Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Anne-Lyse de Montfort

Pages: [1] 2 3
1
L'orgasme approchait à grande vitesse, menaçant de tout détruire sur son passage. Sa fierté, ses principes, son âme... Anna savait qu'une fois ce cap franchi, sa vie ne serait plus du tout la même. Prise au piège sous le poids écrasant du monstre, elle se tordit de douleur puis de plaisir, couinant chaque fois qu'il s'enfonçait au plus profond de sa petite chatte souillée.

Éprise de pulsions incontrôlables, la traînée vint écraser sa langue moite contre le torse du démon, goûtant à sa chair comme une vraie camée. Elle embrassait chaque centimètre de sa peau, s'enhardit à s'attarder sur ses tétons pour voir si il y était sensible ou non. Puis, anhélante et perdue dans cette vague de volupté, Anne-Lyse poussa un ultime cri de plaisir lorsque son bourreau s'enfonça comme une brute d'un coup sec. Son foutre brûlant vint tapisser les parois de la belle, lui offrant un orgasme si intense qu'elle en défaillit presque.

- AAAAHNNNN !! ♥♥♥

Son couinement de femelle en chaleur raisonna dans toute la pièce, si bien qu'il était fort probable que tout le monde l'ait entendu. Chacun savait que la redouté Anne-Lyse de Montfort se faisait démonter comme la dernière des putes. Ses oreilles se mirent à bourdonner et, pendant un court instant, la blondasse à talons eut l'impression qu'elle allait s'évanouir.

Pourtant, il n'en fut rien. Tirée de sa torpeur, Anna se retrouva en quelques secondes hors de la baignoire. La langue sortie de force, elle fixait le géant puis son téléphone, comprenant qu'il comptait filmer la scène qui allait suivre. Or, le plaisir s'étant lentement dissipé, la conne réalisa enfin ce qu'il s'apprêtait à faire. Trop tard... Elle voulut dire quelque chose mais le goût âcre de son urine sur sa langue lui arracha un geignement. Il avait osé ! Après tout ce qu'il venait de lui faire subir, le salopard lui pissait littéralement à la gueule.

Humiliée au plus au point, Anne-Lyse ferma les yeux pour fuir l'objectif du téléphone. Les râles du plaisir du démon n'aidaient en rien, d'autant plus qu'ils avaient pour effet d'exciter la donzelle qui, pourtant, n'appréciait d'aucune manière le liquide écœurant qui coulait sur sa langue. La voilà qui était réduite au rang de toilettes. Les secondes parurent interminables mais le colosse se vida enfin, ordonnant à son nouvel l'urinoir d'avaler puis de nettoyer.

Oooh comme elle aurait aimé avoir la force de dire non. Se redresser, lui cracher à la figure, s'en aller sans se retourner... Mais son corps, que dis-je, son esprit n'avait pas la force ni l'envie de se rebeller. C'est donc tout naturellement, sans se faire prier, qu'Anna s'exécuta et vint engloutir le mandrin d'une traite pour le nicher au plus profond de sa gorge obscène. Son beau visage était déformé par le dégoût mais elle continuait sans relâche, lapant chaque centimètre de son manche pour le nettoyer comme il le lui avait demandé. Le doute n'était plus permis. Il venait bel et bien de briser quelque chose en elle.

2
Youpi.

3
Les paroles du démon firent "tic" et elle fronça les sourcils un bref instant, se demandant s'il avait réellement l'intention de la faire crever sur son chibre. Après tout ce qu'il venait de lui faire subir, elle le pensait capable d'une telle atrocité. Pourtant... Aussi bizarre que cela puisse paraître, l'idée ne la dérangeait pas. Bien au contraire. Sans qu'elle ne sache réellement pourquoi, la belle Anna avait envie qu'il mette sa menace à exécution. Qu'il l'étrangle de ses deux mains jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse, pendant qu'il lui écarte la chatte dans le même temps. Le bougre s'amusait à torturer ses tétons sensibles et étant donné leur position, la pauvre ne pouvait que geindre et se trémousser, écrasée sous son poids.

- Ahwn ! ♥  Vous me faites mal...!

Grimaçant de douleur, elle baissa la tête et découvrit avec horreur que ses tétons n'étaient plus roses mais bleus. Elle souffrait et pourtant, son corps et ses seins étaient littéralement en feu. La pathétique Anna tremblait de toute part, incapable de retenir les grosses larmes qui menaçaient de tomber le long de ses joues délicates. Un bref clignement de cils et la voilà qui pleurait à nouveau, agacée mais surtout excitée par cette douleur insupportable. Puis il finit par épargner ses pauvres mamelles meurtries, faisant soupirer la demoiselle qui fut néanmoins surprise par ce baiser brûlant et langoureux. Un peu forcée d'ouvrir la bouche, elle y répondit avec sensualité et plaisir, cherchant sa langue pour la caresser et en savourer le goût.

Un crachat en pleine face et la voilà bouche-bée, les yeux écarquillés alors qu'il était llittéralement en train de lui écarter sa petite chatte. Peu habituée à se prendre une chose de cette taille, elle se tendit et vint plaquer sa petite main contre son torse pour le faire ralentir. La douleur est telle qu'elle se remit à pleurer aussitôt, forçant sur ses pauvres cuisses qu'elle essayait désespérément de serrer.

- A...A...tt...

Affolée, elle n'arrivait pas à articuler tandis qu'il l'écrasait entièrement sous son poids, lui coupant le souffle. La bouche grande ouverte, ses prunelles remontèrent jusqu'aux siennes et il put lire toute l'angoisse et l'incompréhension dans ses yeux. Elle était déjà proche de l'orgasme alors qu'il n'avait fait que s'enfoncer en elle. Il lui fallait faire un effort surhumain pour retarder la jouissance, et encore plus pour ne pas gémir et le supplier de bouger. Elle finit par fermer la bouche pour se mordre la lèvre mais il la rouvrit bien vite, attrapant sa petite langue juste pour cracher dessus comme un gros dégueulasse. Il était clair qu'Anna éprouvait un réel plaisir à se faire maltraiter de la sorte et elle commençait même à se demander si elle n'allait pas tout faire pour devenir sa petite chienne personnelle.

Mais pour l'instant, impossible pour elle de respirer convenablement. Elle resta la bouche grande ouverte, avalant docilement sa salive avant d'être prise d'un haut-le-coeur quand elle sentit ses gros doigts appuyer sur le fond de sa langue. Giflée à répétitions, la blondasse était incapable ne serait-ce même que d'articuler. Elle ne voyait plus rien, balayant sans cesse les larmes qui lui brouillaient la vue. L'idée qu'il veuille lui pisser dessus l'excitait au plus au point et lorsqu'il la lâcha enfin, elle tenta de reprendre son souffle et de lui parler.

- O...oui.... En...Enco...re... ♥ 

Elle prononça ces mots tant bien que mal, le suppliant du regard pour qu'il la fasse jouir. Ses ongles vinrent s'enfoncer dans sa chair, signe qu'elle ne voulait pas juste se faire remplir mais pire que ça... Se faire engrosser comme une vulgaire chienne. A sa plus grande surprise, il lui offrit un baiser des plus délicats pour mieux la gifler ensuite. C'en était trop pour la mortelle qui, en plus d'être à deux doigts d'exploser, voyait son petit ventre se déformer à mesure qu'il s'enfonçait en elle. Puis il ralentit enfin, permettant à Anna de s'exprimer... Et sans qu'elle ne sache pourquoi, elle se sentit obligée de lui demander la permission pour jouir. Sa pauvre petite chatte ne cessait de se resserrer et de palpiter, alors qu'elle ne le quittait pas des yeux, le visage empourpré et la langue légèrement tendue.

