Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hirondelle

Pages: [1] 2 3 ... 6
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La futur prêtresse voyait sans doute très gros, mais elle restait tout de même fidèle au principe de devoir satisfaire Mégère de l'excitation qu'elle tentait de cacher, elle avait beau être une divinité le regard expert de l’humaine ne pouvait être si facilement trompée. Mais quand la déesse vint à refuser Hirondelle ne vint pas à insister, la maîtresse avait tout les droit y comprit retarder son propre désir. La frêle chose ne fut pas effrayée par la notion de "modifier" supposant que cela voulait dire la rendre plus apte et idéale aux yeux de Mégère. 

La déesse vint à faire la proposition de tout d'abord changer son corps et conférer des pouvoirs, pouvant utiliser tout ce qu'elle recevrait pour combler sa cupidité, comme Mégère se plaisait à dire. Hirondelle n'avait pas peur de ce défi, elle avait une grande confiance à ses nombreuses années de pratiques et d'expérience sexuelles toute plus bizarre les unes que les autres pour trouver un moyen de faire monter la divinité au septième ciel. L'humaine vint à cligner un peu des yeux en voyant sa maîtresse tourner la tête encore une fois avec cette expression d'inquiétude, décelant qu'il y avait quelques chose qui la dérangeait, mais pour l'instant elle n'avait pas reçu le droit de pouvoir s'inquiéter de Mégère, même si elle désirait savoir la source de son mal aise  et  y remédier.

La transsexuelle fut plus que ravie d'entendre qu'elle pourrait arborer un sexe féminin, bien que changer n'était pas un mal en soi si la divinité désirait goûter à une chibre de temps à autres. Elle vint à se laisser toucher, laissant la déesse faire ses mesures et s'imaginer la nouvelle apparence de sa prêtresse. Bien sûr Hirondelle ne pouvait pas savoir en quoi elle allait être transformée et attendit la demande de Mégère.

La jeune femme vint à hocher de la tête positivement en disant.

- Vous pouvez me transformer en ce que vous voulez tant que je peux devenir une femme ou une créature femelle.

2
Hirondelle vint à jeter un vif coups d'oeil aux alentours, cherchant  à voir à quoi peut bien ressembler la mère de Mégère, mais ne l voyant pas, elle se concentra plus sur sa maîtresse. Cette dernière vint à dire que ce n’était pas une illusion, laissant la jeune déesse enfoncer ses doigts dans sa bouche, qu'elle avait grande ouverte pour aider Mégère dans son entreprise. Cette dernière aurait pu enfoncer sa main, l'esclave n'aurait pas émit d'opposition. Quoi qu'il en soit elle put admirer sur les doigts le liquide noire qu'elle avait ingurgité précédemment. Hirondelle fut par contre plus sensible à la crainte qui se dessinait sur le visage de Mégère, se demandant bien ce qui pouvait la rendre d'un coups aussi craintive. Ce n'est qu'à lécoute des propos de la déesse, qu'elle comprit qu'elle avait une soeur dont la présence ici n'était visiblement pas désiré. Hirondelle n'aurait rien dit contre sa présence, se doutant que la soeur devait être du genre très jalouse ou possessive, voire le deux.

Les mots qui suivirent fut l'annonce d'un prélude, bien qu'en entendant le terme "envahir de l'intérieur", l'esclave se demandait si Mégère allait se liquéfier pour effectivement  conquérir l'intérieur de son corps, comme le slime noire de sa chambre avait des fois tendance à le faire.  Hirondelle ne fut pas inquiétée par les divagations de la déesse, après tout elle était certaine qu'aussi folle soit l'idée de la divinité, elle devait conserver sa "prêtresse" en vie pour qu'elle voue allégeance. La mortelle ne fut pas troublée par les tentacules qui se mirent à la dévêtir, tout comme elle fut manipulable comme le serait une marionnette, laissant Mégère prendre le dessus et être en position de dominance.

Hirondelle ne pouvait savoir que pendant ce geste, la divinité avait réservé une petite surprise à la mortelle, n'ayant pas sentit la magie affecter son corps, l'essence divine étant difficilement perceptible pour une faible créature comme Hirondelle. L'esclave pouvait voir les fantômes, signe d'une grande sensibilité au paranormal, mais n'avait pas les capacités pour sentir la magie. Elle ne sentit la différence que lorsque la déesse vint à vouloir toucher l'intimité, Hirondelle eut une mine surprise en sentant les doigts de la divinité ne pas toucher un membre, mais un vagin. Hirondelle vint à serrer un peu les jambes, n'empêchant pas la divinité de toucher sa zone sensible et jouer avec.

