Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Morgan Clayton

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Morgan Clayton

Pages: [1] 2
1
Les contrées du Chaos / Re : Rotworld [Morgan Clayton]
« le: dimanche 21 février 2016, 21:50:46 »
 Alors que j’administre un remède naturel à trois cent pourcent sous le stress cinglant mêlée à l’angoisse de perdre Pamela, je perçoit soudainement des fissures en train de se former sur son visage, puis son cou pour finalement se répandre sur tout son corps, alors qu’elle tente tant bien que mal à faire sortir ses mots de sa bouche. D’abord inquiet, je suis vite pris d’un sursaut d’effroi en assistant, impuissant, à la décomposition accélérer de son corps. Comme si j’assistais au desséchement d’une feuille en accélérée. Si j’aurais était encore humain, mon visage serait aussi blanc qu’une craie. Mais cela ne change rien au fait que je tire quand même une tronche terrifiée complètement figée devant ce spectacle dramatique……

Ou pas !
Un craquement de branche derrière moi m’oblige à me retourner violement, prenant une posture agressif en pensant faire face à un autre monstre. Tirant une tête assez hostile pour bien faire comprendre que ça va chier pour celui ou celle qui voudrait m’attaquer, sachant que j’étais loin d’être de bonne humeur après ce que je viens d’assisté.
A ma plus grande surprise, j’aperçois une Poison Ivy se dégageant d’un buisson, puis prenant appui sur le tronc d’un arbre et qui semble avoir mal à la tête. Je me calme d’un coup avant de me relever, rassuré de la voir en vie. Je suis surtout confus de la voir devant moi alors qu’il n’y a même pas une minute je l’ai vue mourir sous mes yeux. Un clone, hein…… c’était donc ça ! Ca explique mieux l’anomalie que j’avais ressentie plus tôt, mais dont je n’avais pas fait gaffe à cause du stress. Mais comment !!? Fin… comment une hybride puisse être capable d’une prouesse qui est l’apanache des Avatars !? Va avoir qu’elle m’explique ça, car visiblement je ne suis pas au bout de mes surprise avec elle. Ce n’est pas de la deception que j’ai. Juste de la confusion mélanger avec de l’étonnement.
En tout cas, faut bien admettre que même vêtu de ce délicieux corset végétal, Ivy reste splendide à voir. Surtout de près, alors qu’elle s’approche de moi pour me délivré un délicieux baiser que j’accueille chaleureusement. Ô, ça fait plaisir d’entendre qu’elle me trouve adorable à voir quand je suis inquiet pour son sort.
Et c’est bien normal, puisque je l’aime.

-   Vraiment, tu trouves ? Tant mieux alors, héhé ! Enfin bref, tu sais ce qu’était cette chose qui t’as attaqué ?

La réponse de tarde pas. Alors qu’elle se tourne vers le cadavre du monstre pour l’examiner visuellement, elle m’explique que cette chose n’est pas vraiment morte. Qu’elle réapparaitra sous peu et que le seul moyen de l’anéantir est de détruire les corbeaux « transportant » son âme. Un Avatar du rouge !? Si s’en est un, il ne ressemble nullement à celui décrit dans les souvenirs de la Sève. Mhuum…. Ça m’étonnerait beaucoup. A ce que je sache, un Avatar du Rouge n’est pas apte à manipuler les plantes, comme j’ai pu le voir lorsqu’il a empalé le clone d’Ivy. Non….. ce n’est qu’une créature de Terra, rien d’autre.

-   Je vois...... je devrais pouvoir localisé les corbeaux qui l’accompagnait et les éliminé en vol.

Voilà qui ne vas pas plaire du tout à la SPA. Moi-même, j’ai horreur de tuer des animaux innocent, mais j’ai bien peur que c’est la seule solution pour ce débarrassé de cette ennemie sérieux de la Sève.
Au même moment, la rousse plantureuse se met à faire les cents pas devant moi et décide de me révéler certaines choses qu’elle m’avait cachées : sa rencontre avec une Alraune nommée Alraunya, la relation sexuel avec la fille de cette être de la nature, mais également la mort occulte d’Alraunya ainsi que sa succession par sa fille dont cette dernière serait assez puissante pour pouvoir améliorer le génome mutant de Pamela. Cela veut donc dire que comme moi, elle peut ressentir les émanations de la Sève, mais également ses perturbations, bien qu’a une échelle infiniment moindre par rapport à moi. Ivy serait non pas une Hybride, mais bien une Alraune.

Une Alraune qui à ressentie ces mêmes perturbation de la Sève dont l’origine se situe dans cette région boisée où nous nous trouvons. Et en effet, c’est loin d’être agréable à ressentir. Tout ce qui affecte la Sève, m’affecte également. Je ne ressens pas seulement sa souffrance, mais aussi des effets néfastes qu’il a sur mes pouvoirs, comme sur mes capacités physiques. C’est loin d’avoir mis en danger la Sève, puisque je ne ressens pas de signe d’affaiblissement important, mais je garde quand même ça au sérieux. J’ignore quel genre de mal est en train d’attaqué la Sève, mais c’est quelque chose qui risque de s’empirer rapidement. Je ne peux m’empêcher de tiré une légère grimace crispé par ce léger malaise en moi.
Heureusement que Pamela est là pour me soulager moralement par sa seule présence et son doux compliment à mon égard par cette évocation de « preux chevalier » qui me redonne le sourire. Et me donne envie de l’enlacer chaleureusement autour de sa taille d’une main, tandis que l’autre se pose contre sa joue rose et que mon front se pose délicatement contre le sien.

-   Tout chevalier digne de ce nom ferait pareil que moi, mon cœur.  

Un nouveau baiser viens se poser langoureusement sur les lèvres  d’Ivy, avant que je me met en transe devant elle. Usant de mon ubiquité pour retrouver les corbeaux du Leshen et les tuer en vols. Ça peut paraitre dingue à entendre, mais le règne végétal est plus bavard qu’on peut le croire.  Du coup, il ne m’a fallu que de quelques secondes pour repérer mes cibles à travers les arbres et plantes de l’étendue forestière, sous forme de vision omnidirectionnelle impressionnante. Sitôt trouver que je fais croitre rapidement  les branches d’une dizaine d’arbres  que j’anime. Des dizaines de branches fondent brutalement et par surprise sur les piafs qui lachent un derniers croissement après s’être fait empaler. Pour eux, ce fut rapide et sans douleur.
A cet instant, je souris à Ivy. Tout en étant resté statique depuis mes dernières paroles.

-   Et voilà. Les corbeaux du Leshens ne sont plus. Donc théoriquement,  il est censé être mort.

C’est impressionnant ce qu’un avatar de la Sève peut faire. Mais c’est aussi et surtout très effrayant…..

2
Les contrées du Chaos / Re : Rotworld [Morgan Clayton]
« le: dimanche 27 septembre 2015, 21:11:36 »
Qu’il est bon de se fondre et se mouvoir dans la Sève ! Cette sensation plus que divine, de voir à plusieurs endroits à la fois aux travers les plantes de Terra. Ce que je fais actuellement. Passants des heures entières à contempler les rues de Hout du Sultanat des Sables Blanc, de Nexus ainsi que celles de la Sylve par l’intermédiaire d’yeux discrets formés dans les arbres, buissons et plantes faisant office de décoration urbaines. Je suis semblable à une vigie, sauf que je me contente juste de me détendre en tant que spectateur de la vie quotidienne des vies défilant sous mes yeux aux lueurs surnaturelles. Rien d’autres.
J’ai toujours été du genre contemplatif dans ma vie. Boire de l’alcool dans des bars, trainer en boite de nuit et autres activités typiques des gens ordinaires n’a jamais été m’a tasse de thé. C’est très reposant. Et comme cela doit faire au moins trois semaines que je n’ai pas eu à intervenir quelque part sur Terra comme sur Terre pour protéger l’équilibre de la flore d’une menace humaine ou autres, j’en profite pour faire une pause. Encore heureux que je ne dois pas intervenir un peu partout vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jour sur sept, mon mental en aurait pris chère. Mais bien que mes prédécesseurs aient eu la chance de ne pas vivre ça, pas sûr qu’un jour je puisse avoir cette chance. Sur terre il est plus ardue de maintenir l’équilibre du règne végétal sans avoir du sang sur les mains. Je n’aime pas vraiment ça, mais si je n’aurais pas d’autres choix que d’ôter la vie de millions de vies, homme, femmes et enfants, pour préserver l’équilibre naturel de la flore.... ainsi soit t’il. C’est horrible ce que je dis, mais ça devra en être ainsi. Néanmoins, je souhaite de tout cœur que je n’en aurais pas à en arriver là, même si quelques doutes trotté dans mon esprit me laissent l’office du contraire......

C’est fascinant à quel point Terra est un monde vraiment a part entière. J’ai beau arpenté ce monde depuis un bon bout de temps, il y a toujours plus de choses encore inconnue qui n’attendent qu’a être découvert. C’est pour cette raison que je passe plus de temps ici que sur Terre. Voyager encore et toujours quand le temps libre se présente à moi.
Je peux voir de Hout, par le sommet du tronc d’un palmier placé planté sur un rondpoint, une foule de gens circuler dans cette rue marchande. Sur ma gauche, quelques marchands spéculent à voix haute de leurs produits pour récolter l’attention des passants. Au sens opposé, j’observe ces deux gamins de 12 ans se livrant un duel amical avec des épées en bois. La vie semble agréable ici, malgré une surpopulation hallucinante. En revanche, du côté de Nexus ce n’est pas la joie. En effet,  à travers une plante posée sur un balcon d’un bâtiment Nexusien, j’assiste à un une vente aux enchères d’esclaves. Trois grandes cages se tiennent derrière le vendeur, où je peux clairement distinguer de pauvres âmes dont la majorités ne sont pas humains. Je peux clairement distinguer une Haut Elfe, un gobelin, un orc, trois nains et une espèce de Naga. Un des hommes de main du vendeur ouvre la cage pour faire sortir l’Elf menotté et vêtu de haillon pour être conduite sur l’estrade, près du vendeur qui se met rapidement à énumérer tous ce qu’elle peut faire, avant de lui mettre un prix sur sa tête. Aussitôt lancé, ce sont des chiffres balancé à voix haute parmi la clientèle. Cette vue m’écœure tellement que je meure d’envie de les délivrer et foutre le boxon dans les parages pour que les rescapés en profitent pour s’enfuir d’ici le plus vite possible. Mais pas sûr qu’ils y arrivent. J’ai même plus de chance de raccourcir leur vie que de la rallonger. L’endroit est sacrément bien gardé. Je préfère alors de faire disparaitre ma présence de Nexus et me focalisé sur la Sylve, en visualisant avec l’intermédiaire du tronc d’un arbre gigantesque. Une cité de toute beauté construite autour d’un arbre titanesque tellement plus imposant que le plus immense des buildings de la Terre. Une merveille de la nature qui me fascine plus que les deux autres villes. Peut-être est-ce le fait que la Sylve soit une cité en parfaite harmonie avec la nature et qu’elle réunit tous ce que j’aime dans une cité.

Je compte bien faire une visite complète de la Sylve, mais ce ne sera pas pour aujourd’hui. Je ressens une perturbation inquiétante provenir de la Sève. Quelqu’un ou quelque chose est en train d’absorber la vitalité des plantes et les tuer sur le coup. Ca ne peut pas être la cause d’un déboisement sauvage. Non.... c’est tout autre chose de plus inquiétant que ça. Assez pour m’obliger à intervenir sur le champ.
Quittant mon regard sur les villes, je me déplace dans la Sève à une vitesse quasi instantanée. Faisant défiler le plan primaire pendant une demi-seconde pour ensuite visualisé au travers du tronc d’un arbre, une zone forestière où j’aperçois enfin le responsable. Une créature humanoïde élancée avec une tête de cerf décharné, vêtu d’une robe courte et d’un haut encapuchonne en cuir tannée. Et quand je vois la femme qu’il vient d’embrocher avec une branche qui s’avère être Poison Ivy, la femme avec qui j’’ai passé le meilleur moment de ma vie et pour qui j’ai le béguin, autant vous dire que j’ai était bombarder violemment d’une pulsion meurtrière qui me met hors de moi !!
C’est donc sans prévenir que je fais pousser quatre lianes épineuses géantes, comme des lampadaires, qui étreignent férocement la cible tout en lui enfonçant ses épines dans son corps. De la tête aux pieds. Puis d’une rotation et une pression aussi sec que puissante, il se fait déchiqueter en plusieurs mais d’une violence inouïe. Un bruit de chair et d’os, mêlée à une giclée de sang, retentit. C’est alors que je forme mon corps à partir des herbes environnantes, près de Pamela. Je me dépêche de dissoudre le morceau de bois l’ayant empalé, d’un geste de la main, puis m’empresse de la prendre dans mes bras elle, avec toute l’inquiétude et l’angoisse qui me prends en tenaille. 

-   Ô mon dieu, naan ! Bon sang, que c’est t’il passé !?

