Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Pauline Catalino

Pages: [1] 2 3 ... 15
1
Prélude / Re : Yuki Miyazaki [Validarthée]
« le: dimanche 03 décembre 2017, 19:05:21 »
Merci ! Et comment ça je suis démasquée ?  :P

2
Archives / Re : Le Livre d'Or de LGJ
« le: dimanche 03 décembre 2017, 18:18:47 »
10 ans.... Hum... C'est quand même beaucoup ! Vous vous rendez compte ? C'est plus qu'un an, c'est plus que deux ans, c'est plus que trois ans, c'est plus que... Enfin vous avez compris quoi ! Il y a 10 ans, je devais penser que faire l'amour c'est se faire un bisou !  :o



"Nous attendons vos pertinents commentaires  :D !"

Oups, trop tard !  :P

3
Prélude / Re : Yuki Miyazaki
« le: dimanche 03 décembre 2017, 15:25:07 »
Bienvenue !   :P

4
Prélude / Re : Une alien pas comme les autres... [Valicidée !]
« le: lundi 16 octobre 2017, 18:38:00 »
Tentacule, tentacule, tentacule !  :P

5
Prélude / Re : Who let's the dogs out ? - Alice & Betty in da place !
« le: dimanche 15 octobre 2017, 18:19:12 »
Elles viennent me capturer, me mettre en prison, me ligoter, me tripo... Je m'égare...
Bienvenue... <3

6
EH ! Revient !

Pauline n'avait pas entendu car elle s'était rapidement éclipsée. Elle ne pouvait pas rester plus longtemps car comme souvent, la piscine lui donnait une furieuse envie de faire pipi. L'adolescente pressa le pas à travers plusieurs couloirs du bahut, manquant de percuter un professeur qui ne manqua pas de grogner tout en lui disant de faire attention. Bien sur c'était sa faute si l'homme regardait un magazine tout en marchant ! Elle finit par arriver aux toilettes légèrement énervée puis s'enferma dans une cabine. Elle descendit sa culotte, gardant sa mini jupe en place puis s'installa sur les toilettes. Elle commença à uriner quand un bruit derrière la porte de la cabine la fit sursauter. Elle rougit de honte en voyant sa cousine s'incruster alors qu'elle était dans une position des plus gênantes.

- Idiote. Stupide idiote. Et en plus, on te suit aussi facilement.

- Qu'est ce que... Camille !! s'étonna Pauline sans savoir quoi dire suite à cette intrusion des plus culottée.

Tu te rends compte que ton explication « rationnel » est encore plus stupide que la mienne ? J’ai rajeuni, regarde. J’avais 20 ans, idiote. Là, j’suis une morveuse. Et bonjour le fric. Un étudiant avec le diplôme à peine en poche pouvant le faire… ? T’as pas changée, Pauline, t’es toujours aussi stupide.

L'adolescente écouta attentivement sa cousine et se dit qu'il y avait une part de vérité derrière tout ça. Mais ce n'était pas une raison pour forcée la porte de la cabine et venir la déranger alors qu'elle faisait ses besoins ! Pauline était rouge de honte alors qu'elle continuait d'uriner et que sa cousine l'entendait forcément. Elle repensa ensuite aux dires de sa cousine, mais de là à accepter l'existence d'une fée qui l'aurait transformée... Elle ne voulait pas être prise pour une conne et se préparait à répondre quand Camille ajouta :

- Mais bon, je devine… Tu veux m’aider, mais… Mais tu ne me crois pas… Tu crois que je suis une menteuse, alors que je suis perdue, et je ne me retrouve plus… Finalement, la méchanceté coule aussi dans tes veines…

- Quoi ? Mais... Comprends moi ! C'est difficile à croire ! Une fée quand même... bredouilla Pauline en voulant faire comprendre que cette justification était difficile à envisager. Et je veux t'aider ! Tu sais quoi, laissons la raison de ce changement de côté pour le moment.

