Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ulrique Chevalier

Pages: [1] 2 3 ... 12
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D'après son téléphone, il est 2h 38m 54s. Évidemment à cette heure si le centre commercial est entièrement vide et laissé au bon soin du système de sécurité. Pas l'ombre d'un marchand, pas plus celle des clients, juste le bruit des ventilations.

A priori, aucune raison de voir quelqu'un déambuler dans la galerie marchande, pourtant l'une des entrées annexes émet le "clic" caractéristique des gâches électriques qui déverrouillent la porte. Ulrique entre et semble se diriger droit vers sa destination dans le noir percé par endroit par l'éclairage de secoure.

Évidemment, il faut normalement le badge d'un employé pour entrer, ou être un voleur bien équipé. Le jeune homme n'est rien de tout ça, mais n'a eu aucun problème pour pénétrer les lieux malgré tout. Pour lui il suffit de claquer des doigts, enfin pas tout à fait mais ça revient un peu au même. Écrire un 1 ou un 0 quelque part dans le boîtier électronique qui commande l'ouverture des portes, c'est un jeu d'enfant pour lui.

Que vient-il faire ici ? Pas grand-chose. Le contenue des rayons ne l'intéresse pas, encore moins celui des caisses enregistreuses qui de toute façon doivent être vide de leurs contenus. Non, il vient simplement consulter ses comptes en banque.

Il aurait pu les consulter sur internet comme n'importe qui, surtout à cette heure tardive en pénétrant quasiment par effraction dans l'un des plus gros centres commerciales de la ville. Mais le site web lui aurait posé trop de soucie tout en compromettant sa discrétion. Après tout, il est plus facile et pratique d'édité ses comptes directement depuis le réseau de sa banque, notamment quand il s'agit de "crée" des yens qui n'ont jamais été fabriqués et encore moins gagnés par qui que ce soit. Bénis soit les ordinateurs dont le contenue lui est si facilement accessible.

Quant à l'horaire choisi, il l'est pour deux raisons. Primo il y a moins de risque qu'un employé de bureau consulte ses soldes et voit les chiffres bouger tout seul, secundo il n'y a personne pour venir le déranger pendant l'opération. Mais ce soir, ça ne se passera pas tout à fait comme prévue.

Étrangement la salle de jeu a encore la lumière allumée. Le propriétaire a-t-il oublié de couper le courant ? À moins que l'une des machines perde un peu la boule et ne retiens plus son programme ? Ses bornes sont souvent dépassées techniquement de toute façon, d'ici à ce que la mémoire soit retenue avec une bête pile bouton il n'y a pas des kilomètres.

Il s'y dirige, après tout c'est peut-être l'occasion de tester ses engins japonais, il parait qu'ils sont toujours en avance ... Ou qu'ils ont des vieilleries introuvables ailleurs. Une ou deux parties gratuites ne lui feraient pas de mal après tout, il n'est pas pressé. Au pire des cas avec son physique et ses deux mètres et des bananes il pourrait passer aisément pour un agent de sécurité.

Baskets, pantalon noir avec t-shirt assortie et une veste de couleur sombre bien que très banal, voilà comment il débarque dans la boutique. Mais il ne s'attend sûrement pas à ce qu'il y ait du monde et encore moins devant une borne. Finalement il a bien fait de venir, ça aurait été plus gênant s'il avait été surpris à trafiquer dans un distributeur.


Hem ... Bonsoir.

2
Prélude / Re : Roka (le nouveau prof de gym est làààà !)
« le: dimanche 11 mars 2012, 21:20:39 »
Bienvenu à bord jeune homme !

3
Le coin du chalant / Re : Kono sekkai...
« le: dimanche 11 mars 2012, 20:37:41 »
En voilà des bonnes choses.

Si t'a une petite idée, on voit ça par MP. Si non j’arriverais bien à fabriquer un départ de trame ^^

4
Le coin du chalant / Re : Kono sekkai...
« le: dimanche 11 mars 2012, 15:14:58 »
Si ça t’intéresse je peut te proposer Ulrique, entre un programme perdu au milieux de cet OS bizarre appeler "IRL" et un dragon capable de mener les machines au code et à l'octet, il doit y avoir moyen de faire quelque chose ^^

Si tu veux te faire une idée, regarde déjà ma fiche ^^

5
Les alentours de la ville / Re : Rencard improvisé (Ulrique Chevalier)
« le: dimanche 11 mars 2012, 14:50:38 »
Manifestement, la situation provoque le même plaisir aux deux amants. Hitomie reprend "les choses en main". Du moins tout ce qu'elle peut contenir de la longue colonne qui pointe toujours aussi fièrement entre les jambes d'Ulrique, répondant au traitement que lui inflige le jeune homme tout occupé à mètre l'enseignante en condition.

