Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lise Peterson

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1
Lise perdait peu à peu pied avec la réalité et atteignait cet état de transe où sa véritable nature se révélait sans la moindre pudeur. Le mot était faible car les amants se succédaient sans répit et il n'était pas une seconde où son anus ne subissait pas un assaut brutal ou ruisselait de foutre lorsque les bites s'en retiraient. Certains préféraient jouir sur ses fesses largement ouvertes ou sur son dos, prenant leur plaisir à souiller cette créature parfaite qui s'adonnait aux pires perversions. La blonde encaissait les assauts avec des grognements bestiaux lorsqu'une claque plus forte que les autres s'abattaient sur ses fesses, les partenaires s'encourageant mutuellement à la faire mugir plus fort que le précédent.

Du côté de son visage, c'était un délicieux carnage. La bienheureuse ne pouvait guère plus s'empêcher de baver et de pleurer alors que le mandrin de Mélinda lui ramonait toujours la bouche. L'extraordinaire endurance de la vampire aurait eut raison de plus faible que Lise, mais elle tirait son plaisir de sentir la toute puissance de sa maitresse l'étouffer à chaque passage, s'engouffrant dans sa gorge avec un bruit de succion, ses yeux se révulsant alors qu'elle se retenait avec plus ou moins de succès de contenir son corps qui hurlait contre l'intrusion.

Ourgl! Rougl! Agl!


Les pinces qui étaient venues s'aggriper aux tétons de Lise n'étaient qu'un commencent. Il y avait bel et bien une perversion chez ces hermaphrodites, accentuée par le phénomène de groupe et l'excitation toujours croissante de voir la bimbo encaisser, voire prendre toujours plus de plaisir alors que les ébats glissaient vers des tournures toujours plus extrêmes. Les coups se firent plus violents et les rires plus vicieux. Lorsqu'on s'aperçut que l'énorme mandrin de Lise était proche de l'explosion, déjà prêt à jouir de nouveau sous la frénésie des assauts, Julie se sentit fatiguée de presser du talon sur le chibre et elle saisit un lien de cuir. D'une main experte, elle le serra à la base du pénis de Lise, le nouant très serré. Compressé à sa base, le sexe de Lise eut un sursaut désespéré alors qu'on lui refusait sa jouissance et un long gémissement fit irruption dans la bouche de sa propriétaire, confrontée à l'une des souffrances les plus sadiques qui soit. Son foutre se pressait, bloqué par le lacet, désespérément poussé par un orgasme qui refusait de venir, mais le cuir tenait bon et Lise sentit sa frustration monter, délicieusement retenue, à un cheveux de la libération. Sa bite se mit à la brûler, mais elle ne fit pas un geste pour retirer l'instrument de sa douleur.

Mais Julie était loin d'en avoir fini avec elle et ce fut avec un sourire sadique qu'elle se tourna vers sa maitresse, un lourd plateau à la main. Elle s'approcha de Mélinda et lui susurra à l'oreille, désignant du menton les multiples instruments de torture qui étaient posés dessus. Il y en avait pour tous les goûts, mais certainement pas pour les âmes sensibles. Il s'agissait d'objets conçus pour sublimer la souffrance, la marier à la jouissance, pour les cœurs les plus accrochés. Ses cheveux plaqués sur ses yeux, à demie étouffée par le mandrin qu'elle enfournait avec une énergie presque démoniaque, Lise ne vit rien de tout ça, d'autant qu'un étalon particulièrement bien membré venant de s'enfourner en elle avec un ahanement d'effort, l'emplissant du premier coup et manquant de la faire hurler, puis s'étouffer alors que la bite de Mélinda reprenait son infernal vas et viens.

Alors Mélinda, toi, qu'est ce que tu veux lui faire subir ? Elle adore ça cette salope, elle nous défie ! Le fouet peut être ? C'est presque trop classique.... Les aiguilles ?! On pourrait forcer sa bite dans une cage... une grosse cage, mais pas de jouissance pour elle ! Elle n'est qu'un trou!

Et l'assemblée des hermaphrodites repartit de plus belles dans un concert de gloussements alors que l'orgie dégénérait sérieusement, les demoiselles incapables davantage leurs plaisirs se sautaient dessus entre elles, quand elles n'invitaient pas un des musculeux amants à les rejoindre.

2
Le moins que l'on pouvait dire, c'était que Lise savait encaisser. Il n'était pas un seul centimètre de son corps qui était épargné par la cravache et de petites plaques rouges se formaient là où Julie frappait plus fort, plus souvent. La sadique se focalisait volontiers sur son sexe et ses bourses, mais ses tétons en prirent pour leur grade également, car la jeune femme savait où la douleur serait la plus vive. Si elle avait eut des scrupules, cela ne s'était guère aperçu car les gémissements de Lise suffisaient à convaincre la plus chaste de bonnes âmes qu'elle prenait un pied monstrueux.

