Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Ava Morris

Pages: [1]
1
One Shot / Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: mardi 25 janvier 2022, 17:27:29 »
La télévision tourne en arrière-plan, accompagnée du grincement de la cafetière derrière. Les bruits animent le salon dans lequel Erin patiente, seule. Son attention est portée vers son écran, dans ses mains ; une série de sms y défilent et témoignent de l’excitation naissante. L’homme ne devrait tarder à arriver pour réviser. C’était ce qu’il était convenu au départ mais la situation avait dérapé depuis quelques heures déjà. Détachée de l’échange sulfureux par un bip sonore, l’étudiante se lève, péniblement.

« Tu veux du café ? »

Sa voix s’élève à l’encontre de son jumeau, enfermé dans sa chambre. Mais toute réponse, si tant est qu’elle existe,  est étouffée par l’arrivée soudaine de son copain et l’utilisation de leur désagréable sonnette. De brefs salutations, elle l’invite à patienter dans sa chambre le temps qu’elle finisse de remplir les tasses. La sienne prise, celle pour son frère laissée sur le plan de travail, elle le prévient avant de retrouver son amant :

« Au cas où, je te l’ai laissé dans la cuisine. Je vais réviser avec James. »

L’homme rejoint, Erin laisse la porte entrouverte, volontairement.
Leurs révisions peuvent débuter. Mais s’ils semblent partis pour respecter leur engagement, seulement dix minutes après, l’ambiance change. Très vite, les grincements du lit accompagnent les gémissements indiscrets de l’étudiante et elle ne fait aucun effort pour les dissimuler. Son jumeau et les voisins deviennent tous, malgré eux, les spectateurs de leurs ébats, ébats très courts cela dit. Être entendue aura été le seul véritable plaisir d’Erin face à la précocité de son partenaire. La honte accompagnant son incapacité à la satisfaire, il prétexte une fausse urgence pour disparaître, à peine rhabillé.

Surprise, énervée, la jeune femme reste là plantée dans son lit plusieurs minutes. Comment avait-il pu oser ? Sérieusement ?
Il faudra le temps d’une douche pour lui permettre de calmer ses esprits et chasser l’envie de le poursuivre et régler ses comptes avec lui. Sortie de la salle de bain, vêtue d’une culotte échancrée noire, d’un t-shirt serré, elle pénètre sans gêne dans la chambre de son frère. Sans lui prêter attention, elle profite qu’il soit installé à son bureau pour squatter son lit.

« T’as pensé à prendre ton café ? S’enquit-elle, en premier lieu avant de pester. Putain. C’est pas possible qu’il soit nul au lit, si ? Puis le coup de “on baise puis je me casse” mais quel connard ! »

Erin n’a jamais été pudique avec son jumeau. Proche de lui, elle lui raconte autant ses états d’âme que les détails de ses parties de jambe en l’air. Et à l’inverse, la demoiselle s’intéresse tout autant à celles de son frère, inexistant pour l’heure. Mais elle y travaille.

« Ah. Au fait, la pote que je t’ai présentée, tu te souviens ? Tu ne l'as pas convaincue et elle s’est déjà trouvé un autre mec. A ce rythme, à quarante ans, tu seras encore puceau, c’est pas possible. J’ai l’impression que plus je te présente de meufs, plus tu deviens empoté. »

Le fil de la discussion a vite changé. D’elle à lui. Ca lui évite d’attiser sa colère envers l’autre con et de l’oublier, un instant. Son attention est ainsi focalisée sur son jumeau, à qui elle jette des regards discrets.

« La seule solution, c’est que je m’occupe moi-même de ton cas. »

Si le ton emprunté semble léger, ses paroles sont sérieuses. Proche de lui, peut-être trop, ses parents avaient déjà remarqué dans leur adolescence qu’elle allait souvent trop loin -sans franchir une ligne incestueuse- ; elle aimait se faufiler dans son lit la nuit pour dormir à ses côtés ou discuter avec lui pendant qu’il prenait sa douche. Des limites claires avaient été posées. Et de peur de s’attirer leur colère, Erin était devenue presque sage, elle avait essayé de repousser son attirance pour lui, de l’ignorer. Jusqu’à aujourd’hui où ce dernier recours pour le décoincer, tâche qu’il lui tient vraiment à cœur, devient un prétexte pour franchir la ligne.
Mais la jeune femme ne va à sa rencontre, tout de suite. Elle reste posée sur son lit, curieuse d’observer sa réaction.

