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Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: Aujourd'hui à 01:05:47 »
Oh, tu me connais, je ruinerais la carrière de n'importe qui 
Embrasseriez-vous Kyô?
Embrasseriez-vous Kyô?
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: Aujourd'hui à 01:04:20 »
Ma VDD ressemble à la femme qui trompe son mari avec le reste du voisina---
Oh.
Oh.
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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: Aujourd'hui à 01:00:04 »
Hm... Mon intransigeance.
Notamment en ce qui a trait aux thèmes de RP abordés.
Du genre quand on me propose un RP, et que le thème du RP n'a absolument rien à voir avec le personnage. Genre tu bosses pendant des heures à trouver un thème intéressant pour ton personnage, et tout ce que tu te prends en guise de trame, c'est "Coucou, est-ce que mon personnage peut baiser avec ton personnage?" Et surtout que toutes les trames, avec le mode bac-à-sable a`disposition, mènent automatiquement au cul.
J'ai aussi tendance à me fier aux RP pré-existants de certains joueurs pour déterminer si, oui ou non, j'accepte un RP avec. Ça s'appelle des préjugés, et c'est pas bien, mais j'en ai.
Votre RP le plus réussi selon vous?
Notamment en ce qui a trait aux thèmes de RP abordés.
Du genre quand on me propose un RP, et que le thème du RP n'a absolument rien à voir avec le personnage. Genre tu bosses pendant des heures à trouver un thème intéressant pour ton personnage, et tout ce que tu te prends en guise de trame, c'est "Coucou, est-ce que mon personnage peut baiser avec ton personnage?" Et surtout que toutes les trames, avec le mode bac-à-sable a`disposition, mènent automatiquement au cul.
J'ai aussi tendance à me fier aux RP pré-existants de certains joueurs pour déterminer si, oui ou non, j'accepte un RP avec. Ça s'appelle des préjugés, et c'est pas bien, mais j'en ai.
Votre RP le plus réussi selon vous?
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 25 avril 2024, 23:34:39 »
J'vais tout cramer
CRÂMEEEEEEER!
RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!
17:34
CRÂMEEEEEEER!
RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!
17:34
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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: jeudi 25 avril 2024, 23:33:56 »
Nope
Quel est, selon vous, votre point fort en RP?
Quel est, selon vous, votre point fort en RP?
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Les contrées du Chaos / Le Bal des Moissons de Meisa
« le: jeudi 25 avril 2024, 22:37:51 »La fête des Moissons.
Serenos détestait les fêtes. Des moissons, des célébrations, les jours fériés du calendrier. Il détestait tout. Il n'avait pas le cœur à la fête. Il n'avait jamais le cœur à la fête. Mais il était obligé, à l'occasion, de faire effort d'apparition, simplement pour remettre un coup de fouet à la noblesse et leur rappeler qui était le patron. Son absence prolongée semblait donner l'impression à ces porcs de nobles que le Roi n'existait pas, et donc qu'ils pouvaient agir en toute impunité. Le voir, sur son trône, en surplomb, en train de les regarder et de les reconnaître suffisait normalement à rappeler que ce n'était pas le cas.
Le Roi avait même pris la peine de s'habiller. Plutôt que sa tunique décontractée et un pantalon sobre, il arborait une chemise blanche doublée d'un veston brodé d'argent et d'or qui traçaient le nouveau symbole de la famille royale, le Sombrechant. Son pantalon, fait de velours plutôt que de cuir, flottait sous la caresse du vent qui passait entre les colonnes du grand pavillon. Ses cheveux avaient été peignés, coiffés et huilés pour leur donner une allure reluisante. Sa barbe avait été soigneusement taillée. Des bracelets d'argent serties de joyaux noirs avaient été passé à ses bras, et une chaine d'argent auquel pendait un médaillon du sombrechant reposait sur son torse. Pour couronner le tout, Serenos était tout simplement royal dans son apparence.
