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Les landes dévastées / Le passé de deux elfes (PV: Jayden)

« le: vendredi 30 juin 2017, 16:35:52 »

Altovia était furieuse depuis une semaine, furieuse contre un groupe de bandit qui s'était mis en tête de piller la ville natale de l'alvariel. Alors qu'un groupe était sur les quartier Est, un autre groupe volait le centre ville, Altovia repoussa le premier groupe mais elle appris trop tard que le deuxième groupe avait fait une razzia sur les objets précieux de la cité. Elle poursuivit le groupe mais un vent violent l'avait obligée d’atterrir en catastrophe dans une forêt, elle était en rage et elle se jura de jamais abandonner la poursuite tant que les coupables n'étaient trouvés et punis. Elle mit douze heures à sortir de la foret à pieds à cause de la tempête de vent et rapidement, elle chercha la ville la plus proche pour enquêter sur les bandits. Elle trouva un grand village au petit matin et elle entra dedans afin d'enquêter, logiquement, elle prit position dans une taverne pour débuter l'enquête.

- Salut étrangère, les elfes se font rares ici, qu'est ce que je vous sers d'aussi grand matin?

L'alvariel s'accouda au bar et entama directement la conversation avec le gérant.

- Un hydromel patron!!!

Le tavernier s'exécuta rapidement et la chope était devant l'elfe rapidement, elle prit le verre en main et en bu une gorgée.

- Je cherche des bandits qui sont de la région. Vous savez où je peux les trouver?

Le patron fronça les sourcils devant une alvariel sceptique du faciès.

- Qu'est ce qu'une elfe veut à des bandits? Et puis, les bandits sont nombreux ici et la garde débordée... Ils ressemblent à quoi vos méchants bandits elfe?

Altovia frotta avec son index et son pouce le haut de son nez tout en fronçant elle aussi les yeux. Elle devait se souvenir d'un détail, elle se rappela d'un détail sur le cheval de ce qui semblait être le chef de la meute.

- Le cheval de leur chef portait comme un casque avec un crane de cheval dessus, c'était assez particulier comme chose... On croirait que le cheval n'avait pas de peau sur la tête... Ca doit pas courir les sentiers comme cheval ça...

Là, le patron poussa un petit cri de surprise.

- Aaaah non c'est pas vrai... Pas encore eux... Fuyez pauvre folle, ne cherchez pas la misère là où vous trouverez que la mort elfe.

Le tavernier était en panique et Altovia était surprise de la réaction mais elle devait savoir où ils étaient.

- Parle, ils sont où? Je veux savoir où est leur camps à ces salopards.

L'homme se recula et lâcha vers le Nord avant de crier à Altovia de sortir et elle s'exécuta. Elle s'envola au pas de la porte profitant que le matin tenait les habitants du villages chez eux. Elle fouilla les régions au Nord du village pendant six jours, six jours pour faire sept jours avec la première poursuite. Au septième jour en soirée, Altovia tomba sur le camp des brigands, bien gardé, il était suicidaire de l'attaquer de front sans armée et sans préparation. Elle était tapie dans l'ombre, dans les hautes herbes, à l'affut du moindre signe de relâchement. Altovia voyait le camps de là où elle était et ces brigands jouissaient d'une logistique et d'une fortune assez importante pour avoir énormément de monde avec eux. Entre les tentes et les baraquements, il y avait des cages avec des personnes à l'intérieur, prisonniers ou esclaves, impossible de le savoir pour le moment. Mais, l'alvariel savait que le groupe devant elle trempait dans plusieurs affaires et ainsi, la troupe garantissait de plusieurs revenus dans leur trésorerie. Mais, un petit craquement dans son dos, elle se tourna rapidement et tomba nez à nez avec une femme en armure, impossible de voir son visage avec ce haume, mais elle etait debout et Altovia couchée.

- Eh merde, manquez plus que ça... Je me suis faite avoir.

Altovia voyait la guerrière hésitait et elle aussi hésitait sur la nature de la présence de la femme devant elle. L'Alvariel se redressa doucement devant la femme en armure, doucement et sans faire geste brusque.