Mon regard se porte alors sur l’imposante blessure au niveau de son ventre. C’est mauvais ! Vraiment mauvais !!! Elle a perdue beaucoup de sang et il doit y avoir facilement plus d’un organe qui a été endommage ! Fin, je crois. D’autant plus que malgré les possibilités et la puissacne de mes pouvoirs, je suis dans l’incapacité de la guérir de ses blessures. La moindre des choses que je puisse faire se résume seulement à atténuer sa douleur en imbibant sa douleur de curare et de coca avec l’une de mes mains. Au moins, ça aura l’utilité d’aider Ivy à l’aider à supporter davantage sa douleur.

-   Il faut qu’on soigne ta blessure au plus vite. Je devrais pouvoir te conduire à la ville la plus proche à vol d’oiseau en quelque minute seulement.

3
Complements de script / [Société] Le Royaume Virthandien
« le: dimanche 13 septembre 2015, 00:48:50 »


 


« La nature est dans toutes choses, même au plus profonde de notre cœur »

Implanté en plein centre de Viridia et d’une superficie aussi étendue que New york, soit mille deux cent quatorze killommètres² pour une population de quatre millions cinq cent mille habitants. Virthandine, surnommer la Grande Cité Arborescente, a toujours été connue depuis des temps immémoriaux aux yeux de tous les druides de Terra comme une ville Sainte. Un lieu incontournable pour effectuer leur pèlerinage. Un des rares lieux où se tiennent les plus grandes écoles de Magie Vertes au monde, réputé pour la qualité irréprochables et la richesse incommensurables de leurs enseignements multimillénaire qui forment les meilleurs druides et herboristes.

Elle fut fondé il y a de cela cent mille ans par la légendaire archidruidesse elfe sylvain, Selenya. Après que celle-ci fut traquée sur Terra pendant longtemps par des chefs tribaux de l’époque qui mettait tous les moyens à leurs disposition pour lui retirer son secret le plus précieux qu’était une recette permettant la concoction d’un élixir de jouvence qui prolongeait l’espérance de vie de plusieurs siècles. Pas seulement pour cette raison, mais également pour ses consœurs et confrères druides elfiques qui se faisait volés leurs connaissances par des sorciers et magiciens envieux. Et c’est plus précisément dans la mystérieuse Viridia que Selenya ait choisi pour construire sa ville à l’aide de ses pouvoirs très puissants.
Au début ce n’était rien de plus qu’un village, puis au fils des millénaires il s’est agrandie et peuplés par de plus en plus d’elfes sylvains de tout Terra voyant en cette cité une ancre de salut pour mettre fin à leurs exiles forcée par des armées ennemies qui les chassés de leurs territoires pour s’approprier du bois de leurs forêts. Un havre de paix où ils pouvaient pratiquer leurs croyances et leurs cultures étroitement lié à la nature sans être chassés par leurs voisins des villes et villages du monde extérieurs. Pas seulement des elfes sylvains, mais également des druides, amoureux de la nature et Herboristes humains qui se sentait plus proches de la nature que du monde urbain. Ces derniers n’étaient toutefois qu’une petite minorité qui se sont vite intégrés et fondues dans la population Virthandienne aux fils des générations. Actuellement, seul un pourcent de la population est métisse.

En raison de sa situation géographique, Virthandine n’a eu que très peu de guerre venant de l’extérieur. Voir pratiquement aucune. La raison est simple : depuis toujours elle demeure isolée au reste du monde et éloignée de tous conflits qui se déroulent en dehors de Viridia. Mise à part une ambassade du Bosquet Des Haut-elfes, il n’existe aucune autre ambassade d’autres royaumes indépendants et encore moins des trois grandes superpuissances. Et encore, aux yeux des hauts-elfes, Virthandine est un royaume très difficile d’accès et nimbés d’un voile de mystère assez opaques. Car oui, ce royaume elfique est surtout connue pour son côté très mystérieux qui fait tout la force de son charme.

Actuellement, on compte pas moins de quatre millions d’âmes vivant à Virthandine. Dont un milliard répartie dans tous les villages elfiques de Viridia.


« La forêt vous réservera sa vie foisonnante si vous restez immobile et calme »

En dehors de Virthandine, capitale Politique, Culturelle et Religieuse du royaume, il existe également quelques grandes villes elfiques qui méritent d’être mentionner pour leurs importances capitales :

Il y a d’abord Dwynen, qui est considérée comme la capitale militaire du Royaume Virthandien. Plus des trois quarts de ses habitants sont militaires et sont issue de nombreuses générations d’elfes militaire. C’est également la bas que les chevaucheur de loups cuirassé élève leurs louveteau et subissent un entrainement rigoureux dès l’âge de dix ans (équivalent à cinq ans pour les humains). Particulièrement les fils et filles de parents ayant été eux aussi des chevaucheurs, soldats, rangers, officiers supérieur, généraux, ou autres. Une sorte de système de castes en quelque sorte. A la différence près qu’arriver à l’adolescence, les enfants peuvent choisir de continuer formations héréditaire.... ou bien d’opter pour autre chose qui leurs convient le mieux. C’est aussi la-bas que se tiennent les prisons où sont emprisonnés les criminels et hors-la-loi elfes.  
Cette ville est la plus grande, après Virthandine. Et ce situe à mille kilomètre à l’Ouest de Viridia.

Vient ensuite Lianowar qui, elle, est la capitale commerciale. C’est la-bas où se tient le plus de magasins où les gens viennent pour vendre et s’acheter tous les produits et marchandises du royaume. Tous y est : bijoux, mobiliers, médicaments, huiles essentiels, vêtements, armes, armures, animaux de compagnie, cerfs (monture), etc....
C’est dans cette même ville qu’on y trouve les meilleurs artisans Virthandien. Des nobles issus de grandes familles du Bosquets des Hauts Elfes vont jusqu’à faire un long voyage jusqu’ici pour pouvoir se procurer des objets de luxe qui n’a pas d’équivalent nulle part.
On trouve cette ville dans l’Est de Viridia.
 

« La forêt de Viridia est vivante, et les druides sont ses graines »

De ce côté, la grande cité arborescente disposent de ressources phénoménal en matière premières. Principalement du domaine végétal tel que du bois nobles, des produits médicinaux à base de plantes, ainsi que de l’alimentaire de haute qualité et d’ingrédients pour alchimistes. On peut mentionner également les gisements d’émeraude, de jade et l’argent qui sont loin d’être rares. Mais qui reste très loin de rivalisé les ressources majeurs de Virthandine qui fait la force de sa richesse.
Elle ne commerce uniquement qu’avec les commerçants du Bosquets des Hauts-Elfes qui est son unique partenaire commerciale. Et encore.... les échanges commerciaux sont peu fréquents, en raison de sa situation géographique qui ne favorise pas les routes commerciales. Mais également pour des raisons politiques émises par la Reine elle-même, par pur tradition isolationnisme. Ce sont généralement les commerçants natifs de Virthandine qui font le voyage pour le Bosquet Des Hauts-Elfes pour échanger leurs marchandises avec leurs acheteurs. En effet, la quasi-totalité n’est pas motivé à prendre le risque de traverser Viridia avec de fortes chances d’y laisser leur vie. Leur économie de marché repose essentiellement sur de « l’Ordolibéralisme » qui est appliqué scrupuleusement. La majorité des produits vendus sont essentiellement des vêtements elfiques somptueux dont le vert est la couleur la plus répandue après le brun et le jaune. Du mobilier et des objets de décorations artisanaux Virthandien construit subtilement par des forgebois, ainsi que des fruits et légumes. C’est ce qui est principalement vendue et rien de plus.

En même temps, faut savoir qu’au sein de la grande Cité Arborescente, la vie y est pas chère. Si bien que le citoyen lambda peut aisément s’acheter des tenues qui, aux yeux de bourgeois du monde extérieur, serait vue comme celles appartenant à un grand seigneur elfique. La raison est simple : Virthandine possède une quantité impressionnante d’artisans dont les trois quarts ont, grand minimum, plus de deux siècles d’expériences dans leurs métiers. Pour vous faire une bonne idée de l’écart flagrant, le simple artisan lambda rivalise sans problème face à l’artisan humain le plus expérimenté d’Ashnard ou de Nexus. La qualité de leurs travaux est légendaire.
Mais étant donnée que le prix des marchandises grimpe en flèche et atteint des sommes assez élevée, seules les puissants bourgeois du monde extérieur peuvent se les payer. C’est d’ailleurs l’une des grandes raisons qui fait que le marché Virthandien est très peu développé. Encore mieux, il n’y a pratiquement aucun sans abris qui traînent dans les rues. Et quand c’est le cas il n’y reste pas très longtemps, grâce aux soutiens des passants ayant un grand sens de la solidarité. Ancré profondément dans les mœurs de ce peuple.

Evidemment, il ne faut pas rêver trop vite. Le concept de classe social existe quand même ! Ce qui inclue la présence d’une distinction fort présente entre les riches et les pauvres. Mais contrairement à ailleurs, tout le monde ne se plaint pas de sa position. Il est rare de mourir de faim à Virthandine. On y cultive des fruits et légumes en quantités industriels et de façon purement naturelle par permaculture et electroculture avancée. Les récoltes sont d’une taille impressionnantes... pour des nutriments et un gout tout autant.  



« Une graine minuscule peut naître un arbre immense et florissant. Puisse les graines de ton esprit être aussi prolifique »


Dans un premier temps, les elfes Virthandiens disposent certainement de l’une des cultures les plus riches de tous Terra, sans distinction. Déjà par son Art fort présent par l’architecture élégante et raffinées des maisons et bâtiments composant la cité Arborescente. Ses jardins somptueux aux airs fantaisistes où reigne une beauté végétal sans pareil qui ferait palir de jalousie les puissants de ce monde. Mais aussi à travers les tenues des civils où il n’est pas rare de croiser un passant lambda porter une tunique verte et brun aux motifs végétaux riches. Sa beauté reflète parfaitement son amour inconditionnel et multimillénaire pour la nature. Il n‘existe aucune parcelle de structure qui ne soit pas en harmonie avec l’environnement naturel. Aucune déformation, ni trace de déforestation. Rien ! Nombreux sont les arbres ayant été creusé à même dans le bois pour faire office d’habitations et de zone commerciales. Tous reliés par des ponts suspendus plus ou moins long et larges selon l’envergure des arbres. En plus des bâtiments « aux sols » généralement construit en bois, dont seules les fondements sont en pierres. Mais on trouve également quelques «


« Vos paroles n’ont aucun sens pour moi. Le bruissement des feuilles est le seul langage qui ait encore un sens. »

Dans la religion Virthnandienne, il n’y a qu’une seul entité supérieure qui est digne d’être adoré et aimer : la Nature dans toute sa Splendeur. Toutes les merveilles de la natures qui dépasse le commum, que ce soit les animaux, les plantes ou les créatures.... sont respecter et protéger par les druides et les rangers. Nulle temple n’est présent sur Virthandine. La nature elle-même EST le temple où se réunissent les conseils druidiques, avec monolithes ornés de gravures complexes pour seules éléments de repère lors des rassemblements. C’est donc un puissant culte de la Nature qui y règne, où le respect inconditionnel envers la Nature est déjà un acte d’adoration. De nombreuses fêtes religieuses sont commémorées en l’hommage à la nature, aux saisons.
Dans la croyance Druidique, la réincarnation est plus qu’une simple croyance : c’est un fait réel faisant partie du cycle de la vie qui ne se limite pas seulement à la vie matériel. Il est dit que l’on reconnait une âme réincarnée par les signes caractériels d’un ou d’une jeune elfe semblable à celui qu’avait une personne de son vivant.
Enterrer les morts dans la terre afin que leur cadavre fertilise le sol est une pratique funéraire très courante chez les Virthandien. Mais avant l’enterrement, les corps sont soigneusement entretenus pendant une durée minimum d’une semaine. Soit le délai théorique du processus de décorporation de l’âme d’un elfe mort de son corps. Des rangées de fleurs parfumées sont placé autour du défunt, afin que cela facilite le processus en question, en plus de rendre son passage vers l’au-delà moins pénible. Encore une fois, c’est dans la croyance religieuse.


« La nature protège les siens »

Peu de récits mentionnent l’Armée Virthandienne.... et ils sont jugés comme étant que des affabulations, tant elles sont insensées. Mais le pire, c’est que la réalité dépasse la fiction. Sa puissance militaire est telle qu’elle n’est pas loin d’atteindre le statut de superpuissance. Et elle aurait pu l’être depuis des dizaines de milliers d’années avant Nexus et Ashnards si Virthandine avait eu des ambitions de conquêtes tout le long de son histoire. Viridia leurs suffit largement. Et compte tenue de la politique isolationniste qui régit la cité depuis bien longtemps, à quoi bon conquérir des territoires ?

