Jucio. Et comme lui il donnait à la sodomie de sa victime une signification et un "soin" particulier. Les deux hommes avaient la même logique, les mêmes méthodes, nul doute que si Ryo était né dans une autre famille, avait fait d'autres choix de carrière, il aurait été un grand baron du crime. Désormais il le serait mais devrait toujours se cacher derrière son jouet, raison pour laquelle il s'assure de bien le "régler" pour qu'il obéisse.

Débordée par la douleur mais aussi par des vagues d'un plaisir malsain, nymphomane et masochiste qui remonte à la surface de son âme d'esclave, Rachele se met à rire nerveusement en bavant contre le tissu de son lit, les yeux à demi révulsés et la langue qui pend largement hors de ses lèvres. Ryo sent son cul palpiter autour de sa queue et son vagin se contracter juste derrière alors que de petites gouttelettes de mouille viennent souiller ses bourses. C'est alors qu'il la fait se cambrer, lui écarte les cuisses et la saisit par la gorge pour l'étrangler.

Dans le cerveau bien dressé de Rachele, le brusque manque d'oxigène sonne comme la mort de tout espoir de résistance, le déclique, l'interrupteur placé là des années plus tôt par Jucio pour lui ordonner de jouir en récompense de sa soumission. Rachele, la bouche toujours grande ouverte pousse un gargouillement si fort que Ryo peut le sentir forcer le passage dans sa gorge, sous ses doigts puissants. Mais ce qu'il sent par dessus tout, c'est l'anus de la belle se contracter autour de son membre et se mettre à se crisper et palpiter au rythme de son vagin, de ses hanches qui viennent onduler et battre le bassin du flic pour accroitre leur plaisir.

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La baronne le sent jouir en elle, profusément, encore et encore, elle plisse les yeux et grimasse de dégout en sentant son corps qui jouit d'être ainsi souillé. Elle dodeline de la tête, de droite à gauche pour signifier toute l'horreur et le refus que ses propres spasmes orgasmiques lui inspirent. Puis, quand Ryo la relâche, comme une marionnette aux ficelles coupées, elle s'effondre, le visage et les bras affalés sur le lit pendant que son cul reste bombé et cambré sous les yeux et entre les doigts du flic.

Ryo - Putain, quel pied!

Le butor utilise sa surprenante rapidité et dextérité pour glisser à nouveau le plug entre les fesses de Rachele qui soupir de surprise et gargouille un nouveau "naaan..." entre ses lèvres baveuses et souillées de sperme. Mais elle n'a plus la force de faire le moindre geste pour se soustraire à ses décisions, il la domine totalement.

Quand il se lève pour aller prendre sa douche, la jeune femme reste dans cette position sans bouger, inerte et gémissantes mais toujours le cul bombé et tendu vers le haut, les cuisses grandes écartés. Et bien qu'il prenne tout son temps pour se détendre sous l'eau brulante, elle est dans la même position quand il revient et s'installe sur l'ordinateur.

Contenu explicite: (pose sur le lit)
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Quand il rallumer l'ordinateur et décide enfin de consulter le fichier qui portait le nom d'Elyse et un bref extrait  de ses conditions de détention, le flic réalise que bien que vaincue, la baronne avait déjà lancé d'autres plans pour le tenir en laisse. Et comme elle le lui avait dit sans détour, cela impliquait que la belle flic subisse quelques changements, mais même lui ne s'était pas attendu à une telle brutalité dans ceux-ci...

--- Patiente: Elyse Catsby ---
--- Conditionnement jour 1 ---
--- Protocole nymphomaniaque ---
--- Vidéo n°1 à 4 ---

Vidéo 1 [15 minutes]: Comme sur l'extrait qu'il avait regardé plus tôt, Elyse est attachée, les bras derrière le dos et les cuisses écartés sur une étrange machines qui déploie des fils armés d'électrodes et des tuyaux équipés d'aiguilles autour d'elle. Terrifiée, elle regarde vers la personne qui tient la caméra pour lui demander d'une voix tremblante:

Elyse - Que... qu'es ce que vous allez me faire ?!

Curie – Détendez vous patiente 720, nous allons débuter votre thérapie, vous allez beaucoup mieux vous sentir dans quelques instants.


Répond une voix féminine et profonde derrière la caméra. Celle-ci passe devant le champ et s'avance vers la belle flic attachée avec une paire de ciseaux chirurgicaux qu'elle utilise pour découper ses vêtements.

Elyse – Non ! Mes vêtements , ne me touche pas salope, je ne suis pas folle, laissez moi tranquille !

Curie – Votre comportement témoigne du contraire numéro 720...

Elyse – Je m'appel Elyse ! Je ne suis pas un numéro !


Curie termine sa découpe, Elyse se retrouve nue. La doctoresse active la console de la machine.

Curie – Ce n'est plus important maintenant. Dans quelques instants vous vous sentirez très heureuse et vous oublierez toutes ces choses inutiles pour une bonne pute.

Les câbles électriques et les tuyaux frétillent autour du corps d'Elyse qui s'est mise à transpirer abondamment. Elle regarde leur étrange balais avec de grands yeux ronds de terreur.

Elyse – Une ? Une pute ? Non... ça jamais... jamais vous m'entendez... jaHO !

Les filaments et les tubes qui entouraient sa tête se sont infiltré dans ses oreilles et se sont enfoncé profondément jusqu'à ce que la belle les sente se ficher dans sa matière grise. Tous les autres filaments qui entouraient ses bras et ses cuisses se sont enfoncé en même temps dans ses muscles et ses veines.

Elyse – N.. nan... pitié... faites pas ça...

Supplie la belle flic en voyant Curie diriger ses doigts vers la console de mise en marche de la machine infernale.

Curie – Chuuuuu... chuuuu... caaalme... tout va bien se passer esclave... ta nouvelle vie commence...

Lui répond la doctoresse avec un sourire narquois alors qu'elle active la machine.

Elyse – Nan ! NAN ! HOWW ?!

Les tuyaux fichés dans ses seins, ses membres et sa cervelle commencent à pomper un liquide que Ryo reconnait, c'est de la Pink Paradise, cette étrange cocktail d'hormones et de narcotiques qui rendent ses victimes extrêmement sensibles et nymphomanes. Sauf que le produit est ici si pure et épais qu'il en est presque violet et les quantité qui affluent dans le corps et les méninges d'Elyse sont sans commune mesure.

Elyse – Hoooooo... Qu.. qu'es ce... qu'es ce qui... m'arrive... hummm... huuuu... je..  je brule... mon corps... mon dieu... mes seins... mes seins ! Il vont exploser ! Pitié stop !

Les pupilles de la belle flic se dilatent et son expression se trouble, ses seins gonflent et ses tétons rougissent et pointent en tremblant. Elle qui n'a jamais pris aucune substance interdite, qui a toujours été pure et droite, est totalement subjuguée par le poison qui coule dans son corps et inonde sa tête.

Curie s'esclaffe et vient lui glisser deux doigts entre les lèvres intimes. Elyse sursaute, comme si elle avait été frappé et ouvre grand la bouche en gargouillant de plaisir.

Curie – Et ta petite chatte aussi est en feu à ce que je vois petite dévergondée... tu vois... toi aussi tu es une petite salope avide de baise... rassure toi, je vais rassasier ta faim de bites... et je vais même faire mieux...

Curie utilise sa main libre pour appuyer sur une autre commande, cerclée de rouge et portant une icone "Danger". Les électrodes fichées dans les oreilles et les zones érogènes d'Elyse grésillent et vibrent.

Elyse – GAAAAAAA !!!

Hurle Elyse en se cambrant de tout son corps. Un filet de cyprine jailli de son méa et souille les talons aiguilles de Curie qui ricane à nouveau en voyant la jeune femme convulser de plaisir et jouir d'un seul coup.

Curie – Voilaaaa voi...laaaa... Ho la ravissante petite femme-fontaine que voila... on est une bonne petite pute et maintenant on va jouir jusqu'à ce qu'on soit devenue une bonne esclave obéissante...

Elyse, toute choquée parce qui vient de lui arriver, lance un regard plein d'interrogation et de terreur vers Curie, mais elle n'a pas le temps de dire quoi que ce soit que le grésillement des électrodes reprend.

Elyse – HAAAAAG !

La ravissante prisonnière se cambre de nouveau, le corps déchiré par un nouvel orgasme. Curie toujours sur sa console active le dernier programme, deux énormes gods commencent à monter vers la chatte et le cul de la belle pour lui porter le coup de grace...

Curie – Nous allons partir sur un traitement de trois heures pour commencer...

Elyse – Quoi ?! Nan ! Pitié stop nan je GAAAAAAAAA !!!


La première vidéo se termine sur les deux gods qui pénètrent sauvagement la jeune femme en même temps qu'un nouvel orgasme arrache un hurlement toujours plus fort et plus dément à Elyse.

Vidéo 2 [15 minutes]: Elyse lutte encore désespérément et la fatigue se lit sur ses yeux d'où coulent toujours des larmes de désespoir. Mais la machine continue imperturbablement à la pilonner avec ses gods et à la faire jouir brutalement. Entre deux hurlements incontrôlables de jouissance, elle supplie désespérément la doctoresse maléfique d'arrêter.

Elyse: - Haa.. haaa... J'en... j'en peux plus... pitié... plus jouir... je peux plus jouir... vais mourir... HOOOOOG !!!

Curie – Mais non, mais non, tu ne vas pas mourir esclave, juste devenir une brave petite pute nymphomane... Fin de la première heure de traitement, la patiente résiste encore, je procède à l'injection de la Pink Paradise concentré directement dans le clitoris interne pour en augmenter le volume et la sensibilité. Traumatisme neurologique et psychologique à prévoir...


Une nouvelle aiguille se fiche dans le bas ventre d'Elyse et lui injecte une énorme dose du poison qui la détruit de l'intérieur. Tout le corps de la jeune femme se met à trembler et la fatigue disparait soudain de son visage qui se met à rougir de honte.

Elyse – Hooo.. hoooo Je.. je jouiiii je... je jouiii !

La vidéo se termine sur son visage qui commence à changer alors que son expression de lutte et de courage disparait...

Vidéo 3 [15 minutes]:

Elyse – HOOO ! JOUIR OUI ! ENCORE ! ENCORE ! JE JOUIIII ENCORE HOOO ! ENCORE ! HOOOO

Toute forme de raison ou de combat à déserté le visage d'Elyse pour ne laisser qu'une expression de plaisir extatique intense. Elle ne pleure plus. Ses lèvres affichent un large sourire dans une impression de bonheur et de plaisir absolu, ses grands yeux plein d'innocence sont levés vers le ciel et louchent dans une expression de folie et d'hébètement total. Elle ne combat plus la machine, elle l'accompagne et ondule des hanches contre les deux gods qui la fourrent pour qu'ils puissent la baiser plus profondément et plus rapidement.