À sa droite, Grymauch avait son énorme sourire habituel, flanqué de son frère. Les frères ne pouvaient pas être plus différemment vêtus. Le premier, princier dans son choix de tenue, était à la hauteur de son titre, avec une longue cape d'apparat noire sur les épaules. Sa tenue reflétait les traditions de sa nation maternelle, avec des peaux d'animaux sauvages, couvrant presque l'intégralité de sa musculeuse carrure. Aldericht, pour sa part, portait une robe traditionnelle. Le vêtement, léger, couvrait son corps en entier, à l'exception de son torse musculeux, que le vent semblait presque chercher à dévoiler davantage.
Meredith, à la gauche du Roi, était sans ses maris. Ils étaient de la famille royale, certes, mais par alliance seulement, donc ils ne pouvaient pas se trouver aux côtés du Roi. Comme toujours, elle était vêtue d'une robe chatoyantes, rouge comme une rose, des guirlandes et des bijous dorés brodés à même la robe. Elle portait un bandeau, passé autour de sa poitrine, ainsi qu'un grand voile diaphane rouge qui flottait doucement derrière elle. Avec une main autour de sa taille, Aurora avait même retiré son armure pour une tenue plus confortable. Un pantalon noire et une chemise aux manches bouffantes, ses cheveux attachés dans une queue de cheval.
Finalement, Laurelian.
Elle non plus n'était pas là par plaisir. Par responsabilité. L'ancienne esclave Ashnardienne devenue princesse aurait bien préféré rester dans sa chambre à inhaler les fumées enivrantes et dans les bras d'un compagnon. Ou de deux. Honnêtement, n'importe quoi pour oublier où elle était. Mais elle était une princesse, et dans ses quelques responsabilités, au terme d'une énorme séance de négociations, elle avait accepté de s'engager dans les responsabilités d'apparat. Les fêtes en faisaient partie.
Nadeau, l'assistant du Roi, s'éclaircit la gorge, arrachant le Roi à son apathie habituelle en lui tendant une coupe de vin.
Celui-ci soupira, puis se releva lentement du trône, avant de saisir la coupe de vin offerte, et la leva bien haut. Rapidement, il fut imité par tous les nobles dans l'assemblée.
"Aujourd'hui, nous célébrons les moissons. Nous célébrons que chaque Meisaen rentrera chez lui et chez elle avec un estomac plein. Nous célébrons la génération qui nous suit, et les générations qui nous précèdent. Je salue mon peuple, et le célèbre avec vous. Aha'tale."
Les nobles répétèrent le souhait du Roi en levant leur coupe plus haut, et Serenos jeta la sienne aux pieds du promontoire. La coupe de verre éclata à l'impact, répandant son contenu au sol, et Serenos retourna s'asseoir alors que les nobles commençaient à boire, et que la musique se lançait.
Les princes et princesses de Meisa dégravirent les marches qui les séparaient des nobles et se mêlèrent à eux.
Serenos posa sa tempe contre son poing, assis sur le trône, dans une démonstration visuel de son désintérêt pour les activités du bal.
"Vous devriez danser, Sire," l'encouragea Nadeau.
"Volontiers, tu veux être mon partenaire?" rétorqua le Roi d'un ton froid.
"Non. Je crains que vous ne cherchiez à me briser les pieds."
"Je vois que tu apprends de tes erreurs."
Serenos détestait les fêtes. Des moissons, des célébrations, les jours fériés du calendrier. Il détestait tout. Il n'avait pas le cœur à la fête. Il n'avait jamais le cœur à la fête. Mais il était obligé, à l'occasion, de faire effort d'apparition, simplement pour remettre un coup de fouet à la noblesse et leur rappeler qui était le patron. Son absence prolongée semblait donner l'impression à ces porcs de nobles que le Roi n'existait pas, et donc qu'ils pouvaient agir en toute impunité. Le voir, sur son trône, en surplomb, en train de les regarder et de les reconnaître suffisait normalement à rappeler que ce n'était pas le cas.
Le Roi avait même pris la peine de s'habiller. Plutôt que sa tunique décontractée et un pantalon sobre, il arborait une chemise blanche doublée d'un veston brodé d'argent et d'or qui traçaient le nouveau symbole de la famille royale, le Sombrechant. Son pantalon, fait de velours plutôt que de cuir, flottait sous la caresse du vent qui passait entre les colonnes du grand pavillon. Ses cheveux avaient été peignés, coiffés et huilés pour leur donner une allure reluisante. Sa barbe avait été soigneusement taillée. Des bracelets d'argent serties de joyaux noirs avaient été passé à ses bras, et une chaine d'argent auquel pendait un médaillon du sombrechant reposait sur son torse. Pour couronner le tout, Serenos était tout simplement royal dans son apparence.
