Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Shizuru Miko

Pages: [1] 2 3 4
1
-Hj-Je fais beaucoup de jeu de rôle :)-Hj-

Aphrodite n'avait jamais mis sur son chemin des obstacles insurmontables. Elle avait agi avec une logique glaciale, mais elle avait connu des mortels a la langue mieux pendus capable de ventre des peignes a des chauves et a convaincre que l'impossible était possible. Shibiyo avait le potentiel, il ne l'avait juste pas éveillé, le potentiel elle allait le reveiller d'une pichnette bien placée en lui montrant tout simplement comment dominer une conversation, ce qu'elle faisait en ce moment précis. Avec ses sous entendus grivois elle avait emmené Shibiyo a se laisser porter par ce qu'elle disait et commettre des erreurs, faisant comme si elle ne comprenait pas pour tout simplement lui montrer qu'elle avait compris au moment opportun, celui ci était rapidement arrivé et il s'était auto-torpillé avec sa précédente réplique. A partir de maintenant a moins qu'il rattrape immédiatement le coup ça allait battre de l'aile. Un débat était un peu comme un match de Tennis, il fallait renvoyer la balle avec la même force a son adversaire et le premier qui craquerais perdrais le service. Pour le moment, le score était de 1-0 pour Shizuru. Aphrodite n'ayant même pas a intervenir finalement, Shizuru étant persuadée de toute façon de faire un travail impécable.
Ici elle venait de mettre Shibiyo en défaveur, et une attaque totale serait vraiment la pire strategie a laquelle il pourrait penser a ce moment précis alors que, comme dans tout débat de domination, tout se passait a grand renfort de sous entendus et de double entendres.

La réplique de Shibiyo fut étonnament faible. D'un niveau plutôt consternant il ne s'était pas déconcentré pour le moment mais il s'était tout simplement contenté de nier ce qu'elle venait de découvrir alors qu'il y avait bien plus grand a faire a partir de là...Bref, elle le laissa vider son sac en le regardant d'un air strict.


"Vous savez parfaitement ce que je veux dire Mr Osaki. Je ne remet pas en question les capacité des autres surveillants que j'embauche, en revanche en voulant dépasser vos horraires vous vous attribuez leur travail, ce qui est innacceptable puisqu'ils ont postulé a ce poste pour le pourvoir et non pas pour que vous le pourvoyez a votre place. Ne vous meprennez pas, il est tout a fait louable qu'un étudiant veuille financer ses examens en postulant pour un emploi de surveillant mais il ne le fera jamais passer avant sa réussite comme vous le faites, vous n'avez jamais parlé de ceux ci quand je vous ai dit que vous devrez faire des heures suplémentaires. Qui plus est par vos sous entendus grossiers je sais a présent pourquoi."

La main de la directrice tapa sur le bureau avant de lancer

"Oser ? Ce n'est pas un jeu de "Cap ou pas cap", si vous n'êtes pas capable de prendre cet entretiens serieusement vous pouvez tout autant sortir de ce bureau."

Lança Shizuru dans le calme.


2
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: samedi 23 janvier 2010, 22:28:14 »
Effectivement :) tu es libre de controler tous les aspects de ton personnage ici donc ne te gène pas !

3
L'Art / Re : Ma Galerie
« le: samedi 23 janvier 2010, 18:21:55 »
*Toctoc*

*Entre*

Kira les signatures que tu fais sont trop hautes, essaye de les réduire a l'avenir. Beau travail quand même :)

4
-Hj-Elle ne le peut pas, si je t'ai donné cette impression ce n'était pas mon intention-Hj-

La pluie écrasant la vitre derrière la directrice se fit de plus en plus forte, couvrant presque l'entretiens et lui donnant une atmosphère intime très appropriée pour leur échange. La jeune femme eut un sourire ambigu alors que celui ci lui répondait. Ils avaient tous deux conscience du bras de fer psychologique qui se déroulait ici entre la directrice et le postulant, a savoir lequel des deux craquerait le premier. Shibiyo préparant ses arguments avec précaution, Shizuru semblait tout autant concentrée, mais en réalitée Aphrodite se laissait aller au cours de l'eau avec l'assurance d'une déesse qui répondrais du tac au tac a tout ce que Shibiyo dirait si jamais Shizuru venait a flancher. Bien qu'elle doutait sincèrement qu'il arrive a ébranler sa strategie avec les informations dont il disposait. Car en effet, Shizuru disposait d'une strategie, a voir si celui ci allait être assez intelligent pour l'intercepter, ce dont elle doutait. C'était un jeu de dupes, parfois Shibiyo ne laissait aucune ouverture, parfois elle en laissait, et vice et versa. Shibiyo étant convaincu de ce qu'il voulait, quand aux motifs de la directrice ils étaient plus enigmatiques.

Le poker ce n'était pas sorcier quand on avait son bluff. Le jeu de carte, c'est comme l'amour, savoir quand jouer et quand se retirer était éssentiel dans toute bonne strategie. C'est pourquoi sur le moment elle apparaissait comme un bloc immuable. Sa démarche eut néanmoins exactement l'effet désiré sur sa cible : elle destabilisa assez Shibiyo pour qu'il réfléchisse quelques secondes a sa réponses, et celui ci rejeta la possibilité d'une attaque directe suicidaire. Sa réponse fut formelle et aimable son sourire montrant a lui seul qu'il pensait avoir le dessus sur la situation. La répartie de l'homme fit sourire Aphrodite. Il avait de l'esprit, c'était évident "être "proche" des élèves si ils avaient un "coup dur" ?" Sous entendre qu'il serait de toute façon actif sur ses filles et qu'en PLUS il serait payé pour ça ?Voilà qui remontait dans l'estime de la déesse alors que le vent semblait approuver et claqua contre la fenètre tout autant que la libido de Shibiyo : ils tentaient tous les deux de pénétrer chez elle.