Curie – Fin de la seconde heure de traitement, la patiente 720 répond très bien à l'augmentation de ses sensations clitoridiennes. J'augmente la fréquence des impulsions électrique pour obtenir un état orgasmique permanent.

La vidéo se termine sur les doigts de Curie qui presse la commande "+" de sa console jusqu'à ce qu'une icone "danger" apparaisse.

Vidéo 4 [15 minutes]: Les yeux d'Elyse sont maintenant totalement révulsé et se sont remis à pleurer alors que les électrodes grésillent de manière permanente dans ses oreilles. La bombardant d'orgasme seconde après seconde alors que son esprit et sa volonté se fracturent, fondent et se dissolvent sous la jouissance.

Elyse – Hooooo... hooogg.... ho... hoooo...

Ses hurlements se sont mués en un long gargouillement ininterrompu de plaisir et de folie. Ses tétons, devenu énormes et rouge, crachent des filets de lait en même temps que son méat éjacule de manière permanente des jets de ciprine brulante.

Tout son corps n'est plus que plaisir, orgasme et abandon de l'esprit à la chaire triomphante. Les deux gods se sont enfoncé si profond en elle qu'ils lui déforment le bas ventre en crachant une sperme épais et visqueux.

Curie – Fertilisation par sperme de succube terminée. A permis la lactation des seins et un décuplement des sensations orgasmiques de la patiente. Elle semble prête pour les phases de dressage suivants. Fin du rapport Jour 1.

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Fin de la vidéo. Le flic ravale ses envies de meurtre, mais sans doute pas de désir après la violence sexuelle dont il vient d'être témoin. Il s'approche du lit, Rachele est en train de reprendre ses esprits. Elle n'a pas changé de position mais ses doigts et ses jambes recommencent à bouger. Elle dodeline de la tête alors qu'elle reprend ses esprit et cherche un moyens de bouger, de se sortir de se traquenard.
Ryo est sans pitié avec elle. Après ce qu'il vient de voir, il n'a aucune raison de l'être. Il dose jusque ce qu'il faut pour la fixer à nouveau et la garder bien sagement sous sa coupe pour la nuit et la lui plonge dans la nuque, directement vers le cerveau.

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Les idées de moins en moins nébuleuses de Rachele explosent à nouveau et elle replonge dans les méandres d'un délire narcotique. Elle le sent, il s'allonge contre elle, elle sent son alène, son sexe poisseux de foutre et de ciprine qui souille sa cuisse, ses mains immenses qui se referment sur son cou et ses seins pour les caresser et masser pendant qu'il s'endors. Rachele sent tout ça, mais son corps reste inerte, sans défense, elle est là, pantelante, a attendre que le sommeil la gagne aussi...

--- Au matin ---

Ryo - Putain, t'as l'air d'un zombie Max, va falloir corriger tout ça. T'arrives à te lever?

Elle arrive à peine à battre des cils tant les drogues de la veille lui ont démoli le cerveau. Elle est encore faible et vaseuse, incapable de dire un mot et déjà, elle ressent le besoin, le manque. Il n'est pas encore trop présent, trop écrasant mais il est à nouveau là, prêt à la faire souffrir, à lui faire accepter n'importe quoi. Rachele vit un cauchemar, le pire cauchemar, Ryo a remplacé Jucio et elle a à nouveau peur, elle à a nouveau faim et elle a à nouveau besoin de sa dose.

Elle se sent soulevée dans les air, c'est agréable, le contact de la porcelaine de la baignoire aussi, l'eau froide elle ne sait pas. Une partie de son corps, toujours en feu et qui réclame du plaisir et du sexe se contracte et pointe à son contact. Ses seins obusiers couverts de gouttelettes d'eau, offrent à Ryo un spectacle d'une rare splendeur.

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L'autre partie de son corps en revanche déteste cette intrusion et ramène la jeune femme à elle. En d'autres circonstances, celui qui se serait permis de la réveiller comme ça aurait pris une balle dans la tête. Mais cette homme était Ryo...

Ryo - Ca y est? T'es avec moi? Alors écoutes bien. Ton business, je l'ai dans la poche. Ton ordi, je l'ai en double donc si tu me fais chier, je te grille toi et toutes tes tarées de service. Je pense que ça va suffire à te faire réfléchir avant de faire une connerie. Donc tu as compris, on va bien s'entendre tous les deux et tu vas beaucoup m'aimer hein?

Rachele s'empourpre de rage, elle voudrait lui cracher au visage. Mais elle réfléchi à ce que Ryo vient de lui dire et bien qu'en colère, elle se ravise et elle se contente d'acquiescer de mauvais grâce. Elle n'a pas le choix si elle veux que le Rachele'S et son empire continuent d'exister, elle doit devenir sa pute, elle n'a pas le choix.

Ryo - Ca va le plug? Tu veux le garder? Allez! Fais toi belle, on doit t'attendre de l'autre côté. Tu vas m'introduire à ton monde et t'avise pas de merder petite pute ok?

Rachele - Espèce de... hummm..


La baronne enrage, même si elle semble encore fragilisée par le fixe que Ryo lui a donné la veille. Elle baisse finalement la tête résigné à devoir respecter le chantage:

Rachele - Oui... Maître... Comment voulez vous que je m'habille et laquelle de mes Lieutenantes désirez vous rencontrer en premier ?

Ryo - Une sale pute ne demande pas comment elle doit s'habiller. Tu te vêtiras conformément à ta condition de salope. Je veux que tu sois aussi vulgaire qu'une catin des rues. Je suis sûr que ca te branche hein? Et fais en sorte que Curie m'apprécie. Elle m'a l'air d'être la plus timbrée de toutes. Ne te foire pas ou je lui ferais exploser le crâne si je sens que ca part en couilles.

Rachele - (dégluti) Bien, Maître. Pour préserver les apparences et le business, il faudrait que vous endossiez le rôle d'un de mes lieutenant... mon bras droit vous permettrait de ne pas éveiller les soupçons malgré le... temps.. que nous passons ensemble...

Ryo - Ouais c'est évident. Et évite de me prendre pour un débile à le faire la leçon. T'as pas assez morflé encore? Tu veux d'la bite?


Rachele frissonne et se frotte les bras et le cou, preuve qu'elle est en train de reprendre ses réflexe de junky et qu'elle commence à être en manque. Cela trouble son esprit, la rend moins intelligente et la pousse à faire de mauvais choix. Mais elle ne peut pas faire autrement, son corps réclame, et pour ne pas souffrir, elle doit obéir à son maître pour qu'il la récompense.

Rachele - Non Maitre... pardon... je veux juste que le business continue de fonctionner et que personne ne soit tué. Curie et Sonia sont très intelligentes, il faut que notre histoire soit bien monté ou elles devinerons tout.

Ryo - Pas mon problème ces détails. C'est toi Max, arranges toi pour que ca passe. De toute manière, tout échec ou hésitations entrainera une punition.

Rachele - Je... je n'échouerais pas Maitre, je vous le promet... mais... mais pour que je soit en état... je vais avoir besoin de ma récompense...pi... pitié... je ferais tout ce que vous voudrez...


Dit elle en se frottant les bras et en détournant le regard comme la petite accro qu'elle est entrain de redevenir.

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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: jeudi 23 juin 2022, 22:08:33 »
Quand elle sent qu'il commence à venir et que les première rasades visqueuses et salés inondent sa bouche et sa gorge, Rachele pousse un gloussement de dégout et se cambre dans l'espoir d'échapper à la poigne de fer du flic. La semence lui ressort par le nez et s'échappe par les interstices entre ses lèvres et le membre de Ryo.

Mais l'homme est bien trop fort et elle n'a plus les capacités physiques ou intellectuelles pour luter. Ainsi, après trois petits soubresaut de révolte et de refus, elle se fige et commence à avaler chaque gorgée dans un bruit de déglutition sonore. Depuis son point de vue, Ryo peut admirer les seins de la jeune femmes rebondir à chacun de ses coups de reins pendant que sa trachée fait de longs vas et vient à chaque fois qu'elle ingurgite une nouvelle rasade de sperme.

Quand il s'écarte enfin pour admirer son ouvrage, les dernières rasades de foutre souillent tous le visage et la poitrine de Rachele qui reprend péniblement sa respiration.

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La jeune femme est si épuisée et brisée par les drogues que lui a administré Ryo qu'elle n'arrive plus à se défendre. Il la manipule à loisir et quand il lui crache au visage, elle se contente de baisser les yeux de hontes. Elle parvient à grands peine à retenir un "Merci Maitre", preuve qu'elle résiste encore désespérément aux automatismes et au conditionnement d'esclave que Jucio lui avait infligé. Malgré sa faiblesse, elle se souvient de cette petite chose pitoyable et soumise qui attendait sagement attachée à un matelas que ses clients la visite et un fragment encore pure d'elle-même  refuse toujours de le redevenir.

Mais cette maigre "victoire" ne lui donne pas pour autant la force d'empêcher Ryo de la trainer au sol par les cheveux. La belle trouve à peine la force de gémir de douleur et s'effondre au sol, incapable de se dresser sur ses jambes pour fuir ou se battre. Tout son corps est prisonnier de son sang saturé de substances, comme si une énorme chappe de plomb était tombé sur ses muscles et son esprit.

Ryo - Max, jolie pute, donne moi le code d'accès de ton ordi. Ho! Tu m'entends bouffeuse de bite?

Accéder à son ordinateur ? Non, Rachele ne peut le tolérer. Outre les secrets de la Famille et ceux du Club, la mafieuse crains par dessus tout qu'il accède aux enregistrements de l'Azylum. Ryo pourrait découvrir le sort qu'elle à réservé à sa jolie flic idéaliste et cela risquerait de le rendre plus cruel encore. Le membre épais et à nouveau turgessant du flic vient gifler son visage avec vigueur et la couper dans ses tergiversations, la ramenant à l'instant présent.

Ryo - Max, jolie pute, donne moi le code d'accès de ton ordi. Ho! Tu m'entends bouffeuse de bite?

Non, elle ne veux pas, elle ne doit pas. Elle sent la salive du flic couler dans sa bouche, ajoutant le gout de l'alcool à celui de son sperme alors qu'il emprisonne son visage tout entier entre ses doigts immenses. Elle suffoque, elle voudrait mourir, ce serait plus simple et moins humiliant mais son instinct de survie est trop fort, elle craque et quand Ryo ouvre les doigts elle crache le mot de passe en hurlant d'une voix désespérée. Mais cela ne dissuade pas son tortionnaire qui continue de la manipuler comme la plus misérable des salopes. Pour la récompenser de lui avoir donné le code, il s'offre une nouvelle partie de son corps: ses seins sur lesquels il bavait depuis leur rencontre. Et dire qu'elle pensait que ce serait peut être un jour la plus belle des récompense qu'elle lui offrirait pour ses services...