2
One Shot / Péchons ensemble, mon père (père yves+ava)
« le: dimanche 23 janvier 2022, 17:43:13 »
Le divorce de ses parents était intervenu de manière brutale, un véritable tsunami dans la vie de l’étudiante. Son père en était que plus détestable, elle l’évitait comme la peste. Et sa mère ? Elle n’avait attendu qu’une semaine ou deux pour refaire sa vie avec un prêtre protestant, l’inviter chez elle et le présenter à son enfant. Leur rencontre s’était limitée à une seule soirée, écourtée par le travail nocturne de l’étudiante. Mais elle lui accordait un charme certain, malgré son âge mature. Et Ava s’en trouvait impatiente de rallier la maison familiale lors des vacances d’été.

Son logement délaissé pour faire des économies, elle venait habiter deux mois avec le nouveau couple. A peine arrivée, dans cette immense villa au bord de mer, la blonde s’étonnait que rien n'ait changé. Gagnée lors l’impitoyable bataille juridique, elle s’attendait à ce que sa mère se soit amusée à déplacer les meubles, retirer les décorations qu’elle n’avait jamais tolérées, immondes à son goût. Peut-être était-elle trop occupée à fricoter avec son nouvel ami religieux. La demoiselle n’irait se plaindre. Au moins, elle ne se retrouvait pas dépaysée.

Après avoir fait un premier tour dans la demeure et délaissé sa valise dans sa chambre à l’étage, elle se dirigea vers sa propre salle de bain : une douche méritée après son court voyage. Les minutes défilaient alors que la blonde se prélassait sous l’eau. Vêtue d’une simple serviette, enroulée autour de son corps, elle se baladait librement dans la maison, habituée à faire bon lui semblait. Les escaliers pris, elle descendit vers le salon immense et sa cuisine accolée. Des baies vitrées ornaient chaque mur, donnant l’impression de vivre dans un véritable aquarium de lumière. L’une d’entre elles était une porte menant à la magnifique terrasse et piscine de la villa.

Elle avait coûté si cher à son père qu’il était risible de la voir tomber entre les mains de sa mère. Mais, Ava s’était promis de ne pas prendre partie et de s'installer confortablement sur le canapé. Quoiqu’il arrive, elle en serait l’unique héritière. Assoupie devant des émissions absurdes, l’étudiante entendit la porte s’ouvrir derrière. Sa mère arrivait, aux bras de son nouveau compagnon. La jeune femme se redressait pour les saluer, un léger sourire aux lèvres.

Mais l’étudiante s’attira immédiatement les foudres de sa mère.

« Habille-toi tout de suite ! »

Sa voix s’écrasa contre les parois vitrées. Mais avant que son sermon ne continue, son téléphone sonna : le travail. Depuis le divorce, elle avait décidé de reprendre sa vie professionnelle en main. N’ayant plus l’âge d’être mannequin, elle faisait maintenant partie d’une agence dénichant les talents de demain. Aujourd’hui, son aide était requise pour une réunion de crise. Peu rassurée de laisser son insupportable enfant avec le prêtre, elle ne put refuser l’appel urgent.

« Merde. Ava, va t’habiller. Elle se tourna vers Yves. Je suis désolée de te laisser. Si y a le moindre problème, appelle-moi. »

Rapidement, elle tourna les talons.
L’étudiante seule face à son nouveau beau-père voyait là la parfaite occasion de faire connaissance et de tromper l’ennui qui se profilait lors de ses longues vacances. S’approchant de lui, elle brisa le silence :

« Les habits sont-ils si importants, mon père ? Il me semble qu’Adam et Eve n’étaient guère vêtus. »

La retenue s’était effacée pour laisser place à une rare audace.

