Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Zabusa Hikiko

Pages: [1]
1
Centre-ville de Seikusu / Entre deux couches de tissu. [PV Okio]
« le: dimanche 30 juillet 2017, 17:28:17 »
Zabusa vint à bailler à son réveil, il avait aujourd'hui du travail à produire. Il avait été embauché par une femme dont il avait aidé la grand-mère. Il avait donc été invité pour travailler en tant que vendeur dans un magasin de vêtement, ce qu'il n'avait pas refusé. Il allait être assez bien payé, pouvoir converser avec des personnes et pouvoir être dans un lieu qui sent le vêtement, quoi demander de mieux?  Non il allait être très bien pour ce travail.  Il avait noté l’adresse et profité de la bibliothèque municipale, afin de faire quelques recherches sur le lieu où il allait bosser. Il s’agissait d’une très ancienne auberge, qui avait été rachetée il y a plus de cent ans, par la famille de l’employeuse, et reconvertit en magasin de vêtement. L’entreprise familiale était très bien en terme financier et comptait aller à l’internationale, signe que le business marchait bien.  Il avait noté le trajet sur une feuille et son téléphone.  Il fit un petit bonjour aux enfants de l’orphelinat avant de partir en leurs promettant de trouver de joli vêtement à ramener. 

Zabusa partait d’une marche décontractée, il n’aimait pas trop faire des promesses aux enfants, qu’il n’était pas certain de tenir, au pire il n’aurait qu’à acheter le tissu et travailler en secret. Il vint devant le magasin, sans la porte ouverte et les quelques vêtements exposé en extérieur, on aurait pu ne pas l’apercevoir. Il fallait vraiment être à la recherche de vêtements pour tomber sur cette enseigne plus que singulière.  La façade faisait effectivement plus auberge traditionnelle que magasin de tissu, deux petite lampe en papier pendant de chaque côté de la porte coulissante, laissant place à une petite pièce en guise d’accueil, où Zabusa allait être. Une fois entrée et les présentations faites, la gérante  fit le tour du propriétaire. Il se rendait compte que son poste d’accueil il y avait deux couloir, un à droit et un autre à gauche, les pièces avaient été vidé pour contenir des rayons de vêtements et de tissus, le tous à des prix plus qu’abordable. La gérante avait fait part qu’une grande partie des produits exposé étaient fait par des couturiers amateurs, qui désiraient vendre leurs produits.  Le jeune homme avait déjà entendu parler de ce genre de chose dans des magasins de vente de figurine.

La visite faite, il vint à faire sa demande, pour se faire payer en nature, à savoir soit des vêtements pour enfants, soit du tissu. Il expliquait que c’était pour les enfants de l’orphelinat et qu’il désirait leur faire plaisir.  La gérante se mit longuement à réfléchir et accepta.

Le nouveau vendeur se mit à son poste et attendit, ayant pu voir que le magasin était remplit de caméra, afin d’assurer la sécurité des produits que les couturiers amateurs mettaient en vente. Il avait vu quelques clientes, cela ne l’étonnait pas grandement, après tout la couture simple était souvent rattaché à une activité féminine, mais cela l’amusait de discuter avec les demoiselles pour leurs trouver des vêtements appropriés. Apparemment il y aurait une fête dans une semaine, il n’en avait pas entendu parler, mais se disait que les enfants aimeraient sans doute y participer.  Il put vendre huit yukatas, avant d’avoir un petit instant de paix, sans clients et clientes.  Il en profita pour aller dans un distributeur caché dans une petite pièce réservé au personnel, avant d’entendre une petite clochette sonner, signe que quelqu’un était rentré. Il prit sa canette de soupe et vint à revenir à l’accueil pour guider la nouvelle personne.

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One Shot / Nexus en danger [PV Libre]
« le: dimanche 30 juillet 2017, 00:15:03 »
[Vous pouvez jouer vos personnages ou en créer pour l'occasion. Vous pouvez aussi bien rejoindre les rang de Nexus que de l'armée attaquante.  Le but du rp est de permettre la création d'une fiche de personnage qui partirait du coup de la fin de ce One-Shot. Ainsi c'est vous qui allez influencer son histoire. Allez-vous la capturer ? L'aidez dans sa quête de conquête ou alors simplement agir selon vos envies.  Même si le sujet est libre, merci de me contacter avant, pour que cela ne devient pas le bazard et organiser les réponses.]

