Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lizzie Carter

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un nouveau corps pour une nouvelle vie [Valian]
« le: vendredi 12 décembre 2014, 15:39:21 »
Soit forte Lizzie, ça va aller, c'est juste un mauvais moment à passer. C'est ce que je me répétais en boucle pour ne pas paniquer. De toute façon je ne peux rien faire pour l'éviter, tout ce que je pourrais entreprendre se soldera par des ennuis encore plus gros. Si je résiste, le taré aux enveloppes s'en prendra à ma nouvelle famille et à moi. Il semble disposer de moyens colossaux pour réaliser ses fantasmes, honnêtement il me fout la trouille. Et c'est ce qui rend cette situation aussi horrible, la peur d'énerver cet homme est plus forte que celle de devenir sa chose. Je frémis lorsque les mains de l'homme commencent à tripoter mes fesses, il m'analyse un moment avant de littéralement plonger sa main entre mes fesses. Comme auparavant mes nerfs sont rendus inopérants. Bien que je ne puisse rien sentir, je sais ce qu'il est en train de faire et j'entends les bruits de ma propre chair qu'il dénature. Je me demande à quoi va ressembler le résultat, je me dis que je devrais vivre avec quoi qu'il arrive. Je ne sais pas combien de temps s'est écoulé mais, c'était long, trop long.

Finalement la séance de charcutage est arrivée à son terme. Libérée de l'obligation de ne point bouger je me suis levée, me tournant pour mieux voir mes fesses. Je ne peux pas voir aussi bien que je le voudrais mais, il ne s'est pas contenté de modifier l'intérieur comme prévu. Mes fesses sont plus rebondies qu'avant et me font ressembler à une vulgaire pute. À mi chemin entre l'embarras et la colère j'allais me plaindre lorsque l'homme a sorti son sexe après avoir parlé d'un test. Rouge de honte et furieuse qu'il ait modifié mon apparence extérieure sans en avoir reçu la demande, je commence à ouvrir la bouche pour protester lorsque son sexe se met à grossir, grossir. Il devient énorme, bien plus gros que tous ceux que j'ai pu avoir entre les fesses jusqu'à présent, car malheureusement je commence à être habituée. Cette fois je ne laisserais pas passer, c'est trop, je suis sa cliente, je le paye, du moins c'est ce qu'il croit :

"Vous vous foutez de moi ? Je croyais qu'il n'y aurait aucune modification extérieure ! Et puis personne ne pourra jamais s’installer là-dessus … Vous allez réparer vos conneries ou je reprends mon argent et je me casse !"

La menace aurait pu être crédible si ma peur avait été moins visible. Râler ainsi de me ressemble pas mais, si je le laisse faire ce qu'il veut avec mon corps, je devrais en assumer les conséquences tout le reste de ma vie. C'est plutôt motivant non ? De toute façon il ne me mettra pas dehors, je pourrais finir ma mission sans soucis, j'en suis persuadée. Il a déjà montré son intérêt pour son travail, je suis certaine qu'il n'abandonnera pas un travail entamé. S'il ne veut pas me voir partir il n'a pas le choix, il devra remettre mes fesses comme avant niveau apparence. Néanmoins mes certitudes ne me rassurent pas. Cet homme me laisse une impression étrange, je ne l'aime pas, il me fout la trouille et ça ne vient pas seulement de sa capacité étrange à jouer avec les corps comme bon lui semble.

Si je veux m'en sortir avec le moins de casse possible je dois reprendre le dessus et lui imposer ma volonté, ne pas lui laisser le temps de protester. Ceci dit j’appréhende sa réaction, il a l'air calme mais, je le pense capable de beaucoup de choses. Quelques secondes seulement après ma petite gueulante je poursuis en me recouchant sur la table, d'un ton plus autoritaire et assuré :

"J'attends !"


2
Il m'a clairement fait comprendre qu'une fois son travail effectué il ne comptait pas revenir en arrière. Ces changements sont définitifs et ça ne m'angoisse que davantage. Comment vais-je pouvoir continuer à manger le midi avec les autres élèves avec cette bouche ultra-sensible ? Comment vais-je cacher ce sexe masculin s'il sort contre ma volonté ? Surtout, vais-je pouvoir résister à mes futures missions avec ce nouveau corps ? Je ne peux pas fuir, si je fuis l'inconnu ou l'inconnue aux enveloppes s'en prendra à ma famille d’accueil et à moi aussi. Si je résiste, non je n'ai aucune chance de résister à cet homme, il a des pouvoirs étranges, il me maîtrisera sans problème. Ne pouvant ni fuir, ni lutter, je suis contrainte à la passivité, à l’inaction, je dois prendre sur moi et accepter l’inacceptable, je ne serais plus jamais comme avant après aujourd'hui. Et un jour je finirais par devenir le petit jouet docile et perverti de ce taré, cette idée me répugne mais, je ne vois pas comment échapper à son emprise alors que je ne sais rien de lui. Oui le plus effrayant dans cette histoire c'est que je ne sais rien, je ne connais ni ses motivations, ni les moyens qu'il a, ni ce qu'il sait ou ne sait pas.

Pour l'heure mon boucher continue de me charcuter joyeusement, là c'est au tour de mes tétons d'être percés. Mon Dieu, je vais vraiment ressembler à une pute avec tout ça … Je ne peux rien dire pour protester, après tout il pense que c'est ma demande. Si je me montre trop réticente il risque d'avoir des doutes et de refuser de finir le travail. Dès qu'il a fini je me barre de cet enfer en courant, je me fiche de ce qu'il en pensera. Je lui laisse le fric et je rentre chez moi le plus rapidement possible pour m'enfermer dans ma chambre. J'ai besoin de réfléchir à tout ça, ça va trop vite, c'est trop brutal. Je n'ai même pas le temps de m'habituer à une situation qu'une autre encore pire arrive. À ce rythme là je ne donne par cher de ma santé mentale dans quelques mois.

Finalement arrive l'heure du choix, mon nouveau membre masculin ou mon anus ? Le choix que je redoute le plus. Ça va complètement modifier mon organisme et m'empêcher d'avoir une vie amoureuse normale jusqu'à la fin de mes jours. Ceci dit le choix est évident, qu'il commence par l'anus. Le fait qu'il touche à mon sexe et qu'il mette cette, chose, cette bite sur moi … Je ne pourrais pas accepter ça … C'est trop ! Il faut que je gagne du temps pour réfléchir, pour … Pour rien en fait. Je suis complètement piégée. J'ai la réponse sur le bout de la langue mais, je reste face à mon chirurgien sans oser la donner. Sitôt que je l'aurais donnée je ne pourrais plus rien faire pour empêcher le suite. Horrifiée par cet état de fait, j'ai répondu :

"Commencez par l'anus."