C'était il y a seulement quelques heures et pourtant c'est comme si une éternité de souffrance s'était écoulée. Plus tôt, ses seins étaient le but ultime à atteindre, maintenant, son gland souillé entre et sort brutalement entre ses deux obus pour cogner son visage, encore et encore, jusqu'à ce qu'il jouisse de nouveau et l'ettoufe presque avec de nouvelles rasades de sperme qu'il semble produire indéfiniment.

Ryo - C'est bien Max! Si tu continues comme ça, on va bien s'entendre tous les deux.

La belle mafieuse n'ose imaginer que cela va continuer. Son esprit est troublé par les drogues, son corps est en feu à cause de la "PinkP", elle arrive à peine à rassembler les bribes de sa conscience pour former des idées cohérentes. Elle est même trop faible pour le retenir ou l'arrêter alors qu'il se rend à son bureau et lui lance un nouveau sex toy ignoble et humiliant qu'il lui ordonne d'utiliser.

A nouveau le passé et le présent s'entrechocs dans ses souvenirs. Jucio est de retour devant elle et elle est de retour dans son cachot en Sicille, sous le domaine de son père assassiné. La caméra est branchée pour tourner un nouveau film porno, le mafieux l' obligera de le voir quand il sera fini pour qu'elle ressente toujours plus de dégout pour elle-même. Les amis du nouveau baron sont là eux aussi, pour profiter du spectacle avec le maitre d'orchestre qui lui lance la... "baguette"... avec laquelle elle va devoir jouer.

Incapable de se relever ou même de s'assoir, Rachele offre à Ryo, confortablement installé dans le fauteuil du bureau, l'image de son cul bombé alors qu'elle se met à quatre patte et fait glisser ses bras entre ses cuisses pour pouvoir y tenir le sextoy pendant qu'elle se laisse lentement glisser dessus en soupirant de plaisir et de honte. Avec une lenteur et un bruit de chaires écartés, le plug élargie la plissure de son anus et s'enfonce en elle.

Sur l'ordinateur, Ryo découvre de nombreuses informations sur son Clan et sur le club. Il découvre que Rachele dispose de 3 lieutenantes dont il va devoir se méfier pour prendre le contrôle du business. Quand il ouvre le fichier AZILUM, il voit d'innombrables fichiers vidéo dont les vignettes laissent imaginer les actes aussi fou que dépravés qui y sont filmés pour transformer les prisonnières et prisonniers et esclaves sexuels.

Un des fichiers retient son attention, celui qui porte le nom "Elyse Catsy", la belle flic qui fut jadis l'amie et l'admiratrice de Ryo. En cliquant sur ce fichier, il remarque qu'il y a déjà plusieurs vidéos à l'intérieur. La vignette de la première, qui s'intitule "Première séance", montre la jeune femme, le regard terrifié, le corps harnaché dans une étrange machine, qui regarde vers l'objectif de la camera en disant: "Que... qu'es ce que vous allez me faire ?!"

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Mais les soupirs de plaisir de Rachele ramènent Ryo au lit qu'elle occupe et à son cul bien dilaté qui réclame du plaisir en faisant de petits aller retours sur le jouet en plastique enfoncé en elle. C'est dans sa nature, l'attrait de la perversion et du mal sont plus fort que tout.
Et plutôt que de regarder ce qui est arrivé à Elyse, il retourne vers sa nouvelle esclave.

Ryo - Au moins, t'as compris dans quelle merde tu es !

Rachele pleure de dégout et n'arrive pas à lui répondre. Parler est trop dur, trop compliqué pour son esprit fragmenté. Et lui est si fort, si imposant et dominateur, elle se sent totalement écrasée et impuissante, à sa merci...

Alors qu'il lui arrache le plug et la sodomise brutalement en l'écrasant de tout son poids, Rachele se remémore la scène traumatique d'un film qu'elle a vue des années plus tôt et qui l'avait terrorisé: Irréversible. Elle réalise alors qu'elle est  Alex, cette belle brune, violée sous un pont. Elle supplie de la même façon, gémit et hurle avec le même dégout et grogne avec la même douleur teinté d'horreur alors qu'il s'enfonce en elle ressort. Puis s'enfonce encore et ressort.

8
Le coin du chalant / Re : Gangster Paradise
« le: samedi 11 juin 2022, 22:13:55 »
Nouvelle trame:

Type: One shoot ou personnage pouvant être converti.

Personnage recherché: féminin fort.

Trame:
Vous attirez l'attention de Max  qui décide de vous enlever et de vous soumettre aux plus incroyables sévices pour vous transformer en fantasme incarné pour la riche clientèle de son Club privé. Pour ce faire elle vous enferme dans "L' Azylum" sous sol du Rachele'S Club où les esprits forts qui s'opposent à elle sont transformés en esclaves sexuels. Ames sensibles s'abstenir.

Plus de détails en MP.

9
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: samedi 11 juin 2022, 21:51:32 »
Ryo - T'es une bonne petite pute Max! J'vais t'déboiter la gueule et tu vas adorer. Attends salope, c'est encore trop gentil pour toi!

"Tu vas me sentir taper ta glotte petite pute..."

Rachele est frappé par une voix, un souvenir vieux de quatre longues années de sevrage et de combat pour la liberté. Pendant quelques instants, la voix de Ryo et de son oncle Jucio se mêlent et elle ne parvient plus à les distinguer. Son corps se rappel du plaisir, de la drogue et il rappel à sa tête qui la lui donnait, qui elle baisait et à qui elle obéissait pour en avoir plus... toujours plus...

Quand Ryo la malmène avec brutalité pour la ligoter sur le lit, c'est toute l'image du flic qui se mélange à celle du mafieux de son souvenir. La "Pink Paradise" ne la fait pas délirer, non, elle fait ressurgir son passé enfoui lors de sa cure de désintoxication. Toutes les horreurs que son propre oncle lui avait infligé quand il avait tué son père pour lui voler son héritage. L'esprit en feu, la belle Sicilienne réprime désespérément ces souvenirs pornographiques dans l'espoir de ne pas re-sombrer.

Mais son corps est plus coopératif que sa tête et se laisse attacher de manière humiliante par Ryo.

Ryo - Crois pas que je vais me limiter à ça ma jolie.

Rachele ne le voit pas faire mais elle reconnait le bruit de la petite boite en métal, celui du briquet qui crépite... Elle reconnait l'odeur du cristal qui fond dans la cuillère mais elle refuse d'y croire. Elle refuse d'accepter que tout cela est vraiment en train de se passer, qu'elle est à nouveau à la merci d'un homme pervers et sans pitié. Et par dessus tout, elle refuse jusqu'à l' idée de redevenir une simple petite pute accro qui rampe aux pieds de son maitre. Mais le flic lui, est bien réel et le lui prouve en agitant la seringue pleine sous ses yeux.

Ryo - Tu sais c'que ça veut dire hein? Tu vas replonger. J'vais t'mettre à genoux. Tu seras une bonne petite chienne bien obéissante.

Rachele écarquille les yeux d'horreur en voyant l'arme ultime de sa déchéance, prête à la briser de nouveau et la retransformer en esclave dépossédée de toute volonté. Les souvenirs remontent à nouveau, des innombrables fois où elle à vu cette longue tige de métal percer sa peau pour déverser sa camisole chimique infernale. De ces interminables heures de flou et d'un bien être artificiel et toxique, des journées, des semaines entières à ne servir qu'a satisfaire les fantasmes d'ignobles porcs sans avoir la force ni la volonté de dire "non". Une demi-vie à ne ressentir que dégout de soit, orgasme et folie.

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Rachele – N... non... pitié... pitié tout mais pas ça... non... non !

Hurle la jeune femme en sentant Ryo lui saisir le pied et lui écarter les orteils.

Rachele - Naaaan... je vous en supplie je ferai tout ce que vou HA !

Ryo voit tout le corps de Rachele se cambrer d'horreur et de refus quand elle sent l'aiguille pénétrer la peau fine de son pied. Elle est comme prostrée et se met à trembler de tout son corps, alors qu'une terreur authentique l'étreint.

Rachele – Nan... ne fait pas...hooo ?

Souffle Rachele en sentant le liquide se rependre dans son sang et serpenter vers son cerveau. Ryo voit alors tout son corps de déesse se détendre doucement et s'offrir alors que ses yeux perdus vagabondent vers le miroir du plafond et que sa bouche s'ouvre lentement pour lui permettre de gémir et de souffler de bien-être. Sa chaire reconnait cette intrusion et s'abandonne à elle en de longs souffles qui agitent sa poitrine brillante de transpiration.

Rachele - Hennn... hoooo...pietà... signore dio... salvamiiii... hoooo.... hoooo...

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Elle tressaute deux petites fois, dernières réflexe défensif de refus avant que tout son corps s'ouvre au butor qui se jette alors sur sa bouche délicate et lui empale la gorge d'un geste souple et sauvage. Rachele le sent taper au fond, elle sent son gland contre sa glotte, comme à l'époque, comme avec Jucio dont les paroles répugnantes résonnent à nouveau dans sa tête. Totalement déchirée entre le bien être de l'héro, la nymphomanie brulante de la Pink et le tournis du GHB, son esprit et son âme basculent et se fracture.

Sa personnalité d'il y a quatre ans se précipite contre la portes de sa raison et la fait voler en éclat pour fusionner avec ce qu'elle est devenue depuis. La "Rachele" d'aujourd'hui fond dans un hurlement silencieux, dans la répugnante répétition des bruit de gorge que produit la bite de Ryo qui lui déforme la mâchoire pour lui baiser la gorge:

Rachele – Ga ! Ga ! Ga ! Ga !

Sa gorge gargouille au rythme des coups de reins frénétiques de Ryo. Les yeux levés vers lui pour le regarder à chaque fois qu'il recule sa tête pour pouvoir l'empaler de nouveau. Oncle Jucio adorait qu'elle le regarde pendant qu'il baisait sa bouche, il voulait qu'elle le regarde la violer et l'humilier et Rachele était une bonne esclave, elle voulait que son maitre soit content...

Ryo - "T'as une sacrée bouche à pipe Baronne. On va essayer autre chose."

Dit le flic alors qu'il libère enfin la bouche de la jeune femme pour la manipuler d'avantage. Rachele ne vomi pas, son corps à déjà retrouvé ses habitudes d'esclave, ou es ce son conditionnement mental qui n'a jamais vraiment disparu. Toujours est il qu'une bonne pute ne vomi pas sur les pompes de son maitre. Elle se contente de laisser couler de ses lèvres le mélange visqueux du pré-sperme de Ryo et de sa propre salive.

Quand il lui saisit de nouveau la mâchoire et lui violente encore la bouche dans une nouvelle position, les vannes de ses souvenirs s'ouvrent grand et un flot ininterrompu d'images pornographiques et ignobles viennent fusionnent avec le moment présent. Elle se revoit il y a quatre ans, belle et innocente, lors de la nuit de son 18ème anniversaire, les liens qui l'entravent, son premier shoot d'héroïne pure, la folie, le sexe, Jucio et ses hommes qui lui baisent la gorge pour sa première fois avant de lui prendre le reste...