- S'il...vous...plait... Laissez-moi jouir.... ♥ ♥

4
One Shot / Re : Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)
« le: mardi 05 septembre 2017, 02:15:55 »
J'inspire brutalement, choquée lorsqu'il m'annonce qu'il a la ferme attention de me féconder. Je n'ai pas envie de tomber enceinte et encore moins à mon âge, avec un homme qui n'est pas l'amour de ma vie. Non... Ce n'est pas du tout ce que j'avais prévu. Mon petit coeur pulse à tout rompre dans ma poitrine mais j'évite de le contredire, préférant lui faire croire que je n'y vois pas d’inconvénients. Pourtant, je n'ai clairement pas envie qu'il me prenne ma virginité et j'entends bien le lui faire comprendre au moment où il essayera de passer à l'acte.

Mes lèvres pulpeuses viennent s'écraser contre les siennes et je l'embrasse maladroitement, peu habituée à ce genre de contact charnel. Je ferme lentement les yeux mais n'ose pas bouger, ni même tenter d'insérer ma langue dans sa bouche. Néanmoins, je le sens mouvoir sous mon corps puis glisser une main dans ma chevelure blonde comme les blés. Cette approche me fait délicieusement frémir mais lorsqu'il m'oblige à rester la bouche ouverte, je ressens comme une légère appréhension.

Comme je le redoutais, sa langue impétueuse vient se glisser contre la mienne, me faisant tressauter. Celle-ci vient flatter ma langue, la caressant et la goûtant pour mieux s'enrouler autour, le tout avec une sensualité déconcertante. Je ne peux m'empêcher de couiner sous ses assauts, médusée par l'agilité dont il fait preuve. C'est une vraie première pour moi et je me demande si tous ces bruits humides et embarrassants sont normaux lors des échanges buccaux.

Sa forte odeur de mâle mêlé à son baiser malsain me font doucement perdre la tête. Mes couinements tendent vers les aigus tandis qu'une douce chaleur commence à irradier mon bas ventre. Toutes ces sensations nouvelles provoquent en moi une vague de frissons incontrôlables et je ne réalise même pas que je ne respire plus depuis une dizaine de secondes. C'est lorsque le colosse se retire que je reprend enfin mon souffle, le rouge aux joues et la langue légèrement pendante.  

- Aaahh... aaaaahh... c'est... on ne m'avait jamais embrassée de cette façon... dis-je d'une voix suave, haletante.

Je le laisse s'approcher de mon cou et frissonne quand il se met à le renifler. Cet acte pourtant anodin m'excite au plus au point et je me mordille la lèvre inférieure, serrant les cuisses pour calmer mes ardeurs. Puis, il me soulève comme si je ne pesais rien et je couine aussitôt, attrapant ses larges épaules pour me maintenir dans cette position embarrassante. Je me demande un bref instant ce qu'il compte faire jusqu'à ce que son regard se pose sur ma petite poitrine qui n'a pas encore terminée sa croissance.

- Qu'est-ce que v-... HAWN ! Noooooonn, pas mes seins...!

Les joues cramoisies, je le regarde faire et pousse un petit cri lorsqu'il s'en prend à l'un de mes mamelons. Je ressens quelques vilains picotements liés à la douleur mais au moment où sa langue vient entourer mon téton, je penche la tête en arrière tout en lâchant un soupir d'extase. Qu'il est plaisant de voir cet inconnu se livrer à des activités si malsaines... Mon corps devient brûlant et j'éprouve même quelques difficultés à respirer convenablement.

- Han ♥ Arrêteeeeez... je vous en priiiie.....!

Je ne suis pas une fille facile... Mais ces mots refusèrent de sortir de ma bouche. Mes doigts délicats se glissent dans ses cheveux alors que je sens quelque chose gonfler et appuyer contre mon intimité. Sur le coup, je ne comprends pas de quoi il s'agit mais au moment où ladite chose se met à pulser contre ma petite culotte, je devine bien vite de quoi il retourne. Une érection. Et pas des moindres. La brusque réalité me sort de mon état et je commence à paniquer, ondulant du bassin comme pour y échapper.

Heureusement, il me repose au sol et j'en déduis qu'il n'a pas l'intention de me dépuceler. Cependant, je le sens forcer sur mes frêles épaules qui ne mettent pas bien longtemps à lâcher sous la pression qu'il exerce. Je m'agenouille donc, fixant avec crainte l'énorme chibre qui se trouve sous mes yeux. Est-ce la taille normale pour un membre ? J'en doute fort. Il me demande de défaire sa ceinture et je bafouille, hésitante.

- Je... je n'ai jamais fait ça....

Alors que je m'attends à un peu de compassion de sa part, sa main puissante vient appuyer sur l'arrière de mon crâne, m'obligeant à écraser mon nez contre sa virilité odorante. La présence de son pantalon ne m'empêche pas de sentir l'odeur de sueur qui s'en dégage et je le sens qui appuie de plus en plus fort, jusqu'à ce que mon visage se retrouve coincé entre sa queue et la paume de sa main.

La peur commence à prendre le dessus sur l'excitation mais je sais que je n'ai pas vraiment le choix. Je décide donc d'obéir, utilisant mes petits doigts pour retirer sa ceinture et la déposer plus loin. Je m'arrête pendant quelques instants et retire sa braguette avant de grimacer, dégoûtée par les effluves particulièrement prononcées qui se dégagent de son caleçon. Putain... C'est quoi ce délire ? L'idée de devoir lécher ça ne m'enchante absolument pas et je prends mon temps, appréhendant au maximum le moment où ma langue viendra s'écraser contre le tissu.

Je ne peux pourtant pas y échapper et mes lèvres viennent se poser contre les bourses bien remplies du démon. J'y dépose une série de baisers humides avant de sortir ma petite langue baveuse pour humidifier la zone. L'odeur est vraiment insupportable mais je m'empresse d'en prendre une en bouche, l'aspirant en creusant les joues tandis que ma langue ne cesse de s'agiter pour satisfaire le fauve. Je lui en veux de m'obliger à subir une telle humiliation et mon regard vient se nicher dans le sien, illuminé par la colère qui m'habite.

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One Shot / Re : Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)
« le: lundi 04 septembre 2017, 22:32:33 »
Je sanglote comme une gamine, à la fois frustrée de ne pas pouvoir me libérer et terrorisée à l'idée de finir le reste de mes jours en Enfer. Soudainement, cette pensée me fait m'arrêter et je reste immobile quelques instants, observant la pièce de nouveau. Suis-je vraiment en Enfer ? Tout est si... Beau et richement décoré. L'endroit est beaucoup trop chic. Mon regard se pose sur la fenêtre derrière puis sur le ciel azuré, dépourvu de nuages. Pas de ciel couleur rouge sang, de nuages de fumé, d'âmes torturées, de monstres difformes... Je ne peux pas être en Enfer. Mais alors où suis-je ?