La déesse devait bien jauger ses pressions, Hirondelle se mettant rapidement à gémir et gigoter un peu, étant facilement emporté par la découverte du plaisir féminin. La mortelle ne pouvait lutter contre le plaisir contenu par le doigté de la déesse, qui l’amenait au bord de l'orgasme, sans pour autant, comme un chat jouerait avec une souris sans vouloir tuer. Les gémissement montèrent en volume, alors que tout son corps montrait de l'excitation. La mortelle put pousser un cris orgasmique quand elle fut libérée de cette délicieuse expérience et torture.

Hirondelle goutta à une petite mort et son corps fut tendu pendant quelques seconde avant de se détendre, le regard un peu vide, le temps qu'elle revienne sur terre.  La déesse fit une annonce très alléchante pour la transsexuelle. Cette dernière savait déjà quoi répondre, la déesse ne pouvant cacher aux yeux expérimenté d'Hirondelle son excitation

- Je serais une élève assidue, mais je devrais d'abord satisfaire les envies de  ma maîtresse, vous semblez si tendue.

3
Hirondelle pencha la tête sur le côté, notant son incompréhension sur la dénommée Lust, sans doute une divinité dont elle n'avait pas conscience, après tout la poupée de chair ne faisant qu'accorder ses prières à toute les déesses de la luxure, pas à une en particulier, sans doute cette Lust avait-elle reçue une partie de ses prières.  L'humaine vit la déesse demander par le langage du corps à s'approcher, ce qu'elle fit sans la moindre peur. Hirondelle savait que si la déesse voulait faire d'elle une prêtresse, il fallait tout d'abord réussir à faire pencher sa dévotion absolue, ce qui était sans doute un défi colossale, quand on ne connait pas l'étendu des pouvoirs divins.

L'âme mortelle fut quelque peu surprise d'entendre Mégère dire qu'elle serait une créature mêlant folie et luxure. Trop peu instruite, elle ne pouvait connaître les nombreuses histoires où l'amour de la chair avait poussé des personnes dans des folies parfois meurtrière. S'en suivit une énigme où Hirondelle ne savait quoi y répondre et allait d'ailleurs expliquer son incompréhension, quand la déesse vint à se jeter sur elle et commencer à la baigner dans une divine folie.

Hirondelle vint à se crisper quand elle crut sentir les dents de la déesse croquer sa langue et arracher un morceau, alors qu'elle peinait à se contrôler et gémir quand le tissu se transformant en lave colorée, croyant qu'elle serait enlaidit à vie, ce qui la fit crier de peur, se rendant alors compte que sa langue n'avait pas été croqué. La déesse devait se délecter de voir cette folie naître en cette petite enveloppe mortelle, ce ne fut qu'une fois un peu plus calme qu'Hirondelle put constater la disparition de la déesse, juste avant de se faire saisir et écartelé. L'humaine ne put retenir l'intrusion de la tentacule, l'obligeant à ouvrir en grand la bouche, alors que le membre noire semblait grossir et dilater au maximum sa gorge, sentant le liquide obscure couler dans son estomac. L'aphrodisiaque n'était pas réellement nécessaire, car elle en voulait plus du fait de son abstinence au sexe qui pouvait être comblé par ce membre étrange et pourtant familier, le slime noir qu'elle avait dans sa "chambre" jouait aussi beaucoup à pénétrer sa gorge et son derrière pour la remplir de son corps gélatineux et froid. Les petit bonhommes firent aussi du bon travail certain allant jusqu'à titiller les tétons de la prisonnière avec leurs membres, comme pour menacer d'explorer à leurs manières cet endroit, pendant que ceux à l'intérieur de la pantin vivante massait vigoureusement la prostate pour rendre folle de plaisir Hirondelle. Le plus excitant étant sans doute le fait qu'elle se voyait d'un autre point de vue tout en ressentant le plaisir, se mordant l'index de plaisir pour ne pas gémir trop rapidement et montrer qu'elle était réellement en manque d'une séance de sexe intense et folle.

