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Sujets - Rachele Florenza

Pages: [1] 2
1
La zone industrielle / Roman noir [PV Ryo]
« le: mardi 17 août 2021, 16:47:07 »
Ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=y9uKFgcQtz0

Coupe de cheveux / couleur et maquillage de Rachele:
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Robe / chaussures de Rachele (sans le bandeau):
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Le cliquetis incessant et régulier de son briquet résonne tel le tic tac funeste d'une horloge dans les sombres collines de la décharge. Juchée sur un trône de pneus d'où ne dépasse que les têtes de ses invités, la Baronne contemple sans les craindre les ombres de cette vallée de la mort. Piliers de carcasses de voitures, déchets toxiques mal dissimulés, monticules bouffis de tout ce que la société défèque avec insouciance, ici, la pourriture qui ronge l'humanité pour s'en nourrir est chez elle.

Max hume l'air nocturne pour s'imprégner de ses fragrances nauséabondes avant de porter le briquet à sa cigarette, le gout âcre du tabac chasse la saveur putride de la décharge et la remplace par un gout familier et réconfortant. Elle exhale un panache de fumé dans un soupir de satisfaction et lève les yeux au ciel, vers les étoiles silencieuses... elle est enfin prête à rendre la justice des salaups et c'est définitivement une belle nuit pour mourir...

Un invité terrifié se dandine dans sa prison de pneus en gémissant. Dona Florenza baisse son regard vers les prisonniers mais ne semble pas les voir, témoignant ainsi de toute la peine et du mépris que leurs actes lui ont inspiré.

Max - Bonassera... Bonassera... qu'es je donc pu faire pour que vous me traitiez avec aussi peu de respect...

Elle marche sur le monticule de pneus autour de leur têtes comme un chat en équilibre sur une fenêtre, ses talons si près de leur visages qu'ils peuvent en sentir l'odeur suave.

Max - Vous seriez venu en ami me demander mon aide et vos créanciers, vos partenaires seraient déjà en train de vous craindre. Et si par hasard vous seriez venu vous plaindre d'un ennemi alors cet ennemi serait devenu le mien... et il aurait eu très peur de vous... alors pourquoi... pourquoi vous qui êtes de notre sang... m'avez vous traité avec aussi peu de respect...

Les lèvres scellées par le chatterton, l'homme ne peut que baisser les yeux, tachant tans bien que mal de ravaler ses larmes dans l'espoir de rester digne en cet instant qu'il sait être le dernier... il a trahi... il doit mourir... il le sait... telle est la loi...

Max - Mais vous avez préféré vous retourner contre les vôtres, contre la Famille, contre MA Famille. Et pour ce faire... pactiser avec mes ennemis...

Elle recommence à jouer avec le clapet de son briquet, les deux gaillards qui partagent le sort de Don Bonassera se débattent dans l'espoir d'échapper à la mort.

Max - Vous avez ouvert d'anciennes blessures, brisé le statut-quo grâce auquel tout le monde pouvait faire du Business dans Ma Ville sans qu'il ne soit nécessaire de se battre et de perdre ce qui nous est cher... Tu m'as brisé le cœur Bonassera...

Max descend du monticule de pneus, rejoint ses deux gardes du corps. Ils tiennent entre leurs mains un jeune homme tremblant de peur qu'elle prend par le colle et soulève pour l'obliger à affronter son regard de glace.

Max - Tout ce qui vous intéresse c'est l'argent... et j'ai dormi sur mes acquis depuis bien trop longtemps. Cette ville mérite une criminalité de premier ordre... et je vais la lui offrir.

Sans un mot elle se retourne et lâche dédaigneusement son briquet au pieds du bûcher du traitre qui s'embrase instantanément, emportant vers le ciel les hurlements de ses prisonniers.

Max - Va rappeler à ton boss que c'est moi son Patron... C'est ma ville...

Elle le relâche et le laisse s'enfuir. Sur sa route, le jeune homme manque de heurte dans sa course le véritable invité de Dona Florenza. Un homme qui a gardé le silence jusqu'ici devant le spectacle de cet étrange tribunal sans avocats. Il le regarde un instant, terrifié à l'idée d'avoir commis l'erreur de trop qui lui coutera la vie. Puis reprend sa fuite éperdue.

Une fois sa justice rendue, Rachele se tourne vers Ryo et lui adresse un sourire ravageur. Visiblement très satisfaite de voir que le "flic le plus dur de la ville" a accepté sa petite invitation, elle s'approche de lui d'un pas séduisant et félin. ELle lui tend le dos de la main comme si de rien n'était, comme s'il n'y avait pas trois hommes en train de bruler quelques mètres dans son dos.

Max - Vous n'imaginez pas a quel point je suis heureuse de vous voir ici Monsieur Nagata ou puis je vous appeler Ryo ? Comme vous pouvez le voir, j'ai été très... peinée par le comportement d'un de mes oncles, Don Bonassera. On ne peut plus faire confiance à la Famille de nos jours...

Les deux gardes du corps de la Sicilienne s'approchent pour l'encadrer, ils restent en retrait un mètre derrière elle, toujours une main posée sur leurs holsters. Mais contrairement à cette posture visiblement défensive et tendue, Dona Florenza semble d'humeur frivole et volage. Elle attend que Ryo l'ai saluée d'une manière ou d'une autre avant de venir passer son bras sous le sien, comme s'il étaient deux amants qui se promènent.

Max - Vraiment... je me demande parfois s'il n'existe aucun homme à qui je puisse faire confiance... a qui je puisse me confier, partager mes expériences et le boulot... Pensez vous qu'un tel homme existe ?

2
La zone industrielle / Qatar connection
« le: mercredi 14 juillet 2021, 21:55:35 »
Kasun l'émir actuel du Qatar, était un homme riche et puissant, qui pouvait littéralement acheter ce qu'il voulais au grès de ses caprices ou investir dans de puissantes organisations ou entreprises si ces dernières pouvaient faire grossir d'avantage encore sa colossale fortune. Mais ce jour là, il n'était pas question de cela. Aujourd'hui, il souhaitait prendre contact avec une organisation d'ordinaire peu recommandable pour un projet qui lui tenait à cœur et avait donc pris rendez-vous en Visio-conférence avec la baronne de cet organisme. Installé à son bureau, il attendit patiemment que son visage s'affiche sur l'écran, avant de prendre la parole.

