Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Doutzen Kroes

Pages: [1] 2 3 ... 23
1
Les alentours de la ville / Re : Future étoile [Aoki Kou]
« le: samedi 02 mars 2019, 16:58:27 »
En compagnie de Reto, Doutzen avait acquis une expérience sexuelle redoutable. Son père adoptif était un impressionnant pervers, comme Aoki avait eu l’occasion de le constater. Et, pour parachever les talents d’Aoki en la matière, Reto avait été jusqu’à lui adjoindre l’assistance d’une prostituée de luxe, Olga… Mais l’aide d’Olga allait-elle vraiment être utile, face à Aoki ? C’était presque à croire que la séance avec Olga avait galvanisé Aoki ! En tout cas, la double sodomie qu’Aoki et Félicia lui imposaient était particulièrement violente, et terriblement intense. Doutzen hurlait à s’en casser la voix, peinant à rester debout, jusqu’à sentir un orgasme fulgurant la traverser. Ses deux Maîtresses jouirent également en elle, ce qu’on ne pouvait que comprendre ! Quel spectacle, en effet ! Rien n’était épargné à la jeune femme, et Doutzen tremblait nerveusement sur place, tandis que, inlassablement, les deux beautés continuaient à lui défoncer le cul. Oui, oui ! Doutzen n’aurait jamais cru pouvoir aller aussi loin avec elles, qu’Aoki irait jusqu’à franchir toutes les limites, mais… Doutzen adorait clairement cela. Elle aurait voulu que cette séance soit sans fin, éternelle, qu’elles se retrouvent prisonnières dans une bulle temporelle où elles continueraient inlassablement à baiser, toutes les trois, sans tenir compte du reste, du temps qui passe, en se concentrant juste sur le pied qu’elles prenaient en ce moment.

« Gnnnn… !! »

Une fois ce double orgasme terminé, Doutzen s’effondra sur le lit, sentant le sperme s’écouler lentement de ses fesses. Elle se pinça les lèvres, avant de sentir Aoki se déplacer lentement. Sa Maîtresse se posta devant elle, et la câlina délicatement, relevant son visage. Ses mains gantées glissèrent doucement sur le visage en sueur de l’Européenne, qui soupira encore. Elle releva doucement sa tête vers elle, et lui sourit délicatement.

« Ça… Ça va, juste… Hmmm… »

Elle respira encore, et Aoki s’écarta d’elle. Elle se mit à parler en anglais tout en regardant Félicia. Si Aoki et Félicia avaient aussi dépensé beaucoup d’énergie, elles en avaient encore beaucoup à revendre ! La Chatte Noire était après tout une femme très endurante, et Aoki… Et bien, même si Aoki n’était qu’une humaine, elle semblait disposer en matière sexuelle d’une sorte de super-endurance, un pouvoir clairement surnaturel ! Et puis, Félicia l’avait initié à du sexe de haut niveau, notamment en compagnie de Poison Ivy ou d’Harley Quinn. Tout ça avait donné lieu à des orgies grandioses, où Aoki avait pleinement assumé son rôle de « poupée sexuelle » face à ces trois sensuelles et dangereuses femmes.

Félicia sourit donc devant l’impatience d’Aoki, et commença par lui répondre, en anglais :

« Okay, chérie. Pourquoi ne commencerais-tu par sucer ma queue pour lui rendre un peu de dureté ? »

Les Japonais disposaient d’une facilité à comprendre l’anglais, ce qui s’expliquait par le fort rapprochement entre le Japon et les États-Unis après la Seconde Guerre Mondiale. Doutzen vit donc Aoki se mettre à quatre pattes, et lécher le sexe de Félicia. Elle promenait sa langue dessus, distribuant une série de baisers sur la hampe de chair, jusqu’à la faire se durcir, lui rendre progressivement de sa superbe. Aucune des deux femmes ne cherchait à forcer l’allure,  puisqu’elles avaient une spectatrice. D’ailleurs, en se couchant sur le dos, Doutzen pouvait voir les fesses d’Aoki, très bien moulées dans sa combinaison, qu’elle rapprochait petit à petit de son visage.

Doutzen avait beau être plus jeune qu’elles, elle était encore bien décidée à leur montrer qu’elle n’était pas encore vaincue ! Elle redressa donc son visage, et posa ses mains sur le cul d’Aoki, venant le malaxer, enfonçant ses pouces sur la combinaison, décrivant ainsi une série de plis sur le latex. La combinaison se mit à crisser doucement, pour son plus grand plaisir, tandis qu’elle sentait, contre ses seins, le sexe d’Aoki, se dandinant doucement, regagnant de sa vigueur.

« Hmmm… A-Kou-san, hmmm… »

Elle s’y attaqua donc, venant se pencher, et lécha le creux entre ses fesses, titillant le latex sans aucune gêne, mordillant sur place, témoignant ainsi de son fétichisme… Mais aussi, et surtout, de sa perversité !

2
Ensemble, les trois femmes dominaient totalement la pauvre Alix... Mais était-elle vraiment à plaindre ? Entourée de trois créatures pareilles, elle vivait ce qui, pour beaucoup, s’apparentait à un fantasme éveillée... Du moins, si on faisait abstraction des liens retenant le corps d’Alix, et des longues minutes de frustration avec la queue à l’air. Doutzen embrassait longuement Alix, mordillant ses lèvres, tandis que, contre le corps d’Alix, Youko caressait son corps. Ses mains gantées palpèrent ses seins, pinçant les tétons, et elle se pencha vers les seins, allant les lécher, et même les mordiller. Elle pinça les tétons avec ses dents, les mordillant, tandis que Shidaru continuait à danser. La jeune femme se pinçait les lèvres, rougissant en mouillant fort. Elle haletait de plaisir, continuant à danser sur place. Ah, la délicieuse queue de cette femme ! Et, maintenant qu’Alix avait eu l’occasion de jouir, elle faisait preuve de bien plus d’endurance, ce qui était tout de même très agréable.

« Oooh, là, ouiii, une belle bi-Bite bien dure, hmmm... »

Doutzen avait déjà eu l’occasion de constater l’endurance sexuelle d’Alix, qu’elle entraînait depuis plusieurs semaines. ELle était une esclave très douée, qui appréciait beaucoup les sodomies. Là, elle profitait pleinement du corps de Shidaru, qui continuait à danser sur elle. Youko, de son côté, continuait à la câliner, jusqu’à ce que Shidaru ne jouisse... Et, provocante à souhait, elle se retira alors de la queue trempée d’Alix, laissant ainsi la jeune femme dans l’embarras. Alix sentit ensuite les trois femmes s’écarter, se dressant autour d’elle.

La belle Alix cligna des yeux en les regardant, implorant leur clémence pour la faire jouir. Les deux filles commentèrent d’ailleurs à ce sujet, mais le choix définitif revenait à Doutzen, qui se déplaça lentement. Elle se tripotait lentement les lèvres, comme si elle faisait mine de réfléchir.

