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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 27 janvier 2022, 13:04:09 »
J'arrive Koya !
13h03 - Repas englouti, on se remet déjà au travail
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Les alentours de la ville / Re : Voir les choses autrement - PV (Kara)
« le: mercredi 26 janvier 2022, 12:40:43 »
Machinalement, Kara se mordit l’intérieur de la joue lorsqu’elle sentit le regard de Souta examiner sa tenue. Il y avait quelque chose de bizarre à se trouver face à lui ainsi, alors qu’ils avaient été si proches. Comme à son habitude, il frappe sans s’en rendre compte là où ça pique, lui faisant remarquer sa tête fatiguée. Mais c’est juste maladroit, elle esquisse un sourire lorsqu’il tente de se rattraper aux branches, n’importe comment.
« T’as pas changé toi… »
Mais ça la détend un peu, assez pour sentir sa mâchoire se décoincer légèrement, lorsqu’il tente de la complimenter sur sa tenue. C’est sûr qu’à côté le tailleur défraichi fait bien plus conventionnel. Ceci-dit, la Commerciale apprécie et hoche la tête.
« Je vais bien, dans l’ensemble. C’est euh… sympa d’avoir prévu ça pour moi. » Même si pour le moment, elle a encore du mal à comprendre ce qu’il veut. Recoller les morceaux ? Se faire pardonner ? Kara pense qu’il n’a pas conscience de ce qui n’allait pas. Et elle a sans doute raison.
En haussant les épaules sur ses préoccupations, la jeune femme plisse les yeux, le suivant à son signal pour entrer dans le bâtiment. Son allure nonchalante est toujours la même. Sans s’en rendre compte, Kara sourit un peu, ça la fait rire dans le fond, de voir sa dégaine. Est-ce qu’il lui a manqué ?
Au comptoir, elle assiste à une scène qui lui demande beaucoup de concentration pour ne pas se moquer… C’est tellement lui ! Il ne se rappelle même pas ce qu’il a réservé. Du Souta tout cracher. Kara pince les lèvres, ses yeux commencent à prendre cette teinte malicieuse habituelle, le stress s’en va petit à petit, la libérant un peu.
Games & Friends ? Elle a entendu parler de cette enseigne étrangère, assez ambitieuse, pour vouloir attaquer le Japon sur son propre terrain, et son intérêt est immédiatement piqué. Décidément, Souta a l’air de vouloir se mettre aux jeux vidéo, lui qui a dévaliser le magasin lors d’une précédente rencontre. L’hôtesse tend un prospectus, elle doit avoir l’habitude de la clientèle qui a horreur de discuter ; et elle a raison. La cible de cet endroit a déjà fait un petit effort pour sortir de chez elle… Avec politesse, bien élevée, elle récupère le flyer et hoche la tête.
« On va pouvoir se débrouiller, merci. »
Docilement, la réceptionniste s’incline sans chichi, et d’un geste de main, les invite à avancer par eux-mêmes, puisqu’ils n’ont pas l’air d’avoir besoin d’aide. Kara marche instinctivement, les yeux posés sur le dépliant.
« Bordel, t’as pas lésiné. » Lâche-t-elle en parcourant les nombreuses possibilités. « T’as encore dépensé une fortune ? » Elle se demanderait toujours d’où venait tout son argent, et comment on pouvait être à la fois fauché et blindé, comme lui.
« Réalité virtuelle, rétro gaming… Y a même une salle spéciale pour amener son chat avec des écrans tactiles pour qu’ils courent après des souris virtuelles… »
Son rire éclate alors qu’elle manque de se manger une borne directionnelle. L’endroit est peu peuplé, il y a un petit air de Bossa Nova dans les enceintes, discrète. C’est feutré et moderne à la fois. « Un bar à soupes… Okay, je savais pas que ça existait. » Nouveau rire.
« Tu veux commencer par quoi ? » La jeune femme se retourne alors complètement, faisant face à Souta, levant les yeux vers lui. Ses épaules semblent bien moins coincées sur une posture défensive. « Sachant que quoi qu’il arrive, je vais te foutre une raclée… » Il a fallu qu’elle se force un peu, mais Kara a forcé la pique pour sembler aimable. Elle a accepté de venir, ce n’était surement pas pour lui faire la gueule toute la journée ? Ce serait encore bizarre un peu, au moins pour elle, ne sachant pas exactement comment réagir.