À sa droite, Grymauch avait son énorme sourire habituel, flanqué de son frère. Les frères ne pouvaient pas être plus différemment vêtus. Le premier, princier dans son choix de tenue, était à la hauteur de son titre, avec une longue cape d'apparat noire sur les épaules. Sa tenue reflétait les traditions de sa nation maternelle, avec des peaux d'animaux sauvages, couvrant presque l'intégralité de sa musculeuse carrure. Aldericht, pour sa part, portait une robe traditionnelle. Le vêtement, léger, couvrait son corps en entier, à l'exception de son torse musculeux, que le vent semblait presque chercher à dévoiler davantage.
Meredith, à la gauche du Roi, était sans ses maris. Ils étaient de la famille royale, certes, mais par alliance seulement, donc ils ne pouvaient pas se trouver aux côtés du Roi. Comme toujours, elle était vêtue d'une robe chatoyantes, rouge comme une rose, des guirlandes et des bijous dorés brodés à même la robe. Elle portait un bandeau, passé autour de sa poitrine, ainsi qu'un grand voile diaphane rouge qui flottait doucement derrière elle. Avec une main autour de sa taille, Aurora avait même retiré son armure pour une tenue plus confortable. Un pantalon noire et une chemise aux manches bouffantes, ses cheveux attachés dans une queue de cheval.
Finalement, Laurelian.
Elle non plus n'était pas là par plaisir. Par responsabilité. L'ancienne esclave Ashnardienne devenue princesse aurait bien préféré rester dans sa chambre à inhaler les fumées enivrantes et dans les bras d'un compagnon. Ou de deux. Honnêtement, n'importe quoi pour oublier où elle était. Mais elle était une princesse, et dans ses quelques responsabilités, au terme d'une énorme séance de négociations, elle avait accepté de s'engager dans les responsabilités d'apparat. Les fêtes en faisaient partie.
Nadeau, l'assistant du Roi, s'éclaircit la gorge, arrachant le Roi à son apathie habituelle en lui tendant une coupe de vin.
Celui-ci soupira, puis se releva lentement du trône, avant de saisir la coupe de vin offerte, et la leva bien haut. Rapidement, il fut imité par tous les nobles dans l'assemblée.
"Aujourd'hui, nous célébrons les moissons. Nous célébrons que chaque Meisaen rentrera chez lui et chez elle avec un estomac plein. Nous célébrons la génération qui nous suit, et les générations qui nous précèdent. Je salue mon peuple, et le célèbre avec vous. Aha'tale."
Les nobles répétèrent le souhait du Roi en levant leur coupe plus haut, et Serenos jeta la sienne aux pieds du promontoire. La coupe de verre éclata à l'impact, répandant son contenu au sol, et Serenos retourna s'asseoir alors que les nobles commençaient à boire, et que la musique se lançait.
Les princes et princesses de Meisa dégravirent les marches qui les séparaient des nobles et se mêlèrent à eux.
Serenos posa sa tempe contre son poing, assis sur le trône, dans une démonstration visuel de son désintérêt pour les activités du bal.
"Vous devriez danser, Sire," l'encouragea Nadeau.
"Volontiers, tu veux être mon partenaire?" rétorqua le Roi d'un ton froid.
"Non. Je crains que vous ne cherchiez à me briser les pieds."
"Je vois que tu apprends de tes erreurs."
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Le palais d'ivoire / Re : La Crise Nexusienne [PV: Serenos]
« le: mercredi 24 avril 2024, 06:43:58 »
Serenos fit ses premiers pas dans la pièce à l'invitation de la Grande Duchesse, passant le pas de la porte, bousculant presque Tohru à son entrée. La première chose qu'il fit est d'observer la pièce. Il reconnaissait les appartements royaux des Ivory; à l'époque de la précédente souveraine, il avait eu de multiples raisons de s'y retrouver, notamment intervenir dans une tentative d'assassinat. Il pouvait presque voir la défunte souveraine à la place d'Eleanor, les mains jointes, un sourire aux lèvres et son regard espiègle. Des souvenirs lui revinrent, mais il les écarta sommairement de son esprit.