Pas de merci, pas de s'il vous plaît, je n'arrive plus à faire semblant. Il me charcute, il viole ma gorge, si je continu à jouer la gentille petite cliente consentante je vais péter un câble. Je veux qu'il termine le plus vite possible et qu'il me laisse tranquille. Sans même attendre qu'il le demande je m'allonge sur le ventre, écartant légèrement les jambes pour qu'il puisse faire son travail. Je peux sentir les épingles qui percent mes tétons contre la table, plus tard elles seront remplacées par des anneaux ou autre chose, il faut que je m'y habitue. Lorsque je sens les mains du vampire sur mes fesses je ressens un frisson, je ne veux pas qu'il y touche ... J’enfouis ma tête dans mes bras. Vide toi l'esprit Lizzie, tu n'as pas le choix de toute façon, pense à autre chose. Pense aux amies du lycée que tu vas bientôt revoir, tant que tu caches tout ça, tout sera comme avant. Je ne dois pas paniquer, je ne dois plus y penser, juste me laisser faire.


3
"Croyez vous être en position de négocier ?"

Bon, ça en général ça voulait dire "non". Monsieur n'avait pas l'intention de laisser son œuvre repartir sans un test en bonne et due forme. Même s'il était évident qu'il se préoccupait davantage de se vider dans ma gorge, plutôt que de tester une transformation qui semblait déjà très bien marcher. Surtout qu'il ne faudrait surtout pas que monsieur se fâche, j'aurais l'air maline s'il me disait ne plus vouloir terminer les modifications, échec de la mission, suivi des conséquences que je ne connaissais que trop bien. Et puis ce n'était pas comme si c'était ma première fellation, c'est qu'à force de me taper des missions à la con je commençais presque à avoir l'habitude. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'étais devenue très expérimentée dans le domaine, très loin de là et heureusement, mais ça commençait à rentrer. Monsieur se prétendit ensuite "insulté". Oh, je t'ai insulté mon grand ? Pardon de n'avoir pas choisit de venir te voir. Pardon de devoir céder à tous les caprices d'un espèce de psychopathe anonyme. Pardon d'avoir choqué un artisan de talent tel que vous, qui passe son temps à dénaturer d'innocentes jeunes filles pour un peu de pognon ! Bien évidemment, hors de question de répondre ça, mais ça me démangeait pas mal tout de même. Et moi je devrais me sentir comment ? Heureuse qu'on daigne me charcuter contre ma volonté ? Youhou ! Quelle chance ! Merci mon bon monsieur ! Va te faire mettre oui ... Bref, je n'ai rien dis, me contentant de prendre un air compatissant à sa terrible douleur d'artisan incompris et insulté par l'horrible personne que je suis.

"Je ferai les piercings après. En attendant vous allez vous rallonger sur la table, et faire dépasser votre tête du bord. Et je vais baiser votre bouche pour vérifier que tout est en ordre."

Même si j'avais déjà compris que je devais obéir, cet ordre me laissa un sentiment étrange, comme si j'y cédais beaucoup trop facilement. Je me suis allongée machinalement, sans rien dire, penchant docilement ma tête vers l'arrière et dans le vide, comme demandé. J'étais comme hypnotisée, j'avais perdu le fil de ma pensée et j'attendais qu'il baise ma bouche comme il avait dit. Mes pensées partie je n'ai plus pu distraire mon esprit, me concentrant à nouveau sur les sensations dans ma bouche et ma gorge. Je l'attendais, anxieuse, tenant ma langue le plus loin possible des parois de ma bouche. Je l'ai vu défaire son pantalon et en sortir le pénis le plus gros que je n'avais jamais vu, surtout que ces derniers temps j'en voyais beaucoup. Ah mais oui, monsieur pouvait se charcuter lui-même à volonté, j'avais oublié. Et vu que tous les mecs rêvent d'avoir une queue démesurée entre les pattes ça n'avait rien d'étonnant ! Mais ce truc n'allait jamais rentrer, en plus il fallait tester ma gorge avec, j'avais déjà tenté une gorge profonde et j'avais eu énormément de mal à la réussir, après de nombreux essais infructueux. Tout ce que cet imbécile allait réussir à faire c'est me blesser.

"C-Ce n'est peut-être pas une bonne id ..."

Ne prenant même pas la peine de me répondre, il m'a fait ouvrir la bouche en grand avant de rentrer l'extrémité de son sexe entre mes lèvres. Pour une raison qui m'échappe, tous mes doutes ce sont évanouis, à cet instant j'ai senti que je serais capable de l'avaler en entier. Puis, sans crier gare, il m'a enfoncé son membre dans la gorge jusqu'à la garde. Elle était rentrée toute seule, sans douleur, sans résistance, par contre mon corps s'était brusquement cambré pendant que j'émettais un petit couinement. La sensation était horrible, je pouvais sentir chaque veine, chaque recoin de son sexe, j'aurais pu le dessiner précisément sur la seule base des sensations de ma bouche. Comme ces aveugles qui deviennent capables de voir avec les sensations de leurs doigts, j'étais devenue tellement sensible que j'aurais réussi la même prouesse avec ma langue. Le nez enfoui dans ses testicules, je ne pouvais plus respirer et je n'avais pas pensé à prendre ma respiration avant. Tout en produisant des bruits de succion particulièrement gênants, j'ai senti ma bouche saliver anormalement, le trop-plein s'écoulant en ruisselant sur mon visage et dans mes cheveux. Lorsque j'ai commencé à sérieusement manquer d'air j'ai posé mes mains sur ses cuisses pour lui faire signe de reculer, mais il a continué quelque temps encore, cherchant sans doute à voir jusqu'où je pouvais aller.

Il recula son bassin, la sensation de sa queue coulissant dans ma gorge était infernale, mais ça m'a permi de respirer un peu avant qu'il ne commence de puissants vas et viens. J'étais en manque d'air en permanence, mes yeux commençait à pleurer et mon corps était agité de spasmes de plaisir. Mes tétons se durcissaient, ma bave, ma cyprine coulaient à flots et j'ai commencé à me masturber en même temps, incapable de retenir mes doigts. Le vampire ne m'a pas laissé faire, attrapant ma main pour que je ne puisse pas me toucher en bas, c'était un test, sans doute voulait-il voir si ma bouche me suffisait pour jouir. Mes muscles se sont crispés, ces sensations étaient insoutenables, biens trop puissantes pour moi. Lorsque Valian a éjaculé au fond de ma gorge, une partie de sa semence m'est sortie par les narines avant de me couler dans les yeux et de goutter par terre. Sitôt débarrassée de son membre j'ai roulé sur le côté pour tousser et cracher. Mon corps tremblait, mes cuisses étaient maculées de cyprine et je n'arrivais pas à reprendre mon souffle. En tout il m'a fallu cinq bonnes minutes pour pouvoir reparler sans être essoufflée.

"C-Ce ... Ç-Ça va vraiment être aussi intense à chaque fois ? V-Vous plaisantez j'espère ? Avec une bouche comme ça je ne pourrais même plus manger sans avoir envie de me masturber ... C'est vraiment nécessaire que ce soit sensible à ce point là ?"