Hmmmm, hmmmm hmmmmm !

La belle blonde était en proie à mille plaisirs, lorsque la gifle brûlante de la cravache zébrait sa peau ou qu'elle sentait son cul ouvert comme jamais s'écarteler au passage de ses amantes de plus en plus excitées, de plus en plus violentes au fur et à mesure que l'orgasme approchait. Elle se concentrait sur la queue de Mélinda qui se servait d'ailleurs d'elle comme bon lui semblait, pour la plus grande joie de la masochiste. L'énorme chibre l'étouffait à moitié et elle aspirait désespérément de l'air lorsqu'il reculait pour mieux lui ramoner la gorge, généralement avec des bruits de succions tout à fait ridicule. Si l'amour n'était pas doux, il n'était pas non plus gracieux. Lise ruisselait de foutre et ses vêtements à peine rabattus, toujours enfilés sur son corps, formaient autant de petites poches ou le sperme s'accumulait. Elle luisait de sueur et de jus, son visage plus particulièrement souillé par sa bave qui ruisselait sur son menton alors que Mélinda ne la laissait certainement pas se refaire une contenance. Lise tenait moins de la jeune femme sexy qui était rentrée dans la pièce que d'un vulgaire exutoire à toutes les perversions de ses dominatrices et elle adorait ça, ses beaux yeux baignés de larmes luisant d'une lueur plus perverse que jamais.

Cela n'échappait sans doute pas à Julie qui eut un sourire mauvais. Après quelques derniers coups de cravache bien sentis qui firent résonner les tétons de Lise qui subissait ses assauts avec des vagues de jouissance, elle s'approcha davantage de la belle enculée et posa sans douceur son talon sur la bite elle aussi malmenée, appuyant sans douceur pour la clouer au sol, la tordant à demi sous son poids. Elle se pencha en deux pour se mettre à la hauteur de la soumise.

Je n'aurais pas de pitié pour une pute comme toi ! Tu prends un peu trop ton pied, pour un trou !

Pour toute réponse, Lise émit un gémissement de jouissance et saisit à pleine main les fesses de Mélinda, et la tira vers elle de toutes ses forces dopées par les vagues de plaisir qui la traversant, avalant l'énorme bite jusqu'à la garde en lui caressant les couilles de sa langue, s'accrochant pour rester ainsi en passant outre le réflexe qui tentait désespérément de lui extirper le mandrin de la gorge, des bulles de bave se formant à la commissure de ses lèvres alors qu'elle abandonnait peu à peu le monde de la raison pour se laisser aller à cette souffrance exquise qui était la meilleure façon de jouir.

3
Génial ^^ Ca me rappelle un peu le perso de la barbare dans Darkest Dungeon.

4
Ce fut avec un regret immense que Lise sentit Mélinda se retirer de son cul, laissant un grand vide derrière elle. Étalée dans le mélange de leurs foutres, son anus distendu dont s'échappaient des filets de sperme offert à la vue de tous, la blonde était au paradis, mais loin d'être rassasiée. A peine remise de son orgasme et alors qu'elle tremblait toujours, elle se redressa à quatre pattes, indifférente à sa tenue lamentable, maculée de foutre, et avança ainsi vers sa maitresse, les fesses encore rougies de ses coups. Elle lui agrippa le talon et colla ses lèvres pulpeuses sur la pointe de ses chaussures, aspirant les giclées de spermes qui tranchaient sur le cuir noir, léchant consciencieusement le moindre centimètre avant de remonter lentement, léchant et suçotant le foutre jusqu'à faire briller la tenue de Mélinda.

Ce faisant, elle ne remarqua pas que les hermaphrodites se rapprochaient d'elle. Passablement échaudées par le spectacle, maintenant que leur maitresse avait honoré la première leur nouvelle invitée, les jeunes futas ne pouvaient résister longtemps à l'envie de l'essayer à leur tour. La première arrivée lui cala ses mains sur les fesses et s'enfonça en elle d'un grand coup, sans la moindre douceur mais sans non plus la moindre difficulté, son anneau toujours laissé béant par la virilité de Mélinda. De nouveau remplie, Lise laissa échapper un grognement alors qu'elle passait la main entre les bourses de cette dernière pour les presser doucement comme pour la vider de son jus savoureux, alors qu'elle léchait consciencieusement le bout du gland, récoltant de sa langue agile le foutre qui y restait collé.

Hmmmm ! Hmmm !