3
Le métro et la gare / Mains inconnues & chaleur insoutenable (camille+ava)
« le: dimanche 23 janvier 2022, 00:10:36 »
Adossée à un lampadaire, Ava pianote distraite sur son téléphone. Des messages envoyés à des amis, une série de gifs sans queue ni tête : tout est bon pour tromper l’ennui jusqu’à l’arrivée du métro. Elle n’a levé la tête mais pendant les quelques minutes attendues, le quai s’est rempli. Le voyage s’annonce inconfortable. Habituée à se déplacer aux heures de pointe, la blonde n’est guère effrayée par cette perspective. Au contraire, quand la locomotive fait son apparition, que les passagers sont descendus, elle se fraye, sans mal, un chemin vers la porte du fond. Face à cette dernière, elle garde son téléphone en main pour se distraire. Le restant des voyageurs entre, l'étudiante se retrouve pousser, presque plaquée contre le métal glacé. Ce n’était qu’un mouvement de foule ; elle a encore la place de respirer et peut s’en éloigner un peu.

C’est à la station suivante que les choses se compliquent. Une nouvelle foule se présente mais peu sont sortis. Ils poussent, encore et encore jusqu’à rentrer. Ses mains, ses pieds et son front sont plaqués contre la paroi chromée pour se maintenir debout, dos aux inconnus. Elle se sent bousculée, son espace est réduit. Une femme lui tourne le dos à droite. Deux hommes sont assis à gauche et derrière, un autre homme. Son torse la frôlait déjà mais sous le nouvel élan humain, son corps entier vient épouser les formes de la demoiselle. Et il n’a guère la place de s’éloigner. Elle ne peut le voir, juste sentir son contact. Car ce soir-là, Ava a adopté une robe échancrée. Dos nu, sa peau laiteuse est dévoilée jusqu’à le début de son fessier. Mais le tissu ne couvre que peu, se terminant juste en dessous. Chaque contact lui arrache un sensuel frisson.

L’alarme prévient ; les portes se renferment.

Les corps agglutinés lui donnent chaud, trop chaud. Mais jamais elle ne tente de retrouver la paroi fraîche pour se calmer. Oh non, elle reste collée à l’inconnu derrière elle, malgré les quelques maigres centimètres libres qui la séparent de la porte. Son souffle est raccourci, son cœur s’emballe. Habituée à cette situation, Ava reste stoïque, à l’accoutumée. Pourtant, cette fois-ci, son corps ne lui répond plus, s’échauffe à ce contact indésiré. Et rien ne va. Elle n’est censée réagir ainsi. Elle devrait fuir contre le métal, quitte à trouver une position fort inconfortable. Mais rien. Impossible de bouger. Comme si l’étudiante est une proie s’offrant de son plein gré à un prédateur ? Ou est-elle simplement persuadée que bouger n’y changera rien ? Ainsi, elle s’évite un effort indésirable et une condition incommode pour un trajet qui s’annonce bien long.

4
Centre-ville de Seikusu / Goutte après goutte, le vase déborde (asmodeus+ava)
« le: vendredi 21 janvier 2022, 13:58:11 »
Baignée dans une lumière tamisée, Ava était avachie sur le comptoir. À ses côtés, sa collègue, Sarah prenait soin de répondre aux attentes des rares clients. Leurs boissons récupérées, ils retournaient vers leur partenaire dans les confortables canapés de velours vermeille. Aucun ne résidait au bar, ce soir-là, afin de tromper l’ennui des deux employées. Leur seul divertissement était d’observer les jeux de séduction, la tension se crée entre les couples. Et quelques gestes sensuels se perdaient. Des mains se baladaient sur les corps avides. Il était souvent difficile pour elles de rester que simples observatrices. La tentation de les rejoindre, de se perdre dans l’une des nombreuses annexes dédiées au plaisir était certains soirs une véritable torture. Pourtant, elles tenaient bon. Surtout Ava, particulièrement sensible à ces scènes. De plus, pour le travail exemplaire, la propriétaire avait convenu avec elles un accès libre et total au stupre, en dehors de l’heure de travail. Ce que la blonde ne manquait jamais. Bientôt, leur seul divertissement quitta la pièce pour trouver un brin d’intimité.