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Le parc et son sous-bois / Re : Exhibitionnisme et bonnes moeurs ! [Pv]
« le: samedi 30 août 2014, 14:19:35 »
Tomoe était très, surprenante. Le policier avait clairement sous entendu qu'elle avait l'habitude mais, je commençais également à me poser des questions à son sujet. Même soumise aux effets de la drogue cela ne pouvait pas suffire à la transformer aussi radicalement, elle avait clairement de l'expérience dans ce domaine, sans pour autant disposer du caractère adéquat. Une autre victime des enveloppes peut-être ? Mais pourquoi la droguer dans ce cas ? Peut-être une sorte de punition ? Non ça ne collait pas, elle avait été réellement surprise lorsque je lui avais enfourné le cachet de force dans la bouche. Pourquoi l'avoir choisie elle et pas une autre élève de ma classe ? Je commençais à croire que ce choix n'avait rien à voir avec son caractère, que la vraie raison était moins évidente que celle-là. En tout cas, j'allais avoir du mal à reproduire exactement ce qu'elle avait fait, je n'avais aucun entrainement pour ce genre de choses. Rien que de la regarder faire j'avais déjà envie de vomir, alors avaler tout ça moi aussi, non je n'allais pas tenir je le savais déjà. Et pourtant je n'avais pas le choix.

Soudainement elle s'est rabattue sur les testicules de l'homme, me laissant le champ libre. Celui-ci avait compris que je la copiais quoi qu'elle fasse, il n'avait surement pas compris pourquoi, mais il avait compris les règles du jeu. Pire, il avait décidé de jouer et d'en profiter au lieu de mettre un terme à tout ça. Je me suis donc mise à genoux, face à son sexe, tout baveux grâce à ma camarade. J'ai posée mes mains sur les hanches de l'agent, hésitant quelques secondes avant de sucer son gland tandis que mon visage virait au rouge. Elle l'avait pris en gorge profonde donc je devais réussir à faire pareil, le plus dur étant de réussir à tenir dix secondes comme ça. Le tout en priant pour qu'il n'éjacule pas, je n'avais aucune envie de devoir avaler sa semence en plus du reste.

J'ai tenté de l'enfoncer dans ma gorge une première fois, je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout et j'ai eu un mouvement de recul incontrôlable. Je me suis mise à tousser, ne comprenant pas comment faire pour tenir comme elle. J'ai dû m'y reprendre à de nombreuses reprises, léchant le sexe du policier entre deux tentatives. Je le soupçonnais de prendre plaisir à me voir galérer de la sorte tout en prenant du plaisir, il savait que tant que je n'arrivais pas à imiter Tomoe je ne pouvais pas passer à autre chose. Après de nombreux échecs j'ai finalement réussi à l'avaler en entier une fraction de secondes, mais à ce rythme là je n'allais jamais réussir à tenir 10 secondes. Puis le policier m'a attrapée par les cheveux et m'a empalée de force sur sa queue, faisant de rapides allers retours. Mes larmes coulaient toutes seules, j'avais envie de vomir et je n'arrivais pas à respirer correctement, produisant des bruits particulièrement obscènes au passage. Il allait éjaculer dans ma bouche, je le sentais venir, je sentais bien qu'il n'allait pas s'arrêter. Après quelques minutes qui parurent une éternité il a enfoncé son sexe le plus profondément possible, maintenant fermement ma tête le temps de se vider. Je me sentais horriblement faible à cause du manque d'air, ma gorge me faisait mal et j'étais complétement écœurée. Lorsqu’il a éjaculé, une partie de sa semence m'est ressortie par les narines tandis que je tapais sur ses fesses pour lui signaler que je n'avais plus d'air.

Puis finalement il m'a relâchée, j'ai toussé et repris mon souffle comme je le pouvais, mes joues couvertes de larmes. Ma bave se répandait sur le sol, tandis que je reprenais mes esprits. Je n'avais rien le droit de dire, même pour protester je ne devais pas dire un mot et pourtant je mourrais d'envie de le traiter de malade. Ceci dit, je n'avais pas le temps d'y penser, Tomoe était encore en train de lui sucer les testicules et je devais faire comme elle jusqu'au bout, quoi qu'il arrive. Et le pire arriva. Ma camarade de classe s'est relevée pour pousser le policier à s’allonger et s'est mise à califourchon au-dessus de lui, caressant lentement son sexe, tendu juste derrière elle, du bout des doigts. Puis elle s'est mise à rire et a dit :

"Bébé, je veux bébé. Tout de suite."

Puis elle s'est empalée sur le sexe de l'agent, bien déterminée à recevoir sa semence entre les cuisses. Pendant que moi j'étais en train de paniquer. *Elle veut ... Elle veut tomber enceinte ? C'est une blague ? Non ! Non, non, non, non et non ! Hors de question que j'imite ça ! Je ... En fait je n'ai pas vraiment le choix ... Pitié que quelqu'un nous arrête, n'importe qui ! Mettez fin à ce cauchemar !* Là c'était trop pour moi, ce n'était plus juste une humiliation. Elle semblait prendre du plaisir à chevaucher l'homme, elle n'avait absolument pas conscience de ce qu'elle faisait et prenait juste son pied. Sauf que moi je n'avais pas eu droit au cachet, j'étais obligée de tout subir en direct.

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Le vampire ne parlait pas pour ne rien dire et il avait une certaine forme de charisme. On obéissait à ses ordres sans réfléchir, sans se poser de questions, c'était très étrange. À chaque demande je m’exécutais immédiatement, presque hypnotisée, mais pourtant bien consciente. Lorsque je me suis allongée sur la table, j'étais stressée, je ne savais pas du tout comment il allait procéder. En fait j'espérais que ce serait le moins douloureux possible, surtout si le but de l'opération était de rendre ma bouche beaucoup plus sensible. Je ne tenais pas spécialement à avoir la sensation qu'on venait de charcuter mon vagin dans toute la gorge.

J'ai senti ses doigts s'enfoncer dans ma chair, au début c'était douloureux puis, plus rien, aucune douleur, aucune sensation. J'avais l'impression très étrange d'avoir un corps et un haut de tête sans rien entre les deux. C'était ... Perturbant, terrifiant et en même temps rassurant, car au moins je n'allais plus beaucoup souffrir apparemment. Je suis restée immobile pendant un long moment, de temps en temps je voyais une petite giclée de sang passer. Le pire c'était de ne rien pouvoir voir pendant près d'une heure, quoi que je n'étais pas vraiment sûre de vouloir voir ça. Puis la véritable épreuve commença ...

La reconnexion des nerfs. Au début tout allait bien, j'ai très vite retrouvé les sensations d'une bouche normale et je n'avais absolument aucune douleur, je pouvais tout ressentir, ses doigts dans ma bouche terminant le travail, la sensation d'être de nouveau rattachée à mon corps. Puis les sensations sont devenues beaucoup plus fortes, ses doigts dans ma bouche m'ont provoqué des sensations aussi intenses que si j'étais en train de me masturber. J'ai commencé à me cambrer d'excitation sur la table, à me crisper, mes tétons se sont mis à pointer et ma bouche salivait plus qu'elle n'aurait dû. C'était insupportable, un véritable supplice, je pouvais sentir chaque recoin de ma bouche comme jamais auparavant, je sentais chaque vaisseau sanguin, je sentais même le sang qui circulait à l'intérieur. Je me demandais déjà comment j'allais bien pouvoir manger en public sans passer pour une chienne en chaleur et je n'avais pas du tout envie de voir l'effet qu'auraient désormais les plats épicés sur moi.