Les hermaphrodites gloussèrent de concert, parfaitement conscientes de ne pas faire le poids face à leur patronne. Une nouvelle s'invita en elle, poussant la première d'un coup d'épaule pour y joindre son mandrin. A deux dans le cul de Lise, elles avaient encore de la place mais le contact de leurs queues respectives les avaient émoustillées et elles s'enfoncèrent d'un grand coup de rein commun jusqu'à leurs bourses bien pleines, laissant échapper un premier gémissement de plaisir en pénétrant au plus profond de cette cavité si chaude et si accueillante. Lise hoqueta sur la bite de Mélinda et la fixa dans les yeux, ses grands iris baignés d'une lueur brillante alors qu'elle prenait son pied, embrochée de tous les côtés. Elle plaça une de ses mains à la base du pénis et le branlant doucement tandis que sa langue faisait des merveilles d'agilités pour caresser son gland de chaque côté, dans son étreinte chaude et humide.

Plus vicieuse que les autres, une troisième s'approcha et soupesa les bourses de la futa d'un oeil gourmand. Elle était légèrement moins membrée que ses congénères, mais brillait dans ses yeux la même lueur perverse. Après avoir palpé le braquemart hors du commun de Lise, toujours en érection, elle jeta un coup d'oeil coquin à sa maitresse.

Je crois qu'elle n'en a pas assez Mélinda... C'est une vraie masochiste. Regarde !

La petite brunette saisit une bourse et ferma le poing en l'écrasant contre sa paume, brutalement. Lise poussa un mugissement de douleur et se cabra, enfournant le pénis de Mélinda dans sa gorge, s'attirant un gloussement général. Sans relâcher la pression, la sadique observa sa maitresse en attendant son autorisation de continuer.

Quelle salope !

Derrière Lise, les deux demoiselle qui l'enfournaient de concert se roulaient des pelles passionnées.

5
C'était ce qu'on appelait l'avoir bien cherché. A quatre patte, courbée sous la puissance de Mélinda, Lise se sentit littéralement écartelée lorsque cette dernière se mit à grossir son membre sans égard pour la perverse provocatrice, faisant pleuvoir une grêle de coups sur sa croupe qui virait au rouge cramoisi, de même que sa propriétaire qui se mettait à haleter comme un animal pris au piège. Langue pendante dans ce tic qu'elle avait lorsqu'elle se faisait proprement défoncer, la blondasse sentait son anus à la limite de la rupture, explosé par une queue hors du commun qui l'empalait littéralement, semblant la transpercer de part en part. C'était le paradis, c'était ce qu'elle désirait par dessus tout, le plaisir procuré par une douleur hors du commun qui rendrait fou les moins fous qu'elle, cet instant où son cerveau déconnectait complètement et qu'elle n'en venait plus qu'à désirer toujours plus de souffrance, toujours plus de jouissance dans ses envies primitives.

Gnnnnnhhh..... AAAAAAAH. AAAAAH !!! 

Incapable de formuler une phrase cohérente, Lise en était réduite à grogner et à hurler. Son corps était toutefois un véritable aveu du pied qu'elle prenait à se faire enculer de la sorte, puisqu'elle mettait à contribution les rares répits entre les coups de rein sauvages de Mélinda pour s'empaler d'elle même en montant son petit cul aussi haut que possible sur l'énorme mât de chair, de plus en plus violemment, tant pour le plaisir de sa maitresse que son égoïste addiction à la douleur.

AAAHOUIIIIAAAAAH !!!

Au rythme de traitement particulier, il ne fallut guère plus de quelques minutes à la blonde pour se lâcher complètement. Dans un hurlement de plaisir où l'on devinait des sanglots, son mandrin tressauta et explosa, envoyant de longs filament blanchâtre sur le sol du salon, jusqu'à plusieurs mètres devant elle. Incapable de se contrôler, elle gicla pendant de longues secondes, fixant les hermaphrodites qui ne perdaient pas un instant du spectacle, s'abandonnant à l'orgasme sans retenue, s'empalant sur le chibre de Mélinda jusqu'à la garde pour la sentir la défoncer entièrement et marquer durablement sa chair de sa puissance hors du commun.

6
Dans cet univers où la luxure était reine, Lise était parfaitement dans son élément. Mieux encore, elle venait d'apercevoir des mâles à disposition des femmes autrement plus membrées qui peuplaient cet endroit et elle songeait sérieusement à en libérer hein, histoire qu'il se venge de toute les humiliations subies sur elle. La seule pensée de l'enfer qui l'attendait l'aurait fait bander encore plus sèchement si son mandrin n'en était pas à son summum. Mélinda la soulagea d'ailleurs bientôt de la pression de son short bien trop étroit et son énorme queue bondit vers la liberté, assortie de quelques gifles sur ses fesses qui lui arrachèrent un gémissement d'aise. Bientôt, elle sentit son trou s'écartement, douloureusement, lentement, sous la pression du sexe de sa maitresse et elle hoqueta de plaisir, se sentant peu à peu comblée, alors que son anus se resserrait autour de ce nouvel invité, miraculeusement toujours aussi étroit après ce qu'elle ne cessait de lui faire subir... Les coups se mirent à pleuvoir et elle ne put se contenir davantage, poussant un premier jappement.

