Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Lilly

Pages: [1]
1
Mince!!!!

Les talons d'Eunyee claquaient rapidement sur le carrelage du couloir qui menait à la salle de cours. C'était la dernière heure de la journée et il avait fallu qu'elle trouve le moyen d'arriver en retard. Enfin ... ce n'était pas vraiment sa faute à elle mais plutôt celle d'Asato sensei. Le professeur de sport l'avait sollicité par sms pour un "rendez-vous" au dernier interclasse de la journée. Par "rendez-vous", on entendait bien une rencontre dans un coin peinard pour un truc pas très reluisant. D'habitude, Eunyee évitait de fricoter avec les profs mais elle n'avait pas osé refuser. Son échange international dans ce lycée japonais se passait bien et elle ne voulait surtout pas être renvoyée chez elle en Corée du Sud avec une mention "grosse salope" dans son dossier.

Ici elle était bien, loin de ses parents, mais pas de leur compte en banque. Elle vivait sa vie, très confortablement, s'appliquait à rendre d'excellents devoirs gratifiés par des notes bien supérieures à la moyenne, et surtout, surtout ... pouvait s'adonner à son petit péché favori dans cet endroit où on ne la connaissait pas.

Enfin ... ce dernier point, c'était avant ... Car elle avait maintenant une certaine réputation qui faisait très justement écho à ses talents de fellatrice acharnée. Par jour? Mmmm.... Dix? Douze? Oui, à peu près. C'était bien le nombre de mecs qu'elle retrouvait dans le local de rangement du gymnase de l'établissement. Contre une certaine somme, elle tombait à genoux et satisfaisait son partenaire jusqu'à ce qu'il vienne. Elle n'avalait pas forcement, ça dépendait de l'individu ...

Et donc, là ... Asato sensei avait été trèèèèèèès long à venir et donc, elle était en retard. Arrivant devant la porte fermée de sa classe, elle s'arrangea un peu. La mode en asie était aux grosses poitrines, taille fine, joli cul et longue jambe: c'était son style naturel et il en fallait peu pour rehausser sa beauté. Un coup de langue sur les lèvres (goût salé du prof), et elle toquait puis entrait. Son salut révérencieux et bien bas fit peser sa poitrine dans son petit haut moulant et elle s'excusa humblement, ne mentant pas sur la raison de son retard. Elle avait été retenu par un professeur qui se démerderait pour expliquer à son collègue pourquoi. Heureusement, Tama sensei, son professeur d'histoire l'appréciait en raison des ses notes performantes et de son assiduité.

"Vous penserez à rattraper ce que nous venons de voir ces quinze dernières minutes."

"Oui monsieur, Taro restera un peu avec moi que je puisse recopier le cours."

Elle parcourut des yeux l'assemblée des élèves assis et bon nombre de garçons baissèrent les yeux. Taro? Pourquoi Taro? Personne ne se demanda vraiment pourquoi mais elle ... elle le savait, et lui aussi.

Ce petit coquin à qui elle n'avait jamais adressé la parole était assis dans la rangée derrière la sienne sur sa droite. Oh elle sentait bien peser son regard régulièrement mais quand elle tournait la tête vers lui, ce petit monsieur regardait subitement ailleurs ...

Elle alla s'asseoir à sa place, non sans le fixer éhontément. La veille en partant, elle avait trouvé dans son casier une enveloppe contenant une somme d'argent importante. Sur l'enveloppe, un prénom ... Taro. Bon, c'était une méthode d'approche comme une autre mais d'ordinaire, les garçons venaient la voir directement pour demander ses "services". Lui n'avait visiblement pas osé mais il fallait que les choses soient dites.

Le reste du cours passa assez vite et 17 heures sonnèrent. Alors que les élèves quittaient la salle un à un, Eunyee se retourna vers Taro, passant un bras sur le dossier de sa chaise.

"Viens t'asseoir à côté de moi, il semblerait qu'on ait à parler tous les deux."

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One Shot / Abus de confiance [Pv. Koda]
« le: lundi 01 mai 2023, 13:01:18 »
Lilly joue Mayu Kamazuki


Mayu était horriblement stressée. Pourtant l'image que lui renvoyait le miroir de sa salle de bain reflétait une jeune femme forte au visage sérieux. Et c'est bien ce qu'elle était vraiment. Idole de tout un campus, elle excellait aussi bien dans son activité sportive qu'en classe où ses professeurs la couvrait d'éloges. Les études, c'était une chose mais sa passion réelle était la boxe. Depuis toute petite, elle enfilait les gants pour son plus grand plaisir et son niveau actuel, à  20 ans, en poids plume car pesant 57 kilos, lui avait fait atteindre les podiums. Championne universitaire de Seikusu, championne régionale, bardée de victoires dans sa catégorie, elle avait même battue par ko une professionnelle renommée lors d'un match amical, rencontre retransmise à la télévision nationale, ce qui l'avait fait découvrir auprès du grand public. Sur le ring, elle perdait son attitude discrète voire timide pour se transformer en tigresse acharnée. Véloce, rapide et puissante, elle y associait une technique exemplaire et audacieuse, ce qui couplé à son physique explosif et sa taille (elle atteignait presque le mètre soixante dix huit) en faisait une adversaire redoutable.