Le retour à la réalité fut difficile. L'excitation était si présente en elle, qu'Hirondelle ne pouvait retenir l'envie de se masturber discrètement, profitant d'être assise pour que le geste ne soit pas perceptible, mais Mégère avait mit le doigt sur quelque chose d'intéressant, la transsexuelle était beaucoup plus docile quand on nourrissait sa soif de sexe qui allait en grandissant au fur et à mesure du temps. La proposition de la déesse fut perçut par Hirondelle qui vint à devenir d'un coup plus entreprenante en sautant sur l'immortelle pour la plaquer sur la table, sur le dos. On pouvait voir qu'Hirondelle ne voulait aucun mal, du fait que tout était fait avec douceur.

- Et si vous me montriez de quoi vous êtes capables vous-même, sans user d'illusion, sauf si vous aimez vous faire pousser un membre. Ainsi vous me montrer vos compétences et je vous montre comment je satisfais mes maîtres et maîtresses. Qu'en dîtes-vous ?

Hirondelle ne cachait plus réellement le fait que Mégère avait enflammé son désir de la chair, elle désirait que la déesse démontre que dans la luxure elle avait des notions et de quoi la combler, ainsi Hirondelle serait à même de considérer l'immortelle comme l'égale des divinités de la luxure.

4
Hirondelle ne comprenait pas pourquoi cette petite fille voulait la posséder à tout prix, mais les ordres des lettres sont quasi-absolu et donc même si elle venait à menacer sa vie, Hirondelle ne pourrait suivre cette petite créature aux cheveux blanc comme la neige.  Il en fut de même quand la sorcière fut employée comme motif de sa trahison. Elle ne comptait pas faire de mal envers une personne qui l'a sauvé d'un triste sort, même si tout cela n'était que de la poudre aux yeux.

La transsexuelle pouvait voir Mégère partir d'une expression à une autre en un clins d'oeil. N'était-ce pas le signe que cette petite déesse était encore qu'une simple gamine et c'est ainsi qu'elle paraissait aux yeux d'Hirondelle. Cette dernière ne dit rien, car tout maître, quelque soit son âge devait recevoir du respect. Mégère vint enfin à se présenter, sans doute voulait-elle intimider Hirondelle pas son statut, mais il n'en fut rien, même pas une once de peur. L’appât du gain ne fut pas sans effet, si elle était une déesse, elle pouvait faire de grande chose, mais Hirondelle était une adoratrice des divinités de la luxure, ce qui pouvait servir les intérêts de Mégères, combien d'histoires dramatiques lié à l'amour on conduit des héros et des dieux à la folie ? Mais cela Hirondelle était encore trop inculte pour le savoir. Quoi qu'il en soit elle laissa la divinité saisir ses cheveux et jouer avec.

Elle vint à se lever et s'inclina devant Mégère une nouvelle fois.

- Si vous faites un double tout comme moi, cela ne veut-il pas dire que vous vous trouverez dans une situation similaire où le double vous opposera la même résistance. Excusez mon impudence, mais n'êtes vous pas en train de vouloir me forcer la main et m'obliger à trahir mes bienfaiteurs, vous êtes peut-être une maîtresse, mais aussi divine que vous soyez, ne devriez-vous pas montrer plus de respect envers ceux qu vous ont permit de faire cette rencontre ?

Hirondelle était sincère sur ses propos, aussi puissante était Mégère, si ses tortionnaires n'avaient pas fait d'Hirondelle ce qu'elle était maintenant, la déesse ne serait sans doute jamais venu ici. Elle se relève et regarde droit dans les yeux de la déesse avec un soupçons de fierté dans les yeux, chose rare chez cette poupée.

- Si vous étiez une divinité de la luxure je n'aurais nullement refusée, mais vous vous êtes vous même désignez comme divinité de la folie. Luxure et Folie sont deux choses différentes, aussi. Si vous comptez faire de moi une de vos prêtresses, il faudra me prouver que vous valez tout autant que les déesses dont j'accorde mes prières.

La dévotion d'Hirondelle n'était pas à prendre à la légère et Mégère allait devoir se démener pour changer cette dévotion  envers de multiples divinités en une seule, la sienne. La transsexuelle était rarement aussi agressive, mais la déesse touchait à tout ce qui avait forgé sa vie passé et elle savait que sans ce passé elle serait totalement perdue.