- Tu… Tu m’as manquée Pauline… Après ce sort… Je croyais être seule à ja… Jamais...

Pauline s'en voulait en voyant sa cousine aussi triste. Elle n'hésita pas et se leva et la prit dans ses bras alors que sa culotte était encore sur ses chevilles. L'adolescente était beaucoup trop gentille et naïve pour remettre en doute la tristesse de sa cousine et pour la laisser se sentir aussi seule. Elle la serra très fort contre elle pour la réconforter puis recula, un peu gênée. Elle prit du papier et s'essuya le plus discrètement possible l'intimité avant de remonter sa culotte et de tirer la chasse d'eau.

- Tant qu'on est seule ici, dis-moi si tu as des problèmes avec ton corps. Je peux peut-être t'aider. Ce n'est certainement pas évident de changer de corps aussi rapidement, peu importe la façon. Je veux te montrer que je suis là pour toi. Je ferai absolument tout ce qui est en mon pouvoir pour que tu te sentes bien, d'accord ? déclara l'adolescente en prenant le visage de sa cousine entre ses mains. Je dois avouer que je ne t'aimais pas trop quand tu m'avais fait ce sale coup, mais tu m'as l'air d'avoir énormément changé. Tu es ma cousine, et c'est mon rôle de tout faire pour que tu te sentes mieux et que tu puisses traverser cette épreuve difficile.

Pauline referma la porte de la cabine pour être certaine que personne viendrait les surprendre car dans tous les cas, il était interdit d'être à deux au même toilettes. L'adolescent assit sa cousine sur la cuvette et se mit à genoux devant elle avant de lui prendre les mains.

- Dis moi tout. Je suis là pour t'aider. déclara la lycéenne avec un sourire, sans se rendre compte qu'elle était tombée dans le panneau comme une conne.




7
Pauline était en sécurité maintenant. Sa maîtresse avait réussi à la retrouver et c'était bien là le principal. Voir le visage décomposé de sa salope de cousine lui donna autant de plaisir qu'un orgasme avec Noémie, si ce n'est plus encore. L'adolescente avait décidé que Mélinda serait sa maîtresse, et il n'y avait pas de discussions possibles à ce sujet. Elle voulut le faire comprendre à sa cousine, alors elle se mit à genoux à côté de cette qui devait diriger sa vie. Elle frotta son visage contre la cuisse de la vampire avec satisfaction avant de regarder sa cousine avec colère.

- Mélinda est ma maîtresse ! Je lui ai voué mon corps et mon esprit ! Elle seule peut me faire ce qui lui chante. Pas toi ! cracha l'adolescente en lançant un regard plein de haine à celle qui l'avait attachée et fourrée avec de nombreux accessoires.


Elle avait encore les cuisses humides et avait surtout du mal à tenir debout. C'est pour cela qu'elle restait à genoux. Même Mélinda n'avait pas abusé de son corps avec une telle intensité. Ce qui était certain, c'est que Camille allait payer cher ce qu'elle avait fait. Pauline serait certainement aussi sanctionnée car elle aurait pu tenter de contacter sa maîtresse avant de se retrouver dans une situation impossible, mais ce n'était pas grave. Elle avait fauté et elle savait qu'elle mériterait ce qui lui arriverait.

- Maîtresse, pourquoi ne pas faire subir ce que j'ai subis à Camille ? Elle ne mérite que ça ! Je suis sure que ça la calmerait de se retrouver dans le placard avec le cul et la chatte bien rempli ! D'ailleurs je veux bien vous aider en fixant les pinces sur ses tétons !

