Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Sanna J. Len

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Vacances (Mikko & Sanna)
« le: mardi 07 juillet 2009, 14:28:34 »
Je serais absente du 8 (soit demain) jusqu'au 26 minimum et jusqu'au 7 août maximum (vacances ultra chargées !) Enfin bref je ne suis pas sûre de ma date de retour. Celà dit je vous souhaite à tous d'excellentes vacances et de joyeux RPs. Quand à mes partenaires de RP à bientôt et pardonnez moi de mon absence (:

2
Les bas fonds / Nex...quoi ? (Siegfried)
« le: mardi 23 juin 2009, 20:26:40 »
Le paysage du quartier de la toussaint, à la base, ne collait pas avec la silhouette fluette de Sanna. Du centre ville à l’internat du lycée (ou Sanna dormait), il était plus rapide de passer par ce quartier, et parfois la jeune artiste s’y risquait. Ce soir était l’un de ceux ou San’ empruntait ce raccourcit. Elle était allée voir un film au cinéma, une adaptation de roman qui était à son programme de littérature et dont elle devait faire une analyse comparative. En élève sérieuse, Sanna était donc allée voir le film, pour son plus grand bonheur car elle avait réellement apprécié. A présent elle marchait, aussi rapidement que ses petites jambes maigrichonnes le lui permettait, les yeux rivés sur ses pieds et la main posée sur la lanière de sa besace. Elle n’avait pas envie de faire de mauvaises rencontre et rien qu’à cette idée elle en avait les mains moites. Défilait tour à tour sous ses yeux, sur un décor d’asphalte : des mégots, des capotes usagées, des capsules de bouteilles des morceaux de verre et toute sorte de cochonneries que l’on peut trouver sur le sol. Elle tourna dans une ruelle menant techniquement à l’internat mais sous ses yeux, le spectacle changea : l’asphalte se transforma en pavés, et il n’y avait plus aucun immondice sur le sol. Sanna leva les yeux et se retrouva dans un décors médiéval, mais pas moins glauque.

« Oh putain… » Murmura-t-elle.

Elle se frotta les yeux, se demandant si elle n’était pas victime d’hallucination. Elle avait arrêté de marcher et regardait, effarée, autour d’elle. Bordel, mais ou était-elle tombée encore ? Le vent était glaçant ici, Sanna était simplement vêtue d’une grande chemise bleue et d’un blue jean usé, comme bien souvent. Alors qu’elle croisait les bras sous sa poitrine, avec l’espoir de se réchauffer, San’ entendit des bruits. Elle tendit l’oreille. C’était quelqu’un que l’on frappait, il y avait plusieurs voix masculines qui beuglaient des termes grossiers et pour la plupart incompréhensibles. Sanna se rendit compte que ses jambes tremblaient affreusement : oui, elle était terrorisée, elle n’avait aucune idée de ce qu’elle faisait là. Elle décida d’avancer discrètement vers les voix et elle glissa sa tête dans la ruelle d’où provenaient les bruits. Elle vit alors une sorte de gang un peu moyenâgeux, qui s’acharnait sur un corps au sol.  Les agresseurs - aussi invraisemblable soit-t-il pour Sanna - n’avaient pas tous l’air humains. La jeune femme sentit ses dents claquer, qu’est ce que c’était que cet endroit ? L’un des hommes levant la tête l’aperçu et à peine eu-t-elle le temps de cacher de nouveau sa tête qu’elle entendait le groupe courir dans le sens opposé à elle.

Par reflexe, l’artiste se retourna, se demandant quel monstre avaient pu les faire déguerpir, mais aussi fou soit-il, c’était Sanna qui leur avaient fait peur. Elle respira un grand coup, prit son courage à deux mains, et se dirigea vers la ruelle maintenant vidée des agresseurs, mais dans laquelle gisait encore l’agressé. La jeune femme s’approcha tremblante de la personne au sol et s’arrêta à quelque mètre, incapable d’émettre un seul son.

3
Le parc et son sous-bois / Déjeuner et littérature (Pv J.C Daclusia)
« le: mardi 23 juin 2009, 19:59:25 »
Les cours était terminés pour aujourd’hui, le soleil pointait le bout de son nez et après cette mâtiné nuageuse rien n’aurait pu égayer d’avantage le cœur de Sanna. Elle était sortit de l’université, avait regardé autour d’elle les élèves prendre leur voiture en lui faisant un petit signe de la main. L’artiste avait sourit et leur avait répondu d’un bref geste familier. San’ n’avait pas de voiture, elle regarda ses pieds enfermés dans ses Kickers brunes. Ses chaussures étaient suffisantes et elles étaient capables de l’emmener partout. Elle s’arrêta devant un snack et acheta un sandwich et un café pour son déjeuner : il était dommage de s’enfermer à la cafète de l’internat alors que justement, aujourd’hui il faisait beau. Elle fourra le sandwich enveloppé dans du papier, à l’intérieur de sa besace et but une gorgée de café. Tout en se dirigeant vers le parc de Seikusu ou elle trouverait certainement, un coin d’herbe moelleuse, sous un arbre, à l’ombre des branches, ou elle pourrait grignoter en paix et avec - soyons optimiste - une vue sur le lac.