5
Hirondelle était plongée dans la lecture du livre, bougeant son oeil gauche sur les écritures japonaises. Elle ne comprenait pas beaucoup de mot, tout ce qui se référait à vrai dire à la liberté d'être et de choisir. La marionette ne pouvait se rendre compte de l'obscurité qui s'épaississait et ne releva sa tête qu'au bruit de gouttelette. C'est à ce moment qu'elle se rendit compte que les ténèbres avaient envahit le lieu, mais restait très calme, elle vivait dans une chambre baignée par les ombres et était bien plus à l'aise dans cette sensation de solitude pesante. Hirondelle n'était pas idiote au point de ne pas percevoir tout le surnaturel de cette scène, mais elle avait reçu l'ordre d'utiliser cette pièce pendant six heures, si une créature venait vouloir l'y chasser elle ira jusqu'à justifier sa présence. Il faisait si noir que ses pied étaient presque comme avalés par les ténèbres, mais ne sentant rien la blesser elle restait calme, jugeant que l'être à l'oeuvre voulait certainement l'effrayer un peu.  Hirondelle lança quelque regard par-ci et par-là, croisant sans le savoir le regard de la divinité qui était à l'oeuvre. Elle devait tourner a tête ayant toujours son oeil droit fermé et cachant donc une partie de sa vue, ainsi que la possibilité d'analyser les distances.

Hirondelle se replongea dans ses livres, écoutant les gouttelettes tomber de plus en plus rapidement, elle supposait que si le niveau montait, elle devrait nager, pour l'instant elle ne faisait que plisser des yeux, l'alternance lumière et obscurité étant assez contraignant quand on souhaite lire. Cependant, ce n'était pas son rôle d'enjoindre la créature à stopper ses manigance, elle n'était rien de plus qu'une marionnette obéissant à une étrange personne envoyant des lettres. C'est alors que le bruit de pas vint à résonner dans les ténèbres, bruit qui semblait arriver de partout et de nul part, seul l'intensité permettait à la transsexuelle d'estimer la distance du bruit. La divinité était apparu d'un coup, comme si elle avait jailli d'un bassin d'encre noir, le coeur d'Hirondelle vint à sauter quelque battement, mais ne laissait rien paraître, la peur était inutile pour servir une personne. Elle devait avouer que ce genre d'apparition était surprenante, surtout avec une déesse qui pouvait être associé aux dames blanche tellement sa pâleur et sa tenue contrastait avec les ténèbres.

Hirondelle cru les paroles de Mégère, supposant alors que la jeune femme n'était pas seul et qu'il existait une femme plus mure qui observait dans le silence et le voile noir. Hirondelle pouvait sentir dans le regard de la déesse une lueurs amusée, pas celui de la sexualité c'était quelque chose de presque plus innocent, l'amusement d'une enfant ayant trouvé un nouveau jouet. Mégère vint d'ailleurs à être direct et Hirondelle vint à ferme le livre.

D'un geste doux elle se lève, reculant la chaise et vint à pencher le buse, laissant des cheveux rouler sur ses épaules pour pendre dans le vide, faisant sonner les clochettes sur sa tenue. La tête d'hirondelle touchait presque le rebord de la table, déjà prête à sentir sa tête plaquée contre la table. 

- Je serais honorée de vous servir cependant j'ai reçu l'ordre de rester pendant six heures dans la bibliothèque, si tant est que nous y somme toujours. Je peux vous servir pendant toute la nuit, tant que cela ne dérange pas les tâches que l'on ma confié.

Hirondelle savait que poser des limites était dangereux, mais elle n'avait pas vraiment le choix, sans objet pour assouvir son faim sexuelle elle ne pourrait tenir plus de trois jours. Elle devait faire plaisir à l'être mystérieux qui contrôlait sa vie pour éviter d'autres sanctions plus terrible. Elle ne pouvait savoir si Mégère et sa "mère" était là par cet être ou n'étaient présentes que pour s'amuser avec Hirondelle. Cette dernière ne sentit aucune pression sur sa tête et vint à relever le buste, entamant les présentations en s'introduisant.