L'adolescente se voyait déjà malmener les tétons de sa salope de cousine. Une chose était sure, l'esclave ne voulait plus voir Camille avant longtemps. Elle voulait se venger et que leurs chemins ne se croisent plus. Elle avait déjà été humiliée dans sa jeunesse quand elle avait été déshabillée et que ses vêtements avaient été jetés par la fenêtre, mais là, c'était l'humiliation de trop. Seule Mélinda pouvait la punir en l'enfermant dans un placard ! Pauline décida de narguer sa cousine et se mit à quatre pattes avant de lui tourner le dos. Elle recommença à lécher les bottes à talons de sa maîtresse tut en remuant les fesses pour que sa cousine puisse regarder son anus et son vagin en sachant parfaitement qu'elle ne pourrait plus jamais y toucher. Ne voyant pas la réaction de sa cousine, l'adolescente finit par se lever et posa une des mains de sa maîtresse sur un de ses seins puis lança un regard à Camille.

- Tu ne peux plus me toucher hihi... lança l'adolescente avec un grand sourire.

8
Prélude / Re : Otoko no tame ni
« le: dimanche 15 octobre 2017, 14:17:16 »
Bienvenue mon petit !  :D

9
- T’as toujours été une idiote… Et il faut être une idiote, pour croire cela...

À cette réponse, Pauline compris que c'était bel et bien Camille en face d'elle. S'il n'y avait presque plus de doutes, cette fois elle en était persuadée. C'était bien ce salaud vicieux qui s'était amusé avec elle. Il n'y avait que lui pour la dénigrer de cette façon et avec ce regard plein de méprit. Malgré tout, il fallait avouer que c'était extrêmement perturbant. Avec cette apparence, sa cousine lui ressemblait énormément. Elles n'avaient certes pas la même couleurs d'yeux, ni la même teinte de cheveux, mais pour le reste, elles pourraient presque être des sœurs jumelles. Elle n'avait pas vraiment fait attention au physique de Camille alors qu'elle était nue, même si elle avait remarqué ce fameux grain de beauté près du sein.

- Yeap, c’est moi Camille… En effet, j’ai… Comment expliquer… C’est...
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L'adolescente adorait voir sa cousine en difficulté et ne sachant pas comment s'expliquer facilement. Elle avait l'habitude de voir cette personne pleine d'assurance, alors elle ne put s'empêcher de sourire en la voyant dans cette situation. Elle ne dit rien et attendit tranquillement le début des explications.

- C’était il y a peine quelques semaines, j’ai… J’ai énervé une fée. Oui, je sais ! Tu dois me prendre pour une folle, mais c’était vraiment une fée. Alors, elle… Elle m’a puni en me transformant en demoiselle. Et le plus étrange, c’est que… J’étais inscrite, yeap. J’étais inscrite ici, et j’avais un dortoir. Comme si j’avais toujours été là, que c’était… Normal.

- Une fée ? répéta l'adolescente sans cacher sa surprise.

C'était vraiment une explication complètement grotesque ! Pauline se doutait que Camille n'osait pas donner la réelle explication, mais de là à parler d'une fée. Elle la prenait pour une idiote, et pour cause, elle la pensait vraiment idiote, mais ce n'était pas le cas. Elle ne croyait absolument pas aux fées, monstres et autres vampires. Camille voulait peut-être se foutre d'elle comme dans le passé. Line ne se laisserait pas faire !

- Oh, euh… Merci cousine, pour le soutif’… J’ai du mal avec ça.

- Ne me remercie pas, c'est normal. Je n'allais pas te laisser galérer et que tu ne puisses pas t'expliquer déclara la lycéenne. Mais franchement, tu pouvais me dire la vérité au lieu de te moquer de moi. Une fée... N'importe quoi ! Tu étais mal dans ta peau, c'est ça ? Tu sentais que tu n'étais pas née avec le bon sexe. C'est pour ça que tu étais aussi cruelle. Tu le vivais mal et tu te vengeais sur les autres. Du coup tu as du subir énormément d'opérations pour arriver à ce résultat... Je dois t'avouer que je ne m'attendais pas à ce que tu veuilles autant me ressembler. C'est un petit peu perturbant ! J'espère que du coup tu te sens mieux et que tu seras moins désagréable. Si c'est le cas, tu peux compter sur moi pour t'épauler.