Elle s'épanouissait dans son sport, suivait des études de droit du travail, et était la chouchoute de son établissement. Le directeur veillait sur elle comme sur un bijou précieux et ne se gênait pas pour l'exhiber lors de conférence de presse, ce qui participait à la renommée de la fac de Seikusu. Le maire de la ville aussi la portait aux cieux et il n'était pas rare qu'elle soit sollicitée pour des campagnes de pub de la ville. Encadrée en permanence, elle ne trouvait le repos que quand elle rentrait chez elle où ses parents et son petit frère avait appris à la laisser redevenir ce qu'elle était: une jeune fille qui ne demandait qu'à vivre normalement.

Le gros problème de Mayu, c'était ... les garçons. Elle était épiée en permanence et et si l'un d'eux l'approchait ou qu'elle montrait un signe d'intéressement pour un étudiant, toute une machine répressive se mettait en route et l'isolait de ce lien social vital. Elle l'entendait tous les jours: ça va te nuire, tu vas te déconcentrer, tu auras le temps plus tard, pense à ta carrière! Mayu appartenait aux autres mais pas à elle-même ...

Aussi, elle s'était abonnée (à sa grande honte) sur un site de rencontre en préservant son anonymat et en montrant le moins possible. Elle était jolie avec un visage d'ange et sous un certain profil, on ne pouvait pas la reconnaitre. Elle avait reçu beaucoup de demandes et en avait sélectionnée quelques unes pour un final n'en conserver qu'une. Son interlocuteur, un jeune homme au profil un peu similaire au sien l'avait accroché par ses manières polies et son sens du relationnel qui l'avait très vite mise en confiance. Ils chattaient, évitaient les sujets trop personnels et tout avait basculé quand ils s'étaient mis d'accord pour un vocal. Mayu avait paniqué à l'idée de parler à un garçon pour un sujet pouvant aboutir ... à une rencontre, une vraie. Elle s'était sentie bête et nulle quand ils avaient parlé, sans réaliser que non, elle avait été tout à fait normal bien qu'un rien réservée. Mais elle avait ri et lui aussi. Le garçon ne la pressa pas par la suite et ce fut donc tout naturellement qu'elle lui proposa une rencontre. Il était temps et elle ne voulait surtout pas le perdre ou qu'il se lasse. Elle avait mis des heures à se préparer, écrivant et réécrivant un brouillon tout raturé de ce qu'elle voulait lui dire. Bon, elle perdit un peu les pédales mais parvint quand même à faire sa demande sans trop se ridiculiser. Il avait dit oui heureusement et ce soir, deux semaines après ... c'était le grand moment.

Mayu se regardait donc dans son miroir. Elle avait essayé plusieurs tenues. Elle s'était détestée en robe: elle trouvait que son physique de boxeuse n'allait pas avec. Les jupes, c'était pire. Elle ne portait habituellement que celle de l'uniforme de la fac. Au final, elle choisit un jean slim avec un joli petit haut moulant sur lequel elle passa une veste sage. Ainsi, elle évitait d'exposer ses muscles qu'elle craignait trop ... monstrueux. En réalité, Mayu était bien faite. Physique oui mais sans atteindre un niveau trop exagéré ... presque. Elle posa ses lunettes sur son nez et choisit une sacoche de sa mère assez discrète pour y fourrer ... pas grand chose. Le maquillage, elle évitait ou alors à peine. Le directeur de la fac lui disait toujours qu'elle devait éviter d'être trop jolie pour ne pas s'attirer des problèmes.

"Maman! Je sors! Aiko organise une soirée chez elle, je rentrerai en taxi!

Sa voix douce tranchait avec le reste.

Le rendez vous était prévu à 20h00 à ce restaurant qu'elle avait trouvé sur le net et qui proposait, outre une carte variée, une discrétion certaine car agencé de manière à ce que les clients ne soient pas dérangés par les tables voisines.