« La salle d’arcades ? »
« T’as pas changé toi… »
Mais ça la détend un peu, assez pour sentir sa mâchoire se décoincer légèrement, lorsqu’il tente de la complimenter sur sa tenue. C’est sûr qu’à côté le tailleur défraichi fait bien plus conventionnel. Ceci-dit, la Commerciale apprécie et hoche la tête.
« Je vais bien, dans l’ensemble. C’est euh… sympa d’avoir prévu ça pour moi. » Même si pour le moment, elle a encore du mal à comprendre ce qu’il veut. Recoller les morceaux ? Se faire pardonner ? Kara pense qu’il n’a pas conscience de ce qui n’allait pas. Et elle a sans doute raison.
En haussant les épaules sur ses préoccupations, la jeune femme plisse les yeux, le suivant à son signal pour entrer dans le bâtiment. Son allure nonchalante est toujours la même. Sans s’en rendre compte, Kara sourit un peu, ça la fait rire dans le fond, de voir sa dégaine. Est-ce qu’il lui a manqué ?
Au comptoir, elle assiste à une scène qui lui demande beaucoup de concentration pour ne pas se moquer… C’est tellement lui ! Il ne se rappelle même pas ce qu’il a réservé. Du Souta tout cracher. Kara pince les lèvres, ses yeux commencent à prendre cette teinte malicieuse habituelle, le stress s’en va petit à petit, la libérant un peu.
Games & Friends ? Elle a entendu parler de cette enseigne étrangère, assez ambitieuse, pour vouloir attaquer le Japon sur son propre terrain, et son intérêt est immédiatement piqué. Décidément, Souta a l’air de vouloir se mettre aux jeux vidéo, lui qui a dévaliser le magasin lors d’une précédente rencontre. L’hôtesse tend un prospectus, elle doit avoir l’habitude de la clientèle qui a horreur de discuter ; et elle a raison. La cible de cet endroit a déjà fait un petit effort pour sortir de chez elle… Avec politesse, bien élevée, elle récupère le flyer et hoche la tête.
« On va pouvoir se débrouiller, merci. »
Docilement, la réceptionniste s’incline sans chichi, et d’un geste de main, les invite à avancer par eux-mêmes, puisqu’ils n’ont pas l’air d’avoir besoin d’aide. Kara marche instinctivement, les yeux posés sur le dépliant.
« Bordel, t’as pas lésiné. » Lâche-t-elle en parcourant les nombreuses possibilités. « T’as encore dépensé une fortune ? » Elle se demanderait toujours d’où venait tout son argent, et comment on pouvait être à la fois fauché et blindé, comme lui.
« Réalité virtuelle, rétro gaming… Y a même une salle spéciale pour amener son chat avec des écrans tactiles pour qu’ils courent après des souris virtuelles… »
Son rire éclate alors qu’elle manque de se manger une borne directionnelle. L’endroit est peu peuplé, il y a un petit air de Bossa Nova dans les enceintes, discrète. C’est feutré et moderne à la fois. « Un bar à soupes… Okay, je savais pas que ça existait. » Nouveau rire.
« Tu veux commencer par quoi ? » La jeune femme se retourne alors complètement, faisant face à Souta, levant les yeux vers lui. Ses épaules semblent bien moins coincées sur une posture défensive. « Sachant que quoi qu’il arrive, je vais te foutre une raclée… » Il a fallu qu’elle se force un peu, mais Kara a forcé la pique pour sembler aimable. Elle a accepté de venir, ce n’était surement pas pour lui faire la gueule toute la journée ? Ce serait encore bizarre un peu, au moins pour elle, ne sachant pas exactement comment réagir.
« La salle d’arcades ? »
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 26 janvier 2022, 12:12:42 »
12h12 - J'ai toujours un petit creux....
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 25 janvier 2022, 01:05:29 »
A ton service si tu as besoins de conseils 
1:05
1:05
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L'aéroport / Re : Premier aperçu de Seikusu [RP ouvert]
« le: lundi 24 janvier 2022, 18:43:10 »
- Desco, je t’en supplie, sauve-moi la mise cette fois.
Kara soupira, l’air bougon.