- Me la Baronne, c'est un plaisir de faire votre connaissance...

Confortablement installé dans son fauteuil, sa robe de couleur crème ouverte jusqu'aux hanches pour permettre à sa dernière esclave en date de lui lécher les lèvres intimes avec passion. Rachele caresse distraitement les cicatrices sur le crâne de la jeune et belle décérébrée qu'elle à fait lobotomiser quelques jours plus tôt pour la "soulager" de sa colère.  La rouquine aux yeux bandés lape avec délectation le sexe de sa maitresse et savoure le plaisir permanent que lui procure les deux énormes gods vibrants enfoncés au plus profond de son être. Son esprit détruit, ses perspectives plongés dans les ténèbres abyssales de son bandeau, elle n'est plus que plaisir et folie, un jouet sexuel parfait.

Contenu explicite:
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Rachele active la camera de son écran et accepte l'invitation à rejoindre la discutions, offrant ainsi aux regard du puissant émir, le spectacle de sa toute puissance , de sa féminité et de sa bisexualité triomphante. Façon de lui rappeler qu'elle se moque éperdument de la misogynie de sa culture. Car sa caméra est braquée de manière à ce que Kasun puisse tout voir...

- Mes respects Mon Seigneur Kasun, que voila une bien étrange prise de contact de la pare des votres... généralement les princes et émirs du Qatar et d'Arabie Saoudite se contentent de m'acheter des esclaves sexuelles sans demander à me consulter en viso-conférence... Je suis.. curieuse...

Le Qatari esquissa un léger sourire à cette vue ainsi qu'aux paroles de la femmes, avant de donner la réplique, mains croisées sous son menton

- C'est que mes paires ne voient pas plus loin que le bout de leur gland, si vous me permettez cette expression. Certes, j’apprécie la beauté et la soumission des jeunes femmes, mais je préfère de loin avoir affaire à une femme capable de réflexion plutôt que déficiente mentalement... Ce qui nous amène à ma demande, que vous trouverez probablement inhabituelle...

L'homme lui envoya ainsi un dossier concernant une jeune fille de 16 ans du nom de Atsuko Ota, qui comprenait notamment une photo, son adresse postale et plusieurs autres documents.

- Au pays, elle est connue sous le nom de Neila ben Hamad Al Thani. Il s'agit de ma petite fille, mon héritière légitime. Vous n'êtes pas sans savoir que les princesses par chez nous, ont un statut plus élevé que les autres femmes ?

La jeune fille sur la photo, sur laquelle elle ne portait que des bijoux de grande valeur, était des plus attirante, une poitrine généreuse pour son âge et une teinte de peau exotique sur ses traits japonais. Mais ce qui attirait le regard était surtout le sien. Son apparence était dans la plus pure tradition des princesses du moyen orient, les bijoux l'habillant tout en dévoilant ses parties les plus intimes. Selon l'adage, une princesse n'avait guère besoin de plus pour se vêtir.

- Ma demande est à la fois simple est complexe. Je souhaiterais en effet que vous en fassiez une salope digne de vos meilleures marchandises. Toutefois, je vous imposerait comme condition qu'elle conserve sa personnalité, son physique ainsi que son intellect. Une princesse décérébrée n'est d'aucune utilité au sein d'un harem, mais elle risque également de s'ennuyer si son addiction sexuelle n'est pas suffisamment forte, vous comprenez ?

Rachele caresse la chevelure de son esclave et se mordille un doigt en voyant le profil de la jeune et belle princesse. Elle se prend même a regretter que celle-ci ne soit pas tombé entre ses griffes sans les contraintes de son grand père... elle aurait eu plaisir à en faire une belle esclave sans cervelle pour orner son bordel style oriental... Mais "Bisness is Bisness" et la proposition est trop belle pour déraper.

- Attendez que je comprenne bien, vous voulez que je capture ou que vous me livriez votre propre petite fille pour que j'en face une nymphomane fanatique ? Une folle du cul totalement accro au sexe ?

Kasun rit de bon cœur aux proposition de la femme, c'était le signe qu'elle était intéressée par l'offre, puis se repris

- Ni l'un ni l'autre ma chère. A vrais dire, vous pourrez même vous contenter de lui rendre une petite visite amical. Voyez vous, moi et son grand père paternel, avons déjà pris quelques dispositions dans son éducation sexuelle... Certes, elle prend plaisir à exhiber son corps dénudé devant autrui et aime avoir du sexe sauvage avec des inconnus. Toutefois, nous estimons que ce n'est pas encore suffisant. Son endurance sexuelle notamment est des plus déplorable et ses orgasmes ne sont pas assez puissants à mon gout.

En d'autre termes, il souhaitait que Max accélère cette formation sexuelle. La rendre effectivement accro au sexe comme la pire des nympho, la rendre capable d’enchaîner les rapport durant des heures et jouir de toute ses forces sans fatiguer, mais qu'elle soit toujours capable de penser par elle même, sans altérer son apparence et son caractère.

- hummm... permettez moi de considérer les choses...

Rachele réfléchi longuement puis reprend.

- je peux lui permettre de garder son intellect et sa personnalité MAIS... elle aura quand même des séquelles à vie. Rien d'handicapant rassurez vous. Mais si je lui fait suivre mon dressage, en préservant ses capacités mentales, le fait de la rendre nymphomane et accro au sexe modifiera quand meme sa personnalité pour la rendre encore plus perverse. De plus, même si elle garde toutes ses capacités cognitives, le sexe prendra une telle place dans ses pensées qu'elle aura du mal à les focaliser sur autre chose.

Cette idée semble beaucoup exciter la mafieuse qui se met à rougir involontairement alors que le plaisir commence à monter en elle, stimulé par les images qu'elle se fait déjà de l'entrainement de la jeune femme et par la langue experte de son esclave sexuelle.