Cela faisait plusieurs jours qu’une tension venait à s’instaurer autour de la place principale. Les conditions de ventes et les prix n’avaient pas changé, au contraire, il y avait beaucoup plus d’esclave en vente, notamment venant de contrée lointaine et encore inexplorée. En tout cas c’est ce que disait les marchands, quand ils se mettaient à venter leurs produits, afin de faire monter le prix de vente. Les gardes étaient à leurs postes, faisant leurs inspections des biens qui rentraient, vérifiant les identités, venant à mettre au fer ceux qui se croyait de taille à contester leurs décisions.  Les marchands ouvraient et vendaient leurs produits, criant pour certain afin d’attirer le client.  Les paysans ne faisaient que passer rapidement afin de vendre une partie de leurs récoltes aux guildes et pouvoir se payer un peu de pain et de beurre. La noblesse se baladait en véhicule luxueux, venant à parler à leurs confrères pour des festivités qui ne sauraient tarder.  Les rumeurs dans les bas-fonds disaient qu’il y avait de l’agitation dans l’ombre, quelques choses se tramaient. Aucune personne ne pouvait dire quand et où, mais il y allait avoir de l’action.  Certains disaient qu’une guerre allait se préparer, d’autres dirent que des étrangers allaient venir en masse dans la ville. Les informations se contredisaient et cette inconnue vint à faire monter cette tension, surtout auprès de la noblesse et des membres du palais royal.  

Aujourd’hui était la fête d’OR. Cette fête, d’origine païenne, honorait les dieux, pour les récoltes précédentes. L’hiver avait été  rude et une partie de la population ne participait à cette fête que pour tromper cette faim qui les tiraillait. Cette fête fut appropriée par l’Ordre Immaculée, qui en fit la fête de leurs dieux. Nexus vint à joindre cela à une forme de remerciement du peuple envers la famille royale. Cette fête était très importante pour la capitale, étant une journée où la cité recevait de nombreux diplomates d’autres nations. Mais cette journée semblait totalement différentes des années précédentes. Les différents magiciens doués dans les prédictions disaient que cette journée allait être funeste, n’arrivant pas à définir d’où viendrait cette mauvaise prédiction. Cela n’empêchait pas les étrangers de venir pour participer à la fête, ni les marchands de faire leurs boulots.  

Au loin  une armée de  5 000 hommes avançait par les montagnes, à leurs tête une personne encapuchonnée et une jeune adolescente, brune, tous deux cheval. La jeune femme observait le ciel d’un regard qui n’était pas celui de l’insouciance, elle semblait observer quelques choses d’invisible. Elle saisit son arc et vint à le bander en douceur, avant de décocher deux flèches, venant à fredonner un petit air. Les deux soldats de Nexus sur un avant-poste, à cinq cent mètres, reçurent les flèches dans la nuque, les faisant tomber au sol mollement. La demoiselle se mit à soupirer.  

- Est-ce vraiment nécessaire de tuer des cloportes ?

L’homme dissimulé sous son épais vêtement se mit à répondre de sa voix grinçante.

- Nous n’avons pas le choix, il faut bénéficier de l’effet de surprise. Surveillez donc les cieux prêtresse, d’autres magiciens pourraient se cacher.

L’étrange femme se mit à avoir un rire. Ses yeux venant à devenir d’un violet menaçant.

- Nul ne peut se cacher de mon regard dans le ciel, qu’il soit magicien, dragon ou dieu. Si vous m’avez aidé à développer mon pouvoir, sachez que je pourrais vous tuer dans la seconde même.

L’homme eut un rire, avant de laisser voir dans ses oreilles des sortes de bouchon en obsidienne.

- Avec ceci nous entendons votre magnifique voix sans en être affecté. Tant que nous en restons au plan prévu, Nexus sera à nous avant la nuit.  

La prêtresse eut un regard sombre, chargée de haine et de folie.

- Nous aurons notre revanche Nod, je vous le promets. Donnez-moi la potion, je vais dissimuler l’armée.

La brune vint à entonner un petit chant, qui ne faisait que résonner dans sa gorge, sans en sortir, l’armée semblait disparaitre sous un regard autre que ceux de cette armée.  