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Mais Ryo n'a pas besoin d'avoir des comparse pour lui faire revivre pareil et même pire. Car il surclasse la brutalité de son rêve éveillée et lui besogne les lèvres mieux que Jucio et ses amis ne l'avait fait. Submergée par les drogues qui se mélangent dans son cerveau et lui grillent les neurones, par le fantasme des nuits passé qui se mêlent à l'instant présent en une orgie sexuelle d'images, d'odeur et de sensations, Rachele commence à gémir et à grogner à chaque fois que la bite de Ryo lui pénètre la bouche et s'enfonce en elle.

Depuis sa position dominante, le flic en passe de devenir maitre de Sekuzu profite pour l'heure du spectacle du bassin et des hanches de Rachele qui se dandinent et se frottent au lit au rythme de ses coups de reins pendant que sa queue trace un épais sillon sur la trachée de sa future esclave.

10
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: dimanche 05 juin 2022, 23:21:31 »
Ryo - "Nous parlions de l'attrait que les hommes puissants exercent sur vous."

Rachele ri de bon cœur à cette boutade et boit une gorgée, se condamnant sans le savoir. Puis elle reprend sa posture lascive et érotique pour jouer avec son désir et lui répondre nonchalamment:

Rachele – Je pense plutôt que la véritable force à l'œuvre ici bas est l'attrait que MOI j'exerce sur les hommes puissants.

La fierté vibre dans ses paroles. Mais Ryo peut y entendre également une autre émotion, plus amer et reconnaissable entre toute: celle de la haine et de la revanche. L'attrait, ce pouvoir dont Rachele  use et abuse depuis de début de la soirée avec Ryo comme elle le fait avec tous les hommes de pouvoir, n'est pas qu'un jeu, c'est une vengeance. Une rétribution faites aux hommes pour ses années d'esclavage sexuel où elle était réduite à ramper à leurs pieds dans l'espoir d'avoir sa dose.

La discutions continue, Rachele ri de plus en plus facilement aux remarques de Ryo, elle se détend également et son regard s'alourdit doucement à mesure que les quelques petites goutes de GHB affaiblissent sa volonté et sa maitrise d'elle-même. Le flic à parfaitement bien dosé la drogue pour que la belle Baronne reste consciente mais ne puisse rapidement plus se défendre. Au bout de dix petites minutes pendant lesquelles le ripou meuble la discutions pour distraire sa proie, Rachele semble parfaitement disposée. Elle s'est légèrement affaissée sur elle-même, son regard est troublé et sa bouche reste légèrement entrouverte entre chaque phrase de plus en plus décousue qu'elle prononce.

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C'est le moment que le loup solitaire attendait pour attaquer sa proie et l'entrainer dans la foret...
Il lui tend son bras, Rachele le regarde quelques instants, réfléchir lui est devenu difficile. Puis elle comprend qu'il veux l'aider à aller se reposer et dit faiblement.

Rachele – Oui, vous avez rai... raison... j'ai ... *rire* j'ai un peu trop bu... je suis désolée *rire* je suis plus résistante généralement... l'esclave à due mettre beaucoup d'alcool.

Elle saisit son bras et se relève péniblement. Elle manque s'affaisser de nouveau mais s'agrippe aux muscles puissants du bras de Ryo avec ses deux mains. Le flic détend tous son bras pour la maintenir debout pendant qu'elle se dirige instinctivement vers l'ascenseur, congédiant les gardes au passage.

Ryo - "Rachele, vous devriez faire attention à vous. je suis peiné de voir à quel point vous vous faites mal. Où voulez-vous aller?"

Rachele – L'ascenseur Ma suite... je... j'ai besoin de me passer le visage sous l'eau froide... ça... ça ira mieux après... on pourra... pourra conclure le marché...


La mafieuse laisse Ryo l'aider à prendre l'ascenseur. Elle utilise à nouveau sa clef qu'elle tourne jusqu'au mot: "PRIVATE" et la cabine monte jusqu'au sommet du Rachele'S, jusqu'au "trône" de son empire. Quand la porte s'ouvre, Ryo découvre un superbe loft de style New-Yorkais, fait de verre et d'acier, de murs parfaitement blancs.

En lieu et places de décoration, des alcôves sont percées dans les murs pour y exhiber de ravissantes jeunes femmes et hommes attachés et réduit à l'impuissance. Leurs visages sont totalement masqués pour les priver de leurs sens, une sonde naso-gastrique enfoncée dans leur nez permettant de les nourrir et de les hydrater pendant les innombrables jours "d'exposition". Le sexe des hommes semblent figés dans une monstrueuse érection permanente et douloureuse et leurs couilles sont ceinturées à la corde de cuir pour contenir le semence, soumis à la folie d'un désir intense de jouir mais qui ne peut être assouvi. Les femmes quant à elles ont les seins gonflés et lourds, souvent percés d'anneaux ainsi que leur clitoris odieusement mis en exergue et leur vulve laissent couler un mince filet de mouille. Ryo peut compter au moins 3 hommes et 6 femmes dans la Suite.

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Alors qu'il entraine Rachele vers sa chambre, Ryo remarque également un superbe bureau d'ébène et son grand fauteuil tournant, installés devant une grande baie vitrée qui domine les toits de la ville. Sur celui-ci, un unique objet, une tablette noire et luisante, cœur névralgique de l'endroit qui permet d'observer et de contrôler le Rachele'S.

Enfin, derrière une épaisse porte d'un noir poli, Ryo découvre une pièce spacieuse avec un grand cube rouge au centre en guise de lit surplombé d'une immense miroir. Une rampe et des anneaux en font le tour et des chaines pendant du plafond pour pouvoir attacher quelqu'un comme on le désir. Les murs sont couverts de miroirs et d'armoires sur lesquels le flic peut découvrir d'innombrables objets de torture, de sextoys de toutes les tailles et formes et divers objets d'une technologie étrange et futuriste.

C'est à ce moment qu'il décide de jouer le jeu du "gas bien" et lui souhaite bonne nuit avant de faire mine de partir. Séparée de sa puissante béquille, Rachele se cramponne à la porte de sa chambre et commence à glisser par terre. C'est à ce moment que Ryo la rattrape et raffermi enfin sa prise.

Ryo -"T'es cuite Max, tu t'en rends compte? Qu'est ce que t'as branlé?"

Rachele regarde le flic dans les yeux, elle semble confuse et surprise par la façon dont elle lui parle. Il la tutoie, il utilise un terme très impoli et ose lui poser une question, à elle, la baronne du crime. Elle voudrait répondre mais elle ne trouve pas de mots, elle se sent si faible et Ryo semble si fort, si sur de lui. Mais le mastodonte n'en reste pas là, maintenant qu'il la maitrise et qu'il est certain qu'elle est sans défense, il la traine jusqu'au lit et l'y jette comme une vulgaire pute de bordel. Rachele trébuche sur le lit et s'affale dessus.

Rachele – Haa ! Mais... que...

Arrivé au pied du lit à son tour, Ryo remarque qu'une petite table de chevet est installé à coté. Un superbe casque de réalité virtuelle est posé dessus et à coté de lui, il reconnait plusieurs petits coffrets qu'il à l'habitude de voir chez les maquerots et les esclavagistes. A l'intérieur il reconnait l'attirail du fabricant de junkys: un garrot, des lingettes alcoolisées et une dizaine de seringues annoté pour savoir quand les utiliser: 0 heures pour la première dont le liquide d'un blanc parfait laisse imaginer la pureté de la substance. 2 heures pour la seconde, légèrement diluée, puis plusieurs autres sont annotés d'un "4 heures" pour créer l'addiction. Enfin, celles annotés d'un "6 heures" sont les plus clairs et servent à "fixer" l'esclave devenue accro. Ainsi c'est ici que Rachele transforme ses victimes en esclaves sexuelles...

Pendant qu'il examine tout cela, Rachele essaie faiblement de se redresser sur le lit, mais le flic est plus rapide qu'elle et s'installe lourdement sur elle.

Rachele – Hoch ! Qu'es... qu'es ce que... vous faites ? souffle

Ryo - "Je crois que t'as très envie de te faire baiser là, je me trompe?"


Rachele écarquille difficilement les yeux d'effroi en comprenant soudain ce qu'il se passe. Elle n'est pas simplement saoule, elle n'est pas juste fatigué, Ryo l'a piégée...

Il la saisit par la mâchoire et sort une pilule rose de sa poche. En la voyant, le regard de Rachele s'empli de terreur et une larme de désespoir roule le long de sa joue. Elle se dégage et lui hurle:

Rachele – Nan pitié pas ça ! Je veux pas redevenir une GAAAgl...

Les doigts de Ryo se sont enfoncé dans la gorge de Rachele pour lui faire avaler la pilule et il referme sa main sur sa bouche pour l'empêcher de recracher. La jeune femme se débat faiblement et sans aucune vigueur à cause du GHB, ses mouvements sont lents et lourds, à peine plus fort que des frémissements, le flic n'a aucun mal à la tenir ainsi pendant qu'elle le regarde en pleurant, les yeux grands ouverts où se mêlent peur et supplication.

Après deux ou peut être trois minutes de lutte désespérée, les joues et les paupières de Rachele se mettent à rougir comme si elle avait honte. Ryo la sent transpirer entre ses doigts et l' odeur enivrante de son sexe moite envahie ses narines de prédateur sexuel, comme pour la fille dans la limousine. A son regard horrifié, Ryo devine que la belle jeune femme réalise ce qui est en train de lui arriver. Elle essaie de résister, elle agite sa tête de gauche à droite pour chasser la brume perverse qui voile doucement son esprit et mimer des "non, non, non !" silencieux.

Quelques secondes plus tard, les pupilles de la belle se dilatent progressivement pendant que ses paupières retombent légèrement, ses gestes se font plus lent encore, puis elle cesse de luter. La terreur commence à se noyer sous le désir, Ryo peut le lire dans ses yeux, le sentir sur ses jambes sous lesquelles il sent pointer les tétons de sa prisonnière. Enfin sous sa main il la sent ouvrir la bouche et baver contre sa paume, il peut alors la retirer:

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Ryo - "J'ai pas compris ... tu veux me sucer c'est ça?"

Rachele papillonne des yeux, comme si elle comprenait ce qu'il dit mais extrêmement lentement, elle tente de lui répondre alors qu'un mince filet de salive coule de sa langue.

Rachele – Sucer ? Ra... Rachele... veux... sucer ?

Sans même s'en rendre compte, la belle Sicilienne se met à parler d'elle à la troisième personne, comme si elle n'était qu'un objet, preuve de son passé d'esclave sexuelle brisée. La main de son nouveau maitre s'abat alors sur ses superbes seins gonflé de désir en une série de gifles qui lui cuisent les tétons. La belle se met à crier faiblement d'une voie brisée et également à gémir comme une trainée en train de se faire baiser, l'odeur de mouille devient encore plus forte et Ryo, toujours sur elle, peut sentir le jus de plaisir de la jeune femme souiller le bas de son pantalon.