Les choses avancent doucement, le temps que le géant visite les lieux et que la jeune femme découvre cette perspective inhabituelle de la gante masculine. Entre deux gémissements ou grognements les respirations s'accélère accompagnés des frissons inévitables qui témoignes de l'état d'excitation des deux êtres qui en veulent toujours plus.

Comme pour inciter Ulrique à prendre possession de ses replis intimes, Hitomie s'approprie le bout du "monstre" qui lui fait face, lui fessant à nouveau l'honneur de son savoir faire buccale. L'effet est immédiat sur le jeune homme dont les grondements sourds s'amplifient. Un orage ? Oui sans doute, mais ce n'est rien par rapport à ce qui suivra.

Tout être à ses limites, que l'on parle d'un homme, d'un dragon ou même des dieux eux-mêmes. À force de contenter l'imposante lance de chaire sensible d'Ulrique, l'enseignante finit par déclencher la tempête qui marque la fin de la résistance de son amant. Le grondement se change en un cri animal qui en dit long sur ce qu'il ressent quand il relâche finalement sa sève.

Le volume qui s'échappe de son être est à la mesure du vent qui souffle dans ses nerfs, dépassant rapidement les capacités d'Hitomie à gérer l'inondation qui envahie sa bouche et sa gorge. Heureusement pour elle, malgré la décharge nerveuse Ulrique ne la lâche pas sur la lance de chaire qui crache par à coup sa semence épaisse. Ça aurait sans doute été pire.

À cour d'air, elle s'arrache finalement de la poutre avant de se noyer. Perdu dans son plaisir ce n'est vraiment qu'à ce moment-là qu'il s'aperçoit qu'il était en train de l'étouffer. Alors qu'elle libère tant bien que mal sa gorge de sa copieuse éjaculation, il la remet tête en haut pour l'asseoir contre lui, le temps qu'elle récupère de ses émotions.


Désolé ... hem, je ne me suis pas sentie partir. Ça va aller ?

Il semble penné en disant ça, l'événement n'étant pas prévue au programme, du moins pas comme cela. Mais malgré l'incident et sa jouissance, son membre reste toujours aussi dur, prêt à remette ça. Mais rien ne garantit qu'Hitomie soit prête à tenter l'expérience après ça. Si tel est le cas, il ne le prendrait pas mal même si ça serait dommage d'interrompre la les ébats.

Si tu veux que l'on en reste là, je comprendrais ...

La chose est dite, l'enseignante à la balle dans son camp à défaut d'avoir autre chose. Malgré cela, Ulrique risque une main baladeuse, posant sa main sur l'intimité encore humide bien qu'un peu moins excitée. Si elle ne le repousse pas, il introduira bientôt un doigt ou deux dans la caverne inoccupée pour rallumer la flamme de l'envie ...

6
Les alentours de la ville / Re : Rencard improvisé (Ulrique Chevalier)
« le: mercredi 07 mars 2012, 10:31:38 »
Une petite chose fragile, voilà à quoi ressemble sur l'instant la jeune enseignante face à lui. Nul doute que cette vision les excites tous deux au plus au point, le regard d'Ulrique étant plus que sans équivoque sur ce point. La situation semble être la source d'une sensation puissante chez elle, suffisamment prenante pour lui provoquer une envie des plus pressentes. Basiquement, c'était la jeune femelle dans ses premières chaleurs face à l'imposant mâle en rûte de la meute, une façon résumée d'exposer la chose. C'est sans doute le mélange des sangs bouillonnant parcourant ses veines qui lui donnent ce genre de pensés.

Heureusement, ni l'un ni l'autre ne sont des animaux. Il y a bien des choses à faire avant le passage à l'acte, des choses qui rajoutent encore aux sensations chaudes qui font partie de "parade". S'observer et apprécier son partenaire, se laisser porter par les odeurs et finalement prendre contacte. De son côté Ulrique doit probablement combler Hitomie avec ses odeurs fortes et légèrement plus "animale" que la moyenne.

Mais la jeune femme a elle aussi des atours dans son sac. Une peau douce, de jolies yeux bleus encadré par de longs cheveux et quelques taches de rousseurs. Ajoutez une décente de rein qui fait envie et une poitrine ferme et généreuse pour le cloue du spectacle, Ulrique a toutes les raisons de penser qu'il va passer une bonne soirée.

D'une légère pression de la main, elle l'incite à ce caler au fond du canapé, coupant quelques instants la vu qu'il avait sur l'intimité encore cachée par le dessous de l'enseignante. Mais la scène suivante en vaut largement le coup, la vision d'Hitomie agenouillée entre ses cuisses renforçant encore l'érotisme de la situation et l'impression de démesure qu'il dégage.


Toi aussi tu as de quoi rendre heureuse.

De te rendre heureuse Hitomie.