Parlons justement de cette armée de 5 000 hommes
Mille étaient des soldats de Nexus ayant déserté, pour des motifs plus variés les uns que les autres. Cependant cette petite portion de l’armée souhaitait, comme leurs deux leaders, prendre la revanche sur Nexus, que cela soit par une soif de justice, de haine  ou de peur des représailles sur leurs familles.
Deux mille cinq cent  étaient des guerriers et magiciens venant de terre lointaine, ayant été simplement charmés par le chant de la prêtresse. Ils voyaient en elle une incarnation divine et en Nod, un simple serviteur. Ses guerriers étrangers montaient sur des sortes d’autruche jaune, pouvant faire des pointes de vitesse fulgurantes. Leurs armes se composaient surtout de lame courbée. Pour ce qui était des magiciens, ils maîtrisaient tous deux éléments, le feu et la terre, ce qui allait se révéler pratique pour cette attaque.
Les mille cinq cent hommes restant étaient des habitants du pays natal de la prêtresse. Ce pays se nommait Emuy, un petit pays qui n’avait pas survécut très longtemps à la conquête de Nexus et qui, jusqu’à ce jours n’avait pas fait une seule action de révolte. La prêtresse avait vu sa grande sœur se faire capturer et vendre sur la place du marché de la capitale, nourrissant cette haine de cette nation, qu’elle voyait comme une sangsue buvant le sang des autres peuples. Elle avait peiné à retrouver les membres de son pays, qui avaient fui l’esclavagisme Elle ne garda que ceux qui avaient une profonde haine envers Nexus, elle usa de son pouvoir pour dresser ceux qui n’obéissaient pas ou remettait en doute son statut de chef de cette armée. Cette dernière partie aurait pu compter cent hommes de plus, mais ils avaient servi d’exemple, afin de distiller la crainte de sa voix.

L’armée se mit à une distance de trois cent mètres de distances des murs. La prêtresse se mit à demander à son complice.

- Il est temps, donnez-moi cette potion que vous vouliez garder pour la fin.  


Nod vint à présenter une flasque, contenant un liquide aussi épais et noir que le pétrole, chose que le brune bu jusqu’à la dernière gouttes. Les soldats purent voir que la potion devait être insupportable à boire , devant quelques spasmes et les phalanges qui se blanchir à la contraction, mais elle n’en recracha pas une seule gouttelette. Elle attendit bien dix secondes avant de prendre une profonde inspiration et venir à chanter de tout son être, ce chant étant destiné à sa grande soeur et désirant détruire cette ville.  C’est à ce moment qu’un épais brouillard vint à assiéger la citadelle, ainsi que la voix de la prêtresse qui venait à frapper tout Nexus. Au-dessus de la cité des nuages aussi noirs que la nuit se mirent à naître, déversant une pluie glaciale, la foudre venant à frapper quelques maisons d’esclavagistes et y mettre le feu, malgré la pluie qui faisait rage. Tout était signe d’œuvre surnaturelle. Les magiciens purent aisément préparer leurs sort, sous le couvert du brouillard et venir bombarder de pierre et de veux les murs, ainsi que la porte Est. La porte céda rapidement et l’armée se mit à entrer dans la citadelle.

Une fois passée la porte, le chant de la prêtresse se mit à devenir plus forte, s’insinuant dans les esprits les plus faibles pour les rendre, les esprits forts avaient plus ou moins des signes de migraine, ce qui permit à l’armée de détruire la première défense, sans réelle difficultés. L’armée attaquante avait des tenues chaudes sous leurs armures, ce faisant, ils supportaient très bien cette pluie glaciale, qui n’aidait pas les gardes de Nexus à se concentrer sur la bataille.

Nod et la prêtresse était au milieu de l’armée, la jeune femme venant à brandir la bannière d’un dragon pourfendu par une lance, signe de l’armée qui allait pourfendre la royauté et renverser cette nation qui n’aurait pas dû naître. L’homme encapuchonné restait près de la prêtresse et détruisait les flèches allant sur elle d’une petite lame de vent. Les envahisseurs ne s’attaquaient qu’aux soldats et citoyens désirant défendre cette ville. La jeune femme avait été très claire sur l’attaque, pas de pillage et de viol. Seul l’armée et les dirigeants devaient souffrir.  

3
Le coin du chalant / Deux personnages, plusieurs histoires.
« le: jeudi 27 juillet 2017, 00:28:56 »
/!\ Les deux personnages sont voués à évoluer, les fiche ne changeront pas, afin de laisser les personnages originaux et mettre au joueurs de jouer avec ou de faire leurs évolutions à eux /!\

Zabusa Hikiko

- Besoin de main d'oeuvre ? Cela tombe bien Zabusa est en recherche de travail.