A vrai dire, l'homme avait déjà envisagé cette possibilité, mais n'y voyait pas de réels problèmes et pour cause

- Oh en réalité, sa personnalité fait qu'elle est déjà relativement soumise et taciturne, plutôt discrète. Quand bien même elle serait légèrement altérée, tant qu'elle conserve cette part d'elle même, il n'y aura pas de réels problème. Quand à son intellect, en réalité Neila possède une grande capacité mémorielle... Il lui suffit de lire, écouter ou regarder quelque chose et le retenir à vie, sans réels efforts. Là encore, tant qu'elle en est encore capable - cela et penser par elle même - alors vous avez carte blanche.

Max devait probablement se dire que sa demande était particulièrement saugrenue, pour un homme de son statut. Il en avait bien entendu conscience mais, plus qu'une lubie personnelle, il voyait surtout à long terme, lorsqu'il ne sera plus de ce monde.

- Savez-vous quel est le plus grand ennemi de notre région du monde ? La révolution féminine. Toutes ces femmes qui souhaitent avoir les même droit que les hommes, un statut social plus élevé, etc... Ma petite Neila me succédera à ma mort, c'est son destin. Elle est déjà populaire auprès des hommes et des adolescente de notre pays. Alors selon vous, que ce passera t-il si la jeune princesse, libre de penser par elle même, est sexuellement dépendante et le revendique librement, sans honte ? Des milliers de jeunes filles voudrons suivre son exemple, tout simplement...

Rachele plisse les yeux, elle n'arrive pas à savoir si le vieux serpent veux aller dans son sens ou dans le sien. Ou est son interet ? Désire t'il voir les femmes de son monde libérées et du coup voir ce monde machiste s'effondrer. Ou désire t'il garder un contrôle absolu sur sa petite fille pour éviter que cela n'arrive. En vérité, Rachele s'en fou , mais cela l'exciterai de savoir. Aussi prend t'elle le risque de demander.

- Et quelle est votre volonté dans tout cela ? Qu'elle se révèle au grand jour et face exploser le statu-co de votre société ? Ou qu'elle soit bien trop occupée à se faire baiser dans des orgies sans fin ?

Le vieux singe rompu aux grimaces du monde politique sourit d'un aire machiavélique avant de répondre:

- Et bien imaginez des adolescente et de jeunes adultes désirant prendre exemple sur leur princesse, consacrer leur vie aux plaisir charnels sans se soucier du reste, pour se rapprocher spirituellement de leur idole... A qui cela profiterait-il selon vous ?

L'homme laissa sa question en suspend, mais la réponse était évidente. D'une part, cela profiterait aux hommes de son pays, à ses institutions, car les femmes seraient trop occupée à se faire inlassablement baisées par ces derniers pour songer aux reste, à leur libertés, dans le seul but de ressembler à leur princesse adorée...

Mais d'autre part, cela profiterait également à Max, car pour ressembler à la princesse, elles seraient obligées de passer par ses services, pour se faire rééduquer. Libre à elle de les lobotomiser ou non, il n'en avait cure, tant qu'elles voyaient en Neila une dirigeante à vénérer par le sexe... Cela serait donc également bon pour ses propres affaires. Chacun des partit serait gagnant sur le long terme. Les hommes auraient la paix et la mafieuse aurait accès à un marché avec tout un pays, grace à ses liens avec la princesse

- Le fait qu'elle soit toujours libre de penser par elle même rendrait sa situation et ses désirs plus légitimes aux yeux de la populace. Une jeune princesse libre qui assume ses désirs lubriques, pour mieux asseoir l'autorité du gouvernement sur les autres.

Rachele reste pensive un moment. Même si sa décision est déjà prise, elle se mord le doigt plus fort pour ne pas pousser de gémissement de plaisir tans la perspective de tout cela l'excite. Seul son visage, qu'elle ne parvient pas à garder impassible, laisse deviner le plaisir qu'elle prend et la jouissance qu'elle éprouve tans par l'orgasme que lui procure la petite langue, que l'idée de contrôler toute la jeunesse d'un pays par l'intermédiaire de la petite princesse.

Oui... elle est d'accord... bien entendu... et fera de l'héritière une véritable pute nymphomane accro au sexe, capable de se faire baiser pendant des nuits sans faiblir. Qui plus est, le contrat stipule de ne pas toucher son intellect ou sa personnalité oui... Mais il ne précise rien sur l'hypnose... Et ce procédé permettra à Rachele de se faire obéir de la jeune femme, même après son départ de chez elle et sans affecter son QI...

- J'accepte Mon Seigneur. Comment voulez vous procéderez pour l'internement de votre petite protégée. Hospitalisation psychiatrique pour lui faire croire qu'elle est folle et la soigner par le sexe ? Ou simple visite de courtoisie qui termine sur une machine de torture ?

Le qatari  s'amuse de la question.

- Oh pour cela comme je l'ai dis, il vous suffira de lui rendre visite à l'adresse que je vous ais indiquée. Ma petite fille est déjà une belle perverse, mais comme dit précédemment, elle manque d’endurance... Vous n'aurez qu'à lui dire que c'est moi qui vous envoie pour la prendre en charge sur ce point et elle vous suivra volontiers. Ne vous étonnez pas si elle vous pose des question cependant. Elle reste de nature curieuse, mais n'est pas naïve. Je vous conseil d'être honnête avec elle, elle ne le prendra pas mal, bien au contraire.

Il prit un temps de réflexion avant de lui avouer une dernière chose

- Avez vous déjà entendue parlée de ces créatures imaginaires que l'on nomme "succube" ? Neila oui et à vrais dire, elle fantasme beaucoup sur ces dernières. Des femmes éternellement jeunes qui peuvent forniquer des jours durant sans s'épuiser... Cela vous donne une bonne idée de son regard sur le sexe et sur ses propres limites. A vous de l'aider à les transcender pour qu'elle puisse s'en rapprocher. Du reste, faites comme il vous plaira pour y parvenir.

Rachele fait mine de ne pas connaitre ce nom, mais le vieux qatari connait la réputation de la mafieuse et sait qu'elle s'est déjà accoquinée avec de vraies succube, raison pour laquelle elle garde toujours la beauté de ses 22 ans malgré le passage des années...

