Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Algogia

Pages: [1]
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Les contrées du Chaos / Une première pour toi (PV: Sophiana Caldo)
« le: dimanche 09 juillet 2017, 23:59:48 »
Il était terrible pour une drider de vivre dans un monde où elle était traitée de monstre. Jamais dans toute sa vie, Algogia n'avait fait de mal à un humain, jamais elle n'avait fait couler le sang d'innocents. Elle avait appris énormément auprès de ses conquêtes sexuelles sur le corps humain, maintenant, elle savait parfaitement utiliser les faiblesses de ces corps pour l'utiliser à ses fins. Malgré tout, Algogia continua sa vie dans son coin, chassant pour manger, la drider perfectionna son réseau de toiles afin de savoir ce qu'il se passait sur sa zone de chasse.

Algogia était dans sa grotte, lisant un livre sur la magie rose, même si elle connaissait pas ces pouvoirs, elle aimait savoir ce qu'elle pouvait faire. Mais une onde vibrait sur une toile et l'information d'un intrus arriva jusqu'à Algogia qui fonça vers le lieu de l'intrusion. Elle courra à en perdre haleine vers le nord, frayant un passage à travers la végétation. Quand elle vit une silhouette à travers la verdure, l'araignée grimpa dans un arbre, préparant une toile immense à jeter sur sa proie.

Algogia fut surprise de voir une femme, superbe, des formes très généreuses et surtout des longs cheveux roses. Algogia fut excitée rapidement, mais elle garda une concentration forte afin de lâcher le filet pile au bon moment. La jeune femme s'approcha de plus en plus d'elle et lorsqu'elle fut en dessous d'Algogia, cette dernière lâcha le filet sur la femme aux cheveux roses. Algogia entendit un cri et elle sauta de l'arbre afin de surprendre sa proie.

- Qu'avons nous là? Une superbe femme perdue sur mon domaine... Tu ne sais pas ce qu'il t'attend ma belle...

Algogia referma le filet pour être certaine que la victime ne puisse pas s'échapper. Et la proximité entre la femme et Algogia rendait cette dernière vraiment bizarre, sa lecture et ce corps... La drider commença une palpation plutôt dure pour être certaine que la femme ne portait aucune arme et surtout, tâter ce magnifique corps.

- Toi et moi, on va devenir très proche maintenant...

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Il était de bonne aloi pour une araignée d'attendre que ses proies tombes dans sa toile et pour Algogia, cet adage était toujours d'application. Cette nuit, elle avait tissé sa toile, immense, entre deux arbres, proches d'un court d'eau pour piéger le gibier en quête de la source. La drider s'était placée en hauteur dans l'un des arbres afin d'attendre. Le temps passa et pour le moment il faisait très calme, on entendait les bruits habituels d'une forêt la nuit mais rien de bien alarmant.

La patience d'Algogia fut récompensée lorsqu'un sanglier bien joufflu termina sa marche et sa vie dans la toile, Algogia le tua sans le faire souffrir, après tout, cette pauvre créature n'avait rien demandé pensa la drider. Mais, elle avait faim ce qui justifia cette mort soudaine pour le porcelet sauvage. Elle attacha la carcasse sur son abdomen arachnéen grâce à sa propre soie et elle retourna dans sa grotte.

Elle prenait son temps pour revenir, le nouvel environnement avait encore pas mal de zone d'ombre et elle pouvait rapidement se perdre si elle ne prenait pas de points de repaire dans cette zone émeraude. Évitant de trop s'approcher du village d'Orée, elle se dirigea vers sa caverne où un bon feu l'attendait afin de cuire cette viande porcine. Elle avait l'eau à la bouche rien qu'en pensant la viande au dessus du feu, Algogia pouvait être un monstre, aux yeux de essuie certains, elle était un fin gourmet quand il s'agissait de manger.