« J’hésite, Alix a été très vilaine tout à l’heure, elle a contesté mon autorité... Je ne sais pas si elle mérite un autre orgasme...
 -  Elle a l’air si gentille, pourtant...
 -  Je trouve plutôt qu’elle ressemble à une petite rebelle. »

Difficile de savoir ce que les femmes allaient faire d’elle. Doutzen semblait en l’état tout à fait capable de laisser la jeune femme ici, souffrant avec sa trique endolorie, sans que personne ne vienne la soulager de sa soif. Oui, c’était une hypothèse aussi redoutable qu’envisageable... Mais, en réalité, même Doutzen n’était pas aussi cruelle. Elle se rapprocha alors de la femme, et posa sa main sur son menton, rehaussant sa tête, la forçant ainsi à croiser son regard.

« Tu vas me sodomiser, petite pute, comme je te l’avais demandé tout à l’heure ! Et, si tu refuses... Inutile de te dire ce que tu vas risquer, non ? »

Doutzen rajouta ensuite :

« Tu sais qu’à cause de ton impertinence, j’ai dû me fourrer un plug anal dans les fesses ? Alors, tu as intérêt à te surpasser si tu ne veux pas que nous t’attachions encore sur la table ! »

Indéniablement, la menace était très sérieuse ! Doutzen entreprit alors de libérer la jeune femme, lui rendant ainsi l’usage de ses membres, tout en se déplaçant, et lui tourna le dos. Écartant les jambes, Doutzen alla s’appuyer contre le rebord d’un mur, et tourna la tête, attendant qu’Alix vienne remplir son office...

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Les alentours de la ville / Re : Future étoile [Aoki Kou]
« le: dimanche 03 février 2019, 13:21:44 »
Doutzen n’avait jamais rien caché à Aoki. Au contraire, elle avait toujours été honnête avec elle, car son plus sincère désir était que la femme se rapproche d’elle. Entre les deux, le courant avait été assez rapidement immédiat, au point qu’elles étaient maintenant devenues des amantes, et partageaient bien plus qu’une simple relation professionnelle peu chaste. Aoki avait montré à Doutzen sa petite-amie, et, réciproquement, Doutzen avait montré à Aoki sa famille. Aoki savait ainsi que le père de Doutzen était un individu peu recommandable, mais qui n’était pas hostile à leur rapprochement. Et, dans l’esprit de Doutzen, être formée par Aoki était une excellente chose, que ce soit au niveau de ses talents d’actrice... Ou même au niveau de talents plus personnels, plus sexuels. Aoki avait une sorte de talent inné dans ce domaine, et Doutzen était ravie de pouvoir en profiter. Et, là, ce qu’elles s’apprêtaient à faire était l’illustration de leur forte perversion.

La sodomie était une chose que Doutzen connaissait, et qu’elle pratiquait régulièrement. Aoki le savait, ce qui expliquait sans doute pourquoi elle avait proposé cette double sodomie. Un exercice redoutable, car Doutzen sentit les deux belles verges s’enfoncer en elle. Sa bouche s’écarquilla, et ses mains se crispèrent sur les épaules de sa Maîtresse. Un cri silencieux mourut dans sa gorge, puis elle ferma les yeux, les rouvrit, et hurla alors plus fortement, sentant les verges s’enfoncer en elle, tapant l’une contre l’autre. Félicia avait surtout un rôle actif, et Doutzen se mit à remuer. Certes, Aoki avait dit qu’elles y iraient lentement, mais...

« P-Plus vite, haaaa... Plus vite, Maî-Maîtresses ! »

Non seulement Doutzen était effectivement une perverse, mais elle était aussi une femme qui considérait qu’il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud. Les mains griffues de Félicia se posèrent sur ses fesses, et elle sentit cette dernière commencer à donner de grands coups de reins, déformant le fondement de la femme, permettant ainsi à Aoki de s’y enfoncer plus facilement. Mouillant frénétiquement, Doutzen, qui était une grosse masochiste, sentait un plaisir inouï déferler en elle, à hauteur de la souffrance intense qu’elle ressentait.

« Hmmmm, ton cul se... Se di-Dilate bien, haaa... »

Elle gifla alors le postérieur de Doutzen, tandis que les deux phallus remuaient en elle. Doutzen en avait de la bave qui coulait hors de ses lèvres, et se pressa contre le corps d’Aoki, mordillant son cou, avant de l’embrasser, tremblotant sur place. Rien ne semblait calmer les deux femmes, ses deux Maîtresses qui la besognaient sans relâche. L’idée d’Aoki était délicieusement perverse, et, pour Doutzen, il semblait évident que, dans les prochains jours, elle aurait bien du mal à pouvoir s’asseoir ! Une douleur exquise et puissante remontait furieusement en elle, s’instaurant dans son corps, une situation plaisante et extrêmement jouissive.

Doutzen se laissait donc faire, et les minutes défilèrent à toute allure. Les deux femmes la prenaient longuement, tandis que cette nuit semblait interminable, éternelle... Et, à vrai dire, Doutzen n’avait clairement pas envie que cette nuit se termine ! Oh non, elle prenait clairement bien trop son pied en ce moment pour avoir envie d’en finir là ! Savourant ses partenaires, elle haletait encore, continuant à hurler, mouillant de plus en plus.

Sous ce mélange de douleur intense et de plaisir exquis, Doutzen approchait clairement de l’orgasme...

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Les alentours de la ville / Re : Future étoile [Aoki Kou]
« le: lundi 14 janvier 2019, 07:30:43 »
Une double sodomie... Ah, ça, Doutzen allait le sentir passer ! Mais que ne ferait-elle pas pour ses Maîtresses ? Et puis, celles-ci, au terme de cette folle soirée de débauche et de magie rose, avaient dû comprendre que leur élève était une grande masochiste. Elle avait été éduquée et formée ainsi, et elle adorait ça. Pour la jeune femme, cette soirée compterait assurément comme l’une de ses meilleures soirées. Elle était donc à quatre pattes, attendant sagement que les deux femmes viennent s’occuper d’elle. Aoki commença la première, et se pencha vers elle, venant la préparer. Elle avait déjà été sodomisée ce soir, mais, pour ce que les deux femmes envisageaient, une préparation supplémentaire ne serait pas du luxe. Doutzen frémit en sentant la langue de la femme glisser sur son fondement, la léchant intimement. Elle gémit encore, fermant les yeux, rougissant sur place, Aoki continuant à la lécher.

« Hmmm... Maîtresse, haaaa... »

Doutzen avait-elle peur de ce qu’elles allaient lui faire ? Oui, mais elle savait aussi qu’elle n’était plus à ça près. Elle était convaincue qu’elle réussirait à l’endurer, car elle avait été formée à bonne école. Sa Maîtresse glissa alors un doigt dans son fondement, ce qui la fit à nouveau frémir. Doutzen n’aurait jamais cru pouvoir être une sodomite, mais il fallait se rendre à l’évidence ; elle appréciait grandement cela, et les sensations qu’une sodomie pouvait procurer. Elle rougissait sur place, avant qu’AOki ne s’écarte, et ne se redresse. Sa queue vint frotter ses fesses, faisant frémir la jeune femme.

*Ça y est, ça va commencer !*

Elle était sacrément impatiente, et se tortillait sur place, crispant ses doigts sur le sol. Elle hocha la tête, et sourit en constatant qu’Aoki avait opté un ton plus doux, comme si elle-même craignait pour la santé de son esclave.