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Les contrées du Chaos / Une Alvariel et une vampire pour un seul et même artefact [PV:Seylenne)

« le: mardi 20 juin 2017, 00:37:29 »

Les contrés du Chaos est un territoire immense que les hauts dignitaires de Nexus avait nommé pour définir les territoires qui étaient hors de leurs influences politiques. De vastes plaines, des montagnes et autres géomorphologies des lieux donnaient une étendue gigantesque où divers peuples se partageaient lieux. Les Alvariels étaient l'un des nombreux peuples à vivre dans les contrés avant le cataclysme qui raya leur ville des cartes, Altovia était, selon elle, la dernière de son espèce. Même si elle visitait encore les ruines de son passé, elle ne pouvait que s'offusquer des pillages que sa zone subissait et elle s'était donnée comme but, de pourchasser tous ceux qui prenaient même qu'une petite pierre. Mais Ladolar était immense et elle ne parvenait pas à reprendre les objets des mains des pilleurs.

Une jour, après une chasse fructueuse, elle revint à Ledolar avec le coeur léger d'avoir repris plusieurs vases à des Khajits qui avaient eu l'audace de venir voler. Mais à son retour, le temple avait été mis à son actif et un artefact puissant avait été retiré de son piédestal. Le vol avait été commis et rapidement Altovia s'envola à la poursuite des brigands. Les traces étaient encore visibles dans le sables du désert qui entour Ledolar et Altovia remonta les traces jusqu'en forêt et dans une plaine verdoyante où une petite ville brisée l'horizon. L'artefact en question était un collier en or incrusté de saphir qui décuplait les capacités physiques et psychique du porteur. Ce bijou était porté par le chef de guerre en temps d'hostilité ou par le héros des Alvariels. Entre des mauvaises mains, ce collier pouvait être un fléau.

Altovia posa pied à terre à quelques mètres de la cité et elle se présenta à la porte, pour les gardes, Altovia n'était qu'une elfe car cette dernière rétracta ses belles ailes dans son dos. Les miliciens liberèrent la porte et l'elfe entre dans la cité. C'était déjà la soirée mais le soleil était encore bien présent, Altovia marcha dix minutes pour arriver sur la place centrale, ainsi, elle pouvait se repérer en revenant à chaque fois ici pour entamer de nouvelles recherches. Elle commença par l'Est de la ville où se présenta à deux bijoutiers mais aucuns deux ne pouvaient l'aider. Elle poussa même l'enquête dans les bazars où il était souvent questions d'objets d'aventure, mais là encore c'était chou blanc.

Altovia retourna sur la place frustrée et elle continua directement vers l'Ouest, au passage se la place, elle fut abordée par un humain qui tenta une méthode de séduction hasardeuse par la quantité d'alcool ingurgitée. Mais, en guise se réponse, il reçu un coup d'épaule de l'Alvariel qui continuait son chemin. La seconde partie de la ville était mise en avant par énormément de signes ostentatoires, les quartiers aisés pensa l'elfe qui se rendait vers une échoppe. Le vendeur infirma à la requête et Altovia en sorti encore plus  frustrée. Mais, surprise, un homme, d'appartenance bourgeoise, passa devant elle et il était porter du collier... Ça par exemple, mais Altovia ne pouvait pas se jeter sur lui car ce dernier était escorté par six soldats lourdement armés. Elle allait droit à la catastrophe si elle y allait de front, soit, Altovia suivit l'homme jusqu'au sa demeure.

La demeure n'était rien d'autre que le manoir central de la ville, Altovia sentait que le destin était en colère contre elle pour lui imposait de tels épreuves. L'homme en question était le Comte de la cité, rien que cela, indiqua un villageois au questionnement de l''Alvariel. Le bâtiment était bien gardé malgré une population des plus calmes et sans signes de soulèvement. Altovia attendit la nuit sur le toit d'une maison sur le côté droit du manoir. Elle attendait patiemment que les astres nocturnes prennent place dans le ciel, chose faite depuis quelques temps.

Alors que Altovia s'avança et sauta en déployant ses ailes afin d'atterrir sur le haut de la bâtisse. Elle se redressa et tomba nez à nez avec une femme, une très jolie femme brune habillée d'un manteau en cuir, enfin d'apparence, Altovia dégaina son épée pour parer à l'éventualité d'une bagarre précoce. A l'apparence, Altovia sentait bien que cette femme n'était pas du coin, sa façon de se mouvoir et de se tenir n'étaient pas local. Altovia était charmée par ce visage si fin mais si brut agrémenté de yeux d'un bleus parfaits.

- Qui es tu jolie brune?