Je jette un coup d'oeil à mon poignet endoloris lorsque la porte s'ouvre, me faisant tressaillir. Une masse immense se tient dans l'encadrement de la porte et je déglutis, reconnaissant celui qui m'avait poursuivie pour m'empêcher de fuir. Cette fois-ci j'en suis sûre... Ce n'était pas un rêve. Ma fréquence cardiaque augmente brutalement et je tire de nouveau sur la chaîne, affolée face à cet homme qui fait 2 fois ma taille. Il s'approche de moi et mes yeux se remplissent de larmes. Je vais mourir. Il va me tuer, là, tout de suite. Dans un élan de désespoir, je commence à le supplier avant même qu'il n'ait eut le temps de prendre la parole.

- J-...je vous en supplie... ne...ne me tuez pas... Je ne veux pas mourir, p-pas comme ça..... dis-je d'une voix tremblante devant ce gigantesque colosse. Pathétique.

"Tu ne vas pas mourir", me dit-il. Je cligne des yeux à plusieurs reprises, me débarrassant au passage de mes larmes. Il n'a pas l'intention de me tuer ? Les chaînes se mettent à crépiter et je les regarde disparaître avec stupéfaction. Il n'est pas humain. Je masse mon poignet dont la chaire a rosi et pose mes yeux sur l'homme qui se tient face à moi. Sa taille plus qu'impressionnante me laisse sans-voix, et je ne parle pas ce corps musclé qui aurait de quoi faire pâlir Héraclès lui même. J'avale ma salive, perturbée par cette beauté brute et sauvage. Je n'avais encore jamais vu un homme aussi séduisant.

Il s'approche encore et j'ai un mouvement de recul. Ses énormes paluches pourraient me briser la nuque en une fraction de seconde et même si il affirme ne pas me vouloir de mal, je ne peux m'empêcher d'avoir des doutes. Pourtant, il vient me serrer dans ses bras et mon coeur rate un battement. Je plaque mes petites mains sur son torse et tente de le repousser mais il ne bouge pas d'un cm. Etant donné ma force, je ne sais même pas si il réalise que j'essaie de chasser. Il est tellement imposant que j'ai l'impression de n'être qu'une pauvre biche apeurée dans les bras d'un prédateur redoutable. Son corps puissant s'écrase contre le mien et je frissonne lorsque mes seins se lovent contre son torse. La chaleur qu'il dégage me coupe le souffle et j'entrouvre les lèvres pour mieux respirer.

L'un de ses doigts se niche sous mon menton et je relève doucement la tête, plongeant mon regard inquiet dans le sien. Je suis pétrifiée. Il prend la parole et je l'écoute attentivement, rougissant lorsqu'il parle de mon sort. Moi ? L'une de SES femmes ? Cette idée ne me réjouit pas du tout mais en même temps, je la préfère à la mort. Mais qui est-il ? Comment s'appelle-t-il ? Quel âge a-t-il ? Une multitude de questions se bousculent dans ma tête et je lui répond à voix basse.

- M-m-mais vous êtes si grand et... je... je n'ai que 17 ans... je ne peux pas devenir votre... votre femme...

Sa main se glisse sous mon fessier et je pousse un petit cri de stupeur, m'accrochant à ses épaules pour ne pas tomber. Mes pieds quittent le sol et je frémis, posant d'abord mes mains sur son torse avant de glisser mes bras autour de sa nuque pour essayer de maintenir à certain équilibre. Il a tellement de force que j'en ai des vertiges. Il me demande si je suis prête à accepter cette nouvelle vie et je me mordille la lèvre, détournant le regard. Ai-je le choix ? Ma traîtresse de mère m'a vendue sans état d'âme et il est évident que je ne fais pas le poids face à cette montagne de muscles saillants. Je reste silencieuse et écarquille les yeux lorsqu'il me demande de l'embrasser. Mon coeur bat à cent à l'heure et mes frêles épaules se mettent à trembler. J'avale ma salive et halète, paniquée à l'idée de devoir poser mes lèvres contre les siennes.

- Mais je... je n'ai pas...

Incapable de finir ma phrase, je m'empourpre d'avantage. J'avais déjà embrassé des garçons mais jamais sérieusement. Mes aventures amoureuses datent de l'école primaire... Jusqu'à présent, j'ai toujours attendu de tomber sur la bonne personne. Mais désormais, je n'ai plus le choix. Hésitante, je m'approche lentement et m'immobilise lorsque nos lèvres ne se retrouvent plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Mon souffle chaud s'écrase contre sa bouche et je m'approche une dernière fois, venant coller mes lèvres roses et charnues contre les siennes. Mon corps chétif se presse contre le sien et je tremble légèrement, soucieuse de sa réaction.


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One Shot / Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)
« le: lundi 04 septembre 2017, 18:23:08 »
Ruinés. Plus un sous. Pauvres. Misérables. Nous n'avons plus rien. Les jeux d'argent et l'alcool avaient eut raison de mon paternel qui venait de nous condamner, ma mère et moi. Nous avions tout. Le luxe, l'argent, le confort, les amis... Et tout nous avait brutalement été arraché. Au revoir ma superbe chambre de 30m2, au revoir ma Porshe 911 turbo, au revoir mon splendide dressing sur mesure... Même Kronk, mon mastiff tibétain de 80 kgs nous a été enlevé. Que pouvions-nous faire ? Toutes nos économies envolées, nous n'avions eu d'autres choix que celui de quitter notre propriété pour aller s'installer dans un appartement minable.

Dès lors, la vie n'avait plus rien à voir avec celle que nous avions dans le Passé. Mon père se noyait dans l'alcool tandis que ma mère, autrefois si fière et si noble, se retrouvait à travailler dans un bar médiocre en tant que serveuse. Elle qui avait pour habitude de vivre dans le luxe depuis sa naissance ne supportait pas sa nouvelle condition. Nous n'avions aucun moyen d'y remédier... Du moins, c'est ce que je pensais.

Un soir comme les autres, ma mère rentrait du travail après une rude journée. Je constatai avec stupeur que son mal être habituel n'était plus. Elle souriait... Chose extrêmement rare depuis que nous étions sans le sous. Ce soir là, elle vint vers moi, me répétant sans cesse à quel point elle m'aimait, qu'elle était désolée, qu'elle avait fait ce choix pour le bien de la famille... Je ne comprenais pas. Avait-elle démissionné ? Elle me caressait les cheveux, glissant ses doigts frêles et abîmés par le travail dans ma chevelure dorée.

- Tout va bien se passer, ma chérie. Il m'a promis qu'il ne te ferais aucun mal... m'avait-elle susurré d'une voix tremblante.

Choquée, je l'avais vivement repoussée et interrogée pour comprendre ce qu'elle avait fait. Puis, lorsque je vis une masse énorme et menaçante se dresser dans l'ombre, je compris bien vite qu'elle m'avait trahie. Mon cœur s'était emballée et la peur m'avait complètement noué l'estomac. Elle m'avait vendue. Moi, sa propre fille...

- Je... Je ne supportais plus de vivre ainsi... Ton père et moi nous... nous avons besoin d'un nouveau départ... tu comprends... ?