Elle lui donna son numéro de téléphone et finit de ranger les affaires dans son sac. C'était tout de même incroyable que ce petit con plein d'assurance ne se sentait pas bien avec son corps de garçon. Mais cela expliquait beaucoup de choses. Line s'avança et lui embrassa la joue.

- Bon ! Je vais y aller. Je dois encore aller aux toilettes avant d'aller à la cantine. Cette journée de cours m'a épuisée. Mais j'y pense, tu as dis que tu étais au dortoir du bahut, mais j'y suis aussi et je ne t'ai jamais vu. C'est étrange... Faudra me dire avec qui tu partages ta chambre la prochaine fois qu'on se voit. Et hésites pas à me contacter si tu as des questions ou des soucis avec... avec ton corps quoi... Salut !

L'adolescente quitta la pièce et s'éclipsa aux toilettes. Des tonnes de questions se bousculaient dans sa tête. Elle voulait savoir comment les parents de Camille avait prit la nouvelle. Ce n'était certainement pas évident d'avoir un enfant voulant changer de sexe. En tout cas, Line pensa naïvement que sa cousine était maintenant bien plus sympa qu'avant et ferait tout pour l'aider.

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Prélude / Re : Nubia, L'ombre du desert
« le: jeudi 12 octobre 2017, 19:11:24 »
Bienvenue ! :)

11
Prélude / Re : La vie du loup est la mort du mouton
« le: mardi 10 octobre 2017, 12:23:34 »
Graouw ! <3
Cassy, il est à moi ! :P

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Pauline s'en voulait. Sa maîtresse avait rapidement découvert que l'adolescente était un peu gênée de se donner en spectacle devant quelqu'un, et surtout si elle devait servir de toilettes. Elle ne sut pas quoi répondre mais fit confiance à Mélinda. Peut-être apprendrait-elle vraiment à apprécier ça. Et de toute façon, elle n'avait pas le choix, n'étant qu'une esclave. Elle laissa de côté toutes les pensées qui se bousculaient dans son esprit pour mieux savourer l'épaisse verge qui pénétrait son intimité. Elle continua de jouer avec son clitoris jusqu'à ce que sa maîtresse décide de se déshabiller. Line la regarda avec envie et était forcée de constater qu'elle n'avait jamais vu un corps aussi désirable. Depuis qu'elle avait été transformée en esclave, elle avait au moins autant couché avec des femmes que des hommes, et elle n'était même pas certaine d'avoir de préférence, si ce n'est qu'elle était fascinée par le sexe masculin.

L'esclave regarda Mélinda s'allonger sur le dos et résista à l'envie de la dévorer alors qu'un nouvel ordre tomba. Finalement, la vampire avait accepté que Noémie participe, tout en précisant que l'une des deux devrait s'empaler sur son sexe. Pauline en avait extrêmement envie et failli se montrer égoïste, mais elle repensa à sa camarade qui ne faisait que la regarder prendre du plaisir depuis qu'elle était arrivée dans le manoir. Elle voulait s'en faire une amie et c'est pourquoi elle changea d'avis.

— À toi l'honneur Noémie. Je vois à ton regard que tu en meurs d'envie, déclara l'adolescente avec un sourire complice. File donc offrir ta chatte à notre maîtresse bien-aimée.

Noémie lança un regard reconnaissant à Line et retira rapidement son maillot de bain, dévoilant son imposante poitrine ainsi que son intimité. La membre du club de natation devait être habituée à ce genre de choses car elle se mit rapidement à genoux au dessus de la queue de Mélinda qui était dressée à la verticale et qui palpitait alors que l'extrémité était brûlante et humide. Pauline imita sa camarade pour lui faire face et pour que sa maîtresse puisse avoir une vue parfaite sur ses fesses. L'adolescente saisit la verge de la dominatrice et commença à frotter l'extrémité contre les lèvres intimes de Noémie. Cette dernière devait apprécier car elle saisit le visage de Line entre ses mains et l'embrassa langoureusement.