- Je me nomme Hirondelle, je suis l'esclave d'une sorcière qui m'a délivré  de mes parents qui voulait faire de moi un prince. Si je peux vous paraître être une femme, j'ai subi une malédiction qui fait que j'ai le sexe d'un homme.

Hirondelle avait reçu, suite à sa rencontre avec un esprit des bois, l'ordre de préciser ses faits quand elle se présentait. La marionnette n'aimait pas parler du fait qu'il existait chez elle une part d'homme et avait failli commettre l'irréparable quand l'esprit des bois l'avait réduit à l'état d'homme. Elle se permit de demander avec d'infini précaution.

- A qui ai-je l'honneur, si ce n'est pas indiscret ?

6
Hirondelle avait des cernes sous les yeux, ayant reçu comme défi rester éveiller pendant une semaine entière. Elle avait lutée pendant près de quatre jours avant de tomber de sommeil. Ce fut à son réveil qu'elle vit la punition qui était tombé, le slime noir, étant la créature qui assouvissait son appétit sexuel quand elle n'avait rien à faire, n'était plus là. Cette fois il y avait une lettre ouverte et une autre scellée.

Elle prit la lettre pour en lire le contenue, pouvant lire la chose suivante.

Citation de:  Lettre N°1 d'un inconnu
Au vue de la piètre performance cette semaine à ton défi, nous t'avons retiré tout éléments pouvant subvenir à tes pulsions, ceci pour une durée que nous jugerons nécessaire, tu as aussi interdiction de te soulager jusqu'à ce qu'un maître ou une maîtresse face sont apparition. Le défis qui va suivre est simple. Tu garderas ton oeil droit fermé jusqu'à recevoir l'ordre de l'ouvrir. Tu dois aussi allez te changer et n'ouvrir l'autre lettres qu'une fois parfaitement habillée et coiffée.

Ce sera tout pour le moment.

Hirondelle vint à sentir son corps trembler sous cette série d'ordre, elle savait qu'une durée d'abstinence trop longue la rendrait folle sous le manque de sexe, mais sans doute était-ce la punition pour son échec.  Elle alla se doucher, prenant un savon à la rose et un shampoing parfumé de différentes fleurs, le tout avait été laissé à son attention pendant qu'elle dormait. Une fois propre, elle enfila la tenue qui avait été préparé pour elle.

Il s'agissait d'un kimono noir et rouge, coupé au niveau du nombril, avec une jupe qui faisait plus orientale que japonais, le tout tenu par un obi bleu où était cousu une fleur jaune avec des rubans et deux clochette. Elle attacha aussi en queue de cheval sa chevelure par un long ruban rouge garnit de clochettes. Elle enfila par la suite une paire de chaussette blanche et un culotte noire, finissant par des chaussures japonaises rouge.

Une fois habillée, elle se dirigea vers la table et prit la lettre, toujours avec son oeil droit fermé. Elle retira le sceau et lu la seconde lettre.

Citation de: Lettre N°2 d'un inconnu
Bien ...  Aujourd'hui nous t'imposerons un nouvelle emploi du temps. Tu passeras six heures dans la bibliothèque, tu auras dans cette lettre une copie de la maître-clé, permettant d'ouvrir n'importe quel serrure du lycée. Pendant ses six heures tu pourras accéder à tout le contenu de la bibliothèque, mais tu devras aussi écrire un rapport avec le nom et les pages des livres consultés. Nous pourrons t'interdire de lire certain livre. Ce n'est qu'une fois ses six heures passés que tu pourras manger.

Hirondelle ne savait pas qu'elle était manipulée pour obtenir quelque connaissance et augmenter son prix en cas de vente sur le marché aux esclaves. Mais elle était obéissante et prit donc la clé pour aller à la bibliothèque. La pièce était vide et au niveau de l’accueil, une lampe à huile allumée attendait la jeune transsexuelle. Elle la saisit et vint à parcourir les différents rayonnage, prenant quelques volume avant de s'installer sur une table.