Le visage déformé par le dégoût, je la fixai avec dédain. Comment avait-elle pu me faire ça ? J'avais tenté de fuir. De quitter cette vie misérable, ces parents immondes, cet appartement en ruines.. Mais le démon auquel ils m'avaient vendu m'avait bien vite rattrapée. Je lui appartenais. Corps et âmes. Et j'étais condamnée à passer le reste de ma vie à ses côtés, en Enfer.


**********

J'ouvre lentement les yeux, luttant contre le mal de crâne qui m'assaille. Un soupir de soulagement s’échappe de mes lèvres entrouvertes tandis que je réalise que toute cette histoire n'était qu'un affreux cauchemar. Je ne peux retenir un sourire, ravie de constater que tout va bien. Après tout, ma mère n'aurait jamais pu faire une chose pareille ! Pourtant, je reviens peu à peu à moi et réalise avec effroi que je ne suis pas chez moi. Le lit dans lequel je me trouve est particulièrement moelleux et confortable. Les draps sont doux, épais et dégagent une délicieuse odeur de propre. Mes iris fouillent la pièce du regard et je hoquette de surprise devant la beauté de cette chambre. Cet endroit respire le luxe et pendant un bref instant, j'ai l'impression de me sentir chez moi. Mon vrai chez moi. Mais je ne suis pas chez moi. Et je ne sais même pas où je suis...

Paniquée, je m'empresse de quitter ce lit douillet pour déposer mes petons sur le sol glacé. Le contact de celui-ci me fait frissonner et je peux sentir les poils de mes bras se redresser. J'avance de quelques pas et... m'arrête. Je ne peux plus avancer. Ma tête pivote pour que je puisse regarder derrière moi et je remarque que je suis attachée. Une lourde chaîne en acier relie mon petit poignet au lit à baldaquin. Instinctivement, je tire dessus comme une forcenée et essaie de me libérer, en vain. C'est alors que je commence sincèrement à paniquer tandis que mon corps fragile se met à trembler. Haletante, je souffle bruyamment et continue de lutter contre la chaîne de toutes mes forces, sans y parvenir. Non non non non... NON ! Ce n'était pas un rêve ! Cette connasse m'a vraiment vendue ! La douleur me fait serrer les dents et je m'empresse de battre des cils pour chasser ces larmes qui me brouillent la vue. Je vais mourir... Je vais mourir !

Mes jambes flageolent et je m'écroule sur le sol devant cette évidence. Me voilà prise au piège, attachée dans cet endroit qui m'est inconnu . Je suis épuisée et mes nerfs sont sur le point de lâcher. Pourtant, je m'aide de mes pieds pour prendre appuie sur le lit et continue de tirer, ignorant les larmes qui coulent le long de mes joues et la douleur qui me meurtrit le poignet. Je ne veux pas mourir.

7
Elle s'étouffait progressivement sur cet énorme pieu de chair, faisant souffrir ses pauvres poumons qui n'avaient pas pour habitude de se faire maltraiter ainsi. Pourtant, Anna le suçait avec ardeur, pompant sa queue comme si la soif la tiraillait. En vérité, elle avait réellement soif. Soif de son foutre brûlant et odorant. Ses doigts fuselés se posèrent sur les cuisses du démon, lesquels s'enfoncèrent dans la chair au fur et à mesure qu'elle suffoquait.

La douceur dont il faisait preuve la sidérait, tandis que son visage se déformait, perdu entre douleur et surprise. Pourquoi était-il aussi doux ? Elle voulut reculer pour l'interroger mais sa main puissante nichée à l'arrière de son crâne l'empêchait de bouger. Bientôt, le manque d'air devint insupportable et Anna se mit à couiner, suppliant le démon de la libérer. Ses lèvres pulpeuses cherchaient désespérément de l'air qui ne rentrait pas et tout son corps tremblait, signe qu'elle était sur le point de défaillir. Bientôt, son teint vira au rouge, puis au violet avant que ses yeux ne se révulsent lentement, rendant ses pupilles quasiment invisibles.

Elle était là, pathétique, coincée entre la vie et la mort. Sa petite gorge palpitait violemment, compressant au maximum cette grosse bite qui l'empêchait de respirer. Persuadée qu'elle allait mourir, elle sanglotait silencieusement avant qu'il ne se retire d'un coup, lui laissant enfin l'occasion de respirer. Éberluée, elle écarquilla les yeux et inspira profondément, toussant à s'en arracher les poumons. La sensation de brûlure au niveau de sa poitrine la faisait cruellement souffrir, et la petite soumise manqua de vomir à plusieurs reprises.

- Fuaah... Aaaahhh... J'ai... J'ai cru que j'allai mourir....

Les grosses paluches du colosse saisirent ses épaules pour la renverser sur le côté, surprenant Anna qui ne s'y attendait pas. Dorénavant sous lui, elle frissonna de plaisir alors que son souffle s’accélérait, excité par ce retournement de situation. Elle avait chaud. Excessivement chaud. Ses prunelles se posèrent sur les siennes et elle attendait la suite des événements avec impatience, se mordillant la lèvre inférieure.

- Qu'est-ce que vous... AHN ! ♥ Nooon, pas mes seins !!

Elle se tendit sous lui, tremblant au contact de sa langue sur ses tétons sensibles. Le fait qu'il la bichonne ainsi l'excitait comme une folle et elle glissa ses deux mains dans sa chevelure, appuyant sur l'arrière de son crâne pour l'inciter à sucer plus fort, avant qu'il ne s'adresse à elle.

- Umn ! Ce n'est pas ma faute... Vous... tu...

Elle cligna des yeux, ne sachant plus si elle devait le vouvoyer ou le tutoyer. Mais il vint lui mordiller la lèvre inférieure et avant qu'elle ne puisse faire quoique ce soit, elle sentit ses lèvres délicieuses se plaquer contre les siennes. Son petit coeur se mit à battre à la chamade, menaçant de tout exploser dans sa poitrine. Elle se délectait de ce baiser, jouant fiévreusement avec sa langue et savourant sa salive comme s'il était son amant.

Puis elle mit fin en baiser au bout de quelques secondes, fixant avec intérêt le filet de salive reliant leurs deux lèvres. Son regard s'attarda ensuite sur ce membre qui se pressait contre sa petite chatte, et elle revint vers ses lèvres pour y passer un petit coup de langue.

- Oui, c'est vrai... Je ne suis qu'une sale petite pétasse masochiste. Une pauvre petite traînée qui attend de se faire baiser ♥ S'il vous plait, glissez votre grosse bite bien juteuse dans ma chatte et faites-moi souffrir... ♥ Je veux jouir sur votre queue pendant que vous me faites mal... ♥

Par crainte que cela ne suffise pas, elle quitta sa chevelure et glissa ses petits doigts de part et d'autre de sa chatte pour écarter ses lèvres intimes.

8
Anne-Lyse peinait à se concentrer. Clairement. La position de soumission dans laquelle elle se trouvait l'excitait plus qu'autre chose, et elle n'arrivait pas à le savonner correctement. Ses mains tremblantes l'empêchaient d'agir, elle essayait de le laver avec soin mais son esprit, corrompu, ne songeait plus qu'au vice et à la luxure. La température de son corps ne cessait d'augmenter et plus elle le touchait, plus elle mourrait d'envie de se faire sauter. Elle voulait qu'il la possède, qu'il la prenne, qu'il la saillisse jusqu'à faire d'elle sa petite chienne. La pauvre peinait à respirer et l'envie de s'accoupler devenait insoutenable.