La suite de l'entretiens dépendait maintenant uniquement d'elle et celle ci arriva alors que les lèvres de Shizuru demeuraient immobiles elle se remit a parler immédiatement après que Shibiyo achève sa phrase avec la même aisance.


"Je vois, vous êtes donc motivé pour donner de vous même quel que soit les circonstances."

Le premier piege se referma sur Shibiyo, alors que la faille que Shizuru avait ouverte se refermait immédiatement sur lui sans prevenir pour redevenir cette montagne dépourvue d'aspéritées, sommet imprenable que Shibiyo n'était pas près de dominer

"J'en déduis donc que vous n'avez que peu d'interêt pour la suite de vos études en fin de compte ?"

Le piege était donc ici.

"Après tout vous cumulez un travail de surveillant avec vos classes préparatoires, vous ne pouvez pas vous permettre de vous charger de tous les problèmes, c'est pourquoi il existe plusieurs surveillants dans cet établissement et que votre manque de confiance en leur propres capacités a régler le problème risque de porter préjudice a notre établissement."

Si Shibiyo avait lu "Stupeur et Tremblement" il découvrirait que le mode de travail japonais était bien différent de celui des autres, et là où on est bien vu en france pour faire des heures suplémentaires, la plupart des pays étrangers considèrent celà comme une preuve d'incompétence et finissent par sanctionner le comportement par des renvois sous motifs que "Pourquoi nous embauchons vous si vous n'êtes pas capable de réaliser votre travail dans le temps imparti ?" Au japon où de nombreux salaryman travaillaient jusqu'a des heures pas possibles après la fermeture des bureaux ceux ci pouvaient se le permettre, au mépris de leur famille.

Mais Shibiyo devait également passer ses examens en même temps, et ne pouvait donc pas.

Et sur ce Shizuru acheva en donnant le coup de grâce, tuant la bête a présent emprisonnée dans le piege a loup en s'avançant près de son bord du bureau pour rapprocher son regard de Shibiyo et de lancer


"Ce travail de surveillant semble être plus important pour vous que la réussite de vos études, et si j'en crois vos sous entendus je comprend pourquoi. Vous n'êtes pas le premier que je piège, Mr Osaki. Savez vous la réputation désastreuse qu'aurait notre établissement si ce genre "d'incidents" devaient se produire ?"

Shizuru se rassit dans son fauteuil, elle n'avait pas encore ordonné a Shibiyo de sortir mais celà semblait très probable qu'elle allait le faire. Tout comme la plupart des femmes elle avait dit certaines choses en en pensant d'autres et piégé Shibiyo avec ses propres mots.

"Comment voulez vous après ça que je vous engage, Mr Osaki ?Si notre établissement est irréprochable, c'est justement parce que des gens tels que vous, ne passent pas l'entretiens d'embauche."

5
C'était déjà un peu mieux. Shibiyo avait compris qu'il allait devoir s'adapter rapidement dans une telle conversation si il ne voulait pas être complètement pris au dépourvu. Cet échange serait un ultime test de foi entre la directrice et son surveillant, si jamais il échouait il se contenterait de passer sans avoir pu profiter de ce qu'elle avait a offrir. Evidement les demandes de Shizuru variaient selon les personnes qu'elle auditionnait, elle se montrerais surement moins subtile envers un prof de sport, elle attaquerais même ouvertement un membre du personnel plutôt timide et renfermé .Mais Shibiyo reposait sur sa logique élémentaire et elle avait envie de savoir jusqu'où il était capable d'aller. Inutile d'avoir un super Sherlock Holmes si celui ci était incapable d'être convaincant...Il arriverait surement a se faire quelques élèves assez naïves pour l'écouter, mais elle doutait franchement qu'il puisse aller plus loin si il se bornait a ce genre de conversations. La réponse de Shibiyo aurait pu sembler moins convenable que sa précédente argumentation au premier coup d'oeil mais il y avait quand même evolution, même si c'était petit et qu'elle attendait mieux de l'homme. Elle était sure qu'en se forçant un peu il pourrait y aller plus fort, mais c'était un japonais après tout, tout était dans la réserve et le doigté...

Et puis il la testait. Aphrodite voyait bien celà, il essayait de voir son niveau mais il n'y parviendrais pas. Si elle voulait elle pourrait le manipuler entièrement et avant qu'il ne le comprenne il serait déjà en train de faire ce qu'elle voulait. Néanmoins elle ne voulait pas un surhomme, simplement un homme avec sa propre force. Shizuru n'était pas une personne très ironique et elle ne s'offusquait pas des madame. Sa situation maritale ne regardant qu'elle et elle n'irait pas l'étaler dans la figure des gens qui lui parlaient en précisant "C'est mademoiselle" comme le faisaient la plupart des étrangères. Il ne fallait pas oublier qu'a part le nom, Shizuru n'avait rien de japonais. Blonde aux yeux bleux elle était très clairement étrangère...Mais parlait comme si elle avait vécu toute sa vie ici. Mais ses origines ne regardaient qu'elle. Aphrodite récompensa Shibiyo en envoyant une seconde impulsion chez Shizuru qui commençait a se sentir légèrement embarassée mais n'en laissait pour le moment rien paraître. La question qui suivit fut bien plus orientée là où les deux protagonistes le voulaient.


"Vous m'avez dit avoir une disponibilité totale. Seriez vous prêt par exemple a fournir des heures suplémentaires pour assister une élève dans des devoirs ou l'aider a passer une mauvaise phase ?"

La question semblait anodine mais a ce train là Aphrodite était sure qu'ils se comprennaient très bien. Après tout elle avait dit une élève, et non pas un élève.

"Nous avons surtout besoin de personnes qui ne rentreront pas a la fin de leur service et seront capable de proposer un suport humain a nos élèves tout au long de l'année. Vous n'avez jamais travaillé dans ce genre de milieu, comment pensez vous vous y prendre ?"

Après tout cette conversation était toute en subtilitée et en perches tendues, a voir lequel allait rater la sienne le premier.