« Ne vous inquiétez pas, Maîtresse, j’ai été bien élevée par vous, non ? Mon corps n’attend que vos traitements ! » s’exclama-t-elle, impatiente.

Et elle sentit alors son vit s’enfoncer en elle. Doutzen frémit doucement, crispant ses doigts à nouveau sur le sol, et étouffa un gémissement. Aoki commença par donner plusieurs coups de reins, afin de bien adapter son fessier. Fort heureusement, le corps de Doutzen était habitué à la sodomie, ce qui fit que ses parois anales purent facilement se dilater rapidement. Au bout de quelques minutes, la queue d’Aoki put ainsi s’enfoncer jusqu’à la garde, ce qui conduisit ensuite celle-ci à changer de position. Elle se coucha sous le corps de son esclave, et renfonça son chibre en elle, tandis que son visage se retrouva derrière le sien, Doutzen étant couchée sur le dos par rapport à elle.

Tandis que sa Maîtresse s’attaqua à son oreille, la léchant, Doutzen, elle, vit Félicia se rapprocher. Elle portait aussi une combinaison moulante, et son sexe pointait, membre veineux et turgescent. Elle se pencha vers les deux femmes, et attrapa les cuisses de Doutzen, un sourire sur le coin des lèvres.

« Pour le coup, je ne saurai dire laquelle de vous deux est la plus perverse...
 -  Haaaa... »

Doutzen frémit en sentant le membre s’approcher de son fondement, caressant la queue d’Aoki, provoquant entre les deux femmes une sorte de frisson électrique. Félicia se concentra ensuite, et heurta le fondement de Doutzen, qui poussa un râle, en se tortillant doucement sur place. Sa tête s’appuyait contre le corps d’Aoki... Puis Félicia la pénétra à son tour.

« Hmmmrrrpffff...
 -  HMMMMMMMMMM... !! »

Le visage de Doutzen devint cramoisi, et elle ferma les yeux en sentant cette seconde queue s’enfoncer dans son cul, se mettant à mouiller frénétiquement.

Puis tout ne fut ensuite qu’une explosion de sensations, une douleur extrême s’accompagnant d’un plaisir proportionnellement extrême...

5
Doutzen devait tout de même sauver son honneur face à ses amies ! Que diraient-elles, si elle leur offrait pour ce soir une esclave qui se transformait en éjaculatrice précoce ? Certes, une femme hermaphrodite attirait toujours des points bonus, mais, quand même... Doutzen se devait d’être à la hauteur ! les délégués de classe de Mishima étaient des élèves particuliers, des élèves qui connaissaient les subtilités de Mishima, qui connaissaient son véritable visage et toute la dimension sexuelle inhérente au lycée. Qu’ils soient de sexe masculin ou féminin, les délégués étaient des amants redoutables, qui appréciaient les esclaves. Entre eux, c’était une sorte de jeu, de concours. Après tout, la moitié des professeurs du lycée asservissaient certains de leurs élèves, et les délégués s’amusaient donc à soumettre certains élèves. Doutzen était donc impatiente de leur présenter Alix. Certes, la jeune femme n’était pas, à la base, une élève, mais elle avait été inscrite, de sorte que sa situation était régularisée. Doutzen l’avait présenté en avant-première à Shidoru et à Youko, et les deux femmes étaient conquises.

Youko, qui avait l’habitude de porter des vibromasseurs en elle, soupirait de plaisir en sentant la trique d’Alix. Une verge naturelle était tout de même préférable à une verge synthétique ! Et la queue d’Alix durcissait et gonflait en elle, membre veineux et assoiffé qui venait progressivement la remplir, déformant son sexe, remontant jusqu’à taper contre son col de l’utérus. Soupirant et gémissant longuement, Youko fermait régulièrement les yeux en dansant sur son corps.

« Haaaaannn, ouuuiii, hmmm...
 -  Hmmmm, elle lèche b-bien, haaaa... Ta petite chienne, hmmm... »

Doutzen était finalement la seule qui ne pouvait pas en profiter, mais elle comptait bien se rattraper dans le courant de la journée, notamment ce midi. Alix était bien décidée à tenir, et dépassa allègrement les deux minutes. Youko mouillait de plus en plus sur sa verge, tout comme Shidaru, qui recouvrait de sa mouille le visage de la jeune femme. Alix était en ce moment en situation de bonheur, ainsi prise par ses deux amantes. Aucune des deux n’avait envie d’en terminer, et elles continuaient donc leurs efforts, sans relâche, faisant remuer la table.

Au bout de plusieurs minutes supplémentaires, Youko se mit finalement à jouir, et répandit sa mouille sur la queue d’Alix, qui put également jouir avec grand plaisir en elle. Shidaru, impatiente, remplaça alors Youko, et Doutzen se glissa derrière Alix, s’assurant qu’elle ne pourrait toujours pas voir.

« Je préfère que tu imagines le corps de Shidaru, ma petite esclave... Comme ça, aujourd’hui, tu te demanderas toujours en voyant mes amies qui s’est empalée sur toi avec tant d’énergie ! »

Ce n’était pas grand-chose, mais c’était une petite facétie que Doutzen appréciait. Youko, de son côté, avait laissé Shidaru la remplacer, et caressa rapidement le corps d’Alix, glissant ses doigts gantés sur ses seins. Elle pinça ses tétons, remplaçant les pinces à linge par ses doigts. Elle pinça ainsi chaque téton, tandis que Doutzen, s’avançant sur le corps d’Alix, alla l’embrasser, plaquant sa bouche sur la sienne, coinçant ainsi son corps.

En tout, elles allaient passer toute la pause ici, à s’envoyer en l’air avec la belle esclave, qui allait devoir jouir une troisième fois !

« Ouiii, là, c’est  bien mieux, hmmm... Clairement mieux, haaaaa... !! »

Là, Shidaru était convaincue, pour le plus grand plaisir de Doutzen !

6
Alix était une esclave rebelle, très masochiste, mais Doutzen se dit qu’elle avait peut-être trouvé sa limite en la voyant fermer ses lèvres, refusant catégoriquement le liquide doré. Une humiliation encore trop forte pour elle… C’était aussi la preuve que Doutzen n’était pas une Maîtresse cruelle. Elle cherchait juste la limite d’Alix, et, maintenant qu’elle venait de la trouver, elle avait un moyen de pression ! Elle compatit un peu pour Shidaru… Juste un peu ! La jeune femme était en souffrance, elle se tortillait nerveusement sur place, à tel point qu’Alix jouit presque instantanément, ce qui ne manqua pas de frustrer Shidaru. Doutzen, de son côté, laissa ses deux amies s’affairer avec la jeune femme. Shidaru ne tarda pas à retirer le masque et la bonbonne, et présenta à la place son sexe, avant de s’asseoir sur le visage d’Alix, qui dut la lécher. Silencieuse, Alix émergeait encore de sa demi-heure de frustration, tandis que Youko observait la scène.