Puis ses iris bleutés se posèrent sur son membre qu'il venait de saisir. Comme hypnotisée, Anna ne parvenait pas à détacher son regard lubrique de ce pieu de chair. Elle déglutit alors et entrouvrit les lèvres pour tenter de réguler sa respiration. Son souffle était court, saccadé, et son coeur pulsait avec une telle force qu'elle en était prise de vertiges. Il était là, juste devant elle... L'objet de son désire. Il lui suffisait d'inhaler pour sentir son odeur, de tendre la main pour en apprécier la texture...

Mais la voix grave de son hôte s'éleva, sortant la petite blonde de sa rêverie. Encore un peu étourdie, elle papillonna des cils et réalisa  bien vite qu'il était en train de se branler devant elle. Il l'avait souillée, violée, publiquement humiliée... Et pourtant, il bandait encore. Comment pouvait-il avoir encore la trique après s'être autant vidé ? Anna se mordit violemment la lèvre inférieure, imaginant sans peine tout ce qu'il pourrait lui faire. Son regard se posa sur son bassin relevé et elle s'approcha lentement de lui, progressant à quatre pattes entre ses jambes, comme une bonne petite soumise.

- O-Oui... Je la veux... Je veux sentir votre grosse bite m'éclater la gorge... Je veux m'étouffer dessus... souffla-t-elle, tandis qu'un filet de bave s'échappait de la commissure de ses lèvres.

Son membre n'était plus qu'à quelques centimètres de sa petite bouche et la demoiselle s’apprêtait à en savourer le goût avant qu'il ne vienne enfoncer ses gros doigts entre ses lèvres. Surexcitée, elle ne put s'empêcher de couiner tandis qu'elle le sentait appuyer sur sa langue comme un sauvage. Son regard d'allumeuse se planta dans le sien et elle manqua de régurgiter à plusieurs reprises, laissant toute sa salive dégouliner sur les doigts du démon. Elle se sentait faible, misérable, impuissante, et la gifle qu'il lui offrit lui arracha un râle de frustration.

- Stop... Stop... Je ne... Je ne tiens plus...!

C'en était trop pour Anna. Incapable de tenir plus longtemps, elle posa ses petites mains fragiles sur celle du démon et la repoussa afin qu'il lâche prise. Le membre entièrement à sa portée, elle posa sa petite bouche tremblante contre son gland, et l'aspira fiévreusement afin qu'il vienne glisser contre sa langue brûlante. La sensation était littéralement exquise et Anna dut forcer sur sa mâchoire pour en avaler un maximum. Elle pouvait sentir sa grosse queue palpiter contre les parois de sa gorges et elle s'efforça de rester immobile pendant de longues secondes afin qu'il puisse, lui aussi, savourer la chose.

Ne pouvant empêcher son réflexe salivaire, elle bavait abondamment sur son membre tandis qu'elle s'étouffait dessus avec un plaisir non dissimulé.

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Prélude / Re : Sobek, le Garde des Sables [Validémonisé]
« le: lundi 05 juin 2017, 03:29:19 »
Bienvenue :/

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A peine eut-elle le temps de défaire quelques boutons que déjà, elle sentit ses grosses paluches forcer sur ses frêles épaules. Après tout ce qu'il lui avait fait subir, il cherchait encore à l'humilier ? Impossible pour elle de résister. Elle finit donc à genoux devant lui, perdue entre colère et désire. Elle le vit faire de même, et ses prunelles se posèrent sur le colosse, lequel la maintenait par les joues comme si elle n'était qu'une vulgaire poupée.

- Je n'en avait pas l'intention. souffla-t-elle

Puis il vint écraser son beau visage contre son membre et elle eut un haut-le-coeur. La forte odeur qui s'en dégageait lui donnait le tournis et elle dut s’agripper à son pantalon pour ne pas flancher. Elle aurait voulu être dégoûtée, écœurée, mais tout son corps réclamait cette grosse queue odorante. Anna le sentit grossir contre ses joues et se surprit à baver contre le tissu de son pantalon.

Elle obéit malgré tout, glissant ses doigts tremblants contre son bouton pour le lui défaire. Elle en fit de même pour la braguette, et saisit son pantalon afin de le faire glisser jusqu'à ses chevilles. L'odeur de son boxer lui montait doucement à la tête, faisant frissonner la blonde qui commençait sincèrement à avoir envie de sexe. Elle suffoquait presque, haletante, les mirettes fixées sur son membre turgescent et puant. Enfin, elle tira lentement sur son boxer, libérant le serpent qui s'y trouvait.

- Je... Je....

Je la veux. Elle voulait sentir sa grosse queue forcer sur les parois de sa gorge. Elle voulait l'avaler entièrement, baver dessus, s'étouffer jusqu'à en tourner de l'oeil... Elle avait envie de violence. Anna entrouvrit doucement les lèvres pour s'emparer de son gland avant qu'il n'appuie sur son crâne pour l'en empêcher, faisant couiner la demoiselle.

Frustrée, elle se mordit furieusement la lèvre et se releva lorsqu'il tira sur sa chevelure. Ses doigts délicats se glissèrent sur sa peau et elle vint écraser sa poitrine arrogante contre son torse, tout en lui retirant sa chemise. Elle adorait sentir ses muscles puissants palpiter sous la pulpe de ses doigts, et sentir son souffle chaud contre sa peau lui donnait envie d'aller plus loin. Elle le déshabillait fiévreusement, retirant totalement le vêtement pour le lancer un peu plus loin.

Et, alors qu'elle était à deux doigts de l'entraîner dans la baignoire, elle le vit faire apparaître une cigarette de nulle part. Ne s’agissait-il pas de la cigarette qu'il lui avait volé précédemment ? Fronçant les sourcils, elle fixait la clope avant d'en inhaler la fumée. Soudainement, toute la douleur  disparut, la laissant sans voix. Sa gorge, ses orifices et même ses poumons ne la faisaient plus souffrir.

- Qu'est-ce que tu es... ?

Un humain ? Certainement pas. Ses gros doigts vinrent enserrer sa gorge et elle écarquilla les yeux, dévisageant le colosse. Il tenait sa vie entre ses mains et pourtant, toute la peur s'était volatilisée... Mais pas la colère. Anna baissa les yeux, fixant avec stupeur ses propres doigts qui s'enserraient autour du chibre face à elle. Sans qu'elle ne sache comment ni pourquoi, ils emprisonnèrent la chair afin de le masturber vigoureusement. Elle n'en croyait pas ses yeux. Hébétée, elle essayait de reprendre le contrôle de son corps, en vain. Elle lutta comme une forcenée jusqu'à ce que ses doigts lâchent leur prise.

- C'est toi qui fais ça, pas vrai ? Murmura-t-elle avant de s'éloigner pour s'emparer de l'éponge ainsi que du savon, troublée.

Elle lui laissa le temps de s'installer dans la baignoire, saisissant le pommeau de douche avant d'allumer le robinet pour régler la température de l'eau. Ainsi fait, Anna se débarrassa de sa serviette pour se glisser dans la baignoire, entre les jambes du démon. Elle l’arrosait doucement d'une main, frottant soigneusement son corps de l'autre jusqu'à ce qu'une fiche couche de mousse se forme sur les poils de son torse. Elle avait beau ne plus avoir mal, son corps était toujours bouillant.