- Hum... je vais voir ce que je peux faire. Pour ce qui est du paiement, il va de soit que ce sera en dollars américains et comme j'aime beaucoup votre projet je vous propose un pris... "partenaire" : 20 millions...

Ravis que la mafieuse accepte de prendre en charge la jeune princesse, il acquise sans sourciller lorsque celle-ci annonça son prix. 20 millions pouvaient paraître énorme, indécent, mais cela ne représentait somme toute qu'une goûte dans sa fortune. Quand on pouvait faire construire des îles artificielles de plusieurs milliards de dollars et continuer de vivre dans l’opulence malgré tout, c'est que l'on avait des moyens colossaux à disposition

- Parfait. Ah, une dernière chose. Ses parents, qui sont plutôt du genre réfractaire quant à l'avenir de princesse de leur fille, rentrerons de voyage d'affaire dans deux mois. C'est le temps que vous avez pour mener ce contrat à son terme.

L'intérêt de la mafieuse est piqué au vif:

- Hooo... réfractaires vous dite ? vous ne voulez pas que je m'occupe d'eux aussi ?

Mais le vieillard fait "non" de la tête et lève la main.

- Oh non, ce ne sera pas nécessaire... Malgré leur avis, celui-ci n'a aucun poids face à mon autorité, et leurs affaires rapportent trop à nos familles respectives pour que l'on envisage de s'en passer. En outre, Iki Ota verrait d'un bien mauvais œil que vous vous chargiez de son fils sans son accord, si vous voyez ce que je veux dire... Mais si vous n'avez pas peur de vous mettre sur le dos un des hommes les plus puissant du Japon, c'est vous qui voyez...

Cette perspective agace et frustre la baronne au plus au point. Elle est bien obligée d'admettre que son client à raison sur ce point.

- Nous allons en rester à notre accord, je n'ai pas le temps de gérer une guerre des gangs en ce moment, surtout si ce n'est pas nécessaire. Le marché sera conclu quand les dollars seront crédité sur mes comptes offshore. Je vous serrerais bien la main, mais je vais me contenter de vous offrir un beau spectacle en gage de ma satisfaction.

Rachele écrase le visage de la petite esclave entre ses cuisses et cesse de se retenir, elle jouit profusément et inonde le visage de sa servante de sa ciprine chaude et visqueuse en pousser de longs gémissement de plaisir. Quand elle termine enfin, elle fait un clin d'oeil au vielle Emir et coupe la caméra.

Après avoir fini de se faire plaisir, Max "sonne" une de ses servantes pour qu'elle vienne récupérer la rouquine tremblante de désir entre ses cuisses.

- Envoie la au bordel du 3ème sous sol, je me suis lacé d'elle, dit à Argento de la brader et préviens Sonia, elle vient avec moi...

Sur ce Rachele prend son téléphone et appel sa standardise pour réserver deux billets d'avions aller/retour pour le Qatar en première classe, ainsi qu'une réservation spéciale pour une grosse malle de transport...

QATAR
DOHA, QUARTIER PRINCIER
DEUX JOURS PLUS TARD

Max et Sonia sonne à la porte de superbe résidence. Une serviteur vient leur ouvrir, il les reconnait, visiblement, le vieux qatari à fait passer le message à ses domestiques...
Le serviteur les laisse entrer pour faire une "belle surprise" à l'occupante.

- La Princesse est dans sa salle de bain mesdames.

Dit il avec politesse.

- Guide nous jusqu'à elle et dégage, tu as ta journée...

Depuis que Sonia est de retour au pays, ses anciennes habitudes de princesse qatari lui reviennent, cela amuse Max qui s'imagine déjà les jeux délicieux qu'elle va imposer à leur futur petite pute dévouée...
Sans un mot de plus, les deux femmes suivent le serviteur vers l'immense salle de bain, Rachele traine avec elle sa grande malle qu'elle a prise avec elle pour le voyage.

3
One Shot / Flys
« le: dimanche 11 juillet 2021, 00:16:13 »
SEIKUZU - 21H10
AILE DES ADMISSIONS DE L'ASYLUM


Vous ne comprenez toujours pas comment vous en êtes arrivée là. Vous vous doutiez qu'un jour vous iriez trop loin, et que  votre mère ferait de même, vous pressentiez qu'elle finirait par recourir à la cure de désintoxication. Surtout après votre dernier renvoi du lycée pour consommation de cannabis.

D'une certaine manière, vous saviez que cela arriverait, mais comme ça ? Attachée ainsi à une civière ? Le corps cadenacée dans une épaisse camisole de force ? A vous débattre sans espoir de victoire pour les empêcher de vous entrainer toujours plus profondément dans cet horrible dédale de couloirs blanc et de sas gris numérotés ?

Seulement une heure plus tôt vous embrassiez langoureusement Ibiki dans votre chambre, vous vous apprêtiez à faire l'amour pour la première fois ensemble, ce devait être sa première fois à lui,  quand on avait toqué à la porte. Ces femmes en blouse blanche si courtes qu'on peut voir la naissance de leur fesses, qui poussent maintenant votre civière, étaient venue chez votre mère pour vous emmener. Kimaya leur avait ouvert sa porte, les avait guidés vers votre chambre avant de vous dire: "Ma chérie, n'ai pas peur, c'est pour ton bien..."

Le beau et courageux Ibiki avait tenté de s'interposer, de les repousser mais en vain. Le pauvre n'avait commis pour seul crime que d'être tombé amoureux de vous et d'avoir voulu vous défendre et pourtant... elles l'avaient pris lui aussi. Et il vous regarde maintenant d'un aire terrifié, se demandant comme vous pourquoi, et ce qui va lui arriver. Comme il hurlait pour qu'on le détache, il a même été bâillonné.

Votre mère marche d'un pas affolé à coté de la civière à laquelle vous êtes attachée par d'épaisse sangles. Son regard ne transcrit pas la colère ou le mépris mais la peur, l'inquiétude, la tristesse. Visiblement, elle pense vraiment qu'il s'agit de la meilleur chose à faire pour vous "sauver de la drogue". Sans doute les femmes qui l'accompagnent ont elles cru qu'Ibiki aussi consommait du cannabis. Du moins c'est la seule chose qui semble logique.