Elle avait prit trois livre dont la taille n'avait d'égal que le poids qu'ils devaient faire. Hirondelle s'en saisit d'un nommé : Légendes urbaines et histoires terrifiantes. Pas le genre de livre à lire dans le silence et à la lueur d'une simple lampe à huile.  Hirondelle lu le livre pendant une heure, ne frissonnant même pas devant les illustrations terrifiante et le réalisme de certain passage. Elle allait tourner la page quand une présence se fit sentir, lentement elle tournait la tête et ne vit rien, que pouvait-on voir de toute manière dans l'obscurité non-éclairé par la petite lampe. Ne décelant aucun mouvement, elle se repencha sur le livre, continuant sa lecture en toute insouciance. Hirondelle s'était vite habituée à ne voir que d'un oeil.

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Le coin du chalant / Re : (musique pokemon) Hirondelle évolue en ...
« le: dimanche 15 février 2015, 11:31:02 »
Je suis assez surprise, je ne m'attendais pas à ce que deux jolie déesses viennent répondre à ma demande, mais même si c'est dans le domaine de la folie, je suis d'accord pour un rp avec ses deux bout de choux.

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Le coin du chalant / Re : (musique pokemon) Hirondelle évolue en ...
« le: dimanche 15 février 2015, 02:48:31 »
up

9
Refectoire / Re : Vous avez dit deux melons ? [PV Ata]
« le: lundi 09 février 2015, 22:11:48 »
L'esclave avait deux sources de plaisir, savourant le sadisme de sa maîtresse qui voulait réellement gigoter son petit oiseau pendant les trois heures. Mais, elle savourait aussi le fait qu'Ata ne ménageait pas la force de sa mains sur sa petite poitrine, compriment cette zone qui relevait légèrement les tétons. Pour une personne normal, cette pression aurait rendu la poitrine douloureuse, que cela soit pour un homme ou une femme d'ailleurs, mais Hirondelle n'en ressentait qu'un électrochoc de plaisir. L’esclave n'était cependant pas assez torturée par la plaisir pour ne pas sentir sous elle les gestes de sa maîtresse, posant un petit regard sur l'objet qu'Ata avait sortie du sac.

La transsexuelle vint à sentir le souffle chaud de sa maîtresse caresser son oreille, pendant qu'elle vint à poser une question qui n'avait en soit pas nécessité d'avoir une réponse. Cependant, Hirondelle devait jouer le jeu et répondis avec une voix timide, mais se voulant tout de même excitante.

- Que l'autre extrémité veut aller butiner une petite  fleur ?

La réponse imagée n'était là que pour donner à l'esclave, à ce moment précis, une image de jeune fille candide et innocente, ce qui donnait à Ata l'image du Grand méchant loup qui allait dévorer le petit chaperons rouge.

10
Vous nous quittez déjà ? / Re : Je pars
« le: jeudi 21 août 2014, 18:56:46 »
*A ses yeux qui brille devant l'une de ses déesses.*

REbienvenue parmi nous Ô grande déesse. Puisse mes prières vous parvenir.

11
Prélude / Re : L'embêtante petite souris
« le: vendredi 15 août 2014, 20:14:34 »
*S'incline, portant une tenue de lycéenne assez courte*

Bienvenue maîtresse Karin

12
Refectoire / Re : Vous avez dit deux melons ? [PV Ata]
« le: vendredi 15 août 2014, 18:34:48 »
Hirondelle comprit que sa maîtresse allait essayer de faire mieux que le "record". Ce que l'esclave avait oublié de dire c'est que dans cette situation elle avait eu affaire à des jumelles et donc étaient deux à s'occuper de l'esclave. Ata n'eus, en effet, aucune difficulté à manipuler la transsexuelle qui était bien arnachée et aussi légère par son alimentation soignée. Elle entendre sa maîtresse se faufiler sous elle, ne disant rien sur le fait qu'elle aurait pu faciliter la tâche en faisant un pont et permettre à Ata se passer dessous. Elle put sentir la poitrine généreuse de sa maîtresse dans son dos, le corps chaud d'Ata ne rivalisant guère avec la température d'Hirondelle qui permettait à sa maîtresse d'être réchauffée et excitée. Pour l'esclave, Ata était un peu plus froide et la fit délicieusement frémir.