Haaaaaan. Mé... linda. Encule moi. P-p-p-p-lus fort ! Haaaa.

Lise avait épuisé bien des amants mais Mélinda n'était pas de celles qui abandonnaient, et la bimbo estimait que l'on ne pouvait juger quelqu'un qu'une fois bien enfournée. Elle savait parfaitement que sa surhumaine maitresse était capable de bien des prouesses, bien au delà de ce qu'elle pouvait imaginer et c'était une pensée qui l'excitait davantage qu'elle ne l'effrayait. Aussi l'insatiable masochiste décida elle d'aller autrement plus loin, alors qu'elle sentait déjà la bite monstrueuse la ravager au delà de ce qui était raisonnable. Lise n'était pas raisonnable, mais elle ne pouvait lutter contre son corps et ce fut donc d'une voix hachée par les vagues de plaisir qu'elle reprit la parole.

P-p-p-lus ! Tu... fatigue. Han ! Déjà ?
Elle jeta un coup d'oeil aux spectatrices émoustillées qui ne perdaient pas une miette de la scène. Quelqu...un veut ... aaaah, haaan. Venir l'aider ? Je suis... HAAAAA HAAAA. Sûre que vous pouvez... mieux... faire ! Fais moi... hurler Mélinda ! Haaaa. 

Elle avait entrevu jusqu'où sa perverse maitresse pouvait aller, mais elle voulait en voir davantage. Baisée à même le sol par la plus virile de ces amantes à ce jour, elle en voulait plus. Il y avait quelque chose en Mélinda qu'elle réfrénait, comme si elle craignait d'abîmer sa blanche peau, sa silhouette parfaite et son corps voué au sexe.

7
C'est qu'il fallait les voir la dévorer du regard, l'affublant de compliments qui auraient manqué de la faire rougir si ils ne l'avaient pas fait bander encore davantage. Des mains s'emparaient de son corps, mais Mélinda entendait faire valoir ses droits sur sa propriété et elles s’égayèrent sans aller bien loin, observant la belle dominatrice se rapprocher de la bimbo offert au milieu de ce salon. Lorsqu'elle la prit en main, Lise frissonna et ne put retenir un gémissement lorsqu'elle la mordilla. Sans aller jusqu'à dire que la blonde avait une hypersensibilité, il lui en fallait peu pour se sentir brûler de désir. Dans son état actuel, cernée de créatures avides de sexe, elle était particulièrement réceptive. Aussi sourit elle lorsque sa maitresse reprit la parole.

Si tu m'en avais donné l'ordre, j'aurais ouvert mon cul à toutes les bites que j'ai croisées... Mais tu n'as rien dis alors ils n'ont pu que me dévorer du regard.
Et elle jeta un coup d'oeil coquin à toutes les demoiselles qui l'entouraient et ne pouvait la toucher, fixant ostensiblement leurs sexes qui n'attendaient visiblement plus que le bon vouloir de leur maitresse pour rentrer en action. Comme elles en ce moment. Elles ne peuvent que regarder et sentir leur frustration monter....

Son cul parfait résonna alors d'une fessée bien ajustée et il ne lui en fallait guère plus pour tomber à genoux, arquée vers l'arrière, ses fesses déjà prêtes à servir à sa maitresse, dénotant une longue expérience de sodomies sans préambules. A ceci près qu'un plug anal aussi gros qu'un poignet ornait son cul, orné d'un diamant qui mettait en valeur le cercle rosé de son anus déjà outrageusement dilaté. Elle était ouverte et soumise, brûlante de désir avant même de pénétrer dans le manoir et la présence du jouet, suppléant aux regards salaces des passants, n'y était sans doute pas étrangère. A quatre pattes, croupe arquée et bouche entrouverte, elle ne put se contenir plus longtemps alors qu'elle sentait Mélinda s'approcher d'elle.

S'il te plait... Fais moi mal. Lâche toi. Utilise moi.

8
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: lundi 20 février 2017, 18:08:53 »
Futaaaaa <3

9
Seule dans ce manoir silencieux, sa curiosité piquée au vif, Lise avait déambulé, guidée par la seule voix de Mélinda, jusqu'à pénétrer dans cette pièce où l'attendait, effectivement, une belle surprise. Une demie douzaine de jeunes femmes aux attributs des deux sexes l'attendaient sans la moindre pudeur, et leur sourire trahissait une envie au moins égale à celle de Lise. Elles étaient loin d'être aussi membrées qu'elle, mais leur nombre et leurs physiques parfaits laissaient présager des heures de dépravation et de plaisir, et cette seule pensée suffit à déformer encore davantage l'étroit short de la blonde futanari. Elle reporta son attention sur Mélinda, toujours aussi sublime et corsetée dans une tenue de cuir qui lui donnait un air de dominatrice loin de déplaire à Lise.