J'étais en sueur, haletante, les yeux mi-clos, les joues rouges et en plus il voulait tester pour voir si ça fonctionnait ? Moi je trouvais que ça fonctionnait déjà très bien et je voulais que les modifications avancent. Son foutu test il allait le faire à la fin, la mission parlait de venir me faire charcuter, pas de sucer le "chirurgien". Tout en essayant de ne pas trop le contrarier j'ai répondu :

"Sans vouloir vous commander, j'aimerai qu'on avance le plus vite possible, qu'on soit quittes. Le simple fait de parler est insupportable, donc à mon avis il n'y a pas besoin de test pour voir que ça fonctionne bien. Je suppose qu'ensuite les piercings aux tétons sont les moins embêtants de la liste ..."

Ça faisait déjà deux ou trois missions où je prenais cher, alors si pour celle-là ce n'était pas nécessaire je préférais éviter. C'est qu'elle était déjà assez traumatisante de base mine de rien. Bon s'il me forçait à le sucer je n'étais pas vraiment en état de lui résister là tout de suite, certes. Mais j’espérais qu'il ne verrait pas les choses comme ça.

6
Le parc et son sous-bois / Re : Exhibitionnisme et bonnes moeurs ! [Pv]
« le: mercredi 27 août 2014, 23:09:59 »
Bon Lizzie ne s'était jamais attendue à une drogue douce, mais là la pauvre fille était complétement zombifiée, elle ne pensait plus qu'à se masturber devant des gens, c'était devenu son seul et unique objectif. Et puis, elle allait vraiment se rappeler de tout ? Se rappeler de tout ça, savoir qu'elle s'était ainsi donnée en spectacle ? Il aurait été moins cruel de lui effacer la mémoire au passage, juste histoire de la préserver au moins un minimum. Elle regardait Tomoe impuissante, obligée tout comme elle de se servir de la main du policier pour se masturber. Oh le pauvre avait bien tenté de communiquer et j'avais une furieuse envie de lui répondre pour qu'il mette fin à tout ça mais : "Je veux que tu fasse exactement comme elle" ; "et je t'interdis de la retenir, quoi qu'il arrive". La lettre avait été très claire à ce sujet, interdiction formelle d'intervenir ou de ne plus l'imiter, elle n'avait pour ainsi aucun contrôle sur la situation. C'était Tomoe qui décidait et la pauvre jeune-fille n'était pas en état de prendre des décisions.

Le policier ne semblait pas vraiment pressé de les arrêter, il profitait même de la situation, se servant de ses doigts pour donner à Tomoe ce qu'elle voulait et pour me donner ce que j'avais demandé sans le vouloir. Intérieurement je pensais : *Pitié, arrête nous, embarque nous, donne nous des vêtements, garde nous enfermées le temps que la drogue se dissipe et on n'en parle plus. Fais ton boulot quoi merde !*. Tomoe se pressait lubriquement contre l'épaule du policier, poussant ses doigts plus profondément en elle tout en faisant glisser son bras entre ses seins et encore une fois j'étais forcée de faire comme elle.

Après quelques secondes ainsi elle s'est mise en tête de déshabiller l'agent, lui retirant d'abord les habits du haut pour le mettre torse nu. Et avant qu'il n'ait eu le temps de comprendre ce qu'il lui arrivait, elle s'empara d'une paire de menottes dans la poche de son pantalon, la lui passa au poignet gauche et s'attacha à lui avant de jeter la clé au loin. *NON ! Espèce d'abrutie !!! Pourquoi ?* Pendant qu'il était sous le choc j'en ai profité pour prendre la deuxième paire de menottes et faire pareil avec moi du côté droit. On formait maintenant une jolie chaine humaine, sans la clé on restera liés et torse nu et ça allait devenir difficile de la retrouver dans la pénombre. Mais Tomoe ne se laissait pas abattre, c'était une battante, raison pour laquelle elle s'employait à défaire la ceinture du policier pour voir son petit soldat au garde à vous.

Faisant totalement fi de ce que le policier pouvait bien raconter, nous nous sommes employées à le débarrasser du bas qui vola bien vite quelques mètres plus loin. À peine ceci fait, Tomoe s'empressa d'avaler son sexe pour le sucer, utilisant sa langue pour stimuler son gland et le prenant parfois en gorge profonde pour lui faire apprécier l'étroitesse de sa gorge et les bruits obscènes que cela provoquait. À cet instant je suis restée sur le côté, horrifiée : *Je dois vraiment imiter ça ? Sérieusement ? Pitié qu'une autre patrouille nous coffre avant ... Je veux aller en prison ! Arrêtez nous !*.

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Le parc et son sous-bois / Re : Exhibitionnisme et bonnes moeurs ! [Pv]
« le: mercredi 27 août 2014, 11:42:52 »
"Chère Lizzie, aujourd'hui je vais te confier une mission un peu spéciale. J'ai remarqué qu'une de tes camarades de classe, Tomoe Hitsuo, était particulièrement timide et peu sûre d'elle. Gâcher le potentiel d'un tel corps avec ce genre d'états d'âme est un crime, le même crime que le tiens. Je veux vous voir expier vos fautes ensembles, tu trouveras dans cette enveloppe un petit cachet rose, c'est une puissante drogue aphrodisiaque qui lui donnera une envie incontrôlable de se mettre toute nue et de se masturber. Je veux que tu fasse exactement comme elle, si elle se déshabille tu te déshabille, si elle se masturbe tu te masturbe, si elle suce une queue ou qu'elle se fait tringler idem et je t'interdis de la retenir, quoi qu'il arrive. La mission ne sera validée que si vous le faites dans un lieu public et ne prendra fin que lorsque les effets de la drogue disparaitront, soit environ trois heures après la prise du cachet.

PS : Au fait, cette drogue n'efface pas la mémoire, elle se souviendra de tout. Elle se souviendra que tu l'a droguée, puis que tu t'es servie d'elle pour réaliser tes fantasmes dégoutants. Ne crains rien, elle est trop timide pour aller raconter quoi que ce soit, va savoir elle pourrait même y prendre goût."


C'est ce que je redoutais le plus, c'est exactement le type de missions que je ne voulais pas faire. Impliquer mes camarades de classe et devenir une perverse folle à lier à leurs yeux, ce que j'aurais voulu éviter à tout prix. Tomoe était une fille douce et gentille en plus, je n'avais pas du tout envie de lui faire du mal. Mais les ordres étaient les ordres, si je ne m’exécutais pas Hitomi et sa mère risquaient de subir bien pire entre les mains de ce malade. Il fallait que je trouve un prétexte pour entrainer ma victime en ville, elle était plutôt serviable, si je lui demandais de l'aide elle ne refuserait pas.