L’effective militaire compte pas moins de cinq cent millions de vies. Tous régit par une discipline que l’on ne trouve nulle part ailleurs sur Terra. Pas même sur Ashnard. Dans chaque formation de combats complexes et rythmé, chaque soldat sait parfaitement chaque mouvement et étapes qu’il doit faire. Dites leurs un ordre et ils l’exécuteront avec une coordination effrayante au point de vous demander s’ils ne sont pas connecter en un esprit de ruche. Parmi le peu de témoignage rapporté par des soldats Ashnardiens, un seul soldats Virthandienpeut aisément se battre contre cinq soldats noirs simultanément à l’aide de leurs boucliers et leurs lances à lame courbé, en plus d’être aussi agile qu’un félin.
Vient ensuite les Chevaucheurs. Des cavaliers elfiques à dos de loups géant cuirassé de deux mètres de haut pour une envergure proportionnelle. Ils sont très mobiles, même dans une forêt dense. Et contrairement aux chevaux : ils mordent férocement. Ça fait un ennemi potentiellement dangereux, en plus du cavalier. Voir même beaucoup plus ! Au début de leurs formations, les monteurs élèves leurs louveteaux qu’ils doivent s’occuper soigneusement tout en forgeant un lien relationnel symbiotique avec leur destrier. Et dont le secret est jalousement gardé.  
Et encore ce n’est rien à côté des Rangers ! Leurs arcs est taillé pour pouvoir tiré plusieurs flèches en même temps sur de très longues, capable de pénétrer les armures de plates. Le tout dans le mille. Leurs arcs est conçu pour. En plus d’être tout aussi redoutable au corps à corps avec deux épées à chaque main. Ce sont également de prodigieux éclaireurs aptes à se mouvoir en silence et se camoufler parfaitement dans un environnement boisé. Dans leurs milieux de prédilections, c’est quasi impossible d’en battre un. A oui.... se sont aussi de redoutables pisteurs qui savent remonter la piste de leurs ennemies, mêmes lorsqu’elles datent de plusieurs semaines dans le mois. Une fois que vous êtes traqué par un Ranger, il n’y a pas beaucoup qui puisse vous sauver. ils sont, pour ainsi dire, l’élite de l’élite.
On peut également mentionner les Magesforces composants l’Armée. Des Druides de guerres capables d’utiliser la végétation comme une arme mortel et faire pousser des lianes épineuses immenses du sol.


« La sève de l’arbre est semblable au sang qui court dans mes veines »

Le régime politique Virthandien est une monarchie absolue de droit Divin. Dirigée par une des Rois et Reines issue d’une longue lignée dynastique remontant jusqu’à la création même de la Cité. Mais également la seule et unique lignée que le Royaume elfique ait connue. On compte qu’une infirme poignée de prédécesseur ayant été de mauvais rois ou Reines, mais pas au point d’avoir entaché profondément la culture Virthandienne. Le restes sont considérer par la population comme ayant été de grands dirigeant charismatible et à la hauteur de leurs réputations.
Chaque Roi et Reine sont toujours conseiller par un Archidruide, qui est également à la tête du conclave druidique. Equivalent au clergé. C’est devant elle que prête serments tous les héritiers et héritières de leurs prédécesseurs de protéger la Nature, ses créations ainsi que son peuple. En effet, l’Archidruide est le chef du pouvoir religieux. Il n’a aucun pouvoir particulièrement important sur le plan politique, mais il est respecté par les dirigeant pour ses conseils avisées ainsi que par la richesse phénoménale de son savoir.
L’Esclavage est formellement interdit au Royaume Virthandien et est passible d’une longue peine de prison. Considérer comme une aberration qui n’a pas lieu d’être, faisant de cette Nation l’une des rares à être antiesclavagistes sur Terra.  

Actuellement, c’est la Reine Alara Cœurdechêne qui est à la tête de Virthandine, ainsi que l’héritière de son père, l’ancien roi, Rhys Coeurdechêne. Elle réside au palais royal, taillé dans l’Arbre-Mère à l’envergure titanesque. Dominant aisément Viridia et dont les cimes géantes surplombes les nuages à basses altitudes, visible à des kilomètres à la ronde. Ce même arbre qui est vue comme un monument national comparable à la tour Eiffel en France. Au côté de son époux, le roi Lymwei, de la Maison Sylvépine. Etroitement protégés par la Garde d’Emeraude. Des vétérans militaires choisis parmi la crème de la crème. Un poste considérer comme un honneur sans équivoque que chaque garde tâche à remplir du mieux possible. Même les redoutables rangers de l’Armée royale les respectent par leurs compétences physiques et martiales impressionnant.

4
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: vendredi 11 septembre 2015, 21:17:34 »
Plus moyen pour moi de m’arrêter ! Je laisse pratiquement libre cours à ma dépravation sexuelle, savourant chaque goutte exquise de luxure trop précieuse pour être gâché. Je n’me retiens même plus de faire des gestes que je n’aurais jamais fait en temps normal. Comme foutre de belles claques aux fesses D’Ivy entre deux malaxages de ses grosses pommes. A vrai dire, je n’en n’ai même plus honte, si bien que je pourrais continuer aussi longtemps que j’en aurais envie. Voilà une excellente raison de plus d’adorer plus que tous mon statut d’Avatar de la Sève. Mais également de passer le meilleur moment de ma vie. Le genre où je ne risquerais pas de revivre pareil expérience. Sauf peut-être au Sein de la Sève, le jour où je serais remplacé par un nouveau candidat pour X ou Y raison. J’ai parfaitement conscience que ce moment fatidique arrivera tôt ou tard et qu’il serait aussi vain que stupide que je résiste à la décision prise par le Parlement des Arbres. Je ne suis rien de plus que leurs instruments. Mais un instrument fier d’être utile pour la Sève. Après tout, qui je suis pour les contester, eux qui ont vécue bien plus longtemps que moi de plusieurs siècles, voir de milliers d’années ?
C’est pourquoi je déchaine toute mes passions dans cette relation charnelle et étroite avec cette beauté plantureuse dont je suis raide dingue d’elle. Tous les deux nous jouissons comme nous n’avons jamais jouie jusqu’ici. Pour moi c’est une évidence, mais pour ma partenaire, j’en sais trop rien. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que je suis persuadé qu’aucun de ses ex-partenaire lui ont fait vivre pareil expérience. Aucun ne devait ressembler à une entité capable d’incarner plusieurs corps modulable à souhait et s’en servir pour réaliser l’impossible.

Toujours avec cette expression d’épanouissement  et de béatitude absolue sur mon visage : tête penché vers le ciel, yeux clos et bouche entrouverte où s’échappe des halètements suaves et sensueux bruyant à répétition. Et c’est dans un long et et vigoureux gémissement sensuel que je décharge des litres impressionnant dans la bouche de Pamela par une énième éjaculation de mon énorme mandrin. Pas seulement venant de mon clone, mais incluant aussi celle des trois autres verges dans le cocon végétal me servant de « deuxième enveloppe corporelle » où un énorme geyser de bulles énormes enveloppe le corps original de l’Empoissoneuse. Remplissant davantage son intimité de semences. Les coups de queues sont toutes aussi violentes que mon clone.

Je ne veux pas que cela s’arrête ! Il est beaucoup trop tôt pour arrêter maintenant.....
Je veux continuer de pétrir son cul délicieux... le palper encore et encore....
Sentir toujours son intérieur chaud et humide tellement confortable.
Aller toujours plus loin..... jusqu’à ce que j’en ai marre......


*********************

une semaine plus tard..........

Whouaouu..... mon Dieu qu’est-ce que c’était bon !! Je ne sais plus depuis combien de temps s’est écoulé, mais je n’ai plus compté le nombre de vois que j’ai assisté a toutes ses successions de nuits et de jours se déroulait pendant que je copulais joyeusement avec Pamela. Nous avons baisé sans relâche pendant des nuits et des jours entiers, sans que la moindre once de fatigue ait diminué notre rythme ne serait-ce qu’un brève instant ! Je ne me suis pas seulement contenté de lui faire l’amour avec les mêmes gestes. Ô que non ! Je lui aie fait gouter les joies de toutes les positions que je connaissais. Allant de l’hélicoptère Moldave à l’Andromaque en passant par la reine fière, la danse du missionnaire, la déesse et bien d’autres postures qui serait trop longues à énumérer sans risquer d’y passé toute la journée.
Cela ne voulait pas dire que je mettais de côté mes devoirs d’Avatar pendant le passage à l’acte. A maintes reprises, j’ai dû intervenir dans certaines régions de Terra où la végétation subissait une pollution agressif. C’était généralement vite réglé ! Je me manifestais uniquement par des hectares de végétations vivantes s’attaquants aux responsables, les faisant fuir. Ce fut quand même assez dur d’agir à plusieurs endroits simultanément tout en continuant à me farcir la fleur d’Ivy. En fait, j’intervenais d’un endroit à un autre, au lieu de plusieurs simultanément. Je faisais en sorte que mon intervention soit courte, mais violente. Juste assez pour faire fuir les ennemies de la Nature pour ensuite penser a rien d’autre qu’à mon instant intime.

Je me tiens allonger à plat dos sur le lotus géant qui nous sert de plateforme. Tandis que Pamela se tiens sur mon torse robuste. Le symbiote végétal qui la recouvrait et auquel je m’étais incarner n’est plus. Elle se tient de nouveau comme elle était lors de notre rencontre : nue. L’une de mes mais caresse délicatement ses fesses, alors que l’autre glisse sur son dos de haut en bas.
Si je me fie à la position du soleil qui commence à se lever sur l’horizon, il doit être dans les huit heures du matin. A peu prêt. Cela ne fait qu’à peine cinq minutes que nous avons arrêté de copuler. Du moins, c’est moi qui aie arrêté, jugeant que c’était assez pour aujourd’hui.

Je me penche en avant vers Ivy avec le sourire de l’amant satisfait de partie de jeu de jambe avec son épouse.

-   Alors ? Comment t’as trouvé notre sauterie, mon trésor ? Ça t’a plu, hein ? Avoue qu’aucun de tes anciens partenaires ne t’as fait autant d’effet avant moi ?

Je détourne mon regard pour fixer le vide sur le côté.....

-   Je vais devoir te laisser. J’ai quelque chose d’important à faire ailleurs. Mais avant que je te laisse, j’ai quelque chose à t’offrir qui devraient te plaire.

Je tends la paume de ma main droite près d’Ivy pour aussitôt fait pousser une plante ressemblant à une version miniature d’un arbre.

-   Ce petit arbre est spécialement conçu pour que je puisse entendre ton appel si tu souhaites que je vienne te rendre visite. Il suffit juste que tu m’appelle par l’intermédiaire de lui, tout en apposant tes mains dessus et je pourrais écouter ton message.

Une fois qu’elle l’ait pris, je lui adresse un dernier baiser langoureux.

Avant que mon corps ne se désagrège a vitesse grands V. ne laissant que des amas de plantes s’éparpillant dans les airs.

5
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: dimanche 06 septembre 2015, 22:09:30 »
Depuis que j’ai transcendé les limites corporelles de Pamela et ceux jusqu’à ce que notre copulation ne cessent, je peux enfin me défouler pleinement sur elle ! A cœur joie ! Avec une toute nouvelle façon de faire l’amour. Et j’avoue que je ne regrette pas ! Ô ça nan ! Je jubile à gorge déployé de sentir mes grosses queues bourriner férocement ma partenaire. Et caresser toutes les parois chaudes et humides de tous ses pores. Mais c’est encore mieux quand, en plus, je ne fais plus qu’un avec Ivy ! Je peux voir toutes les organes de son corps ! Aussi bien de manière normal qu’a l’échelle cellulaire.
Néanmoins, c’est dans les zones sensibles de son intimité que j’excite frénétiquement par des léchouilles de toutes les parois par des myriades de langues végétales, tandis que l’une de mes gros phallus pilonne son vagin et le dilate à un diamètre hallucinant ! Moi-même qui commence à m’habituer des surprises qui ne manque pas sue terra, j’ai été étonné ! Non sérieux..... son orifice vaginale est suffisamment large pour y introduire sans problème un lampadaire ! Une femme de constitution normal aurait eu son intimité plus que déchiré et du sang aurait abondamment coulé, en plus d’en être morte. Est-ce que Pamela en souffre ? C’est même tout le contraire ! Elle aussi jubile et est consumé par une extase surpuissante ! On baise outrageusement, comme des bêtes en chaleurs. Je dirais même que j’ai franchi le seuil du non retour en m’aventurant dans la découverte de ce que je pouvais faire en tant qu’Avatar de la Sève. Je n’sais même pas si je vais m’arrêter un jour... tant je suis entièrement consumé par cette inondation de pulsions sexuels mêlée à ces vagues scélérates de sensations charnels s’enchaîner et me bombarder violemment ! Il n’y a pas à dire, c’est infiniment plus addictive que les drogues les plus dures du monde ! A ce stade, ce n’est même plus une addiction que je subis ! Ca va beaucoup plus loin que ce que je l’aurais crue.

