Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sibylle

Pages: [1] 2 3 ... 17
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Les alentours de la ville / Re : Et puis il y eut un bruit. (PV)
« le: samedi 29 juin 2013, 14:32:22 »


Saine et sauve, elle l'était, oui, dieu merci. Sibylle était bien décidée à ne pas laisser une bande de spectres lui voler sa petite vie. Ce serait un mauvais dénouement. Appuyée contre lui, elle suivit silencieusement le parcours que fit sa main. De sa taille jusqu'à ses fesses, en passant par le creux de ses reins. Ce qui eut le mérite de la faire réagir. Un lent frisson, électrique, le long de son échine, et la jeune femme creusa son dos, son buste se pressant contre le sien. Ses petites mains fines se refermèrent autour de sa taille, le temps du baiser. Oui, ses défenses fondirent comme neige au soleil. Et puis, cela faisait trois jours qu'elle était bloquée ici, apeurée, isolée. L'arrivée d'un homme, aussi beau, et dont les initiatives étaient forts plaisantes, réveillait cette petite étincelle dans le creux de son ventre.

La jeune femme pencha la tête, un petit instant, ses lèvres se séparant à regret des siennes.

- ... C'est vrai qu'il serait dommage de ne pas en profiter.

Sourire. Et puis baiser. Cette fois, elle en prit l'initiative. Sa bouche rejoignit la sienne, son buste remua doucement. La bretelle qui glissait ? Pouf, disparue. Sous sa jolie toge, elle ne portait pas grand-chose, si ce n'est rien du tout. Le tissu coula, s'arrêtant au niveau de ses hanches, dévoilant sa poitrine. Jolie, ronde, un véritable appel aux caresses et aux étreintes. Quand sa main s'était posée sur son sein, un peu plus tôt, elle avait adorée. Une chaleur enivrant s'était distillée sous sa peau, embrasant sa cervelle.

Oui, l'envie la ravagerait toujours. Sibylle avait beaucoup être une prêtresse, elle avait beaucoup de vices. La religion chrétienne l'aurait brûlée vive, à une époque. Colère, gourmandise, envie et luxure étaient au palmarès de ses péchés. Mais qui oserait s'en plaindre ? Dans le domaine du plaisir, la petite avait déjà bien fait son chemin. Ses mains s'appuyèrent contre le torse de Kenji, cherchant à ouvrir son haut, petit à petit. Et doucement. Oui, le jeu de l'impatience, qui attise tant l'excitation.

- Crois-moi, tu ne regretteras pas de m'avoir délivré.

Lui murmura t'elle à l'oreille, avant de l'embrasser à nouveau. Remuant tout contre lui, comme une petite danseuse, elle permit à une de ses jambes de se glisser entre celles de Kenji. Sa cuisse se pressa donc tout naturellement contre son entrejambe, la caressant à chaque mouvement qu'elle faisait. Un contact fort agréable, disait-on. Et, à voir le sourire amusé qui se dessinait sur ses lèvres, on devinait aisément où elle voulait en venir.

2
Les alentours de la ville / Re : Et puis il y eut un bruit. (PV)
« le: samedi 29 juin 2013, 01:40:12 »



Sibylle se trouvait ... mitigée. Entre cette angoisse collante, qui ne semblait pas décidée à détaler de son organisme, et ce sentiment rassurant. L'envie, oui. Que ce soit quand il la pressa contre lui, qu'il posa une main sur sa taille, qu'il serra ses doigts autour des siens. C'était tout chaud, surtout dans la nuque et les joues, et ça lui faisait du bien. Finie cette peur sourde, qui affole, qui rend dingue. La prêtresse se sentait l'âme d'une battante. Une guerrière, oui. Enfin, n'en faisons pas trop. Pieds nus, en toge, dans un hôtel hanté, elle ne pourrait sûrement pas faire de miracles. Silencieusement, la jeune femme écouta ses explications. Il semblait s'y connaître. Le bracelet, elle le tritura un moment. Ce garçon, ce Kenji, si elle avait bien suivie, sentait la magie à plein nez. Non pas qu'elle ait une odeur, mais il y avait bien une aura, quelque chose de mystique et d'inaccessible. Si elle, elle avait besoin de drogues diverses et variées pour accéder aux déités, lui incarnait la magie. Il était né avec elle.