Lorsque Sanna marchait, elle avait l’air de découvrir tout autour d’elle. Son corps sec se mouvait en formant parfois des angles étranges, sa tête pivotait, regardant autour d’elle pendant que ses grands yeux semblaient capturer chaque image à la manière d’un appareil photo. Un gamin qui traverse un passage piéton en sautant de bandes en bandes, un garçon qui chante dans sa voiture en s’en fumant une, une vieille dame assise sur un muret qui observe les passants. Son jean alourdissait sa silhouette, usé et trop large, sa chemise beige semblait affaisser ses épaules, et elle ressemblait à une ficelle dans un sac de linge. Cependant on n’aurait pas trop sût dire comment, cette ficelle avait un charme. Café à la main elle entra dans le parc et déambula un moment à la recherche du coin parfait. Aucune envie de se presser. Il fallait prendre son temps, se ressourcer et apprécier.

En marchant le long du lac elle finit par trouver un coin tranquille, caché derrière une haie qui semblait l’accueillir à bras ouvert. Un coin isolé et à l’abri des regards. Elle sourit et avança sur la pelouse ou elle posa bientôt sa besace. Elle s’assit et retira ses chaussures et ses chaussettes, faisant bouger ses orteils dans l’herbe. C’était parfait. Elle replia ses jambes, s’assoyant en tailleur puis sortit son sandwich dans lequel elle croqua. Elle prit son déjeuner, les yeux perdus dans les eaux du lac et la tête vidée. Sanna appréciait de ne penser à rien. On demande souvent beaucoup et l’on cherche finalement si peu. Un sandwich au bord du lac peut être une vraie thérapie, aussi fou que cela puisse paraître. Lorsqu’elle eu finit son sandwich, la petite blonde fourra le papier dans son sac et sortit une cigarette qu’elle alluma, avant de sortir un livre de sa besace. Elle se plongea alors dans sa lecture, enveloppée dans un nuage de fumée bleutée.

Son coin de verdure semblait être isolé de tous les bruits du parc, et à part le bruissement des feuilles et le clapotis de l’eau tout était silencieux. Quel agréable cliché. Quelle belle idylle de la balade en forêt. C’était tellement mièvre que s’en était jouissif.

4
Dortoirs et douches / La minute artistique... (Libre)
« le: jeudi 18 juin 2009, 14:11:31 »
Encore une journée achevée, remplie de morceaux d’ambiances différentes. Une journée finalement pas si différente des autres et qui s’achève comme toute les autre, ou presque : Aillant quitté l’université ou j’étudie, je me suis dirigée vers le lycée ou je dors, l’internat du lycée servant aussi aux universitaires internes. Cela fait maintenant deux ans que je suis arrivée dans cette ville et ma vie n’a presque pas bougée, ces derniers temps je suis plus seule que jamais, mais étrangement je ne trouve pas cette solitude déplaisante. Elle est douce, elle me permet de me ressourcer, et je me surprends parfois à fermer les yeux pour mieux l’apprécier. Je regarde mon réveil, il est tard, bientôt deux heures du matin et je décide de m’accorder une pause. J’estime avoir travaillé suffisamment, j’abaisse l’écran de mon mac et je me lève.

Je tends mes bras au dessus de ma tête et m’étire longuement. Il fait terriblement chaud. Je travaille depuis trois heures bientôt et il y a deux heures je me suis permis de retirer mon jean pour ne garder qu’une ample chemise bleue et ma culotte. Permis ? Oui, habituellement je reste le plus habillée possible, tout le temps, de peur que mes yeux ne s’arrêtent sur mon ossature trop saillante. D’ailleurs en y pensant mes yeux se sont baissés sur mes cuisses nues : trop maigres, presque flageolantes tant elles manquent de force. Cela me donne un haut le cœur, pourtant, je devrais y être habituée. J’ouvre la porte de ma chambre pour faire entrer de l’air, puis je fouille dans ma besace en cuire jetée négligemment sur mon lit et j’attrape une cigarette avant de m’assoir sur le rebord de ma fenêtre ouverte pour m’en griller une. Je regarde la nuit, les bâtiments annexes du lycée.

La lumière sort de l’une des lucarnes des douches et j’assiste, moi, aux premières loges, à un couple qui fait l’amour. Sans aucune perversité, je me surprends à penser que c’est beau, je tends le bras vers mon bureau pour attraper mon carnet à croquis et un crayon, et je me mets à dessiner. Ils sont en pleins ébats, ils ne se doutent pas une seconde à quelle point ils m’inspirent. Bien sûr, ma vision de la chose est uniquement artistique, je ne me sens même pas excitée, je trouve juste qu’ils sont beau. On dirait une sculpture en mouvement. Une sculpture oui : ils ne font qu’un. Comme si la glaise n’était pas sèche et qu’elle se mouvait toute seule, encore humide, encore brute.

Alors que je suis plongée dans mon dessin, ma cigarette à la bouche, j’entends ma porte, entre-ouverte, qui se met à grincer, comme si on la poussait légèrement. Quelqu’un, intriguée par la lumière tamisée diffusée par ma lampe de bureau sans doute.

5
Le coin du chalant / Demande de RP
« le: jeudi 18 juin 2009, 09:54:00 »
SUJET DU TOPIC : Peut importe (:

NOMBRE DE PARTICIPANTS : 1 par topic et je cherche deux topics maximum

TRAME : Peut importe (:

QUALITÉ DE POST :
un minimum de 10 lignes si possible ?

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