La jeune femme avait une culotte très spéciale à retirer, et s’affairait donc, prenant aussi son temps, pendant que Doutzen, elle, réfléchissait soigneusement à la suite. Elle avait encore une nouvelle idée pour punir Alix, et se déplaça vers elle, pendant que Youko se mettait également en position. La belle brune avait grimpé sur les hanches d’Alix, s’appuyant sur ses cuisses, et frottait doucement ses lèvres intimes contre son sexe.

« Tu me fais honte, Alix… Jouir ainsi vite, comme une petite pucelle… J’ai promis à mes copines une esclave talentueuse et formée, et, au lieu de ça, je tombe sur une éjaculatrice précoce !
 -  Ouais, je ne sais pas si on va maintenir la réunion de ce soir… Nous sommes des déléguées de classe, nous, des femmes de haut standing ! »

Doutzen s’était penchée derrière Shidoru. Toutes ces femmes avaient déjà fait l’amour ensemble, et elles étaient autant des amies que des amantes. Le sexe était omniprésent à Mishima, dissimulé dans les soubassements, derrière les portes fermées des réunions de club. Il n’était pas affiché à l’entrée, mais le sexe s’emparait rapidement de chaque élève, et ceux glissant entre les mailles du filet étaient rares, très rares… Et relevaient davantage d’accident de parcours qu’autre chose.

Tandis que Youko continuait à se tortiller au-dessus de la queue de la belle Alix, Doutzen poursuivit ses instructions :

« Youko va s’empaler sur toi, et je vais chronométrer… Si tu jouis en moins de deux minutes, tu passeras toute la matinée rivée sur cette table, jusqu’au déjeuner… Au moins ! »

Ce qui était assurément une perspective horrible et insoutenable ! Mais, après avoir passé une demi-heure attachée là-dessus, Alix devait se douter que Doutzen était tout à fait capable de mettre sa menace à exécution.

« Hmmm-hmmm… Je vais commencer, ma belle…
 -  Et après, ce sera à moi… Et tu auras intérêt à faire oublier ta prestation minable ! »

Shidaru méritait bien ça. Elle n’avait même pas pu en profiter !

7
Doutzen profita de sa demi-heure pour retrouver son calme. Elle récupéra ses affaires, et en profita ensuite pour appeler quelques membres du club qu’Alix verrait ce soir. Pendant ce temps, elle avait lancé une application avec son téléphone portable qui la connectait à la webcam qu’elle avait allumé dans la pièce, ce qui avait au passage déclenché une notification pour chaque membre du club. Chaque membre pourrait ainsi lancer l’application, et voir qu’une esclave était en train de souffrir dans leur salle d’entraînement. Le conseil des élèves disposait de son propre club, et d’un budget suffisamment conséquent, ce qui avait permis aux femmes travaillant dans le club d’avoir des équipements de ce genre. Des équipements redoutables qu’Alix était en train de découvrir. Cette demi-heure promettait d’être la plus longue de sa vie !

*Mais elle l’a bien cherché, après tout... Il ne fallait pas me provoquer !*

Doutzen profita de ce cours pour contacter d’autres amies, et ne s’intéressa pas une seule seconde à ce dernier. À la fin du cours, elle retrouva donc deux autres membres du conseil d’élèves : Youko, qu’Alix avait déjà eu l’occasion de croiser, et Shidaru, une autre élève assez intelligente, mais au tempérament sulfureux, et qui aimait bien provoquer les autres. Ensemble, le trio se rendit dans le local, et Doutzen referma la porte derrière elles.

En les entendant, Alix se mit à gémir, se tortillant sur place. Les filles gloussèrent en tournant autour d’elle, et la main de Shidaru ne tarda pas à caresser son sexe bien tendu.

« Tu lui as mis un cockring ?
 -  C’est une punition !
 -  Oui, et ça a l’air de bien marcher... Regarde comme elle frétille sur place. Si on pouvait la laisser parler, je suis sûre qu’elle implorerait qu’on lui retire cet anneau, et qu’on la fasse jouir. »

Elles s’amusèrent encore, Youko caressant les cordes, complimentant Doutzen sur la qualité de son cordage. Le shibariétait un art délicat, très difficile, et elles s’entraînaient habituellement sur des mannequins. Doutzen avait appris auprès d’autres femmes, précisément comme Youko, et la jeune femme était donc fière des progrès accomplis. L’art de la corde était un art délicat, il fallait faire les bons nœuds, à des endroits précis, afin de pouvoir immobiliser sa proie, sans pour autant lui faire trop mal. À la base, le shibari était avant tout une forme de torture, car, en contorsionnant le corps dans des positions inattendues, on pouvait infliger de grandes souffrances musculaires. L’évolution aidant, le shibari était depuis un art érotique, et les maîtres de cette discipline recevaient souvent des clients voulant juste s’encorder pendant des heures.

Youko caressa ensuite le visage d’Alix, glissant ses doigts sur son bandeau. Elles continuaient à l’observer depuis quelques minutes, et Shidaru se concentra sur sa queue, léchant goulûment ce membre épais, se délectant des couinements d’Alix. Doutzen se déplaça alors, et se rapprocha de l’oreille d’Alix :

« Écoute-moi très attentivement, Alix... Si tu veux jouir, tu vas devoir faire une dernière chose pour moi... »

Pendant qu’elle parlait, Youko s’affairait, et amenait une bonbonne d’eau abritant un liquide plus doré. Si Alix pensait avoir fait le tour de la perversion des filles qui l’entouraient, elle allait vite déchanter ! Youko attacha à la bonbonne un tuyau relié à un masque, et, quand le gode fut retiré de la bouche d’Alix, on se dépêcha de lui mettre le masque.

« Tu es vraiment une vilaine esclave, Alix, et nous allons t’humilier plus bas que terre. Pour les esclaves comme toi, nous avons une belle bonbonne, que nous remplissons régulièrement. Elle contient... De l’urine ! »

Et, pendant que Doutzen le lui expliquait, le cockring fut retiré, ainsi que le bandeau obstruant sa vision, ce qui lui permettrait, en tournant la tête, de voir ses trois tortionnaires.

« Tu vas jouir en buvant notre pisse, Alix ! Et nous arrêterons la bonbonne quand tu auras joui sur nous trois !
 -  Moi d’abord ! »

Youko était la seule à ne pas porter de sailor fuku, ayant encore sa ravissante robe noire moulante en latex. Et, tandis que Shidaru grimpait sur Alix, et approchait ses lèvres intimes pour s’empaler sur elle, Doutzen appuya sur un bouton... Et le liquide doré s’écoula de la bonbonne pour rentrer dans la bouche d’Alix...

...Et Shidaru s’empala alors sur elle !

8
Doutzen se retrouvait face à ce même paradoxe qui agitait les soumis. Comment les punir vraiment ? Ce n’était pas en les humiliant ou en les battant qu’on y arrivait, car c’était très précisément ce qu’ils attendaient ! Et là, en maltraitant la queue d’Alix avec son pied, Doutzen savait que la jeune femme appréciait. Fort heureusement, Doutzen n’avait pas encore dit son dernier mot ! Car, face aux soumis de cette nature, qui étaient très masochistes, il fallait jouer sur la frustration ! Et, là-dessus, Doutzen avait justement des instruments à sa disposition.

Tout en ayant sa queue écrasée, Alix continua d’ailleurs à la provoquer, ce qui amena Doutzen à appuyer davantage avec son talon.