Mais, car oui il y a un mais, elle fut surprise de voir des traces de pas humains à l'entrée de sa grotte, son sang se figea dans son corps, elle qui avait eu tant de mal à trouver cette belle grotte, son chez soi, sa maison, se sentait comme trahi. Non, elle ne pouvait se résoudre à quitter cet endroit sans combattre, c'était chez elle et elle n'avait rien fait de mal à qui que ce soit. Elle entra dans SA caverne, son souffle se faisait plus profonds, comme pour préparer son corps à combattre un ennemi inconnu. Elle fixa le sol pour suivre les traces, non, elle n'allait pas se faire surprendre par un fou qui oserait  venir chez elle.

Algogia entra dans la salle principale de manière silencieuse et tomba sur une jeune femme à première vue. Mais, un détail frappa l'araignée, la jeune femme avait un bandeau sur les yeux, Algogia se sentait mal à l'aise d'attaquer quelqu'un infirme, sans savoir si elle l'était vraiment ou pas. Malgré le caractère hautain de la drider, elle avait des convictions et son maître lui a toujours appris que frapper une personne infirme ne nous rendait pas plus fort mais plus monstreux encore. Algogia s'approcha encore plus près de la femme, doucement, elle observa cette invité sans interrompre ce qu'elle faisait et sans faire de gestes brusques.

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Pour Algogia, cette nouvelle grotte était un bon présage pour recommencer une nouvelle vie. Au Sud-est d'un petit village du nom d'Orée, l'araignée avait trouvé une belle grotte où elle allait pouvoir faire son nid. La cavité était profonde, Algogia n'avait pas encore tout exploré mais elle était vide et les pièces naturelles formées dans la pierre allaient servir au mieux pour sa logistique. La drider était toute excitée à l'aménagement des salles et la plus grande aurait porte rôle de salle de repos avec un bon feu au centre. Algogia dépensait son énergie physique et magique sans compter et rapidement les pièces étaient équipées de façon assez rustique. Des meubles en bois dont l'assemblage s'était fait grâce au collant extraordinaire de sa soie. En un jour, une table, des chaises, une armoire et un semblant de lit étaient disposés dans trois pièces. Mais malgré tout, Algogia était toujours en quête d'une famille afin de combler son vide maternel.

Le lendemain, dans la fin de l'après midi, Algogia était sortie de sa grotte pour aller chasser de quoi manger, ne voulant pas attirer l'attention et grâce aux bois présents autour de sa grotte, Algogia voyageait d'arbre en arbre, elle trouva un faisan dodu qui rapidement se retrouva dans sa toile mais, un simple oiseau n'allait pas rassasier la grande drider et sa chasse continua plus vers l'Est. Posant des marques sur la cime des arbres afin de se retrouver, la drider s'éloignait de son nid pour explorer cette nouvelle contré qui, elle espérait, serait sa nouvelle maison.

Algogia était une piètre chasseuse et la zone inconnue la désavantageait encore plus. Mais l'araignée était intelligente et elle trouva une solution afin qu'elle soit toujours au courant des possibilités de chasses des environs. Pour ce faire, elle tissa une multitude de fils de soie si fins mais si solides, et, les disposants en cercle, les répartissa tout autours de la grotte. Tous ces cercles étaient reliés entre eux par un autre fil qui terminait sa course dans la grotte sous les pattes d'Algogia. Ainsi, si quelqu'un ou quelque chose marchait sur l'un des cercles, la drider serait immédiatement informée.

Une fois la toile tendue, Algogia alla déguster son faisan dans sa grotte, cuit à point, Algogia était contente de manger mais ce n'était pas suffisant, mais miracle, sa toile vibra assez fortement, une personne... humanoïde... Non attendez... deux personnes... mince de ses chevaux... Énormément d'informations arrivèrent à la drider qui se demandait le comment déséquilibre pourquoi, elle s'était mise à courir vers la sortie et s'était en chasse vers l'origine des vibrations. En quinze minutes, l'araignée venait de trouver l'origine de sortie sa quête: un détachement de soldats qui escortaient deux femmes. L'une des femmes attira l'attention totale d'Algogia, blonde et ayant une beauté qui coupa le souffle de l'arachnide. Toujours en hauteur, l'araignée contemplait cette femme et doucement, elle se disait que ses premières enfants viendraient d'elle et personne d'autre.