Au lycée la journée s'est déroulée normalement, je guettais une occasion de lui parler seule à seule. Comme elle trainait souvent à sortir des salles de classe j'avais juste à attendre la fin d'un cours. L'occasion se présenta après un cours de mathématique, le prof était pressé, les élèves sortaient rapidement pour profiter de leur pause et elle trainait comme d'habitude. J'ai attendu que tout le monde sorte en faisant semblant de chercher quelque chose dans mon sac, puis je me suis dirigée vers ma proie :

"Salut Tomoe. Dis, ce soir tu pourrais venir m'aider à réviser pour le contrôle de demain ? Ça nous permettra de faire un peu connaissance en plus."

Elle était trop mignonne, à peine lui avais-je adressé la parole qu'elle rougissait déjà. On voyait qu'elle était sincèrement touchée que je m’intéresse à elle. Vraiment désolée Tomoe, tu étais bien la dernière personne que j'avais envie de maltraiter, mais je n'avais pas le choix, c'était toi ou ma seconde famille.

"S-Salut A-Aya-san ! J-Je suis désolée, je ... j'ai déjà quelque chose à faire ce soir, je suis désolée. M-Mais c'est gentil de proposer ..."

Jamais je n'ai été aussi démotivée de toute ma vie, j'avais furieusement envie de la laisser partir et de foirer ma mission.

"Aucun problème Tomoe, je vais me débrouiller. Ça te dit qu'on rentre ensemble toutes les deux ce soir ? J'aimerais quand même qu'on fasse un peu connaissance sur le chemin."

"O-Oui bien sûr Aya-san ! A-Avec plaisir !"

À la fin des cours, comme prévu, Tomoe m'a rejoint, ne se doutant pas encore de ce qui l'attendait. Nous avons commencé à marcher direction le parc, un endroit public, pile ce qu'il me fallait. Lorsque nous avons longé le parc, j'ai dis à Tomoe en l'entrainant par la main :

"Viens par là, il faut que je montre quelque chose."

Je l'ai entrainée dans des buissons, à l'abri des regards, puis je l'ai plaquée au sol. Surprise, elle n'a pas eu le temps de comprendre ce qu'il lui arrivait lorsque j'ai enfoncé mes doigts dans sa bouche avec le cachet. J'ai plaqué ma main sur sa bouche pour l'empêcher de recracher, maintenant fermement l'un de ses bras tandis que sa main libre essayait de retirer celle que j'avais plaquée sur son visage. Elle s'est débattue, poussant de petits gémissements de panique étouffés, moi je lui répétais :

"Chuuuut ... Laisse toi faire Tomoe ... Tout va bien ... J'ai besoin que tu sois une gentille fille ce soir."

Puis elle s'est totalement relâchée, le regard vide, je l'ai lâchée et elle a immédiatement commencé à se déshabiller et est sortie nue des buissons pour aller se masturber devant les passants. Rouge de honte je l'ai imitée, je me sentais horrible de lui faire subir ça alors qu'elle avait toujours été adorable avec moi. Nous avons passé ainsi dix bonnes minutes à nous toucher devant les passants, même lorsque des enfants nous regardaient la drogue poussait Tomoe à se caresser devant eux et je n'avais pas d'autre choix que de l'imiter. Lorsque le policier est arrivé et a posé des questions je n'ai pas répondu, si ma victime ne parlait pas je ne devais pas parler non plus. Elle a commencée à se masturber devant lui, les yeux perdus dans le vague, sa langue pendait hors de sa bouche, un filet de bave coulant dans son cou. Moi je faisais exactement comme elle, tout en essayant d'éviter de penser et de regarder les visages des gens qui nous mataient. Elle s'est retournée vers moi, la substance lui donnait une envie irrépressible d'exciter les autres, or quoi de plus excitant pour un policier que deux vilaines filles se touchant juste sous son nez. Elle m'a embrassée sur la bouche, malaxant ma poitrine d'une main tandis qu'elle enfonçait les doigts de l'autre entre mes cuisses. Comme on me l'avait ordonné j'ai fais exactement comme elle. J'étais horriblement gênée, mais je devais tout de même reconnaitre qu'on éprouvait un plaisir très particulier à se lâcher de la sorte en public.

8
Je m’apprêtais à répondre à sa première question. Il ne fallait pas qu'il soupçonne la vérité, en aucun cas, il devait penser que la requête venait de moi. Même si ça paraissait invraisemblable qu'une fille comme moi veuille ce genre de choses. Mais brusquement il a changé d'avis, répondant simplement qu'il acceptait de m'aider. J'étais soulagée qu'il abandonne sa question, mais je n'arrivais à comprendre pourquoi il l'avait posée si c'était pour se rétracter quelques secondes plus tard. Il n'avait pourtant pas l'air indécis. Enfin, je ferais mieux de ne plus y penser, j'avais d'autres préoccupations.

J'ai commencé à le suivre, ne sachant pas où il allait bien pouvoir m'emmener. Nous sommes sortis du bar, puis nous nous sommes dirigés vers la zone industrielle. Le moins que l'ont puisse dire c'est que l'endroit n'était pas très accueillant, de grands entrepôts séparés par de petites ruelles, un véritable coupe gorge. Rien qu'en passant j'avais déjà vu plusieurs SDF et membres de gangs qui se promenaient dans le coin, si je n'avais pas été obligée d'y foutre les pieds je ne serais jamais venue ici. Une forte odeur d'alcool et de fumées flottait dans l'air, de temps à autre un cri ou un rire trahissait la présence d'un groupe d'individus planqué entre deux entrepôts. Apeurée j'ai saisie la manche de Valian au niveau du coude, ça me rassurait de sentir que je n'étais pas seule dans cet endroit. Et je ne l'ai lâchée que lorsque nous sommes arrivés au sous-sol.

C'était une salle qui tranchait radicalement avec ce que j'avais pu voir dehors, c'était très propre, très ordonné, une espèce de table médicale était installée au centre. Moi qui m'attendais à me retrouver dans un endroit encore plus glauque qu'à l'extérieur, en fait ça allait. Mais le fait d'arriver ici signifiait aussi que nous allions entrer dans le vif du sujet et je ne le voulais pas, j'avais envie de fuir d'ici le plus vite possible. Je savais que si je fuyais l'homme aux enveloppes allait s'en prendre à Hitomi et à sa mère, maintenant c'était mon seul foyer et les seules personnes qui me soutenaient. Même si je mourrais d'envie de repartir par ce monte-charge comme j'étais venue, je n'avais pas le choix. Je priais juste pour que les "améliorations" ne soient pas trop gênantes au quotidien. Même si je savais bien au fond de moi que si elles n'étaient pas gênantes, l'homme aux enveloppes ne m'aurait pas ordonné de les faire.