Pendant que Pamela se tient à l’intérieur du cocon végétal, je vais rendre son séjour encore plus agréable en inondant tout l’intérieur d’un liquide rosée jaillir sur toutes les parois, sans interrompre le rythme fougueux de mes va et viens. Qu’est-ce donc que ce liquide ? Rien de bien extraordinaire. Juste de l’eau issue de la rivière où flotte le nénuphar géant. Absorber et traitée par le cocon pour en faire une eau parfumée d’une odeur si fine et tellement délicates qui rappelle la fraise.
Voilà maintenant que Pamela flotte joyeusement à l’intérieur du cocon. Masser par des geysers de bulles générer par les orifices sur les parois du cocon, s’ouvrant et se refermant successivement. En fait, elles simulent mes expirations. Du moins, ce que j’aurais fait si j’étais contraint à devoir respirer. Heureusement pour ma belle partenaire, elle ne risque pas de se noyer. Mon corps symbiotique filtre le liquide de la même manière que les branchies des poissons. Donc, impossible qu’elle puisse se noyer.
Mais alors que je continue de la baiser et me jouir en elle, je sens quelque chose poussé à l’extérieur du cocon. Et quand je tente de voir de l’extérieur en poussant un œil sur la partie extérieur du cocon, c’est pour y voir un clone de Pamela venant tout juste de poussé dans l’herbe. Un peu comme moi quand je construis une enveloppe corporelle pour m’incarner. J’écarquille subitement mon œil. Apparemment, en « améliorant » son corps, j’ai également renforcé ses pouvoirs pythokinétique et peut être même sa structure génétique temporairement pour tisser un lien avec la Sève. J’avoue que ce n’était pas prévu au programme..... mais elle semble s’en foutre royalement. C’est une bonne chose ! 

Faire autant de clones que je souhaite ? Ohoooh.... voilà une idée qui me plait énormément ! Tout souriant devant cette révélation, je fais pousser un corps de la paroi extérieur du cocon, tout en continuant de baisé passionnément la vraie Pamela. Puis je m’approche du clone dont je remarque l’abondante fuite de cyprine éjaculé de sa moule, suintant le long de ses jambes. Mon torse se colle contre sa poitrine, alors qu’un index habile palpe délicatement les lèvres gonflées de son vagin et, lentement, s’y glisse au fond. L’autre main se glisse sous son menton qu’il fait monter, afin de relever la tête d’Ivy vers moi.

-   Pas besoin d’un harem de clones. Cette unique clone suffira largement.

Et hop ! Sans attendre une seconde de plus, mes mains s’agrippent à ses manches pour d’abord la soulever, puis la retourner afin de mettre son intimité au même niveau que ma bouche. Pour me mettre aussitôt « dévorer » sa chatte. Léchant et me délectant allégrement de sa cyprine, tandis qu’elle peut pomper l’énorme dard à l’entrejambe.


6
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: samedi 08 août 2015, 01:12:26 »
Ah ça oui il n'y a vraiment pas a dire..... Pamela est en pleine extase. C'est pas tous les jours que j'arrive a faire jouir une femme a un tel niveau de plaisir à en crever le plafond. Encore moins d'entendre une qui en redemandait toujours. De mon côté aussi je vibre par cette orgasme inhumain qui me ronge toute mon âme. Mon buste massif se bombe et se contracte entre deux coups de reins viriles, malgré l'absence d'organes pulmonaires. Difficile de savoir si c'est moi qui simule inconsciemment, ou bien de probables organes végétaux jouant le rôle de poumons. Mais ce dont je suis sûr c'est que l'orgasme, lui, est plus que vrai. Et bon dieu qu'il est bon !! Autant que le doux nectar onctueux et savoureux du lait mammaire d'Ivy qui jaillit de ses tétons, imbibant mes trompes pourvues de sens gustatives et tactiles. Car oui, je le bois par le biais de mes tentacules buccales en ce moment même ! Étrangement, je ne sens pas une quelconque odeur de transpiration. Au lieu de ça j'ai plutôt droit à une odeur parfumée qui émane de Pamela. C'est agréable.

Après je ne pourrais dire si c'est moi ou bien le lait et l'odeur aromatique, mais je suis soudainement frapper par des pulsions bestiaux qui me font tourner la tête à mesure que je contemple Ivy. Le genre de truc qui me donne une érection de malade, faisant croître le volume de mes chibres de plusieurs centimètres d'envergures par cette envie furieuse de baiser Pamela comme une grosse bête en chaleur. Lui pilonnait son jolie boule et sa chatte toute humide de toutes mes forces..... lui fouttre des claques vigoureus à ses deux grosses pommes que seule ma volonté retient une paluche tremblant à cette idée.

Mais je ne dois pas céder ! Il n'en n'est pas question !!

Car comme je l'ai déjà dit, si je me laisse submerger par mes pulsions sexuelles.... il n'y aura plus de digues mentales pour retenir ma force et à coup sûr, entraîner la mort d'Ivy. Alors je secoue spontanément et vivement ma tête comme pour chasser une nuisance sur mon visage, avant de diminuer sensiblement la force de mes coups de reins un poil trop brusque à mon gout. Et je dis bien "sensiblement" car je n'arrive plus a avoir la volonté de me retenir davantage. C'est pire que de stopper un puissant courant fluvial qu'on aurait libérer depuis seulement cinq minutes ! Et vue que je ne ressens aucune forme d'épuisement ou de fatigue, je ne trouve plus de limite a mon appétit sexuel. Et moi qui pensait que je n'aurais pas a faire ça, voila qu'une claque vient claquer malicieusement les douces fesses de la femme hybride. N'empèche, qu'est-ce que c'est jouissif !

Oh mon dieu..... je ne peux plus me retenir...... Il faut que ça SORTE !!! Plus moyen de me retennir pour celui-ci !!!

- UUUUGGGGGHHHHHHHAAAAAAAAAAHHHH !!!!!

Aaaaah putain..... ça ce sont mes verges mastoches qui vomissent un torrent de liquide spermale gluant et aromathisée d'un vert translucide qui innonde brutalement ses intestins et tout l'intérieur de son vagin. Gonflant rapidement son bas ventre qui s'élève à l'oeil nue et faisant déborder des quantités de spermes aux bords de son intimité par le pillonage de mes énormes manches. Poussant parallèlement un long et puissant soupire de ma bouche entrouverte, les yeux clos de ma tête braqué au ciel. Ça... c'est pas de l’éjaculation d'ados prépubère. Aaah ça non.... c'était limite l'ouverture d'un tuyau d'extincteur !
Me vient alors l'idée d'expérimenter une nouvelle façon de faire l'amour qui me titille l'esprit. Et qui m'excite tellement que je m'empresse de faire immédiatement !

Mais tout d'abord, je dois informer ma douce compagne.

- Accroche toi bien ma belle.....je vais expérimenter une nouvelle façon de te faire l'amour, alors détends toi bien et laisse moi faire. Tu ne vas pas regretter..... mais alors la, loin du compte........

Je retirent mes grosses bites des orifices intimes d'Ivy en la soulevant puis en la reposant par terre. Au même moment, j'écarte les bras de mon autre corps utiliser pour baiser Pamela avant de se déformer en se fondant dans ce mur végétal sortant du lotus géant et enfermant Ivy à l'intérieur dans une espèce de cocon végétal faisant au moins dix mètres de haut pour cinq de larges.
Puis en me focalisant j'anime le sperme végétal qui s'étends et recouvrent toutes les surfaces où il va. Il ne se contente pas seulement d’envelopper tous les muscles et organes internes de Pamela, il suinte et recouvre également toute la surface extérieur. Parallèlement, il se transforme en une membrane végétal verte à la fois lisse, doux et très agréable à toucher qui fait office de seconde peau en se collant fermement à sa peau par moulage moléculaire. S'infiltrant dans ses pores épidermique pour être relié à ses terminaisons nerveuses à celles de la membrane vivante en train de l’envelopper de la tête au pieds. Matière que j'incarne simultanément comme si c'était un clone de moi, ne laissant échapper aucun espace non recouvert par ma matière. Seules les cheveux restent exposés. Plus qu'une matière végétal vivante prenant la forme d'un costume intégrale c'est tout simplement moi, mais en une sorte de "symbiote" en totale symbiose avec son hôte..... et je dois dire que je n'avais jamais ressentie de tel. C'est infiniment mieux que d'être fortement collée contre sa partenaire ! Je me sens carrément comme un poisson dans un aquarium de luxe ! C'est TELLEMENT excitant !!!

Et pendant que je recouvrais Ivy, un liquide rosé jaillie abondamment sous les pieds de ma partenaire et remplie tout l'intérieur. Ma belle rousse ne risque pas de se noyer puisque mon corps se perdent et se complexifient dans ses voies respiratoires, filtrant continuellement l'air dans l'eau rosée pour lui assurer un approvisionnement d'air constant.
La première chose que devrais ressentir mon amour, c'est un sens du toucher amplifier à l'extrême par la densités monstrueuses des terminaisons nerveuses contenue dans chaque centimètres carrés de ma matière symbiotique. Donc, c'est plus qu'une simple conservation de ses sens tactiles que je lui bénéficie, mais ce n'est pas tout ! Je suis allée beaucoup plus loin en diffusant une substance chimique exotique et ultra concentrée dans la totalité de son organisme. Ses propriétés peuvent se résumer en un relâchement absolue de tous ses muscles, couplée à une elastification de ceux-ci ainsi qu'un décuplement exponentielle de son endurance par ses effets anti oxydants contre l'acide lactiques principalement responsable de la fatigue. Ouais, j'avoue m'être intéresser pendant un brève temps dans la biologie afin d'améliorer mes exercices de musculations durant ma période humaine.....
Comme si cela ne suffisait pas, j'en remet une bonne  couche en boostant la résistance musculaire et osseuse d'Ivy à des niveaux plus que surhumain, limite semi-divine, par synthétisation d'une autre substance chimique densifiant les tissus jusqu'à l'échelle céllulaire. Comme ça, je pourrais enfin me lacher complètement sans risquer de lui briser les os.
Pour finir, certains effets combinés de mes subtances sécrété en ma partenaire affecte profondément son cerveau et qui lui offre ce que nulle drogue ne pourrait lui donner : c'est à dire une sensation euphorisante divine.

Au même moment, deux tentacules végétales poussent sur les épaisses parois du cocon pour engloutir les bras de Pamela afin de la maintenir efficacement pendant la prochaine étape qui suit et qui ne tardent par a arriver sous les traits deux protubérances phaliques en dessous-d'elle, plus une autre au dessus. Grosses comme des bites de baleines. Ouais, carrément !! Et comme pour les autres, elles sont également des bosses tout le long de leurs manches.
Sans plus attendre, je lui plantes les deux du dessous dans ces deux orifices qui se dilatent facilement, déformant aisément son bas ventre ainsi que son ventre. Son parler de son bassin. Tandis que l'autre s’engouffre dans la bouche de ma rousse préférée, se perdant dans sa gorge qui elle aussi s'élargie par le diamètre "Enorme & Sec" du manche. Les vas et viens, eux, n'ont pas diminuer en intensité. C'est même tout le contraire, étant donnée que j'ai adapté le corps d'Ivy au sexe surhumain de l'extrême.

Nous voila déjà au dernier niveau de notre partie.

7
Prélude / Re : Intelligence Artifficielle Sylvia
« le: vendredi 31 juillet 2015, 21:16:26 »
(Re)bienvenue a toi, petite aubergine des îles fidji !

8
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: vendredi 31 juillet 2015, 16:33:15 »
Ça doit faire au moins une bonne demi-heure que je baisse comme une bête. Peut-être même une heure entière.... en fait, j’ai littéralement noyé ma notion du temps dans le fond de cette débauche jouissif. Je n’y vois pas d’un mauvais œil, c’est même bon signe que je m’éclate à mort ! Plus précisément cette sensation d’éjaculer qui monte qui monte et qui va jaillir d’un moment à un autre avec perte et fracas.
Pourtant, j’ai cette curieuse obsession de diversifié mon modus opérantus en matière de sexe en faisant appel à mon imagination lubrique. Même Pamela m’encourage à employés les milles possibilités que me confère mon statut d’Avatar en citant deux exemples dont je peux effectuer aisément. En effet elle n’a pas tort.... après tout je ne suis plus vraiment un humain a proprement parlé, nullement limité à la biologie restreinte d’un corps humain. Seul mon esprit reste dans un schéma purement humain. Je peux revêtir n’importe quel forme.... créer des clones.... créer n’importe quel forme de plantes à partir d’une infirme parcelle de matière florale... et bien autres encore dont la liste est beaucoup trop long à énumérer..... pourquoi devrais-je m’en privée !? Ce serait trop stupide, évidement !! Je suis peut être un jeune Avatar encore habitué a agir physiquement comme un être humain, néanmoins rien  ne m’empêche d’expérimenté diverses méthodes d’accouplement sexuel qui me passe par la tête !

Et je compte bien m’y aventurer.... maintenant.
Pamela le désire ? Dans ce cas ce sera avec joie de lui faire plaisir !

-   Mhuuumpff...... avec joie ma fleur bien aimée.....Uughhh.... t’inquiète pas, j’ai.... mhuumpff.... prévue de m’occuper de ton vilain petit cul..... Mmuughhh !!!

Je fais donc poussé un deuxième « baton de maréchale » juste en dessous de son frère, gros comme une bite de cheval et qui se courbe pour venir s’enfoncer au fin fond du cul bombée de Pamela. Me voilà donc avec deux grosses bites qui bourine la belle rousse à l’unissons, le tout dans la joie et la bonne humeur ! Ah ouais en effet..... c’est un tout autre effet que de pénétrer la chatte et le cul d’une partenaire en même temps ! Ca confère deux fois plus de plaisir et me procure deux fois plus d’orgasme ! C’est aussi perturbant que fantastique.
Mais je ne compte pas m’arrêter là. Ô que non, bien au contraire ! Je veux aller plus loin..... que dis-je, beacoup plus loin ! Savoir qu’on peut aussi bien procurer un plaisir toujours plus inhumain à nous comme à notre partenaire de couche me fait tourner la tête à tel point que je souhaite encore repousser les limites sans cesse.