6
Sans aucun accroc Shibiyo mordit a l'hameçon, elle s'y attendait en même temps vu les deux gros "appats" dont il essayait de détourner le regard depuis le début de la conversation. Elle ne pouvait pas lire dans les pensées de Shibiyo, elle ne le voulait pas de toute façon. Ses siècles d'existence lui avaient de toute façon appris a se fier a ses analyses psychologiques qui ne la trompaient jamais. Qui plus est elle ressentait l'energie sexuelle de Shibiyo et ses variations, ce qui aidaient beaucoup a savoir si elle lui faisait de l'effet ou non. Le cas contraire elle aurait trouvé un prétexte quelconque pour ne pas le prendre. Elle n'avait pas besoin de moines et de saints dans sa petite ferme au pouvoir. Car c'était comme ça que le voyait Aphrodite. Une petite marre où elle pouvait se délecter du tourment de la vie sentimentale des lycéens où même la frustration pure lui donnait du pouvoir. Bref, Shibiyo pour l'instant était bien parti. Elle s'apperçut que celui ci passait plus de temps a l'écouter parler pour fomenter sa réponse. Elle perçut celà comme un défaut dans son bagou. Un bon menteur l'aurait déjà persuadée qu'il lui était indispensable tout en ne cessant de lui adresser la parole pour ne pas lui donner le temps de penser, en lui donnant le temps de reflechir, et en se donnant le temps de reflechir, Shibiyo montrait qu'il abordait la question avec analyse et qu'il préparait sa réponse : il manquait de spontanéité. Après quoi peut être jouait il les étudiants consciencieux de passer la mise a l'épreuve, mais dans ce cas il ne la fixerait pas dans les yeux avec autant d'insistance. Il était perdu entre deux répertoires, rendant sa démarche détectable par quelqu'un qui aurait plus d'experience que lui...

Après tout les mortels n'étaient pas aussi bons que les dieux, sinon ça se saurait. Il n'arrivait visiblement pas a ôter son esprit de son décolleté bien que ses yeux et ses pensées soient ailleurs.

Shizuru était une poupée de chiffon. Sa vie, tous ses souvenirs étaient fabriqués, mais tout comme n'importe quel habitant de Terra de plus de 14 ans, elle s'en sortait très bien avec. Aphrodite elle, n'habitait pas pleinement son avatar, elle ne faisait que lui donner des impulsions pour que sa personnalité aille dans un sens ou dans l'autre, comme si elle montait une jument docile. La réponse de Shibiyo la déçut parciellement, il ne lui avait appris que des choses qu'elle avait deviné en le voyant entrer dans la pièce et rien de vraiment consistant. Il ne prenait de toute évidence pas l'enjeu assez au serieux et ça risquait de lui porter préjudice un jour, elle devait hausser le niveau.

Feignant d'ignorer ses sous entendus (Et quand Aphrodite le fait, ça veut dire a la perfection), Shizuru lança sur un ton serieux.


"Vous devez savoir que vous n'êtes pas le seul a m'envoyer des dossiers de candidatures Mr Osaki, votre déclaration ne m'éclaire en rien sur pourquoi je devrais vous choisir vous plutôt que la vingtaine d'autres dossiers que j'ai a consulter. Vu vos résultat je pensais qu'un homme de votre intelligence saurait que ce que vous venez de me dire équivaut a ce que j'entend a chacun de mes entretiens. Epargnez moi donc les lieux communs et la réthorique et répondez clairement a mes questions."

Le ton était strict en accord avec sa tenue de directrice. Shizuru lançait un regard intense a Shibiyo. La raison pour laquelle elle était une épreuve c'est qu'une femme mure a son poste ne mordrait pas a l'hameçon aussi facilement que les petites pucelles dont il n'était pas encore le parrain. Elle lui intimait donc de cesser de tourner autour du pot et d'en venir au fait.

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Aphrodite ne ferait rien si Shibiyo n'initialisait rien. Elle le laisserait simplement s'impregner de l'atmosphère de l'école, car après tout, c'était a lui de choisir qui serait ses proies, elle sentait un esprit vif, un prédateur qui ne demandait qu'a s'éveiller sous les bonnes caresses. Les prédateurs étaient un peu ses proies favorites, aimant leur faire croire qu'ils l'avaient attrapé et abusant d'elle ne sachant jamais qu'elle avait le pouvoir de lui exploser le crânre contre le mur si elle le souhaitait. Elle en avait déjà rencontré, de nombreux. Qui plus est leur frustration et leur délire de puissance les poussaient a toujours repousser les limites de leur potentiel. Un homme ou une femme possédait quelque partenaires au cours de sa vie puis se posait. Les prédateur en avaient souvent bien plus et ne se posaient pratiquement jamais. Hors toutes les sortes d'amour étaient bonnes pour son pouvoir. Et comme peut de gens peuvent developper l'amour platonique véritable, celui qui fournit le plus de puissance a la déesse, elle avait tablé sur la quantité plus que la qualitée. Et c'était là où elle était. Si il fallait compter sur un amour romantique et véritable a notre époque elle pouvait toujours l'attendre.

Avec leur culture les japonais étaient le peuple idéal. Après tout n'était ce pas ici qu'on considérait son premier baiser comme aussi important que sa virginité ? Ce peuple puritain mais ne souhaitant que publier plus de revues hentaï avaient fasciné Aphrodite. Si ce n'était pas le meilleur endroit pour se refaire il était dans le tiers monde, mais ça impliquait bien plus de maladies indésirables dans le processus. Ici, avec les protections actuelles ainsi que les tabous de la société, elle était presque garantie de s'établir. Souriante elle le laissa la dévisager sans faire mine de s'y interesser. Elle se sentit déshabillée du regard avec plaisir alors que son avatar, Shizuru, était encore persuadée que tout se passerais bien.