C'est la première fois qu'il l'appelle par son prénom depuis qu'ils se sont rencontrés quelques heures plus tôt. Mais vu l'avancé des choses, ce n'est plus qu'un détail. Un frisson lui parcoure l'échine quant à nouveau elle pose sa main sur le bélier tendu devant elle. Mais ce n'est rien par rapport à la sensation qu'elle lui offre ensuite.

Partant de la base légèrement velu de la tour dressée, sa langue part à l'assaut de la masse de chaire chaude qui déchaîne ses envies. La sensation humide que lui laisse à traîner de salive provoque comme un tremblement de terre sur le monolithe vivant, accompagné d'un long gémissement et de légères vibrations des testicules toutes aussi corpulentes qui en disent long sur ce que pense Ulrique de l'initiative.

Parvenu au bout de l'interminable hampe, elle entreprend d'engloutir l'imposante verge du jeune homme. La chose pose un défi qu'elle ne pourra relever, du moins pas maintenant. Seul le gland trouve place dans la cavité buccale envahie, venant tenir compagnie à la langue qui tente de compenser le manque aidée par les lèvres largement ouvertes qui l'aspirent. Bien peu tente l'aventure, et rien que cela lui fait fuser des traits de plaisirs le long de ses nerfs.

En réaction il vient caresser de ses grandes paluches le corps d'Hitomie toute occuper à sa tâche. Ses doigts viennent s'emmêler doucement dans les cheveux roux comme pour la remercier de ses attentions. Dans le même temps les gémissements se changent progressivement en un grondement tout en grave et chargé de l'envie puissante qui l'habite, héritage probable de sa partie terranide qui donne un son animal, très proche de ce que l'on attend d'un loup mâle désirant sa femelle.

Il lui faut toute sa résistance pour ne pas se relâcher tout de suite, ce qui serait bien dommage il faut l'avouer. Hasard ou effet savamment doser, elle abandonne la lance quelques instants le temps que la pression redescende. L'intervalle est suffisent pour qu'elle l'emprisonne au creux de ses seins qu'elle vient glisser sur toute sa longueur. La sensation est encore différente, arrachant de nouveau grondement de plaisirs à Ulrique qui commence lui aussi à perdre un peu pied. Heureusement le regard d'Hitomie est là pour le ramener à elle, ce n'est pas encore le moment d'exploser. Ça serait gâché l'instant.

Repris en bouche, il a pourtant toutes les peines à empêcher ses bourses de relâcher leur contenues. Ça n'empêche cependant pas un peu de la liqueur lubrifiante et sans doute bienvenu de s'échapper de la prune mise au chaud et en bonne compagnie dans la bouche d'Hitomie. C'est peut-être le signal qu'attendait l'enseignante pour mettre fin au supplice, signe qu'elle ne pourra pas l'emmener beaucoup plus loin sans provoquer la montée de sa sève.

Doucement elle remonte contre lui, laissant çà et là de petits baisés humides qui lui donnent le goût du reste de sa personne tout en provoquant d'énième frisson le long de son corps, remontant dans sa tête en s'ajoutant aux plaisirs déjà fort qu'il ressentait. Finalement ils se font à nouveau fasse, Ulrique répondent à la moue gourmande d'Hitomie avec un sourire de prédateur devant une proie qu'il apprécie pleinement.

À ton tour de t'amuser avec moi.

J'espère bien te rendre la pareille.

Il n'a pas besoin d'être devin pour comprendre ce qu'elle souhaite, pressée comme elle est contre son bras. Voilà une chose qu'il n'a jamais expérimente à vrai dire, il faut bien un début à tout comme on dit. Il prend quand même le temps d'une caresse appuyée contre la vulve qu'il devine à travers le tissu mouiller de sa culotte, puis il lui retire ce dernier vêtement qui ne fera que le gêner pour la suite.

Doucement il la fait basculer tête en bas, tirent ses hanches vers son visage en plaquant le reste de sa personne contre son torse chaud et odorant. Sa tête entre les cuisses de la jeune femme, il lui laisse le loisir de découvrir cette nouvelle perspective de son anatomie.

Le monstre sous ses yeux semble avoir encore grandie. Effet d'optique due aux veines qui commencent à apparaître ou réalité physique en réponse à l'excitation accumulée, difficile à dire. Quoi qu'il en soit le membre attend sagement en oscillent doucement au rythme des mouvements d'Ulrique.

Dans un premier temps, il se contente de distiller son souffle chaud sur les chaires à nue en observant le dessin de la vulve humide et libre de tout poiles. C'est d'ailleurs une bonne chose qu'il ait la vue dégagée pour la suite. Les mains prisent, c'est avec son nez qu'il entreprend d'ouvrir les grandes lèvres à la découverte du trésor qu'il ne tarde pas à découvrir, caché entre les plis.

