Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Yazill

Pages: [1]
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Archives / Quid d'une Horde d'ennemis genre Goblins ?
« le: mardi 19 mai 2020, 23:16:56 »
Un idée qui m'a traversé l'esprit:

Du fait de la possibilité qu'on a ici de créer un personnage "légion", du coup...

=> Est-ce que ça intéresserait des joueurs combattants en mal de RP de baston qu'une horde d'ennemis existe (du genre troupe de gobelins, d'orcs, de skavens etc...) qui ouvrirait des RP d'attaque, de sièges, ou de pillage ici et là, où tous ceux qui veulent se battre viendraient RP ?

2
Dictature d'Ashnard / Yazill en visite à Ashnard
« le: mardi 19 mai 2020, 21:55:02 »
Ashnar la sombre, Ashnar la terrible, Ashnar la cruelle… L’ennemie héréditaire. Depuis que j’étais en âge de comprendre un peu le monde des adultes, j’avais entendu mille horreurs à propos de l’empire ennemi et sa sombre capitale. La guerre perdurait malgré les années, sans qu’un camp ne l’emporte sur l’autre. Quelque part, ça me rassure aujourd’hui. Je me dis que si la dictature devait l’emporter sur ma ville natale, ça serait déjà fait. Malgré tout les attaques perdurent, sans espoir de gagner, mais elles maintiennent notre cité dans l’angoisse de la guerre, la mobilisation des troupes, les deuils et les restrictions fréquentes. Néanmoins, depuis ma malédiction, n‘ayant plus d’espoir de vie sociale, je me désintéresse de tout ça, du destin des hommes et de la politique. Il m’est même venu l’envie d’aller voir de plus près cette fameuse cité noire, si monstrueuse, si maudite par les miens. Dans ma peau de chat, je suis de toute façon en danger partout et tout le temps. Quiconque me trouvera trop démoniaque un jour, ici ou là-bas me tueras, et ç’en sera fini de Yazill alias Bertaut Brichaseuil, ex-fils d’artisan de Nexus.

Donc un beau matin je pars, quittant ma ville natale incognito par une grille des égouts. Et, mon baluchon sur une épaule, ma hallebarde sur l’autre, me voilà cheminant vers le territoire ennemi. Le danger n’est pas si grand. Personne ne prête vraiment attention à un si petit personnage que moi en rase campagne. Le paysage défile donc, au rythme lent de mes petits pas de chat, et change petit à petit au fil des jours et des nuits. Le plus périlleux en définitive ici comme ailleurs sont les chiens errants ou les loups. Quelques rapaces nocturnes aussi, car j’aime voyager de nuit. Ma vue me le permet et on y croise moins d’importuns. Le moins marrant c’est de dormir dehors, « à la fraîche » et de se nourrir. Point de bonnes gens à qui quémander de la nourriture ici, point de poubelles à fouiller, point d‘auberges… Je me contente de mulots que je parviens à attraper de nuit. J’entends les ultrasons à présents, et ils communiquent entre eux par ultrasons. C’est pas ce que je préfère, surtout quand je ne peux pas faire de feu, mais à la guerre comme à la guerre….

Si bien que quelques semaines plus tard, me voilà en vue de la ville maudite d’Ashnar, capitale de la dictature. Faudra un jour qu’on m’explique la différence entre une dictature et une royauté.  Je suis plus si sûr que ça diffère autant qu’on me l’a dit. Me voilà donc au pied des remparts à la tombée du soir d‘un jour de pluie… Comme pour sortir de ma ville, je me faufile par les égouts pour entrer dans celle-ci. Quand on y pense, mes remparts sont pleins de trous pour les petites créatures comme moi. Je suis trempé jusqu’aux os. Il pleut depuis le matin sans interruption. Dans les égouts, je croise des rats trop gros pour rester serein. Et surtout ils me regardent d’un œil beaucoup trop menaçant. Je leur crie dessus, les insultant, les sommant de dégager le passage. L’effet de surprise est garanti ! C’est pas tous les jours qu’ils croisent un chat avec une voix humaine… Je me hâte de sortir  de là, remontant à la surface à la première occasion.