Et tout allait se passer bien. Seulement peut être pas comme elle l'avait imaginée.[/i]

"Osaki...Oui je vois qui vous êtes, vous souhaitez continuer a étudier dans une classe préparatoire et peut être intégrer le lycée en temps que surveillant. Hm. Je vais vous poser quelques questions."

Aphrodite donna une petite tape mentale aux fesses de son avatar histoire de lui faire commencer a prendre du plaisir, rien de perceptible a l'oeil nu mais ça viendrais surement

"Qu'est ce qui vous fait penser que vous êtes qualifié pour intégrer ce poste ? Quelles sont vos passions et comment pensez vous que seront vos interactions avec les élèves?"

Lui demanda t'elle avec serieux. Il s'agissait d'un test, et Shibiyo pouvait très bien être inscrit sans décrocher le gros lot qu'elle était, il allait donc devoir faire attention a ses réponses.

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Hmmm ?

L'esprit d'Aphrodite s'eveilla alors qu'elle sentit un fort potentiel encore latent s'approcher d'un de ses avatars, plus particulièrement la directrice Shizuru qui s'occupait de gérer le lycée. L'admition au lycée pour les filles était principalement basé sur des critères de beautée et de carractère plus que sur celui des notes et de la réputation. Shibiyo remarquerait assez rapidement qu'il n'est entouré que de canons. Le problème pour les garçons qui essayent de s'inscrire également c'est que le critère de selection ne se fait pas forcement sur le muscle ou la beauté, certains étaient refoulés parce qu'ininteressants aux yeux de la déesse. Néanmoins il y avait pas mal de thon parmi les garçons. Ce qui interessait surtout Aphrodite chez un mâle n'était pas la beauté physique mais la frustration sexuelle. Le japon avait le taux de criminalité le plus bas au monde, mais peu de gens savaient ce que quelqu'un de désesperé pouvait déclancher. Dans le cas de Shibiyo il n'avait pas de soucis a se faire de se coté là, mais Aphrodite voyait bien des choses et ce qu'elle ressentit c'était l'esprit de Shibiyo comme une horloge bien huilée il allait là où il le voulait sans se soucier de la moralitée...Eventuellement si elle le tournait pour fonctionner en Seikusu il pourrait facilement faire une trentaine de conquètes lors de cette année scolaire, sinon plus. C'était interessant, il fallait qu'elle le teste néanmoins avant tout pour savoir si il serait capable d'utiliser au mieux cette force ou de gacher son potentiel.

Shizuru n'était là que pour l'informer de ce genre de choses. La plupart du temps la vie de cet avatar la désinteressait complètement. C'était un avatar des plus classiques. Crée dès sa naissance a 24 ans elle lui avait implémenté des souvenirs pour lui faire croire qu'elle était une femme serieuse et que c'était pour ça que son institut avait autant de succès, elle ignorait completement qu'elle était instrumentalisée et que Seikusu n'était rien de plus qu'une enorme orgie entre chaque cours. Elle avait fait ses études de façon normale, avait eu un petit ami de façon normal avec qui elle avait rompu de manière toute a fait normale tout en travaillant normalement. Souvent elle réagissait aux gros potentiels qui arrivaient et se retrouvait completement surexcitée, une situation dont elle avait honte d'elle même mais qui n'était que la manipulation d'Aphrodite.

A travers ses yeux, elle lui donna une poussée et la directrice lança a Shibiyo


"Déposez votre manteau sur le porte manteau et entrez."

Fit la voix a travers la porte du bureau de la directrice. Si Shibiyo entrait il verrait un bureau impécablement rangé avec de nombreux dossiers sur les cotés, assise au bureau se trouvait une femme, blonde aux yeux bleux, la peau pâle, une chemise a decolleté impressionante sans être trop coquine (Quand on a une poitrine aussi large forcement...), une jupe noire plissée et les cheveux ramené en chignon derrière sa tête. Des lunettes sévères sur le nez, des collants résilles et des haut talons. Shizuru lança avec serieux

"Asseyez vous, j'ai besoin de votre nom et de votre prénom pour savoir où vous êtes assigné."

Lança Shizuru en se levant et en avançant vers les dossiers, laissant a Shibiyo l'occasion d'admirer son magnifique posterieur moulé a travers sa jupe noire.

9
Dortoirs et douches / Re : Douceurs nocturne[Satsu]
« le: mercredi 03 juin 2009, 22:43:21 »
Aucune initiative. Elle aurait cru les petit jeunes un peu plus remuants que ça. C'est vrai, elle avait failli attendre, et tout ce que Akaiken allait tirer si il ne prenait pas un peu la situation en main ça serait de repartir sans rien avec une excitation qu'il ne pourrait jamais assouvir. Elle aimait les mâles entreprenants, elle en avait assez de faire le premier pas. Il allait falloir trouver quelque chose pour déshabiller plus vite le pauvre Akaiken et vite, où elle ne répondait plus d'elle...Mais que lui arrivait t'il?Elle n'était jamais comme ça d'habitude, pourquoi avait t'elle tant envie de faire l'amour a ce Lycéen tout d'un coup malgré les risques que celà présentait, et malgré que sa position pourrait être compromise, cette position qu'elle avait pourtant tout fait pour gagner et qui lui tenait tant a coeur. Elle n'y pensait même plus a présent, tout ce qu'elle voulait, c'était avancer dans la drague ouverte de cet adolescent qui devais bien avoir plus de 10 ans de moins qu'elle, et son corps vigoureux et jeune. Elle était donc si en manque que ça?Elle devait se ressaisir un peu, réfléchir, renvoyer le gamin chez lui et peut être qu'il oublierais cette histoire. C'était ce que Shizuru se disait, ce n'était surement pas ce que voulait Aphrodite.

Aussi quand il enleva sa chemise Shizuru se sentit fondre un peu plus...Combien de temps allait t'elle tenir cette comédie?S'approchant d'Akaiken, elle récupéra la chemise et sa bouche se mit a parler avant que son cerveau ne réfléchisse


"L'uniforme doit être propre, vous ne ferez pas partir l'alcool avec un chiffon, donnez moi ce pantalon Mr Akaiken!"