Le temps passait et Algogia suivait toujours l'escorte qui se dirigeait vers l'Orée, le petit village, obnubilée par la jeune femme, ses oreilles l'informaient l'araignée de la qualité de cette femme, Princesse Alice, une noble dont la beauté hypnotisait une Algogia en quête d'une mère. La troupe arriva au petite porte du village et sans trop d'éclats, la princesse fut escortée à l'auberge. L'araignée scrutait le bâtiment, cherchant la chambre de la Princesse. La nuit prenait place au jour et les clients de l'auberge étaient obligés d'allumer les bougies. De loin, la drider repéra sa cible et patienta encore pour la femme s'endorme.

Quelques temps après, les bougies étaient toutes éteintes et Algogia estimait que c'était le moment de capturer la blonde. Descendant rapidement de l'arbre, elle fonça vers la palissade proche de l'auberge et la grimpa avec rapidité. De l'autre côté, elle attendait un instant, elle devait être sûre que personne n'intervienne, et ensuite, elle escalada la façade de l'auberge, prenant soin à chaque fenêtre que les occupants dorment profondément. Algogia arriva à la fenêtre d'Alice, usant d'un peu de magie pour faire fondre le verrou, elle entra doucement dans la chambre. Ses pattes arachnides faisaient un peu de bruit sur le plancher en bois mais c'était vraiment minime comme bruit. La drider s'approcha du lit et regarda la beauté de la princesse, Algogia avait eu des pensées salaces mais elle devait se contenir pour ne pas ameuter tout le monde. Elle libéra Alice de ses couvertures et la souleva délicatement de son lit, elle se retourna et tomba nez à nez avec l'autre femme qui, au vue de son visage, n'était pas contente. Au moment où elle inspira pour hurler au secours, Algogia utilisa un sort de sommeil de base et son adversaire tomba dans les pommes pour un petit instant. Algogia avait des bases en magie mais pas assez pour faire de grands sorts. Mais trêve de déconcentration, Algogia fonça vers la fenêtre et sortie rapidement en descendant par le mur. Elle sentit Alice se réveiller mais elle subi le même sort que sa suivante et retomba dans les bras de morphé.

Deux minutes après, l'araignée était hors de la ville et dans la forêt, l'instant d'après, une cloche sonna depuis la ville, signe du rapt de la princesse, elle devait foncer rapidement le plus loin possible. Vingt minutes plus tard, Algogia et Alice étaient dans la grotte, l'araignée profita qu'Alice soit encore dans les vapes pour lui attacher les bras dans le dos avec de la soie et elle fut posée délicatement dans le lit pour qu'elle dorme encore. Et quand Alice ouvra les yeux, la drider était devant elle.

- Bonsoir humaine, j'espère que tu es forme... car tu vas passer un long moment avec moi. Que tu le veuille ou non.

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Le coin du chalant / Je vais tisser les liens pour une grandes familles.
« le: jeudi 06 avril 2017, 00:04:15 »
Alors, qu'avons nous là? Une drider qui cherche à fonder une belle famille, mais elle a besoin de femelles pour cela. De belles femelles pour qu'elles puissent porter sa descendance. Aucune mort ne sera à constater avec cette araignée, juste du bon temps pour elle et vous. N'ayez pas peur, elle sera une gentille femme avec vous...

Vous êtes un homme, que voulez vous? La combattre? Mais pourquoi faire? Elle n'est pas méchante... bon ok, elle dépasse les deux mètres mais est ce suffisant? Oui? Ben merde alors, elle va pas se laisser faire comme ça. Un combat dur sera à prévoir mais encore là, elle ne vous tueras pas... gentille la bestiole.

Vous venez pour discuter philosophie avec elle, vous allez faire d'elle l'araignée la plus heureuse au monde. Elle a une bonne base de réflexion et pourrai vous surprendre sur l'étendu de son raisonnement. Je suis sûre que cela pourrait le faire.