Toujours est-il qu'elle le suivit. Jusque dans les ténèbres. Le bruit, qui se répétait, l'effrayait franchement. Vraiment, oui. Le volte-face ne la rassura aucunement, et elle se mit à courir. Courir. Parmi les ombres, la peur, les battements de cœur. Jusqu'à ce qu'on la happe.

- Putain !

Doux Jésus, cela s'imposait-il vraiment ?* Plaquée contre le sol, elle sentait une prise, autour de sa cheville. On voulait l'attirer vers quelque chose. Quelque chose d'agressif. Quelque chose d'effroyablement terrifiant. Ses ongles se plantèrent dans le plancher. Elle s'en brisa un, d'ailleurs, mais ne prit pas le temps de pester. Elle se plaindrait plus tard, elle faisait cela avec un talent certain.

Il ne la traîna que sur quelques mètres, ce spectre visqueux et brutal. Avant que Sibylle ne réalise qu'il la dirigeait vers les escaliers. La chute serait fatale, oui. Mais la petite avait plus d'un tour dans son sac. Elle reprit une certaine contenance, se retenant de gémir comme une pauvre petite chose que l'on maltraite. Non, non, pas elle. La prêtresse attrapa une étoile, dans ses cheveux, la seule qui restait - les autres étant tombées dans la course folle - et la serra dans le creux de sa main. Une des branches se planta dans sa peau. Et c'est là qu'on put comprendre toute l'ampleur du pouvoir des prêtresses. Nées sans pouvoir, mais maîtresses de milles philtres. Chaque bijou porté par une prêtresse est plongée dans une mixture, qui a le pouvoir d'éveiller quelques forces méconnues. Histoire que ladite prêtresse ne perde pas pied pendant une transe ... Ou qu'elle évite de se faire tuer par un esprit. Alors, aussitôt, elle se dégagea, se remettant sur pieds pour courir jusqu'à Kenji. Qu'elle attrapa par le bras.

- Suis-moi. Suis moi.

Répéta t'elle, haletante. Une issue, il y en avait une. La jeune femme le sentait. Ils coururent un court instant, avant de se réfugier dans ... une buanderie, oui. Des tas de draps, de coussins, de tissus encore blancs y étaient entassés. La jeune femme ferma la porte un moment, levant les yeux vers lui. La substance qui s'était glissée dans son corps avait fait gonfler ses pupilles, devenues immenses**.

- Je suis désolée de m'y prendre si tard, mais ... Je te remercie, Kenji, pour ton aide.

Ses doigts se remirent à triturer le bracelet qu'il lui avait offert, et elle regarda sa cheville un moment. Aucune marque.

- Je m'appelle Sibylle. Je suis une prêtresse. Je suis censée savoir lire l'avenir, mais ... Il faut croire que cet épisode-là de ma vie m'a échappé.

Petite grimace. C'est sûr que, pour le coup, c'était pas grandiose. Elle ouvrit la paume de son autre main, faisant tomber l'étoile sur le sol. Sa main était un peu entaillée, mais rien de bien grave. D'ailleurs, la plaie se refermait déjà, tout doucement.

-On a toutes les cartes en main pour sortir d'ici. Je sais qu'on le fera.

Et un sourire, un beau. Sa main se posa sur son épaule, un moment, le temps qu'elle reprenne réellement son souffle, que ses yeux redeviennent normaux. Elle alla même jusqu'à appuyer sa tête contre la clavicule du shaman, y trouvant un appui non-négligeable.

- J'ai eu un peu peur, là, je te l'avoue. Dieux merci, on apprend aux prêtresses comment se défendre.





* ... aurait dit mon père.
** Imagine le truc.

3
Les alentours de la ville / Re : Et puis il y eut un bruit. (PV)
« le: samedi 29 juin 2013, 00:16:42 »



S'il ne l'avait pas rassuré immédiatement, elle lui en aurait collé une. Ah oui. Elle a de la poigne, quand elle veut, la petite, et pas seulement quand elle a trop bu. Un œil au beurre noir à une de ses supérieures, un soir où le vin coulait à flot, pourrait en témoigner. Sibylle ne s'y connaissait guère en esprits, spectres, apparitions fantomatiques et autres joyeusetés. Et puis, elle était effrayée. Qu'un fantôme se matérialise, du coup, elle ne savait pas vraiment si c'était possible. Mais lui, il était humain. Elle pouvait le sentir, à la tiédeur, à la moiteur de sa peau. On disait le souffle des morts glacé. Lui n'avait rien de froid, et tout d'humain.