Finalement, un grand sas à double battant s'ouvre sur une pièce blanche, pourvue d'armoires à pharmacie, d'écrans de contrôle mais aussi de chevalets, de tables de maintiens, de harnais et de poulies. A la vue de ses objets saugrenus, même votre mère réagit et semble s'interroger. L'effroi dans le regard d'Ibiki grandit.

Au centre de ce palais délirant, une femme se tient, elle aussi en blouse blanche courte, les cheveux noir, la peau olive des femmes d'orient, elle vous toise d'un air malveillant, un sourire malsain au coin des lèvres.

Sonia - Mes demoiselles, Monsieur... soyez les bienvenue à l'Asylum. Nous sommes ici pour vous aider et vous guérir de vos tourments. Au cours de votre séjour ici, vous aurez droits aux meilleurs soins et thérapies qui vous libérerons de vos tracas de la vie courante pour vous offrir un nouveau bute dans la vie, une nouvelle fonction...

Votre mère fronce les sourcils, elle ne semble pas comprendre.

Kimaya - Excusez moi Madame, j'ai peur de ne pas bien vous comprendre. J'ai accepté de faire interner ma fille chez vous pour simple cure de désintoxication et je trouve vos méthodes d'internement violente et scandaleuse. Qui plus est je ne comprend pas pourquoi vous dite "Mes demoiselles", je suis la mère d'Izumi, je suis ministre, je ne suis pas une patiente.

Sonia regarde votre mère d'un aire sournois et amusé. Elle consulte son porte vue.

Sonia - Ho ? Permettez que je regarde... humm.. non... non il n'y a pas d'erreur, je lis bien ici vos trois nom pour une réorientation professionnelle et sexuelle...

Kimaya - se... sexuelle ?

Votre mère trésaille et semble complètement perdu, Ibiki essai de se libérer et gémissant sous son bâillon pendant que les deux infirmière s'approchent de votre mère...


4
One Shot / Secrétaire exotique [PV Enmoïra Liavaris]
« le: mercredi 07 juillet 2021, 00:27:41 »
Quelque part dans les profondeurs de l'Asylum...

- Faites attention aux sabots ! Enchainez le ! Enchainez le !!

La créature toute en muscle se débat et envoie voler un homme de main qui s'écrase lourdement contre un mur. Ils sont maintenant quatre à avoir mordu la poussière en cherchant à le maitriser, ou du moins à le contenir, mais en vain. Car cette force de la nature, cette incarnation de la puissance animale, au buste d'homme viril et au corps titanesque de cheval semble invincible. Depuis qu'il a franchit l'étrange portail magique pour voler au secoure d'une faerime capturée par les esclavagistes de Max, il brise, écrase et franchit tous les obstacles que peut contenir le repaire de la mafieuse.

A bout de force et sentant le désastre venir, un des soldats de Dona Florenza sort son arme et vise le superbe hybride. Une main délicate et gantée de noire se pose sur le canon de son arme. Il se retourne, c'est elle, Max, Rachele, la Maitresse incontesté des lieux et de la mafia italienne de Seikuzu. Elle lui sourit puis lui fait un signe de la tête, le gorille baisse son arme, désarmé par sa dévotion qu'il lui porte.

Max - Non... pas celui-la... j'en ai besoin... laisse moi faire.

L'homme hésite, la peur de voir sa baronne blessée par ce monstre est palpable.

- Mais... Dona Florenza.. il pourrait vous blesser...

La belle italienne ressent sa crainte et le gratifie d'un baiser sur la joue pour le remercier de sa fidélité. Elle note pour elle même de lui témoigner sa gratitude plus profondément quand elle aura un peu de temps à lui consacrer. Mais l'heure n'est pas au batifolage, Max a un business à faire tourner et le centaure est un élément indispensable de son nouveau projet.

Son garde du corps lui tend une arme, deux énormes tubes noir superposés à poignée: un flashball. Elle met en joue la créature et attend patiemment qu'elle face une ruade pour se libérer des cordes. L'homme de main commence à lui dire que cette arme ne sera jamais assé puissante pour vaincre l'animal quand
elle presse la queue de détente.

La détonation couvre ses mots, les deux projectiles partent simultanément vers les bourses du centaures, deux énormes sacoches qui encadre un phallus démesuré et qui pendent entre ses pattes arrières.
Les balles de caoutchouc heurtent les testicules de la bête de plein fouet, elle s'effondre comme frappée par la foudre.

Max - Bien... maintenant vous pouvez l'enchainer... Dite à Curie de le préparer  pour la visite de son amie... je veux que cette... Enmoïra le vois sous son meilleur jour...

Quelques heures plus tard, Rachele utilise le portail vers Terra pour envoyer une missive à la druidesse.

Citer
"Ma très chère Enmoïra,

Suites à vos nombreux refus de venir travailler pour moi en temps que secrétaire et assistante dans ma "Maison de l'exotisme", je me suis vue dans l'obligation d'augmenter mon offre. Ainsi nous avons eu le plaisir de faire la connaissance de Kalen, votre meilleur ami et protecteur du bosquet. Celui-ci ne désirait pas non plus travailler pour nous mais nous sommes parvenu à le garder à nos côtés jusqu'à ce que vous arriviez.

Sachez que la survie de votre amie dépendra de l'issue de votre entretiens d'embauche, je vous invite donc, si vous tenez à lui, de vous rendre aux coordonnées suivantes. Vous y trouverez un portail vers mon plan d'existence où je vous recevrai avec Kalen.

Dans l'espoir de vous voir répondre favorablement à mon offre, je vous prie d'agréer, chère Druidesse, de mon affection et de mon intérêt sensuel pour votre personne.

MAX.

Si Enmoïra se rend aux coordonnées de la lettre, elle découvre un ancien poste frontière abandonné à l'orée de son bois. Après une fouille fastidieuse, elle découvre que la cave dispose d'une étrange brèche magique, d'un rouge iridescent: un portail inter-dimensionnel.