« D’habitude, tu mouilles rien qu’à les observer, commenta Sarah. »

Le regard las de la blonde remonta sur elle.  Mais elle ne vint répondre à sa provocation, empreinte d’une réalité de notoriété publique ou presque. Son esprit était ailleurs, préoccupé par une rencontre : un homme, un autre étudiant rencontré plus tôt dans la journée. Si à son habitude, elle ne sympathise avec les inconnus, à la faculté, celui-ci lui a laissé une impression étrange, différente, sans savoir quoi. Marquée par cette dernière qu’elle fut incapable de définir, la blonde ne cessa d’y penser pendant ses cours, jusqu’à ce soir, au travail. Un regret demeurait néanmoins : de n’avoir pris la peine de prolonger la discussion. En retard pour son cours suivant, elle avait donné raison à son assiduité. 
Agacée face à sa léthargie, Sarah encadra ses joues de ses mains et plongea ses pupilles chocolats dans les siennes.

« Va vérifier que personne n’attend à l’accueil. »

Son ordre la surprit mais elle se leva tout de suite, obéissante. Si le club était peu peuplé ce soir, une visite ou deux lui permettrait peut-être de regagner de l’aplomb.
Et un seul rideau séparait le salon de l’entrée. Ava se faufila entre les tissus et patienta devant un comptoir d’appoint. Aujourd’hui, elle s’était vêtue d’une jupe courte rouge et d’un chemisier blanc, presque transparent sous lequel sa lingerie de dentelle vermeille se dévoilait. Accroché à ce dernier, un badge indiquait son prénom. Mais ce dernier était dissimulé par sa crinière tombant comme cascade d’or sur sa poitrine. Elle paraissait trop grande pour le guichet, élevée par des hauts-talons noirs.
Après quelques minutes à peine, un nouveau client se dévoila. Mais son visage familier la déstabilisa.

« Toi, ici ? »

Ses mots laissaient entendre sa surprise et son incertitude. Pour la première fois, tout se mélangeait. La frontière si bien entretenue entre ses études et son travail éclataient sous ses yeux. Loin d’avoir honte du métier choisi, il était pourtant difficile de savoir comment réagir devant cet autre étudiant. Son manque cruel de professionnalisme se lisait dans ces mots. Décontenancée, elle se mordillait les lèvres, cherchant les paroles adéquates à prononcer. Cependant, ce n'était pas sans compter l’éruption de Sarah, qui avait entendu par mégarde tes paroles prononcées trop fort et intéressée par le bel Adonis, elle ne tardait à prendre les devants.

 « Je vais-
- Non, ta présence est essentielle au bar. Je vais me charger de l’accueil de Monsieur. »

Déçue, elle tourna les talons sans demander son reste. Quant à Ava, elle prit quelques secondes supplémentaires pour remettre un peu d’ordre dans ses pensées. Accompagnée d’un charmant sourire, elle reprit :

« Est-ce votre première fois ici, Monsieur ? Avez-vous besoin que je vous fasse visiter les lieux et vous en explique le fonctionnement ? »

5
Centre-ville de Seikusu / dans les bras de la volupté (jason+ava)
« le: vendredi 21 janvier 2022, 01:47:44 »
Ouvert depuis quelques heures déjà, une petite foule peuplait le salon principal et les pièces annexes. Sous les échanges langoureux, les mains baladeuses, les corps s’échauffaient dans les canapés écarlates. Lorsque le désir, l’envie atteignait leur paroxysme, ils disparaissaient en quête d’intimité. Madame Sawada, l’élégante propriétaire, s’occupait de l’accueil. Dès que l’occasion lui venait, elle appréciait découvrir -ou redécouvrir- les visages qui viendraient peupler son club. Des habitués faisaient alors leur entrée. Après quelques bavardages futiles, ils trouvaient leur chemin. La femme s’était inscrustée auprès d’amis de longue date. L’homme s’était faufilé jusqu’au bar pour retrouver la serveuse, Ava. A peine installé, son regard se perd dans l'avantage décolleté, sur cette robe trop courte. Un silence s’installa, long et lourd de sens. Le désir ne se dissimulait pas en ce lieu libidineux et les pénibles avances ne tardèrent à tomber. La blonde ne répondait jamais lors de ses heures de travail et encore moi à ce qu’elle et ses collègues surnommaient : le gros porc.