C’était comme ça qu’elle s’était retrouvée à repartir de la grande tour de bureaux commerciaux du Laboratoire Jilin, direction l’Aéroport. Elle sauvait les fesses d’Ichika, qui avait encore une fois fait de la merde avec l’agenda du Patron. Phil pouvait difficilement se passer d’elle pour la réunion mensuelle avec le Siège, et Ichika pouvait difficilement se trouver et à cette réunion et à l’aéroport pour récupérer Yéléna Ivanova, consultante Qualité devant arriver pour son audit.
Ce serait cependant un bon point ; la Secrétaire du Boss lui en devait une, et tôt ou tard, Kara devrait lui rappeler combien elle a été sympathique avec elle. Quand il faudrait affronter Phil parce que ses chiffres n’étaient pas à la hauteur, par exemple, ce qui risquait d’arriver plus rapidement que prévu, vu le nombre de ventes du mois. Bosser pour les Pro était plus compliqué qu’il n’y paraissait, et si les Particuliers se faisaient facilement berner par un sourire, certains chefs d’entreprises connaissaient ses techniques et étaient de redoutables adversaires.
Pour couronner une situation déjà pleine de tension, la Commerciale avait été prévenue de l’horaire tardivement, et avait dû courir pour attraper un chauffeur. Dans son malheur, Ichika avait tout de même eu la présence d’esprit de booker un taxi, un luxe pour Kara qui avait l’habitude des transports en commun bondés, puants et lourds. Le temps d’acheter un café à emporter, Kara se faufilait dans l’habitacle.
« A l’Aéroport s’il vous plait. » Le vieil homme la regardait dans son rétroviseur, silencieusement. « Euh. Rapidement ? »
Aucune réponse, mais le moteur se mit à vrombir. Des bouchons habituels, et la jeune femme sentait le stress monter jusqu’à sa gorge, l’agacement serrait sa mâchoire. Pourquoi avait-il pris cet itinéraire ? Est-ce qu’il était sourd ? Pourquoi cette musique country ?
Elle soupira en s’enfonçant dans son fauteuil, pestant déjà contre la Secrétaire, et se consolant un peu en se disant qu’elle était la seule femme entourée de dizaines de vieux bedonnant en costume trois pièces, qui s’écoutaient parler et qui n’avaient aux lèvres que l’argent…
L’aéroport était en vue. Et… son portable indiquait qu’elle avait déjà dix bonnes minutes de retard. Retenant de justesse un juron, elle réclama au chauffeur de s’arrêter, ce qu’il fit sans mal, les files de taxis étant bloquée. La jeune femme sortit en trombe du taxi comme on s’échappe d’une prison, apparaissant comme un diable sur le trottoir. Dans sa précipitation, paniquée par son retard, elle entendait à peine ce que le conducteur répétait déjà.
- 6 440 ‘moiselle.
Elle allait refermer la porte mais le vieux était déjà descendu de voiture et retint son élan, l’attrapant par le poignet. Coupée dans sa course, Kara vit voler, presque au ralenti, le gobelet de café crème qui s’éleva en une belle gerbe brune, pour venir atterrir artistiquement sur un blouson. Non, pas un blouson… Un manteau de laine d’une qualité élégante, avec un raffiné col officier.
« Merde ! » Hurla la Commerciale, voulant d’abord s’approcher, mais retenue par le chauffeur de taxi.
- 6 440 ‘moiselle. Et un pressing pour le jeune homme ah ah.
Quoi ? Il… Le vieux était hilare, tenant toujours fermement son poignet. Dans cette situation ubuesque, Kara cilla, pour tenter de remettre en ordre ses idées, et machinalement, ouvre son porte feuille qu’elle extirpe de son sac à main.
« Ah. »
Pourquoi Ichika n’a pas payé d’avance ? Hein ? Kara déglutit et offrit son plus joli sourire.
« Vous… » Le vieux leva un sourcil. Il avait un air étrangement sympathique mais parfaitement déterminé. Le joli sourire s'envola derechef.
- La maison fait pas crédit.
Serre les dents, ma Fille. Kara se tourna vers le pauvre jeune homme qui avait été la cible de son café. Ah, un étranger, parfait… Petit raclement de gorge. Elle leva les yeux pour chercher son regard, s’attendant à se faire incendier, insulter ou pire encore.
« Salut, euh. T’aurais pas 5000 ¥? »
Plutôt osé ?