Vous êtes là pour l'étudier... ooook, chacun son truc mais pourquoi pas. Après tout, il faut de tout pour faire un monde. Et en plus elle vous excite? Putain mais l'hôpital psychiatrique serait l'endroit idéal pour vous. Mais bon qui suis je pour vous juger?

Vous ne savez pas ce que vous faites devant elle? Ben trouvez une histoire à me confier, après tout, les nouvelles rencontres sont les plus belles aventures en soi. Je suis toute ouïe.

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Prélude / Ah ben, vous êtes arachnophobes? [Validarthée]
« le: mardi 04 avril 2017, 02:32:20 »
Nom : Algogia
Race : Drider ou plus simplement une femme araignée
Âge : 117 ans
Sexe : Une femelle mais elle peut féconder d'autres créatures femelles afin d'avoir d'autres petites araignées de compagnies.
Orientation sexuelle : Bisexuelle

Description physique :

Il serait bien facile de la décrire comme une simple femme araignée mais franchement, vous pensez sérieusement qu'on va se contenter que de ça ? Algogia a le buste d'une femme très belle aux cheveux de couleur neige qui lui couvrent la totalité du dos. Sur le haut du crane, elle possède deux protubérances qu'elle utilise pour charger ses ennemis, entre les cornes, elle a trois crêtes qui servent aussi bien de décoration que de protection car c'est aussi dur que de la pierre. Ensuite, on remarque des yeux qui sont un mélange entre le marron et le rouge, un nez bien proportionné à son visage. Une bouche sensuelle et d'un rouge sang dont la couleur est naturel, un visage assez carré pour une femelle. Descendons encore un peu et attardons nous sur deux belles montagnes de chair dont la peau caucasienne, légèrement halée, est agrémentée par deux tétons roses. Elle possède des bras bien dessinés, pas trop musclés, qui terminent sur des mains assez grandes agrémentées par des ongles qui lui servent de griffes.

Voilà, on a terminé avec le coté humain, passons maintenant sur le coté araignée... Heinhein... Le restant du corps d'Algogia est celui d'une veuve noire : c'est à dire de couleur d'un noir profond, six pattes très fines pour un corps opulent et assez rond avec une belle avec une marque en forme de sablier de couleur rouge sang. Alors, vous me dites déjà où se trouve son vagin... fufufu... Regardez son joli petit nombril, tout petit et tout rond, ben descendez et vous verrez un losange noir de couleur qui sert de couvercle infranchissable sans l'accord d'Algogia. Car oui, elle peut être inséminée par un mâle (ou une futa) mais elle a une petite surprise pour les femmes qui oseraient s'aventurer sur son territoire : Elle peut pondre des œufs dans l'utérus d'une femelle grâce à une bon gros pénis qu'elle peut faire sortir de son abdomen d'araignée. Et quand je dis pondre des œufs, c'est pas deux ou trois non non... C'est beaucoup plus que cela et interdiction de fuir tant que ses petites chéries arachnides n'ont pas éclos et que vous les aurez expulsées. Elle ne vous tuera pas mais vous serez captives pour un moment. Et pour finir, un liquide recouvre son pénis quand il sort de son abdomen qui est un aphrodisiaque puissant.

Enfin, on va terminer sur des petites choses, elle se balade toujours les seins nues, grâce à une résistance naturelle au froid mais, elle n'est pas complètement nue. Elle a une collerette qui sert aussi d'épaulette et des brassards qui sont faits en or pur.

Caractère :

Algogia est une drider et connaît l'aversion historique entre les humains et les driders ; les premiers ont peur des deuxièmes et vous savez ce que la peur fait faire aux hommes... Bref, Algogia est quelqu'un qui reste sur la défensif quand il s'agit d'humain, mâle ou femelle. La drider est assez froide et refermée sur elle-même, elle est territoriale et ne supporte pas que l'on s'approche de son nid. Une fois prise dans sa toile, Algogia devient sadique et perverse à souhait de plus, si vous êtes une femelle alors là... Vous allez connaître son coté dominatrice jusqu'à son pénis abdominal vienne gonfler votre ventre de dizaine d’œufs.