La pluie n’a pas cessé, dégoulinant sur les toits, submergeant les gouttières encombrées, et réfléchissant toutes les lumières sur les pavés. J’ai l’air d’un rat tout miteux, trempé comme je suis. J’éternue, et cherche à me repérer parmi les masses sombres et imposantes des bâtiments… Mais je ne connais pas la ville. Et à cette heure tardive les passants se font rares pour ne pas dire inexistants. Sans doute la rigueur des restrictions locales ? Je longe les murs, priant pour ne pas croiser de chien… J’ai bien faillit mourir plus d’une fois d’une crise cardiaque avec ces imbéciles ! Sans compter qu’ils manquent de me bouffer pour de bons une fois sur deux ! Comme pour les rats, ma voix les surprend souvent, me laissant l’initiative. Mais son effet dissuasif ne dure pas toujours longtemps. Ah tiens !? J’entends des pas ! Des gens viennent. Je file vers eux, ils me mèneront quelque part au chaud. Oups ! Je me plaque à un mur dans l’ombre dès que je réalise qu’il s’agit d’une patrouille défilant au pas en rangs par quatre. Mon coeur s’est emballé, je reprends mon souffle. Je croise bien des soupiraux aux pieds de habitations ici et là par lesquels je pourrais me glisser. Mais c’est toujours risqué d’entrer quelque part sans y avoir été invité. Les gens sont violents quand il s’agit de défendre leur foyer. Je continue, errant de rue en rue au hasard, cherchant les endroits animés. Mais par moment le doute me saisit ! Et s’il n’y en avait plus à cette heure ? Dictature oblige ? Extinction des feux… restrictions de temps de guerre… que sais-je !? Ils sont où ses quartier chauds ici ? Mon ouïe et mon flair de chat devraient m’y conduire. Mais la pluie brouille un peu les pistes. Je me pose un moment, me calme et me concentre sur mes sens félins, moustaches comprises… Quelques minutes passent et… je me laisse guider, filant dans une autre direction… Quelques rues plus loin nous y sommes ! Des fenêtres éclairées, des voix, des bruits de couverts. Mon cœur de chat a un battement plus fort. Je m’approche prudemment, le balluchon sur l’épaule, et ma hallebarde dans l’autre main pointée vers l’avant.                 

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Ma fiche : Cliquez-ici
Résumé : Yazill est un humain frappé d'une malédiction, changé en un drôle de chat, un chat qui bouge, se comporte et parle comme un humain avec une voix d'homme adulte (mon avatar). Mais il a encore la possibilité de retrouver en partie son apparence d'avant, celle du jeune homme humain qu'il était (mon spoiler en signature) deux heures par jour à sa demande. Il erre d'une personne à une autre, d'un soutient à l'autre, sans attache.

Mon Style : Je suis aussi à l'aise à la première personne du singulier qu'à la troisième, mais j'ai une petite préférence pour le je, qui est plus impliquant pour moi. néanmoins, si mon/ma partenaire n'a pas envie de se retrouver dans ma peau quand il/elle me lit, je peux faire l'effort de RP en il. Je me suis habitué à faire des postes d'au moins 300 mots, et dépasse souvent ce chiffre sans avoir besoin d'y penser. Mais j'essaie d'éviter de dépasser 800 mots car alors ça peut faire beaucoup à lire aux autres, et limiter leurs options de réaction. Ce que j'aime dans le RP c'est la beauté des descriptions, la justesses des émotions, une gestuelle détaillée, au moins explicite, et , par dessus tout, évidemment, le fait que ça soit interactif et imprévisible. Alors j'essaie de stimuler l'inspiration de mes partenaires, et prends facilement la narration en charge quand je suis inspiré, proposant plus de choses que le jeu de mon seul perso ne le nécessiterait (J'ai été MJ longtemps, ceci explique cela). J'ai l'habitude de répondre le plus tôt possible, pour que le RP avance à un bon rythme, et qu'on ne perde pas le fil, afin de ne pas être obligé de tout relire du début. Mais on a une vie et ce n'est pas toujours possible. Dans ce cas, si j'ai un ralentissement d'inspiration, une perte de disponibilité, je préviens mes partenaires, et j'aime qu'ils en fassent autant. Je ne suis pas contre le fait de s'accorder hors-jeu sur certains points d'un RP avant ou pendant, si ça peut rendre l'écriture et l'intrigue plus amusantes. Je comprends qu'on perde l'intérêt pour un RP et n'aie plus goût à le poursuivre. Mais dans ce cas il faut en parler et décider d'une fin pour la poster en résumé narratif et clore proprement.