Quand elle le franchit, la druidesse sent une étrange magie, dont elle ne connait pas la nature, la transporter par delà les plans jusque dans une grande salle de béton. Là, il n'existe pas la moindre force naturelle, pas la moindre essence de la Nature, pas la moindre plante verte ou bout de terre, une négation même de sa nature de druidesse.

En face d'elle, une jeune femme à la peau légèrement halée, vêtue d'une superbe robe crême fendu à la cuisse, l'attend devant une table haute, une coupe de champagne dans une main et un stylo plume dans l'autre.

Max - Enfin... je vous attendais... Et Kalen aussi... quel plaisir de vous voir sur votre futur lieu de... travail...

5
La zone industrielle / 50 meters down... (PV Skyler)
« le: dimanche 04 juillet 2021, 11:57:05 »
PROLOGUE

Rachele n'aimait pas les refus. Petite fille pourrie gâtée par son vieux père, elle avait toujours eu ce qu'elle voulait quand elle le voulait. En devenant "Max", les choses ne s'étaient pas arrangées, et sa mésaventure avec son oncle ne l'avait ni assagie, ni assouplie. Dans un milieu aussi sordide que le sien, les Seigneurs du Crime ne pouvaient pas se contenter de passer sur des choses aussi simple qu'un refus. Le simple fait de ne pas prendre ce qui pouvait l'être était considéré par ses "confrères" comme une marque de faiblesse. Et dans le business, la faiblesse signifiait la mort, ou pire, la servitude.

Le destin de la belle athlète avait donc été scellé au moment même où elle avait odieusement déclinée l'offre d'emploi que Rachele lui avait proposé...

C'était un beau soir de juillet, il faisait chaud et Dona Florenza s'était rendu avec son aéropage d'associées et d'admiratrices à un match de box dans le but de leur présenter sa « future garde du corps ».

Ce soir, la mafieuse allait enfin rencontrer sa nouvelle employée et lui faire une offre qu'elle ne pourrait pas refuser. Elles prirent place dans le carré VIP du match et la regardèrent écraser une à une toutes ses adversaires. A chaque nouveau combattant au tapis, Rachele exultait d'avance à l'idée de disposer d'une telle soldate. Puis, quand tout fut fini et qu'on lui décerna le prix du vainqueur, Dona Florenza l'invita à sa propre table pour fêter sa victoire, se présenter sous l'identité de "MAX" et lui proposer un travail.

Surprise et horrifiée d'avoir été repéré par la mafia, Skyler avait craché dans le verre que Rachele lui tendait. La jeune et belle boxeuse savait parfaitement quel commerce monstrueux pratiquait l'italienne au grand chapeau. Elle avait entendue parler de disparitions de jeunes femmes, parfois même dans son propre lycée, qu'on avait retrouvées totalement dépravées et perverties, la personnalité détruites par les drogues, parfois même le corps mutilé pour servir dans les pires bordels du Japon et d'ailleurs. Elle avait entendu parler de son commerce de traite des femmes vers la Russie et les pays arabes. et avait décliné son offre en lui disant qu'elle ne travaillerait jamais pour des ordures de la mafia. Et chose grave, elle l'avait fait devant les "amies" de Rachele, les amies de "Max" en vérité...

Malgré l'affront, Dona Florenza avait alors augmenté son offre, puis s'était montré menaçante. Mais la boxeuse avait une volonté de fer et une personnalité bien trempée, elle n'avait pas cédée. Elle avait posé à son interlocutrice une fin de non recevoir, et lui avait faite perdre  la face devant toutes les femmes qui l'accompagnaient en maîtrisant son garde du corps un peu trop insistant.

Les dès avaient été jeté, car la cheffe de la Cosa Nostra ne pouvait pas se permettre de perdre la face. Pour conserver l'estime de ses "amies", Max allait devoir remporter une prompte victoire sur cette jeune femme qui sans le vouloir, venait de devenir un enjeux pour la mafieuse.

Rachele avait donc ourdit un plan machiavélique pour gagner une partie dont elle seule connaissait l’existence.

Elle s'était alors renseignée sur ses habitudes, ses connaissances, ses amies de la boxe et du lycée, son père et l'amour inconditionnel qu'elle lui vouait. Enfin, elle avait découvert sa petite amie, une belle rouquine aux cheveux longs nommé Emilie . Une fois toutes ces informations réunis, Max était enfin prête à rendre la justice de la pègre...

Sa standardiste avait appelé toutes les jeunes femmes sur sa liste: Lola, son amie du lycée, une belle blonde brillante et intelligente qui l'aidait à faire ses devoirs. Julie, une brune athlétique qui était sa rivale à la salle de box et qui était liée à elle par un profond respect. Emilie, bien entendue, son amour du Lycée, et enfin Skyler, la pièce maitresse.

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Se faisant passer pour une société de mannequin, elle leur avait annoncé qu'elles avaient été choisi pour participer à un casting qui se déroulerait au Rachele'S Club, une boite de nuit huppée de Seikuzu.

CHAPITRE 1: LE PIEGE


C'est enfin le grand soir pour Max. Dans son vaste boudoir  du Rachele's Club, elle attend, confortablement adossée au fauteuil du bureau qui domine la pièce. Ses sbires, parfaitement bien camouflés dans la pénombre, attendent calmement de recevoir "l'ordre". Le téléphone de l'accueil sonne, les "invités" sont là, la partie va pouvoir commencer.

Rachele demande à la standardiste de les faire monter. Le visage caché dans l'obscurité de la vaste pièce, elle les invite à entrer.

- Bonjours Mes damoiselles. Soyez les bienvenues à mon casting...

Dit elle d'une voix suave, séduisante mais un petit peu narquoise. Car la pièce ne dispose d'aucun siège pour un entretien, ni aucun appareil photo, ni aucune caméra...

6
Bonjour bonsoir à tous.

Un petit poste pour m'excuser du retard pris dans mes réponses, je viens d'avoir une promotion et de nouvelles fonctions du coup je suis en plein rush en ce moment.