Oui, mais là tout de suite, la Commerciale en tailleur bon marché et mal repassé avait d’autres chats à fouetter que d’être la parfaite Japonaise accueillante. Un parfait exemple de mauvaise foi : il n’avait qu’à faire attention où il met les pieds après tout … hein ?
Kara soupira, l’air bougon.
C’était comme ça qu’elle s’était retrouvée à repartir de la grande tour de bureaux commerciaux du Laboratoire Jilin, direction l’Aéroport. Elle sauvait les fesses d’Ichika, qui avait encore une fois fait de la merde avec l’agenda du Patron. Phil pouvait difficilement se passer d’elle pour la réunion mensuelle avec le Siège, et Ichika pouvait difficilement se trouver et à cette réunion et à l’aéroport pour récupérer Yéléna Ivanova, consultante Qualité devant arriver pour son audit.
Ce serait cependant un bon point ; la Secrétaire du Boss lui en devait une, et tôt ou tard, Kara devrait lui rappeler combien elle a été sympathique avec elle. Quand il faudrait affronter Phil parce que ses chiffres n’étaient pas à la hauteur, par exemple, ce qui risquait d’arriver plus rapidement que prévu, vu le nombre de ventes du mois. Bosser pour les Pro était plus compliqué qu’il n’y paraissait, et si les Particuliers se faisaient facilement berner par un sourire, certains chefs d’entreprises connaissaient ses techniques et étaient de redoutables adversaires.
Pour couronner une situation déjà pleine de tension, la Commerciale avait été prévenue de l’horaire tardivement, et avait dû courir pour attraper un chauffeur. Dans son malheur, Ichika avait tout de même eu la présence d’esprit de booker un taxi, un luxe pour Kara qui avait l’habitude des transports en commun bondés, puants et lourds. Le temps d’acheter un café à emporter, Kara se faufilait dans l’habitacle.
« A l’Aéroport s’il vous plait. » Le vieil homme la regardait dans son rétroviseur, silencieusement. « Euh. Rapidement ? »
Aucune réponse, mais le moteur se mit à vrombir. Des bouchons habituels, et la jeune femme sentait le stress monter jusqu’à sa gorge, l’agacement serrait sa mâchoire. Pourquoi avait-il pris cet itinéraire ? Est-ce qu’il était sourd ? Pourquoi cette musique country ?
Elle soupira en s’enfonçant dans son fauteuil, pestant déjà contre la Secrétaire, et se consolant un peu en se disant qu’elle était la seule femme entourée de dizaines de vieux bedonnant en costume trois pièces, qui s’écoutaient parler et qui n’avaient aux lèvres que l’argent…
L’aéroport était en vue. Et… son portable indiquait qu’elle avait déjà dix bonnes minutes de retard. Retenant de justesse un juron, elle réclama au chauffeur de s’arrêter, ce qu’il fit sans mal, les files de taxis étant bloquée. La jeune femme sortit en trombe du taxi comme on s’échappe d’une prison, apparaissant comme un diable sur le trottoir. Dans sa précipitation, paniquée par son retard, elle entendait à peine ce que le conducteur répétait déjà.
- 6 440 ‘moiselle.
Elle allait refermer la porte mais le vieux était déjà descendu de voiture et retint son élan, l’attrapant par le poignet. Coupée dans sa course, Kara vit voler, presque au ralenti, le gobelet de café crème qui s’éleva en une belle gerbe brune, pour venir atterrir artistiquement sur un blouson. Non, pas un blouson… Un manteau de laine d’une qualité élégante, avec un raffiné col officier.
« Merde ! » Hurla la Commerciale, voulant d’abord s’approcher, mais retenue par le chauffeur de taxi.
- 6 440 ‘moiselle. Et un pressing pour le jeune homme ah ah.
Quoi ? Il… Le vieux était hilare, tenant toujours fermement son poignet. Dans cette situation ubuesque, Kara cilla, pour tenter de remettre en ordre ses idées, et machinalement, ouvre son porte feuille qu’elle extirpe de son sac à main.
« Ah. »
Pourquoi Ichika n’a pas payé d’avance ? Hein ? Kara déglutit et offrit son plus joli sourire.
« Vous… » Le vieux leva un sourcil. Il avait un air étrangement sympathique mais parfaitement déterminé. Le joli sourire s'envola derechef.
- La maison fait pas crédit.