Vient alors l’idée de me faire pousser une paire de protubérance tentaculaire au niveau de mes muscles pectoraux, dont le bout est pourvu de bouche contenant plusieurs centaines de langues triangulaire à l’intérieur ainsi que d’une trompe à leurs centres. Suffisamment fine pour se faufiler à travers les tétons érigés d’Ivy. Elles gobent tout rond ses seins opulent, tandis que les langues lèches sa douce peau et que les trompes s’enfonce dans les nichons pour titiller l’intérieur par des dizaines de longues langues fillaires pas plus fines que des poils de cheveux. Comme tous ceci est une extension de mon corps, je peux ressentir leurs sensations tactiles. J’en avais oublié à quel point sa peau est aussi douces qu’un pétale de rose. Parallèlement, je découvre des sensations que je n’aurais jamais pu croire que cela puisse exister, tel que l’intérieur de la poitrine d’Ivy.

Un baiser fougueux  vient se poser sur les lèvres pulpeuses de ma belle Pamela, avant que je vienne lui mordiller l’oreille droite.

-   T’aimes ça mon cœur, hein ? Tu en raffole ? Aaaah, t’es tellement belle quand tu jouie à gorge déployé. Attends.... j’ai une nouvelle surprise pour toi, humhumhum......

Car oui, la surprise en question ce sont les grosses piques bombées que je fais pousser sur tout le long de mes deux chibres pour accentuer davantage (et pas qu’un peu d’ailleurs) l’orgasme de Pamela par les massages procurés par eux, sous les coups de reins toujours aussi rapide et vigoureux auparavant.
Je suis raide dingue de Pamela.... au point que je souhaite lui offrir une expérience qu’elle n’oubliera jamais et que personne d’autres sur ce monde, comme sur notre monde originelle, ne pourra égaler mon niveau. Encore moins à le surpasser. On ne se connaît pas depuis longtemps, certes, mais je suis persuadé que nous pouvons former un magnifique couple, tous les deux.

Et je compte bien à garantir cette évènement !

9
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: jeudi 30 juillet 2015, 18:46:33 »
 C’est tellement beau de voir une fille jouir devant vous. Encore mieux quand c’est vous qui lui procurez cette sensation de plaisir foudroyant. J’ai toujours aimé faire ça. Alors que dire quand cela fait tellement longtemps que je n’ai plus haleté comme une bête en rute ? Et bien ça ne peut que me faire du bien ! Sentir la douceur humide de l’intimité d’Ivy éteindre mandrin mastoque entre deux coups de reins lent mais vigoureux.... c’est un instant magique. J’en grogne d’extase qui demeure constant, les yeux clos et la tête penché vers le ciel, pendant que ma compagne s’agrippe de plus belle sur moi en m’étreignant par ses jambes au niveau de ma taille.
C’est dingue ce qu’elle peut être si légère. C’est mieux que de portée un nouveau-né, limite je peux aisément la soulevé sur les doigts d’une seule main. Ca justifie amplement que je garde un minimum de self contrôle, même dans les moments d’orgasmes les plus intenses. Sans quoi je risque a coup sûr de lui brisés les os voir pire encore. Certes, sa mutation lui a octroyé une endurance surhumaine, mais est-ce le cas pour sa résistance ? Je ne tiens pas à le savoir au moment d’une mort accidentelle qui me culpabiliserait lourdement et de façon horrible.

Alors je garde une vigilance constante dans ma force physique, rabaissant ma tête pour contempler une Pamela aux anges, jubilant par un long hurlement à l’abri de toute oreille curieuse du monde extérieur. Parallèlement, je continue de lui caresser toutes les parties de son corps : des jambes à ses joues en passant par ses fesses, sa taille et ses seins arrogants qui rebondissent joyeusement sous mes balancements verticaux. Ma bouche, elle, monte d’un cran sec en s’enfonçant davantage vers la gorge de la rousse, mais tachant à ne pas risquer de l’étouffer.

-   Mhuummpffhfh...... Mhuummpffhfh !!!

Mes cris s’étouffent dans la cavité bucale de l’ex-Avatar, tout comme la raison de Pamela par cette ivresse sexuel qui commence peu à peu de lui faire perdre raison. Moi non... du moins pour l’instant. Et comme j’étais très sérieux quand j’ai dit que j’allais la faire monter vers l’infinie et au-delà, j’applique le geste à la parole sans plus tarder en passant à la vitesse supérieur..... parce que là j’ai une envie furieuse et débordante de rehausser le niveau !

Je mets donc plus de hargne dans les coups de reins, embrochant la fille de dame Nature sur plus de la moitié de ma bite longue et épaisse pour que mon gland percute aisément le fond de son vagin. Le tout en caressant les parois érogènes sensibles formant son point G que je trouve facilement. Faut croire que j’ai une très bonne expérience avec la gente féminine, fruits de nombreuses sauteries sur d’anciennes copines. Et je compte bien m’en servir pour lui infliger des orgasmes qui la fassent crier à gorge déployé, la faire suer de tous les pores et la faire pissé de cyprine à en faire remplir une baignoire de roi. Le rythme de mes coups de hanches se fait donc plus rapide, plus effrénée, tout en restant constante ! Ma grosse queue n’est plus qu’un marteau piqueur qui, à la fois, percute et vibre toute l’intimité de la femme plantureuse. Là c’est plus des grognements qui sortent de ma bouche. J’éructe littéralement ! Là on peut dire que j’ai la Gaule ! Je peux sentir ma verge se strier d’épaisses veines longues tout autour et légèrement gonflé à vue d’œil. A ce rythme-là, va y avoir une éjaculation violente qui va se libérer ! Rien avoir avec une éjaculation de vieux précoce......

10
Complements de script / [Terra] Viridia
« le: lundi 20 juillet 2015, 23:42:08 »




Il existe une myriade de forets diversifiés sur Terra. Qui fascine et donne souvent naissances à toutes sortes de contes et légendes. Mais parmie toutes les régions forestières de ce monde, il en existe une forêt qui fait partie des plus grandes et des plus impressionnantes.

Cette forêt…. c’est Viridia.

On pourrait qualifier Viridia de Megaforêt. Dans le sens où elle est tellement étendue qu’aux bouts de plusieurs mois de voyage non-stop à vol d’oiseau vous ne verrais toujours pas le bout de la lisière. Vous savez pourquoi ? Parce que cette forêt primaire, qui est presque aussi vieille que Terra elle-même, fait une superficie qui rivalise avec la Russie. Oui…. ça vous donne un bon aperçu de son étendue hallucinante. Quel âge a-t-elle ? Houlaaa !! Ça c’est une bonne question. A vrai dire : jusqu’ici sur Terra, personne n’a su définir la datation exacte de ce gigantesque poumon écologique continentale. Ce qui est sûr et certain c’est qu’elle doit être aussi vieille que Terra elle-même, car toutes les civilisations disparues mentionnent au moins une fois Viridia dans leurs récits. Toutes sans exceptions ! Néanmoins, si l’on se réfère sur les études scientifiques des chercheurs, alchimistes, mages et autres érudits : la quasi totalités des arbres qu’ils ont étudié ont un âge multimillénaire très avancées.
A elle seule, Viridia occupent les trois quarts de Nexus. Jouant également un rôle de ligne de démarcation frontalière entre Nexus et le Royaume Terranide. Cette foret est la responsable d’un nombre incommensurable de disparitions mystérieuses aux nombreuses vies ayant pénétrés cette région fortement boisées. On compte de tous : civils, équipes d’explorations, des princes marchants Néxusiens. Même des escouades entières de soldats d’élites noires Ashgardiens. On ne comptes plus les histoires sur elles dans toutes les cultures de Terra. A la fois craints et respecter, énormément de gens préfèrent se taper un méga détour plutôt que de franchir les limites de son périmètre ne serait-ce que d’un minimètre. Du moins pas toujours, car il fait office de destination incontournable pour les aventuriers souhaitant se forger une réputation en allant traverser cette foret légendaire pour y dénicher peut être des trésors inestimables. Pour les esclavagistes, des créatures exotiques qui vaudrait une fortune. Mais en règle générale, TOUS finissent par trouver la mort au bout du chemin. Classant ce continent boisé comme fortement déconseillées aux péons de services, aventuriers du dimanche et mages de seconde zone.
Le meilleur moyen de traverser toute la forêt pour aller aux royaumes Térranides sans prendre des risques inutiles ? Oui, une seule : la voie des airs. Mais ATTENTION ! Il est vivement conseillé de survoler la forêt d’au moins un kilomètre au-dessus du sol. Déjà car plus de quatre vingt dix pourcent des hectares boisées atteignent facilement les vingt cinqs mètres de hauts et que leurs cimes empêchent de voir ce qui se passe dans les zones intérieur de Viridia dont ils n’est pas rares qu’elles soient plongées dans la pénombre. Où les rayons solaires peine à percer l’obscurité en se frayer un chemin parmi les branches de cimes. Dissimulant des ermites des bois qui vous aurait choisie comme casse-croute du midi, ou bien autre chose.....



Parce que oui, compte tenue de la superficie demeurés de Viridia, toutes les zones ne se ressemblent pas. Certains endroits sont pourvus de chaines montagneuses, d’autres possèdent une grande concentration de marais, tout comme des zones beaucoup plus accidentés que les autres.

Zones Ouest : C’est le seul et unique endroit où la présence d’arbres et la moins importante. Mais aussi où l’on a très peu de chance de se perdre en chemin.

Zones Est : La bas, c’est tout un réseau complexes de rivières et lacs sinueux qui forme cette cette zone. Les moinds larges sont semblables aux rivières amazoniennes, tandis que les plus espacés ont largement de quoi accueillir un pacquebot de luxe. C'est aussi la zone où se tient deux sites particuliers.

-   Le Bassin d’Ysorion : Ce bassin se situe pile à l’intérieur d’un cratère de volcan éteint depuis deux cent mille ans qui s’étend sur un rayon d’au moins un kilomètre pour une profondeur de cent mètres. Autant vous dire qu’il est visible sur plus de cent kilomètres. Selon une légende druidique, c’est ici qu’a eu lieu une terrible confrontation remontant a la nuit des temps entre le Dragon des forêts légendaire Ysorion et un Grand Ancien dénommé Go’thar. Que le dragon aurait vaincue la créature du chaos, mais pas sans y payer de sa vie. Et que son cadavre aurait engendrait Viridia. D’où le nom donné au bassin.  
 
-   Le lac aux milles dangers : De loin la plus imposante rivière de tout Viridia. Il est tellement immense qu’on croirait une mer intérieur, a part que l’eau est potable. Il est suffisamment espacés pour accueillir deux porte-avions classe Nimiz peuvent aisément naviguer, tous deux séparés par une distance de cent mètres chacun. C’est d’ailleurs cette même rivière qui fait vivre toute les rivières et lac de la forêt continentale. Néanmoins, traverser ce fleuve n’est pas sans dangers. Tous les trois cents mètres se tiennent de puissant maelstroms placé aléatoirement, capable de faire couler des navires de croisières. Ainsi que des chutes de cascadent dont leurs hauteurs varies de trente mètres pour les petite et quatre-vingt-dix mètres pour les plus grandes.

Zones Nord : Cette partie est majoritairement constitué de collines, dont les plus grandes font plus de cinq cents mètres de haut. Certains endroits recèlent des grottes renfermant des galeries souterraines sillonnant anarchiquement les profondeurs.

Zones Sud : Il n’existe aucune endroit dans cette zone ou vous ne trouverais pas de marais. Ici ce sont les marécages, tourbières et les étangs qui règnent en maître. Une forte odeur de méthane y plane, sans parler de la forte concentration de maladies qui pullulent.

Zones Centre : Si la majorité des arbres de la Megaforêt sont tous aussi imposants que de vieux séquoias, c’est dans la partie centre que se situe les plus grands arbres dont il n’est pas rare d’en croiser qui font plus de cent mètres de haut pour un diamètre proportionnelle. Les trois quarts de la zone sont plongés dans la pénombre nuit et jours par l’étendues des cimes. C’est aussi là où la végétation est la plus dense.  



Du fait des milliers de kilomètres d’étendues forestières, Viridia dispose d’un nombre de rivières difficilement énumérable qui se croisent, en plus d’être extrêmement profonds et dont certains peuvent atteindre des profondeurs de cinq cents mètres débouchant dans des grottes sous-marins comportant des réseaux servant de refuge à des créatures peu recommandables. D’une flore et d’une faune d’une diversité difficilement égalable. Pour ne pas dire inégalable ! Tellement diversifié au point qu’il existe de nombreuse espèces végétales comme animales exotiques encore non découvertes, du fait que personne n’a pu jusqu’ici atteint certaines zones centralisées de la forêt dont le climat de Viridia se rapproche beaucoup du climat méditerranéens : un climat chaud et humide pour des hivers très doux. Ce qui, en soit, est tout à fait logique. Ou du moins, que la personne ait emporté sa découverte dans la tombe. Et d’ailleurs c’est tant mieux, parce qu’en réalité, Viridia est une réserve phénoménale de ressources naturelles précieuse et qui ferait le bonheur de tous les herboristes, alchimistes, mages, chercheurs et de bien d’exploitants !