La bimbo fit quelques pas dans la pièce, se régalant de la beauté de ces dames, de l'ambiance déjà très chaude qui irradiait littéralement dans ce salon aux allures de lupanar. Déjà mise à mal par son trajet jusqu'ici, auscultée sous toutes les coutures par des passants désapprobateurs, Lise était désormais sur des charbons ardent et ne pouvait guère contenir son envie de se faire assaillir par toutes ces déesses du sexe. Son érection désormais douloureusement comprimée dans son short, ses tétons saillants et la bouche humide d'envie, elle saisit à pleine main les deux premiers sexe qui passaient et leur imprimant de longs va-et-vient, branlant lentement les jeunes femmes sans leur accorder, pour l'instant, la moindre attention, fixant Mélinda droit dans les yeux, une lueur perverse dans le regard.

C'est parfait, absolument parfait. Je suis... flattée Mélinda.

Et puisque leurs rencontres n'étaient décidément pas placée sous le signe de la retenue et des longs préliminaires, elle enchaina sans davantage tergiverser, les paumes toujours refermées autour des bites qu'elle masturbait lentement, les sentant se poser contre ses cuisses dans un contact brûlant.

C'est toi la maitresse de cérémonie. Que désire tu qu'elles me fasse ? Veux tu qu'elles me baisent à trois dans mon cul ? Qu'elles me prennent la gorge ? Désire tu me prendre en première ? Ordonne, maitresse.

10
C'était ce qu'on appelait une défonce totale. Affalée dans une mare de foutre, Lise n'existait qu'au travers de son petit trou limé par l'énorme mandrin de Mélinda qui se lâchait complètement dans une débauche d'énergie et de dépravation. Écartelée par la bite hors du commun, la blonde ravagée hurlait sa jouissance mêlée de souffrance à chaque coup de boutoir, perdue à cette frontière entre douleur et plaisir où elle savourait l'un comme l'autre. Brutalement, elle sentit une marée chaude l'envahir complètement, déborder en quelques secondes de son rectum devenu une sorte de puit sans fond d'où jaillissait le liquide séminal, comme s'il naissait dans cette rose étroite au cœur noir. Elles s'immobilisèrent ainsi, Lise reprenant son souffle avant de parler, trop épuisée pour bouger, à demie écroulée sur son propre mandrin à la vigueur faiblissante dans cette posture grotesque, vulgaire, le fion à l'air encore transpercé du dard de Mélinda, clapotant de quelques hectolitre de sperme. Haletante, le réceptacle se mit à parler.