Serre les dents, ma Fille. Kara se tourna vers le pauvre jeune homme qui avait été la cible de son café. Ah, un étranger, parfait… Petit raclement de gorge. Elle leva les yeux pour chercher son regard, s’attendant à se faire incendier, insulter ou pire encore.
« Salut, euh. T’aurais pas 5000 ¥? »
Plutôt osé ?
Oui, mais là tout de suite, la Commerciale en tailleur bon marché et mal repassé avait d’autres chats à fouetter que d’être la parfaite Japonaise accueillante. Un parfait exemple de mauvaise foi : il n’avait qu’à faire attention où il met les pieds après tout … hein ?
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 23 janvier 2022, 21:08:44 »
'Parait qu'il y a du vin à la messe 
21h08
21h08
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Archives / Si votre perso était...
« le: samedi 22 janvier 2022, 10:53:20 »
Hello ♥
Vous connaissez les "portraits chinois" ?
OK, alors si ça vous fait marrer, j'ai fait celui de Kara, et je me disais que ça pourrait être cool de voir ceux d'autres personnages :3
Si Kara était...
Portrait nature
1. Si tu étais un animal, tu serais... un Panda Roux
2. Si tu étais une plante (fleur, arbre...) Du lierre, qui s'accroche aux façades comme une Commerciale à une jambe de client intéressant.
3. Si tu étais un élément le Feu
4. Si tu étais une pierre précieuse ou non Un galet parmi tant d'autre sur la plage. Mais un qui fait de super ricochets.
5. Si tu étais une saison le Printemps
6. Si tu étais un moment de la journée Minuit : encore tellement d'heures à passer devant un écran sans dormir.
7. Si tu étais un des cinq sens Le goût pardi
Portrait lieux
8. Si tu étais un pays l'Italie : CAPUCCINOOOO
9. Si tu étais une ville New York
10. Si tu étais une planète Gallifrey
11. Si tu étais un paysage Une vue sur la ville, en haut de gratte-ciels
12. Si tu étais une pièce de la maison La cuisine, sans hésiter.
Portrait objet
13. Si tu étais un objet du quotidien Une poêle à frire
14. Si tu étais un véhicule Un tram ou un métro, un truc utile, mais pénible quoi.
15. Si tu étais un vêtement Une paire de chaussettes confortables...
Portrait culture
16. Si tu étais un livre The Hitchhiker's Guide to the Galaxy
17. Si tu étais un personnage de fiction Lara Croft
18. Si tu étais un mot Puta*n
19. Si tu étais un film Scott Pilgrim VS the World
20. Si tu étais une célébrité Jason Momoa, pour me tripoter H24
21. Si tu étais un dessin animé Cat's Eyes
22. Si tu étais un super pouvoir Celui de lire dans les pensées, ce serait tellement coooool !
23. Si tu étais une créature légendaire / imaginaire un Dragon
24. Si tu étais un jeu vidéo Pac Man................
25. Si tu étais une chanson The Moldy Peaches - Anyone Else But You
26. Si tu étais un style de musique Du Rock Indé
27. Si tu étais un instrument de musique Un truc un peu inutile qu'on n'entend pas beaucoup. Le triangle, genre.
28. Si tu étais une photo Je serais surement floue.
29. Si tu étais un art l'art de la fuite
30. Si tu étais un événement historique l'invention d'Internet.
Portrait gourmand
31. Si tu étais un plat Une pizza réchauffée au micro-ondes
32. Si tu étais un dessert Une euh... pizza froide ? Ok, ok, un chou à crème pâtissière.
33. Si tu étais une friandise des bonbons. N'importe lesquels.
34. Si tu étais un fruit un litchi
35. Si tu étais une boisson N'importe quel alcool
36. Si tu étais une odeur L'odeur du plastique tout neuf
Portrait Loisir
37. Si tu étais un loisir créatif Le tricot. Un peu désuet mais utile.
38. Si tu étais un sport de l'e-sport.
39. Si tu étais une fête Je serais ratée.
40. Si tu étais la lettre idéale Hm. Q.
41. Si tu étais de la papeterie ou un accessoire de papeterie Des ciseaux
Portrait un peu plus perso
42. Si tu étais un chiffre ou un nombre 1
43. Si tu étais un bruit Le bip d'allumage de la Game Boy
44. Si tu étais une devise "Ne laisse personne ruiner ta journée. C'est TA journée, ruine-la toi-même"
45. Si tu étais un hashtag #VDM
46. Si tu étais une mauvaise habitude Fumer.
47. Si tu étais une qualité Réaliste ?
48. Si tu étais un gros mot Puta*n
49. Si tu étais une émotion l'Ivresse
50. Si tu étais un plaisir Fumer après l'amour.
Vous connaissez les "portraits chinois" ?