Le bouton à plaisirs localisé, il pousse légèrement dessus du bout de son nez pour l'obliger à se réveiller si ce n'est déjà fait. Il accompagne d'ailleurs le mouvement de son souffle, guidé par les bruits qu'émet sa partenaire pour trouver le rythme qui le guide vers les sommets.

Il dure comme ça un moment, titillant le petit trésor ainsi que le reste du coquillage comme une douce vengeance de tout le bien qu'elle lui a procurée et lui procure encore. Finalement il abandonne l'endroit un instant, le temps de la laisser se plaindre éventuellement avant d'attaquer des choses un peu plus sérieuses.

Faute de doigts disponibles, c'est de sa langue qu'il entreprend de visiter plus en profondeur l'intimité de l'enseignante. D'abord l'extérieur, humidifiant sans vergogne toute la zone alentour en se permettant même une poussé jusqu'aux limites du fessier. Puis progressivement il pousse l'organe humide à l'intérieur de l'écrin.

Consciencieusement et en prenant tout son temps, il goûte toutes les parties de l'endroit hypersensible, menacent par moment de croquer littéralement ce qui lui passe sous les dents. Petit à petit, il va de plus en plus loin, ouvrant autant qu'il le peut le passage pour la suite et tirant autant de gémissement que possible d'Hitomie pour son plaisir. Il lui faut quelques minutes pour introduire entièrement sa langue dans l'étui qu'il visite de fond en comble, découvrant même le début de la grotte au merveilles mais ne pouvant guerre aller plus loin.

Ça ne l'empêche pas de grogner son plaisir, loin de là. Les vibrations de sa voix emplisse l'air surchauffé de l'appartement au fil des traitements que lui inflige Hitomie. D'ailleurs à se rythme, il ne tardera pas à devoir se libérer si elle continue. Et comme elle s'en doute, il y a au fond de ses glandes largement de quoi l'étouffer si elle en prend pas garde aux signes avant-coureur de l'explosion ...

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Re?-bienvenu à bord mistinguette, fait gaf avec tes joujous lumineux ça coupe ses engin là ^^

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Les alentours de la ville / Re : Rencard improvisé (Ulrique Chevalier)
« le: dimanche 04 mars 2012, 13:30:51 »
Enfin la "révélation" a lieu, enfin la révélation concernant l'objet de toute l'attention d'Hitomie du moins. Elle lui montre d'ailleurs à ce sujet un visage qui résume clairement ce qu'elle ressentait quand elle se rend compte de l'engin qu'elle a réveillé. Un mélange de surprise, de désire et peut-être une pointe d'inquiétude. Il faut dire qu'il y a de quoi être impressionné par l'entre-jambe qui achève doucement sa croissance sous les yeux de la jeune femme.

Malgré tout, ça ne refrène pas son envie. La surprise passée et sans qu'il ne lui dise quoi que ce soit, elle prend le parti de faire connaissance avec la hampe dresser devant elle. La chaire chaude tressaille légèrement quand elle pose sa main dessus, bien incapable de l'entourer entièrement. La respiration d'Ulrique s'accélère légèrement alors qu'il passe ses doigts dans les cheveux roux comme pour la rassurer en douceurs l'enseignante.


Je suis sans doute pas la première à te le dire, mais... Whao !

Ça impressionne toujours la première fois, mais ce n'est rien par rapport à la suite.

C'est sûr qu'avec une lance pareille, les sensations doivent être différentes de ce qu'Hitomie a déjà dû ressentir auparavant. Mais cette perspective ne semble pas la freiner, aller savoir ça l'excite peut-être encore plus qu'elle ne l'était si c'est possible.

Quoi qu'il en soit, elle finit par se relever, caressent sa peau de la sienne sur toute sa longueur avant de se remuer lascivement contre lui, pour un peu ça ressemblerait un peu à une danse. Réaction logique à ce passage bienvenu, l'épais mandrin maintenant caché sous la poitrine de la jeune fille tressaute légèrement, poussant contre le ventre de toute sa dureté. Le passage provoque aussi une légère contraction du reste de son corps, durcissant si encore un peu le mur de pierre qu'il représente. Il profite de cet instant pour se débarrasser du reste de ses vêtements. Chaussure, pantalon et ainsi de suite rejoigne le haut et le soutien-gorge d'Hitomie.

Il termine avec son t-shirt, dernier repart protègent sa peau. Il le retire doucement, laissent sa compagne du soir découvrir son torse qu'elle avait déjà pu deviner un peu avant. Il n'a d'ailleurs absolument pas à rougir de son physique, en fait il est aisé d'imaginer qu'il fait bien des jaloux. Pour résumer, il pourrait sans doute représenter sans avoir honte ce que l'on pourrait attendre de la personnification de la force brute. Heureusement pour l'enseignante, le dragon peut aussi se montrer tendre.


J'ai remarqué que tu aimais beaucoup ma poitrine. Tu devrais t'asseoir, que je te montre ce que je peux faire avec...