Mais je n'oublie personne et je j'assure à ceux qui me suivent et/ou écrivent avec moi que je m'y attele, surveillez vos mps :)

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La zone industrielle / Personne ne quitte la Mafia [PV Morgan]
« le: dimanche 06 janvier 2019, 12:19:32 »
--- 23h00 ---
--- Quelque part, à quelques rues du pénitencier d' État...---

Cette nuit est une nuit noire, même la lune a décidé d'aller se coucher pour ravir au jeune tolard les quelques rayons réconfortants  de lumière nocturne qui auraient pu le guider dans la froideur des rues désertes.

Sorti de prison voilà seulement quelques minutes, il n'a pas encore eu le temps de sentir l'odeur enivrante de la liberté que déjà Morgan entend le ronflement sourd et inquiétant d'un moteur puissant. Sûrement celui d'une bagnole luxueuse... une voiture qui n'aurait rien à faire ici si elle était conduite par quelqu'un de bien...

Il entend que le moteur s'approche derrière lui. Du coin de l'oeil, il la voit rouler jusqu'à sa hauteur et le suivre calmement, comme si la route, non, le monde lui appartenait. C'est une limousine, noire comme cette nuit sans lune ou ses vitres fumées, fuselée  et brillante comme un gun neuf... et elle est là pour lui... Ça ne fait aucun doute...

Au bout de ce qui semble être une éternité, la voiture accélère légèrement et s'éloigne de quelques mètres.
Un homme en sort, sa peau est presque aussi noire que la voiture, que son costume trois pièces, ou ses lunettes de soleil. Première surprise son costume est superbe, d'une facture luxueuse, sans nul doute faite à la main et sur mesure.

Sans un mot il se dirige vers les portes arrière de la limousine et ouvre la dernière en grand. Il se fige alors derrière celle ci et attend, imperturbable, que Morgan arrivé à sa hauteur. Quand celui-ci fini sa course devant le géant d'ében, l'homme de main lui adresse un simple hochement de tête pour le saluer et lui dit d' une voix grave qui ne souffre aucune équivoque sur ses intentions en cas de refus:

- Le Boss veux te voir.

À l'intérieur de la limousine, Morgan peut simplement entrevoir un petite malette en cuir noir portant son nom et une housse de costume Georgio Harmani sur le siège qui lui est destiné.

Sur un autre siège tout au fond, il aperçoit une paire de jambes interminables moulée dans une tunique en lycra noir et se terminant par des talons aiguilles de type pony tail.

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One Shot / An other world
« le: dimanche 13 août 2017, 13:58:24 »
--- INTRODUCTION : SCÈNE d'EXPOSITION ---

Du haut de l'immense tour de verre du Rachele'S Club, la Première Secrétaire du Parti observe les quelques lueurs qui brillent encore sur la ville. Depuis la mise en quarantaine du pays, les ténèbres, la peur et l'ignorance se sont abattues sur toute l'archipel du Japon. Les plus beaux jeunes hommes et femmes  disparaissent rafles après rafles, emporté par la milice du Nouveau Régime en place pour être "rééduqués" dans de mystérieux centres.

Le reste de la population, composé des chanceux étant agé de plus de 40 ans, restent chez eux et ne sortent que pour travailler pour le régime, ou acheter des provisions.

Abreuvés de mensonges et de propagande par les médias vendus au pouvoir de Rachele, ils prient les Esprits Ancestraux ou le Dieu Unique dans l'espoir de ne pas être touchés par "La Grissaille", cette maladie mortelle qui ravagée le pays depuis plusieurs mois maintenant. Officiellement, les personnes arretés par le Régime le sont pour leur propre bien, pour les protéger de l'infection.

Du haut de sa tour d'ivoire, Rachele sourit.

-Les idiots...

Murmure t'elle en ricanant. Tout cela n'est en fait qu'un immense écran de fumé. La Grisaille est une invention, qu'elle à enfoncée dans le crâne des hommes politiques qu'elle à capturée et transformés en esclaves serviles. Le coup de Maître de sa carrière qui a mis un pays et une population entière à genoux. La totalité du corps dirigeant étant sous son contrôle, elle s'est faite élire Première Secrétaire du Nouveau Régime de Transition, qui a pour but de luter contre l'épidémie. De bien grands mots pour dire qu'on lui a accordé les pleins pouvoirs.

Dès cet instant, un rideau de fer est tombé sur le Japon, uniquement ouvert puis refermé pour laisser passer les cargaisons entières de ses "précieuses marchandise". Car les centre de rééducation et de soin ouverts un peu partout sur l'archipel ne sont pas ce que le reste de la population crois.

Ce sont en fait des usines, d'immenses usines à esclave où sont emmenés tous les jeunes gens de 15 à 40 ans. Ils y sont triés par critères de beauté du visage et du corps. Ceux et celles qui cumulent ces deux critères excellence sont immédiatement conditionnés et transformés pour répondre au mieux aux attentes de leurs futur acheteurs, disséminés dans le reste du monde.

Les autres, qui ne cumulent qu'un des deux critères sont conditionnés et vendu a moindre prix, soit le visage masqué en permanence pour ceux qui n'ont pas des traits plaisants, soit le corps totalement refait par chirurgie esthétique pour les autres.

Enfin, ceux qui restent subissent un sort aussi horrible que douloureux. Les mâles reçoivent un traitement hormonal de choc qui leur fait produire d'inépuisables quantité de semence fertile avant d'être harnachés à de véritables machines à traire qui les font jouir jusqu'à épuisement total, la plupart ne survivent pas plus d'une journée.

Leur "production" sert à alimenter les innombrables incubateurs dans lesquelles les femmes de leur catégorie servent de mère porteuse, au cours de grossesses accéléré grâce à la technologie Tekhane. Ligotés dans leurs cuves, ces jeunes femmes ne connaissent plus que d'interminables cycles de grossesses et d'accouchements.

Voici ce qu'est devenu le pays depuis que le mal incarné s'en est emparé.

--- CHAPITRE I: LA TRAQUE ---

Le téléphone de Rachele sonne dans la pénombre de son bureau, elle quitte la contemplation de Sa ville et le décroche.

-Docteur ? Elle refuse toujours de parler... Soit... je descend pour vous aider...