OK, alors si ça vous fait marrer, j'ai fait celui de Kara, et je me disais que ça pourrait être cool de voir ceux d'autres personnages :3
Si Kara était...
Portrait nature
1. Si tu étais un animal, tu serais... un Panda Roux
2. Si tu étais une plante (fleur, arbre...) Du lierre, qui s'accroche aux façades comme une Commerciale à une jambe de client intéressant.
3. Si tu étais un élément le Feu
4. Si tu étais une pierre précieuse ou non Un galet parmi tant d'autre sur la plage. Mais un qui fait de super ricochets.
5. Si tu étais une saison le Printemps
6. Si tu étais un moment de la journée Minuit : encore tellement d'heures à passer devant un écran sans dormir.
7. Si tu étais un des cinq sens Le goût pardi
Portrait lieux
8. Si tu étais un pays l'Italie : CAPUCCINOOOO
9. Si tu étais une ville New York
10. Si tu étais une planète Gallifrey
11. Si tu étais un paysage Une vue sur la ville, en haut de gratte-ciels
12. Si tu étais une pièce de la maison La cuisine, sans hésiter.
Portrait objet
13. Si tu étais un objet du quotidien Une poêle à frire
14. Si tu étais un véhicule Un tram ou un métro, un truc utile, mais pénible quoi.
15. Si tu étais un vêtement Une paire de chaussettes confortables...
Portrait culture
16. Si tu étais un livre The Hitchhiker's Guide to the Galaxy
17. Si tu étais un personnage de fiction Lara Croft
18. Si tu étais un mot Puta*n
19. Si tu étais un film Scott Pilgrim VS the World
20. Si tu étais une célébrité Jason Momoa, pour me tripoter H24
21. Si tu étais un dessin animé Cat's Eyes
22. Si tu étais un super pouvoir Celui de lire dans les pensées, ce serait tellement coooool !
23. Si tu étais une créature légendaire / imaginaire un Dragon
24. Si tu étais un jeu vidéo Pac Man................
25. Si tu étais une chanson The Moldy Peaches - Anyone Else But You
26. Si tu étais un style de musique Du Rock Indé
27. Si tu étais un instrument de musique Un truc un peu inutile qu'on n'entend pas beaucoup. Le triangle, genre.
28. Si tu étais une photo Je serais surement floue.
29. Si tu étais un art l'art de la fuite
30. Si tu étais un événement historique l'invention d'Internet.
Portrait gourmand
31. Si tu étais un plat Une pizza réchauffée au micro-ondes
32. Si tu étais un dessert Une euh... pizza froide ? Ok, ok, un chou à crème pâtissière.
33. Si tu étais une friandise des bonbons. N'importe lesquels.
34. Si tu étais un fruit un litchi
35. Si tu étais une boisson N'importe quel alcool
36. Si tu étais une odeur L'odeur du plastique tout neuf
Portrait Loisir
37. Si tu étais un loisir créatif Le tricot. Un peu désuet mais utile.
38. Si tu étais un sport de l'e-sport.
39. Si tu étais une fête Je serais ratée.
40. Si tu étais la lettre idéale Hm. Q.
41. Si tu étais de la papeterie ou un accessoire de papeterie Des ciseaux
Portrait un peu plus perso
42. Si tu étais un chiffre ou un nombre 1
43. Si tu étais un bruit Le bip d'allumage de la Game Boy
44. Si tu étais une devise "Ne laisse personne ruiner ta journée. C'est TA journée, ruine-la toi-même"
45. Si tu étais un hashtag #VDM
46. Si tu étais une mauvaise habitude Fumer.
47. Si tu étais une qualité Réaliste ?
48. Si tu étais un gros mot Puta*n
49. Si tu étais une émotion l'Ivresse
50. Si tu étais un plaisir Fumer après l'amour.
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Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: samedi 22 janvier 2022, 10:50:39 »
J'épouse sans hésiter Grayle, désolée :3
J'esclavagise Johnny, j'ai beaucoup de projets pour mon petit esclave qui roule si bien les r
Pardon Izar mais ....