Algogia aimerait rétablir une grande colonie où il y aurait des milliers et des milliers d'araignées qui lui tiendraient compagnies. Elle a coté maternelle et protectrice vis-à-vis de sa famille à huit pattes. Attention, elle déteste tuer ses proies mais si vous tuez une araignée à elle ou si vous tentez de la tuez elle, alors là, elle n'aura aucun remords pour vous ôter la vie. Elle veut être une bonne mère et elle a déjà un instinct maternelle très développé, elle donnerait sa vie pour ses petites protégées. Et maintenant qu'elle est en âge pour procréer, elle va pas se gêner pour se servir de vous comme couveuse.

Histoire :

C'est très simple, on va commencer par la naissance de notre chère Algogia, elle n'est pas née de manière naturelle mais bien par magie. En fait, elle est née par un enchantement d'un sorcier dont elle ne connaîtra jamais son nom ou prénom. Ses plus vieux souvenirs remontent dans un genre d'aquarium immense avec de la paille et nourrie à la mouche par son propriétaire. Le sorcier était un homme fort occupé mais de temps en temps, il venait jouer avec la Drider en lui apprenant certains tours de magie de base. Algogia était heureuse et insouciante mais elle ne connaissait que son aquarium et la pièce où elle était entreposée. Quand elle était seule, elle regardait les objets qui étaient la pièce en imaginant leur utilité qu'il pourrait avoir pour elle et lorsque la porte s'ouvrait, elle courait de gauche à droite en gesticulant des bras comme pour feindre une danse. Elle apprit peu de temps après son prénom, Algogia en l'honneur de la maman du sorcier, et quelques mots pour décrire son humeur et ses sentiments. Le sorcier était surpris de la progression fulgurante de son élève qui, en peu de jours, avait appris la langue commune. Maintenant, il fallait au sorcier l'instruire pour qu'elle puisse tenir une vraie conversation.

Deux ans se sont écoulés et Algogia avait un esprit aiguisé pour une petite araignée qui mesurait maintenant quarante centimètres, elle pouvait tenir une conversation d'adulte et même philosophique avec son maître. De temps en temps, l'arcaniste lui donnait un livre au hasard de sa bibliothèque personnelle et Algogia le dévorait le plus vite possible afin d'en parler avec son papa. Le temps n'avait plus d'emprise sur sa fatigue, peut-être l'effet de la magie à sa naissance, et donc elle pouvait lire non stop car elle ne dormait plus. En un trimestre, elle avait lu pas moins de trente livres, même le mage ne savait pas comment mesurer les progrès de son élève. Quant à sa soie, elle était devenue d'une résistance incroyable.

Les années passaient et maintenant la Drider était devenue trop grande pour son aquarium. Le mage lui avait fabriqué un lit spécial pour elle dans la pièce, à cette époque, Algogia mesurait un mètre septante (1m70) de hauteur pour un poids qui variait entre cent vingt et cent trente kilos. La demi-araignée était devenue une créature intelligente qui maîtrisait quelques sorts de base, mais autant les années passaient bien pour la Drider qu'elles ne passaient pas aussi bien sur le mage qui était devenu vieux. Sa santé déclinait à vue d’œil sans que sa protégée puisse faire quoi que ce soit... À quatre-vingt-sept ans, le mage s'éteignit dans son sommeil, pendant la nuit et seul... Algogia n'apprit la triste nouvelle que dans l'après-midi alors qu'elle ne voyait toujours pas venir son maître. Elle osa pour la toute première fois sortir de sa pièce pour découvrir un laboratoire de magie assez poussé. Potions, grimoires, présentoirs et autres ingrédients répartis dans toute la pièce principale de manière ordonnée. Elle chercha à l'odorat le vieux mage et elle ouvrit une porte qui donnait sur cette petite chambre, encore plus petite que sa pièce et tellement pittoresque. Elle n'avait pas le choix, elle devait partir avant que d'autres personnes ne viennent la découvrir car oui, feu son maître l'avait prévenue que les humains détestés les créatures comme elle.