Je suis... à toi. Je vis pour ton plaisir. Je veux que tu me fasse souffrir, je suis ton objet.


~~~~~~~~~~

Quelques heures plus tard, aussi incroyable que cela puisse paraitre, Lise était prête à remettre ça. Les deux femmes s'étaient séparés sur quelques consignes de la part de Mélinda, laissant derrière elles un carnage de foutre dans des toilettes qui avaient accueilli leurs accouplements effrénés, un spectacle qui laissait supposer qu'une véritable armée de lycéens en rut s'étaient branlés à tour de rôle dans ce petit espace, alors qu'il ne s'agissait guère que de deux futanaris hors du commun qui s'étaient amusés quelques instants.

En bonne soumise, Lise veilla à être scrupuleusement à l'heure du rendez vous que Mélinda lui avait fixé. Arrivant au manoir -car oui, Mélinda possédait visiblement un manoir, mais la bimbo ne s'émerveillait plus de rien, après des mois à s'extasier sur le moindre papillon, elle en était venue à ne plus être capable de prendre la pleine mesure de ce qu'elle rencontrait-, la blonde ne put s'empêcher de sourire à la seule pensée des supplices qu'on lui réservait. Malgré la sauvagerie de leurs étreintes à peine terminée, elle en voulait encore, des choses bien plus viles notamment... Elle s'était habillée en conséquence et n'avait pas fait dans la dentelle. Lise n'était ni pudique ni réservée et elle se moquait bien du regard des gens. Elle avait enfilé un haut qui contenait péniblement son énorme poitrine, ses tétons massifs, et moulé sa bite dans un mini short qui soulignait la courbure parfaite de ses fesses. Une paire de bas et de talons vertigineux complétaient le tableau. Elle puait le sexe. C'était d'ailleurs le but recherché. Elle ne voulait pas être subtile, elle ne voulait pas qu'on ignore ce qu'elle allait devenir. Elle voulait que les gens sachent qu'elle allait se faire défoncer, abuser de toutes les façons imaginables, qu'elle était une de ces bimbos que les passants observaient, désiraient, méprisaient. Qu'on la juge comme le trou qu'elle était, qu'on dédaigne cet aspect vulgaire, cette vocation qu'on devinait sous ces vêtements scandaleux. L'humiliation ajoutait à son excitation, elle sentait son chibre pousser sous le latex de son short, impatiente d'être traite, déjà palpitante de désir.

D'un index finement manucuré, elle toqua la lourde porte en bois du manoir Warren.

11
Lorsqu'elle sentit ses fesses s'écarter, son anus céder peu à peu sous la pression du sexe, Lise se mordit les lèvres. Son cul vibrait encore de la dernière gifle qu'une autre s'abattit, puis une suivante. La peau rougie, brûlante de la morsure des baffes, lentement empalée par la bite de Mélinda, Lise commençait à vraiment prendre son pied, et il ne lui fallait guère plus d'encouragement pour lui délier la langue. Il n'y avait pas plus bavarde qu'une bimbo masochiste qui voyait sa récompense à portée de ... langue.

Oui... Aaaah oui. Je ne ... suis qu'une salope. J'adore me faire baiser sans douceur, être maltraitée par n'importe qui. Je veux me faire ravager le cul en permanence. Je suis la dernière des putes, une pute masochiste qui vit pour la douleur. Utilise moi, lâche toi en moi ! Je peux encaisser, je veux souffrir, lâche tes instincts les plus horribles, aaaaaaah... . Défonce moi ! Défonce moi encore, fais moi mal, je veux chialer sous ta bite, je veux me faire défoncer le cul dans ces chiottes dégueulasses, écroulée dans des litres de foutre. ENCORE ! JE VEUX ME FAIRE OUVRIR LE CUL ! FRAPPE MOI ! Je veux jouir de tes coups !


A quatre patte dans une mare de sperme, enculée par celle qu'elle ne connaissait pas encore voilà une demie heure, Lise abandonnait ses dernières bribes de retenue, hurlant son plaisir et sa douleur alors qu'elle avait la tête contre le carrelage glacé, à demie étouffée par l'épaisse couche de sperme qui le recouvrait. Chacun de ses beuglements produisait d'ailleurs une jolie petite bulle blanchâtre qui éclatait bientôt en l'arrosant à nouveau, comme si sa situation pouvait être encore plus lamentablement vulgaire. Sous les coups de boutoir, son flot de parole se faisait plus haché, plus haletant alors qu'elle sentait son fondement s'ouvrir un peu plus à chaque assaut.

GGNnnnnnn je suis ta pute. Aaaaah. Cogne moi comme tu l.... 'aime ! Baise moi !


12
A demie consciente, étouffée par des hectolitres de foutre qui n'avaient pas échoué son visage, Lise avait vaillamment encaissé un orgasme aussi colossal que les siens. Ses larmes mêlées aux gouttes de sperme qui ruisselaient sur son visage, tentant désespérément de conserver un maximum de semence dans ses joues gonflées, la bimbo suivit les directives de sa maitresse, s'allongeant sur le sol pour partager le baiser le plus sale possible, partageant une portion généreuse sans pouvoir, hélas, éviter de nouvelles pertes qui allèrent souiller encore davantage le sol qui n'était guère plus visible sous leurs semences respectives. Melinda n'était cependant pas au bout de ses ressources puisque son pénis manifestement toujours vigoureux doubla de volume, se frottant contre la queue de Lise tandis qu'elles se roulaient des pelles passionnées, que la blonde agrémentait d'une branlette énergique, toute vouée au plaisir de sa domina.