Il fallait que je me déshabille, plutôt logique vu les transformations demandées, mes joues se sont mises à rougir. J'étais tentée de lui demander de se retourner, mais de toute façon il allait passer les deux prochains jours à tripoter mon corps pour faire les modifications, si ce n'est pire. Je fuyais son regard, essayant de m'imaginer seule dans la pièce tandis que mon visage devenait écarlate. Je portais un jean et un pull à col roulé noir qui descendait suffisamment bas pour cacher mes fesses, avec de simples baskets aux pieds. Je portais toujours ce genre de tenues pour ne pas attirer les regards sur moi. Horriblement gênée, j'ai commencée par retirer chaussures et chaussettes, le plus facile. Puis j'ai retiré mon jean et enfin mon pull, me retrouvant en sous-vêtements face au vampire et révélant une opulente poitrine qu'il n'aurait pas pu soupçonner à cause de mes vêtements. J'ai bégayé :

"Ç-Ça ira pour l'inspection ou je dois t-tout enlever ?"

La question était complétement stupide, il allait devoir modifier mon sexe et mon anus, je serais forcée de les retirer tôt ou tard. Sans attendre sa réponse je me suis exécutée, retirant ma culotte puis mon soutient-gorge avant de cacher mes seins et mon intimité avec mes mains. Je réfléchissais à ce qu'il m'avait demandé. Par quoi voulais-je commencer ? Question facile, par le moins gênant donc par :

"J-J'aimerais commencer par la b-bouche. S-S'il vous plait ..."

9
"Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ..."
"Grumph ..."
"Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ..."
"Je veux dormir ... On est Samedi en plus ..."

Enfin le week-end et ce foutu réveil que j'étais persuadée d'avoir éteint qui me réveille à six heures piles. La journée commençait déjà mal et elle ne s'est pas améliorée lorsque j'ai aperçue une enveloppe blanche au pied du lit. Ah non ! Non non non et non ! Je n'allais pas me pourrir la grasse matinée en lisant le prochain truc dégueulasse que j'allais devoir faire. Moi je dors là et le sommeil c'est important, donc je verrais ça à midi ! Et encore après manger pour ne pas me couper l’appétit ! Pensais-je. Je me suis donc courageusement enfouie la tête sous les draps pour replonger dans cet état merveilleux qu'est le sommeil, pour ne plus penser à rien. Mais voila, le problème c'est que maintenant que j'avais vu l'enveloppe je voulais savoir à quoi m'attendre. Livrée à un intense combat intérieur pendant au moins cinq minutes, je me suis alternativement dis à moi-même : "Je veux dormir encore un peu, mais d'un autre côté je veux savoir. Non ! Je vais me gâcher la journée avec cette enveloppe, je l'ouvrirais plus tard ! Mais d'un autre côté il faudrait mieux que je me prépare pour ça ... NOOON DOOORMIIIIIR !!! Je hais cette enveloppe, que cette enveloppe aille en enfer. Non, je ne veux pas l'ouvrir, je n'en ai pas envie du tout ! Oh et puis merde, allons-y ..." :

Scratch ! Scratch ! Scratch ! (bruit d'enveloppe qu'on ouvre)
"Alors ! Chère Lizzie bla bla bla ... Sans intérêt. Valian ... Vampire ? Quartier de la Toussaint, ok. Bla bla bla, apprend à aller à l'essentiel bordel ! Ah voila ! Alors objectif demander des modifications corporelles ... Mouais. Piercings aux tétons, ouais bon ça c'est pas vraiment une surprise, je m'attendais à un truc comme ça un jour ou l'autre. Transformer l'intérieur de ma bouche en zone érogène ... Sérieusement ? Et si je ne suis pas d'accord je vais me faire foutre ? Heu non, je ne devrais pas dire ça moi ... Alors la suite ... Anus élastique et plus sensible, bah voyons, quitte à me transformer en phénomène de foire autant faire les choses bien ! Et le dernier, greffe d'un pénis rétractable ... Heu ... Je retourne dormir ..."

Naïvement j’espérais qu'en retournant à mon lit j'allais me réveiller dans le monde réel et constater l'absence d'enveloppe. Mais mes pouvoirs magiques endormis n'étaient pas encore assez puissants pour modifier la réalité ... Et surtout, plus important, je n'avais pas de pouvoirs magiques de toute façon. J'ai quand même relue deux ou trois trente fois la lettre, histoire d'être bien sûre de ce que j'allais devenir dans un futur trop proche. Et malheureusement il n'y avait pas d'erreur ou d'interprétation avantageuse de la lettre pour sauver mes fesses au propre comme au figuré. J'ai posé la lettre et j'ai regardé s'il y avait autre chose dans l'enveloppe. Il y avait trois schémas qui montraient précisément les améliorations souhaitées : Un qui montrait un pénis sans testicules sortant d'un vagin, avec une annotation "20cm en érection". Un autre qui montrait des vues intérieures d'une bouche et d'une gorge, avec les tracés des nouveaux nerfs, particulièrement concentrés dans la langue. Et enfin le dernier schéma, ok un anus avec le tracé des nerfs et ... 10cm de diamètre pour la dilatation maximale ?! C'est plus une petite amélioration perverse là ! On veut transformer mon cul en garage ou quoi ? Bon au moins il avait prévu l'argent, mon argent de poche était pour l'instant épargné par ces délires. Inutile de dire que je n'avais pas spécialement envie d'y aller tout de suite, j'avais besoin de faire le deuil de trois parties de mon corps avant de devenir un monstre. Du coup j'ai attendu, attendu, attendu, jusqu'à ne plus avoir le choix et j'ai dis aux Yamadas que j'allais dormir chez une amie ce soir. Parce que connaissant l'autre taré aux enveloppes je ne risquais de repartir directement après les transformations, il avait surement prévu une sorte de test histoire de bien enfoncer le clou, si je peux me permettre cette horrible blague.

Hop là ! Me voila partie direction le quartier des cassos de la Toussaint ! Et à l'adresse indiquée, une sorte de vieux bar dégueulasse, j'ai demandé au propriétaire s'il connaissait un certain Valian. Lorsqu'il m'a répondu oui j'ai réalisé que je ne pouvais plus revenir en arrière là. Il m'a indiqué une petite salle au fond où celui que je recherchais se trouvait. J'ai frappé, je suis rentrée avant de refermer derrière moi et je me suis retrouvée face à un homme aux cheveux blancs et aux yeux rouges. Il avait une sorte de ... d'aura particulière, il ne ressemblait pas à quelqu'un de normal. En même temps quelqu'un qui était capable de modifier mon corps ainsi ne pouvait pas être normal de toute façon. Je lui ai nerveusement tendu les dessins en me forçant à sourire, bégayant un peu à cause du stress :

"B-Bonjour monsieur Valian. J-Je voudrais ce ... ça ... S'il vous plait ..."

Avec les horribles dessins que je venais de lui tendre il devait me prendre pour une allumée. En tout cas je n'avais pas le droit de lui parler de l'homme aux enveloppes quoi qu'il arrive. Il fallait lui dire que c'était mon idée, même si ça me répugnait.