Pendant quelques mois, Algogia voyagea, principalement de nuit, à l'abri des regards des autres créatures en espérant tomber sur des êtres similaires à elle. Son voyage fut long mais une nuit de pleine lune, elle entra dans une grotte remplie de toile et dont les bruits signalaient une présence d'araignées en très très grandes quantités. Algogia s'enfonça dans les profondeurs de la cavité pour tomber dans un nid où elle fut accueillie par une vingtaine de driders mais bien plus petite qu'elle. En effet, la plus grande habitante des lieux mesurait à peine un mètre cinquante mais Algogia était heureuse d'enfin trouver une famille. On passa plusieurs heures à lui expliquer comment on vivait ici : on sortait la nuit pour capturer des humaines afin de les ramener ici pour y placer les œufs dans leur utérus. De par sa grande taille, Algogia ne participait pas au raide, on la gardait au repère pour protéger le nid et de toute manière, elle ne pouvait pas être discrète. La première nuit de chasse ne fut pas mauvaise et les driders de la grotte avaient ramené cinq jeunes femmes d'un village voisin.

- Choisis la tienne Algogia, allez tu peux choisir la première pour ta première fois.

Algogia était stressée mais elle se sentait obligée de choisir sous peine de décevoir et elle choisit la fille en pleure comme pour la réconforter sans vraiment comprendre qu'elle venait de faire l'inverse. Deux driders attrapaient la fille ciblée et la plaçaient à quatre pattes afin de faciliter la fécondation.

- Excellent choix ma belle géante, elle va avoir droit à une belle pièce au vue de ta grande taille. Maintenant, montre nous ton engin et enfonce lui en elle pour la féconder.

Algogia était tétanisée par la peur, elle savait très bien que ce qu'elle faisait était mal mais la vue du vagin tout rose de la jeune fille provoquait en elle un picotement à son abdomen.

- Regardez moi ce bazar... Mais c'est gigantesque, elle va déguster la nana...

La voix venait de la plus petite des driders présentent sur place.

- Pitié, laissez moi partir, je veux pas finir dévorer...

Algogia se retourna pour regarder son abdomen et elle remarqua qu'entre ses deux filières, il y avait un pénis énorme et dur qui touchait au sol.

- C'est quoi ce truc...

La première drider rigola d'Algogia.

- T'es sérieuse ? C'est ta bite, maintenant tu viens la mettre dans son petit truc ici, là.

La grande Drider s'avança hypnotisée par son instinct primaire de sexe qu'elle découvrait en même temps que ses amis driders l'encourageaient à poursuivre sa marche en avant. Elle s'éleva en poussant sur ses six pattes arachnides et plia son abdomen pour que le pénis passe devant. Le gland était rouge et ruisselant d'un lubrifiant naturel et lorsque ce dernier toucha les grandes lèvres de la fille, Algogia sentait la femme se contracter. Pour qu'elle ne bouge pas de trop, la chef des demi-araignée attrapa ses mains et les plaça sur les hanches de la victime. Les autres jeunes femmes détournèrent le regard de ce qu'il allait être une boucherie, mais les autres driders se jetèrent sur ses pauvres femmes et vous connaissez la suite... Revenons à notre petite araignée, elle poussa doucement et puis plus fort afin de rentrer dans la fille. Les premiers centimètres étaient rentrées dans un hurlement de douleur, Algogia se sentait bizarre mais puissante... Elle adorait ce moment où son sexe était dans le sexe de la jeune femme.

- Et maintenant, je fais quoi ?
- Ben maintenant, tu remues d'avant en arrière pour te faire du bien jusqu'à l'orgasme.
- Quand est ce que l'orgasme arrivera ?
- Tu le verras bien vite...

Algogia remuait dans la jeune fille qui ne hurlait plus mais doucement, elle aimait cela... Elle couinait de plaisir quand la Drider remuait en elle.