Et sans autre forme de procès elle se mit a tirer sur le pantalon pour l'enlever, elle y arriva éventuellement, sans le déchirer, mais la résistance l'étala sur la table derrière elle, renversant son verre de vin ainsi que la bouteille restante sur son corps si peu vetu.

Diverses "marres" était apparues sur le corps innondé de la directruce, une s'était formé a l'intersection de ses jambes, dans son bassin, la seconde s'écoulait a présent entre les dunes de sa poitrine.

Sans plus de commentaires, couverte d'alcool, elle se releva, la table était en miette, ce n'était pas grâve. Esperant qu'il aie compris, elle se mit a ramasser les débris


"Vous êtes vraiment le pire élève qu'il m'aie été donné de voir"

Satsugaï avait a présent une excellente vue de la croupe voluptueuse de la directrice dont le liquide n'avait fait qu'affirmer ses formes sans pour autant les dévoiler

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Dortoirs et douches / Re : Douceurs nocturne[Satsu]
« le: samedi 07 mars 2009, 16:55:29 »
Fichu, ou pas. Shizuru comme expliqué précédement était dans un état assez euphorique avant de descendre l'escalier, elle était même partie a la recherche d'un élève a tirer du lit pour lui faire passer un agréable quart d'heure avant de se reprendre, le fait d'emmener Akaiken là où nul ne pourrait la discréditer pour son acte fit monter une bouffée de chaleur en elle alors que la directrice se sentait soudain très apte a négocier la relaxe du jeune garçon moyennant service rendu a l'école, ça allait de soi. Shizuru posa une main sur son front alors qu'elle cherchait le nom de Satsugaï, dans les dossiers. Elle devait vraiment faire arrêter ça. Elle n'était pas arrivée là où elle était en couchant, mais en étant serieuse, et surtout avec un élève comme Satsugaï, elle avait de lourdes responsabilité, ce n'était pas pour en abuser...Néanmoins...néanmoins l'idée d'abuser de Satsugai, de voir son corps jeune et vigoureux de sportif a nu raviva encore la flamme alors qu'elle réperait la photo, bien, un bon point de gagné, la photo correspondait au nom, en même temps il aurait été un peu stupide de mentir maintenant

"Mr Akaiken donc."

La directrice croisa ses longues jambes nues alors qu'elle plantait a nouveau ses yeux bleux dans ceux de Satsugaï et commençait a le sermoner

"La réputation d'un établissement fait tout, nous avons un assez haut standing a respecter, les candidatures sont selectionnées avec soin, si vous avez eu la chance d'être parmi les selectionnés, alors vous devriez considérer votre présence en ces lieux comme un privilège, que vous devriez vous éfforcer de conserver si vous ne voulez pas vous voir renvoyer..."

Elle exagérait un bon coup pour lui faire peur, ou bien pour le faire chanter?Ca ne vallait pas le renvoi, mais la phrase pouvait également être compris comme un "si vous continuez"

"Ce ne sont pas les candidatures qui manquent vous savez, il faut donc tacher d'être digne de l'enseignement qu'on vous prodigue ici bas et..."

La main de Shizuru partit chercher un stylo mais celle de la déesse lui fit soudain renverser la bouteille d'alcool sur le bureau qui s'éclata en éclaboussant Aikaiken et la directrice, si Akaiken était taché, Shizuru l'était aussi, mais le peignoir épais ne laissait toujours rien voir. En tout cas l'uniforme était taché

"Ah, désolée c'est de ma faute, votre..."

Fit la directrice qui aussitôt ressentit une pulsion de désir primaire au fond d'elle et qui enchaina

"...Uniforme est imprésentable pour vos cours, donnez le moi, je vais faire une lessive."

La directrice lui intimait donc de se deshabiller, pas entièrement, mais assez pour enlever les taches...Il n'en resterais surement plus que le caleçon, a voir si Akaiken eprouvait une honte ou pas a le faire. En attendant Shizuru elle, enleva son peignoir, laissant voir une nuisette noire apetissante, assez opaque, mais juste assez transparente pour appercevoir les sous vetements si on fronçait bien les sourcils

11
Dortoirs et douches / Re : Douceurs nocturne[Satsu]
« le: dimanche 01 mars 2009, 00:25:46 »
Ah, un bel étudiant sorti pour une virée nocturne et qui revenait bien tardivement a son dotoir, tout excité de la nuit qu'il venait de passer et surement encore en pleine forme. N'était ce pas un signe du destin?N'était ce pas un signe qui montrait que les dieux voulaient qu'ils en arrivent là?Shizuru quand a elle, restait toujours dans son optique d'un travail impécable, dans sa tête elle était persuadée qu'elle faisait un travail au delà de tout reproche, elle était sévère oui, mais c'était pour le bien de ces enfants et de la réputation de son établissement, c'était ça ou s'ouvrir a la critique, les parents étaient très a cheval sur les règles, surtout au japon, il fallait donc être irréprochable, et la réputation de Seikusu en faisait un établissement irréprochable, c'était bien sur ce que tout le monde croyait, Aphrodite effaçant aussi vite les scandales qu'elle en créait, tout le monde s'envoyait en l'air dans Seikusu sans que personne ne le remarque jamais et que les parents croient qu'il s'agisse d'un établissement de grand standing, ainsi les étudiants qui arrivaient étaient de plus en plus sophistiqués ou ignorants...