Ce surnom, il le méritait pour ne pas comprendre la négation des employées, harcelées presque chaque soir. Mais l’argent résolvait ce problème et tant que les autres clients n’en faisaient pas les frais, aucune mesure n’arriverait. Au point qu’Ava ne rêvait plus qu’à la fin de sa soirée. Pour supporter sa répugnante présence, son regard, son attention se perdait sur les couples installés aux tables et dans les canapés, aux échanges aussi discrets que sensuels. Elle les enviait. Si d’autres devenaient insensibles à cette vue répétée, elle n’y voyait que son désir attisé. Ses lèvres se pinçaient, ses pupilles jades ne les quittaient alors que distraitement, elle nettoyait les verres entre ses mains. Mais l’homme revenait à la charge, la sortait de ses lubriques pensées et l’agaçait d’autant plus. Son attention se perdit cette fois, sur sa montre, discrètement posée à côté de l’évier. Désormais, l’étudiante comptait les minutes qui la séparaient de la fin de son service, de la délivrance. Si cette dernière ne devrait tarder, l’appel de sa patronne sonna comme une délivrance.

Face à un homme des plus séduisants, visage inconnu pour l’habituée employée, l’ordre fut donné de lui faire visiter les locaux. Et à son oreille, la propriétaire ajouta qu’à l’instant où la visite se terminirait, son travail prendrait fin pour la soirée. Elle serait libre de vaquer à ses occupations ou de rentrer chez elle. Libérée d’un poids, la précipitation lui en avait fait oublier sa montre. Trop tard, tous les prétextes étaient bons pour éviter de retourner derrière le bar face à l’immondice qui y campait toujours.
Ses pupilles retombèrent sur le client qu’elle prit quelques secondes pour détailler. Mais sans oublier la politesse et son devoir, la blonde se présenta.

« Je suis Ava. Afin de vous aider à vous familiariser avec les lieux, je vais vous faire visiter. Je vous prie de me suivre, Monsieur… ? »

Quittant le sas d’entrée, ils pénétrèrent dans le salon principal. La décoration était discrète. Un bar se situait dans un coin, fourni en alcool et devancé par une rangée de tabourets. A quelques mètres, des canapés entouraient quelques tables. Des couples étaient encore présents, discutés vivement, chastement. Mais la plupart tatait déjà le terrain. Leurs mains se gissaient entre les cuisses de certaines, sous les jupes d’autres. Les femmes n’étaient en reste, parfois assise sur les genoux de leur amant d’un soir ou les doigts jouant avec les boucles de leur ceinture. Comme un jeu de frustration, la pièce n’était qu’un avant-goût de la luxure plus audacieuse que l’on retrouverait au fil de la visite.

« Ici, les couples se rencontrent, font connaissance. Ils partagent un verre et discutent. La gérante tient à ce que ce salon reste… un plus chaste ? Un prélude aux ébats plus animés que nous pourrons trouver ailleurs. Si vous vous sentez prêt, je vous invite à me suivre. »

A peine la porte franchie, des bruits obscènes venaient peupler l’étroit et sombre couloir où ils se trouvaient. Ava n'était pas indifférente à ce spectacle auditif. Lèvres pincées, jambes serrées, elle essayait pourtant de faire bonne figure.

« Le club offre de nombreux services pour répondre à toutes les attentes. Si vous souhaitez de l’intimité après avoir trouvé un ou une partenaire, vous pourrez vous rendre à votre droite. De nombreuses chambres sont mises à disposition. Cependant, si vous aimez les expériences plus publiques, d’autres pièces sauront sans doute vous ravir. Avez-vous une préférence ? Un endroit que vous aimeriez absolument voir ? »

6
Le coin du chalant / (ava) plongez dans la luxure.
« le: jeudi 20 janvier 2022, 12:08:30 »
Nouvellement validée, je cherche à lancer mon personnage ! Vous pourrez trouver une présentation très brève d'Ava puis des idées de RPs. Cependant, nul besoin de s'arrêter à celles-ci, si Ava vous intéresse, on pourra toujours en trouver des nouvelles en mp.  :-*

Ava Morris.
19 ans.
Etudiante en droit, le jour.
Hôtesse dans un club échangiste, la nuit.
Pansexuelle.