- Nous autres, les driders, avons le pouvoir de donner du plaisir aux femelles qui gouttent à notre pénis et pour ce bonheur, nous leur demandons de porter nos enfants et lorsque nos enfants naissent, nous fêtons cela avec un grand repas...
- Aaah ouiii... Je vais devenir mèèèèreeee... J'aime celaaaa... Haaaaa... Je sens que je vais exploser...
- Mais oui ma belle, tu vas jouir et tu vas placer tes œufs dans son ventre. Laisse toi aller ma belle... Jouis !!!

Un dernier cris d'Algogia et son sexe se déforma de plus en plus, comme si plusieurs petites boules voyageaient de son abdomen vers le gland qui était encore enfoncé dans l'antre de la jeune fille. Il y en avait tellement que le ventre de la jeune fille se déformait à vue d’œil, elle aussi jouissait mais les cris étaient un mélange de douleur et de plaisir.

- Bien, très bien Algogia, tu seras mère rapidement de dizaine d'araignées et peut être que tu donneras naissance à une drider comme nous.
- C'est vrai ?
- Mais oui, mais c'est très rare, aucune d'entre nous n'a réussi à le faire.
- Aaaaaah, c'était trop bon...

Le sexe d'Algogia s'était rapidement rétracté dans son abdomen et quant à la fille, les deux driders qui la maintenaient à quatre pattes l'avaient enroulée dans de la soie et attachée en hauteur. Seul son vagin était libre afin de laisser le passage libre aux futurs bébés, Algogia se demandait ce qu'elles allaient manger car elle avait faim. La chef rigola par tant de naïveté.

- Tu es vraiment bizarre... Tu manges quoi d'habitude ?
- De la viande et vous ?
- Nous aussi, sur les cinq filles, l'une d'entre elle n'est pas fécondée et elle nous servira de manger.

Algogia venait de comprendre qu'elle n'était pas en phase avec ses soi-disant amies.

- Vous n'allez pas faire cela...
- Et comment qu'on va le faire... Les humains nous chassent et nous tuent... Nous faisons pareille mais nous, nous leur donnons du plaisir avant de mourir. Nous sommes peut être plus humaine qu'eux.
- Mais vous êtes des monstres.

Alors qu'elle tenta de libérer celle avec qui elle avait découvert la joie du sexe quelque peu forcée, toutes les driders se placèrent entre Algogia et la jeune femme.

- Recule ou on n'hésitera pas à s'en prendre à toi ma sœur.. Recule.

Algogia était triste mais en colère malgré tout, en colère de voir ses sœurs se montrer agressives vis-à-vis d'elle. Mais, après une rapide analyse, elle n'était pas en position de force et elle battit en retraite plus profondément dans la grotte. Elle se réfugia dans une petite alcôve, de là, elle entendait les autres se moquaient d'elle et elles chantèrent pour leur permettre d'enfoncer encore plus Algogia à cause de ses sentiments envers les humains. Mais rapidement, la joie laissa place aux cris de panique, Algogia se redressa rapidement et fonça vers la source des cris et ce qu'elle vit était un véritable massacre. Un grand nombre d'hommes étaient entrés dans la grotte, massacrèrent les driders alors que les plus jeunes se rendirent et étaient sans défense. Vision d'horreur, quant à la jeune fille qu'elle avait fécondée, elle fut éventrée et on brûla les œufs dans son ventre. Elle ne sera pas mère ce jour et cela la fit basculer dans la folie, elle chargea tête baissée vers la sortie, bousculant certains soldats et elle s'enfuit au loin.

Maintenant, Algogia s'est retranchée dans une nouvelle grotte et elle a eu plusieurs dizaines d'années pour réfléchir sur sa vie et son avenir. Son désir d'être mère l'obsède de plus en plus à tel point qu'elle a perdu certaines notions d'empathie que lui avait apprise son ancien maître.

Autre

Algogia ne dort jamais mais JAMAIS... Maîtrise quelques sorts de base et pour le reste, elle possède une petite lance assez vieille.

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