- Vous souhaitez acheter l'orphelinat et Zabusa viendra marchander pour éviter sa destruction.

- Le jeune homme était au mauvais endroit, au mauvais moment.  

- Autres

Ahs ou Magic's Thief


- Vous possédez une magie ou un objet magique intéressant et Magi's Thief viendra tenter de voler votre bien.  

- Vous êtes gérant(e) d'un marché noir et vous vous faites un nouveau client ou une nouvelle prise.

- Autre idées.  


Je suis disponible si vous désirez faire des One-shot.


Ce que je n'accepte pas :  Uro/scato
Ce que j'accepte :  Tout le reste.  

4
Les alentours de la ville / Une histoire de bulle et de grenadine. [PV Destin]
« le: vendredi 21 juillet 2017, 12:33:05 »
Zabusa était sur son trente et un, il avait sorti de son placard une chemise blanche à manche courte, qu'il avait prit soin de repasser, un pantalon noir, lui aussi lissé au fer, une paire de chaussure de ville. Il n'avait pas mit de gel dans les cheveux, ces dernier ayant décidé d'être disciplinés. Il se regardait dans le miroir, loin de le dégoûter, il préférait les tenues plus sobre pour un travail.  Il soupirait en se rappelant ce qui avait emmener le jeune lycéen à porter un tel accoutrement. 

hier avait été une soirée assez riche en émotions, un VIP avait décidé d'organiser une petite fête avec un "petit comité", trois cent personnes. Autant dire que ce soir là il n'avait pas chômé.  Ses gambettes se souviennent encore de la courses qu'il a dû faire constamment pour servir tous les clients, jusqu'à la pause syndicale, où un de ses collègue de travail vint à l'accoster pour lui proposer un job.

- Un job simple qu'il disait.

Ce travail consistait à faire une interview auprès du président d'une entreprise de grenadine assez populaire, le journal ne pouvait pas embaucher une personne qualifiée, étant sur la sellette, préférant alors passer des annonces pour embaucher dans le cadre d'un simple CDD.  Zabusa ne s'en plaignait guère, toute rentrée d'argent supplémentaire serait bénéfique pour l'orphelinat et pour lui-même. Il avait été mit au parfum et avait sauté sur l'occasion pour faire sa demande. Par un léger pistonage, il vint à obtenir le boulot, apprenant que c'était le jour-même qu'il devait faire l'interview.  Il aurait pu le faire immédiatement, mais supposant qu'il s'agisse d'un patron, il fallait qu'il fasse bonne figure, qui sait, peut-être, par le jeu du hasard, serait-il embauché dans cette entreprise. Zabusa n'était clairement pas contre le fait de travailler dans une entreprise de grenadine, bien au contraire, tant qu'il avait sa petit bouteille à la sortie, il serait très content et il pourrait négocier pour en commander, à prix réduit, pour les gosses de son foyer. 

Il ne mit pas de cravate, ayant une limite. Il était encore jeune et sa teinture jurerait avec un aspect trop soigné, il déboutonna juste le bouton du col, afin de pouvoir respirer et donner un petit aire décontracté.  Enfila sa veste, il vérifiait qu'il avait dans les poches de sa veste, noire aussi, tout le nécessaire.  Il avait son calepin, un crayon, sa pièce d'identité. Il Vint à sortir de sa chambre et toute les filles étaient comme hypnotisées, alors que le mec le plus proche de lui vint à lui faire une tape amicale dans le dos.

- Vas-y frangin, montre à ses péquenot qu'on peut faire un boulot compliqué mieux qu'eux, on compte sur toi. 

La fierté de l'orphelinat. Zabusa le portait à chaque fois qu'il quittait le domicile et il prenait très au séreux cela. Il comptait bien montrer aux enfants ayant des parents, que ceux de l'orphelinat pouvait être tout aussi bon, que cette grande famille n'était pas qu'un ramassis d'idiots.  Le lycéen avait entendu beaucoup du chose sur son orphelinat, surtout de la méconnaissance et comprenait que le moindre geste positif permettrait au plus jeune de ne pas avoir à trimbaler le boulet du foyer de cette famille atypique. 