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De toute sa vie, jamais Anne-Lyse n'avait jouit si fort. Son corps tremblait, sa peau suintait, ses trous palpitaient, et elle avait l'impression que tout allait s'effondrer autour d'elle. La pauvre n'avait plus les idées claires et peinait à comprendre ce qui venait de se produire. Elle avait jouit. Elle avait atteint l'orgasme sur ces bites qui, pourtant, l'avaient violée sans vergogne. Elle avait libéré une quantité incroyable de mouille devant tous ces porcs qui se masturbaient devant elle.

Et pourtant, elle en voulait encore. Pour une raison qui lui échappait toujours, ses orifices en voulaient plus. Aussi, lorsque le gars de devant se mit à jouir abondamment dans sa petite chatte, elle ne put retenir un gémissement de plaisir. Dans le fond, Anna essayait encore de lutter. Elle tentait de renier son plaisir, de jouer les impassibles... Mais son corps l'en empêchait.

Ses prunelles se posèrent sur ceux qui quittaient la salle et elle eut un léger sourire. Qu'ils s'en aillent... Ils ne reviendraient plus jamais ici. C'était même la dernière fois qu'ils auraient le luxe de se taper une femme. Oooh ils allaient le regretter. Tous, sans exception. Puis celui de devant s'en alla, laissant le minou d'Anna encore palpitant et dégoulinant de foutre. C'est donc tout naturellement qu'elle voulut se dégager avant de réaliser qu'elle était toujours bloquée. Non... Il n'avait pas jouit. Le colosse n'en avait pas finit avec elle. Son rire impitoyable venait de le lui confirmer. NON ! L'idée de se faire sodomiser de nouveau ne lui plaisait pas du tout et la blonde essayait une nouvelle fois de s'échapper, la peur au ventre et l'estomac noué.

- N...Non... Laissez-moi partir... Je... J-J'ai fais tout ce que vous vouliez...!!

Puis il vint mordiller son oreille et elle comprit qu'il était trop tard. Impuissante, la jeune femme ne pouvait que subir. Il la souleva comme si elle ne pesait rien et la fit redescendre avec une telle violence qu'elle en eut des vertiges. Elle se haïssait d'être aussi faible. La sensation était abominable, d'autant plus qu'elle avait jouit il y'a peu. Elle avait l'impression d'être en plein cauchemar. Ses gros seins ballottaient au rythme des coups de reins et Anne-Lyse avait enfoncé ses ongles au maximum, transperçant la chair du démon jusqu'à ce que du sang en sorte.

Enfin, après de longues minutes de souffrance, elle sentit son foutre brûlant l'inonder de l'intérieur. Elle soupira de soulagement, heureuse d'être enfin libérée de tout ce fardeau. N'ayant plus la force de résister, elle se laissa poser au sol et envisagea de faire quelques pas. Mais c'était sans compter sur ses jambes qui lâchèrent instantanément, la laissant tomber lourdement au sol. Elle ne pouvait plus marcher. Folle de rage, Anne-Lyse jura entre ses dents tout en rampant au sol pour essayer d'échapper à tout ça. Mais bientôt, tout son corps se mit à bouillonner, et elle comprit. Plus elle recevait de sperme, plus son corps en redemandait. Le salaud l'avait bel et bien droguée ! Elle voulait avancer mais ses membres refusaient complètement de lui obéir. Ses trous devenant douloureux, elle n'eut guère d'autre choix que celui de suivre le démon afin qu'il comble ses besoins insatiables.

C'est donc en désespoir de cause qu'Anna le suivit tout du long à quatre pattes, fronçant les sourcils quand il vint la menacer. Quelle pourriture ! Comme si elle avait réellement le choix après toute la drogue qui lui avait fait prendre. Ils finirent par arriver à destination et lorsqu'il la lâcha enfin, la petite chienne voulut se relever pour se diriger d'elle même dans la salle de bain. Nouvel échec. Elle trébucha et s'étala de tout son long sur le tapis. Dépitée, elle saisit un morceau de soie pour le serrer entre ses doigts. Elle sentit le rouge lui monter aux joues et la colère l'envahir. Impossible pour elle de retenir ses larmes.

- Je...te...hais... souffla-t-elle, à bout de nerfs, tout en entortillant le morceau entre ses doigts crispés.

Puis elle se releva -non sans quelques difficultés- pour rejoindre la salle de bain. Le regardant avec aigreur pendant quelques instants, elle finit par s'immiscer dans la pièce pour pouvoir se laver. Son corps la faisait atrocement souffrir mais elle prit soin de le nettoyer correctement, se débarrassant de tous ces fluides immondes qui souillaient sa peau.

Les dix minutes écoulées, elle eut tout juste le temps de se sécher avant que le démon ne vienne la rejoindre. Entre temps, l'aphrodisiaque qu'il lui avait injecté avait eut tout le temps de faire effet. C'est donc avec la plus grande des maladresses qu'elle avança jusqu'à lui pour lui retirer ses vêtements. Anna prenait son temps, comme il le lui avait demandé. Tout son corps était au bord de l'explosion et la belle était obligée d’entrouvrir la bouche pour pouvoir respirer convenablement. Pourtant, son regard emplit de colère et de mépris ne le quittait pas un seul instant.

12
Elle avait beau renier son plaisir, il était évident qu'elle était en train d'apprécier ce qu'il se passait. La douleur était toujours bien présente mais Anna crevait de chaud, pour une raison qui lui échappait. Tout son corps bouillonnait de l'intérieur et ses trous la chatouillaient à un point tel, que cela devenait insupportable.

Elle n'était pas habituée à la sodomie, et encore moins à une queue de cette taille. Il était brutal, sauvage, et elle avait beau remuer contre lui pour essayer de réduire la douleur, c'est à peine si elle arrivait à bouger. Anna ne retenait plus ses larmes désormais, pleurant non pas à cause de la douleur, mais à cause de l'humiliation qu'elle était en train de subir. Le salopard était en train de lui retourner les boyaux et tous les autres semblaient s'en amuser. Pourquoi fallait-il que les hommes parviennent toujours à dominer les femmes ?

Comprenant bien vite que ses insultes l'excitaient plus qu'autre chose, la petite blonde préféra se mordre la lèvre plutôt que de continuer. Pourtant, le démon vint passer sa langue sur son oreille et elle ne put s'empêcher de gémir, l'organe étant chez elle un point particulièrement sensible. Comment ce connard pouvait-il l'exciter à ce point ? Comment pouvait-elle éprouver du plaisir en sentant sa langue poisseuse sur son oreille ? Ses ongles s'enfoncèrent d'avantage dans les bras du démon, comme pour le punir de la traiter ainsi.

Puis les gifles reprirent, toutes plus violentes les unes que les autres. De petites plaques rouges apparaissaient sur sa peau de pêche et la belle se contractait à chaque claque qu'elle se prenait, rendant la pénétration plus difficile. Elle voulait se retenir de pleurer mais les larmes ne cessaient plus, humidifiant ses joues pour descendre jusqu'à son menton. Tout son beau maquillage était littéralement foutu et elle ne ressemblait plus à rien, si ce n'est à une catin qu'on aurait ravagée pendant des heures.

- V-...V-Vous n'êtes qu'une... une bande de salopards... leur dit-elle, d'une voix tremblante et à peine audible.

