Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Charles-Edouard Arquebuse

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Charles-Edouard Arquebuse

Pages: [1]
1
One Shot / Re : Hôtesse personnelle ? [PV Alex Sanderson]
« le: mardi 25 octobre 2016, 04:48:32 »
Yuka n'était pas très réceptive à la première phrase tout simplement car elle ne pouvait pas se sortir de cette situation en essayant de trouver une solution de fuite. Elle n'était pas aussi bête que ça et elle savait que l'on ne pouvait pas tout résoudre par la fuite, c'était d'ailleurs pour cela qu'elle travaillait, qu'elle luttait pour survivre et permettre à ses grand-parents de vivre comme ils l'ont toujours fait. Elle cachait le fait qu'elle craignait que ses grand-parents viennent à choisir une fuite expéditive si elle ne payait pas leurs dettes et ne s'occupait d'eux.  Elle ne fut pas insensible à ce regard, un regard de luxure, elle savait d'avance ce que Eiji allait demander, cela devenait évidant dès qu'il avait énuméré le facteur petit ami, elle tenta de se défendre à ce sujet.  

- Je prétexte des heures supplémentaire dans des cours particuliers.


Il n'était pas rare pour un japonais d'avoir ce genre de cours, d'autant que la demoiselle était réputée pour être une bosseuse, ce qui rajoutait de la crédibilité dans cette excuse. Bien évidement, elle n'avait jamais communiqué l'endroit où elle faisait ses cours, pouvant aussi faire cela hors de la ville, rendant de ce fait la possibilité de vérifié si faible que le risque pouvait être prit. Elle se mit à jouer un peu des jambes, passant le poids de son corps d'un pied sur l'autre, montrant que le temps défilait et la rendait de plus en plus nerveuse. Bien évidement, elle n'avait pas grand chose à faire si ce n'est attendre que la personne en face d'elle se décide à dire ce qu'elle souhaitait comme paiement.  Son corps fut la réponse, venant à réagir timidement devant la réflexion sur son corps.  

- Je n'y joue pas tellement.  

Elle surinterprétait la réflexion d'Eiji, croyant qu'il disait qu'elle allumait les personnes avec son corps. Elle n'était pas comme ses filles faisant les trottoirs, c'est pour cela qu'elle avait choisit un club d'hôte. Elle devait être soignée, avoir un langage tout aussi contrôlé. Le club dégageait une sensation de pureté par rapport au fait d'être une catin, même si au final le but était identique, offrir du bon moment aux clients et clientes.  Mais un autre soucis venait à se poser. Yuka allait devoir intégrer Eiji sur son planning, elle ne pouvait pas tellement jouer sur les horaires de son travail et encore moins rater des cours, sans que cela n'engendre des soucis. Sans parler de son petit ami.  Elle se devait d'être claire dessus, même si elle se tenait le coude droit et laissait pendre le bras droit dans le vide.  

- Je n'ai guère le choix. Cependant, je ne peux pas avoir beaucoup de temps. Il y a les cours, le midi je me dois de garder un peu de contact avec mon petit ami pour préserver la relation, d'autant qu'après les cours j'ai deux heures avant de débuter mon travail.  Considère que tout le temps libre t'es réservé.

Cela ne plaisait pas à Yuka. Mais elle n'avait pas d'autre choix que de tromper son petit ami. Elle avait conscience que si elle se faisait découvrir par son petit ami, cela serait la fin de la relation elle subirait un terrible contrecoups. Le couple était bien connu et envié, elle savait qu'elle verrait sa réputation voler en éclat, que l'on chercherait à fouiller sa vie pour trouver des choses embarrassante, tout comme Eiji l'avait fait sans se douter de ce que faisait la lycéenne avant sa découverte.  La demoiselle se savait prise en étaux et avait choisi la soumission pour limiter la casse.  

2
One Shot / Re : Hôtesse personnelle ? [PV Alex Sanderson]
« le: samedi 22 octobre 2016, 21:29:33 »
Yuka restait blême en entendant Eiji dire qu'il était l'auteur de la lettre. Elle se sentait prise en étaux, ne pouvant décidement plus reculer. Il connaissait Mya et serait certainement apte à tout divulguer à son petit ami, ce qui ruinerais à la fois sa vie amoureuse et sa vie scolaire, sans parler de son travail qui serait réduit à néant, du fait qu'elle avait dû mentir sur son âge.  Elle fut très sensible au terme "mon premier but", cela voulait dire qu'il avait autre chose en tête, faire du chantage ? Cela restait or probable et même Yuka savait qu'elle ne pourrait se défaire rapidement de l'emprise qu'Eiji avait dès qu'il avait connu son travail.  