Il prit, à titre exceptionnel, les transports en communs, ceci afin de ne pas trop marcher et éviter de transpirer légèrement. Il sentit quelques mains baladeuses, ce n'était pas la première, ni la dernière fois, tant que les gens se cantonnaient à simplement le toucher, cela n'irait pas plus loin. heureusement pour lui le trajet fut court et il put descendre à la bonne station.  Une fois devant l'entreprise, il vint à se présenter devant l'acceuil. 

- Bonjour, je suis un employé du journal Seikudaisu. Je me nomme Zabusa Hikiko.


Le jeune homme laissait la personne à l'acceuil faire ses recherches et vérifier l'identité du "journaliste". Pendant ce temps il observait, tranquillement, la décoration.

5
Prélude / Zabusa Hikiko.[ValiHTMLisé]
« le: jeudi 20 juillet 2017, 20:11:50 »
Image d'origine,  artiste  Hardtrap
/!\ EXPLICITE/!\ :
 https://assets.gelbooru.com//images/0a/ab/0aab160eb2a8d51b896f1e73f49d876b.jpeg

Identité : Zabusa Hikiko
Âge : 16 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Sexualité : Bisexuelle, avec affinité devant un/plusieurs chibre(s) en chair ou en plastique. Tendance uke.

Physique :
Zabusa est un athlète accomplit. Non content de ses un mètre soixante-dix et de ses soixante-dix kilogrammes, en grande partie musculaire, il entretiens une corpulence qui se veut attrayante et non intimidante. Pour la force de persuasion, il possède une poigne qui vous feras regretter des petits mots de travers. Il est très fier de son corps, se plaisant à le féminiser pour donner une forte ambiguïté pour ceux qui porte un regard sur lui. Il ne pousse pas le vice jusqu'à féminiser sa voix.

S'il y a une chose que Zabusa ne supporte par sur son corps, ce sont les poils disgracieux. Son désir d'avoir un corps ambiguë le pousse à lutter contre les moindres poils qui nuiraient à cette vision particulière, qu'il a  de son physique. Bien évidement, il chouchoute tout ce qui est en accord avec son idée. Ses cheveux sont blond à la base et il aime les teindre, pour donner un côté pêchu et attirer le regard. Parlons justement de ses yeux, un bleu qui se veut indigo, de quoi donner encore plus de mystère sur ce jeune homme. Il n'a pas hésité à teindre ses sourcils, pour que l'on ne puisse pas connaître la couleur initiale de sa chevelure.

Zabusa a un petit faible pour son nez, qui est légèrement courbé et non crochu, donnant un un visage très rond et doux, tout à fait ce qu'il faut pour le jeune homme.  

N'ayez pas une crainte des reptiles. Le lycéen s'est fait tatoué dans le dos un immense dragons vert et bleu, venant toucher le sommet d'un montagne, la base de son corps venant se mélanger aux nuages.

En terme de vêtement il n'est pas craintif des nouveautés et des vêtements peu conventionnels, que cela soit lié au sexe au milieu social ou à l’environnement.
Il a cependant, une tendance, celui de porter des vêtements moulant, avec assez de souplesse pour laisser une ou deux mains caresser son corps sans le déshabiller. Il ne porte pas de collier ou de boucle d'oreille et n'a pas les lobes percées.


Caractère :

Zabusa est très bien vue par les demoiselles en recherches de petite mains pour faire de la couture ou encore avoir des petits conseils sur la mode.  En effet, le jeune homme est très porté sur les vêtements, tant féminins que masculins.  Dans le domaine sportif, on ne peut échapper à sa réputation de bon coureur, ainsi que de sa poigne légendaire. Bien nombreux ont été ceux qui furent surprit par la poigne que Zabusa possède dans les mains.

Sous ses traits atypiques, Zabusa est perçu comme un gentleman, venant à faire usage de la verbe, avant de faire usage de la violence. Il n'aime pas employé sa force pour débloquer une situation, préférant de loin les pourparlers.

Son esprit n'est clairement pas éduqué pour devenir le maître du monde, mais plutôt être le valet qui sert son seigneur corps et âme. Zabusa n'a d'ailleurs pas grandes ambitions, il aimerait tomber sur une personne qui puisse le prendre sous son aile et ne pas avoir tout les jugements de valeurs de la société ou il vit.  Il n'a rien contre les autres, mais il trouve que les notions moralisatrices sont des fois inutile voire utilisé par les corrompus pour troubler la paix des innocents.