Elle n'allait cependant pas bien résister longtemps à l'appel d'un membre aussi viril, qui laissait présager autant de plaisir pour celle qui la chevauchait que de souffrances pour elle. Toute obsédée qu'elle était, Lise restait humaine en dépit de ses proportions parfaites et elle n'était certainement pas dotée de capacités extraordinaires à même d’accueillir une queue de cette ampleur. Mais pour celle qui accueillait la douleur comme le plus puissant des plaisirs, rien n'était impossible. Avec souplesse, elle redressa les jambes jusqu'à les avoir contre sa tête, elle passa les mains sur ses fesses, exposant sans pudeur (comme s'il pouvait encore en rester...) son anus resté la partie la plus correcte de son anatomie jusque là. S'aidant de ces longs doigts, elle l'écarta doucement, pointant son fion vers le pénis de Mélinda, bavant du foutre en la regardant dans les yeux.

Défonce moi. Encule moi. Prends moi. Ravage moi. Je veux te sentir me faire mal.

Son œillet dilaté, l’œil vitreux de la bimbo à demie assommée mettait au défi sa maitresse de lui exploser littéralement le cul, prête à hurler sa souffrance et sa jouissance sous ses coups de bélier. Son trou paraissait si petit par rapport à l'énorme mandrin de Mélinda qu'elle imaginerait sans peine l'effort physique nécessaire à l'intrusion dans cet orifice pourtant loin d'être vierge. Mais il y avait une différence de taille entre un quadruple fisting et cette bite hors du commun, soeur jumelle parfaite de la sienne...


13
Enfin ! Mélinda se mit à lui défoncer la bouche avec une vigueur insoupçonnée, envoyant son crâne cogner contre la cloison. La douleur qui explosa à l'arrière de son crâne lui arracha un cri de jouissance qui se transforma en un gargouillis inintelligible lorsque la bite de sa maitresse lui emplit la gorge sans aucune douceur. En quelques secondes, les seuls son qu'elle puisse émettre furent des râles qui n'avaient plus rien d'humain, alors qu'elle contrôlait à grand peine un réflexe vomitif. Les larmes aux yeux, martyrisée par sa dominatrice qui l'insultait en permanence, Lise était au paradis.

Sur un ordre de sa maitresse, car elle n'osait désormais plus bouger de peur de diminuer son plaisir, elle s'empara une nouvelle fois de ses fesses, glissa ses doigts dans la raie et caressa rapidement son petit trou serré avant d'y plonger franchement, alternant ses doigts dans le fion de sa violeuse, les enfonçant toujours plus loin alors que Mélinda elle même plongeait peu à peu au fond de sa gorge. Lise n'avait pas de potion magique pour supporter une gorge profonde de cette intensité, mais elle avait pour elle son désir maladif de souffrir pour satisfaire autrui, alors que sa propre jouissance n'en était que décuplée.

Il fallait la voir, avachie dans des chiottes puantes de foutre, percuter la paroi à intervalles régulier, avec une violence à lui assurer une commotion cérébrale, le mandrin grotesque qui lui servait de sexe dressé comme un piquet. Ses énormes seins jaillissaient à chaque secousse de son uniforme débraillé, souillé par des dégueulis de semence et de salive. Mais elle s'appliquait. Resserrant sa gorge, calant sa langue avant chaque assaut, elle assurait à Mélinda un étroit corridor de plaisir, une grotte de jouissance où chaque centimètre de chair humide enserrait la bite de sa maitresse, caressant chaque particule de peau pour une sensation parfaite. Elle en était réduite à exceller dans ce rôle de punching ball, ne se préoccupant guère plus d'elle même. Ses derniers instants de lucidités, elle les réservait à l'anus de Mélinda qui s'élargissait lui aussi petit à petit, alors qu'elle le baisait frénétiquement avec sa main, l'autre servant alternativement à caresser les bourses de sa tortionnaire ou à lui saisir un sein, avant qu'un nouvel assaut ne l'envoie aux limites de l’inconscience, à la frontière du plaisir et de la souffrance où elle se complaisait. Elle en voulait plus. Tellement plus. Qu'elle s'adonne à ses envies les plus déviantes avec elle, qu'elle la torture sans égard pour ses scrupules.

Uuuurgg. En... glrub. Encogggggre. Encooore...

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Lise aurait pu s'étonner de voir la jeune femme brusquement pourvue d'un pénis, mais elle était trop excitée pour s'interroger longtemps. Après tout, dans les tréfonds du Sanctuaire, de nombreuses créatures aux particularités tout aussi uniques que les siennes étaient retenues prisonnières... Accroupie dans cette mare de foutre, elle n'hésita pourtant pas longtemps. Mélinda lui offrait la possibilité de lui faire plaisir, de s'employer à la faire jouir, et c'était une situation dans laquelle Lise se retrouvait autrement plus facilement que lorsqu'on lui demandait de prendre des initiatives. Des chibres, elle en avait sucé de toutes les tailles et de toutes les sortes, puisque les pénis parvenaient toujours à entrouvrir ses lèvres charnues, même lorsqu'elle était prisonnière dans les caves les plus profondes d'un couvent isolé. L'Evêque qui avait finit par ordonner sa libération ne manquait jamais une occasion d'abuser de sa soumission, et il l'avait initiée aux plaisirs de la fellation. Puis, après sa libération, c'était devenue une addiction que d'observer les visages crispés de ces mâles en train d'exploser dans sa bouche.