En même temps il y a de quoi rendre heureux non ?

Comme pour ponctuer la remarque, il se décolle légèrement du corps de son amante, juste asse pour passer ses mains entre eux et empoigner doucement les deux masses de chaire dont il tâte la forme et la texture. Une fois satisfait de cette palpation il entreprend d'échanger sa place avec Hitomie, se posant à son tour dans le canapé comme elle lui avait demandée. Il en profite au passage pour s'attaquer au reste gênant de ses vêtements, le pantalon de la jeune femme ne mettant pas de temps à se retrouver au sol.

Ce qu'il découvre là est déjà bien humide, mais il sa participation sera sans nul doute nécessaire pour préparer la suite, mais ça ... Ça dépendra du choix de l'anglo-nippone.

9
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 03 mars 2012, 21:22:11 »
Bon, bah voici une réponse qui neuf casse pas des briques :p

10
Une fois son membre suffisamment lubrifier au son des ronronnements de la jeune mutante, il est temps d'entamer l'infiltration de sa personne qu'elle semble attendre plus que tout à cet instant. Les deux organes complémentaires et humides finissent par se trouver, l'imposant gland prêt à aller se planter au creux de Voodoo se présentent contre la vulve.

Compte tenu la différence de volume entre la tige brûlante et le fourreau étroit de sa compagne, l'introduction se réalise relativement facilement malgré la résistance de la gaine qu'il dilate à ses dimensions au fur et à mesure de sa progression, transforment les ronronnements excités précédent en un concert de miaulements contentés qui ponctue la lente glissade dans les profondeurs accueillantes mais serrée qui lui comprime la verge.

Voodoo lui réserve cependant une surprise à laquelle il est loin de s'attendre, qui prend la forme d'une résistance supplémentaire qui ne tarde pas céder face à l'implacable pression qu'il exerce sur les chaires qui l'entourent. Il comprend de quoi il s'agit que trop tard, arrachant un couinement à la strip-teaseuse quand la prune qui orne son vit éventre la membrane comme un bélier défonce une porte.
Malgré ça, il a du mal à imaginer que l'américaine soit réellement vierge. Elle semble trop sur d'elle pour ça, notamment avec le calibre qu'il installe doucement en elle. Il finit par se dire que ça doit avoir un lien avec le sang qui coule dans ses veines et qui colore la hampe qui poursuit malgré tout son trajet en elle. Après tout, il est clair qu'il n'a pas vraiment affaire à une humaine, du moins pas entièrement.

Au fond, quelle importance ? Elle semble apprécier autant que lui ce qui est en train de se passer. Inutile de préciser qu'il grogne lui aussi son plaisir pendant toute l'intromission. Au bout de ses interminables instants il finit par heurter en douceurs le fond de l'intimité distendu de la jeune fille qu'il remplie entièrement sans grande difficulté. La présentation des corps est faite, il ne tarde d'ailleurs pas à obtenir le feu vert pour la suite des ébats.

Le col lui interdisant d'aller plus avant en elle, il entame donc le mouvement inverse, retirant la colonne humide de mouille et de sang jusqu'à l'extraire entièrement, aussi lentement qu'il l'a introduite en elle. Il laisse probablement derrière lui l'impression d'un vide désagréable, ou peut-être d'un courant d'air au fond des muqueuses de Voodoo, mais il ne reprend pas place tout de suite contrairement à ce qu'elle doit sans doute souhaiter.

Au lieux de ça, il se penche sur elle, laissant traîne sa langue le long de son dos alors qu'il se positionne au-dessus d'elle, lui cachant la lumière du plafonnier quand l'américaine se retrouve la tête caler contre la poitrine du français. Dans le même mouvement sa tige toujours aussi raide viens pointer de façon obscène entre les jambes de son amante, dépassant fièrement en se plaquant contre elle.

Arrivé là, il penche la tête pour observer le visage de Voodoo sur le dos de laquelle il s'allonge de tout son poids, ce qui lui permet de saisir les globes de chaires de sa poitrine qu'il masse en agacent les tétons entre ses doigts. Il veut l'entendre lui demander de la satisfaire, et pour ça il compte bien faire grimper l'excitation de sa partenaire.

11
Les alentours de la ville / Re : Rencard improvisé (Ulrique Chevalier)
« le: dimanche 26 février 2012, 14:58:01 »
Plus la porte se rapproche, plus elle chauffe, c'est évident. Difficile en effet d'ignorer ses réactions volontaires ou non à l'excitation qui l'habite, heureusement il y a finalement asse peu de personnes dans la rue pour la voir se retenir difficilement de ce dandiner pour compenser le "manque" qu'elle doit ressentir.