Il était vrai que Yuka parlait de ses soucis, sans être pour autant très claire. Mais même sans cela il aurait été aisé de savoir que la demoiselle était très pauvre, ne pouvant même pas aller à une soirée karaokés entre amie, refusant les soirées pyjama ses elle ou chez les autres.  Elle devait s'occuper de toute les tâches ménagère, prendre soin de sa grand-mère, mais aussi prendre soin d'elle quand son grand-père venait à la battre. Il était assez rare de voir Yuka avec un pansement sur son visage ou des bleus, prétextant de petit accidents domestique bénins quand elle ne pouvait effacer ce genre de trace. Elle fut très touchée par le fait que le manipulateur dise vouloir garder le secret, mais elle savait aussi que cela la rendrait vulnérable, mais avait-elle réellement le choix ? Elle ne pouvait risque que son secret ne soit découvert par d'autres, sans argent les dettes ne disparaîtrons pas et son grand-père boirait davantage, ce qui veut dire davantage de violence à son égard.  Pour se protéger, elle n'avait d'autre choix que d'éponger les dettes et elle n'avait qu'une confiance modérée envers les autorités, d'autant qu'elle ne connaissait aucune autre personne de sa famille, pas un oncle ou une tante.  

En travaillant dans le club, elle avait acquit une chose qu'Eiji n'avait certainement pas prit en compte, de l'expérience dans un milieu que l'on ne venait pas par hasard et où l'on ne choisissait pas les demoiselles et charmants jeunes hommes pour rient.  Yuka se mit à serrer sa petite jupe de sa main droite, venant à dire, légèrement tremblante.

- Qu'est-ce que tu souhaites contre ton silence. Je peux travailler davantage si tu souhaites de l'argent, je ferais ce que tu veux pour que tu ne dises rien. J'ai besoin de se travail.  

Yuka attendait la réponse d'Eiji, ses potentielles propositions. Elle pouvait travailler plus, même si elle savait que cela nuirait alors à ses études. Mais qu'est-ce quelques points en moins dans les examens contre le fait de pouvoir continuer à vivre comme elle le faisait à ce jours. Elle n'était pas bête à espérer une vie meilleure, essayant de vivre au mieux l'instant présente, oublier le passé et les inquiétude du futur du mieux qu'elle pouvait.  Là où la plupart des adolescente rêvaient de grande carrières et d'un prince charmant, Yuka n'aspirait qu'à simplement éviter que sa vie devienne un enfer.  

3
One Shot / Re : Hôtesse personnelle ? [PV Alex Sanderson]
« le: vendredi 21 octobre 2016, 18:27:31 »
Yuka continuais de chercher et eut un sursaut en entendant une voix, elle vint à se tourner et vit une personne qu'elle connaissait. Sa meilleure ami, Mya, en avait parlé, elles étaient assez proche l'une de l'autre, même si Yuka la voyait de moins en moins. Elle se serait attendu à une toute autres personnes, Eiji comptant parmi les derniers à avoir laissé une lettre d'amour ou faire des allusion à son égard. Elle était hésitante, était-il là par hasard ou était-il celui qui avait laissé le message dans son casier. Comme tout le monde, elle en voyait en Eiji qu'une personne banale et qui était en couple avec une jolie fille, rien de plus. elle n'était pas encore capable de voir la toile qui était tissé autour d'elle pour l'emprisonner. Naïvement elle reprit son visage radieux, même si sa légère pâleur trahissait la confusion dans sa tête.

- Eiji-kun. Qu'est-ce que tu fait ici ? Tu n'es pas censé être près de Mya ? 

Elle ne pouvait envisager le fait que Eiji soit l'auteur de la lettre, tout comme elle espérait que cette lettre ne soit qu'une simple farce et un concours de circonstances.  Elle froissait de son index et de son pousse sa jupe. Elle portait son uniforme scolaire, à savoir une jupe et un T-hsirt à col noire, ayant deux fine rayure jaune et un foulard rouge, le règlement imposait le port de collant noir, ainsi que de chaussure de ville. Elle avait deux petite étoile rouge au-dessus de chacune de ses pommettes. En sous-vêtement elle portait un ensemble noire pour aller avec la tenue. Quand elle devait partir travailler, elle passait par le dortoir pour se changer.
Pour le moment Yuka attendait des réponses, elle attendait ses dernières grandement, tout comme elle craignait la réponse. Elle savait que ce monde n'était pas tout blanc et elle se devait de résoudre le soucis rapidement sous peine d'être en retard au club d'hôte.   

4
One Shot / Hôtesse personnelle ? [PV Alex Sanderson]
« le: vendredi 21 octobre 2016, 13:13:52 »
Yuka Hana, une lycéenne de 17 ans. Elle n'a pas de mauvais comportement, ses notes sont tout à fait respectable, compte-tenu de sa situation familiale très instable. Elle vit chez ses grand-parents, ses parents étant mort depuis quinze ans dans un accident domestique.  Sa grand-mère est sans emploi et son grand-père à tendance à jouer dans des jeux illégaux, venant à avoir une forte dette. Etant jeune et dynamique, Yuka a fini par travailler dans une maison d'hôtes et d'hôtesses. Elle a dû mentir sur son âge pour se faire embaucher.

Yuka est une fille très énergique, son statut d'étudiante et de travailleuse ne laissant que peu de temps pour se reposer. Elle a prit vite le pli pour se reposer dès qu'elle le pouvait, travailler permet aussi de rentrer le moins possible chez elle pour voir ses parent dans un triste état, son grand-père étant un peu violent quand il devient saoul. Au sein de l'école elle a une bonne réputation, étant en couple avec un lycéen étant en troisième année, alors qu'elle n'était qu'en seconde. Mais même si leurs relations semblent bien fonctionner, Yuka n'a rien dit sur son travail, ni sur le fait qu'elle devait faire des pieds et des mains pour que les dettes soient payer à temps, ne laissant rien pour s'amuser. Elle était dans le monde du travail de force, mais restait brillante pour n'inquiéter personne.