Astrid Grace, Jack Taylor, Lana Dubravka ?
J'esclavagise Johnny, j'ai beaucoup de projets pour mon petit esclave qui roule si bien les r
Pardon Izar mais ....
Astrid Grace, Jack Taylor, Lana Dubravka ?
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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: samedi 22 janvier 2022, 10:47:46 »
Florence ♥
Votre bruit préféré
Votre bruit préféré
14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 22 janvier 2022, 10:06:42 »
10h06 - Hé saluuuuuuuuuuuuuuut ♥
L'heure du café :3
L'heure du café :3
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Les alentours de la ville / Re : Voir les choses autrement - PV (Kara)
« le: vendredi 21 janvier 2022, 15:38:23 »
- Cassandre Heal. Cassandre. Cassandre !
Kara sursauta en entendant son casque grésiller sous la puissance de l’appel à l’aide. Après un moment de torpeur, elle reprit le contrôle de ses pensées et cilla.
« Ah. Euh. Ouais, ouais, pardon Lowi. »
- Bah, laisse tomber, j’suis mort. Merci.
Un grognement sourd fut retenu à la dernière seconde.
« Désolée. »
- T’es pas concentrée, on se fait maraver depuis tout à l’heure, en face ils jouent super bien, t’es pas dedans putain !
Un gros soupir résonna dans son micro, alors que tout son corps s’affalait dans son fauteuil qui lui faisait mal au dos. Elle avait oublié d’allumer le plafonnier, la seule lumière qui éclairait son visage était celle de l’écran où « game over » la narguait, et celle de son téléphone portable. Le sms qu’elle venait de recevoir était toujours affiché.
Une autre voix, moins énervée que celle de Lowi, tenta d’adoucir la situation, tendue, sur le serveur vocal.
- Ils sont juste plus forts que nous, ça va, c’pas la mort, aller. C’est qu’un jeu.
- Ouais super, merci Professeur DarkLord, on sait tous que tu veux te taper Cassandre, pas la peine d’être sympa avec elle quand elle foire. Ça fait des semaines qu’on s’entraîne pour les placements, si t’as pas le level Cassandre, tu dégages.
C’en était trop, Kara tapa du poing sur son bureau, en faisant tressauter clavier et souris.
« Ta gueule Lowi, c’pas parce que t’es une petite merde dans la vraie vie que tu dois te venger sur nous ! »
En deux clics, elle avait quitté la partie, furax. Quel tocard ce Lowi ! Il avait juste pour lui d’être au chômage et de pouvoir jouer H24, et se croyait assez doué pour leur donner des leçons à tous, tout le temps. La plupart du temps, ça la faisait marrer, mais parfois, ils s’engueulaient un peu plus fort que d’habitude.
Il suffirait qu’ils redescendent un peu en pression et demain, ça irait mieux. Surement. Ce serait froid quelques parties, et ensuite l’alchimie de leur équipe reviendrait…
Kara haussa les épaules en tombant lourdement sur son dossier de fauteuil, retirant ses écouteurs en soupirant. Son regard tomba sur le sms. Pourquoi Souta la contactait, après plusieurs mois sans nouvelle ? Son plan q l’avait lâché ? Elle ferait mieux de supprimer son numéro.
Trop tard, le texto est parti.
Elle avait beau se répéter que c’était OK, que c’était juste pour discuter, sans prise de tête, la Commerciale à la frange chaotique avait une boule dans le ventre. Ne pas être à l’initiative de la rencontre la stressait un peu, et elle était méfiante. Comme ces premières fois où ils s’étaient croisés, Kara doutait des intentions de Souta, ne savait pas vers quoi elle allait ; et ça, pour son petit cerveau angoissé, c’était un danger.
Son costume de parfaite secrétaire était au placard aujourd’hui, prenant un repos bien mérité, au profit d’un robe bordeaux passée de mode, mais confortable. Et, elle avait des poches.
Sa queue de cheval était mal faite, attachée à la hâte, parce qu’elle avait oublié l’heure du rendez-vous, et avait dû speeder pour se préparer. Tout cela n’arrangeait pas son état, et en voyant Souta, au loin, devant cet endroit qu’elle ne connaissait pas, ses yeux se plissèrent. Aller ma Grande, c’est juste de la parlote, il a peut-être réfléchi et est devenu mâture…
Arrivant à sa hauteur, elle se racla la gorge, tendue, et esquissa un sourire conventionnel.