Propositions de rps pour Ava.

1. [H]Le pervers du métro : Ava termine sa journée de cours. Obligée de prendre le métro pour se rendre au travail, elle se retrouve bloquée aux heures de pointe. Les gens ne cessent de pousser pour se trouver une place et aux corps agglutinés s'ajoutent des mains baladeuses.

2. [H]Le séduisant professeur : Les détails seront à voir avec l'autre joueur. Cependant, cela peut se dérouler sous deux temporalités : lorsqu'Ava est au lycée Mishima ou aujourd'hui, à la fac.

3. [H]Nouveau venu : Employé nouvellement engagé ou client timide du club, Ava est désignée pour lui faire visiter les lieux, lui apprendre les règles mais la situation finit par déraper. Le professionnel laisse place à l'intime.

4. [H]Merde : De repos, Ava en profite pour partir à la piscine. Et après une longue séance, dans l'intimité des vestiaires, elle s'adonne à un plaisir solitaire. Mais était-elle vraiment seule ?

5. [H]Soirée VIP : Ava entretient sa liberté, loin de ses parents. Jusqu'à ce qu'elle se retrouve obligée de participer à une soirée privée sur un luxueux yacht. Tous les moyens sont bons pour y échapper, davantage en compagnie d'un bel inconnu.

6. Comme mentionné plus haut, je suis ouverte à toutes autres propositions. Il suffira juste de me contacter par mp.


Proposition de rps OS.

1. [H]Prisonnier.ière/Gardien.ne : Ils n'ont rien à faire ensemble. Pourtant, face au désir, les obligations s'oublient et les corps se découvrent.

2. [H]Inceste ; Beau-père/belle-fille : Il est le nouvel époux de sa mère. Séduisant homme, elle ne résiste à l'inviter dans sa couche.

3. [H]Inceste ; Jumeaux : Ils ont toujours été inséparable. Mais aurait-on imaginé que leur amour fraternel se mue en un avide désir ?

4. [H]Stalker/Stalkée : Populaire, elle est victime d'un stalker. Il ne cesse de l'observer depuis sa fenêtre, de la suivre dans la rue jusqu'au jour, il passe un pas et pénètre chez elle, en sa présence.

5. Comme pour les RPs avec Ava, je suis ouverte à toutes autres propositions (comme pour l'inceste où je ne me limite aux propositions faites). Il suffira simplement de me contacter par mp ou à la suite du chalant.


Dans les deux cas, ceux sont principalement des idées destinées à des écrits érotiques qui me sont venus. Cependant, vous pouvez me contacter pour RP social, sans soucis.

7
Prélude / ava, passionnément vôtre. [Vanéalidée !]
« le: mercredi 19 janvier 2022, 20:38:52 »
Identité : Ava Morris
Âge : 19 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Pan / expérimentée malgré son jeune âge.

Physique : Gâtée par la nature, Ava possède de nombreux atouts pour plaire et elle le sait. Pourtant, elle préfère les masquer pour les tâches quotidiennes comme les cours, les courses. Tout ce qui l'ennuie, en somme. Ses longues jambes, sa taille marquée sont cachées sous des jeans amples, des vestes et t-shirt larges. Ses mèches dorées sont ramenées en une fade queue de cheval, dissimulée sous une casquette. La visière souvent abaissée masque ses pupilles jades. Ainsi, son charme s’évanouit pour la discrétion, elle ne devient qu'un élément banal du décor. Cependant, quand il s’agit de sortir ou d’aller travailler, la blonde fait un véritable effort. Ayant adopté jeune le goût prononcé pour la mode de sa mère, elle revêt des habits moulants, des robes courtes, parfois aux décolletés affriolants. Car au fond, elle apprécie attirer les regards, autant que les compliments ; il suffit juste que le contexte soit adéquate.