Dans le club d'hôte, elle a aussi une bonne réputation. Yuka n'est pas une personne très cultivée, mais son empathie permet de se faire bien voir par les clients et clientes, son aspect jeune jouant aussi beaucoup sur sa réputation. Elle est soignée, porte une grande attention à ses défauts et surtout, connait ses faiblesses, pouvant jouer et esquiver celle-ci.  

Aujourd'hui était une journée comme les autres, si ce n'est qu'elle avait une enveloppe dans son casier. Elle fut étonnée et vint à regarder le contenu avant de trembler et le froisser, le jetant dans le casier avant de le fermer à double-tour. Elle se sentait mal, devint légèrement pâle. Elle savait qu'un jours cela pouvait arriver, mais elle ne pouvait se permettre d'être découverte aussi tôt, la prochaine dette était assez importante et stopper le travail serait une catastrophe.  Elle vint à se diriger vers le lieu du rendez-vous, c'est-à-dire le toit, étant très inquiète de ce qui pouvait se passer si elle ne venait pas à l'heure.  

Elle saisit la porte qui menait au toit et vint à l'ouvrir, faisant quelques pas vers l'extérieur et cherchant une personne du regard.  

5
Les alentours de la ville / Re : Décime et Jugement [PV Yuko]
« le: vendredi 21 octobre 2016, 12:38:55 »
Charles-Edouard écoutais la question et vint à relever ses lunettes, avant de pousser un petit soupir.  

- Nous n'allons pas vous laisser faire du ménage toute seule alors que vous n'avez pas reçu la formation dont tout les membres ont depuis leurs enfances. Il faut être soit fou, soit complètement inconscient pour laisser une fille de la plèbe faire un travail qui nécessite des compétences. Vous serez supervisé par une personne apte à vous former et j'attends de vous que vous vous pliez à ses recommandations.

L'homme vint à appuyer sur  bouton de son téléphone, avant de reprendre les explication.  

- Votre question ne me surprend guère pour une fille de basse classe. Pensez-vous réellement que nous allons vous faire salir une robe ayant un certain prix dans une tâche nécessitant une tenue appropriée?  


La question avait sa réponse, n'étant là que pour rabaisser Yûko. Charles-Edouard se plaisait toujours à descendre les personnes n'ayant pas son rang et étant assez sympathique du fait que sa futur femme soit japonaise et que cette jeune lycéenne l'était aussi.  

- Amélie vous feras une tenue adaptée et ajustée. Tout comme vous aurez une petite sélection pour les vêtements du soir. si rien ne vous convient, Amélie pourra vous faire une tenue à vos goûts en six heures. Comme nous l'avons dis, cela sera à notre frais. Pour chaques situations vous aurez une tenue adaptée, c'est le minimum que je puisse attendre de vous.

On vint à toquer à la porte, laissant entrer un homme assez grand.

- Vous m'avez appelé Monsieur ?


Charles-Edouard  vint à se lever.

- Voici mademoiselle Yûko. Elle sera sous votre gouvernance, devant participer aux activités des servantes en plus du travail qui lui est assigné. Elle n'a aucune expérience, je compte sur votre savoir-faire pour en faire une servante convenable.


Le majordome vint à saisir la main de la nouvelle venue et lui fit un baise main.

- Je me nomme Roland Bluford, mais vous pouvez m'appeler simplement Roland. Je présume que mademoiselle Yûko commence aujourd'hui ?

Charles-Edouard vint à sourire.

- C'est à mademoiselle Yûko de décider.

6
Les alentours de la ville / Re : Décime et Jugement [PV Yuko]
« le: samedi 15 octobre 2016, 01:32:05 »
Charles-Edouard écoutait et semblait bien entendre les propos que Yûko proférait, venant à glisser son regard vers l’écran de son ordinateur portable au moment à elle parlait de la boutique. Il retournait son attention sur la demoiselle, quand elle vint à parler de son manque d'attention et d'impression, tout comme le fait qu'il était le premier à avoir offert une tenue. Il ne put retenir un rire en entendant Yûko parler de la présence de sa femme.

- Visiblement nous sommes assez atypique, c'est ce que je souhaiterais dire pour vous réconforter dans votre simple vision, mais je n'en ferais rien.  Vos clients doivent manquer à beaucoup d'engagement pour oublier le fait que toute personne employée, quelques soit le travail, mérite une reconnaissance et du bon traitement. Vous n'avez certainement eu affaire qu'à de simple bâtard en rûte.  Si ma future femme est présente il s'agit tout simplement de son désir de vous rencontrer, ne cachant rien et faisant de même envers moi. Concernant vos précédents clients,  vous devriez gonfler vos chiffres et proposer une réduction en cas de présent, à défaut de vous attirer de meilleurs clients, vous auriez certainement une meilleure garde-robe, sans quoi vous ne seriez pas venue dans la boutique. Concernant cette boutique ... Amélie ?

La servante vint à s'incliner.