« Salut. »
Ok, c’était super froid, Kara s’en voulait un peu, mais était à son maximum pour le moment. Elle s’attendait à un mauvais coup, une proposition louche, ou un traquenard.
« Tu … tu vas bien ? »
Kara sursauta en entendant son casque grésiller sous la puissance de l’appel à l’aide. Après un moment de torpeur, elle reprit le contrôle de ses pensées et cilla.
« Ah. Euh. Ouais, ouais, pardon Lowi. »
- Bah, laisse tomber, j’suis mort. Merci.
Un grognement sourd fut retenu à la dernière seconde.
« Désolée. »
- T’es pas concentrée, on se fait maraver depuis tout à l’heure, en face ils jouent super bien, t’es pas dedans putain !
Un gros soupir résonna dans son micro, alors que tout son corps s’affalait dans son fauteuil qui lui faisait mal au dos. Elle avait oublié d’allumer le plafonnier, la seule lumière qui éclairait son visage était celle de l’écran où « game over » la narguait, et celle de son téléphone portable. Le sms qu’elle venait de recevoir était toujours affiché.
Une autre voix, moins énervée que celle de Lowi, tenta d’adoucir la situation, tendue, sur le serveur vocal.
- Ils sont juste plus forts que nous, ça va, c’pas la mort, aller. C’est qu’un jeu.
- Ouais super, merci Professeur DarkLord, on sait tous que tu veux te taper Cassandre, pas la peine d’être sympa avec elle quand elle foire. Ça fait des semaines qu’on s’entraîne pour les placements, si t’as pas le level Cassandre, tu dégages.
C’en était trop, Kara tapa du poing sur son bureau, en faisant tressauter clavier et souris.
« Ta gueule Lowi, c’pas parce que t’es une petite merde dans la vraie vie que tu dois te venger sur nous ! »
En deux clics, elle avait quitté la partie, furax. Quel tocard ce Lowi ! Il avait juste pour lui d’être au chômage et de pouvoir jouer H24, et se croyait assez doué pour leur donner des leçons à tous, tout le temps. La plupart du temps, ça la faisait marrer, mais parfois, ils s’engueulaient un peu plus fort que d’habitude.
Il suffirait qu’ils redescendent un peu en pression et demain, ça irait mieux. Surement. Ce serait froid quelques parties, et ensuite l’alchimie de leur équipe reviendrait…
Kara haussa les épaules en tombant lourdement sur son dossier de fauteuil, retirant ses écouteurs en soupirant. Son regard tomba sur le sms. Pourquoi Souta la contactait, après plusieurs mois sans nouvelle ? Son plan q l’avait lâché ? Elle ferait mieux de supprimer son numéro.
Citer
OK
Trop tard, le texto est parti.
oOo
Elle avait beau se répéter que c’était OK, que c’était juste pour discuter, sans prise de tête, la Commerciale à la frange chaotique avait une boule dans le ventre. Ne pas être à l’initiative de la rencontre la stressait un peu, et elle était méfiante. Comme ces premières fois où ils s’étaient croisés, Kara doutait des intentions de Souta, ne savait pas vers quoi elle allait ; et ça, pour son petit cerveau angoissé, c’était un danger.
Son costume de parfaite secrétaire était au placard aujourd’hui, prenant un repos bien mérité, au profit d’un robe bordeaux passée de mode, mais confortable. Et, elle avait des poches.
Sa queue de cheval était mal faite, attachée à la hâte, parce qu’elle avait oublié l’heure du rendez-vous, et avait dû speeder pour se préparer. Tout cela n’arrangeait pas son état, et en voyant Souta, au loin, devant cet endroit qu’elle ne connaissait pas, ses yeux se plissèrent. Aller ma Grande, c’est juste de la parlote, il a peut-être réfléchi et est devenu mâture…
Arrivant à sa hauteur, elle se racla la gorge, tendue, et esquissa un sourire conventionnel.
« Salut. »
Ok, c’était super froid, Kara s’en voulait un peu, mais était à son maximum pour le moment. Elle s’attendait à un mauvais coup, une proposition louche, ou un traquenard.
« Tu … tu vas bien ? »