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Prélude / Re : Perverse malgré elle [Valimutée]
« le: lundi 25 août 2014, 13:25:00 »
Merci.  o/

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Prélude / Re : Perverse malgré elle
« le: dimanche 24 août 2014, 18:38:54 »
Bonjour, la fiche a été réécrite de A à Z, donc je demande à ce qu'elle soit à nouveau validée svp.   :)

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Prélude / Re : Samantha carter
« le: dimanche 15 septembre 2013, 23:13:01 »
Grande sœur !  :D

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Les terres sauvages / Re : Disparition inquiètante [La meute de Kraks]
« le: lundi 10 juin 2013, 11:47:44 »
Cette nuit j'avais rêvé d'une vie normale dont on m'avait privé. J'étais une lycéenne parmi d'autres, pas de lettres, pas de missions, juste des cours, des amies, des ennemis, des amours. Mais même dans mes rêves, l'histoire finissait toujours en rêve érotique, comme si mon cerveau cherchait à me préparer pour la suite. Ainsi, les élèves de ma classe commençait à me caresser, se dénudant les uns les autres tandis que l'homme de mes rêves m'embrassait langoureusement. Je rêvais d'une vie d'amour et de plaisirs, où j'aurai eu de nombreux enfants avec un homme exceptionnel et une vie épanouissante. Mais, brutal retour à la réalité, je me suis retrouvée hors du lit, tirée par les cheveux, examinée comme une bête. Au départ je n'ai pas compris ce qu'il m'arrivait, je n'étais pas réveillée du tout et subissais les événements. J'ai commencé à prendre conscience de la situation dans le couloir, quelqu'un me traînait dehors de force. J'ai bien essayé de résister mais, celui qui me tenait était si fort que j'aurai aussi bien pu ne rien faire. La porte s'est ouverte, le soleil qui nous faisait face m'aveugla et j'ai senti mes pieds décoller du sol avant de m'écraser lamentablement par terre. C'est là que j'ai enfin vu le visage de mes agresseurs, tandis qu'ils déchiraient mes vêtements. Je suis devenue toute pâle, terrorisée par ces choses, ces espèces d'homme-rats répugnants.

On m'a mis un collier de chien autour du cou, attachée à une laisse, puis on m'a traînée jusqu'à une grande cage commune. Dedans de nombreux esclaves étaient entassés, la plupart d'entre eux avaient le regard vide de toute expression, traumatisés par ce qu'ils avaient vécus. D'autres semblaient bien s’accommoder de cette vie et regardaient Lizzie avec des regards tantôt mauvais, tantôt intéressés. À peine entrée à l'intérieur, je me suis assise dans un coin de la cage pour me remettre de mes émotions. J'avais beaucoup de mal à respirer, fermant les yeux pour tenter de reprendre mon calme, mais rien n'y faisait, j'avais besoin de mes médicaments. J'ai senti une main passer dernière ma nuque et m'attirer tendrement sur le côté. Une femme qui avait l'age d'être ma mère s'était assise à côté de moi et avait amenée ma tête contre sa poitrine tout en me caressant les cheveux. D'un ton sévère elle m'avait reprise :

Calme toi ! Les esclaves qui paniquent ne vivent pas longtemps ici ! Déjà, oublie la liberté, tu ne t'enfuiras pas, d'autres ont essayés, ils sont tous morts. Mon fils a paniqué et a refusé la cruelle réalité, il est mort aussi. Tu n'as que deux choix. Endurer tout ce que tu subiras ici et tenter de survivre ou te suicider et je ne pense pas que tu veuille mourir. Tes chances de survie dépendent de deux choses. Ta capacité d'adaptation et la dilatation de tes orifices. Pour la première c'est à toi de convaincre les skavens que tu es une bonne esclave et que tu les adore. Pour la seconde je vais t'enfoncer un gode dans l'anus pour le dilater à fond, ce sera douloureux mais, c'est ce qui va te sauver d'une mort douloureuse. Oh et, un conseil, à partir de maintenant arrête de réfléchir et comporte toi comme un animal.

Je sentais une sévérité, une dureté dans ses paroles, mélangées à la tristesse d'avoir perdu son fils et à une certaine bienveillance. Étrangement, ses paroles m'ont à la fois choquée et calmée. Elle m'a prise sur ses genoux, je savais ce qui m'attendait mais j'ai fais comme elle m'avait dit, j'ai arrêté de réfléchir. Le gode surdimenssionné fut introduit brusquement entre mes fesses, tandis que la main de la femme couvrait ma bouche avec force pour m'empêcher de crier. Mon cri fut étouffée par sa main et les larmes commencèrent à couler le long de mes joues. J'avais l'impression que mon anus s'était déchiré sur toute sa longueur, heureusement ce n'était pas le cas et cette manœuvre avait justement pour but d'éviter que cela arrive. La douleur s'estompa lentement, trop lentement et la femme commença à m'embrasser dans le cou pour me détendre.

À côté de nous, une adolescente se réveilla, dit bonjour à la femme qui s'occupait de moi en l’appelant maman. La jeune fille s'approcha de moi et commença à lécher mon ventre et embrasser ma poitrine. Passive, je me laissai aller, je ne devais pas réfléchir, plus jamais. La mère me murmura à l'oreille :

Comment t'appelle tu ?

Lizzie madame …

Très bien Lizzie, je m'appelle Miko et voici ma fille, Chiyo. À partir d'aujourd'hui nous t'adoptons, considère moi comme ta mère et considère Chiyo comme ta chère petite sœur. Nous allons nous soutenir, nous aimer et survivre toutes les trois à cet enfer.

Grande sœur Lizzie !

J'ai souri, apaisée par le sentiment réconfortant que je n'étais plus seule dans ce monde. Une nouvelle famille unie pour survivre en enfer ? L'idée me plaisait bien, après tout, mes vrais parents n'avaient jamais remarqués mes problèmes, ne m'avaient jamais aidés. J'ai tendu mes mains vers l'avant pour enlacer ma nouvelle petite sœur, je l'ai ramenée contre moi et je l'ai embrassée langoureusement. Puis j'ai répondu :

Oui maman.

Par la suite nous avons fait l'amour toute la journée toutes les trois, ne nous arrêtant que pour l'infâme repas qui nous était servit, Chiyo et Miko me donnèrent une partie de leur gamelles. Je n'avais rien eu besoin de dire, elles avaient devinées par elles-mêmes que je mourrais de faim. Je me sentais comme l'heureuse propriétaire d'une parcelle de paradis au milieu des enfers, je sentais que je pouvais réellement compter sur elles. Puis vint l'heure d'aller servir les skavens, malgré la préparation et les encouragements de ma nouvelle famille j'étais terrorisée.

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Les terres sauvages / Disparition inquiètante [La meute de Kraks]
« le: samedi 08 juin 2013, 14:17:27 »
Après avoir passé un peu de bon temps chez une amie, je rentrais chez moi. Mes parents insistaient toujours pour que je rentre avant 19h, les rues étaient dangereuses après cette heure. Personnellement je ne partageai pas leurs inquiétudes, autre chose de bien plus important me préoccupait. Cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas reçu la moindre enveloppe. Je devrais en être heureuse mais, j'avais le pressentiment que le malade mental à l'origine de tout ça préparait quelque chose de particulier. En tout cas, la seule chose qui était sûre c'est qu'il ne m'avait pas oubliée et qu'il ferait bientôt parler de lui à nouveau. Mais je me m'attendais pas à ce que cela arrive au détour d'une ruelle sur le chemin de la maison. L'un des gigantesques homme-porcs qui lui servaient d'hommes de main fit son apparition face à moi. La créature mesurait plus de deux mètres de haut et sous sa graisse proéminente des muscles puissants capables de maitriser n'importe quel humain. Paniquée, je me suis retournée pour m'enfuir, percutant de plein fouet le ventre gras d'un deuxième homme-porc. Ils m'ont attrapée et je me suis retrouvée avec un linge imbibé de chloroforme sur le visage. J'ai bien tenté de résister, mais je n'ai rien pu faire tandis que je sombrais dans l'inconscience.