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Les terres sauvages / Les ruines de mon passé. Les trésors de son présent!!! (PV: Raytee Lee)

« le: vendredi 10 février 2017, 16:29:30 »

Vous savez, quand vous pensez être la dernière de votre espèce, il arrive parfois d'avoir des sentiments de nostalgie, les images de votre enfance se bousculent dans votre tête et vous avez la sensations que votre vie est foutue, que le passé est plus beau que ton présent. Merde... Mes proches me manquent cruellement!!! Alors que je me trouve en plein milieu d'une prairie herbeuse, je n'ai pas d'autre choix que de retourner chez moi à Ladolar, il faut que je vois ce qui reste de la cité des Alvariels. Que reste t'il de mon passé? Je n'en sais rien, je ne suis jamais retournée ou du moins j'ai oublié d'y retourner... Je me suis forcée à oublier. Je déploies mes ailes dans un bruissement typique, une légère onde de choc se répand dans la plaine et je me sens libérée d'un poids. Je déteste avoir mes ailes camouflées dans mon dos, je ressemble à une vulgaire elfe comme ça... Je suis une Alvariel, peut être même la dernière, je dois être fière de ce que je suis. J'avance de deux pas avant de faire une léger saut tout en faisant battre mes ailes pour que je ne retombe pas sur le sol, le bruit de mes ailes battant l'air me fait toujours le même effet: celui d'une montée d'adrénaline car mon plaisir ultime est de voler. Ca y est, je quitte le sol pour un moment, je suis déjà à deux mètres du sol, maintenant quatre et quelques instant d'après, je suis déjà à plus de cinquante mètres du sol. Je ressens une brise chaude qui porte mes ailes et me porte encore plus haut, je suis enfin dans mon éléments: l'air.

Direction l'Est et je suis directement un courant d'air chaud qui me porte quasi à la même hauteur, tant mieux je vais économiser pas mal d'énergie pour le voyage. En regardant le sol, je vois toujours que de l'herbe en dessous de moi mais en regardant au loin, je vois une forêt immense, dans quelques secondes je la survolerais. Au dessus de cette densité d'arbre, je ne vois plus le sol mais je perçois les bruits des arbres suite à mon passage et le dégagement d'air que je fais. Certains oiseaux quittent la quiétude de leur forêt pour s'envoler suite à mon passage, peut être par peur ou par chasse? Je m'en fous totalement. Devant moi, l'horizon et la fin de cette forêt, à pied, j'aurais perdu pas mal de temps à la traverser mais en volant, c'est tout de suite plus rapide. Je redescends doucement vers le sol afin d'avoir une meilleure visibilité de la route, en effet il est encore tôt et le soleil n'est pas pressé de se lever. De même, il vaut mieux que j’atteigne Ladolar avant que le soleil se lève sinon je serais éblouie.

Je vais un peu vous couper les passages où il se passe rien à part que je vole. Le soleil s'est tout de même levé avant mon arrivé et j'ai dû me poser en urgence dans une dune de sable au abord du territoire de Ladolar. Putain de soleil, il me fallait encore cinq minutes de vol et j'y serais, maintenant c'est une heure de marche pour atteindre les murs. Après une heure dans la tiédeur du levé de soleil, j'ai enfin atteint ma destination, ma cité, la cité des Alvariels. J'hésite un moment au pied du mur d'enceinte, ou de ce qu'il en reste, me remémorant cette nuit catastrophique pour mon peuple, des cris, des larmes, de la douleur et surtout la mort. Je ne sais pas si il y a eu des survivants mais une odeurs de morts est toujours perceptible dans la cité. Cent quatre-vingt ans ont passé et les restants de cadavres ne devaient plus être autre chose que des squelettes. Dans le désert, il y a pas de charogne et ici, elles peuvent se donner à coeur joie. Mais bon, entrons maintenant.

Je franchis le mur d'enceinte et m'engage dans une rue, avec les dégâts provoqués par le tremblement de terre, je ne reconnais rien des lieux. Des maisons sont écroulées changeant le paysage des lieux. Je marches encore, fouillant du regard les décombres mais pour le moment, c'est pas la joie. Squelettes, pierres et débris, voilà ce qui reste de Ledolar et des habitants présents cette nuit. Mes pas me conduisent sur ce qui semble être la place des forgerons, peut être qu'ici je trouverais des anciennes reliques de mon passé mais un bruit étrange de chute d'objet me tire de mes pensées. Je ne suis pas seule on dirait, je dégaine mon épée et explore les environs, afin d'être discrète, je replis mes ailes dans mon dos et de plus, si c'est un vendeur d'esclave, je lui semblerais moins attirante. Je marches doucement vers la provenance des bruits, passant mon temps à regarder mes pieds afin de ne pas trébucher sur une pierre ou une poutre en bois. Plus j'avance et plus j'entends des bruits de pas, de déplacement d'objets et le son d'une voix féminine. J'arrive à un coin et le son me semble juste derrière l'intersection, je me penche discrètement et je tombe sur une femme terrane de couleurs blanche et noire avec des oreilles de chat... ou de sphynx... Merde je suis trop loin, par contre, une fameuse musculature pour une femme. La terrane fouille toujours les décombres et semble sortir des objets de collections qui appartiennent à mon peuple. Je vois rouge et sors de ma cachette poitant mon arme vers elle, mes ailes ont disparu dans mon dos.