« Mais tu continues encore à me narguer, Alix !! »

Elle serra encore, puis relâcha alors la pression, laissant la queue d’Alix se redresser. Sans rien dire, Doutzen se rapprocha d’une table, et la rapprocha, puis récupéra divers instruments dans un placard : des cordes, un bandeau noir, des pinces, et une ceinture abritant une série de godes de taille et de forme différents qui pendouillaient à cette dernière. Avec sa main, elle tira sur la laisse d’Alix, lui ordonnant de se coucher sur la table. Particulière, celle-ci abritait en effet plusieurs sangles.

Doutzen avait un ton sévère, et désigna la table :

« Allez, dessus ! Couche-toi dessus sur le dos, sale pute ! »

Une fois qu’Alix se fut exécutée, Doutzen l’attacha à hauteur des poignets et des chevilles. Ses poignets se retrouvèrent ligotées sous la table, et ses chevilles le long des pieds de la table, qui comprenaient des sangles. Quant à sa tête, Doutzen l’attacha avec son collier à une sangle au milieu de la table. Ainsi ligotée, la jeune femme était sans défense. Doutzen appliqua ensuite sur son visage le bandeau, bloquant sa vue, et attrapa ensuite les cordes.

« Rassure-toi, j’ai des notions en la matière. Au Japon, le shibari est un véritable art, et, au lycée, il existe des cours particuliers pour nous apprendre ça. Tu vas voir... »

Elle avait glissé cela sur un ton doux, inhabituellement et dangereusement doux. Lentement, elle attacha la femme, tout en enfonçant dans sa bouche un nouveau gode. Elle utilisa les cordes pour retenir le tout en elle, et termina son œuvre en pinçant ses tétons avec ses pinces à linge. De la même manière, elle retira également le plug anal d’Alix pour un plus gros.

Le spectacle final était saisissant.

Doutzen sourit lentement en l’observant, puis attrapa un appareil photo situé dans la pièce, et photographia la jeune femme, puis attrapa la télécommande contrôlant les vibromasseurs.

« Bon, j’ai pris beaucoup de retard, alors... Je vais venir te revoir pour la récréation, dans une bonne demi-heure. D’ici là, tu seras sans doute devenue plus sage. »

Impossible pour Alix de contester, et Doutzen appuya sur le bouton, enclenchant les vibromasseurs. Elle la laissa ensuite sur la table, à souffrir en silence, avec sa queue tendue, et qui ne pouvait pas jouir. Une frustration intense, tandis que, avec les sangles et les cordes, Doutzen avait totalement immobilisé Alix sur la table. C’était une punition bien méritée, et Doutzen referma la porte à clef derrière elle, avant de filer.

9
C’était le paradoxe du soumis. Jusqu’à quel point obéir, et jusqu’à quel point désobéir ? D’un côté, le soumis devait obéir, mais, de l’autre, le soumis étant masochiste, il devait aussi désobéir pour recevoir une punition à la hauteur de la désobéissance. C’était ce qui faisait le sel d’une relation sadomasochiste, et Doutzen le comprenait très bien. Elle comprit donc qu’Alix, en jouant avec elle, en faisant traîner les choses, cherchait une excuse pour se faire punir... Et elle frustra donc volontiers sa Maîtresse, frottant sa queue, allant même jusqu’à feindre de la pénétrer... Avant de s’arrêter. Alix gloussa alors en indiquant avoir « une crampe en bas du dos »... Doutzen grogna alors en se retournant vers elle.

« Je vois... Tu as envie de faire ta rebelle, hein, petite pute ? »

Elle lui refusait sa sodomie ! Doutzen se redressa donc. Elles étaient nues, mais Doutzen avait accès à son uniforme. Elle récupéra alors divers instruments situés dans ses poches, à savoir un collier, une laisse, et... Un cockring. Ce petit anneau noir se posait à la base de la verge d’Alix pour empêcher cette dernière de jouir. Doutzen lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et en profita pour lui mettre son cockring, et l’attacha ensuite avec son collier.

Tout en se rhabillant ensuite, Doutzen la provoqua, enfilant ses collants, sa culotte, son soutien-gorge, puis son uniforme.

« Tu vas me payer cette humiliation, vilaine esclave, oh ça oui, tu vas me le payer ! Je vais te faire regretter ton insolence, sale chienne, tu vas voir ! »

Doutzen pouvait volontiers se montrer autoritaire quand elle le voulait, et Alix allait bientôt en avoir la confirmation. Habillée, elle sortit ainsi en tirant Alix derrière elle, et rejoignit le couloir. La nudité d’Alix ne gênait nullement Doutzen, qui reprit sa marche sans crainte, et ne se dirigea pas vers la classe de Myumi. Après tout, aux grands maux les grands remèdes, et, au vu de l’insubordination manifeste d’Alix, Doutzen était bien décidée à passer avec elle à un degré supérieur !

Elle s’aventura ainsi dans les méandres du couloir, laissant sa petite esclave rebelle avec une belle trique, jusqu’à rejoindre les escaliers, et rejoignit le rez-de-chaussée, là où on trouvait, outre quelques classes, des salles de stockage, et dédiées à l’évènementiel. Elle se dirigea dans un couloir assez sombre, longeant les locaux réservés aux associations du lycée. Fort heureusement, il n’y avait personne à cette heure, et Doutzen s’approcha ensuite d’une porte close. Elle la déverrouilla, et tira encore sur la laisse, invitant Alix à entrer.

« Voilà... La pièce de ta punition ! »

C’était une grande pièce sombre. Doutzen alluma quelques lampes, ce qui permit d’éclairer divers instruments dédiés au sadomasochisme : des chevalets, des cordes, des croix de Saint-André, des cagoules, des trônes sexuels... Un sacré assortiment ! Difficile de croire qu’un tel équipement pouvait se trouver dans un lycée sans admettre que la formation sexuelle était l’un des objectifs secrets du lycée Mishima. Doutzen referma ensuite la porte, et la verrouilla à clef, puis reporta son attention sur Alix... Et commença par la pousser avec le pied. Alix tomba ainsi sur le dos, et Doutzen retira ses sandales rapidement, puis écrasa la verge de la femme contre son pied, plaquant sa queue sur son ventre, et appuya fort pendant quelques secondes.

« Tu vas voir, je vais te dresser, moi, sale pute ! »

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Doutzen n’allait pas pouvoir tenir éternellement ! Elle se souvenait encore avec amusement du moment où elle avait rencontré Alix, et où cette femme avait tenté de la contrôler, de la dominer. De fait, les deux femmes s’étaient battues, mais, finalement, les pulsions profondes d’Alix avaient eu raison d’elle. Et maintenant, elle était là, agenouillée devant elle, amenant doucement Doutzen vers un nouvel orgasme. Et Doutzen, qui commençait à bien connaître Alix, était sûre que l’érection de cette dernière, qu’elle peinait pour l’heure à palper, devait être en train de repartir. Alix était ainsi, et ces quelques premières semaines de formation avaient permis de réaliser combien elle était gourmande ! Doutzen, en réalité, était sincèrement très excitée à l’idée d’avoir sa propre esclave ! C’était un indéniable premier pas pour cette jeune femme, une victoire qui traduisait sa perversion, toujours de plus en plus grande. Et celle-ci n’allait pas s’arranger !