Aucune candidature, depuis l'ouverture de Seikusu, n'avait jamais été refusée, pourtant l'établissement continuait a passer pour un établissement de haut standing?Pourquoi?Réecriture miraculeuse des dossiers scolaires, on avait de tout, des voyous jusqu'aux premiers de la classe, les premiers ayant depuis longtemps abandonné l'idée de taguer l'école en remarquant que tous les tags disparaissaient miraculeusement quelques minutes a peine après avoir été fini et les second vivaient en paix avec les premiers qui, mysterieusement, n'avaient pas trop envie de leur casser la tête en deux, et quand ça se produisait, l'étudiant en question ne portait jamais plainte. Seikusu était un paradis artificiel crée par Aphrodite, et de nombreuses incohérences pouvaient être remarquée pour ceux qui faisaient attention aux détails. Mais revenons a l'instant présent, Shizuru était encore persuadée d'avoir affaire a un délinquant a qui elle allait devoir apprendre les bonnes manières. Elle croisa les bras et lança avec une voix plus basse, pour ne pas reveiller les autres étudiants


"Vous ne semblez pas vous rendre compte de ce que vous venez de faire. Vous n'étiez pas dans votre dortoir au moment de l'extinction des feux, ça veut dire que vous auriez pu être n'importe ou et que notre établissement devra porter responsabilité si il vous arrive quelque chose. Qui plus est, non content de cette effraction, vous portiez l'uniforme de l'école, ce qui veut dire que tous ceux qui vous ont vu pourront constater que le Lycée Seikusu ne retiens pas ses élèves dans leurs dortoirs a des heures décentes!Quelle honte!Je ne laisserais pas passer une telle attitude jeune homme!"

Fit Shizuru alors qu'elle lui tournait le dos

"Vous allez venir avec moi et nous allons trouver votre nom dans l'organigramme des classes, une fois que je me serais assuré de votre identité je vous dirait la punition que vous encourez."

Shizuru monta les escaliers, l'organigramme de la classe se trouvait dans ses affaires, c'est a dire dans ses appartements, elle n'avait aucun problème a faire monter un élève, tant que c'était pour des raisons professionelles. Devant Akaiken, il pouvait voir a travers le peinoir l'arrière train de Shizuru se dandiner élégament en même temps qu'elle marchait.

La directrice ouvrit la porte de son appartement, c'était un appartement plutôt richement tenu, celui d'une directrice d'une école privée célibataire, elle le fit assoir sur un des canapés en cuir alors qu'elle sortait l'organigramme


"Evitons de perdre du temps, donnez moi votre nom et votre classe."

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Dortoirs et douches / Douceurs nocturne[Satsu]
« le: samedi 21 février 2009, 22:00:03 »
Que faisait t'elle là déjà?

Shizuru était en robe de chambre. Comme toute bonne directrice, elle vivait dans son propre lycée dans des appartements privés qui se trouvaient au dessus des dortoirs réservés aux professeurs étrangers. Elle avait passé sa soirée comme d'habitude, elle avait diné seule devant la télévision, trié la paperasse administrative et distribué les fiches de payes, le travail habituel d'une directrice et d'une femme de ce monde moderne célibataire a son âge. La jeune femme n'avait toujours pas d'homme pour le moment et elle s'accomodait très bien de son statut de mademoiselle pour ne pas avoir a chercher une relation serieuse. Bien sur, elle avait déjà eu des amours de lycée ou de fac, comme tout le monde, mais elle avait rompu avec son dernier homme il y a quelques années de ça et n'avait plus trouvé la nécéssité d'en avoir un nouveau bizarrement, elle se sentait très bien toute seule et n'était jamais en proie a un trop plein de désir que seul un homme pouvait coriger. Shizuru ne se posait pas de questions, elle se posait jamais de questions.

Parce que Shizuru était un esprit crée entièrement par Aphrodite, et par conséquent elle pensait ce que sa déesse voulait qu'elle pense. Si elle n'avait jamais envie de sexe, c'était parce qu'Aphrodite effaçait de sa mémoire les souvenirs de ses ébats, ainsi que ceux de son partenaire. Pratiquement tout le personnel était déjà passé sur la directrice, et personne ne le savait, même pas les dits membres du personnel, même pas elle. Si Shizuru n'avait pas de petit ami c'était parce qu'elle en avait jamais eu, elle était sortie du néant un beau matin et avait existé a l'âge qu'elle avait et des souvenirs fraichement crées par la déesse. Toute son existence n'était qu'un mensonge, elle n'était qu'un corps doté d'un esprit, d'une personnalité et qui servait a faire l'amour pour donner du pouvoir a la déesse.

Shizuru s'en accomodait très bien, pour la bonne raison qu'elle ignorait tout ça et croyait juste être une directrice normale. Elle ne se posait pas la question de savoir pourquoi que, malgré le fait qu'elle soit japonaise elle soit blanche, blonde aux yeux bleu et dotée d'un physique plantureux. Elle ne se le demandait pas parce qu'Aphrodite ne voulait pas qu'elle se le demande. Shizuru avait sa personnalité, Aphrodite la recréait juste selon ses fantaisies. Et ce soir là, Shizuru ressentit une envie violente en elle...C'était comme si toute cette abstinence pendant des années remontait d'un seul coup. Il s'agissait évidement d'un coup monté par la déesse. Shizuru s'était levée, avait descendu les escaliers, dévérouillé la porte de ses appartement, et était déscendue en robe de chambre dans les dortoir des étudiants, avant de se demander ce qu'elle était en train de faire, en toute logique, c'était un peu comme si son corps ne lui avait plus appartenu pendant quelques secondes. Elle était la directrice d'un établissement respectable, elle n'avait pas a descendre dans cette tenue a une heure pareille dans les dortoirs.

Heureusement que personne ne l'avait vu.

Personne?

Elle apperçut une silhouette suspecte et se raidit, elle lança d'une voix forte


"Dites donc vous, pourquoi n'êtes vous pas dans votre dortoir?"

Shizuru s'avança vers l'origine de la forme. Elle n'était pas dans sa tenue stricte habituelle, elle portait un peignoir qui ne laissait rien voir, sinon la courbe de ses formes, ses yeux bleux ressortaient mieux sans ses lunettes et ses cheveux blonds et soyeux étaient détachés derrière sa nuque.