Idées/proposition de RP n°1: En fait je viens d'arriver, je connais encore mal mon personnage. Je ne l'ai jamais joué ailleurs qu'ici avant, et je suis donc plutôt impatient de le prendre en main et de le découvrir. Comme il vit au jour le jour, passant d'un soutient éphémère à un autre, qu'il survit au petit bonheur la chance, il est fort simple d'improviser l'une de ces rencontres entre lui et votre personnage, et simplement laisser nos deux persos être ce qu'ils sont, et voir ce qui se passe. Lui est habitué aux réactions diverses et variées des gens en sa présence, à leur étonnement, et à s'accommoder de ce qu'on veut bien lui donner chaque soir jusqu'au lendemain matin. C'est surtout pour votre personnage que la situation sera nouvelle, exotique et surprenante. Et rien que ça, ça peut être marrant à RP. Quand au hentai je n'ai rien contre, pourvu qu'il émane naturellement des situations, sans qu'on l'ai trop délibérément recherché.
exigences du scénario :Il faut que ça se passe dans Nexus ou ses environs.

Idée n° 2: pour l'instant aucune autres, mais je reste ouvert à toute suggestion. Et je rajouterai ici les idées qui me viendront

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Identité : Yazill (anciennement Bertaut Brichaseuil)
Âge : 24
Sexe : Masculin
Race : humaine
Sexualité : Hétéro

Physique : Yazill à deux apparences physiques. La première - la plus fréquente puisqu'il l'endure 22 heures sur 24 - est celle d'une sorte d'étrange chat d'une trentaine de cm de haut. Un chat un peu difforme car tout droit sorti de l'imagination de la sorcière qui lui a jeter ce sortilège. Il a une grosse tête sur un petit corps. Il marche sur ses deux minuscules pattes antérieures, et possède des petites mains préhensibles... Et ce drôle de chat est habillé de pièces d'armure sur les épaules et de frusques médiévales pour le reste du corps. Il bouge, marche, s'assoit, parle et se tient à la façon des humains... Même sa voix de chat est humaine, plutôt grave, comme celle d'un homme adulte. Ce qui est assez perturbant pour qui l'entend parler. Surtout la première fois. Mais son regard énigmatique vous scrute et voit la nuit bel et bien comme celui d'un chat. D'ailleurs ses deux yeux voient. S'il porte un bandeau sur l'un d'eux ce n'est que pour se donner un genre. En outre il trimbale avec lui une hallebarde à sa mesure pour se défendre et se rassurer. 

Sa seconde apparence est celle d'un jeune homme tout à fait charmant, d'une vingtaine d'années, au corps délicatement sculpté, à la peau imberbe, douce comme de la soie, d'un beau teint cuivré. Il a alors les yeux gris clair et la pupille fendue. Ses cheveux sont courts, du même gris que ses yeux, et laissent dépasser deux oreilles de chat, de même qu'une queue de chat prolonge sa colonne vertébrale. On a tout lieu de penser qu'il s'agit là d'un Terranide, mais il n'en est rien. Il est bel et bien humain. Ce ne sont là que les restes indélébiles du sortilège qui l'enchaîne le reste du temps. Ce jeune homme n'a pas de vêtement quand il retrouve sa forme originelle, et doit impérativement se déshabiller avant transformation quand il est sous sa forme de chat.

Caractère : Il est râleur et taciturne sous la forme d’un chat. Sa malédiction l‘a contraint à s’affirmer plus que de raison quand il ne mesure que 30cm la majeure partie du temps. Il a du prendre de l’assurance et faire preuve d’audace pour supporter sa condition et l’assumer devant les grandes gens. Car en dépit de cette terrible situation, il n’a pas renoncé à vivre parmi les autres, en pleine ville. C’eut été faire trop d’honneur à la sorcière qui l’a maudit, que de vivre reclus et caché pour le restant de ses jours. Il est sans doute imprudent, mais c’est inévitable à son âge. Il n’a que 2 heures par jour de liberté, dans son corps réel, il compte bien en profiter ! Aussi aime-t-il aborder les femmes sous son apparence féline minuscule, pour les surprendre, les étonner et, si possible les charmer, en attendant le moment de se changer en homme et les combler. Du coup il est bavard, conteur d’histoire, presque bonimenteur. Un chat qui parle, autant qu’il parle bien, non ? Pour le reste il est forcé d’être philosophe, ayant dû renoncer à toute identité et ambition humaine. Il lui faut apprendre à tirer parti de sa situation si particulière, savoir vivre l’instant présent, profiter des bonnes choses, pour trouver, malgré tout, dans les circonstances et les situations qu’il rencontre quelques réconforts et plaisirs. Sans quoi il le sait, il finirait par s’en agacer et s’en alarmer de trop, et sombrerait dans le désespoir ou la folie. Ainsi est-il devenu aventureux, pour ne pas dire téméraire, du moins sous sa forme de chat. Il aime évidemment faire la fête, boire et manger, rire et danser. Et garde, du fait de son histoire, une grande méfiance à l'égard de la magie sous toutes ses formes. 