•   Du bois noble d’une qualité rarissime qu’on ne trouve nulle part ailleurs, aux bois aussi solide que du béton armée.
•   Des plantes médicinales capables de guérir de tous et pouvant même accroitre la longévité d’un être vivant de façon exponentielles
•   Des fruits et légumes sauvages qui poussent en abondance.
•   Une infinité ingrédients pour alchimistes et herboristes de tous bords, difficilement énumérable.  
•   des fruits sauvages à la saveur digne d’être servies dans des plats argentés de grands empereurs.
•   des réserves de manas quasi inépuisables qui se sont accumulées au fils des millénaires et qui continuent de croitre avec le temps.

Bref, cette foret peut aisément devenir la ruée vers l’or vert et le saurait devenue si cette nature vierge n’était pas habitée par d’innombrables prédateurs et créatures dangereuse et imposantes. D’ailleurs en parlant de créatures justement, c’est pas ce qu’il manque ! Viridia est le havre de paix de biens des créatures. Pas seulement d’animaux classiques tels que les loups, les ours, les oiseaux, les rongeurs et même des tigres. Non, on peut aussi noter des espèces exotiques, mystiques et légendaires qui sont TOUTES né dans cette forêts et y vivent depuis toujours. Rares sont les bêtes qui ne sont pas originaire de cette foret. Selon les récits transmis aux apprentis druides, aucune erreurs de la nature ou abominations d’apprentis sorciers ou mages ne ressort vivant de Viridia, considérer comme des virus impératif à anéantir.

Créatures exotiques.

→ Les Jerkals : Localisé exclusivement sur la zone Sud et nulle part ailleurs, ces créatures humanoïdes végétal pourvues de sept yeux sont hermaphrodites. Leur mode de reproduction s’effectue uniquement par voie orale. Elles se tapissent aux fonds des marais et étangs pour n’en sortir soit lors des parades nuptiales, ou bien pour chasser des insectes et animales qui trainent dans les environs. En effet, elles sont Amphibiennes et leur régime alimentaire et semblable aux plantes carnivores. Elles sont toutefois une préférence pour les humains. Elles sont très dures à dénicher à cause de leur camouflage naturelle, elles vont aussi vite qu’Hussein Bolt et sont pourvues de griffes sécrétant un poison paralysant.

→ Les Galila’hi : L’évolution a pourvues de ces cerfs des attributs et capacités de nature végétal. Comme pour les plantes, ils peuvent se nourrir par photosynthèse et les feuilles sur sa queue comme sur son dos et son cou changent de couleur pour s’accommoder à la saison. Mais ayant également une nature d’animaux herbivores, ils peuvent également brouter l’herbe, mais ils ne le font uniquement quand il fait nuit ou si le soleil n’est pas assez haut dans le ciel. Ils rodent souvent dans la périphérie de Viridia.

→ Les Torgrass : D’une envergure frisant les quatres mètres pour un poids avoisinant les deux, ces bestiaux quadrupèdes aux pattes puissantes peuvent se mouvoir jusqu’à 50 km/h quand elle poursuit une bestiole ou un humain trop curieux qui aurait foulé son territoire. Car oui, bien qu’il ne soit pas un carnivore, un Torgrass se montre extrêmement territorial. En particulier les mâles. Ça l’est encore plus quand c’est la parade nuptiale. Leurs carapaces est plus ou moins recouvertes d’herbes et des souches d’arbres, ainsi que des branches sur certaines parties de son corps. Comme pour les Galila’hi, ils se nourrissent d’eau, de soleil et de dioxyde de carbone. On les trouve un peu partout sur Viridia.

→ Les Gormitis : Ces « animaux-végétaux » ressemblant vaguement à des rhinocéros ont une mousse de verdure qui pousse sur presque tout leur corps massive. Aux lieux de cornes, ils ont deux grosses branches sur leurs museaux dont les fleurs qui poussent dessus sont très réceptives à la lumière du soleil. Bien plus que le reste de leur masse corporelle. Sur leur dos se tient une bosse, semblable à une souche d’arbre, laissant échapper de la fumée bleu dont l’odeur repousse efficacement les prédateurs. Y compris les superprédateurs. On en trouve en grand nombre à l’Ouest.

→ Les Alraunes : Les Alraunes de Viridia sont de nature très curieuse, donc ne vous étonnez pas si elles vous scrutent comme si vous étiez un extraterrestre. Loin d’être méchante, elles se contentent de fuir le plus vite possible quand elles se font attaquer ou poursuivre par des personnes qui ne leurs veulent pas spécialement du bien.

→ Les Hibosques : Originaire de la jungle d’Ingleriat, les hibosques est l’un des rares animaux à avoir immigré sur Viridia. Le peu de personnes étant revenus vivant de la foret ont mentionné ces oiseaux comme leurs sauveurs. Ils repoussent les prédateurs par la lumière blanche qui se diffusent par ses plumes en plus d’offrir un sentiment de paix, de sécurité et de joie pendant la nuit.

Les créatures Mystiques.

→ les Dryades : Comme pour les Dryades de la Jungle d’Ingleria elles seront votre plus grand secours salvateur pour vous guidé vers le chemin le plus proche vers sortie de la foret, en toute sécurité. A la différence près qu’elles restent sur leurs gardent face à un inconnue et qu’elles n’hésiteront pas à vous tuer sur le-champ si elles vous suspect d’être une personne dangereuse ou qui menace leurs environnement. Et réfléchissait à deux fois avant de vouloir les manipuler par la tromperies. Elles sont loin d’être idiotes et si l’une d’entre elles vous grillent.... je donne pas cher de votre peau. Que vous font t’elle ? Et bien elles vous lance un sort qui vous transmutent en arbre. D’ailleurs il ne sera pas rare que vous croisiez des arbres aux troncs présentant une silhouette vaguement humaine. C’est la cause majeure des nombreuses disparitions de personnes pendant des millénaires. Les Dryades de Viridia sont nomades et leur seule habitat provisoire sont les arbres dont elles peuvent s’y fondrent.

→ Les Spriggans : Faisant partie des créatures les plus agressifs de la forêt sans fin, ils attaquent tout êtres qui ne sont pas de nature végétale, ou en partie. Ils peuvent influencer les animaux aux alentours pour leurs ordonner de vous attaquer et de vous tuer. L’extrême partie Est de Viridia concentre un fort effectif de spriggans. Leurs cœur possède des propriétés puissantes qui peut être exploité par des alchimistes.

→ Les fées : En raison de leurs petites tailles leur permettant de se cacher aisément quasi n’importe où et par l’étendue de la forêt continentale les protégeant du monde extérieur, les fées Viridiennes sont difficilement trouvables. Et si vous aviez la chance d’en croiser une, ce sera la dernière chose dont vous auriez peur car elles sont pacifiques. Le fait d’avoir vécues dans leurs villages lilliputiens, suspendues dans les cimes des arbres pendant des millénaires, ne leur a pas donné une raison de s’armée et de se préparer à une éventuelle guerre. Pour se défendre elles usent plutôt des artifices couplés à des sorts d’illusion pour effrayer leurs potentielles menaces et la faire fuir.

→ Les Sylvains : Ce sont des créatures humanoïdes qui, malgré la beauté délicates de leurs visages comme de leurs regards, sont en réalité semi-intelligente. Tous sont d’une naïveté des plus simplistes dont la majeur partie de leur temps se consacre dans la contemplation béate de la nature. C’est donc un jeu d’enfant pour un braconnier d’en duper un pour mieux le capturé facilement. D’autant plus qui sont aussi inoffensif qu’une mouche, ce qui est encore mieux. En revanche on en trouve uniquement qu’au centre même de Viridia.

Les créatures légendaires.

→ Les Dragons des forêts : Espèces exceptionnellement rares et uniques. En nombre très restreint, certes. A peine cinq. Mais dont la grande majorité sont vieux de plusieurs millénaires et aux pouvoirs incommensurables. A l’instar du vin, plus le dragon est vieux, plus grande est sa puissance ainsi que sa taille. Car oui, comme les anacondas, ils ne cessent jamais de grandir. Selon les récits sacrés d’Archidruides, le plus  vieux d’entre eux à plus de cent mille ans d’existence, mesure dans les quatre-vingt dix mètres d’envergure et peut largement se frotter à un ennemi équivalent à un Archidiable, un Titan ou encore un Grand Ancien. Et d’en ressortir vivant. Mais que ce se sont également les descendants d’Ysorion qui sont considéré comme étant les gardiens de Viridia. Ils ont une puissante résistance, leurs forces l’ait tout autant et peuvent se régénérer très vite. De plus, contrairement à ses congénères, ils ne crachent non pas du feu, mais de l’énergie solaire ou « feu solaire » dans le jargon druidique (en gros ce des attaques « lance-soleil » si vous préférés).  Leurs emplacement exacte demeure inconnue, mais chose est sûre : ils se terrent quelque part sur Viridia.  
Ils sont pratiquement introuvables, du fait qu’ils se fondent parfaitement dans la flore de par le camouflage naturel qu’offrent leurs constitutions. Ajouté le fait qu’ils sont endormie dans un sommeil « antique » et ensevelie sous terre, ne laissant qu’une légère partie de leur corps exposé, vous serez dans l’incapacité de différencier une excroissance végétale de la créature d’un vulgaire buisson.

→ Les Golems d'Ysorion : Mesurant dans les cinquante mètres de haut, c’est gigantesques colosses élémentaires sont, avec les dragons des forêts, les être les plus puissants de tout Viridia. Leurs forces et leur resistance sont incommensurables. Amplement supérieurs aux dragons des forêts. Ils peuvent encaisser des missiles, canons antichars dans la tronche tout en demeurant indemne et au maximum de leur forces ils sont apte à pulvérisés des pans de montagnes. En revanche ils sont assez lents dans leurs coups. Le moment où ils sont rapides c’est en se déplaçant à grandes enjambés.

Mais Le pire dans tout ça, c’est que ce sont loin d’être les pires dangers de la foret. Non, le vrai danger sont certaines plantes d’apparences inoffensifs mais qui, en réalités, s’avèrent être mortelle. Comme des orties dont le venin vous tuent en moins d’une minute pour une mort foudroyante. Et si beaucoup de fruits sont comestibles, d’autre tout autant ne le sont pas et peuvent même causer la mort. Et pas souvent des morts rapides et sans atroces souffrances.
Et pourtant, cela n’empêche pourtant pas aux adeptes inconditionnelles du survivalisme pur et dur de peaufiner leurs expériences. Comme aux elfes sylvains d’aller trouver refuge, les criminels rescapés de venir s’aventurer ici pour s’exiler, aux Térranides à disparaitre dans cette forêt afin de semer ses traqueurs esclavagistes, un lieu parfait pour les ermites de fuir , ou tout simplement un lieu de Sanctuaire sacré de la nature pour les druides de Terra pour accomplir un pèlerinage. Vous souhaitais disparaitre de la ligne de mire d’ennemies que vous ne pouvez vaincre, ni même à arrêter par les lois ? Alors ne chercher pas plus loin : Viridia répond parfaitement à votre problème. Mais seulement si vous avez la chance de connaître quelqu’un connaissant la forêt comme sa poche. Et en règle générale, ce n’est pas donner à la première personne venue. Oublier tout de suite les pots-de-vin, ça n’a aucune valeurs aux yeux des autochtones. A quoi bon avoir de l’argent sur soi dans une forêt dépourvue de commerce et où rien ne manque en matière de nourriture, hydratation et moyen de logements ? Les seules personnes de l’extérieurs ayant un minimum de connaissance sur Viridia sont les druides et les elfes Silvains, mais n’espérer pas qu’ils vous révèlent ce qu’ils savent d’elle aussi facilement, encore moins de servir de guide. Déjà parce que, comme cela a déjà été dit, cette forêt est plus que sacrée pour eux.
Mais d’une manière ou d’une autre, a moins d’être pourvue d’une capacité télépathique permettant de télécharger leurs mémoire, ou bien de la lui voler, il est vivement conseillé d’être accompagné de ce type de personne. Car plus vous vous enfoncer dans ce territoire forestier surréaliste, plus vos chances de vous perdre sur la route se démultiplieront de manière exponentielle, même avec un sens de l’orientation excellent et en laissant des repères sur les troncs d’arbres.

Et vous allez vite vous retrouver comme dans la scène de Bilbo le hobbit où la troupe de nain se perd dans la foret noir après avoir quitté le sentier.....