Caractère : Ava, c’est cette élève au fond de la classe. Celle qui ne parle à personne, reste scotchée sur son téléphone, fait semblant de prendre des notes ou parfois, rattraper sa courte nuit. Elle se fait discrète, se dissimule derrière des fouteurs de trouble. La paix est gagnée. Oui, elle ne prend pas ses études au sérieux. Mais, elle est présente quand même à chaque cours, pourtant, on a l’impression qu’elle est nouvelle. On l’aborde souvent pour le confirmer. Ça la saoule, la blonde finit par les ignorer, se montre désagréable. Elle aime qu’on la laisse tranquille.

L’étudiante n’est ni solitaire ni asociable, elle a quelques amis du lycée qui traînent dans des filières différentes. Ils se retrouvent parfois pour le repas ou boire un coup le soir quand elle ne travaille pas.
Au début, elle était aussi nonchalante dans ses cours qu’au travail, incapable de s’arracher un sourire forcée, envoyant bouler les clients pénibles. Car elle a un fort caractère et n’hésite jamais à mettre les choses au clair. Et avouons-le, elle en a perdu plus d'un. Mais ça c’était avant. Avant qu’elle décroche un boulot qu’il lui plaît, la stimule. Là, Ava se retrouve plus encline aux efforts.

Histoire : D'origine américaine, ses parents sont venus déménager à Seikusu quelques années avant sa naissance. Son père y avait trouvé une nouvelle opportunité professionnelle, sa mère mannequin à la retraite le suivait avec quelques réticences marquées. Quant à Ava, elle vint au monde quelques années plus tard. Elle a bien vite compris sa différence à l'école, sans pourtant s'en offusquer. Au départ, bonne élève, les premiers émois au collège, puis au lycée, l'on détournait du chemin des études. Les sorties, les rencontres, les karaokés, tout lui parut plus divertissant. Pourtant, son géniteur lui espérait un avenir brillant dans le droit, celui qu'il avait raté. Ainsi, à la seconde où ses notes descendirent, les sorties se rarifièrent, les professeurs privés s'enchainèrent dans un véritable défilé. Il était peu présent mais savait contrôler d'une main de maître son éducation.

Elle parvint ainsi jusqu'à l'université, débutant dans le droit. Le dégoût s'était installé et ses notes en pâtissaient de nouveau. Adulte, son père avait bien moins d'emprise sur elle. Enfin, ce qu'Ava crut, jusqu'à ce qu'il lui coupe les vivres jusqu'à ce qu'elle fasse preuve d'un véritable investissement, au lieu de passer ses examens de justesse. Mais pour pallier à ce nouveau manque, elle préféra travailler. Avec plus ou moins de succès. Son fort caractère lui attira plus d'ennuis que de bénéfices. Et souvent, la blonde se retrouva licencier ou démissionna. Les petits boulots s'enchainèrent, sans conviction, elle postula à dernier : hôtesse dans un club échangiste. Loin de ses précédentes expériences, l'étudiante se trouva à l'aise dans le monde de la nuit et de la luxure et y rencontra la liberté tant recherchée. Afin de faire valoir sa motivation, de faire oublier son expérience professionnel calamiteuse, elle dut s'impliquer, redoubler d'efforts pour la première fois.

Suffisamment bien payée, intéressant -bien qu'au final, elle se contentait majoritairement d'accueillir les clients ou de servir au bar-, ses études finirent par en pâtir de nouveau. Si pour faire bonne figure auprès de son père, Ava ne manque jamais un cours, elle profite surtout pour rattraper son sommeil manquant dû aux courtes nuits, retrouver ses amis au pause déjeuner. Ses occupations sont nombreuses sur le campus... Mais jamais, elle n'étudie et ne se préoccupe guère de son avenir. Plongée dans une période d'insouciance, Ava en profite jusqu'à ce que les ennuis la rattrapent, que la colère de son père éclate de nouveau.

Autre : -

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