« Oh, Alix... »

Venant la narguer, Alix lui répéta qu’elle commençait à bien la connaître. Se pinçant les lèvres, Doutzen gémissait en effet sur place, mouillant contre les délicieuses lèvres de son esclave, qui se faisait un malin plaisir de la sodomiser avec son doigt, égayant dans l’esprit pervers de la Maîtresse quantité de fantasmes. Elle comptait bel et bien punir Alix, mais... Le fait est que Doutzen, si elle était la Maîtresse d’Alix, était aussi l’esclave d’autres personnes. Elle avait donc aussi bien en elle des pulsions de dominatrice que de pure masochiste, et, en ce moment, ces pulsions étaient en train de s’exprimer. Doutzen soupirait donc de plaisir, se tortillant sur place, sentant le corps d’Alix se crisper encore contre le sien.

Puis le plaisir suprême finit par arriver. Un magnifique orgasme traversa la jeune femme de part en part. Ses doigts se serrèrent fortement sur les cheveux d’Alix, et elle s’abandonna contre ses lèvres, la mouille affluant sur son visage, dégoulinant ensuite sur son menton. Doutz’ s’abandonna joyeusement, succombant au plaisir suprême, et conserva ensuite sur ses lèvres un sourire évasif. L’orgasme... Une situation qui était toujours autant plaisante ! Une véritable libération qui laissait son corps frissonnant et extatique.

Et, devant elle, Alix la nargua encore. Doutzen la regarda silencieusement, puis sourit alors.

« Oh, tu crois ça ? »

Reprenant son souffle, Doutzen récupéra sa montre, et enclencha un chronomètre, tout en lui parlant :

« Nous allons mettre tes dires à l’épreuve, petite salope arrogante... Je vais te chronométrer. Un timer de cinq minutes pendant lequel tu vas fourrer ta bite dans mon cul... »

Car, comme Doutzen le soupçonnait, la verge d’Alix avait bien grossi. Elle pouvait la sentir en avançant son pied, caressant sa verge avec la pointe de sa chaussure. Elle avait entre-temps préparé le chronomètre, puis se retourna alors, et s’agenouilla, avant de se mettre à quatre pattes, en délicieuse position de levrette.

« Dès que je sentirai ta queue en moi, j’enclenche le chronomètre. Si je ne jouis pas au bout de ces cinq minutes, je te punirai très fortement. »

Quel dilemme ! Doutzen savait qu’Alix adorait se faire punir par elle... Elle allait donc devoir choisir quoi faire, sachant que, dans tous les cas, elle se devait d’obéir à sa Maîtresse, qui lui présentait son magnifique cul, dans l’attente de sa belle verge !

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Les alentours de la ville / Re : Future étoile [Aoki Kou]
« le: mercredi 28 novembre 2018, 14:02:14 »
Doutzen était donc là, face à deux femmes redoutables, dans de superbes combinaisons moulantes en latex. Elle en avait la gorge sèche à force de les observer. Hardy-san avait une belle combinaison noire moulante mettant ses formes en valeur, et Kou-san, elle, avait une combinaison similaire, mais blanche. Les deux femmes avaient ouvert leur combinaison à hauteur de leurs sexes, faisant sortir leurs sexes hermaphrodites. Devant ce spectacle, Doutzen ne pouvait que saliver sur place, tremblant nerveusement, et, agenouillée, s’était rapprochée d’elles. Elle avait commencé par prendre la queue de sa Maîtresse en bouche, et les deux femmes se serrèrent contre elle, la main de Hardy-san empoignant également les cheveux de Doutzen, ce qui faisait doucement trembler la jeune adolescente. Qui aurait pu sincèrement croire que les choses évolueraient ainsi, et qu’elle finirait par se retrouver là, à être la délicieuse victime largement consentante de ces deux femmes ? Elle sentait dans sa bouche le membre tendu de sa Maîtresse, et était fiévreuse d’excitation en se disant que c’était grâce à elle, grâce à ses pilules d’hermaphrodisme, qu’elle avait pu faire de Kou-san une Futanari... Ce qui était indéniablement pour Doutzen, dont l’esprit semblait être définitivement corrompu, une meilleure chose !

Mais Kou-san lui demanda de partager. Assise sur ses genoux, Doutzen ré »pondit par l’action. Elle retira sa bouche de la verge tendue de Kou-san, et alla prendre celle de la femme, optant rapidement pour un enchaînement de gorges profondes. Elle reniflait cette odeur de latex, ce mélange agréable de sueur et de latex. Oh, oh ! Quel goût enivrant ! C’était exquis, exquis ! Que ce soit l’odeur, le goût, la sensation de ce membre tendu s’enfonçant dans sa bouche. Elle sentait les ongles tranchants de Hardy-san s’enfoncer dans son cuir chevelu, lui arrachant quelques onctueuses crispations de douleur.

« Hmmm... »

Gémissant encore, Doutzen mouillait de plus en plus, mais n’osait pas se caresser, car sa main masturbait le sexe de sa Maîtresse, et l’autre s’appuyait sur le corps moulé d’Hardy-san, serrant le latex, le faisant doucement crisser entre ses doigts.

« Oui, elle est vraiment douée, hmmm... C’est ça, l’esprit Mishima ! »

Félicia et Aoki s’embrassèrent tendrement, leurs queues tressautant dans la bouche de Doutzen, qui entendit ensuite Kou-san proposer... Une double pénétration dans un même trou. Félicia sourit malicieusement, mais Doutzen avait clairement senti le chibre de Félicia se redresser à cette idée.

*Difficile de dire laquelle est la plus perverse de nous trois...*

Cette idée n’avait en effet pas manqué d’exciter aussi Doutzen, qui restait silencieuse, s’affairant à son œuvre. Félicia retira alors son sexe de son visage, et le maintint là, posé contre le visage de la femme, reprenant tranquillement son souffle, tout en se retournant vers sa partenaire, et lui caressa le visage d’une main. Les joues de la Chatte Noire avaient rougi sous l’effet de ce désir fort qui palpait en elle, vibrant dans sa poitrine, et s’exprimant dans tout le reste de son corps.

Félicia avait déjà le plan en tête, et l’exprima rapidement :

« Mets-toi à quatre pattes, Doutzen... Et présente-nous ton joli cul de petite pute. Nous allons voir si Aoki n’a pas exagéré en vantant tes performances anales. »

Elle allait donc se recevoir les deux belles queues qu’elle venait de durcir au maximum dans le postérieur ? Doutzen s’en mordilla les lèvres, et obtempéra ensuite. Elle se mit donc à quatre pattes, remuant volontairement des hanches, tout en aguichant ses Maîtresses :

« Venez défoncer mon petit cul de salope, mes Maîtresses... Je vous en supplie, faites-moi hurler !! »

Elle se lâchait totalement, incapable de se retenir, Doutzen étant en pleine proie à ses pulsions masochistes et perverses...