- Je peux vous aider madame? C'est marrant de voir que la charogne peut avoir différent aspect mais ils ont toujours le vol dans leur sang. Reposez ça, cela ne vous appartient pas.

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Le coin du chalant / L'être supérieur cherche un quidam

« le: vendredi 03 février 2017, 09:59:08 »

Le titre est très clair quand aux intentions de l'avariel, elle sera hautaine voir méchante envers ceux qui ne lui ressemblent pas. Vous pouvez venir vous faire soumettre à cette shemale ou alors tenter de la dominer ou voir pire: la capturer. Elle n'est pas farouche si vous voulez vous amusez avec elle mais elle ne vous considérera jamais comme son égale. Est ce que vous vous sentez l'âme de la faire changer d'avis? Avez vous le courage de lui faire face? Oui ou non de toute façon, elle sera vous le faire payer si vous baissez votre garde.

Une avariel est fière de sa personne et méprisante pour les autres espèces mais que ce passerait-il si vous jouez sur son passé et ses origines? Que se passerait-il si vous parvenez à la capturer pour la vendre comme esclave?

Avez vous déjà vu une avariel de près? Pourquoi ne pas l'étudier? Une elfe avec des ailes c'est tout les jours que l'on peut voir cela. Ou alors, vous l'avez prise pour un ange, elle pourrait en profiter et vous montrez sa surprise entre ses jambes...

Soumettez vos idées et vos délires, je serais heureuse de jouer avec vous.

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Prélude / Altovia ou les elfes supérieurs. [Valipunché-e !]

« le: jeudi 02 février 2017, 01:57:05 »

Identité : Altovia
Âge: 200 ans à peu de choses près.
Sexe : Shemale, le haut d'une femme et le bas d'un homme.
Race : Alvariel  (Créature)
Sexualité : Pansexuelle...
Expérience : Pas mal déjà...

Physique :
Altovia est une Alvariel et la base des Alvariels c'est que se sont des elfes du genre rare. En effet, les Alvariels sont des elfes à la peau pâle avec un léger effet irisé qui tire très légèrement vers le bleu, les oreilles pointues caractéristiques de leur race, les Alvariels ont pour la grande majorité les cheveux blancs, argentés ou d'un noir onyx. Altovia a les siens d'un blanc neige, son nez court et légèrement retroussé vers le haut vient se terminer en surplomb d'une bouche couleur rubis avec des lèvres épaisses. N'oublions pas ses yeux qui sont de couleur violet qui est une caractéristique génétique de sa race. Son visage est carré avec une mâchoire inférieure assez présente, elle a un beau visage qui hésite entre les traits fins d'une femme et le caractère dur de l'homme. Les épaules fièrement levées et toujours la poitrine gonflée, Altovia est bien proportionnée niveau corps, svelte et élancée, son corps s'accommode d'une poitrine discrète, dont les seins ne sont ni trop petits ni trop gros. Un ventre plat et arborant une ceinture abdominale dessinée. Ses hanches complètent un corps tout en proportion pour finir avec des jambes musclées sans exagérations.

Mais, la petite surprise vient de son entre-jambe qui, lorsqu'elle est dans un état d'appétit sexuel, laisse entre voir un sexe de vingt centimètres couvert de veines bleues. Ah oui et une dernière petite chose, pourquoi sa race se nomme les Alvariels alors que je viens de vous décrire une elfe des plus banales? Non, vous ne voyez pas? Les elfes Alvariels sont dotés d'une paire d'aile qui peuvent être blanche, noire, grise ou tachetée. Celle d'Altovia est blanche pour une longueur de deux mètres par aile, par cette dernière caractéristique, on confond souvent les Alvariels avec des anges lorsqu'ils sont en vol, mais vous allez voir que les premiers n'ont rien à voir avec les seconds. Altovia est habillée d'une belle tunique bleue ciel,de brassard en cuire, d'un pantalon bleu mais deux ou trois teintes plus claire, de bottes elles aussi bleues en cuire et pour finir d'une ceinture brune qui lui permet de transporter son épée.