Eleanor l'invita à prendre place sur le canapé.
"Je préfère rester debout, je vous remercie", dit le Roi en levant une main.
Il avait l'impression que s'il s'autorisait un moment de répit, un moment de confort, il ne pourrait peut-être pas trouver la force de se relever ; ses jambes, sous lui, le suppliaient presque d'accepter l'offre, mais il se devait de résister. Il savait qu'il devrait repartir sous peu.
Il marcha lentement dans la pièce, son regard parcourant les environs, ses bottes frappant le sol étant le seul bruit dans l'air. Pas de feu, pas de discussions dans les couloirs, pas de serviteurs. L'endroit lui semblait hostile, désert, isolé. Le palais, tel qu'il s'en souvenait, était bondé de gens qui allaient et venaient.
"Nexus est en mauvais état. Plus encore que vos lettres le laissaient suggérer, votre Grâce."
Il s'immobilisa devant l'âtre de la cheminée, et leva les yeux. À cet endroit, autrefois, se trouvait un portrait de la famille royale. Il avait visiblement été retiré depuis, remplacé par un bouclier avec les armoiries de Nexus. Peut-être parce que les occupants occasionnels de cette chambre trouvaient l'idée d'être observé par l'esprit de la famille royal malsaine.
Il revint alors vers la jeune Grande Duchesse, les mains jointes dans le dos.
"Vous vouliez me voir en privé ?"
Eleanor l'invita à prendre place sur le canapé.
"Je préfère rester debout, je vous remercie", dit le Roi en levant une main.
Il avait l'impression que s'il s'autorisait un moment de répit, un moment de confort, il ne pourrait peut-être pas trouver la force de se relever ; ses jambes, sous lui, le suppliaient presque d'accepter l'offre, mais il se devait de résister. Il savait qu'il devrait repartir sous peu.
Il marcha lentement dans la pièce, son regard parcourant les environs, ses bottes frappant le sol étant le seul bruit dans l'air. Pas de feu, pas de discussions dans les couloirs, pas de serviteurs. L'endroit lui semblait hostile, désert, isolé. Le palais, tel qu'il s'en souvenait, était bondé de gens qui allaient et venaient.
"Nexus est en mauvais état. Plus encore que vos lettres le laissaient suggérer, votre Grâce."
Il s'immobilisa devant l'âtre de la cheminée, et leva les yeux. À cet endroit, autrefois, se trouvait un portrait de la famille royale. Il avait visiblement été retiré depuis, remplacé par un bouclier avec les armoiries de Nexus. Peut-être parce que les occupants occasionnels de cette chambre trouvaient l'idée d'être observé par l'esprit de la famille royal malsaine.
Il revint alors vers la jeune Grande Duchesse, les mains jointes dans le dos.
"Vous vouliez me voir en privé ?"
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Prélude / Re : Myrella - Le Bijou d’un Royaume [Finie]
« le: vendredi 19 avril 2024, 22:15:17 »
"Votre Majesté, sa Grâce votre soeur a envoyé une annonce d'existence."
"Hein?"
"Elle déballe aussi des secrets familiaux"
"De quoi?"
"Et elle compte prendre une position plus active au sein de la communauté."
"Mais..."
"Ah, et votre belle-mère vient visiter."
"NOOOOOOOOOOOOOOON!"
"Hein?"
"Elle déballe aussi des secrets familiaux"
"De quoi?"
"Et elle compte prendre une position plus active au sein de la communauté."
"Mais..."
"Ah, et votre belle-mère vient visiter."
"NOOOOOOOOOOOOOOON!"
12
Prélude / Re : Engagez vous qu'ils disaient. [ terminé ] [Anéa]
« le: vendredi 12 janvier 2024, 20:17:40 »
Serenos: Aaaaah merde! Un Saffranois! D:
Myrella: YAAAAAY! UN GARS D'CHEZ MOI!
Du bienvenue \o/
Myrella: YAAAAAY! UN GARS D'CHEZ MOI!