- Oui , maître.

Charles-Edouard prit un ton un peu sombre.

- Veuillez contacter le gérant  et lui demander de me fournir de l'identité de la personne qui a accueillit  mademoiselle Yûko. Ma future femme s'est prise la peine de les avertir en avance, une invitée de notre famille ne mérite pas un tel traitement. Veuillez aussi me sortir le contrat de partenariat et me faire une liste des concurrents, je souhaite que tout soit fait dans la journée et avoir un rapport détaillé.

- Comme il vous plairas maître.

La servant vint à quitter la pièce, laissant les trois personnes seules. Sakura prit la parole.

- Mademoiselle Yûko, sachez que si vous êtes ici c'est parce que j'ai pensée que vous étiez parfaite pour ce travail, aussi ma présence est de vérifier que vous atteignez mes attentes, ainsi que ceus de mon futur mari.

La fille Hazabusa vint à avoir un sourire, mais son aura semblait devenir un peu plus sombre.

- J'espère que vous n'aurez pas faire des choses fâcheuse envers mon futur mari.

Charles-Edouard vint à se racler la gorge.

- Concernant le forfait que nous avons payé, nous souhaiterions vous proposer un ... complément. Ce forfait est pour une semaine, or  nous estimons que vous avez un rang presque équivalent à une servante, assignée à une tache précise pour une durée dépassant une journée. Aussi voilà ce que nous avons à vous proposer.

Le jeune homme vint à poser ses coude sur le bureau, croisant les doigts de ses mains. Il prenait une posture typique des marchand.

- Ma futur femme et moi-même vous cédons une chambre, une garde-robe pouvant être fait aujourd’hui même, contenant vos préférence et aussi des tenues plus adaptées à ce domaine. Les frais dont vous aurez besoin  seront à notre charge. En échange vous devrez, en plus de votre tâche, aider les servantes. Dans le cas d'un travail bien effectué, un envoi des biens à votre domicile pourrait être envisagé.  Il ne s'agit que d'une proposition et nous pouvons aisément comprendre une vous souhaiteriez conserver un mode de vie plus banal. Comme on vous l'a certainement dit, notre famille récompense ceux qui le mérite. Vous n'êtes pas obligé de répondre tout de suite, nous vous laisserons jusqu'à demain si nécessaire.  Avez vus des questions mademoiselle Yûko ?

7
Les alentours de la ville / Re : Décime et Jugement [PV Yuko]
« le: vendredi 14 octobre 2016, 23:39:57 »
Il n'y eus aucune réponse à l'interphone, pendant bien cinq seconde, avant qu'un petit bruit signale que quelqu'un avait répondu.  

- Veuillez devez être mademoiselle Yuko. Attendez quelques minutes, le temps que j'arrive vous ouvrir.

Charles-Edouard quand à lui regardait la nouvelle arrivante depuis son ordinateur, ayant un accès total sur toute les caméra de la propriété, il se permit de zoomer un peu quand la servante vint à arriver au grillage. Il s'agissait d'Amélie. Elle se distinguait fortement des autres par une sorte d'aura de maturité.  

- J'espère ne pas vous avoir fait trop attendre. Je me nomme Amélie, mais ne faisons pas attendre le maître et la maîtresse. Veuillez me suivre s'il vous plait mademoiselle Yuko et ...

Elle observait les jambes et les pieds de la jeune adolescente.

- N'hésitez pas à me si je dois ralentir le pas, nous ne somme pas là pour meurtrir vos jolis pieds.


Amélie adaptait parfaitement sa marche à celle que Yuko pouvait tenir. La servante portait des talons et savait que cela pouvait être difficile quand on en a pas l'habitude. Elle guidait la demoiselle directement vers la demeure, passant sur la voie principale, chaque côté étant garnit d'un jardin entretenu et magnifique.

- Le Maître pourra vous paraître intimidant aux premiers abords, mais il est très agréable à vivre, aussi ne prenez pas la mouche s'il vous parles de façon hautaine. Vous devez comprendre qu'il a un statut à conserver. Mais changeons de sujet. Je vois que vous avez choisi une robe que je lui avais recommandée. Vous avez un très bon goût mademoiselle, nul doute que vous avez marqué de bon point. Pour ne rien vous cacher des choix volontairement de mauvais goût étaient dans le lot. si j'ai un conseil à vous donner, c'est de dire la vérité quand le maître ou sa futur-femme vous poses une question et si vous ne voulez pas répondre, dîtes-le.

Elles arrivèrent et la servante fit entrer Yuko dans le bureau, qui était simple, mais imposait. Charles-Edouard  était présent, ainsi que Sakura, tout deux derrière le bureau. Le jeune homme prit la parole.

- Veuillez prendre place je vous pries mademoiselle Yuko.


Il vint à tendre la main vers une chaise qui était très confortable. Charles-Edouard ne détachât pas le regard de la prostituée, observant le moindre de ses gestes, Sakura quand à elle était souriante.

- Je souhaiterais avant toute chose savoir si vous avez reçu un bon accueil à la boutique et par Amélie. Je souhaiterais aussi savoir votre première impression dans ma demeure. Vous devez certainement être un brun habitué, ayant cru comprendre que vous appréciez les personnes riches, mais les impressions peuvent varier. Après, si vous avez des questions à poser, n'hésitez pas, nous sommes là pour convenir du travail que vous devrez fournir et il m'est bien plus agréable de travailler dans de bonne condition.  