Aussi joignit elle ses lèvres dans un baiser sensuel qu'elle déposa sur le bout du sexe de Mélinda, redressant les yeux vers elle en enfonçant lentement cette bite dans sa bouche ruisselante de salive, avide de goûter cette virilité. En vraie professionnelle, elle engloutit le membre d'une seule traite, butant contre l'entrejambe de la jeune femme en lui malaxant les fesses pour loger ce mandrin de bonne taille au fond de sa gorge. Elle se mit alors à saliver, son corps luttant pour s’accommoder de la bite qui l'étouffait. Sans se décontenancer, sans lâcher Mélinda du regard, elle la retira doucement, laissant sa main courir le long du sexe qui ressortait, trempé de salive pour le masturber lentement, puis de revenir pour l'avaler entièrement, aspirant et léchant le gland dès qu'elle le pouvait, branlant de plus en plus rapidement en usant de son lubrifiant naturel. Mais elle en voulait davantage. Elle voulait sentir le plaisir de Mélinda, comme elle même l'avait sentie lorsqu'elle lui défonçait les entrailles. Sans lâcher les fesses de la jeune femme, elle recula contre la cloison, l'entrainant avec elle. Lorsque sa tête fut bloquée par la paroi, elle expulsa la bite de la rousse en s'adossant confortablement, de façon à ne plus pouvoir reculer. Alors elle se passa une langue gourmande devant ses lèvres d'un rouge carnassier et les ouvrit dans une grimace obscène, offrant la totalité de sa bouche à sa compagne.

Baisez moi la bouche, utilisez ma gorge comme bon vous semble. Je veux que vous preniez votre pied, maitresse...

Et par la même occasion, toute blonde qu'elle était, la bimbo entendait bien lui faire subtilement comprendre qu'elle n'avait pas froid aux yeux, mais également qu'il s'agissait d'une véritable nécessité pour elle. Elle avait déjà jouit deux fois sans souffrir. C'était deux fois de trop.

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Mon dieu, un corps entier pour accueillir sa bite. Lise manqua de défaillir de plaisir lorsqu'elle força la gorge de Mélinda et que son chibre pénétra cet étroit corridor non conçu à cet effet. Mais quel effet ! Serrée de toutes part par des chairs moelleuses qui se resserraient autour de son énorme mandrin, prisonnière de ce tunnel inexploré qu'elle violait sans égard pour celle qui s'offrait ainsi, la bimbo plaça ses deux mains sur la tête de la jeune rousse, poussant pour l'aider à progresser. Son bélier progressait, centimètre par centimètre. Nul doute qu'en dépit de l'anesthésiant, Mélinda prenait sur elle pour encaisser, d'autant que la blonde ne lui ferait pas l'affront de la ménager. Si elle désirait lui offrir ce cadeau inestimable, nul doute qu'elle désirait que la futanari en profite un maximum, plutôt que d'offenser son sacrifice par une timidité qui de toute façon ne lui ressemblait pas.

Alors elle lui baisa la bouche, la gorge, l’œsophage. La bave aux lèvres, devenue à demie folle de plaisir, elle usa du corps de la sacrifiée comme du plus inerte des sextoy, lui défonçant les entrailles de coups de reins qui faisaient racler son chibre contre les entrailles de chair. Elle fixait Mélinda qui encaissait ses assauts, les yeux mi clos, les larmes aux yeux, regrettant peut être son idée. La jouissance ne tarda pas à venir, accompagnée des premiers mots depuis qu'elle avait enfourné ce monstre presque plus gros que la jeune femme dans sa bouche.

Je... vais te remplir toute entière. Salope. Espèce de folle. Je vais te noyer dans mon foutre, AAAAAAAAAHHHH

Et la cascade blanche d'exploser aux tréfonds des entrailles de Mélinda. Des hectolitres de foutre emplirent son estomac en quelques secondes tandis que la bimbo, la tête rejetée en arrière, hurlait sa jouissance, agitée de spasmes. Avivée par son plaisir, la fontaine de sperme ne tarit guère et bientôt pleine, Mélinda sentir le liquide remonter le long du mandrin qui obstruait toujours ses conduits, explosant hors de sa bouche et de ses narines. Dans un sursaut de lucidité, Lise lui tint la tête pour s'extirper d'elle, aussi doucement que possible pour ne pas aggraver la situation, mais suffisamment rapidement pour ne pas la laisser s'étouffer. Elle ne put s'empêcher de forcer pour se dégager de la gorge, bien consciente des conséquences potentiellement néfastes de sa production séminale. Et alors que son chibre achevait de couler au sol, agenouillée près de sa maitresse foutrement (haha) sale, elle lui passa une main dans ses cheveux agglomérés par sa jouissance, lui léchant la joue dans une affection digne du plus fidèle des animaux de compagnie.

C'était tellement bon. C'était un vrai don de toi... Je suis à toi. Tu peux me faire subir dix fois pire. Je veux souffrir pour toi. Utilise moi. Dis moi ce que tu veux de moi.

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