Préférant fuir tous ces regards enjoués, Anne ferma les yeux. Ils pouvaient la violer, certes, mais ne pouvaient pas l'obliger à garder les yeux bien ouverts. Pourtant, un des vieux débris vint la doigter avec violence et elle ouvrit un oeil malgré elle, fixant ses doigts qui allaient et venaient dans sa petite chatte sans douceur. C'en était trop. Son corps ne tenait plus. Elle se mordait la lèvre comme une petite folle, allant même jusqu'à la faire saigner. Elle ne voulait pas leur donner satisfaction... Elle refusait de se lâcher. Son regard se plongea de nouveau dans celui du démon, comme si elle espérait qu'ils les fassent disparaître en lisant son désarroi. Mais il n'en fit rien, préférant au contraire lui cracher au visage une seconde fois. Folle de rage, elle voulut faire de même mais quelqu'un vint lui saisir la mâchoire. Et puisqu'elle refusait catégoriquement d'ouvrir la bouche, le salaud vint lui pincer le nez pour ne pas lui laisser le choix. Anna résista pendant de longues secondes avant que ses poumons ne la supplient de récupérer un peu d'oxygène. Désabusée, elle ouvrit la bouche pour respirer, frissonnant de dégoût en sentant les doigts salés sur sa langue rose. Puis il cracha dessus de nouveau et elle poussa un râle de frustration. Les parois de son cul se resserrèrent brusquement tandis qu'elle essayait d'échapper à toute cette maltraitance, en vain. On l'obligea à fixer son violeur et elle fit mouvoir sa bouche, préparant la salive qu'elle allait lui cracher à la gueule. Puis, subitement, elle sentit un membre turgescent forcer sur sa petite chatte trempée et Anna fut prise d'un violent spasme qui l'obligea à ravaler sa salive. Elle était folle. Folle de rage.

- N...Noooon !! Es... GRMPH !!!

Mais elle ne put finir sa phrase, coupée par le sale porc qui l'embrassait à pleine bouche. Elle voulut se défaire de son emprise mais il la maintenait fermement à sa place, l'obligeant à subir le délicieux baiser qu'il lui offrait. Lutter devenait maintenant impossible et Anna ne pouvait s'empêcher de couiner comme une petite pute contre les lèvres de celui qui lui violait la bouche. Elle le sentait... Son corps était sur le point d'exploser. Elle était au bord de l'orgasme et ses trous se mirent à palpiter violemment, compressant les chibres qui se trouvaient à l'intérieur. Devinant qu'elle était à deux doigts de jouir, le salaud relâcha ses lèvres, l'obligeant de nouveau à regarder le démon qui lui martelait le cul.

- N-Noon... NON !! Je...Je vais... Je vais JOUIR !

Elle essayait de se retenir au maximum mais sans succès. Elle se cambra malgré elle, poussant un ultime cri avant d'être en proie à un orgasme intense, puissant. Sa chatte libéra une quantité impressionnante de mouille qu'elle expulsa par petits jets successifs, éclaboussant les membres ainsi que le sol.

- HAAAANN !! Noooonn...! Ne regardez paaas !! hurla-t-elle, haletante.

13
Une chose était sûre... L'aphrodisiaque s'était bel et bien emparé de son esprit. La petite poupée gonflable n'arrivait plus à réfléchir, ni même à formuler une phrase complète sans bégayer. Elle pouvait sentir le sperme épais qu'on lui avait offert, dégoulinant le long de ses cuisses moelleuses. Ce sperme répugnant et collant qui avait faillit la faire jouir. Mais elle refusait. Elle refusait de prendre son pied avec cette bande de chiens galeux.

Elle restait silencieuse, haletante, ignorant les gros connards qui frottaient leur queue puante contre son joli visage. Même si tout son corps était au bord de l'extase, elle leur en voulait toujours. Ils allaient payer pour avoir osé la souiller. Ce n'était qu'une question de temps avant que sa fureur ne s'abatte sur eux. La voix du démon la sortit de sa rêverie et elle haussa les sourcils, étonnée de les voir tous reculer. Ses doigts tremblants saisirent la serviette qu'on lui avait tendu précédemment et elle la trempa dans le seau tout en fusillant tous ces salauds du regard. Les voir jubiler ainsi la rendait furieuse et elle essora violemment la serviette pour s'essuyer le visage. Aussitôt fait, elle s'en débarrassa et se cambra en avant, exécutant les ordres du démon. Ses trous la démangeaient comme jamais mais Anna luttait de toutes ses forces pour ne pas céder à ses pulsions incontrôlables.

- Vous ne payez rien pour attendre... Mon père vous f-... Hey !

Elle n'eut pas le temps de finir puisque les deux mains puissantes du colosse la décolèrent du sol. La facilité avec laquelle il l'avait soulevée la laissait sans voix mais la position inconfortable dans laquelle elle se trouvait la faisait gigoter. Ce n'était pas bon. Cette position ne présageait rien de bon. Anna remuait faiblement contre lui, essayant par tous les moyens de se dégager de son étreinte. Mais plus elle forçait pour se défaire, plus il la maintenait bien en place, faisant râler la demoiselle qui bouillonnait de rage. Soudain, son coeur se mit à palpiter. Elle sentit l'énorme gland de son violeur forcer sur son cul et elle se raidit instantanément. Non... Tout mais pas ça. Il ne pouvait PAS faire ça. Elle se débattit comme une forcenée pour tenter de lui échapper mais il raffermit sa prise, allant jusqu'à soulever ses cuisses au maximum pour la maintenir bien en l'air.

- Non non non non... Tout mais pas ça.... Pas ça.... !

Le connard qui l'avait embrassée s'approcha d'elle avec un grand sourire, profitant de sa toute nouvelle position pour cracher directement sur son petit trou. Anna le transperçait de son regard venimeux mais le gras du bide cracha une seconde fois et elle réagit violemment, se débattant avec force.

- Espèce de connard ! Vous allez TOUS LE REGRETTER. JE VOUS DETESTE TOUS.

Son souffle s’accéléra et blondie commençait  sincèrement à paniquer. Elle avait beau le supplier, elle le sentait appuyer de plus en plus et son pauvre corps tremblait de toute part.

- Non... Ne fais pas ça... Je t'en supplie ! P-Pitié !

Mais il était trop tard. Elle sentit sa grosse queue écarter les parois de son cul et la douleur fut tellement intense qu'elle en restait sans voix, la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés. Elle voulait s'en aller. Elle voulait se dégager et s'enfuir pour ne plus jamais revenir. Mais elle était incapable de bouger, forcée de subir ses assauts. Des larmes vinrent lui brouiller la vue tandis qu'elle serrait les dents au maximum pour retenir ses cris. Il ne lui laissa pas le temps de s'habituer à sa queue, préférant à la place la défoncer comme une vulgaire pute. Elle détestait ça. Elle détestait cette bite qui était en train de la ramoner sévèrement.