Lui aussi s'excite, même si à part la bosse de son entre-jambe il est moins démonstratif. Juste un léger frisson quand Hitomie répond à sa caresse furtive en posant sa main sur son dos. Sous la main de cette dernière se dessine nettement chaque muscles qui s'y trouve, forment des creux et des bosses que le fin tissu de son t-shirt ne gomme pas ou très peu.

Alors qu'enfin, il déverrouille la dernière porte, celle de son appartement, il capte le regard de la jeune femme qui s'est posé sur la déformation qui orne son jean. Il croit y capter une légère inquiétude, mais ce qu'elle est en train d'imaginer est sans doute en dessous de la réalité, l'espace possible dans le vêtement étant insuffisant pour qu'il puisse ce "dresser" complètement, un peu comme un ballon au creux d'un poing fermer.

Mais la crainte semble passagère s'il en croit le comportement de la fille aux cheveux de feu qui lui laisse à peine le temps de refermer la porte et de poser sacoche et clef. Elle semble perdre l'équilibre pour une quelconque raison, sûrement factice d'ailleurs et s'écroule contre lui qui ne bouge pas d'un centimètre en la rattrapant. Le doux contacte de leur peau encore séparées par leur vêtement l'électrise, renforçant un peu plus la pression déjà forte dans son pantalon qui l'écrase, comme le reste il devient de plus en plus gênant et inutile.

Finalement elle se change en alpiniste et entreprend l'ascension qui lui donne accès à ses lèvres. Il en profite pour poser ses grandes paluches sur les fesses qu'il ne pouvait atteindre il y a quelques minutes, les massant doucement alors que les langues s'invitent mutuellement à se découvrir.

Le fougueux baisé qui livre son goût un peu plus "fort" que l'habitude se termine finalement rapidement, laissent la possibilité aux deux amants d'un soir de reprendre un peu d'air et d'échanger quelques mots sans équivoque.

On a perdu beaucoup trop de temps, tu crois pas ?

Je pense deviner que le reste de ma personne t'intrigue non ? Passons à la suite ...

Il la laisse redescendre, non sans laisser ses mains glisser le long de la jeune femme en retenant le haut inopportun qu'il laisse ensuite tomber au sol. Le géant se laisse ensuite entraîner sans résistance vers le canapé qui assistera sans doute à la suite des événements alors qu'il attaque pour sa part le soutien gorge qui le gène encore dans son exploration du haut de sa conquête du moment.

Dans l'intervalle, l'enseignante s'attaque au "gros" du problème. Si la ceinture ne pose finalement que peu de problèmes, elle se rend sans doute compte que le bouton qui lui barre encore la route lui oppose plus de résistance qu'il ne devrait, poussé comme il est par la masse dur comme l'acier qui n'attend que la libération.

Elle finit par arriver à ses fins alors qu'ils arrivent au canapé sur lequel Ulrique vient asseoir sans brusquerie la jeune femme, autant qu'elle soit assise pour découvrir la "chose" à laquelle elle a donné vie et qui se trouve juste sous son nez, encore retenue par la braguette boursouflée.

Il la laisse faire et choisir le moment où elle ouvrira le dernier rempart entre sa vision et son entre-jambe. Il ne retient d'ailleurs nullement son soupir de soulagement quand elle se décide, le jean glissant le long de ses jambes pour laisser place au boxer noir finalement tout simple.

Ce dernier à sans doute déjà une taille ou deux qui manque pour habiller convenablement les hanches puissantes d'Ulrique. Mais ce n'est rien comparé au membre imposant qui finit enfin sa croissance, poussé par les battements du coeur du jeune homme qui remplit la barre de chaire du sang brûlant qui coule dans ses veines.

C'est probablement difficile à croire, mais l'engin dépasse sans mal le diamètre des fameux "manche de pioche" qui servent de référence à beaucoup de vantard, soutenant sans difficulté la trentaine de centimètres du monstre qui étire sans pitié le tissu qui le couvre encore.


Ça va ?

12
Prélude / Re : Bayushi Takahashi
« le: dimanche 19 février 2012, 16:52:39 »
Bienvenu à bord jeune homme ^^

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Les alentours de la ville / Re : Rencard improvisé (Ulrique Chevalier)
« le: dimanche 19 février 2012, 14:27:53 »
Hitomie se montre faussement hésitante, le temps de sauver les apparences malgré le fait qu'Ulrique ne soit pas dupe. Il n'a pas énormément d'expérience dans le jeu des désirs mais c'est suffisant pour savoir qu'elle en brûle d'envie autant que lui, la réponse était donc évidente.

Bien-sur, l'enseignante habite plus près. Mais il y a très peu de chance pour qu'elle soit convenablement "équipé" pour recevoir les deux mètres et des poussières d'Ulrique et avoir entre autres les pieds qui dépassent du lit n'est ni pratique ni agréable. Elle n'y a peut-être pas pensée, peut-être qui si dans l'intervalle de pseudo hésitation. Mais lui sait par expérience que ça peut valoir le coup de marcher un peu plus loin pour être à l'aise.