Du bienvenue \o/
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 04 janvier 2024, 17:11:07 »
Bof. Situation habituelle; je me permets, en tant que non-parent, de critiquer le manque d'intéraction mère-fils dans une garde partagée où la mère a l'enfant une fin de semaine sur deux.
Et pendant cette fin de semaine sur deux, l'autre grognasse est tellement désintéressée (ou du moins, de ma perception, semble désintéressée) qu'elle pourrait tout aussi bien ne pas s'impliquer dans la vie de son fils que je crois que ce serait une situation plus stable pour l'enfant.
Je vois pas l'intérêt (autre que monétaire) de se battre pour une garde partagée d'une fin de semaine sur deux si t'es pour faire comme si ton enfant n'existe pas quand il est là, quoi. Ou si toutes tes intéractions avec lui se limitent à crier son nom ou à lui dire de se taire. JOUE AVEC TON FILS, MERDE, IL N'A QUE CETTE PÉRIODE DE SA VIE POUR FAIRE L'ENFANT!
11h10
Et pendant cette fin de semaine sur deux, l'autre grognasse est tellement désintéressée (ou du moins, de ma perception, semble désintéressée) qu'elle pourrait tout aussi bien ne pas s'impliquer dans la vie de son fils que je crois que ce serait une situation plus stable pour l'enfant.
Je vois pas l'intérêt (autre que monétaire) de se battre pour une garde partagée d'une fin de semaine sur deux si t'es pour faire comme si ton enfant n'existe pas quand il est là, quoi. Ou si toutes tes intéractions avec lui se limitent à crier son nom ou à lui dire de se taire. JOUE AVEC TON FILS, MERDE, IL N'A QUE CETTE PÉRIODE DE SA VIE POUR FAIRE L'ENFANT!
11h10
14
Le palais d'ivoire / Re : La Crise Nexusienne [PV: Serenos]
« le: jeudi 04 janvier 2024, 06:09:41 »
Absurde était un bien grand mot, considérant que les Nexusiens avaient besoin d’un groupe de héros pour affronter ce qu’ils n’ont pas les ressources de confronter eux-mêmes, et que ce prix est celui que chacun de ces guerriers avaient attribués à leur vie. Dans les faits, considérant leur talent et leur taux de réussite, quatre cent pièces d’or était un prix tabassé. Mais il pouvait comprendre que ce n’était pas un prix très économe. Et puis, la mort ne coûtait rien, finalement.
Il fut choqué, cependant, de voir ce qui était devenu du Trône d’Ivoire. Autrefois un symbole de la famille royale, maintenant converti en machine où hommes et femmes venaient se sacrifier pour le bien commun. Et encore… Serenos ne pouvait voir cela comme une solution permanente. Même si les risques de mortalité étaient bas, ce genre de dispositif pouvait, dans les pires tempêtes astrales, siphonner et tuer jusqu’à dix personnes pour une protection minimale.
Il observa le rite de substitution et nota mentalement que le procédé requérait une connexion directe avec l’utilisateur. Le trône de Serenos pouvait également agir d’interface entre le Roi et le Catalyseur qui se trouvait au cœur de la citadelle, mais il lui suffisait de s’assoir, pas de se faire percer de milles aiguilles, pour utiliser le plein potentiel du trône. Cette interface lui semblait primaire et horrifiante, et inutilement inconfortable, mais il se contenta de garder ses pensées pour lui. Si les nexusiens avaient modifié le trône ainsi, se dit-il, ils devaient avoir des raisons que lui ne connaissait pas, ou auxquelles il n’avait simplement pas pensé.
Il regarda Eleanor s’éloigner, remarquant les traces encore saignantes, puis jeta un coup d’œil vers l’homme qui avait été assis de force sur le trône. Il jeta un coup d’œil vers l’un des conseillers de la Duchesse.
« Est-il commun de forcer des individus à prendre place sur ce trône ? demanda Serenos avec un air légèrement désapprobateur.
- Prendre place sur le Trône et protéger le peuple Nexusien contre les créatures qui se cachent dans les autres plans est un honneur pour chaque membre de la noblesse, sire, lui assura l’homme avec le menton haut. Mais parfois, lorsque les plus honorables sont indisposés ou inaptes à prendre le Trône, même les rebus de notre société ont une utilité en tant que remplacement temporaire. »
Les termes employés ne manquèrent pas d’agacer le Roi de Meisa, bien sûr, mais il remarqua une étincelle de chagrin dans le regard du conseiller, et le laissa poursuivre, d’un hochement de la tête.