Et alors qu'elle pensait que rien ne pouvait être pire qu'en cet instant, les enfoirés qui les mataient se mirent à lui cracher à la gueule, allant même jusqu'à la gifler. Elle avait beau pleurer, son regard n'en restait pas moins haineux et elle geignait à chaque gifle qu'elle recevait. Fils de pute... Ces ordures allaient sincèrement le regretter et elle les ferait lentement souffrir jusqu'au dernier. Mais le grand fautif dans cette histoire n'était autre que le démon lui même. Démon qui ne cessait de déformer ses parois anales sans même se soucier de sa douleur. C'était lui qu'elle détestait le plus. Cherchant à fuir les gifles incessantes, elle releva la tête jusqu'à ce que son regard se plante dans celui du colosse. Il pouvait lire dans ses yeux à quel point elle le haïssait. Ses yeux gonflés et humides ne le quittaient pas du regard, exprimant toute sa colère et son mépris pour sa personne. Pas question pour elle de répondre à sa question. Elle se contenta de pousser une sorte de grognement, enfonçant ses ongles sans remord dans la chair de ses bras pour le faire saigner.

- Je vais te tuer... Je te tuerai dès que je sortirai d'ici... Je le jure espèce de pourriture ! parvint-elle à dire, non sans quelques difficultés.

Puis on vint lui gifler la chatte avec une violence extrême et la belle ne put retenir son cri. Son clitoris s'était mit à gonfler et sa petite chatte ne s'arrêtait pas de mouiller, signe que son corps appréciait malgré elle ce traitement surhumain.

14
Elle ne savait plus combien ils étaient ni comment ils s'appelaient. Elle ne savait même plus comment elle en était arrivé là. Pour l'heure, elle ne sentait que cette immonde queue lui ravager la gorge. Elle avait beau râler et fermer la bouche, le salopard qui profitait d'elle prenait un malin plaisir à lui pincer le nez pour l'obliger à l'ouvrir. Que faire, que dire ? Chaque fois qu'elle tentait de se rebeller, le démon derrière elle l'en empêchait. Elle était coincée. Piégée entre tous ces porcs.

On lui ordonna de se soumettre, de mettre plus de coeur à l'ouvrage. Mais Anna était en proie à de terribles vertiges, des hauts-le-coeur incessants qui, en plus de lui couper le souffle, compressait la queue de son bourreau et lui offrait d'avantage de plaisir. Et comme ci cela ne lui suffisait pas, il se mit à lui bourrer la gueule avec une brutalité sans précédent. La pauvre ne pouvait que subir, ouvrant la bouche au maximum dans l'espoir d'inhaler un peu d'oxygène. 

Alors qu'elle tentait par tous les moyens de rester consciente, celui qui se trouvait derrière elle se montrait plus violent encore que celui de devant, ravageant sa petite chatte comme si elle n'était rien d'autre qu'une vulgaire poupée gonflable. Le salaud la baisait si fort qu'il la faisait couiner de plaisir, l'obligeant même à se cambrer pour mieux encaisser ses coups de bassin. Anne-Lyse se sentait défaillir mais, enfin, on lui permit de respirer quelques instants.

- Haa..... Haaaa.... je....

Impossible de finir sa phrase puisqu'on lui éclabousse littéralement le visage. Dégoûtée ? Non. Pas du tout. On lui offrit une serviette mais elle ne bougea pas, allant jusqu'à ouvrir la bouche d'elle même pour réclamer une nouvelle dose de foutre. Le démon, lui, s'amusait à l'humilier d'avantage, faisant tressauter la petite blonde à chaque gifle qu'il lui assénait. Comme pour répondre à sa demande, deux autres hommes vinrent forcer sur sa bouche, lui arrachant la mâchoire pour pouvoir se faufiler à l'intérieur. Elle avait mal et pourtant, elle se mit à leur pomper la queue avidement, comme une bonne petite chienne docile.

Elle étouffait sur leur chibre mais elle dut reculer pour hurler son plaisir au moment où l'autre porc lui inonda l'utérus. Anna tremblait comme une feuille, luttant pour ne pas s'écrouler. Ce petit con avait faillit la faire jouir et la pauvre avait du mal à s'en remettre. Pourtant, le démon lui donna un ordre qu'elle exécuta sans réfléchir.

- Je....je suis une... une sale petite masochiste.... S'il vous plait... ramonez-moi les trous... ♥

15
Ce n'était pas la première fois qu'elle voyait cette bande de chien galeux. Il lui était arrivé de les apercevoir, une ou deux fois, et chaque fois elle s'était empressée de caler la paume de sa main contre ses lèvres pour ne pas vomir. De vieux débris répugnants et gras qu'elle avait prit soin d'éviter jusqu'à présent. Et pourtant, le plus dégueulasse venait de l'embrasser avec une expertise indéniable. Ce fils de pute... Anne-Lyse le haïssait. Elle les haïssait TOUS. Cette bande de clébards et l'autre connard qui l'avait droguée. Car oui, elle était persuadée qu'il l'avait droguée.

Ils la giflèrent, la biflèrent, la faisant pousser des râles de frustration. La pauvre cherchait à s'enfuir par tous les moyens mais le démon exerçait une pression si forte sur ses épaules qu'elle était incapable de bouger. Elle ne pouvait que pleurer et prier pour que son père revienne miraculeusement.

Folle de rage, elle tourna immédiatement la tête pour éviter que l'autre déchet ne la touche avec son gland. Sa jolie peau de pêche ne POUVAIT PAS être souillée. L'odeur qui s'en dégageait la fit grimacer de dégoût et elle fut prise d'un haut-le-coeur. Pourtant, cela n'arrêta pas le client qui, sans se faire prier, força comme un malade sur ses lèvres pour se glisser au fond de sa gorge. C'en était trop pour Anna qui fut prise d'un second haut-le-coeur, compressant au passage la bite du vieux avec sa gorge. Elle en était sûre, cette pourriture ne s'était pas lavée. Un soi disant fâcheux oubli qui n'en était certainement pas un.

Il se permit de glisser une main dans ses cheveux et elle protesta, couinant pour montrer son mécontentement malgré cette queue qui l'étouffe. Comment osait-il la toucher ? L’ordure de première se mit à lui bourrer la gorge avant de lui remplir la bouche de sperme pour se retirer. Profondément écœurée, Anne-Lyse recracha le tout, fixant avec stupéfaction la quantité de sperme qu'il venait de libérer. Un goût immonde qui n'avait strictement rien à voir avec le pré-sperme du démon auquel elle avait pu goûter.

Enfin il s'éloigna, laissant un peu de répit à la petite blondasse qui n'en pouvait plus. Et, alors qu'elle croyait qu'il en avait assez, elle sentit le bout de sa queue se presser contre son petit trou. Horrifiée, elle voulut dire quelque chose mais un autre s'engouffra dans sa gorge, la faisant taire avant même qu'elle ne prononce le moindre mot. "NON ! Je ne l'ai jamais fait par là !" cherchait-elle à dire désespérément. Fort heureusement pour elle, le démon lui en interdit l'accès mais le vieux pourris s'engouffra dans sa chatte, lui arrachant un véritable cri de plaisir.
 
Comment pouvait-elle éprouver autant de plaisir avec cette bande de vauriens ? Elle les détestait et pourtant, son corps se trémoussait de lui même, allant à l'encontre de cette grosse queue qui lui donnait tant de plaisir. Elle voulait leur exploser la cervelle mais sa petite chatte mouillait comme jamais, palpitante et désireuse de recevoir une bonne quantité de foutre. Perdue, la pauvre ne sait plus quoi faire ni comment réagir face à ce traitement.

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