11
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: dimanche 19 juillet 2015, 14:28:00 »
Je vois qu’elle prend un plaisir fou à savourer la caresse palpeuse de ma main gauche sur sa fesse droite. Son fremissement est là pour témoigner et me comble de joie. D’ailleurs, elle-même me le fait savoir que je suis assez doué pour charmer la gente féminine par les mots. C’est vrai que j’ai toujours été doué pour draguer les femmes et réussir à tous les coups, sans lui demander directement qu’on aille faire plus ample connaissance au pieux. En fait, c’était toujours les femmes qui désiraient qu’on se fasse une partie de jambes en l’air, alors qu’en temps normal c’est généralement l’inverse. Elle est très satisfaite et c’est tout ce qui compte pour moi.
Après quoi elle se dégage légèrement de moi pour contempler la nature autour de nous avant de me faire part de sa virginité pas si vierge qu’elle n’en a l’air. Je suis donc loin d’être le premier homme avec qui elle a fait l’amour, mais qu’aucun d’eux ne fut à la hauteur de ses exigences physiques pour la faire jouir jusqu’au septième ciel et l’épuisé par la suite. En d’autres termes, sa nature hybride lui octroie une endurance surhumaine. Evidemment, ça ne m’étonne pas qu’aucun de ces anciens partenaire ont lamentablement échoué dans leur acte. Personnellement ca m’enthousiasme de l’apprendre, puisque cela signifie que je pourrais copuler sur une période cent fois plus longue que ma meilleur relation sexuel quand j’étais encore humain. Rien que de le penser me fait frémir d’excitation difficilement dissimulable.
Le pire..... c’est que la belle Pamela ne tarde même pas à dévoiler son empressement de passer à l’acte en se retournant vers moi puis se blottie une nouvelle fois contre moi pour le filer un nouveau baiser langoureux sur la bouche, disant qu’elle est veut baiser ici et maintenant. Fin prête pour le grand tournant.

Autant j’étais patient avec mes anciennes partenaires, autant là j’ai une certaine difficulté à contenir mes pulsions bestiales, malgré l’absence d’hormones sexuelles dans mon corps végétal. Je lui rends bien son baiser par un autre de ma part, plus passionné que le précédent, tout en la prenant dans mes bras athlétiques et la mettre à mon niveau pour être moins gêner que de la regarder en haut. Bien que je suis à l’abri des torticolis.

-   Dans ce cas... tu peux compter sur moi pour te faire jouir comme tu ne l’as jamais été. Et ceux aussi longtemps qu’il le faudra pour que tu t’en souviennes comme étant le meilleur moment de ta vie, ma fleur adoré.

Et sans plus attendre, je bande ma volonté pour faire pousser entre mes jambes une paire de testicules grosses comme des balles de tennis, accrochés en dessous d’un membre phallique vert et lisse comme la surface d’une feuille. Aussi gros et long qu’une bite de cheval bien gaulé, bien dressé à la verticale et prête à empaler Ivy. Pour le coup je me demande si c’est un peu « too much » pour Pamela. Je sais bien qu’elle est loin d’être une néophyte du sexe mais quand même ! Fin bon, on verra ce que ça va donner.....
D’un coup de rein j’enfonce ma verge profondément dans le vagin de la belle rousse puis je laisse plus ou moins parler mon instinct en lui donnant des vas et viens rythmés comme rapide. Pendant ce temps-là mes mains viennent palpés sensuellement sa jolie paire de fesses tandis que je continue d’embrasser fougeusement la bouche de l’empoisonneuse. Laissant ma langue douce et lisse s’enrouler autour de la sienne.

Bon sang que c’est bon !

12
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: vendredi 17 juillet 2015, 18:08:19 »
La belle rousse plantureuse n’a même pas hésité une seule seconde à accepter mon offre en se jetant sur moi de manière nonchalante, enroulant ses bras délicats autour de mon cou massif comme ferait une femme à son époux qu’elle aime passionnément. Au même moment, mon visage se tourne vers ces tentacules, enroulés sur la majeure partie du corps d’Ivy, qui viennent s’enfoncer aux plus profonds de moi avec une légère surprise. Dans la logique des choses je devrais censé tiré une tête crispé par la douleur lancinante de me faire poignarder au ventre plusieurs fois, mais il n’en ait rien. Non, au lieu de ça j’ai plus une sensation de soulagement qu’autre chose. Très vite, je ne les sens plus être présents à l’intérieur de mon corps, comme si.... elles étaient une extension de moi.
Cela me fait redresser ma tête vers ma partenaire avec un sourire tendre, puis enlaçant mes bras autours de sa taille tout en hochant la tête pour sa demande mes ailes prennent un puissant élan qui nous propulsent dans les airs tel un boulet de canon tiré par un canon redressé en I. Nous survolons sur plus de cinq cent mètres au-dessus des cimes d’Eliandor avec une vitesse de croissière loin d’être mauvaise. Je ne dirais pas combien exactement, mais j’en déduis que je dois être aussi rapide qu’un avion de transport. J’ai rarement voyagé par cette la voie des airs, étant donné que je peux aisément aller d’un endroit à un autre presque instantanément par le biais de la Sève. Du coup je suis obligée de garder une concentration assez constante pour rester en ligne droite et ne pas virevolter dans tous les sens. Je n’aimerais pas donner le mal de l’air à Pamela par ma faute.

Nous nous enfonçant très rapidement dans la forêt, au point où la périphérie de celle-ci ce perd dans l’immensité de la zone forestière. Un quart d’heure plus tard, je finis par faire un virage à deux heures en direction d’une zone où se tient un étang assez grand. Ce n’est pas spécialement mon refuge, néanmoins c’est l’un des endroits les plus magiques de cette foret, en plus apte à nous garantir d’une intimité quasi-total, peut être même absolue.

C’est ce que les plantes m’ont fait part, dont je suis entré en communication peut après notre décollage.

Par ma volonté je fais croitre un lotus flottant au milieu de l’étang pour le faire tailler dans le kingsize et en faire une sorte de lit géant et confortable. Puis j’y atterris  au milieu et en douceur, alors que je contemple une Pamela qui retire ses tentacules végétales de mon corps pour venir se vautrant volontairement sur les feuilles imposantes du lotus, allongé en étoile de mer et respirant une bouffé d’air pur à plein poumons, apaisé par cette endroit. Il n’y a pas ç dire, elle aime passionnément la nature. Tout comme moi. J’ignore si ses extensions étaient empoisonnées mais si tel était le cas ça ne risquer par de marcher sur moi, étant donné qu’elles n’affectent uniquement les êtres non-végétaux.
Debout à ses côtés, je constate que sa connaissance de la Sève est plus que Familière, étant donné qu’elle mentionne le Parlement Des Arbres. C’est plus précisément dans la jungle Amazonienne qu’elle les a sentis et connus. La suite devient plus surprenante est a le mérite de m’entrouvrir la bouche et de me faire écarquillé des yeux. Je ne savais pas qu’elle avait été un Avatar de la Sève. Du moins, temporairement. A peine une heure, mais quand même ! Le Parlement ne m’en avait jamais fait part, mais peut être que cela n’avait plus d’importance pour eux. De par leurs longévités éternelles mêlées à leurs expériences d’anciens Avatars, ils sont une compréhension des choses qui dépasse le commun des mortels, moi y compris. Et dire que c’était elle qu’ils avaient voulue choisir avant moi......
En effet, cela peut paraitre étonnant d’apprendre que le Parlement savait tous d’elle, mais la logique trouve tout son sens quand on sait qu’on a reçu l’appel de la Sève dès notre naissance. Sauf que sa liaison avec la Sève venait uniquement de son hybridité et non pas par l’appel en question. En tout cas ses intérêts personnels supplantaient ses devoirs d’Avatar et c’est ce qui a poussé le Parlement à lui retirer son statut d’Avatar. J’hoche pour la énième fois la tête, comme quoi je suis attentivement sa réponse.

Il n’empêche que malgré cette privation qui a dû être douloureuse pour elle, cela fut un leçon de morale efficace pour la faire changer en la poussant à quitter sa ville natale pour Seikusu afin de tourner la page de son ancienne vie.
Effectivement, il ne peut y avoir qu’un seul Avatar de la Sève, comme pour les autres forces primordiales. Et c’est mieux ainsi. J’ose imaginer le foutoir que cela aurait causé. Cependant, le fait d’avoir gouté ne serait-ce qu’un avant-gout de la Sève lui a donné une envie obsessionnelle de pouvoir un jour être à nouveau choisi par la Parlement, une fois que ce dernier jugera qu’il sera temps pour moi de me faire retirer du circuit en me faisant fondre dans la Sève pour ensuite reléguer mon statut à Ivy.

-   Au final, c’est une bonne chose qu’il ait fait ça. Autrement t’aurais peut-être causé plus de bien que de mal à la Sève. Sans parler d’une guerre ouverte et déclaré avec le Sang et la Nécrose. Mais quand le jour viendra où le Parlement décidera de te confier mon statut viendra, je serais dans la Sève, auprès de mes prédécesseurs. Toutefois cela ne t’empêcheras pas de venir me rendre visite. J’ai déjà rencontré une fois mon prédécesseur, trois mois plus tôt. Il s’appelait Allec Holland. C’était un biochimiste renommé sur terre. Donc, toi aussi tu pourras, ce jour-là.

Car oui, tôt ou tard mon temps en tant qu’Avatar sera écoulé et que le Parlement des Arbres me donnera une retraite éternelle au sein de la Sève. C’est inévitable. Quand exactement ? Seule le Parlement le sait. Et tout dépends d’eux. Personnellement, ça ne me fait pas peur. Bien au contraire, j’en serais fier et honoré le jour venue.
A ce moment-là, Pamela se relève pour venir une nouvelle fois se presser tendrement contre moi et plaquer ses douces mains sur mon buste. Se mettant sur la pointe des pieds pour ammener ses lèvres sensuelles à ma bouche puis avouant toute son admiration pour moi comme étant à ses yeux la quintessence absolue de la nature et qu’elle éprouve un amour dévouée et total pour moi.

C’est..... Whoouauu !!! Impossible de me montrer indifférent devant cette révélation qui vient du fond du cœur. Pour le coup je ne peux m’empêcher de lui dévoiler mes sentiments pour elle. Oui, je sais qu’elle semble avoir presque le double de mon âge et que c’est limite si je me tape une cougar, mais qu’importe !! L’amour n’a pas de limite ! Sauf peut-être à un certain âge où la femme n’est plus très fraiche, ça je l’accorde. Hors ce n’est pas le cas pour Ivy, donc je mets la gomme !
C’est alors que mes mains viennent se posé sur son dos. L’un juste au-dessus de ses fesses tandis que l’autre caresse délicatement son dos de haut en bas. Mon regard se plisse par mon air séducteur.

-   Je vais être sincèrement franc avec toi en te disant..... que je t’aime moi aussi. Personne avant toi, même quand j’étais encore humain, ne m’avait aimé comme toi tu le fait. Et pour ma part..... tu es tellement belle et ravissante comme une rose, Pamela...... Je ne saurais comment te dire à quel point je suis follement amoureux de toi... à un point dont tu ne peux l’imaginer.....

Ma voix est  aussi suave que romantique, alors que mon front se pose contre le sien, mon excroissance végétale nasale également et ma bouche à cinq minimètres face à ses lèvres. La main caressant son dos change de camp pour venir se poser sous son menton délicat.

-   Tu es la plus belle femme que j’ai connue jusqu’ici.... et même si j’aurais connu une femme plus ravissante que toi, pour moi tu as ce quelque chose qu’elle-même n’aurait pas et n’aura jamais. Même dans mes rêves.......

Et c’est là que je lui dépose un doux baiser. Tendre et passionné. Le genre de baiser qui vient du tréfonds de mon âme et que je n’ai accordé a aucune de mes ex.

Aucune.....


13
Ville-Etat de Nexus / Re : Une affaire de Titans PV Morgan Clayton
« le: mercredi 15 juillet 2015, 18:11:14 »
-   C’est bon, tu peux sortir de ta cachette.

Je me suis retourné vers la foret qui se tient derrière moi lorsqu’une petite silhouette féminine se penche timidement sur le côté d’un tronc d’arbre pour être sûr que la voie été libre, puis elle vient se joindre près de moi en volant, tout en contemplant l’extérieur de la foret jonché de cadavres et de machines d’exploitation forestières médievaux-fantastiques. Ce que j’ai affaire devant moi n’est d’autres qu’une adorable fée de cinq centimètres de haut, cheveux et yeux roses et vêtu d’une ravissante robe courte rouge qui vire à l’orange à mesure qu’on descend. Faylinn, c’est comme ça qu’elle s’appelle.
Je faisais tout juste connaissance avec elle quand j’ai senti cette appelle de détresse provenant des arbres venants d’une foret étendue qui encerclait la métropole Nexusienne. Elle était victime d’une déforestation encore plus agressive que celle d’Eliandor par toute une horde d’orcs. Et encore ce n’était même pas une exploitation abusive comme la dernière fois. Non... la ca tenait plus à du déchiffrage sauvage qu’autre chose. C’était tous sauf de l’exploitation. Et comme je ressentais ce que les arbres ressentaient, sans parler de mon amour inconditionnel pour la nature, ça m’a suffi à me mettre de très mauvais poil. J’ai donc fait irruption dans leur camp à leur plus grande surprise puis je les ai ordonné de cesser leur massacre et de ne plus recommencer, en résumé. Hélas, ils n’étaient pas d’humeur à se montrer coopérative quand leur chef affirmait qu’il n’avait pas à recevoir d’ordre de personne.

Avant de me faire carboniser avec une espèce de lance-flamme rudimentaire. Alors j’ai donc répondue par la force.

En les exterminant tous jusqu’aux derniers.... Exceptionnellement.