— Je ne te savais pas si entreprenante Noémie, avoua Line en rougissant après avoir repoussé légèrement l'athlète.

Pauline ne lui laissa même pas le temps de répondre, lui lança un sourire coquin, lui saisit les fesses, et la fit s'asseoir sur le pénis de Mélinda, l'empalant profondément. Le regard béat de Noémie fit rire Pauline qui l'embrassa à son tour, lui suçant même sensuellement la langue. L'adolescente alla même caresser le clitoris de sa camarade esclave pendant que cette dernière remuait tendrement les hanches, gardant la queue bien au chaud en elle. C'était réellement le paradis sur Terre. Ce n'était pas la première fois que Pauline devait coucher avec plusieurs partenaires, mais c'était la première fois qu'on voulait lui donner du plaisir. En général, elle n'était qu'un accessoire servant à faire éjaculer tel ou tel noble pour attirer des faveurs à ses maîtres. Elle se rendit compte que les choses avaient bien changées quand Noémie l'enlaça, écrasant sa petite poitrine contre celle bien plus imposante de la nageuse.

— Alors Pauline ? Qu'est ce que ça fait d'être une salope qui s'assume ? questionna Noémie avec un grand sourire.

— Oh... Je me sens merveilleusement bien ! Je sentais comme un vide en moi depuis que j'étais de retour au lycée. Notre maîtresse comble ce vide. Elle et sa magnifique verge, déclara Line en rougissant.


Ce n'était pas évident de parler de ses sentiments à quelqu'un, même si Noémie semblait être la bienveillance réincarnée. La lycéenne décida de faire passer sa gêne en s'attaquant aux seins de la nageuse qu'elle tripota férocement alors que cette dernière se mit presque à sauter sur la queue de leur maîtresse, s'empalant brutalement.

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Pauline en était certaine, c'était son cousin ! Malgré son apparence légèrement différente, elle avait le même nom de famille, le même grain de beauté, et le même regard. Line s'avança vers elle et pointa du doigt le grain de beauté, frôlant le sein de Camille.

- Avoues ! Je sais que c'est toi ! Comment ça se fait ? Tu étais bien un garçon pourtant... Je ne comprends pas, déclara l'adolescente en la regardant d'un air inquisiteur.


Bien évidemment, l'adolescente se souvenait parfaitement de la crasse que lui avait fait son cousin avec ses vêtements. Elle avait été profondément humiliée et elle en gardait encore un souvenir indélébile. Mais malgré tout, elle n'avait pas spécialement envie de se venger. Voir son cousin en fille était déjà comique et une excellente punition. Fier et vicieux comme il était, il n'avait certainement pas voulu cette transformation. Pauline réalisa ensuite qu'elle était nue face à son cousin. Elle se tourna, préférant montrer ses fesses plutôt que son intimité ou que sa poitrine. Elle enfila rapidement l'uniforme scolaire puis se tourna vers son cousin, ou plutôt sa cousine.

- Tu es bien moins intimidant maintenant que tu as ce corps. Et je dois dire que le changement de ta voix a été bénéfique. Tu avais une voix cruelle... On a une heure de libre, alors prends ton temps pour tout m'expliquer. Tu me dois bien ça, n'est ce pas ? lâcha la lycéenne en lui lançant un regard plein de reproche qui voulait dire qu'elle se souvenait de tout.

Elle s'assit sur le banc du vestiaire et regarda sa cousine, attendant qu'elle s'explique. En fonction de ses révélations, Pauline déciderait si elle pardonnait à sa cousine ou si elle lui en voudrait toujours. Elle espérait aussi que cette dernière n'était plus aussi désagréable que dans le passé. Qui sait, Camille et Pauline pourraient très bien s'entendre à présent. L'adolescente avait très peu de camarades avec qui elle s'entendait, alors elle rêvait déjà secrètement qu'elle s'entendrait avec sa nouvelle cousine. Quand elle la vit s'habiller à son tour et avoir du mal à fixer son soutif, elle sourit et alla l'aider. Elle fixa les agrafes et retourna s'asseoir.