Rachele – Su... Non.. si.. sucer... maitre... non... Rachele... pas escla HA !

Une nouvelle gifle vient lui faire perdre le fil et brise sa maigre résistance.

Rachele – HA ! Nan... pitié... pi... maitre... sucer... Rachele... sucer Maitre... pas... pas frapper, pitié... sucer maitre...

Les mains lascives de Rachele glissent sur les cuisses de Ryo, elles sont encore toutes frêles et tremblent alors qu'elles débouclent sa ceinture, descendent sa braguette et libèrent son énorme phallus, déjà revigoré de la baise précédant, encore puant de la vulve qu'il a déflorée dans la limousine. Mais Rachele n'arrive plus à réfléchir, son cerveau se noie sous les molécules de la "Pink Paradise" que Ryo lui a fait avaler.

Une main à sa base pour le tenir comme un sceptre, elle regarde l'énorme sexe dressé en bavant, les yeux plein de fascination et de terreur, comme ceux d'une prêtresse devant l'incarnation de son dieu. Elle murmure des paroles qu'elle avait depuis longtemps oublié mais qui lui reviennent si facilement:

Rachele – pas... pas taper esclave... bonne esclave... Gaaa...

Les mots suivants s'enfoncent dans sa bouche à mesure que ses lèvres coiffent le gland de Ryo et descendent lentement vers sa gorge alors qu'elle avale le reste de sa longue queue. Les yeux fermés, le corps en feu puant de désir et la mouille, elle commence à faire de longs vas et viens sonores entre les cuisses de Ryo.

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Sans les lunettes:
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La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: vendredi 03 juin 2022, 20:47:44 »
Ryo - "Vos occupations me surprennent Signora. C'est intéressant mais juste entre nous, je préfère les brunes. J'ai un mal fou à résister à celles qui affichent sensualité et confiance en soi. J'ai entendu dire que la Sicile est mère des plus belles d'entre elles."

Visiblement satisfaite par ce badinage et ses flatteries, Rachele lui souri de toute sa dentition parfaite, ses grands yeux clairs pétillent sous la lumière crue des néons blancs, ses traits parfaits et pleins, ses lèvres pulpeuses resplendissent. Elle semble si jeune par rapport à son pouvoir, son titre et sa cruauté...


Rachele – Merci beau champion. J'apprécie vraiment et je connais vos gouts, c'est pour ça que j'ai trouvé que notre belle petite Elyse sera parfaite en temps que votre hôtesse privée. Rassurez vous, elle sera toujours "elle", je vous le promet... elle sera juste un peu plus... chaude... *rire* et si vous ne me croyez pas vous pourrez assister à sa thérapie de conversion.

Les infirmières tournent finalement sur la droite et s'engouffrent avec la civière dans une des salles numéroté encore vide. Ryo entend Elyse se débattre frénétiquement dans sa camisole de force et hurler sous son bâillon boule au moment où le sas vitré annoté d'un "6" se referme derrière elles.

Elyse – (n) oooooonnnnn...

Rachele entraine Ryo toujours tout droit dans le couloir, vers un bel ascenseur. Quand ils passent à leur tour devant le sas vitré numéro 6, le flic à le temps d'entre-apercevoir une pièce similaire aux autres, blanche, équipée d'innombrables machines sexuelles et objets insolites, des armoires à pharmacie et à sextoys bien remplies, des tables de travail en inox pourvus de divers objets: seringues, spéculums, écarteurs et biens d'autres. Une infirmières semblent être en train de consulter un porte-vue sur lequel sont inscrits des instructions pendant que l'autre parle à Elyse qui se débat toujours en la foudroyant du regard.

Le duo laisse finalement le sas 6 derrière lui et atteint les portes de l'ascenseur qui s'ouvrent à leur passage. L'intérieur est feutré, agréable et il y règne un léger parfum de femme, une odeur épicée et subtile de sexe et du parfum de Rachele. La baronne du crime sort une clef cachée entre ses seins et la passe dans une serrure situé sous les boutons des étages. La serrure porte plusieurs mentions: AZYLUM, MAISON CLOSE, VIP1, VIP2, PRIVATE. Elle tourne la clef jusqu'à VIP1 et la cabine s'ébranle.

Dans la loge VIP1, il n'y a que quelques clients visiblement triés sur le volet, parmi eux, Ryo reconnait Dario Galdo, dit "Le Galgados" dans le milieux. Un riche homme d'affaire qui a fait les gros titres des journaux à scandale ressament parce que poursuivi pour harcèlement sexuel par une de ses secrétaires. Il prend un verre, torse nu, décontracté et souriant pendant qu'il discute avec une barmaid uniquement vêtue d'un harnais d'esclave en vinyle noir.

Rachele – Bienvenue dans ma première loge VIP mon ami... j'espère que le style vous plaira. Mettez vous à l'aise, ici, il n'y a qu'une seule règle: "fait ce que vouldra".

Pendant qu'elle prononce ces mots et que Ryo s'installe dans un divan à l'écart, Rachele dégrafe sa robe et la laisse glisser le long de ses jambes jusqu'à ce retrouver seins nu, uniquement vêtue d'un string noir à dentelle, de bas à porte jarretelle noir, de longues chaussures à talon et d'un harnais en vinyle noir qui souligne sa poitrine parfaite.

Elle s'installe à la droite de Ryo dans une position lascive, la pointe de ses orteils à seulement quelques centimètres des jambes du flic et laisse sa chevelure cascader librement sur ses épaules.

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Ryo - "Et qu'est-ce que ce sera pour vous Signora?"

Ryo termine à peine sa question qu'une barmaid vêtue comme l'autre apporte  déjà un Cuba Libré à la Maitresse des lieux avant de demander au flic ce qu'il veux.

Ryo - "Et si nous scellions cette nouvelle association en partageant un petit rail de coke? Je serais curieux de tester la qualité de vos produits. Vous ne me refuseriez pas ça Rachele, pas par provocation, mais par jeu je vous rassure? Tentons ... l'interdit vous et moi."

Rachele essaie de cacher sa gêne et sa confusion mais le regard expérimenté du flic ne manque pas de desceller l'envie et le combat dans les yeux de la jeune femme. Ne laissant que peu de doutes sur son passé d'esclave sexuelle tenue par la drogue. Elle fait semblant de savourer son verre pour cacher sa déglutition involontaire, preuve indiscutable du combat qui fait rage dans son corps et sa tête, puis elle sourit de nouveau et fait un petit non de la tête.

Rachele – Jamais, la règle d'or pour une baronne du crime c'est: "ne consomme pas ce que tu produit". En revanche, je me ferais un plaisir de vous offrir un petit échantillon promotionnel des différentes merveilles qui sorte de mes labo.

Sa voix tremble presque imperceptiblement. Mais elle se ressaisit et claque des doigts,  la barmaid revient quelques instants plus tard et tend à Ryo un pilulier rempli de divers substances qu'il reconnait pour la plupart: extasie, cocaïne, cristal meth, GHB, mais il reconnait également l'étrange substance rose bonbon que Rachele avait donné à sa nièce pour la rendre chaude et malléable et qui lui avait tourné la tête et le corps au point qu'elle jouisse de son viol.

Rachele – Servez vous, prenez tout, vous les testerez sur vos futurs conquêtes.

Rachele prend une nouvelle gorgée, son grand verre ne semble jamais se finir, même à mesure que la discussion avance. L'ascenseur s'ouvre de nouveau et Ryo remarque qu'une infirmière en sort en tenant par le bras la belle jeune femme blonde qui était harnachée à la machine sexuelle de la salle numéro 1 quelques minutes plus tôt.

La ravissante prisonnière se précipite alors dans les bras de Dario Galdo et l'embrasse fougueusement avant de se blottir contre lui. Elle le regarde avec amour et désir, en se mordillant les lèvres comme une adolescente nymphomane face à son plus grand  fantasme. En la regardant Ryo réaliser alors qu'il s'agit de la jeune femme qui apparaissait sur tout les tabloïdes, celle qui avait poursuivi Le Galgados en justice pour harcèlement sexuel. L'Azylum avait transformé la belle féministe et idéaliste en nymphomane fougueuse et consentante.

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Rachele – Vous voyez Champion ? Ce n'est pas si mal d'avoir son hôtesse privée finalement... Excusez moi quelques instants.

Rachele se lève et se dirige vers Le Galgados pour le féliciter et le brosser dans le sens du poil. Ryo se retrouve seul à table pour quelques instants...

Rachele – Vous êtes satisfait par votre achat Monsieur Galdo ?
Dario – Elle est parfaite Max, je ne pensais pas que ce serait à ce point.
Rachele – Je peux donc vous compter parmi mes amis désormais j'imagine.
Dario – Tout ce que vous voudrez Max. Demandez moi ce que vous voulez.
Rachele – ça viendra mon ami, ça viendra, rassurez vous et amusez vous bien avec votre hôtesse, elle n'attend que ça et elle aimera tout ce que vous lui ferez... j'y ai veillé...


Puis Rachele revient à la table et s'installe à nouveau à coté de Ryo. Elle reprend son verre et prend une nouvelle gorgée.

Rachele – De quoi parlions nous mon Champion ?

12
Marco - Arrête de bouger putain...

Grogne le gros turque en bavant sur le cou et les seins de Li Hua alors qu'il l'immobilise sous son poids pour qu'elle ne puisse plus fuir sa queue répugnante et grasse. Il la pilonne brusquement en gargouillant de plaisir. A chaque fois que Li Hua le sent s'enfoncer en elle, elle l'entend pousser des cris de jouissance abominables, laissant imaginer sans aucun filtre le bien qu'il ressent quand sa grosse bite lui écarte les lèvres intimes et déforme les parois de son petit vagin.

Marco – hooooo... salope... t'es serrée... gueuuuuu... petite pute d'asiat... j'adore... haaaa... les porno asiat... gueuuu...

C'est donc ce qu'elle est en cet instant d'horreur, la matérialisation d'un fantasme inaccessible, la personnification d'une catégorie pornographique odieuse et raciste. L'image d'Epinal de la superbe jeune femme aux yeux bridés, aux traits parfaits,  au sexe étroit tant convoité par le sexe démesurément gros d'un peuple barbare et brutal.

Il continue ses vas et vient avec régularité et violence. Le  grincement rythmique du lit,  les grognements de plaisir et surtout le bruit à la fois sec et gluant de ses cuisses qui frappent contre les hanches de Li Hua, le claquement des beaux seins de la belle qui rebondissent sur sa poitrine, se mêlent au concert de bruits pervers du reste du bordel.

Sans le vouloir, la belle asiatique participe au spectacle pervers et sale que donne ce lieux, elle devient un rouage de la machine à baiser, une figurante dans le fond qui apporte l' odeur de son corps et ses gémissements au tableau d'ensemble. Ainsi possédée et beusognée par son premier client, son corps et sa chaire ne font qu'un et fusionnent avec celui des autres putes de Rachele.