Je me suis réveillée au milieu de nul part, j'étais au milieu d'une grande plaine dont je ne voyais pas le bout, sans la moindre trace de civilisation. La seule chose qu'on m'avait laissée était une enveloppe rose, ainsi que mon uniforme scolaire que je portais la veille. Malgré un intense mal de tête, j'ai rapidement déchirée l'enveloppe pour pouvoir lire la lettre à l'intérieur :

"Lizzie Lizzie Lizzie ... Tu ne met vraiment aucune bonne volonté ma chère Lizzie ! Je suis très en colère ! Tu ne fais strictement aucun effort pour sauver ton âme de l’abstinence et de la morale. Mais ne t'inquiète pas Lizzie, je comprends tes peurs. C'est pour cela que j'ai fais en sorte que tu disparaisse. Maintenant que tes parents ne sont plus toujours derrière toi tu seras libre, libre de t’adonner à la luxure la plus bestiale à longueur de journée. Pour information tu te trouve dans un monde parallèle nommé Terra, il est très différent de la Terre que tu connais. C'est pour cela que je ne te donne aucune mission, ce monde se chargera naturellement de ton apprentissage. Que tu le veuille ou non. Et si tu es très sage je te laisserai peut être revoir la Terre un jour. N'oublie pas de détruire cette lettre après l'avoir lue, je serais très en colère si quelqu'un d'autre était au courant de nos affaires."

Sentant la panique monter, j'ai directement plongé ma main dans ma poche pour prendre mes médicaments, mais ils n'étaient pas là. Je devais absolument garder le contrôle de ma respiration pour ne pas avoir de problèmes, donc je me suis allongée dans l'herbe le temps de reprendre mon calme. J'étais donc perdue dans un monde parallèle, les lettres n'avaient jamais menti jusqu'à présent donc je partais du principe que c'était la vérité. La première chose à faire était de me déplacer pour trouver un village où je pourrais avoir des informations, de la nourriture et de l'eau. Ensuite trouver un moyen de rentrer, si on m'avait amenée ici c'est qu'il y avait forcément un moyen de voyager entre ces deux mondes. Ne voulant pas perdre de temps, j'ai immédiatement déchiré la lettre avant de me mettre en marche avec une boule au ventre. Je ne savais pas du tout sur quoi j'allai bien pouvoir tomber et la lettre disait "ce monde se chargera naturellement de ton apprentissage" ce qui n'augurait rien de bon.

J'ai marché jusqu'à la tombée de la nuit, n'ayant trouvé aucun abris je me suis endormie dans l'herbe, puis le jour suivant j'ai à nouveau marché et ainsi de suite. Au final j'ai passé trois jours entiers à marcher sans relâche et à dormir à la belle étoile sans rien avaler. Alors lorsque j'ai vu cette petite ferme au loin je m'y suis précipitée sans réfléchir. J'ai frappé à la porte mais personne ne répondait, donc je suis entrée. La maison était totalement vide et il n'y avait plus de nourriture ou d'eau. Pourtant il y avait encore des vaches dans un enclos voisin, ainsi qu'un abreuvoir rempli récemment. L'idée m’écœurait mais je mourrais de soif, j'allai devoir boire dans l’abreuvoir des bêtes, je ne voyais pas d'autre source d'eau à proximité. Je suis entrée dans l’enclot, me suis mise à genoux dans la boue pour me pencher au dessus. L'eau puait, souillée par la bave des bovidés, mais après une grimace j'ai plongé mes mains dedans avant de la porter à ma bouche. J'ai bu tout ce que je pouvais boire, étanchant ma soif tant que cette eau était à disposition, il n'était pas dit que j'en retrouverai de sitôt. Puis je suis rentrée dans la petite ferme afin de m'abriter pour la nuit, je me refusais à tuer l'une des vaches pour manger, quelqu'un viendrait surement demain pour nourrir les bêtes et j'en profiterai pour renouer avec la civilisation.

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Le moment que je redoutais tant était finalement arrivé. L'école était finie, les vacances d'été allaient commencer et il faudra occuper tout ce temps libre en plus. Nul doute que l'inconnu(e) qui m'envoyait ces lettres en profiterait pour me donner des missions encore plus dures et malsaines que d'habitude. Quand j'ai ouvert les yeux, il y avait bien la lettre rose habituelle et même si je n'avais aucune envie de la lire je n'avais pas le choix :

"Ma petite Lizzounette en sucre,

Aujourd'hui est un grand jour pour toi ! Ce soir tu pourras annoncer à tes parents que tu quitte la maison car tu auras un travail et un endroit où dormir ! Tu seras enfin débarrassée des gêneurs qui t'empêchent de devenir un bon animal de compagnie.

Ta mission sera de te faire embaucher dans un bar du quartier de la Toussaint, celui dirigé par Carmen De Solar. Tu devras obéir à ses ordres comme s'ils émanaient de moi et si tu ose lui désobéir je te réserve une punition exemplaire. Ah et, arrange toi pour qu'elle t'héberge aussi, sinon tu dormiras dehors, interdiction formelle de revenir chez tes parents quoi qu'il arrive.

Bonnes vacances ma petite chienne, je pense très fort à tes jolies fesses."


Je n'étais même plus surprise par ce genre de bouleversements, à vrai dire je m'attendais depuis un moment à ce que ce malade trouve un moyen de se débarrasser de mes parents. Et j'étais au moins soulagée qu'il ne leur fasse pas de mal. Résignée, j'ai annoncée à mes parents que j'avais trouvé un travail et un appartement. Ils étaient contents pour moi et naïfs comme ils sont, ils n'ont pas du tout trouvé que c'était étrange, quelque part c'était mieux comme ça. Je suis donc partie, officiellement à la rue depuis ce matin, avec seulement un sac contenant quelques affaires.

Mon ventre me faisait souffrir et j'avais du mal à respirer correctement, même avec mes médicaments. Je me demandais vraiment ce que j'allai devenir et je ne pouvais pas m'empêcher de penser que si ce bar en particulier avait été choisit ce n'était pas un hasard. Je me suis présentée dans le bar, j'étais particulièrement nerveuse et j'ai demandé à voir la patronne. Et lorsqu'elle est arrivée je lui ai simplement dis avec un sourire gêné :

"Bonjour madame, je m'appelle Lizzie et je voudrais travailler dans votre bar. Peu importe le poste, je m'adapterai mais, j'ai vraiment besoin de ce travail."

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