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Sa faute tout le temps... Pauvre Alix ! Mais, somme toute, c’était là le lot quotidien des esclaves. L’esclave avait par principe tort, car le Maître, ou la Maîtresse, ne pouvait évidemment se tromper... Et, même quand il se trompait, c’était encore de la faute de l’esclave, qui aurait dû lui signaler cette erreur ! La condition d’esclave était par nature injuste, mais, en l’état, ce n’était sûrement pas Alix qui s’en plaindrait. La jeune femme assumait au contraire de plus en plus facilement son rôle, surtout quand elle réalisait combien ce lycée était pervers, et combien Mishima, sous ses apparences de lycée ordinaire, dissimulait des situations perverses et osées. Après tout, il n’y avait qu’ici qu’elles avaient pu, tout en faisant l’amour dans un couloir, être abordées par une camarade portant une robe noire moulante en latex. Dieu sait ce qui pouvait encore attendre Alix...

Mais, pour l’heure, l’esclave continuait à lécher l’intimité de Doutzen. Celle-ci serrait ses mains sur les cheveux bleus de son esclave, gémissant doucement, et parfois plus fortement, surtout quand Alix glissa un doigt dans son fessier, alternant ses coups de langues de quelques propos bien sentis, qui ne manquaient pas de faire réagir Doutzen.

« Aaah... Ne sois pas si... Si présomptueuse, Alix-chan... Les esclaves arrogantes ne méritent pas de récompenses ! »

En vrai, Doutzen adorait cette situation. Elle avait sa propre esclave ! Qui aurait cru que cette idée puisse un jour la faire à ce point fantasmer ? Après tout, à l’origine, elle avait été une esclave forcée, vendue à la Mafia russe. Reto Kroes avait fait d’elle une esclave sexuelle, dont le but était d’être son « Petit Chaperon rouge », d’offrir son corps à des hommes âgés et pervers afin de pouvoir les piéger ensuite. Une sorte de redoutable prostituée-espionne, qui avait peu à peu accepté sa situation. Le lycée Mishima, où le sexe était si libre, l’avait fortement aidé en ce sens, car elle avait rencontré bon nombre d’élèves aussi pervers qu’elle, ainsi que des membres du corps enseignant. Initialement, Doutzen avait choisi d’être déléguée de classe pour être insoupçonnable, mais cette élection n’avait fait que la précipiter dans les méandres du stupre, en l’amenant à rejoindre des clubs dont Alix allait bientôt pouvoir saisir la teneur.

Quoi qu’il en soit, pour en revenir à la situation actuelle, Alix avait effectivement bien saisi que sa Maîtresse était, comme elle, une grande sodomite. Paradoxalement, la sodomie avait été l’élément le plus difficile à aimer pour elle. Reto l’avait longuement sodomisé, jusqu’à ce que le corps de Doutzen, bon gré mal gré, finisse par accepter la sodomie, et elle en tirait effectivement, depuis lors, un grand plaisir. Ce mélange exquis de douleur et de plaisir... Quand le doigt d’Alix se glissa en elle, Doutzen se pinça les lèvres, et ses doigts se crispèrent plus fortement sur les cheveux de sa partenaire. Elle gémit à nouveau, la respiration lourde.

« Hmmm... A-Alix, haaaa... ! »

De fait, si les élèves dans le couloir n’étaient pas si bruyants, ils auraient sans aucun doute pu entendre les soupirs et les gémissements de Doutzen ! Celle-ci avait beau tenter de se retenir, le plaisir qui déferlait en elle était tout simplement trop fort pour qu’elle arrive à le retenir. Elle le laissait donc s’exprimer, jaillir de son corps, que ce soit sous forme liquide, par la cyprine s’égouttant de plus en plus abondamment de ses cuisses, ou sous forme orale, par ses soupirs. Son bassin remuait doucement d’avant en arrière, accompagnant les mouvements buccaux et digitaux d’Alix. Léchant son sexe et titillant son fondement en même temps, Alix était en tout cas en train de lui prouver qu’elle était très douée en la matière. Sa formation était bel et bien un succès !

La jeune Doutzen en était toute ravie, et elle continuait à se dandiner sur place, gémissant à nouveau. Sa tête heurta le mur, tandis que le plaisir continuait à déferler en elle, de plus en plus vif, de plus en plus fort.

« Hmmm... A-Alix ! »

Doutzen sentit l’orgasme la traverser, et ses doigts se crispèrent sur ses cheveux. Elle s’abandonna au plaisir suprême, contre sa jeune esclave, et ce avec un plaisir sincère et immense, sa mouille déferlant contre la bouche de sa belle partenaire.

« Là... Lààààà... »

Oh, oh, que c’était bon ! S’abandonnant au plaisir, Doutzen en ferma les yeux, une vague d’allégresse venant s’emparer de son corps après ce délicieux orgasme.

13
Elles continuaient à s’envoyer en l’air dans le couloir, Doutzen se faisant prendre contre le mur. Alix continuait à la prendre, complètement lâchée. Quelle magnifique transformation ! Doutzen pouvait se féliciter d’avoir su transformer cette jeune femme rebelle en une belle perverse, une fille qui n’éprouvait maintenant plus aucune gêne à faire l’amour dans un lieu public. Ceci étant dit, Mishima restait un lieu très particulier, et leur rencontre avec Youko n’avait, visiblement, fait que renforcer les ardeurs d’Alix. Doutzen n’allait toutefois pas s’en plaindre, car elle adorait ça. Elle se faisait joyeusement prendre contre le mur, et gémissait longuement, ornant le mur de sa sueur.

« Haaaa… !! Hmmmm, A-Alix, hmmm… !! »

Doutzen gémissait longuement, se tortillant sur place. Si Alix aimait la sodomie, c’était aussi un trait commun avec Doutzen. Le membre tendu de sa partenaire s’enfonçait dans son con, lui arrachant de nouveaux soupirs. Sa salive se mélangeait à celle d’Alix tandis qu’elles échangeaient des baisers. Il fallait bien admettre que ce mur était bien moins confortable qu’un lit, et elle se tortillait dessus, tandis que les minutes continuaient à défiler, chaque minute passée les rapprochant de l’heure de la sonnerie. Doutzen gémit à nouveau, heurtant le mur, et sentit encore Alix s’appuyer contre elle.

Elle esquissa un nouveau soupir, gémissant de nouveau, et sentit Alix continuer à s’enfoncer en elle. Elle avait bien entendu sa jeune esclave lui demander si elle aurait droit à une récompense, mais… Et bien, Doutz’ n’était tout simplement pas en état de lui répondre ! Elle se faisait après tout bourrer la chatte, mais… Doutzen avait souvent répété à Alix qu’elle était une Maîtresse gentille, qui n’hésitait pas à récompenser ses esclaves pour leur fidélité, pour leur énergie… Et il fallait bien admettre que, en ce moment, Alix était très énergique ! Elle la besognait joyeusement, enfonçant sa queue jusqu’à la garde dans son sexe.

« Tu… Tu vas me briser le dos, hmmm… »

La Maîtresse et l’esclave s’unissaient l’une à l’autre, ne faisant plus qu’un dans un même élan, un élan de sexe et de passion. Elle gémissait donc longuement, serrant ses doigts sur les cheveux d’Alix. Leurs baisers étaient mordants, une excellente manière d’étouffer les soupirs de Doutzen… Jusqu’à ce qu’elle sente Alix se relâcher en elle. La belle hermaphrodite s’abandonna énergiquement en elle, balançant des filaments de foutre dans son corps, se répandant goulûment.