Soudain, le gros turque commence à se tendre et à se contracter, il saisit encore plus fort Li Hua qui sent sa bite gonfler et palpiter en elle. Elle sent qu'il va jouir...

Marco – raaa... oui... putain je sent que ça vient... Marco va te remplir sale pute... oui... gaaa... ouii hoooo...

Il passe une main sous les fesses de la jeune femme pour plaquer ses hanches contre les siennes et referme l'autre sur son sein gauche pour l'écraser entre ses doigts. Il se contracte alors de nouveau en poussant un grognement de plaisir et Li Hua sent son gland cracher une première rasade de foutre brulant au plus profond de son intimité. Ses coups de reins deviennent plus lent et encore plus brusques et à chaque fois il jouit en elle d'épaisses giclées en bavant sur ses seins. A la quatrième et à la cinquième éjaculation, Li Hua sent la semence de son violeur se frayer un chemin entre les parois de son vagin pour dégouliner sur ses fesses.

Il se retire alors en souriant de manière perverse pour éjaculer une dernière fois sur le ventre et le visage de Li Hua, pour l'humilier d'avantage.

Marco – Voila, tu ressemble à une vraie pute maintenant salope...

Sur ces paroles pleines de mépris, à des milliers de lieux de ce qu'un homme d'aussi basse extraction aurait normalement pu dire à une baronne Yakuza, le turque obèse pose un billet de 5 dollars froissé et jauni à coté de Li pour la "payer".

Puis il s'écarte du lit, sa monstrueuse carrure permettant à Li de voir à nouveau la pièce autour d'elle. Et le spectacle qu'elle découvre ne peut que lui révéler l'horrible vérité: son cauchemar ne fait que commencer. Car autour d'elle se pressent déjà d'innombrables autres hommes, de toute taille, couleur de peau, âge et corpulence. Tous en la regardant d'un air pervers et affamé, ils se masturbent en s'approchant du lit.

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Li Hua ne voit plus rien d'autre qu'une foret de corps poisseux et suants, leur sexes souillés par la mouille des autres esclaves, dressés vers elle en attendant leur tour. Des petites bites de salariman trop longtemps engoncées dans leurs petit pantalon bon marché, des plus grosses, couvertes d'un pellage noir, épais, gras et entortillé autour du membre et des couilles, jusqu'à la queue monstrueuse, presque animale, d'un dealeur à la peau noire comme l'ébène.

Un premier homme s'offre le tour suivant et s'allonge directement entre les cuisses de Li et la baiser directement, profitant que sa chatte est encore toute lubrifiée par le sperme du turque pour la pénétrer d'un coup et commencer des vas et viens. Ce répugnant pourceau sent le tabac froid et la bière et il ne lui faut que quelques poussées maladroites dans l'intimité de Li pour commencer à jouir frénétiquement comme un ado en plein dépucelage. Son sperme vient remplir un peu plus le ventre de la nouvelle pute du bordel, s'ajoutant à celui de Marco jusqu'à ce qu'il soit brutalement repoussé en arrière par des mains immenses et noires.

Li se retrouve alors, toujours désarmée, les chevilles et les poignets liés au quatre coin du lit, face au mastodonte africain, à la musculature luisante, et au sexe démesurément gros et long en comparaison de sa petite chatte de japonaise.

Rachele – Je te présente Lachance, un de mes clients préféré, et celui de beaucoup d'autres putes... Il a réussi a dévergonder une paladine de Terra, je suis certain qu'il va faire des merveilles avec toi aussi...

Rachele se met sur la pointe des pieds pour chuchoter quelques paroles venimeuses à l'oreille du géant de basalte. Li ne les entend pas mais remarque immédiatement ce qu'elles lui font. Lachance se pince les lèvres d'excitation, son sexe se dressant fièrement, sans l'aide de ses mains, au dessus de ses énormes testicules.

Li n'a que quelques secondes pour parler, pour lui demander ce que Rachele a bien pu lui dire pour le mettre dans cet état, avant que Lachance ne se jette à son tour sur elle pour la pénétrer sauvagement. Sa queue est tellement épaisse et large que même lubrifiée et élargie par deux hommes, le vagin de Li peine à s'écarter pour le laisser passer. Chacun des 25 centimètre de pénétration est une interminable progression qui fait grogner et souffler de plaisir le violeur qui s'enfonce  lentement en elle.

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13
Rachele regarde avec surprise les orteils de Lucy s'agiter maladroitement sur sa poitrine dans l'espoir de la griffer ou de lui saisir les tétons. Elle a d'abord un mouvement de recule, puis elle semble trouver cela amusant et serre les plantes de ses pieds entre ses doigts pour jouer sur ses seins avec. Elle lève alors les yeux vers ceux de sa prisonnière et y décèle ce mélange si savoureux, qu'elle adore par dessus tout. Cette colère, ce désir de défiance idiot et hypocrite qui tente désespérément de cacher le fait qu'elle aime ça, qu'elle prend du plaisir à se faire traiter comme une petite pute à demi-orc.

Rachele – Hooo... tu veux jouer les petites rebelles ein... faire la dure à cuir alors que tu te retiens déjà de jouir comme une salope nymphomane... tu veux te venger avec tes ravissants petits orteils .

Un sourire d'une perversité sans borne déforme les traits de son visage. Car la maitresse des lieux, et désormais de Lucy, sait déjà que sa nouvelle esclave mène un combat perdu d'avance. Elle sait que les petites rebelles comme elle hurlent encore plus fort que les autres quand elles sont brisées, qu'elles en demandent toujours plus.

Rachele – Sharaku ! Rappel à cette petite pute sa place...

Un demi-orc se campe devant Lucy et lui donne un coup dans le ventre d'une violence inouie, avec tans de force que le choc la fait tanger d'avant en arrière le long de la bite du peau-verte derrière elle. Il la frappe encore, si fort qu'elle en a le souffle coupé et la tête qui tourne.

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Rachele – Bien, maintenant baissez la bien profond. Je veux l'entendre hurler.

Le monstre derrière Lucy la soulève d'un seul coup et la pose littéralement sur son gland qui ressemble à un monstrueux champignon. Le diamètre de son bout est si large qu'il dépasse de chaque coté de sa petite vulve de plusieurs centimètres, au point qu'il semble impossible qu'il s'y enfonce sans lui briser le bassin et lui déchirer l'intimité. Il la saisit par les hanches et la fait lentement glisser vers le bas.

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Korog – Maitresse Max... maitresse Max...

Grogne l'orc répugnant qui essai d'enfoncer sa bite titanesque entre les petites lèvres intimes de Lucy.

Korog – ça rentre pas... elle est trop étroite...

Lucy le sent baver dans son dos pendant qu'il la pousse vers le bas, elle peut sentir toutes les aspérités gluantes et boursoufflés de l'énorme champignon qui lui tien lieux de sexe. Rachele se rapproche et utilise ses nouveaux jouets pour masser la poitrine de la prisonnière.

Rachele – Tu crois une seule seconde que tu ne vas pas servir de sac à foutre pour mes invités petite pute ? Tu crois encore que je vais t'utiliser comme arme ? Que j'ai envie de faire de toi une de mes guerrière ?

Rachele laisse alors glisser ses mains le long du ventre de Lucy pour atteindre ses lèvres intime et commence à les masser délicatement pour les assouplir, pour la faire mouiller, puis elle commence à les écarter  en même temps que l'orc glisse avec beaucoup de difficulté son énorme gland entre elles.

Rachele – Non... su je t'ai coupé les membres, si j'ai fait de toi une petite marionnette c'est précisément pour te réduire à néant, te transformer en vulgaire esclave sexuelle et désormais, tu ne servira qu'a ça...

Au moment ou la mafieuse termine sa phrase, Korog, l'orc au sexe monstrueux presse sur les hanches de Lucy avec ses doigts poisseux et l'empale d'un seul coup sur toute sa bite en poussant un hurlement de plaisir. La belle esclave sent remonter sa queue jusqu'en haut de son ventre, il l'emplie tellement qu'elle peut la voir déformer son corps, saillir sous sa peau, comme si elle était enceinte de ce pénis gargantuesque.

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14
La zone industrielle / Re : Roman noir [PV Ryo]
« le: mercredi 01 juin 2022, 21:09:50 »
Rachele passe délicatement ses doigts sur l'avant bras puissant de Ryo et le caresse jusqu'à ce que sa main  atteigne le renflement de son muscle. Elle le presse légèrement et le guide à la suite de la civière sur laquelle est sanglée la belle incorruptible, véritable ange de justice, rayonnant de sa droiture et de son idéalisme, prise dans les toiles d'une araignée venimeuse.

Elyse se débat dans sa camisole de force, contracte ses jambes galbées et athlétiques dans l'espoir de libérer ses chevilles de leurs épaisses sangles de cuir. Elle grogne des insultes sous son bâillon en lançant en tout sens des regards tantôt courroucés, tantôt terrifié, parfois elle croise celui de Ryo.

Des moments ressurgissent dans leurs mémoires, les bons, comme quand elle sortait à peine de l'académie de police et vouait une admiration à ce loup solitaire, si sombre et viril qu'était Ryo. Ces moments où il lui apprenait le métier, comment survivre, comme apprécier, comment vivre comme un flic. Leurs fou rire devant les petites racailles qui les défiaient, leur peine quand un ami se faisait buter...

Puis les mauvais moments, quand elle avait refusé la corruption, l'argent facile, le pouvoir, pour rester "pure". Et pure, elle l'était toujours, un parangon, tout ce que Ryo ne serait plus jamais. Elle l'avait traqué, d'affaire en affaire, tous les autres pourris étaient tombés, mais à chaque fois, pour Ryo, son ancien mentor, elle n'avait jamais eu le cœur de bosser aussi bien... et les avocats du flics avaient toujours flanqué ses procédures par terre... acquitté... acquitté... acquitté... jusqu'à maintenant.

Les infirmière ignorent ses gesticulations inutiles et poussent sa civière jusqu'à la double porte flanquée des lettres ASYLUM. Elles s'ouvrent sur leur passage et un torrent de sons et d'odeurs assaillent toute la petite bande. Des hurlements, parfois de douleur, parfois de plaisir, mais le plus souvent de démence pure s'échappent des diverses portes vitrés et numérotés qui flanquent un long couloir central inondé d'une lumière d'hôpital, blanche et crue. Une étrange odeur de désinfectant se mêle à celle, prégnante et âcre du sexe féminin, de la sueur, du sang, de la chaire brulée et des narcotiques.

Rachele – Qu'elle meure ? Quelle grossièreté voyons... je ne me serais pas donnée tans de mal si j'avais voulu qu'elle meure. Non, comme je vous l'ai dit, si je suis satisfaite de votre travail elle fera partie de vos "récompenses"... Laissez moi vous expliquer...

La civière arrive devant la premières portes vitrés. Ryo voit Elyse tourner son regard vers celle-ci et écarquille les yeux d'horreur en gargouillant sous son bâillon-boule:

Elyse - Hog ?! Ho... (m)on  (d)ieu... ho (m)on (d)ieu !