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Elle ne s'était pas trompé, elle se trompait rarement a vrai dire, elle était guidée par l'incarnation même de la féminitée, alors comment pouvait t'elle faire fausse route?Le corps de Shizuru s'enflamait d'une aura de feu tout en plongeant son regard dans celui de MacKenzie, elle put comprendre parfaitement les sensations qui l'envahissaient et sourit de plus belle...Elle laissa la jeune femme parcourir son corps tandis qu'elle entreprenait de dégrapher le haut. Clairement, ces vetements étaient redoutables...Mais pas pour longtemps...Elle allait leur apprendre...Elle allait les dompter...Bientôt ces frèles tissus qui protégeaient le corps de MacKenzie ne servirait plus a rien contre ses assauts. Car a présent, ils ne la protégeaient aucunement, bien au contraire, ils l'étouffaient...Et visiblement elle avait peu de difficulté a le comprendre elle aussi. Alors qu'elles se serraient l'une contre l'autre, Shizuru l'entendit murmurrer près d'ellle, souriante, elle tendit ses lèvres près de son oreille

"Ne t'inquiète pas...Tu en aura beaucoup plus..."

La directrice la vit s'humecter les lèvres et s'ensuivit la main de Mac Kenzie qui détacha ses cheveux blonds reliés en chignon, libérant Shizuru de son étreinte sévère pour la détendre un peu plus, sa chevelure d'or était tout ce que voyait Ely, mais a présent, sentant a quel point elle était receptive a ses caresses, elle compris, elle comprit rapidement...Ely était une fleur, un tournesol, une de ces plantes qui se tournent vers le soleil pour fleurir, grandir, s'élever au dessus de la masse des autres femmes et irradier de chaleur. Shizuru n'en ressentit que plus de plaisir lorsqu'elle s'apperçut qu'elle serait celle qui aiderais la jeune fille a s'ouvrir grand au monde et a sentir déjà la douceur de ses pétales, s'ouvrant pour dévoiler le soutien gorge carmin, elle se savait déjà accro a cette flagrance, a ce parfum si doux qui lui faisait tourner la tête avec malice...Mais avec un tel délice qu'il était impossible pour elle de le refrener. Elle porta la main a ses lunettes et les posa derrière elle, mais ce fut bien naïf de sa part.

Ely avait profité de ce mouvement pour empoigner sa poitrine. Surprise de ce premier mouvement inatendu, elle sentit ses joues s'empourprer et elle lacha un soupir vaporeux s'élevant dans les airs comme un nuage chaud remontant a la pluie...C'était bien joué, attendre qu'elle soit prise au dépourvu pour commencer l'attaque...Ca lui donnerait la main pour ce coup ci...A charge de revanche...Shizuru céda donc sous les assauts audacieux d'Ely. Elle pu sentir l'empressement qu'elle mettait a déboutonner son haut, elle put sentir a quel point le désir montait en elle, et tout celà plaisait a Aphrodite, car plaisir était synonyme de puissance pour elle...Et la puissance se dégageant de l'aura d'Ely aurait suffit a faire tourner un moulin a vent, ou concrètement, créer plusieurs héctoires de territoires a partir du néant...C'était l'ambroisie dont elle se nourissait a chaque instant, a chaque fois qu'une de ses créations ressentait du plaisir ou de l'amour, la puissance d'Aphrodite se gorgeait. Lorsque le désir ou la passion était forte, alors la puissance de la déesse devenait exponentielle...

Mais pour l'instant regardons ce qui s'ensuivit...

Les caresses bucales d'Ely rendaient Shizuru completement folle, le visage écarlate, elle entreprit de lécher le lobe de son oreille et de son cou et s'assid sur son bureau, avant de mettre en route l'interphone la reliant au sécrétariat.


"Ici la Shizuru, je ne veux être dérangée sous aucun prétexte."

-Bien Mlle Miko

Elle coupa court a la conversation et le regard bleu hypnotique de l'avatar se tourna dans celui d'Ely.

"Je suis tout a toi maintenant."

Elle entreprit d'enlever sa jupe et son chemisier, maintenant inutile. La directrice se retrouvait donc en sous vetements et porte jaretelles, savourant les caresses adroites d'Ely, la voyant s'attarder sur son ventre elle lui caressa les cheveux...Et apperçut la fermeture de son soutien gorge...Elle se pencha donc dans le but de l'enlever d'un geste expert...avec les dents. Ce a quoi Shizuru n'arriva pas sur le premier coup, mais comme la déesse en avait marre d'attendre, elle lui donna un petit coup de pouce divin qui fit céder l'agraphe dès la seconde tentative...

C'est ça avoir des millénaires d'experience...

A peine eut t'elle finit que la langue de feu de la directrice descendit le long de la gorge de MacKenzie pour retrouver la poitrine

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Le fruit était déjà mur, il n'avait pas fallu grand chose de plus qu'un simple geste vers celui ci pour le décrocher et l'apporter a la bouche de Shizuru, comme une grosse cerise, apetissante, et juteuse, Ely repondait positivement a l'appel de sa bouche et elle n'attendait plus grand chose pour pouvoir mordre dans ce qu'elle lui offrait a pleine dents et profiter enfin de son excellente saveur...Quel gachis de laisser un tel délice dans des bouches profanes. Elle ne pouvait qu'apprecier pleinement les délices que lui procuraient l'étreinte et le baiser, et elle était sûre que MacKenzie ferait une professeur ravissante et une enseignante de choix a rajouter dans sa collection personnelle. Shizuru sourit. En temps qu'amatrice de fortes saveur elle ne demandait pas mieux que d'être entrainée toute entière par l'essence qui se dégageais de plus en plus de MacKenzie. Mais il ne fallait pas oublier qu'elle n'était qu'humaine, elle n'était qu'un pion entre les mains de la déesse, mais ça elle ne le saurais jamais, et de toute manière, elles y gagnaient toutes les deux. Alors pourquoi se plaindre?Pourquoi essayer de repousser ce qui lui plaisait tant, a elle comme a ce dieu?