Pourquoi donc ? Pour la simple raison que ces êtres abjects tentaient d’ouvrir un passage pour raser les villages alentours de Nexus et commettre des atrocités sans noms aux pauvres innocents. La foret à des oreilles à l’ouïe fines, comme je le dis. C’est ce dont j’ai entendue d’un certain Ptomérax, qui n’était d’autre que le dirigeant de cette expédition de guerre. Autant j’étais d’accord pour ne pas tuer Tommen et ses gars pour la foret d’Eliandor, autant je ne pouvais avoir la moindre pitié pour ces infâmes saloparts qui ne méritaient que la mort.
J’avais donc fait le grand ménage en faisant croitre et animés les racines d’arbres, mais également des lianes épaisses comme une trompe d’éléphants et parsemés d’épines acérées et dures comme des griffes de lions. Tout le monde a eu droit à tous : écrasement, sectionnages, décapitation, broyages, tordages. Bref, un massacre. Même le « chef » n’a pas tenue une demi-minute contre moi, avant de prendre la fuite par un portail écarlate qu’il a ouvert. J’aurais préféré qu’il soit mort.

Et l’avoir vu disparaitre ainsi ne me rassure pas du vraiment.

Faylinn se pose sur mon épaule droite puis me salut poliment en se courbant en avant.

-   Je vous merci infiniment pour avoir préserver la foret de mon peuple, Protecteur. Je n’sais point ce que nous aurions fait si ces affreux barbares avaient détruit notre foyer. Que la déesse-mère vous bénisse.

Mon visage se mue d’une douceur paternaliste, alors que le bout de mon index de ma main droite vient caresser la joue toute rose de l’adorable fée.

-   Je ne fais que mon devoir, Fayliin, mais je pense qu’il serait préférable que vous préveniez vos semblables d’aller se réfugier ailleurs, provisoirement. Le chef des orcs va très certainement revenir avec du renfort..... et j’ai peur que cela devienne un poil plus compliqué à repoussé.
-   Moi, faire ça !? Mais je ne suis pas une reine ou issu d’une famille royale. Je vais être traité de plasphématrice et peut être même être bannie par mon peuple !
-   Dites leurs que c’est moi qui t’envoie. Tu m’as bien dit qu’ils vénéraient la nature, non ? Alors mentionne moi et normalement ils devront t’écoutés.

La petite fée se montre hésitante, tournant son regard dans le vide et posa le plat de ses doigts pliés contre sa bouche.

-   Peut-être.... je sais pas..... c’est juste que.....
-   Arrrgh  !!!
-   Qui a-t-il gardien !?
-   Je l’ignore.... Un brasier gigantesque vient de sortir de nulle part au Nord-est d’ici, déciment touts les arbres sur son passage !! La douleur qu’ils ressentent se répercute sur moi.... ainsi que leur agonie !
-   Un brasier géant apparut d’un coup !? Mais...comment est-ce possibles !? C’est pas naturel !?
-   Je sais....Je fronce lentement les sourcils, à la Ken le Surviant.... Et j’ai le responsable de ce phénomène sur ma ligne de mire.....

Car oui, par le biais d’un arbre non loin de l’incendie qui s’étend déjà sur cent mètres, j’ai formé un œil télescopique où j’aperçois entre la fente de deux arbres un type ricané à gorge déployé comme un demeuré échappé d’un asile de fou. Le pire, c’est que je peux entendre l’écho de son rire démonique d’ici, faisant stresser la petite Faylinn qui écarquille les yeux de peur. Pas de doute c’est bien.
Tout en laissant « troisième œil » dans le tronc d’arbre choisie par concentration, je me tourne vers la fée des bois avec un air plus sérieux que jamais.

-   Faylinn.... avertit tes semblables de s’éloigner de la zone incendié le plus loin possible, rapidement.... je me recentre en direction de l’incendie....ça risque d’être très dangereux....
-   D’accord Gardien, je m’en occupe !!

Pendant que la fée s’envole rejoindre son village le plus vite possible, moi je ferme les yeux.... puis spontanément j’anime et fais croitre les arbres en proie aux flammes pour les éloigner des végétaux pris par l’incendie en les regroupant autour de l’émo en manque de rasoir pour s’entailler les veines. Parallèlement, j’ai fait croitre très rapidement et jaillie une main, cinq fois plus grosse que son gabarit, sous les pieds du type qui l’empoigne férocement et s’élève à plus de vingt mètres dans les airs par le prolongement d’un bras.
La, ma conscience se transporte dans la main pour aussitôt former un nouveau corps à partir d’elle. Une grosse bosse se forme au-dessus de la main, s’étirant jusqu’à dévoila ma tête arrivé à son niveau, soutenue par un long cou. D’ici je peux mieux observer l’enfoiré pyroman.

Des cornes sur la tête.... des teux maléfique.... des oreilles pointue est un air on n’peut plus démoniaque.... pas d’doute, j’ai affaire à un de ces fameux démons dont j’ai entendue parler. Je sais à peu près de quoi ils sont capables et qui donne une raison aux communs des mortelles à les craindres. Sauf que je n’en fait pas partie. Du moins, plus depuis longtemps. En tout cas j’ai la réponse à l’apparition soudaine du brasié.

Je le toise d’un regard courroucé alors que la main géante serre le prisonnier avec une puissante force. Ma voix se veut très autoritaire.

-   Ça t’amuse de venir ici tranquille et cramée cette forêt pour ton p’tit plaisir, hein enfant d’batard !!? PERSONNE n’a le droit de dévasté la nature impunément par plaisir, encore moins un misérable cloporte de ton genre !! C’est ton pote démon qui t’envoie faire le boulot à sa place, c’est ça ?  

14
Prélude / Re : C'est une chimère, ou un puzzle ? ôo [Valilouvée ! ]
« le: mercredi 15 juillet 2015, 00:27:23 »
Oh gosh, ces couleurs..... CES COULEURS NON DE DIEU !!!


15
Ville-Etat de Nexus / Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]
« le: mercredi 15 juillet 2015, 00:23:39 »
Ca me rassure d’apprendre qu’elle ne travaille pas pour Tommen. Cela m’aurait étonné qu’une créature de la foret aide une personne qui souhaite déchiffrer la maison de cette même créature. Car à ce que je sache, c’est le pire crime qu’elle puisse commettre, revenant pratiquement à tuer un membre de sa famille. Mais en fin de compte elle vient tout droit de la terre, comme moi. Ce qui veut dire que je suis très loin d’être le premier et encore moins le dernier à foulés les pieds sur ce monde parallèle. Pour une fois je vais me sentir moins seule. En tout cas elle n’a pas tout a fait tort sur les hommes que j’ai fait fuir.
j’hoche la tête pour sa dernière question avant de me tourner en la direction où sont partis les trois bucherons de tout à l’heure.

-   ö ne t’inquiète pas, je ne me fait pas d’illusion sur eux. C’est une question de temps avant qu’ils reviennent à la charge. A ce moment-là je serais la pour les attendre au virage.

Je pourrais aussi ne pas me casser la tête et les exterminer tous jusqu’aux derniers pour m’assurer qu’ils ne réitèrent plus. C’est illusoire de croire ça, au contraire cela ne fera que renforcer les agresseurs de mère nature à vouloir la peau de cette forêt. Des sommes toujours plus alléchantes motiveront les personnes engagé à risquer leurs vies contre une entité de la forêt pour une richesse à vie. D’autres surtouts voudront même en découdre contre moi par pur vengeance pour avoir tué leurs proches qui n’avaient rien demandé. Surtout pour ça. Dans ce cas, autant me contenter de repousser plutôt que de tuer les dangers de la flore.
Me relevant au même moment que la belle rousse, j’apprends qu’en réalité ce n’est pas une Alraune, ni une Dryade d’ici. En fait, c’est une humaine qui vient elle aussi de Terre, comme moi. Fin, pas complètement humaine. Pour être plus clair elle est le résultat d’une expérience scientifique particulière qui l’aurait rendue t’elle qu’elle est. Elle se présente comme étant Pamela Lilian Isley, mais c’est son surnom qui me fait un peu tiquer. Poison Ivy.... cela me dit quelque chose.

Oui.... oui en effet ce nom ne m’est pas inconnu. Je me souviens d’avoir vu ce nom trainée sur un article qui trainait sur une page web que j’ai cliqué, en pensant que cela concernait un sujet dédier aux plantes. Je l’avait même vu sur une image en train d’être conduite aux flics par un superhéros masqué appeler Batman. C’est une éco-terroriste qui s’acharne férocement contre les groupes industriels dont les activités impactent sur l’environnement, allant même jusqu’à tuer leurs PDG. D’un coup je me sentais brutalement mal à l’aise d’être en présence d’une criminelle, mais d’un côté je n’aimais pas non plus ces victimes qui me mettaient en rogne chaque fois que j’apprenais que des parcelles de forets avaient été profondément affectées par la pollution causées par les activités de leurs usines. Ouais je sais que c’est un peu salaud et égoïste de ma part de tolérer les meurtres de Poison Ivy et je l’assume. Elle a fait toutes ces actions mauvaises dans l’unique but de protéger la  flore. Tout comme moi, sachant que l’on procède de la même manière : c’est-à-dire par la violence. Quoique moi je préfère passer par la diplomatie avant de passer à l’attaque.

Je ne suis peut-être pas un meurtrier mais je ne suis pas non plus un pacifiste.

-   C’est vrai que votre nom ne m’est pas inconnu. Je vous ai déjà vu une fois sur une revue d’article sur internet, quand j’étais encore humain il y a quelques années. Je sais ce que vous êtes, mais je ne vous en veux pas pour ça. De toute façon je souhaitais la mort aux corporates qui massacrait l’environnement pour leurs profits. Ah oui, j’oubliais de me présenter : je suis m’appelle Morgan Clayton.

Elle marche paisiblement vers moi, tandis que parallèlement elle me fait part de sa avis sur la Sève comme quoi elle l’a déjà connue auparavant. Cela m’intrigue. Serait -elle une ancienne Avatar ? Non, c’est impossible. Tous ce qui furent des avatars étaient mes prédécesseurs qui repose actuellement dans la Sève. En revanche, je ne suis pas contre l’hypothèse que son hybridité l’aurait lié plus ou moins complètement avec la Sève, puisqu’elle possède une part de nature Végétal en elle.
En tout cas elle montre par sa main délicate posée contre mon torse robuste, son rêve le plus chère qui était d’être un Avatar de la Sève et de ressentir cette sensation indescriptible qu’on a de flotter dans la force primordiale du règne végétale. Et c’est vrai qu’elle n’a pas tort dans sa dernière phrase, je suis bien de son avis.

Qui se traduit par un hochement de tête accompagnée d’un sourire épanouie, alors que mes paupières se ferment. La tête légèrement relevé vers le ciel.

-   J’ignorais que les êtres hybridés avec les plantes pouvaient ressentir la Sève ou encore communier avec elle. Je dis ça car je ne suis encore qu’un jeune Avatar. Ca fait moins d’un an que la Sève m’a assimilé et désigné comme son champion. J’ouvre finalement les yeux, au regard doux fixant les pupilles émeraude de Pamela. Mais en effet, se baigner dans la Sève,, comme tu dis, est une expérience mais.... Whouah ! Iimpossible de la ressentir sans vibrer d’une jubilation indescriptible et d’une paix intérieure d’être affranchie des contraintes physiques. Si bien qu’on n’oublie vite et facilement le lourd fardeau des responsabilités d’Avatar.

Je n’ai aucune gêne à lui déballer mon sac sur ce que j’ai ressentie. Au contraire, je me sens vraiment à l’aise auprès de la belle rousse. Déjà parce que ça fait du bien de pouvoir converser avec quelqu’un sans qu’il ne me dévisage comme si j’étais un monstre, mais aussi parce que je dois bien reconnaître que je suis très attiré par son minois sensuel. Pour une fois qu’une femme aussi sexy à le même amour de la nature que moi et s’intéresse à moi, limite comme une divinité, pourquoi m’en priver !?

Par ailleurs, je laisse ma main droite se glissé délicatement dans les cheveux délicats de Pamela, avant de venir caresser sa joue gauche.

-   Je t’avoue en toute honnêteté que ça fait tellement plaisir d’avoir quelqu’un avec qui parler, sans déclencher une peur verte au passage. Ca fait si longtemps que je n’avais pas parlé avec une femme aussi  ravissante que toi, Ivy. Vraiment, je suis sincère......

Ca y est, c’est finalement sorti. Et plus tôt que prévue. Remarque, je suis loin d’être timide. C’est même tout l’inverse !
Je me tourne vers la vaste foret avant de recentrer mon attention sur Pamela.

-   Ça ne t’ennuie pas que l’on continue notre conversation dans la foret, où personne ne viendra nous déranger, hein ? Je peux même nous y conduire en vol d’oiseau si tu le désire.

Et pour accompagner mon geste à la parole, je fais pousser et déployer, aux niveaux de mes omoplates, une paire d’excroissances végétales prenant la forme d’ailes aviaires majestueuse de plus de sept mètres d’envergure. Des branches épaisses et semblant souples comme une liane pour une myriade de feuilles en guise de plumes.

Un spectacle magnifique à voir.

Pages: [1] 2