A 19h45, elle s'y présenta. Il faisait déjà nuit et l'activité nocturne de Seikusu émergeait. Devant le serveur, elle se retrancha derrière sa mèche et donna son nom, Kamazuki, afin qu'il la guide à sa table. Le garçon n'était pas encore arrivé. Dans la travée la menant à sa table, un client se leva brusquement en riant et s'engagea devant elle sans y faire attention. L'impact fut brutal et il bascula en arrière. Elle n'avait pas bougé d'un centimètre ... Ses épaules solides avaient fait le reste ... L'homme s'excusa en bredouillant, impressionné, tout comme les autres convives. Mayu fonça dans son coin et se tassa sur sa chaise, enfin tranquille.

Cinq minutes passèrent, elle se triturait les doigts. Pourquoi n'était-il pas là? Allait-il venir? Peut être lui poser un lapin? Il était passé, l'avait vu et était reparti horrifié? Le regard de la fille naviguait de la chaise vide en face d'elle à l'entrée du restaurant. Plusieurs personne attendaient, un couple, une belle jeune femme, un groupe d'amis ... Elle stressait, ouvrit un peu sa veste, la referma, l'ouvrit encore ... vérifia l'appli sur son téléphone ... rien.

3
Prélude / Une redneck au japon - Lilly [Vanéalidée !]
« le: vendredi 05 août 2022, 00:59:17 »
Le plus important quand on prépare un cocktail, ce n'est pas de respecter la juste mesure de chaque ingrédient mais de savoir au contraire surdoser l'élément qui fera revenir le client. Pour le grand costaud solitaire assit à l'angle du comptoir là-bas, double dose de scotch dans son Rob Roy; pour un mec viril rien de mieux qu'un écossais bien tourbé. L'ado à peine majeure en quête d'émotions fortes, elle, aura dans son Green Bull plus de boisson à base de taurine que d'alcool. Elle doit tenir toute la nuit sur le dancefloor plutôt que de finir à vomir dans les toilettes de la boite et ruiner tristement sa soirée. Et enfin, pour le gros lourd qui ne me lâche pas depuis une heure maintenant, ce sera une triple vodka, pure, basique, offerte par la maison! Je lui donne dix minutes avant de s'effondrer.

Salut! Moi, c'est Lilly! La barmaid sympa de ce club où les touristes de passage à Las Vegas viennent dépenser des fortunes en alcools, stripteaseuses et rêves inaccessibles. Si tu es assis à mon comptoir, que tu consommes  et que tu me mates sans te comporter comme un beauf, alors tu passeras une soirée délicieuse avec la redneck la plus cool du coin. Mais je te préviens tout de suite, tu ne me verras pas danser nue ni t'offrir une pole dance, même bourrée. Pour ça, on a pleins de bimbos dans le coin qui ont tout pour te plaire. Tu sais? Le cliché de la grande blonde qui se trémousse sur tes genoux ... Pas mon genre!

Moi, déjà, je ne suis pas grande. Il me faut porter des talons de 10 centimètres pour atteindre le mètre 75. Ensuite je ne suis pas blonde non plus, bien au contraire je porte ma pixie cut aile de corbeau et asymétrique. Ça va bien avec la forme de mon visage et ça me donne un petit air rebelle qui ne déplait pas. Si d'entrée, vous vous posez la question car je pourrais en avoir le look, je ne suis pas lesbienne, enfin si ... aussi si on peut dire. Que je me retrouve avec le fruit du chêne ou un joli petit abricot devant le nez, c'est pareil pour moi mais ce n'est pas ce qui t'intéresses pour l'instant. Là, ton regard s'attarde sur mes lèvres pulpeuses, éternellement étirées en public sur un léger sourire. Mes pommettes hautes doivent venir de lointains ancêtres slaves et mon nez est super mignon. Mes yeux ne brillent pas par leur originalité, mes pupilles sont vertes claires mais s'assombrissent par mauvais temps.

Si tu te hisses sur ton tabouret pour te pencher sur le comptoir et mater mon profil, tu aimeras ce que tu verras. L'expression "un joli p'tit cul" est à prendre au premier degré. J'ai de jolies jambes sans cellulite (pourvu que cela arrive le plus tard possible), un ventre plat et la taille fine et comme je ne suis pas siliconée, tu devras te contenter d'un 95C naturel et merci maman, bien en place.

Si tu es fan de sneakers, alors on peut être potes puisque je ne porte que ça au boulot. Les mecs aiment bien me voir en jean moulant alors je leur fait plaisir et pour donner un effet sexy à l'ensemble, je porte mes tops courts et près du corps. Ah, et puis j'oubliais, ne me demande pas pourquoi j'ai un crâne de bélier tatoué entre les omoplates et ne me dis pas qu'il est génial mon tattoo parce que je pourrais te virer du bar. On a tous fait des conneries ados...