Parce qu'elle avait de la fierté, au moins un peu, elle ne se jeta pas à son cou en pleurant, geignant qu'elle était morte de peur, affamée, et puis qu'on ne lui avait pas fait de cadeau, ici. Les spectres n'y vont pas de main morte, putain. Sibylle se releva, toute digne qu'elle était, passant ses mains contre le tissu qui flottait sur sa peau. Sortir. Putain oui. Retrouver l'air, le ciel, les oiseaux, même s'ils gueulent. Cependant, à l'entendre, tout ne semblait pas aussi facile. Il fut coupé dans sa réplique, ce plutôt bel inconnu. Inquiétant. Pour trouver quelque chose de plus inquiétant que cette baraque, en même temps, faut se lever tôt ... La prêtresse fronça les sourcils, regardant autour d'elle, à la manière d'un petit chat complètement perdu, ou d'une adolescente sous acides au moins aussi paumée.

- Je ... Je crois que je suis ... Enfin, je crois que nous sommes prisonniers.

Ajouta t'elle, dans une légère grimace.

- J'ignore depuis combien de temps je suis ici. J'ai vu des choses ...

Les bruits de pas, au-dessus de leurs têtes, la firent se taire. D'un coup d'un seul.

Sibylle entendit très nettement les murs trembler, par spasmes violents. Ses yeux se levèrent. Ils étaient pile en-dessous d'un alignement de fenêtres. Oh oh. Immédiatement, elle attrapa Kenji par le col, le forçant à s'allonger par terre. Sa main libre tira sur la couette, posée sur le lit, pour l'étendre sur eux, tandis qu'elle le rejoignait sur le sol. Tant pis s'ils s'en trouvait momentanément étouffés. Une micro-seconde - ou quelque chose comme ça - après, les vitres se brisaient toutes, brusquement. Par chance, le verre tomba sur la couette, et non pas sur leurs délicates épidermes.

- Merci qui ?

Lança t'elle tout en sortant de dessous cette tanière improvisée. Sibylle fit attention à ne blesser personne, et les lambeaux tranchants rejoignirent le sol dans un tintement sinistre.

- Dis-moi qu'on peut sortir d'ici. Je ... Je vais devenir dingue.

Souffla t'elle en se redressant, veillant à ce que la robe cache ce corps que l'on ne saurait voir. La jeune femme se pressa les mains nerveusement, clopinant à pieds nus, histoire d'éviter de s'ouvrir les pieds. Puis, une fois éloignée de ce danger coupant, elle le jaugea. Et, pour dire vrai, elle n'aurait pas su imaginer mieux, comme sauveur. C'était presque un conte, cette histoire. La princesse-prêtresse sauvée par le prince-shaman.

4
Les alentours de la ville / Et puis il y eut un bruit. (PV)
« le: vendredi 28 juin 2013, 20:05:03 »

Depuis combien de temps était-elle là, prostrée, le dos appuyé contre un mur qui sentait la peinture moisie ? Je n'ai même pas envie de compter. Respirant bruyamment, les jambes pliées de sorte que ses genoux soient plaqués contre sa poitrine, Sibylle attendait. Elle attendait que ça se calme, dehors. Que les bruits se taisent, que les objets cessent de voler dans sa direction, que les ombres arrêtent de se dessiner au bout des couloirs. Il y a une heure, elle s'était pris un bottin. Bim, dans la nuque. Le coup lui avait fait voir quelques étoiles noires, et elle s'était réfugiée ici. Une chambre, dont le lit gerbait ses plumes, dont les murs étaient griffés. Et la jeune femme ne voulait même pas savoir ce qui était la cause de cette pagaille monstrueuse.