8
Les alentours de la ville / Décime et Jugement [PV Yuko]
« le: vendredi 14 octobre 2016, 02:39:26 »
- Maître. Votre invité est présent.

Charles-Edouard était à son bureau, la tête dans des feuilles de rapport, qu'il comparait avec ceux sur l'ordinateur, pour déceler les quelques erreurs possible. Il vint à observer Amélie, une servante ayant la trentaine, une jolie femme avec des formes assez fines, blonde aux yeux bleus, elle était d'une famille qui sert les Arquebuse depuis fort longtemps, la servitude de cette famille n'étant pas à rediscuter.  Il vint à s'adosser au siège, venant à retirer ses lunettes.

- Faites le entrer.  

Le conseillé du Maire de la ville vint à entrer, dans une tenue très soignée, il n'aurait de toute manière pas passé le grillage s'il était venu en jogging.  Charles-Edouard sortit de son siège pour venir lui serrer la main.

- C'est un plaisir de vous rencontrer en chair et en os. Monsieur le Maîre est-il toujours souffrant ?

- Il va bien mieux, grâce à votre médecin, nous vous avons une dette envers vous, son état aurait été bien plus alarmant sans votre réactivité.  

- Cela est tout à fait normal envers une personne importante de notre famille. Vous ne nous devez rien. Mais revenons en aux faits je vous prie. Que me vaut votre visite ?

Charles-Edouard vint à inviter le conseillé de s'asseoir, retournant derrière son bureau.

- Votre père ...

Le futur dirigeant eut un léger rictus.

- Que me veut-il ?

Le conseillé vint à sortir un mouchoir pour s'éponger le front, il était très nerveux, venant à hausser un sourcil du maître de maison, qui réfléchissait à quel idée avait eut son père.

- Et bien vous allez bientôt être en âge de vous marier et il a fait une demande auprès du Maire pour trouver des  ... Personnes pour vous donner du savoir pour satisfaire votre futur femme...

Charles-Edouard ne put retenir un rire franc.

- N'ayez crainte d'utiliser des terme plus vulgaire. Père souhaite que je sois instruits par une fille de joie ? Que je sache il a dû vous demander de choisir des femmes selon ses critères, qui ne sont guère les miennes. Faites donc voir cette fameuse liste.  


Charles-Edouard prit connaissance des femmes, avant de mettre la liasse de feuille dans un déchiqueteur. Il vint à observer le conseillé avec un regard sérieux et qui donnait froids dans le dos. C'est alors qu'un bruit se fit entendre à la porte et que Sakura entrait, venant à hésiter.

- Ho excusez moi ... Je repasserais.

Le futur dirigeant prit la parole, usant aussi d'un geste pour que Sakura reste.

- Ce n'est rien, nous avions fini, n'est-ce pas  ? Dîtes à mon père que je trouverais une personne qui convienne à ce poste et que s'il souhaite m'imposer un choix, que cette personne soit au moins de mon âge et non  des fossile vivant.


Charles-Edouard vint à discuter par la suite avec sa chère et tendre, afin de faire comprendre à cette dernière que le dirigeant actuel souhaitait qu'il soit formé aux arts du sexe. Bien évidement Sakura vint à rougir, malgré la contenance qu'elle devait montrer. Après une bonne heure, il fut convenu qu'il ferait une sélection lui-même et laisserait le choix ultime à Sakura. Cette dernière eut beaucoup de difficulté, ne comprenant pas beaucoup le nom des pratiques et Charles-Edouard se gardait bien de l'instruire dessus, ce n'était pas son travail pour le moment.  Il ne fut pas déçu du résultat.

Charles-Edouard vint à payer un détective pour enquêter sur cette Yuko, mais ne parvint qu'à donner plus de mystère sur cette femme. Il désirait pas dilapider davantage de temps et d'argent. L'association de Yuko était assez rôdé, d'autant que de nombreuses connaissance utilisait cette association pour se faire plaisir. Il avait donc choisit de ne pas faire de vague. Il en savait déjà bien plus que la plupart des clients de la fameuse Yuko.

Il prit soin de contacter l'association pour offrir un don pour l'aide, assurant qu'il n'allait pas demander plus. Charles-Edouard était connu pour bien rétribuer le personnes travaillant pour lui ou qui se montrait coopératif, sans être simplement appâter par l'argent de sa famille.  Il vint à envoyé un mail à cette jolie demoiselle, venant à faire court et concis.

Dans le contenu, il n'était pas précisé le tarif demandé, ni une notion de prostitution. Le fond et la forme était tourné vers un style proche d'une convocation pour un entretient d'embauche. Il y avait même en pièce jointe une lettre de recommandation pour une boutique de prêt à porter, afin que Yuko soit vêtue de manière décente. La seule obligation pour Yuko était d'imprimer cette lettre et aller à la boutique, qui ne poserait pas de question. Dans le mail il était aussi dit que la tenue achetée serait pour elle. Bien évidement l'usage de la lettre sans venir à la convocation serait soumis à une poursuite, la lettre faisant d'ailleurs mention du but de l'achat.