Ely se lova contre la directrice et celle ci la regarda avec satisfaction, la main sur son épaule attisant les flammes d'un feu déjà très bien parti pour embraser bientôt Shizuru et, comme un incendie de forêt, se communiquer a Ophelia si ça n'était pas déjà le cas. Ely avait l'air d'avoir du mal a réaliser ce qu'elle était en train de faire, et celà amusa beaucoup la directrice, après tout le voile tombant sur les yeux des amants n'était t'il pas chose naturelle?N'était t'il pas un exemple d'une certaine confusion embrumant un esprit pour le pousser simplement vers le désir le plus pur et la simple attirance mutuelle?Les barrières des convenances, bien que largement tombées depuis l'époque de la déesse, étaient toujours un obstacle pour l'expression des sentiments les plus vifs et les plus anciens, les sentiments primaires...Mais sans ces barrières l'homme ne serait rien de plus qu'un animal et le jeu n'en vaudrais plus la chandelle. Nulle doute que si elle avait bondi sur MacKenzie a l'instant où elle l'avait vue et qu'elle s'était attaquée a elle aux yeux de tous elle aurait rencontré quelques problèmes...C'était grâce au plus beau jeu de l'humain qu'elle était arrivée a ses fins.

Celui de la seduction.


"J'espère que vous appreciez mon mode de paiement...Je sais récompenser comme il se doit les éléments prométteurs..."

Lança t'elle avec serieux, un sourire en coin aux lèvres...Ca devenait bizarre même pour Shizuru, elle n'avait pas pu se refrener de lui sauter dessus, comme ça, alors qu'elle avait une réputation a tenir et un établissement a gérer...Bah, au diable l'avarice, maintenant qu'elles y étaient autant ne pas lesiner sur les moyens...Ce fut Shizuru qui colla son corls a celui de MacKenzie, leur poitrines se rencontrant, leurs corps s'avançant dans un élan presque magnétique, elle passa le dos de la main sur la joue de la jeune fille avec un simple sentiment de grâce et de douceur intense, ainsi qu'un fin sourire alors qu'elle embrassait le cou d'Ely...Mais rencontra la résistance de son haut...Maudits vetements, ne cesseraient t'ils jamais d'entraver son chemin?Shizuru commença a faire coulisser le haut d'Ely, peu importe comment...Par bouton, par tirades...Mais elle arriverais a l'en débarasser...Bientôt Ely comprendrais que les vetements seraient leurs ennemis pour le reste de la durée de l'entretiens. Ca la frapperais comme une évidence et ne pourrait pas y échapper.

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Shizuru eut un sourire espiègle alors qu'elle attrapait le dossier, elle pouvait presque sentir le regard d'Ophelia comme une flèche dans son dos, prête a la transpercer tellement son regard s'appuyait sur elle...Il n'en fallait pas plus pour convaincre la déesse que son petit numéro avait marché...Peu de gens résistaient a son charme.

En tout cas peu de gens qu'elle choisisait d'embaucher, beaucoup de choses pouvait néanmoins sauter aux yeux des gens qui avaient un temps soit peu de logique...Shizuru était blonde, avec des yeux bleux et blanche, mais elle portait un nom typiquement japonais...Une petite erreur de lancement lorsqu'Aphrodite s'était materialisée pour la première fois et qu'elle ne connaissait pas le monde qui se tenait devant elle, ayant tellement changé en plusieurs siècles d'absence. malgrès l'allure a priori serieuse de ses vetements elle gardait une vue possible sur sa poitrine comme une petite touche de provocation qui, dans une société japonaise, aurait fait grimper aux rideaux des parents soucieux de leurs enfants...Pourtant ils avaient une réputation du tonnerre malgré ça.

Shizuru porta un stylo a la bouche distraitement pendant qu'Ely signait les papiers mordillant le bout de celui ci comme si elle se rongeait le frein patiement en attendant la signature...Un peu comme une diablesse attendant qu'Ely lui vende son âme. La corrélation n'était pas forcement trop péjorative. Puisque ce n'était pas son âme qu'elle lui vendait, mais son corps dans des torrents de délices que l'institutrice ne saurait bientôt plus restreindre. Elle enseignerais peut être a des élèves, mais cet enseignement dans son lycée serait double. Elle apprendrais également d'elle, après avoir cultivé son esprit, il était grand temps pour elle de cultiver son corps...Mais elles avaient tout leur temps pour ça.

Et Shizuru ne serait pas le seul professeur d'Ely...Elle esperait que, comme une bonne élève, celle ci se ferait son idée en cumulant plusieurs point de vue contraire et opposés...Il n'y avait qu'ainsi qu'on apprennait, avec l'experience...Les cours étaient sur le point de commencer pour elle, et a présent que les formalitées était remplies, la démoniaque directrice au sourire d'ange allait prendre possession de sa nouvelle acquisition.

Shizuru fit mine de se lever et incita Ophelia a faire de même...Une fois que celà était fait Aphrodite lacha les reines qui bridaient la directrice et alla directement se coucher en se gavant de pop corn a l'ambroisie. Elle n'avait plus qu'a contempler la suite des evenements. La poussée d'émotion dans la poitrine de la directrice devrait suffir pour qu'elle se jette sur elle...La réponse d'Ely l'enchanta. Elle aimait beaucoup les filles qui savaient utiliser leur tête pour jouer sur les sous entendus comme elle venait de le faire...Et celà ne fit qu'agrandir la passion dans le coeur de Shizuru


"Oui...Il ne reste plus qu'a porter au fer rouge cette conclusion...Et célébrer votre arrivée dans le personnel de mon établissement..."

Shizuru eut un doux sourire alors que ses mains enlacèrent les hanches de MacKenzie et qu'elle déposait un baiser sur ses lèvres...L'attaque était plutôt directe, mais l'attente avait été bien trop longue pour la directrice.

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