Histoire : Yazill alors nommé Bertaut Brichaseuil est né de parents humains sur Terra. Ils étaient artisans à Nexus. Il a vécu une vie ordinaire de citadin avec eux jusqu’à ses 21 ans. Il a été à l’école de ses 6 ans à ses 12 ans. C’était un élève plutôt brillant. Puis, sachant lire, écrire et compter suffisamment, il entra comme apprentis dans la boutique de son père. Il était tout naturellement destiné à prendre sa suite. Il apprenait le métier tant bien que mal n’étant pas très assidu ni très motivé. Il préférait clairement courir les filles. D’autant plus qu’il était avantagé par un physique des plus avenants qui lui offrait certaines facilités. Il ne se priva pas d’en user… et même d’en abuser. La tentation était trop forte à son âge. Mais les meilleures choses ont une fin et il fut bientôt temps de le marier. On lui trouva une épouse de bonne famille, une fille ordinaire au physique ingrat, un mariage d’intérêt entre commerçants avisés. Il ne put s’y opposer, et se résigna. C’est à partir de là que tout bascula et que les ennuis commencèrent pour lui.

En effet, le jour de son mariage, en pleine cérémonie, comme il est d’usage de demander si personne ne s’oppose à l’union, Une femme se manifesta, véhémente, visiblement fort contrariée. Il s’agissait de la tante d’une jeune femme que Yazill avait mise enceinte quelques mois plus tôt sans le savoir, venue s’opposer à son mariage et réclamer qu’il épouse sa nièce ! Le ton monta rapidement entre les parents de la mariée et la tante contestataire… Puis les parents de Yazill s’en mêlèrent, niant vertement les faits. L’ambiance tourna vite au vinaigre, chacun restant campé sur ses positions pour ne pas perdre la face. Bientôt les insultes fusèrent et la contestataire par qui le scandale était arrivé fut malmenée et quasiment jetée dehors. C’est alors qu’avant de se retirer pour de bon, elle brandit son poing et cria quelques incantations obscures que d’aucuns prirent pour des jurons et des insultes dans une langue étrangère… Sauf que quand elle fut enfin partie et le silence à peu près revenu, chacun reportant son regard sur les mariés ne vit plus que la promise et…. A ses pieds une espèce de vilain chat qui se tenait sur ses pattes arrières, au milieu des vêtements entassés en désordre du marié. C’est alors que Yazill, à présent chat, eu la mauvaise idée de parler à sa promise pour la rassurer. Ce qui lui arracha un hurlement de terreur et mit toute l’assemblée en émoi. La stupeur fut grande et tout le monde ne comprit pas ce qui s’était réellement passé. Chacun y alla de son interprétation et, faute d’époux, la cérémonie dû être abandonnée pour de bon. Quant à notre infortuné jeune homme, à présent maudit, il put se carapater hors de l’église en profitant du chaos pour ne pas être vu ni poursuivit. Bertaut ne remit plus les pieds chez lui. Il prit le nom de Yazill et commença une vie d’errance et de dangers, et faillit bien mourir ou être capturé pour être vendu une bonne vingtaine de fois. Il ne découvrit pas tout de suite qu’il lui restait deux heures par jours d’apparence quasi normale, mais cela lui fut d’un grand réconfort, et lui fit renoncer pour de bon à ses projets de suicide. A présent, il a pas mal roulé sa bosse en tant que chat parlant, et terranide amant d’un soir, et s’est fait à sa situation. Il ère d’une taverne à l’autre pour se faire offrir à manger ou à boire en amusant la galerie, et d’une amante à l’autre pour réchauffer ses nuits, sans toutefois oser rêver à se poser quelque part. Malheureusement pour lui, son apparence humaine entachée de reliquats de sa malédiction féline lui donne l'apparence exacte d'un terranide, et il ne parvient pas toujours à convaincre ses interlocuteurs qu'il n'en est pas un.   

Autre :Yazill décide lui-même quand il le veut de reprendre forme humaine. Cela survient alors instantanément et dure deux heures sans qu'il puisse retourner volontairement à sa forme féline avant ce délai. Il ne peut pas être contraint de se transformer. ça ne peut se produire que s'il en a réellement envie et ne subit aucune pressions

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