Il y a aussi une autre raison qu'il se gardera bien d'exprimer si on lui demande. Si les choses venaient a tourné au vinaigre pour une raison X ou Y, il ne sera pas mis dehors sans cérémonie vu qu'il sera chez lui. Ce n'est pas qu'elle semble farouche et du genre à faire demi-tour avec ses grands sourires victorieux alors qu'il paye les consommations, mais une fois devant la "chose" on ne peut écarter l'hypothèse qu'elle fasse marche arrière.

Mais chaque chose en temps, il ne sert à rien de mètre la charrue avant les boeufs. Sortie de l'établissement il se dirige vers le "centre excentré" de la ville, même si ça n'a pas vraiment de sens, surtout au Japon. Concrètement il prend la direction d'un quartier d'appartement à quelques minutes du lycée et des centres culturels et commerciaux de Seikusu. Vivre là est probablement coûteux même s'il n'en fait pas mansion, après tout l'appartement qui forme leur destination n'est pas loué ... Il l'a acheté.

Il adopte une allure modérée, bien que supérieur à une "marche normale" ce qui ne semble pas gêner outre mesure sa compagne de la soirée qui en profite sans vergogne pour l'observer en mouvement. Arriver à mi-chemin elle revient à sa hauteur, histoire de ne pas le perdre sans doute. Il est vrai que ça serait dommage arrivé à ce point.


Ça va, je ne vais pas top vite ? Je ne me rends pas toujours compte ...

Quelques mots pour meubler le vide, histoire de la faire patienter alors que son odorat perçoit les premières traces d'excitation qui passeraient sans doute inaperçues au nez d'humain lambda. Il commence d'ailleurs à partager l'état fébrile d'Hitomie, provocant chez lui le début d'une déformation caractéristique de son jean. Rien d'impressionnant pour le moment, mais la chose ne fait que s'amplifier à mesure qu'il se rapproche de son immeuble.

Ils parviennent finalement en face du bâtiment, qui a priori ne se distingue en rien des autres qui l'entourent. Il semble tout au plus un peu plus ancien que ses congénères, mais rien de plus quand Ulrique tape le code de déverrouillage de l'entrée au digicode.


Après toi, si tu veux bien entrer ...

Le jeune homme là suis immédiatement, ne prenant pour une fois pas la peine de baisser la tête sous la porte qui le laisse passer avec un petit centimètre de marge. Mais ce n'est sans doute pas ça que regarde l'enseignante. L'entrée et les couloirs où il là guide sont d'un blanc très classique, éclairés par de bêtes plafonniers qui diffuse leur lumière blanche un peu partout.

Elle ne se rendra sans doute pas compte qu'ils se rendent au troisième étage par les escaliers quand il pose une de ses larges mains sur son dos, caressent Hitomie au rythme de leurs pas respectifs. Elles se font de plus en plus appuyé et suggestive jusqu'à ce que les doigts massent sans gênes le haut du fessier à travers les vêtements, faute de pouvoir aller plus bas ... Qui est trop bas.


Nous y voilà, bienvenu chez moi. Le temps d'ouvrir la porte ...

Pendant qu'il s'occupe du dernier obstacle, la jeune fille a tout le loisir d'observer l'effet qu'elle lui provoque. Le vêtement maintenant nettement trop étroit laisse deviner sans équivoque le dessin de l'organe qui le tend, poussant rudement de toute sa dureté sur la braguette pour trouver l'espace qui lui manque encore pour se déployer pleinement et soulager Ulrique de cette désagréable sensation d'écrasement.

L'obstacle de la porte franchie, l'appartement se dévoile en laissent libre accès au salon spacieux et surtout ... Haut. Une hauteur de plafond inhabituelle qui fait tout l'intérêt du bâtiment pour Ulrique. L'ameublement est asse limité, se résument à un grand buffet dans le fond, un canapé que l'on pourrait qualifier de "king size", un meuble TV et quelques photos aux murs. Une cuisine à l'américaine sur la gauche et un couloir sur la droite, le tout dans une couleur orangée et chaleureuse.

Pour la suite, tout dépendra des envies d'Hitomie, mais une chose est sûr à cet instant ... Il n'y a pas que la taille d'Ulrique qui soit un gros morceau manifestement.

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Le quartier de la Toussaint / Re : French Touch [pv Ulrique]
« le: dimanche 19 février 2012, 12:21:45 »
Depuis longtemps Ulrique avait appris à ignorer les regards curieux que son passage ne manque pas de provoquer. Que ça soit de la part d'un Anglais, d'un Français, d'un Javanais de l'extrême sud-ouest à lunette ou d'un Japonais ça ne change pas grand-chose. On peut supposer la même chose de la jeune fille qui l'accompagne.