Il apprécie les choses simples, trouvant la couture et les heures passée à couper et coudre le satin comme des choses très simplistes. La politique, le bien paraître et les codes sociaux sont pour lui des choses complexes dont il éprouve des difficultés à comprendre le but. En terme d'aliment, il aime la grenadine, la salade avec  des cubes de bris, les ramens et les banana split.  

Dans ce qui touche la sexualité, il n'a pas une grande expérience. Il aime bien les fellations ou la masturbation, n'ayant pas encore expérimenté d'autres pratiques. Il fait une séparations distincte entre les partenaires appréciables et ceux qui mériteraient de s'en prendre une. Il se met toujours à fond dans une relation, même d'un soir, vivant pleinement le moment et il déteste que son partenaire soit une personne de pure violence. Il n'accepte que la violence justifiée, aussi acceptera-t-il qu'une personne le griffe un peu pour jouer qu'une personne qui veut juste le faire saigner.


Histoire :
Zabusa n'a pas de parent ou, tout du moins, ne sait-il pas qui sont ses parents.  Il a toujours vécu  l'orphelinat de Seikusu et y vit encore.  Il n'éprouve d'ailleurs pas d'envie particulière en ce qui concerne connaitre ses géniteur, ayant déjà les membres de l'orphelinat comme famille, avec une ribambelle de "frères" et "soeurs". Il n'a pas été un enfant turbulent, trouvant rapidement dans place dans cet établissement, aidant les filles à coudre ou faire la lessive, aidant les garçons quand il fallait bricoler ou encore se battre contre les enfants ayant une famille.  Il n'eut aucun grand chamboulement dans sa vie et encore moins d'amourette pendant son enfance.  Zabusa était un enfant précoce en ce qui concernait ses rêves d'avenir, voulant devenir un couturier. De cette vocation arrivée tôt, il put se concentrer sur les atouts nécessaires à cette activité, à savoir la dextérité.

Il vint à gagner des points aux yeux des filles de l'orphelinat, ces dernières étant contente d'apprendre à un garçon comment faire des ourlets ou encore donner des astuces pour découper des tissus plutôt résistants ou fragile au passage du ciseau. Du côté des garçons, ce fut ses jambes et sa poigne qui furent le centre des intérêt. Zabusa avait misé sur la force de ses mains, ainsi que sur une affinité biologique à la course, afin d'avoir des compétences en sport.  Pourquoi , car avoir un corps en forme était essentiel  pour ne pas tomber malade. Il y avait aussi une autre facette, qui était d''avoir un corps ambiguë. Cette idée avait germée en voyant les nombreux modèles dans les magazines, se disant qu'il pouvait certainement percer dans la couture pour des tenues mixtes, pouvant s'adapter aisément aux hommes et aux femmes.

En cultivant cette ambiguïté, il vint à éveiller chez certain des garçons de l'orphelinat des envies inavouables, venant à devenir de plus en plus insistant jusqu'à exploser et emmener doucement Zabusa dans la relation charnelle entre homme. Sa première pratique sexuelle fut avec un garçon de son âge, qui aimait plus que tout le côté efféminé qui se dégageait du corps de son partenaire, comme une fragrance irrésistible. Cela commença par des réunions secrètes pour se masturber en cachette, puis cela évolua vers la fellation. Zabusa fut bien évidement surprit, mais prit goût à cette pratique, devenant assez bon.

Très vite, il n'eut pas qu'un seul partenaire, étant très à cheval sur le fait qu'il ne faisait que la masturbation et la fellation. Il ne désirait pas encore élargir son expérience à d'autres pratiques. Il ne fut pas maltraité, bien au contraire, il était chouchouté de toute part et cela lui plaisait bien au final.

Il avait fêté son seizième anniversaire depuis bientôt six mois et vint à se demander s'il n'était pas l'heure pour lui d'un peu plus s'ouvrir à la luxure, voulant cette fois être avec des partenaires bien plus expérimentés et apte à lui apprendre tout ce qu'il ne connaissait pas dans le domaine du sexe. Il ne pouvait pas encore quitter l'orphelinat, manquant d'un rien pour pouvoir être totalement indépendant. Jusqu'à ce moment, il donne une partie de son salaire à l'orphelinat, pour payer tout les frais d’hébergement et permettre au bâtiment d'être toujours dans une état acceptable.  

Autre :
Il est doué en course et en couture.
Il habite à l'orphelinat de Seikusu.  

Il travail dans une discothèque en tant que serveur.

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