Sakura quand à elle était rassurée que cette demoiselle était encore mineur et  plus jeune d'un an, cela la permettrait de garder un minimum d'autorité. Elle comprenait que l'instruction de son mari était important, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être inquiète.

La convocation, au reçu du mail, était pour le jeudi après-midi, soit deux jours plus tard, de quoi laisser à Yuko le temps de venir à la boutique et se préparer convenablement. Charles-Edouard comptait bien sur le fait que cette demoiselle sache bien se tenir et respecter ses clients comme ils le souhaitent.

Le choix était entre les mains de Yuko, d'autant que l'association où elle était pouvait certifier que la famille Arquebuse n'était pas du genre à tendre des pièges et étaient assez généreux.

9
Prélude / Re : Charles-Edouard Arquebuse. Vous allez aimer le détester.
« le: mercredi 12 octobre 2016, 15:14:31 »
N'accorde aucune attention à Cassidy et sourit devant le regard de Lise.

N'essayez même pas, je suis déjà promit à une femme.

Se tourne vers Alex.

Mes salutation à vous et votre famille. 


|Merci tout le monde|

10
/!\ Tout propos écrit sur la fiche est dictée selon la mentalité du personnage, n'étant donc que fiction et non les idéologies de la personne derrière le personnage. Merci de votre compréhension. Have Fun /!\


Identité : Charles-Edouard Arquebuse (j'ai voulu mettre Arquebusier, mais il y a une limite de caractère.)
Âge : 16 ans
Sexe : Hum ... cela ne se voit pas ? Regardez donc ma carte d'identité. Je suis un homme.
Race : Vous faites dans le racisme ? Vous savez que c'est pénalement condamnable ?
Sexualité : Je suis déjà promit à une personne et je possède quelques connaissances dans le domaine.

Physique :

– Quelle est la corpulence de votre personnage ?

Je ne suis pas un grand sportif, Je n'ai pas besoin d'une grande force, quand un coup de téléphone suffit à ramener des gardes du corps. Aussi ai-je une corpulence assez normal, faisant attention à ne pas être trop maigre ou trop gr .... enveloppé. Il est important de savoir garder une prestance en toute circonstance.  Que dire d'autre, j'ai les jambes légèrement plus longue que la normal, ce qui est assez pratiques pour faire du basket, d'autant que les japonais sont assez petit pour moi, faisant dans les un mètre quater-vingt. Par contre je dois avouer que mon corps n'est guère fait pour encaisser les coups, un simple revers sur ma bouche suffit à me faire saigner, mais cela donne le gong d'une riposte violente et éclair. Je suis assez vif, ma famille ne se contentant pas d’apprendre uniquement le maniement des armes à feux, mais aussi un mélange de technique de combat au corps-à-corps.  Je possède une très jolie calligraphie, essentiel pour bien montrer la différence entre les familles nobles et la plèbe.

– À quoi ressemble son visage, nez, yeux, bouche, cheveux ?

Venons-en à mon visage, qui est soigné, des cheveux courts coupé régulièrement pour éviter de laisser traîner des pointes abîmées. Mes cheveux sont brun et mes servantes s'occupent de les rendre toujours brillants et soyeux, le fils de la famille Arquebuse doit être toujours présentable. J'ai des yeux marron et non bridés comme ses asiatiques, protégés par une paire de lunette. Que voulez-vous, quand on lit beaucoup pour être plus intelligent que le bas-peuple, il faut savoir sacrifier un peu de soi.  Je ne porte aucune autre accessoire, hors de question de porter des boucles d'oreilles, cela est bon pour les femmes et aucun homme de notre famille n'oserait en porter sous peine de se faire répudier, non cela est pour les femmes et les personnes ... déviantes dirons-nous.  Ma bouche et ma dentition est aussi soignée, comme je l'ai dit précédemment, je me dois d'être impeccable.

– Possède-t-il des traits particuliers qui le distinguent, des tatouages, des cicatrices ?

Des traits particulier ? Ce que j'ai expliqué précédemment ne vous a pas suffit ? Question suivante je vous pris.

– Comment a-t-il l'habitude de s'habiller ? Porte-t-il des armes ?

Parlons d'abord des armes. Même si dans la demeure secondaire, où je loge, il y a quelques collections en état, la législation japonaise ne permet pas le port d'arme, ce qui est idiot, cela ferait certainement un peu de ménage, dans ce pays surpeuplé. Je n'ai donc aucune arme, mais cela n'est guère nécessaire quand des gardes du corps peuvent en faire office. Concernant mon habillage je ne porte que du sur-mesure, hors de question d'enfiler un vêtement de seconde main ou même une tenue qui n'est pas ajusté comme il se doit. Je suis très tatillons sur ce point et je vous déconseille de les abîmer car vous devrez rembourser les frais de votre poche, suis-je bête je risque de croiser des jeunes, leurs parents pourrons faire des heures supplémentaires dans ce cas.

Caractère :
– Quelles sont les qualités de votre personnage ? Ses défauts ?