Rachele et les deux infirmière ne font même pas attention à ses cris étouffés par la boule entre ses lèvres et continuent leur route en discutant:

Rachele – Chacun de mes "Champions", comme vous, dispose d'une "hôtesse privée" à chaque fois qu'il vient se détendre et parler affaires au Rachele'S Club.  Une esclave qui lui plais particulièrement et qui lui est réservé quand il vient.

Ryo et la mafieuse arrivent à leur tour devant la porte vitrée et le flic peut voir le spectacle qui a frappé d'horreur la belle flic pourtant si courageuse. Une esclave ou plutôt une cobaye livrée aux savants fou de l'Asylum, le corps enchâssé dans une machine infernal, subit les assauts sexuels brutaux de gods monstrueux pendant que des tubes fichée dans ses cuisses l'abreuvent en permanence de drogue, d'aphrodisiaques et de d'hormones sexuels. Ses seins on gonflé de manière surprenante, ils crachent a chaque orgasmes de la prisonnière de petites giclées de lait récolté par les ventouses d'une machine à traire le bétail.

Mais plus que son corps, c'est son visage qui choque sans doute le plus les spectateurs non initiés. Ses yeux révulsés et fou submergés par le plaisir ne laissent aucun doute sur la démence pure qui fragmente son esprit. Sa bouche ouverte d'où pend sa langue, gesticulant de manière obscène sur ses lèvres. Elle hurle de plaisir, à s'en briser la voix, elle en demande encore plus, toujours plus. Des électrodes, enfoncés directement dans son cerveau par les oreilles, grésillent a intervalles réguliers à chaque fois qu'une impulsion électrique vient ravager ses neurones.

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Pendant qu'il regarde, Rachele continue son discours, mais en venant lui susurrer à l'oreille:

Rachele – Nous avons de nombreuses méthodes pour faire de bonnes hôtesses, mais je ne vous cache pas qu'il faudra accepter la folie dans le contrat... même si ce n'est qu'un tout petit peu... croyez moi, vous ne serez pas déçu et vous pourrez même participer à sa... formation...

15
Rachele sort de la limousine et s'approche avec sa servante. Les hommes de mains se montrent surprenament respectueux avec Li Hua et l'invitent poliment à lever les bras pendant qu'ils passent un capteur sur ses vêtements. Ils repèrent les mouchard, radio, portables et demandent à la belle Yakuza de les leur remettre. Ce qu'elle fait sans résister. La baronne de Seikuzu croise alors les bras et lui dit d'un ton réprobateur:

Rachele - Li Hua... Li Hua... Li Hua... que t'ais je donc bien fait pour me traiter avec si peu de respect... venir comme ça... dans MA maison, sur mon territoire, tuer mes maques et mes dealeurs, empêcher mes filles de bosser... vraiment... vraiment... tu me fend le cœur Li Hua... Quand je pense que nous aurions pu devenir de si bonnes copines... nous partageons tans de passions communes...

L'esclave en tenue obscène s'approche à son tour et palpe Li Hua pour voir si elle ne cache rien d'autre, elle prend tout ce qui s'apparente à de la drogue ou des armes sous toutes les formes. La Yakuza sait qu'elle doit la jouer finement à ce moment.

Li Hua - Je ne visais personne en particulier, j'ai reçu des menaces il y a peu d'un groupe en me renseignant j'ai appris qu'il se dissimulait dans le ville, j'ai frappé fort.

Du mensonge, du venin sortant de sa bouche. Mais celui-ci semble sans effet sur l'italienne. Rachele porte un doigt à son œil droit pour mimer le fait de retenir une larme, mes ses yeux sont sec, aussi sec que ceux de Li Hua, tout cela n'est que jeu de manche, mise en scène.

Rachele - Des menaces ? De moi ? hoooo... quel vilain mensonge... pas de ça entre nous ma chère Li Hua, nous allons passer tellement de temps ensemble désormais, nous ne pouvons pas commencer à nous mentir...

Li Hua - Ou peut-être d'une personne qui ose se faire passer pour vous, ma chère amie... Dans notre milieu nous savons que les traitres sont nombreux à frapper à notre porte. Si j'avais su... Vous pensez bien que je n'aurais jamais oser vous attaquer.


Un sourire narquois ce dessine sur le visage de Li Hua qui ne renonce pas à son mensonge, c'était le seul moyen de pouvoir sauver sa vie à ce moment.  Rachele le lui rend et semble se laisser convaincre. Ce qui en terme de gestuelle mafieuse, signifie généralement que votre interlocuteur va vous loger une balle dans la tête...

Rachele - Mais bien sur, tu as raison ma chérie. Tout ceci n'est qu'un vaste mal entendu, quelqu'un à sans doute voulu nous monter l'une contre l'autre... Oublions tout cela et partons sur de nouvelles bases. J'ai vraiment très envie de faire de toi une de mes nouvelles amies et pour ça je nous ai préparée une soirée entre filles !

Rachele prononce cette dernière phrase avec un ton étrange, un mélange d'adolescente excité d'aller en soirée et la morgue d'une tueuse de sang froid. Mais c'est le comportement de sa servante en vinyle noir  qui en dit le plus long sur les véritables intentions de Dona Florenza. Celle-ci termine sa fouille et pousse Li Hua vers la Limousine sans politesse ni ménagement.  Li manque de perdre l'équilibre, ses pieds nus la font souffrir.

Li Hua - Comment je pourrais refuser une proposition de votre part ma chère, devenons amies pour notre bien. Je suis ravie de me joindre à votre soirée filles.

La mafieuse n'est pas dupe, elle allait se faire manger à cette soirée.  Elle savait qu'elle n'allait pas passer un bon moment à côté de cette vipère.  Rachele la précède et s'installe confortablement dans la limousine. Quand Li Hua arrive devant la porte à son tour, l'Esclave Zéro lui saisit les poignets et les lui passe dans le dos pour les attacher entre eux avec des serflex (collier en plastique).

Rachele - Excuse mon esclave ma chérie, elle fait ce qui faut pour qu'on passe une bonne soirée.

Li Hua sent soudain la lame d'un couteau parfaitement bien aiguisé frôler sa peau, des fesses jusqu'à la nuque pendant que l'esclave Zéro coupe sa robe et ses dessous. Jusqu'à ce qu'elle soit nue, révélant ses formes sculpturales et élancées.

Rachele - Et ça c'est pour que tu soit plus à l'aise et... ho oui parfait.. tu es aussi belle que ce que je m'étais imaginer, on va vraiment beaucoup s'amuser... Il manque juste un petit quelque chose... humm... voyons voyons... Esclave...

L'esclave Zero passe un fin collier en vinyle noir autour du coup de Li Hua, celui-ci est assorti d'un anneau en acier devant. Puis elle s'accroupie entre ses jambes et lui passe des sandales, également en vinyle, à talons si hauts que Li Hua se retrouve a devoir marcher sur la pointe des pieds.

Rachele - Voila, là c'est parfait. Tu es superbe.

Li Hua - Une étrange façon d'accueillir une invité...


Li arrête de parler le temps que l'esclave de la Baronne lui passe un collier autour du cou, ainsi que des talons aux pieds, si haut qu'elle aurait bien des difficultés à se déplacer avec.

Li Hua - Ce collier est un généreux cadeau. Je vous remercie.

Ironie, Li ressemblait à un vulgaire animal domestique avec un collier autour du coup. Une chienne des bas fond ! Son sourire sur son doux minois se crispait, elle allait lui faire payer un jour ou l'autre cet affront.

Rachele lui sourit d'un air carnassier, en l'espace d'une seconde, Li Hua peut voir son vrai visage, celui d'une perversion et d'une cruauté totale, surprenante chez une femme qui ne semble pas avoir plus de 24 ans.

Rachele - Je savais qu'il te plairais... c'est qu'il correspond mieux à ta vraie nature plutôt que ces.. frusques... que tu portais... ça ne t'allais pas du tout, chacune dans ce monde doit se vêtir en fonction de son rôle et là, tu es parfaitement dans le tien...

L'esclave Zéro pousse Li Hua en avant pour l'obliger à monter dans la limousine. Elle l'installe face à Rachele et lui passe sa ceinture de sécurité, bien qu'elle semble plus avoir un rôle de chaînes. Puis l'esclave s'installe à coté d'elle, fixant de ses yeux fou sa maitresse en l'attente de nouveaux ordres.  La limousine prend la route et quitte les lieux, trop tôt pour que les secours de Li puisse identifier ses kidnappeurs. Li serre les dents pour ne pas sortir une phrase qui pourrait encore plus lui nuire, elle doit se plier aux règles de Rachele, cette garce.

Li Hua - Nous n'avons pas les même goûts, vous préférez le vinyle et moi la délicatesse des choses. J'ai un cœur comparé à vous Rachele. Il est facile de le reconnaître. Et parfois dans notre monde, il est bon de montrer un peu de compassion surtout envers ses ennemies qui peuvent devenir des précieux alliés avec le temps.

Jamais la mafieuse deviendra alliée avec cette femme. Juste de la regarder, elle mourrait d'envie de lui arracher la gorge pour la laisser s'étouffer dans son sang.

Rachele - Ho mais rassure toi, je fais preuve d'une grande clémence et de beaucoup de compassion à ton égard, regarde, tu es encore en vie. Pas de sac poubelle, des talons aiguille en lieu et place d'un bloc de ciment, avoue que ce pourrait être pire. Tout ça parce que je t'aime et que j'ai envie de te faire participer à mon bisness. Regarde l'esclave Zéro, elle aussi, au début, elle n'aimait pas être nue en public, porter des talons haut et les belles tenues que je lui offre. Mais maintenant tu vois, elle est heureuse, elle aime ce qu'elle est. N'es ce pas esclave ?

L'esclave zéro glousse comme une adolescente nymphomane à l'idée de sa prochaine sortie, mais le cercle qui tiens sa bouche grande ouverte lui empêche de répondre avec des mots.  La situation pourrait être pire, mais Li savait qu'elle allait souffrir avant de rendre son dernier souffle si cela devait arriver. Elle avait confiance dans son équipe, il allait la retrouver et les choses allaient changer. Tout ce que la Baronne allait faire subir à la mafieuse allait lui retomber dessus en dix fois... Non mille fois pire.

Li Hua - Votre esclave à l'air si épanouie en votre compagnie... Les séances d électrochocs ont du la ravir.

Li ferait tout son possible pour ne pas se retrouver comme cette esclave zéro, à admirer cette vipère. Rachele prend un air faussement peiné

Rachele - Ho tu sais, ça m'a désolée d'en arriver là avec elle... Mais son métabolisme d' E.s.per était trop puissant, elle assimilait les drogues trop vite, elle résistait au contrôle mental... et aux lavages de cerveau... ça m'a fendu le cœur de devoir lui griller les neurones, ses souvenirs, sa personnalité. Mais au moins elle avait enfin un esprit pure et vide, prêt à être réécrit. Elle y a perdu en intelligence c'est vrai, je ne suis même pas certain qu'elle sache encore lire, écrire ou compter, mais tout ça ne lui servait à rien de toute façon. Vu que son rôle dans la vie c'est de faire plaisir à sa maitresse.