- D'après ce que je vois, ta transformation doit être récente, n'est ce pas ? questionna la lycéenne.

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One Shot / Re : Soleil, plage et monstruosité [PV Lyli]
« le: dimanche 08 octobre 2017, 19:33:51 »
— C'est vrai que je suis une excellente nageuse, déclara Delphine tout en souriant. Ne t'en fait pas, j'ai aucune envie de la sauver ou de prévenir quelqu'un. Cette ingrate mérite seulement que je me venge sur son corps de petite salope dépravée !

Delphine cracha même au visage de son ancienne amie avant de plonger dans l'eau. Heureusement pour elle, le monstre ne la gêna absolument pas, la laissant rejoindre la rive sans encombre. Il y avait cependant un soucis. L'adolescente était totalement nue. Elle n'allait pas s'humilier pour trouver des accessoires pour torturer cette conne de Pauline. Elle chercha donc sur la rive car il y avait énormément d'objets échoués qui avaient été apportés ici par les vagues.

Pendant ce temps, Lyli continuait de s'amuser avec sa victime.

— Je ne suis pas une salope qui se fait prendre par tout et n'importe quoi ! On m'a kidnappée pendant mon enfance et j'ai été violée à de multiples reprises. Je ne l'ai jamais souhaité ! cracha Line avec colère.

La sirène ne sembla pas s'en émouvoir et se colla contre son derrière avant de la pénétrer avec un énorme sexe brûlant. L'adolescente gémit autant de plaisir que de douleur. C'était bien trop gros pour son petit anus. Sa ravisseuse se mit à la sodomiser avec entrain, la faisant couiner et sangloter alors que c'était de plus en plus douloureux.

— Je ne veux plus être souillée ! Je ne veux pas que mon ventre ressemble à un ballon ! avoua la lycéenne, les larmes aux yeux.


Cependant rien ne semblait pouvoir arrêter Lyli qui lui défonçait sauvagement le cul et aggrava même la situation en lui assénant plusieurs fessées. C'est à ce moment que Delphine remonta dans la barque. Elle était plutôt essoufflée avec tout ce qu'elle avait parcouru à la nage. Elle avait ramassé de nombreux objets qu'elle avait enroulé dans un vieux filet de pêche. Il y avait une corde, un fil de pêche avec un hameçon au bout et un gros bout de bois deux fois plus large qu'une verge normale. L'adolescente posa le tout au fond de la barque et regarda avec un grand sourire Pauline se faire enculer comme une vulgaire catin.

— Tu as l'air d'aimer ça Line, n'est ce pas ? On dirait que ton cul est fait pour se prendre des bites, déclara sa camarade avant de rire.


Delphine prit un des fils de pêche dépourvu d'hameçon et enroula la base d'un des seins de Line avec. Elle fit un nœud et tira sur les extrémités pour resserrer lentement le fil. Il commença par parfaitement entourer la base du sein puis sembla disparaître dans la peau, même s'il ne faisait que serrer le mamelon. Delphine continua de tirer sur les extrémités jusqu'à ce que le sein commence à prendre une teinte violette, le rendant douloureux et très sensible. Elle laissa le fil en position et pinça impitoyablement le téton, faisant hurler de douleur Pauline.

— AAAAAAAAAAAAH !!! Putain ! Sale pute vicieuse !!! Arrête ça !!! J'ai maaaaaaaaaal !!!