Elle n'avait pas peur, non. Non, pas elle. Pas Sibylle, dont les transes manquaient de la tuer, elle qui avait déjà croisé Cerbère, qui avait tapé la discute à Hadès, qui avait failli crever noyée par Thaumas, juste parce qu'elle avait tiré les cheveux d'une de ses sirènes. Les dieux sont au moins aussi susceptibles que les foutus fantômes qui squattent ici. La jeune femme se releva doucement, la main appuyée contre le mur. Sa tenue ne lui facilitait pas la tâche. Longs cheveux noués en une jolie tresse à peine décoiffée, avec quelques étoiles dorées coincées ici et là, toge banche* propre aux prêtresses, pieds nus ... Disons que ces vêtements n'étaient guère appropriés. Mais elle n'avait pas prévu d'être coincée ici ! La jeune femme avait juste fait l'erreur de suivre un chaton, qui était entré ici. Ses miaulements étaient tellement mignons. Elle soupira. J'en ai marre de me faire avoir. La dernière fois, c'était une jolie fleur qu'elle avait voulu cueillir, chose qui avait offensé une prêtresse d'un rang supérieur au sien, celle-là même qui cultivait ces plantes. Et elle s'était retrouvée enfermée pendant trois jours. Saloperie de châtiment. Elle s'en souvenait encore, tiens. A tâtons, elle sortit de la chambre. S'engagea dans le couloir. S'appuya sur la rambarde. Un escalier menait au premier étage. Elle ne se souvenait même pas l'avoir gravi. Sibylle releva doucement sa toge, histoire de faciliter ses pas. Chaque fois qu'elle se réfugiait dans une pièce, n'importe laquelle, elle avait des mauvaises surprises en en sortant. Comme si une quelconque force venait troubler l'ordre des chambres. La jeune femme pensait être entrée dans une chambre du rez-de-chaussée, lorsque cette ombre noire, au fond du couloir, avait rugie et que, effrayée, elle s'était enfermée. Et voilà qu'elle était maintenant au premier étage.

- Je ne trouve pas ça très drôle !

Osa t'elle crier, levant les yeux vers les cieux.

Inconsciemment, elle espérait qu'on l'ait vu. Ou que quelqu'un ait remarqué son absence. Elle ne saurait même pas dire depuis combien de temps elle errait dans ces lieux abandonnés. Me suis-je endormie ? Le seul réveil qu'elle avait trouvé, dans une des pièces, était en sale état. L'aiguille roulait dans l'autre sens. Chose qui ne l'avait pas beaucoup aidé. Et puis il y eut un bruit. Qui la fit sursauter. La jeune femme n'osait même plus remuer un muscle, tétanisée. C'était quoi, ça ? Encore un de ces esprits noirs, brumeux, qui s'amusaient à la torturer ? Encore un bottin prêt à lui voler dans la gueule ?

- Qui ... Qui est là, dites ?

Et c'est à cet instant précis, oui, celui-là, juste après qu'elle ait parlé, que toutes les portes s'ouvrirent. Toutes. En haut, en bas, à droite, à gauche. Et elles se refermèrent toutes immédiatement, dans un claquement brutal. Sibylle se jeta au sol, main sur les oreilles, couinant comme un animal blessé.

Ces saloperies de spectres allaient avoir ses nerfs.






* Ouais, Charmed, comme référence, je sais, je sais ...

5
Le coin du chalant / Re : La chasse aux esprits
« le: vendredi 28 juin 2013, 01:58:56 »
La trame avec la maison hanté m'intéresse assez.

Oui, je sais, une prêtresse, c'est pas commun pour ce genre de trames. Mais j'imagine bien Sibylle, perdue dans les dédales d'une maison hantée, incapable d'en sortir malgré ses pouvoirs (qui sont de dialoguer avec les dieux). Là, elle essaierait de taper discute aux esprits ... Mais s'en prendrait plein la gueule en retour. Bref, bref, à toi de voir !

6
Le coin du chalant / Re : Un jour le diable vint ...
« le: mardi 24 avril 2012, 12:38:16 »
Up, et ajout de trames  :D

7
Les alentours de la ville / Le dernier ingrédient ... ( Lyli )
« le: lundi 02 janvier 2012, 20:33:45 »




La mandragore n'avait pas été difficile à trouver. Le thym, non plus d'ailleurs. La branche de lauriers avait demandé davantage de recherches. Les feuilles de vignes avaient coutées assez cher. Le sucre de canne avait été vite acheté. Et les écailles de serpent marin étaient maintenues avec précaution dans un sachet de cuir noir. Tous les ingrédients que sa tutrice lui avaient demandé étaient bien là, réunis dans la besace de Sibylle. La liste qu'elle tenaient dans la main était barbouillée d'encre, raturée, pliée mille fois et déchirée par endroit. Sur ce papier usé se trouvait un mot, un dernier, inscrit tout en bas de la feuille. Une méche d'une siréne. La jeune prêtresse ignorait pourquoi ce point était important, au point que sa tutrice l'avait soulignée quatre fois, en quatre trait grossiers et appuyés, trouvant presque le papier. Mais une chose était sûre : Elle ne pouvait pas rentrer au Temple sans cet ingrédient.