Encore des questions. Hum ... Dires que je dis me plier à cet interrogatoire certainement écrit par une personne de plus basse classe que la mienne. Je possède toute les qualités de la famille Arquebuse. Je suis une personne capable de rester des heures à lire à livre et en assimiler son contenu, tant qu'il s'agit d'un contenu qui m'apporte du savoir et non ses immondices que l'on nomme bande dessiné ou manga, les images vont parfaitement avec  les illettrés.
– De quoi a-t-il peur, ou n'aime-t-il pas ?
Ce questionnaire me déplaît, tout comme les personnes qui n'ont pas ... un certain niveau. Je dois aussi avouer qu'être entouré de japonais est déplaisant, ils ne sont pas fichu d'apprendre le français ou pensent que nous avons tous un cheval blanc. Je n'aime pas tout ce qui est de seconde main, c'est pour cela que je ne mange pas à la "cafétéria", je préfère aller au restaurant le plus proche et avec un bon entourage si possible. Je ne supporte pas d'avoir un plébéiens qui se permet de me critiquer ou pire, avoir une dette. Concernant mes peurs, je n'en ai pas.

[Il a peur de la mort, comme tout humaine, mais aussi se met à avoir des tremblements et des sueurs froides en période d'orage.]


– Au contraire, quelles sont les choses qu'il apprécie, par quel projet est-il motivé ?

J'apprécie d'avoir une bonne compagnie, cultivé et sachant toute la noblesse que représente ma famille. Les articles de premières mains sont aussi les bienvenus. Ma futur femme, bien évidement, même s'il s'agit d'un mariage pour unir les deux patrimoines de nos familles et éviter qu'elles ne tombent entre de mauvaises mains.  Concernant mes projets ... Je compte faire fleurir le patrimoine actuel pour que mes descendants aient une plus grande richesse, je n'ose pas imaginer comment les basses-classes vivent avec leurs ... SMIC, c'est bien ça le terme ? Bien évidement, je compte m'illustrer dans ma futur carrière de gérant des entreprise Arquebuse, présente dans toute la France et ayant une filière militaire dans le Moyen-Orient, on a beau dire, la guerre c'est un marché qui ne se tarira jamais. Dans Seikusu il y a une filière  spécialisé dans les soucis d'ordres juridiques, permettant de m'entourer des meilleurs avocats en cas de confrontation avec un manant.

– Comment se comporte-t-il avec les autres ? Quelle est sa vision de la société ?

Il faut savoir ce que vous nommez société et autres. Je ne me mêle pas avec les autres lycéens, ne m'entourant que des personnes ayant montrés patte blanche et signe de noblesse.  Je ne côtoie que la haute sphère, mon implication dans la plèbe étant tout simplement la pauvreté de cet endroit qui ne permet pas de créer un lycée digne de ce nom.  Je ne m'intéresse pas à la société de basse classe, préférant les entrevues entre familles fortunée, bien évidement j'exclut les "nouveaux-riches" qui n'ont aucune histoire et seulement la richesse.

[Passons à tout les défaut de ce personnage :

C'est une personne hautaine, qui croit au patrimoine et à l'histoire de sa famille. Il éprouve une antipathie profonde envers les habitants du Japon, tout comme il est répugné si un "non-noble" se permet de le toucher ou encore de lui parler. Les professeurs et les délégués font exception, respectant scrupuleusement la hiérarchie.  Il n'a connu aucune difficulté, l'argent et la renommée suffisant à lui ouvrir toute les portes, cela veut aussi dire que dans une situation de danger où il ne peut appeler du renfort et où il ne peut se défendre, il perdra son sang-froid voire mourra tout simplement.

Il ne supporte pas son père, le jugeant trop prudent dans ses actions. Charles-Edouard est du genre parieur, il estime que plus faible est les chances de gagner, plus gros est le gain, comme il aime dire " c'est un peu comme la roulette russe, il ne faut pas miser sur les cartouches vide, mais sur celle pleine." ]

Histoire :

– Qui étaient les parents de votre personnage ? Comment et où a-t-il grandi ?

Rhalala ... vous n'en avez pas fini avec les question ? Mon père est Armand Charles Arquebuse, dirigeant des entreprises Arquebuse, entreprise spécialisé notamment dans la revente légale d'armes, ayant aussi quelques cabinets d'avocat de part le monde. Ma mère est Marie Julia Speckwood. De par leurs mariages, notre famille à hérité de droit sur certaines entreprise de la famille Speckwood notamment dans le cession de terrain et la construction d'immobilier, incluant aussi les entreprises intermédiaire afin de rendre les constructions au normes et habitables. De part leurs unions, je suis né le jours de leurs troisièmes année de mariage. De ce fait il m'est aisé de me rappeler cette date. Afin d'éviter toute dépense inutile concernant ma filiation, ma mère me mit au monde sur le territoire français, avant de partir vers le Japon, pour découvrir ce nouveau territoire et  dénicher des familles permettant de d’accroître notre patrimoine. Pendant dix ans, je vins à être élevé comme il se devait, étant mis cependant à l'écart d'une histoire, celle de la fille des Hazabusa, qui allait servir d'union entre nos deux familles. On me la présenta un peu plus tard en me disant que je devais respect à cette demoiselle et sa famille. C'est d'ailleurs la seule famille japonaise, à ce jours, que je respecte.
  