Delphine explosa de rire et se mit à gifler le sein en copiant le rythme des fessées que Lyli envoyait sur le fessier déjà rouge vif de la lycéenne. Il était évident que maintenant, la jeune Pauline regrettait amèrement sa colère envers sa camarade. Mais il était trop tard pour faire machine arrière. Elle était obligée de subir ce que les deux salopes vicieuses voudraient lui faire. Delphine prouva sa sincérité en embrassant langoureusement Lyli puis en allant cracher une nouvelle fois au visage de Line. Elle s'assit ensuite pour la regarder en face à face et admirer l'expression de son visage pendant qu'elle se faisait sodomiser.

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Pauline avait rapidement compris que sa maîtresse n'était pas dupe. Elle avait remarqué sa gêne alors qu'elle lui servait de toilettes. Mais l'adolescente ne voulait surtout pas la décevoir et lui faire croire que certains actes pourraient la répugner. Certes elle avait été surprise, mais elle savait que si sa maîtresse lui avait demandé si elle pouvait lui uriner dans la bouche, l'esclave aurait accepté avec joie. Le fait d'être prise de court pouvait rendre une situation bien plus déplaisante qu'elle ne le serait en réalité.

Mélinda semblait aimer ce que lui faisait son esclave, et ses gémissements ne faisaient que la motiver encore plus. Elle remua doucement le bout de son nez le long de la raie de sa maîtresse puis se mit à embrasser et lécher l'anus de la dominatrice. Elle n'eut pas le temps de faire grand chose de plus car elle fut presque jetée sur le lit. La lycéenne sourit timidement à sa partenaire et écarta immédiatement les jambes, devinant qu'elle allait se faire baiser.

— Hum maîtresse ! Oui... Passez aux choses sérieuses... Prenez moi bien fort ! s'exclama l'adolescente alors que l'imposante verge commençait à remuer dans son intimité brûlante et humide. Je veux sentir votre semence en moi... Je vous aime tellement maîtresse !

Line repensa à l'une des phrases de Mélinda et voulait clarifier les choses. Une esclave ne devait en aucun cas laisser croire à sa maîtresse que le moindre de ses actes pouvait être crade et lui déplaire. Elle avoua donc entre deux gémissements qu'elle trouvait l'urine de sa maîtresse délicieuse et que tout ce qui venait d'elle était forcément un régale. L'adolescente se laissa prendre et osa plaquer ses mains sur la poitrine de Mélinda. Elle la tripota fermement par dessus la robe en cuir tout en posant ses yeux sur le sexe qui la pénétrait profondément.

— C'est tellement bon maîtresse ! J'aimerais que vous me fassiez l'amour jour et nuit, avoua la lycéenne tout en se mordant la lèvre inférieure.


L'adolescente saisit le sein droit de sa maîtresse en plongeant sa main dans le décolleté et le lui tripota de plus en plus passionnément, avant de jouer avec son téton. Elle n'aurait aucun problème à être traitée comme la pire des chiennes par cette femme tant qu'elle se ferait prendre. S'il y avait une chose qui serait compliquée pour Pauline, ça serait de se faire humilier devant une foule de gens ou même devant une seule personne. Quand elle croisa le regard de Noémie, elle se sentit soudainement honteuse. Avaler de l'urine à la source devant elle était tout de même quelque-chose de réellement gênant. Même si elle préféra ne rien dire, elle espéra secrètement que sa maîtresse la prendrait et l'humilierait la plupart du temps en tête à tête. Elle voulait être sa chienne, mais pas une chienne que l'on affiche aux yeux de toutes alors qu'elle avale de la pisse.

Le plaisir que lui procurait sa maîtresse la ramena à la réalité. L'adolescente libéra le sein de sa maîtresse pour stimuler furieusement son clitoris alors qu'elle se faisait baiser sans interruption. Finalement, Line se dit que le meilleur moyen pour ne plus être gênée par le fait que Noémie l'observe était de l'inviter à les rejoindre.

—  Maîtresse ? Ne pensez-vous pas que Noémie peut se joindre à nous ? Ce doit être terriblement frustrant de regarder sans pouvoir participer, déclara l'esclave en se disant qu'au pire, sa maîtresse dirait à Noémie de partir.

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