Elle eut d'autres frissons en sentant le souffle de la geekette venir frôler ses oreilles, Ata venant à donner d'autre directive que la transsexuelle allait obéir, ne serait-ce que pour exciter davantage sa maîtresse. L'esclave sentit les doigts fins d'Ata glisser le long de ses hanches pour saisir et commencer à jouer avec son petit oiseau, alors que l'autre main remonta gracieusement pour pour attaquer un autre point érogène, sa poitrine. La jeune maîtresse put sentir que plus le plaisir l'envahissait, plus il y avait quelques geste réflexes, comme le fessier qui se contractait de temps à autre, massant l'intimité de la geekette en surface. Tout comme il arrivait qu'elle ondulait le corps.

Pour permettre à sa maîtresse de profiter au maximum de son corps, elle passa ses main entre les barreaux de la tête de lit, les tournant ensuite de telle manière à être réellement bloquée et ne pouvoir ressortir ses mains facilement. De cette manière l'esclave s'était belle et bien entravée les membres. Elle n'avait pas vraiment mal d'avoir bloquée ainsi ses mains, gardant assez de mou pour se mouvoir quelque peu. Elle gémissait tendrement, se laissant totalement aux idées de la geekette.

13
L'esprit d'Hirondelle était tourmentée par cette forme qu'elle trouvait bien hideuse, elle ne pouvait se faire à l'idée qu'être un homme était une chose impossible à supporter. Elle avait été élevé comme une femme, on lui avait bien expliqué que son sexe était une tare, mais qu'elle devait l'employer pour faire plaisir à ses maîtres et maîtresses. L'esclave ne pouvait contredire Vian quand ce dernier mit en avant que l'objectif premier était de faire plaisir à son maître.

La transsexuelle ne pouvait remonter le regard, la peur se fit perceptible quand Vian vint à poser ses conditions. Hirondelle n'avait jamais sentit ce sentiment d'oppression. C'est comme si un collier invisible venait de se serrer brutalement autour de sa gorge, sa respiration fut difficile, son corps tremblait sous la peur, la peur que cela empire. Hirondelle n'avait rien entendu sur la récompense en cas d'obéissance, supposant que cela serait conserver cette forme. Puis elle vint à se relever, son visage n'avait cependant rien de brillant, étant fade de sentiment. Hirondelle n'avait d'autre choix que d'obéir, mais elle n'avait pas été formé à cette situation, ne pouvant donc cacher le dégoût qu'elle éprouvait pour ce corps d'homme.

Elle tenta de faire une petite danse sensuelle, mais s'arrêta au bout d'à peine deux seconde. En effet, elle avait toujours commencée par frôler sa poitrine, mettant en avant ses formes, formes qui n'étaient plus trop présente. Ses doigts se mirent à trembler. Elle se sentait incapable de faire comme d'habitude, ce corps était trop inconnu, trop horrible pour pouvoir jouer comme Vian le désirait. Elle ne put toucher ce pieu entre ses jambes. Normalement c'était sur ses maîtres que cette taille était présente, elle était habituée à son petit oiseau. Elle ne pouvait accéder à la demande de Vian et craignait aussi la punition. La peur la prit au ventre et elle lança un regard furtivement autour d'elle et perçu l'arc et les flèches.

Que risquait-elle à laisser parler sa peur ? Rien, car selon elle le résultat serait le même. Elle vint à user de ses jambes pour courir vers l'arbre, saisir son arc, bander une flèche et la pointer vers l'esprit. Les verrous psychologiques se mirent en place. Sa vision se troublait, sa respiration était à al limite de la suffocation. On avait fait en sorte que pointer une arme contre son maître soit éprouvant. La preuve la plus voyante était la visée de l'esclave qui était des plus mauvaise, tremblant tellement que toucher Vian reviendrait à un miracle. La voix d'Hirondelle démontrait sa peur envers l'esprit et la punition qu'elle subirait s'il n'était pas effrayé par le fait d'avoir une arme pointé sur lui

- Rendez  ... moi ... mon ... corps ...

L'esclave sentait des nausées arriver, mais fit son possible pour refouler cette sensation, sa respiration était difficile et cela se voyait à l'effort qu'elle faisait pour inspirer et expirer. Si l'esprit n'avait pas peur, elle lâcherait son arme, prendrait le poignard et tenterait de fuir dans la dense forêt. Elle était clairement acculée et n'avait trouvé d'autre manière que de se montrer en premier lieu agressive, puis d'opter pour al fuite.