Si tu ne fais pas semblant de t'intéresser à ma vie pour me tirer dans ton lit et que tu me poses les bonnes questions, alors je pourrais parler un peu de moi sans raconter trop de bobards. Comme tous les natifs du coin, j'ai l'accent traînant de ceux qui vivent de ce côté-là des USA et j'espère que tu le trouveras mignon. Les yankees de l'Est racontent que ça va avec notre caractère de branleur mais c'est pas vrai. Ils sont juste jaloux parce qu'on est moins anglais qu'eux ... et qu'on a plus de soleil aussi.

Dans tous les cas, tu ne vas pas apprendre quelque chose de formidable. Je viens des environs de Vegas. Mes parents y tiennent toujours un ranch où quand j'étais gosse, ils élevaient du bétail. Maintenant, ils profitent juste de leur retraite à passer leurs journées à se balancer sur des fauteuils à bascule sur le perron couvert de la maison principale. Bière fraiche à volonté pour papa et tricotage pour maman. Je préfère mourir que de finir comme ça! J'ai donc grandi en salopette à courir entre les pattes des bovins avec les autre mômes des environs. C'était pas des conneries quand je te disais être une redneck. J'en suis fière, je connais le prix du labeur, j'en ai guidé des troupeaux de bestiaux jusqu'aux enclos du domaine. Bon, c'était pendant les vacances puisque tous les jours je prenais le bus pour aller à l'école, puis au collège, puis au lycée à la ville et en ramenait des résultats corrects. Je n'ai jamais changé de campus, comme tous les morveux de la région et quand il a fallu penser à la suite, j'ai fait ce que font des millions d'étudiants américains chaque année, j'ai refusé de prendre un crédit sur 20 ans pour me payer des études supérieures et je suis entrée dans la vie active. Évidemment, hors de question de porter une combi bleue, des bottes en plastique et une casquette de camionneur pour branler des taureaux à longueur de journée. J'ai bougé mon p'tit cul à Vegas, là où il y a du boulot. J'ai menti à mon premier patron (c'est mal de mentir dirait le révérend Olsen de mon village) et ai affirmée être la meilleure barmaid d'expérience qu'i pourrait recruter. J'avais 18 ans et il a fait semblant de me croire. Ensuite, ce n'était pas vraiment faux, c'est moi qui tenait la pompe à bière de papa quand il invitait les éleveurs du syndicat une fois par mois au ranch. Ils m'appelaient la pompinette ... mais ça je ne te le dirais pas.

En tout cas, c'est avec ce patron là que j'ai fait mes armes, c'est à dire, remplir des pintes et servirent du bourbon. L'établissement était un repaire à péquenots et j'y étais chez moi. Deux ans après, sans repreneur il a fermé. Le pote d'un copain du patron m'a trouvé une place dans un stripclub de Las Vegas Boulevard, au bar toujours hein! ... et j'ai appris à concocter des trucs plus sympas que des pots d'pisse pour paysans. Ça m'a plus et ça me plait toujours. Aujourd'hui, j'ai 28 piges et puisque tu m'as trouvé ici, tu comprends que je suis passée à un degré supérieur. C'est moi qui suis responsable de mon comptoir, j'y fous le bordel et quand l'ambiance s'y prête, c'est moi qu'on voit debout sur le zinc à motiver les danseuses et redémarrer la machine. Oui, encore un truc, c'est vrai on ne renie pas ses origines, je porte parfois des santiags et un véritable chapeau de cowboy, on ne pourra pas m'enlever ça. mais avoue que ça te plait cette image de wild wild girl hé?

Non, non non, je ne suis pas une icône confédérée et conservatrice. Pour tout te dire, j'aime le contact des gens, les écouter et les faire rêver puisque c'est aussi le rôle de la barmaid sympa. Je tiens ça de ma mère, j'ai son caractère et puis on est dans le Sud-Ouest. Ici on a le sang chaud mais un cœur gros comme ça! Si je n'étais pas à l'écoute des autres ni extravertie, je n'aurais rien à faire devant toi, tu t'ennuierais.

Oh ! On ne va pas tarder à fermer! Si tu passes à Vegas une autre fois, passe me voir, ça me fera plaisir. Là, le patron ferme le club pour trois mois. L'hiver, la fréquentation est plus locale et il veut en profiter pour faire des travaux. Du coup, je vais me payer un voyage, c'est la première fois que je vais quitter mon chez moi. Où? Je pars au Japon, toute seule! il paraît qu'il y plus de néons au mètre carré à Tokyo qu'à Vegas, impossible! Mais moi, je vais à Seikusu, on dit que c'est une ville à voir alors avant d'hésiter, en avant! Demain soir, je suis dans l'avion! Salut!

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