« Ohhh… Alix, hmmm... »

La sensation d’être remplie, d’avoir du sperme débordant dans sa chatte… Ah, Doutz’ adorait ça ! Elle sourit ensuite en reposant pied à terre… Mais Alix n’avait toujours pas fini ! Elle se dépêcha en effet de s’agenouiller devant elle, et lécha son sexe. Doutzen gémit encore, sentant la langue vorace d’Alix glisser sur ses cuisses, avalant les fluides intimes qui en sortaient, un mélange de cyprine et de sperme. Elle avalait sans difficulté, continuant à gémir, et la main de Doutzen ne tarda pas à l’accompagner, serrant les cheveux bleuâtres de sa partenaire, qui continuait à s’y attaquer avec appétit.

Doutzen gémissait donc, se tortillant sur place, s’appuyant contre le mur, ses joues encore légèrement rouges sous l’effet du plaisir qui croissait en elle.

Et la sonnerie retentit alors.



Quelques instants après, la porte de la classe s’ouvrit, libérant une flopée d’élèves. Personne ne sembla s’attarder sur les quelques traces ornant le mur, et il y eut un brouhaha de bruits de pas, de paroles échangées, de mots rapides, le concert diffus et habituel d’un lycée.

Près de la porte de la classe, une autre porte avait été utilisée, donnant sur un local technique, où, au milieu de balais, de serpillières, et d’outils ménagers, Alix finissant son cunnilingus. Doutzen gémissait doucement, la tête appuyée contre un placard, mouillant encore, offrant à Alix une délicieuse salve, leurs affaires traînant sur le sol. Ils avaient réussi in extremis à s’abriter ici, emmenant avec eux leurs vêtements.

« Là, oui… Bois bien, Alix, tu auras droit à ta récompense auprès d’Ichtora-senseï… Mais je crois que nous allons manquer aussi le prochain cours. Hmmm… Tu me paieras ça ce soir, haaaa… Me faire manquer des cours, c’est la preuve que tu es une vilaine esclave, Alix ! »

C’était aussi ça, la dure vie d’esclave… Quoi qu’il se passe, on avait toujours tort !

14
C’était l’illustration de tout le côté paradoxal de leur relation. D’un côté, une belle blonde, et, de l’autre, une femme hermaphrodite musclée. Physiquement, la force était avec Alix, qui pouvait en effet soulever Doutzen, et la forcer sans aucun problème. Pourtant, des deux, c’était bien Doutzen qui dirigeait. Alix était son esclave, et voir Doutzen nue ne faisait que rappeler ces différences. Sans être une femme bodybuildée avec des muscles outranciers,  Alix n’en restait pas moins une femme charpentée, très belle, mais avec de beaux muscles, ce qu’elle ne tarda d’ailleurs pas à démontrer. Se rapprochant de Doutzen, elle la souleva sans ménagement, et posa ses mains sur le cul de la belle blondinette. Doutz’ s’en pinça les lèvres, et serra ses jambes autour de sa taille, posant sa main sur ses cheveux, en appui, avant de lui sourire tendrement.

« Allez, Alix… Viens me baiser, ma chérie ! »

Il aurait été impensable de résister. Doutzen était une femme magnifique, une beauté fatale, un corps de mannequin de luxe, et la queue d’Alix s’enfonça d’un coup en elle. Doutzen écarquilla les yeux à ce contact. Tout son corps se mit à frémir, et elle gémit alors, rougissant sur place, son corps venant se crisper sur celui d’Alix, ses ongles se plantant pendant quelques secondes dans ses cheveux, tandis que la femme, avec une bonne assise, commença à donner des coups de reins. Alix s’aidait du mur pour accompagner ses solides mouvements dans le corps de la femme.

Doutzen n’était tout de même pas si cruelle ! Elle n’allait quand même pas la laisser retourner en classe comme ça, avec son érection ! Après tout, Doutzen retournait les choses, car elle avait très largement contribué à la perversion d’Alix, à encourager cette situation actuelle.

« Alix, hmmm… Ouuui, haaa… »

Gémissant doucement, Doutzen sentait les coups de reins de la femme s’accroître, et alla l’embrasser, profitant d’une seconde d’inattention de sa concubine pour lui voler un long baiser. Sa langue fonça rapidement dans sa bouche, et elle se mit à remuer doucement, accompagnant avec son bassin les mouvements d’Alix. Sentir sa délicieuse queue en elle… Ah ! C’était un bonheur immense ! De plus, après la visite de Youko, Alix était bien chaude, bien excitée, ce qui rendit ses coups de reins encore plus jouissifs, et encore plus solides !

« Hmmm… Encore, haaa… Encore !! A-Alix, hmmm… !! »

15
Youko n’avait fait qu’un simple teasing, et il était difficile de croire qu’elle était venue là purement par hasard. Elle partit donc au bon moment... Sauf pour Alix. La jeune hermaphrodite resta avec une solide érection, une belle trique qui remontait sur elle. En manque, Alix se retourna alors vers Doutzen, et plaida sa cause, exposant qu’elle avait mal au sexe, et qu’elle ne pouvait pas retourner en cours dans ces conditions. Doutzen la regarda silencieusement, et sourit malicieusement.

« Oui, je vois ça... Pourtant, tu as déjà joui, non ? Tu voudrais jouir une deuxième fois ? Tu es vraiment une grosse gourmande, Alix ! » feignit de s’offusquer Doutzen.

Elle la provoquait, bien sûr, et sourit encore, puis s’écarta un peu, et s’adossa contre le mur, face à elle. Le temps continuait à se réduire, et elle avait bien noté combien Alix avait peur d’être surprise. C’était une raison de plus de la titiller, de la provoquer. Doutzen remarqua sa montre en hésitant un peu.

« Nous disposons encore de cinq minutes avant la sortie des classes. Alors, tu as intérêt à te dépêcher. Je t’ai déjà sucé, et, vu comment tu jutes, si je te masturbe, tu vas en foutre partout. »

Autrement dit, il fallait qu’Alix répande son foutre dans un endroit où personne n’y trouverait à redire. Doutzen écarta donc les cuisses, tout en se déshabillant. Il y avait bien longtemps que la jeune femme avait perdu sa pudeur, ce qu’elle témoignait en ce moment. Elle retira donc sa culotte, ainsi que son uniforme, ce qui lui prit quelques secondes, et, nue, se redressa devant Alix. Elle en avait même profité pour enlever ses chaussettes, sachant très bien que la vue de son corps nu devrait encore exciter son jeune esclave.

En réalité, Doutzen était très heureuse de l’appétit sexuel important d’Alix. Plus celle-ci serait gourmande, et plus Doutzen serait ravie ! La finalité était après tout d’en faire une grande perverse, une nymphomane en puissance qui exaucerait les vœux les plus pervers de la jeune femme. Du doigt, elle fit signe à Alix de venir, le sexe dressé vers elle.

« Allez, ma chérie ! Viens besogner ta Maîtresse, allez ! »

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