14
Hirondelle vint à regarder son maître avec un regard interrogateur, ne sachant pas où Vian voulait en venir dans ses propos. Elle avait oublié un facteur important sur Terra, le facteur de la magie et aussi de ses innombrables possibilités. L'esclave nota le temps mort, signifiant qu'elle allait entendre d'ici quelques seconde le jugement de ses actes, mais aussi sa première punition. Elle ne pouvait se douter que celle ci allait être sans doute la plus dure, psychologiquement, que celles subit jusqu'à maintenant.

Elle comprit que sa punition allait toucher son corps et que son maître était du genre buté sur l'idée qu'étant un "male" elle devait s'accepter comme tel. Hirondelle vint à calmer sa colère, visiblement elle ne pourrait pas faire changer d'avis son maître et allait devoir faire avec. C'est alors que Vian vint à user de la magie et la transsexuelle découvrit les ravages que cela fit sur son corps, faisant fondre sa féminité et renforcer son côté masculin. Le choc fit perdre les moyen de l'esclave, qui se palpait, les doigts tremblant, avant de tomber à genoux et se replier sur elle-même. Elle se sentait hideuse, son corps avait été transformé en monstre, elle ne pouvait se voir en homme, elle ne pouvait vivre comme ça.

D'autres sentiments inutiles vinrent à la submerger, la faisant pleurer. Elle vivait un cauchemar. Tout en se trainant au pied de son maître, elle le supplia.

- Pitié maître Vian, tout sauf ça. Je ferais tout ce que vous voudrez, mais ne me laissez pas avec ce corps hideux et peu présentable.

Hirondelle fondait en larme, elle ne pouvait supporter cette apparence qui était pourtant la sienne si elle avait été élevé comme un homme.

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Hirondelle n'eus aucune réaction sur le visage, mais dans les yeux de l'esclave on pouvait voir une petite lueur. Les propos de Vian était sans doute plus douloureux que ses manigances. Jusqu’à maintenant elle n'avait croisé que des personnes qui n'allait pas jusqu'à redéfinir le genre qu'elle devrais adopter et comme toute première fois le choc était violent. Pour la transsexuelle il était évidant qu'elle était une femme, même avec un sexe d'homme et son maître voulait qu'elle se comporte comme un mâle. Elle n'avait jusqu'à ce jour jamais reçu cet ordre et était quelque peu décontenancée.

Plus l'esprit de la nature parlait, plus un sentiment inutile naissait dans le corps d'Hirondelle, la colère. L'esclave gardait en tête qu'elle devait obéir aux ordre de son nouveau maître et ne surtout pas venir à l'agresser. Frapper un maître, sauf pour le protéger, était banni dans l’enseignement d'Hirondelle. La victime ne pouvait expliquer pourquoi Vian arrivait à la faire réagir, à faire naître des choses inutiles, qui paraissait incohérent, incorrect pour elle. La colère la poussait à serrer le poing, pendant qu'elle grandissait. Puis d'un coup elle relâcha la pression en regardant droit dans les yeux de l'esprit. Elle ne voulait pas s'opposer à son maître, mais ne voyait visiblement aucun autre moyen pour le faire accepter les faits.

- Cette vie que vous appelez misérable, maître Vian,  me convient parfaitement. Si elle est inférieur à celle des animaux alors je ne la regrette pas. Je peux être un être vivant ou un simple objet, aussi la notion de liberté ou même d'existence n'a pas à s'appliquer sur moi. Je ne peux exécuter votre ordre de devenir un mâle car si je ne peux être saillie, pour reprendre votre terme, je n'en reste pas moins une femelle. Si je n'étais pas sous vos ordre, maître Vian, je vous aurais certainement giflé pour avoir traiter celle qui m'a sauver d'un triste destin de menteuse Comme je ne peux obéir à votre ordre et vous ai montré de l'irrespect je suis prête à me faire punir. Je voulais vous faire comprendre que je n'ai pas voulu naître avec un sexe d'homme, que rien ne peut aller à l'encontre de ça et que ma vie d'esclave est suffisante pour moi.

Hirondelle espérait que l'esprit saisisse davantage l'état de l'esclave, tout en se préparant mentalement aux punitions, car pour deux fautes il fallait, selon elle, deux punitions. Si l'esprit espérait briser la soumission d'Hirondelle, cette dernière ayant eu sa vie dictée depuis son enfance, il allait devoir se creuser les méninges.

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