« Nous y sommes réduit par la nécessité, sire. Pas tous les nobles de notre nation ont celle-ci à cœur. Entre les fuyards, les ainés, les malades et les drainés, nous devons faire comme nous pouvons pour protéger notre pays.
- Je comprends. »
En quelque sorte, du moins. Meisa n’avait jamais fait face à une crise pareille de son vivant, donc il ne pouvait prétendre comprendre les sacrifices consentis par ces gens, mais d’un autre côté, l’idée de forcer quelqu’un à mettre sa vie en danger pour une cause en laquelle il ou elle ne croit pas lui retournait l’estomac.
Après un moment, l’assemblée se dispersa dans les couloirs du palais, et un page s’approcha du Roi. Le garçon, le regard fuyant, l’invita à le suivre vers les appartements royaux, où la Grande Duchesse avait pris résidence pendant son séjour à la capitale.
Il fut choqué, cependant, de voir ce qui était devenu du Trône d’Ivoire. Autrefois un symbole de la famille royale, maintenant converti en machine où hommes et femmes venaient se sacrifier pour le bien commun. Et encore… Serenos ne pouvait voir cela comme une solution permanente. Même si les risques de mortalité étaient bas, ce genre de dispositif pouvait, dans les pires tempêtes astrales, siphonner et tuer jusqu’à dix personnes pour une protection minimale.
Il observa le rite de substitution et nota mentalement que le procédé requérait une connexion directe avec l’utilisateur. Le trône de Serenos pouvait également agir d’interface entre le Roi et le Catalyseur qui se trouvait au cœur de la citadelle, mais il lui suffisait de s’assoir, pas de se faire percer de milles aiguilles, pour utiliser le plein potentiel du trône. Cette interface lui semblait primaire et horrifiante, et inutilement inconfortable, mais il se contenta de garder ses pensées pour lui. Si les nexusiens avaient modifié le trône ainsi, se dit-il, ils devaient avoir des raisons que lui ne connaissait pas, ou auxquelles il n’avait simplement pas pensé.
Il regarda Eleanor s’éloigner, remarquant les traces encore saignantes, puis jeta un coup d’œil vers l’homme qui avait été assis de force sur le trône. Il jeta un coup d’œil vers l’un des conseillers de la Duchesse.
« Est-il commun de forcer des individus à prendre place sur ce trône ? demanda Serenos avec un air légèrement désapprobateur.
- Prendre place sur le Trône et protéger le peuple Nexusien contre les créatures qui se cachent dans les autres plans est un honneur pour chaque membre de la noblesse, sire, lui assura l’homme avec le menton haut. Mais parfois, lorsque les plus honorables sont indisposés ou inaptes à prendre le Trône, même les rebus de notre société ont une utilité en tant que remplacement temporaire. »
Les termes employés ne manquèrent pas d’agacer le Roi de Meisa, bien sûr, mais il remarqua une étincelle de chagrin dans le regard du conseiller, et le laissa poursuivre, d’un hochement de la tête.
« Nous y sommes réduit par la nécessité, sire. Pas tous les nobles de notre nation ont celle-ci à cœur. Entre les fuyards, les ainés, les malades et les drainés, nous devons faire comme nous pouvons pour protéger notre pays.
- Je comprends. »
En quelque sorte, du moins. Meisa n’avait jamais fait face à une crise pareille de son vivant, donc il ne pouvait prétendre comprendre les sacrifices consentis par ces gens, mais d’un autre côté, l’idée de forcer quelqu’un à mettre sa vie en danger pour une cause en laquelle il ou elle ne croit pas lui retournait l’estomac.
Après un moment, l’assemblée se dispersa dans les couloirs du palais, et un page s’approcha du Roi. Le garçon, le regard fuyant, l’invita à le suivre vers les appartements royaux, où la Grande Duchesse avait pris résidence pendant son séjour à la capitale.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 03 janvier 2024, 01:33:16 »
J'ai déjà piqué ma première crise de nerf de l'année! Woohoo!
19:33
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