– Quel(s) événement(s) marquant(s) ont fait de votre personnage ce qu'il est aujourd'hui ?

Et bien cela tombe pile, cela permet de poursuivre mon récit. La fille des Hazabusa fut mise sous la tutelle de notre famille, afin de bénéficier du savoir français, en échange je dus me plier à apprendre le japonais et leurs coutumes. Elle se nomme Sakura, un prénom bien commun, faisant référence aux fleurs de cerisier, si je ne me trompe guère.  Elle était fort charmante, étant la première japonaise avec qui je conversait, bien évidement on me rappelait que cette fille n’était pas comme les autres japonaises de campagne. Nous découvrîmes un  attrait commun pour la musique et la peinture, même si nos style différaient de par nos cultures. Nous avons été inscrit dans un lycée assez pauvre, nos parents voulant que nous nous fassions à des personnes moins bien doté, non pas pour les prendre en pitié, mais avoir un apport supplémentaire en plus des cours du soir que nous aurions. Je fus placé en seconde année, là où Sakura était mise en troisième années, ayant un an de plus que moi.  

– A-t-il eu l'occasion de se faire des amis, des ennemis, des connaissances, de lier des relations amoureuses ?

Des ennemis, nos deux familles en possèdent, comme des amis haut-placé. Nous avons régulièrement affaire à des tentatives d'enlèvement ou encore des Yakuzas qui essaient, en vain de nous faire peur.  Je suis en étroite relation avec le personnel du lycée et notamment la directrice. Après tout notre famille possède un fond spécialement fait pour investir dans l'amélioration de structure et il ne s'agit nullement d'un moyen pour obtenir une bonne notation.  Concernant les connaissances, nous avons dans nos contact le dirigent de la ville, permettant de ce fait d'octroyer une aide financière afin ' d'aider les concitoyens à se sentir un peu plus à l'aise dans cette charmante ville", la vérité ? En échange de notre aide, il nous octroi des avantages, ce qui est normal.

En terme de relation amoureuse, je ne suis lié qu'à Sakura Hazabusa, les autres relations n'étant que pour perfectionner mes connaissance et permettre à ma future-femme d'être pleinement épanouis dans sa tâche de concevoir un héritier.  

– Fait-il ou a-t-il fait partie d'une organisation, d'un club, ou d'un corps d'armée ?

Visiblement vous n'avez pas fait attention, mais cela ne me dérange pas de radoter. Je peux faire appel aux entreprises de mon père et de ma mère pour bâtir des lieux ajusté à ma demande, ayant de nombreux terrain en attente de construction. Je peux aussi me fournir en terme d'arme, avec tout les papiers nécessaire à sa détention.   Je ne suis inscris au club de littérature, tout comme ma chère et tendre.  

Je possède des gardes du corps efficace, armé dans le cas où nous serions victime d'une attaque de petit bandit. Je ne cache pas les utiliser souvent pour apprendre au vermisseaux leurs places.

Autre :
– Votre personnage possède-t-il des pouvoirs, des connaissances ou des compétences particulières ? Est-il sportif ?

Des pouvoirs ? Vous êtes bien trop dans votre monde. [pas de pouvoir]

J'ai ma licence qui démontre un maniement des armes à feux, ayant une préférence pour les revolver, bien plus élégants et pratiques.

Je pratique les arts martiaux, étant un peu similaire à la boxe, avec un bon jeux de jambe et un bon revers.


Je pratique l'escrime de temps à autres, étant bien plus attiré par l'équitation.


– Ses possessions ou son réseau de connaissances sortent-ils de l'ordinaire ? Habite-t-il un lieu spécial ?

J'habite une résidence secondaire, pas grand chose, un petit manoir avec des serviteurs et des servantes. Ma future femme et moi-même sommes le seuls membre de nos familles à vivre dedans, nous permettant de nous familiarisé à une vie de couple.


[Description de Sakura Hazabusa]
(personnage secondaire mais important tout de même)

Âge : 17 ans
Sexe : F
Race : Humaine
Sexualité : Ne connait que la théorie, devant rester vierge jusqu'au mariage.

Caractère en quelques mots :

Sakura est une personnes très douce et gentille, elle ne juge pas les personnes moins dotés, tant physiquement que socialement. Elle éprouve un certain complexe envers sa forte poitrine, bien qu'étant un héritage familial. Elle est dévouée à son futur mari, voulant faire honneur à sa famille et à celle Charles-Edouard.

Elle éprouve une certaine peine face à la difficulté que son futur mari éprouve envers les autres japonais.

Sakura ne sait pas nager, ayant une phobie de la mer, après avoir été emportée par celle-ci quand elle était petite.  Dans une piscine, elle n'ira pas dans un endroit où elle n'a pas pied.  

Elle est une excellente oratrice, sachant adapter son langage aux publics et résoudre des conflits mineurs.  C'est une adoratrice des cultures étrangère, étant habituée à recevoir, d'un oncle, des souvenirs d'un peu partout du globe.

Elle ne supporte pas que l'on touche à son futur mari sans son consentement, ne voulant pas qu'une autre femme vole l'être pour laquelle elle a été formée pour être sa femme.

Pages: [1]