L'esclave Zéro écoute le récit de sa propre destruction mais ne semble pas réaliser que Rachele parle d'elle. Au lieux de cela, elle continue de glousser en regardant Li Hua et sa maitresse. Pressant fébrilement son corps contre celui de la Yakuza comme si elle avait du mal à retenir ses pulsions sexuelles. Li se voyait rassurée à demi mesure, elle aussi avait des capacités spéciales qui pourrait lui sauver la mise dans cette épopée, elle pourrait tenir plus facilement à souffrance que la Baronne allait lui faire subir.

Li Hua - Et qu'elle serait mon rôle dans cette histoire ? Vous avez déjà votre esclave personnel en avoir deux ne doit surement pas vous intéressez. Et il serait dommage de détruire ce cerveau si important qui pourrait vous être utile ?

Rachele prend une coupe de champagne et commence à la déguster goute par goute, savourant sa première victoire avec ostentation.

Rachele - Tu as raison, même si je ne me fixe aucune limite au nombre de mes esclaves personnels ce n'est pas le rôle que je te réserve. Non, je suis quelqu'un de plus pragmatique que frivole malgré les apparences et j'aime que les choses entrent dans l'ordre. Tu as mis une sacrée pagaille dans mon bisness, je voudrait que tu m'aide à rembourser les dégâts et à faire des profits, voit cela comme des intérêts sur une somme d'argent que tu m'aurais emprunté.

Sans prévenir ni crier garde, l'esclave zéro passe un bandeau sur les yeux de Li Hua, celui-ci épouse parfaitement les formes de ses yeux et du creux à la base de son nez. Puis ses mains serpentent lentement vers sa poitrine pour la première et vers son ventre pour la seconde.

Li Hua - Rembourser les dégâts...

Ce n'est pas compliqué pour Li de savoir le sort que lui réserve la Baronne, même si sa perversité pouvait dépasser les limites de l'imaginaire. Elle essaya de se dégager quand l'esclave zéro lui déposa le bandeau pour boucher sa vue et la ceinturer avec ses bras, cette folle. Elle n'avait pas à la toucher.

Li Hua - Rachele, profite bien de ce moment quand viendra ma vengeance je peux te dire... Que tu vas regretter de m'avoir gardé à tes côtés.

Il en était trop pour Li ça devait sortir. Rachele sourit si fort que Li Hua peut entendre le bruit de ses lèvres se retrousser sur sa dentition parfaite.

Rachele - Hooo, voyons... que de vilains mots... ça partait si bien entre nous pourtant... tu ne veux quand même pas me vexer... tu sais qu'il ne faut jamais vexer sa maitresse... les vilaines esclaves sont puni...

Les doigts de la main gauche de l'esclave zéro viennent caresser les seins de Li, elle masse délicatement le bout des tétons avec la pulpe et les ongles pendant que tout son corps glisse le long de celui de la Yakuza. Elle utilise son autre bras pour écarter les cuisses de la prisonnière et faire passer l'une d'elle sur son épaule, ouvrant grand les portes de sa féminité à son visage. Li Hua l'entend toujours glousser et haleter comme la nymphomane décérébrée qu'elle est.

Li Hua - Une maitresse... Laisse moi rire, je ne suis pas aussi faible d'esprit que ton esclave zéro, il m'en faudra plus pour me briser.

Li pousse des gémissements quand elle sent des mains se poser sur son corps, sans pouvoir voir qui faisait ça. Elle se doutait que c'était l'esclave zéro, mais le cerveau diabolique de la baronne pouvait cacher des choses. La langue de l'esclave zero se pose sur l'intimité de Li Hua et commence à la lécher de bas en haut, comme une chienne qui laperait son écuelle. Elle le fait jusqu'à ce que Li Hua commence à mouiller d'elle-même, à cet instant Rachele lui ordonne d'arrêter.

Rachele - C'est bon esclave, elle est prête mais elle n'est pas pour toi ce soir... [A Li Hua] Tu es tellement orgueilleuse... pour qui te prend tu ? Tu sais, ça me désole d'en arriver là... mais je vais devoir te rappeler ta place et ta vraie nature ma chérie, pour ton propre bien... Et à propos de ça...  nous sommes arrivés...

Le bandeau est enlevé des yeux de Li Hua qui découvre que la limousine est maintenant garée dans une sorte de petit parking souterrain aux murs de béton défraichi par la moisissure. Frustré par l'excitation sexuelle et le désir qu'elle ne peut pas assouvir, l'esclave zéro se montre plus brutale dans ses geste. Elle saisit Li Hua par ses bracelets de plastique et la tire hors de la voiture.

Rachele – Doucement esclave, ne l'abime pas, ce n'est pas ton tour ce soir, tu l'auras si tu es sage...

La femme en vinyle noir jappe de satisfaction entre ses lèvres grandes ouvertes pour remercier sa maitresse et pousse à nouveau Li Hua vers l'avant, en direction d'une grande porte en fer crasseuse, comme si elle était rongée non par l'humidité mais par une sorte de matière grasse et huileuse. Un des hommes de main leur ouvre la porte et les sens de Li Hua sont soudain assailli par un concert de hurlement de plaisir et de douleur, de gémissement de désespoir et de jouissance. Par l’odeur de la sueur d'innombrables hommes et femmes, de celle du foutre, de l'urine, du sang et du tabac mêlé à celui de l’alcool entêtant. La Yakuza peut alors comprendre que la matière visqueuse qui corrode la porte d'entrée est en fait composé des vapeurs de transpiration et de crasse humaine.

L'esclave zéro la pousse encore en avant, vers cet endroit sombre d'où s'échappe cette mélopée infernale. Après quelques pas dans la pénombre, Li Hua voit alors tout ce qui s'y passe et le spectacle qu'elles observent est d'une monstruosité sans borne. Rachele ne l'a pas amenée à son Club huppé mais dans un  bordel clandestin répugnant, réservé à la clientèle la plus pauvre: immigrés clandestins, parias et junkys, ouvriers. Derrière des barreaux crasseux résonnent les gémissements et les cris des esclaves sexuelles livrées à leurs clients. Des matelas crevés et jaunis par l’usage, le temps et le sexe sont disposés à même la pierre défraîchie du sol.

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Abrutis par les drogues qu’on leur injecte constamment pour les garder dociles et obéissantes, les bras couvert de bleus dû aux piqûres, aux traces de doigts et aux coups ; totalement épuisées, lessivées par les interminables heures de baise qu’elles subissent en permanence, les jeunes femmes du bordel ne sont plus que l’ombre d’elle-même.  Telle des poupées de chaire, des pantins dont on aurait coupé les fils, elles se laissent manipuler par des mains bestiales qui jouent avec elles comme si elles n’étaient que des objets qu’on peut casser. Elle se font pénétrer par tous les orifices sans qu’elle trouve encore la force de résister ou de hurler leur refus. Elle se contentent de gémir et de crier quand les innombrables queues de leur tortionnaires les pénètrent sans ménagement, profitant du sperme du précédant client pour ne pas perdre de temps en préliminaires et lubrification.

Celles qui ont le malheur d’être suffisamment consciente de ce qu’elles subissent trouvent encore un peu d’eau que leur corps n’a pas utilisé en sueur et en ciprine pour pleurer pendant que leur « propriétaires temporaire », leur « locataire » les sodomisent ou tentent maladroitement une triple pénétration, ou tout autre acte dépravé dicté par leur perversité. D’autres dont le cerveau a totalement été détruit par les drogues et le traumatisme ou que la folie a transformé en nymphomanes hystériques en viennent même à empoigner les bites dressées des clients qui les leurs présentent pour les guider vers leur bouche, leur cul ou leur pauvre vagin béant et déformé.

Rachele – Tu vois ma chérie, c'est dans ce genre d'endroit que les vilaines filles orgueilleuses bossent pour moi. Pour leur apprendre l'humilité et leur place dans le monde.

L'esclave Zéro et Rachele entrainent alors leur prisonnière dans la pièce poisseuse, traversant la mêlée de corps pour se diriger vers un coin de la pièce où ont été disposés des lits sur lesquels sont attachées des jeunes femmes qui semblent encore consciente des horreurs qu'elles subissent. Deux d'entre elles, les orifices encore dégoulinants du foutre de leur derniers client regardent, terrifiées, deux vieillards répugnant se déshabiller pour les violer.

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Rachele – Regarde ma chérie, comme tu as été une vilaine fille, j'ai réservé un lit rien que pour toi... enfin toi et tes clients... Et il va en falloir, à cinq dollars la passe tu vas avoir du boulot pour rembourser tes dégâts

La vengeance de l'italienne est odieuse: elle a décidé de nier totalement la valeur de Li Hua et sa haute naissance. Elle aurait pu vendre sa beauté et ses charmes pour une fortune aux plus riches de la ville, du pays, voir au delà, remboursant ainsi sa "dette" en quelques nuits. Mais non, elle va la prostituer aux pire raclure des bas fond pour que son supplice soit aussi long que répugnant et déshonorant. Comme la jeune femme rousse attachée sur le lit juste à coté d'elle et qui subit déjà les coups de rein de son client en gémissant d'horreur, Li Hua est attachée  en étoile pour ne pouvoir serrer ni les bras, ni les cuisses, la laissant offerte et vulnérable à son premier client.

Rachele – Je te présente Marco, un immigré clandestin qui fait des ménages et des jardins,  c'est un turque bien membré, je suis certaine que tu n'a jamais offerte tes charme à un homme comme lui... je me suis dit que ce serait bien pour commencer...

Dit la baronne en masturbant sans vergogne la queue courte mais exceptionnellement large d'un gros lard à la calvitie prononcée. Celui-ci se content de rire en bavant, trop excité pour parler. Rachele lui lâche la queue et le porc prend cela pour un "top départ". Il se laisse tomber de tout son poids sur le lit, faisant grincer le matelas crasseux et commence à gripper sur le corps de Li en rampant sur elle comme une énorme limasse. La Yakuza sent la sueur et le poids écrasant du butor de 110 kilos la recouvrir. Ses doigts poisseux glisser le long de ses cuisses pour les empoigner et les écarter.

Son gland monstrueux et maladroit chercher la porte de ses lèvres intimes en donnant des coups de reins brutaux jusqu'à ce qu'il finisse par la trouver... la belle asiatique sent alors l'épaisse bite, encore gluante de la mouille d'une autre femme, lui écarter démesurément les lèvres intimes et ses délicates parois vaginales, comme un bélier défonçant une toute petite porte pour s'enfoncer en elle. Et tout en restant affalé sur elle, il commence à bouger les fesses de haut en bas pour la baiser aussi salement que n'importe quelle autre pute du bordel...

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