Ainsi, sa sacoche solidement attachée à son épaule, Sibylle se rendit sur la plage. Jamais, avant, elle n'avait invoquée une sirène. C'est neuf, tout nouveau, comme un fruit que l'on déguste pour la première fois, avec curiosité & appréhension. Elle s'installa au bord de la plage, dans le courant de l'aprés-midi, vérifiant que personne n'était présent dans les alentours. C'était un recoin rocailleux, où le sable était plus blanc et plus glacé que la neige. Elle retira ses chaussures, vérifiant si sa toge tenait bon, et s'installa au tailleur. Sibylle essayait d'ignorer les grains de sable qui venaient crisser contre sa peau fine, brûlant presque son épiderme. Elle joignit ses mains, et prit une lente inspiration.

Et elle siffla. Un refrain. Un appel. Un sifflement qui mettait des mois à s'apprendre, et que seules les sirénes et créatures marines pouvaient entendre. Il n'y avait pas de vent pour venir la gêner, et sa longue chevelure rousse et bouclée reposait sagement sur ses épaules, durant toute la durée de ce rite.

Le but était de siffler, jusqu'à ce que l'une d'elle n'arrive. La respiration devait être parfaitement contrôlée, afin de ne jamais faire cesser cette mélodie silencieuse. Rien, non, rien ne devait interrompre cet appel. Sibylle, en même temps qu'elle sifflait, s'efforçait de souhaiter en son fort intérieur qu'une de ces superbes créatures aquatiques accepte de l'aider, de lui fournir une méche de cheveux afin qu'elle puisse créer ce philtre qu'elle peinait à aboutir. Un instant, elle cessa, reprenant une lampée d'air, scrutant les horizons avec précaution, avant de siffler à nouveau, pour attirer à elle quelques sirénes.

8
Blabla / Re : la grosse apéro XD (flood + et affinité ;) )
« le: mardi 20 décembre 2011, 01:42:09 »
* Reléve la tête d'entre les coussins brusquement *

Poudre magique ? Herbe magique ? Chocolat magique ?

* Retombe sur le canapé en chantonnant *

9
Blabla / Re : la grosse apéro XD (flood + et affinité ;) )
« le: mardi 20 décembre 2011, 01:31:19 »
* regarde autour d'elle *


Je ne comprends rien ... Y'a des chats partout ... J'ai peur !

* se cache sous les coussins *

10
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 19 décembre 2011, 18:53:02 »
Law, je veux te voir è.é
( Enora, too )

Eluveitie : Inis Mona *.* Il a le plus beau screamo du monde ... Celui qui fait valser tes entrailles, qui t'injecte de l'électricité dans les veines, qui fait bondir ton coeur, qui te donne envie de fairetoutpleindetrucs. Woah.


18  : 53

11
... *0*

(J'en ai marre de keepher tes persos et tes trames.)

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 11 décembre 2011, 15:08:49 »
Oh que oui ... J'espère qu'elle tient le coup, vraiment ...


15 : 09

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 11 décembre 2011, 14:54:26 »
Ouep', c'est ... bizarre.

Je suis triste. Voilà. Ca, j'en suis sûre. Mais y'a une myriade d'autres sentiments qui me rentrent dedans, là ...


14 : 55

14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 11 décembre 2011, 14:48:17 »
Je lui avais dit que je faisais du RPG ... Elle s'y est intéressée, et elle a trouvée le forum, et mon personnage, Héra. ( C'est mon favori, j'en parle tout le temps de toute façon ... )

Elle a tout lu. Ma conversation avec Sentinel Prime, hier soir, j'entends. Et voilà, on régle nos comptes via sms, je déteste ça, mais bon ...


14 : 48

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 11 décembre 2011, 14:42:06 »
Non, non, je ne joue pas ma vie, mais ... Je déteste faire souffrir quelqu'un à qui je suis autant attachée.

14 ; 42


( Sibylle = Héra, oui SP ^ ^)

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