Caractère :
Un Alvariel est une créature hautaine et fière, il méprise toute personne, chose ou autre qui n'est pas Alvariel. Même les autres types d'elfes lui évoquent de la pitié, impossible pour lui de lier les elfes alvariels avec les autres. Il se pense supérieur et intellectuellement au dessus de tous, de la hauteur des cieux, il crache sa haine envers ce qu'il considère comme une plaie pour la terre. Et Altovia est fait du même bois à l'exception que notre amie n'est pas aussi repoussée par les autres, surtout quand elle est en chaleur. Elle est pansexuelle et tout ce qu'elle trouve à son goût peut lui servir pour soulager sa trique. En même temps, Altovia est la dernière des Alvariels, enfin pour elle. Et son voyage de deux cents ans lui on permit de voir que certaines créatures peuvent être amusantes et intéressantes si on parvenait à en faire un compagnon d'une nuit.

Histoire :
Après une telle présentation, comment vous décrire l'histoire d'Altovia? Comment raconter son parcours d'Alvariel depuis deux cents ans? Bizarrement, notre héroïne se souvient de son enfance, une enfance que se fit dans une cité qui, maintenant, n'existe plus depuis presque cent quatre vingt ans. Le nom de cette cité? Quelle importance pour vous? Bon ça va, je vais vous le dire, c'était la cité de Ladolar qui se trouvait très loin de Nexus de l'autre côté de Terra. De son enfance, Altovia se souvenait de sa mère mais très peu de son père. Ce dernier était un soldat et il est mort alors que notre héroïne n'était qu'une enfant. Sa mère prit le relais toute seule afin d'élever notre petite Alvariel du mieux qu'elle pouvait.

Après plusieurs année, Altovia était devenue une jeune fille qui ,malgré un soucis d'ordre génétique et phallique, était jolie à regarder et sa mère continua son apprentissage scolaire à la maison afin d'éviter que les autres enfants ne découvrent le secret. Malheureusement pour Altovia, toute sa vie ne pouvait continuer si bien que ça. Alors qu'elle n'avait que vingt ans, un cataclysme sismique éclata en plein coeur de la cité et surtout en pleine nuit ce qui tua énormément de monde y compris la mère d'Altovia. La cité était rasée en quelques secondes et des milliers de personnes furent tuées dans l'effondrement de leur maison. Les citoyens pris au piège dans leur rêve n'avait pas eu le temps de s'envoler. Mais, je vous vois venir avec vos grands sabots: "et pourquoi Altovia est vivante? Et pourquoi elle n'est pas morte dans l'écroulement de sa maison comme sa mère?". A toi, je te réponds de la fermer et de continuer à la suite de mon histoire. En faite, Altovia avait pour habitude de fuir la nuit car, malgré que tout le peuple de la cité était équipé d'aile, le jour il était interdit de voler sans autorisation des autorités. C'est un peu absurde, mais veuillez imaginer une ville où tout le monde pourrait voler à sa guise. Je vous dis pas le bazar!!! La nuit, Altovia s'éclipsait en douce pour voler dans les alentours de la cité et découvrir le monde. Malheureusement pour elle, la nuit où le cataclysme avait frappé la ville de Ledolar, Altovia n'était pas auprès de sa mère et à son retour, il ne restait plus rien de la cité. Notre Alvariel fouilla les décombres de sa maison pour trouver quelque chose d'utile ou de sortir sa mère des décombres vivante... Maiiiiiis, elle ne trouva que l'épée de son défunt père... Altovia dû quitter les lieux sans vraiment savoir où aller.

Maintenant, notre elfe a 200 ans et elle a encore 600 ans devant elle d'espérance de vie. C'est avec vous qu'elle va découvrir le vrai sens de la vie.


Autre :
Précision, en deux cent ans de voyage, Altovia a appris pas mal de chose comme par exemple le maniement de l'épée, de la lance et de l'arc. Elle peut déployer ou rentrer ses ailes de son dos afin d'être discrète et peut utiliser des sors de soin basiques. Elle n'est pas aussi farouche que ses congénères, mais elle aura toujours se petit air hautain envers les autres. Et non, ce n'est pas un ange, ne venait pas vous mettre à genoux devant pour prier. Au mieux, vous aurez une biffle. Et elle adore le sexe... vraiment...

Sinon ben, c'est une doublette mais devinez de qui?