Une fois installés, ils reprennent la conversation très banale qu'ils avaient un peu plus tôt dans la boutique alors que leur commande est prise. D'ailleurs chose amusante, Ulrique a un petit temps d'arrêt quand il faut passer du français au japonais et inversement, ce qui confirme si son accent n'est pas suffisant que la langue nippone n'est pas sa langue maternelle. Enfin maternelle, c'est vite dit compte tenu de ses origines, mais ce n'est pas le sujet.


Les enfants ne sont pas tous des turbulents, vous savez. Ils sont généralement sages avec moi. Il faut juste savoir être patient, comme dans votre métier j'imagine...

Pour être tout à fait exacte, un ordinateur fera toujours ce qu'on lui demande sans poser de questions ... Pas de "comment on fait les bébés" ou de "pourquoi-ci, pourquoi-ça" en perspective entre autres.

Lucie a-t-elle chaud ou es que c'est lui qui la fait rougir ? Difficile à dite. Pour sa part il ne réagit pas ou peu au courant d'air surchauffé du bar, comme à tout ce qui a rapport de près ou de loin à la chaleur en fait. Il faut dire qu'entre son père et sa mère, il a été blindé autant contre le gel que la surchauffe.

Malgré tout elle se met à l'aise et lui offre un grand sourire quand la commande revient, une bière bien fraîche pour monsieur et un grand verre d'une boisson à base de glace et de lait pour la demoiselle rondouillarde qui ne devait attendre que ça pour éclater de joie.


Merci beaucoup pour le verre !

De-rien. Ce n'est pas tous les jours que je croise une compatriote en ses terres

Un peu comme si elle était écrasée par la chaleur, Lucie s'étale sur la table comme du beurre fondu jusqu'à attraper la paille qui lui donne accès à sa boisson qui lui arrache un soupir d'aise une fois la première gorgé ingurgité. Ulrique lui se contente de boire son verre de façon plus classique. En même temps, vu sa taille la position de Lucie lui donnerait un air des plus ridicule ... Sans compter que le meuble ne supporterait peut-être pas une surcharge de ce genre.

Visiblement le Milkshake doit avoir bon goût, on ne peut pas en dire autant de la bière d'Ulrique. Ça suffit pour se désaltérer, mais ce n'est manifestement pas du haut de gamme ... À moins que les Japonais aient des "goûts de chiottes" à ce sujet. À leur éventuelle décharge le Saké est sans doute nettement plus courant et demandé. Quoi qu'il en soit Lucie l'invite à tester la différence, ce qu'il fait en avalant une petite gorgée du liquide lacté qui semble la ravir.

Ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas trop ma tasse de thé à vrai dire. Quitte à choisir je préfère un bon chocolat chaud avec des biscuits personnellement.

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Les alentours de la ville / Re : Rencard improvisé (Ulrique Chevalier)
« le: mardi 14 février 2012, 20:58:28 »
Je suis arrivée il a quelques semaines. Honnêtement je connais pas du tout la ville. Désolée d'avoir fait semblant.

Ce n'est pas grave va, au moins on est un peu moins perdu à 2.

Ça, c'est de la réplique qui arrache sa maman ... En fait non, c'est très con comme réplique. Mais sur le moment il ne trouve rien de mieux à dire. C'est néanmoins suffisant pour que la jeune fille se détende en se calant contre le dossier de sa chaise, offrant volontairement ou non une vue des plus plaisantes. Avec quelques recherches sur notre ami google sur le site du lycée, il découvre son âge et deux ou trois autres détails relativement anodin qui sont rapidement complété par Hitomie elle-même.

Ainsi donc elle est à moitié irlandaise, ce qui explique à la fois la teinte inhabituelle de ses cheveux et la langue qu'elle enseigne. L'absence d'accent s'explique sans doute avec son arrivée jeune au pays de son paternel. Comme quoi la vie crée parfois des associations aussi inattendu que l'attaque de la poussière tâchante.


Qu'est-ce qui t'amènes ici, Ulrique ?

J'ai reçus une certaine somme d'argent, j'ai les bases de la langue nippone et le pôle emploie local remplie à craquer de chômeur. Alors j'ai décidé de tenter ma chance au Japon tout bêtement.

C'est tout à fait ça ... Enfin à peu près, on ne va pas chipoter sur le fait qu'il a fabriqué virtuellement cet argent quand même. Pour le reste il en avait déjà dévoilé une partie lors de leur discussion au Lycée.

Au fur et à mesure que la soirée s'amorce, effectivement le bar ce rempli à nouveau mais ça ne semble pas perturber Ulrique malgré le fait qu'il attire pas mal de regard, que ce soit d'intérêt ou de jalousie d'ailleurs. Bon signe pour Hitomie ? Sans doute ... Mais il ne faut peut-être pas trop traîner non ?

J'habite à une petite demi-heure d'ici, tu m'accompagnes ?

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