Rachele raccroche et pousse un long soupire d'insatisfaction. Ces petites rebelles étaient définitivement une épine dans son pied. Dès qu'elle avait fait fermer le pays, un mouvement de contestation avait crée par une lanceuse d'alerte talentueuse et insaisissable. Experte en divulgation se secrets et d'information, cette "Yuko" était parvenue à pirater plusieurs serveurs du gouvernement pour y voler des documents sensibles sur ce que Rachele prépare.

Heureusement pour la mafieuse devenue chef d'état, la petite rebelle et ses amis n'ont pas encore réussi à exfiltrer leur données. Ce qui aurait de bien plus graves conséquences que les quelques bombes qu'elles font exploser à droite à gauche. En revanche, les messages qu'elles lancent en piratant la radio d'état pourrait finir par convaincre la population japonaise de la supercherie, et Rachele n'a pas besoin d'émeutes dans les rues. Le commerce bas son plein et ses scientifiques avance chaque jour un peu plus dans le développement de son arme secrète...

La Première Secrétaire détache son regard de sa contemplation oisive et tourne les talons pour rejoindre l’ascenseur. Elle l'appel et descend vers les profondeurs de son établissement, vers l'Asylum, là ou tout à commencé...

Arrivée au dernier sous-sol elle arpente les couloirs de sa première usine a esclave en admirant avec satisfaction le travail exemplaire que fait son personnel sur les futurs esclaves. Derrière chaque hublot de porte, une scène différente, une esclave différente, un machine ou une drogue differente. Ici, l'expérimentation est reine pour découvrir de nouvelles méthodes d'asservissement et de conditionnement.

Arrivée tout au fond du dédale, Rachele prend sa clef magnétique et active l'ouverture du sas. Immédiatement, elle entend de petits cris de plaisir, mêlée à des gémissements de douleurs, étouffés par un épais bâillon de cuir. Dans la pièce, la Doctoresse Lucil et l'infirmière Hannah s'affairent autour d'une invité très spéciale.

Attention contenu explicite:
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La ravissante brune harnachée sur le fauteuil et qui fait de petit bond sur place en poussant de petit feulement de douleur n'est autre qu' Arina Tsuni, la jeune et charismatique chef du mouvement rebelle à qui appartient Yuko. Dénoncée par une autre rebelle capturée et torturée, les services secrets de Rachele l'on enlevée chez elle discrètement pour que ses petites amies n'en sachent rien. Mais comme prévu, la jeune femme est forte, courageuse, et elle refuse de parler.

-Et bien et bien Docteur...

Dit Rachele en approchant, ses talons aiguille claquant sur le sol du laboratoire.

-Notre invité de marque refuse toujours de parler ?

-J'en ai peur Madame, maintenant que vous êtes la je pense qu'il faut passer à autre chose pour obtenir plus de résultat.

Lui répond la doctoresse alors que Rachele arrive à la hauteur des trois femmes et voit ce qu'elles sont en train de faire. Une longue élèctrode de métal est enfoncée dans l'urtère de la prisonnière et retient tout le contenu de sa vessie qui forme une bosse sur son bas ventre tans elle est remplie.
Sur l'écran de contrôle, un scan en temps réelle montre l'organe distandu de la jeune femme et le bout de la longue tige troner au milieux du liquide qui lui dilate les parroies. Rachele sourit en imaginant à quel point l'envie d'uriner, la douleur et l'excitation sexuelle provoquée par la compression de ses organes génitaux doivent être insupportable.

Armée d'une pince avec laquelle elle lui tire le clitoris des lèvres, la doctoresse lui darde le bouton d'amour avec une aiguille pour lui injecter une substance rose qui en accrois la sensibilité et la taille.

-MM !

Gémit la rebelle en faisant un nouveau petit bon. Elle secoue la tête pour faire des "non" comme pour tenter de ce reveiller d'un cauchemar. L'infirmière active alors la console reliée à l'élèctrode qui envoi une petite décharge dans la vessie d'Arina qui se crispe tout à coup avant de retomber presque inerte sur son siège de torture.

Rachele s'approche, lui caresse les cheveux et lui retire son baillon.

-Alors petite pute de rebelle ? Tu ne veux toujours pas me dire où se cachent tes amies ? Soit gentille, donne moi juste la cachette de Yuko et tout est terminé, c'est promis.

La chef rebelle est épuisée, son sexe la fait souffrir, l'envie de jouir et d'uriner sont devenu insupportable. Mais elle se rappel de l'importance de sa cause et refuse de céder surtout pour Yuko.
Si la jeune informatrice devait être prise, jamais les secrets du Japon ne pourraient éclater au grand jour. Elle affronte le regard cruel et pervers de Rachele et détourne le regard pour lui faire comprendre qu'elle ne lui révèlera rien.

-Hum... tu es forte, j'adore ça. Docteur, laissez tomber la méthode conventionnelle. Si elle ne veux pas nous dire où ses amies se trouvent, elle nous aidera plutôt à les capturer.

-Quoi ?!

Cris la rebelle, refusant de croire qu'elle les aidera à capturer ses amies.

-Bien Madame.

Répond la doctoresse en relâchant sa pince. Sous les yeux écarquillés d'horreur d'Arina, son clitoris grossi à vue d'oeil jusqu'à ressembler à une groseille nervurée, il devient si sensible qu'elle sent même la tiédeur de l'athmosphere et les courant d'air la frôler.

-Jamais je ne vous servirais vous entendez ! Jamais je ne vous obéirait !

Hurle Arina en regardant la doctoresse maléfique vider le contenu de sa seringue dans un évier avant d'empoigner un nouveau flacon, empli d'une substance rose elle aussi, mais brillante et chatoyante, comme si elle était iradié par une énergie étrange.

-Chuuuuuut ma belle... détend toi... ton calvaire est bientôt terminé, ta nouvelle vie va pouvoir commencer... et tu seras très heureuse.

Un étrange casque avec un écran tombe alors sur le visage de la rebelle et commence à faire défiler devant ses yeux des images hypnotiques et informes, entrecoupées de scènes pornographiques violentes.

Elle sent la cruelle morsure de l'aiguille pénétrer ses seins et injecter la substance qui se met à décupler son désir et sa libido, au point qu'elle en devienne folle.

-C'est le sérum que je suis en train de développer pour mon arme secrète, il n'est pas encore abouti mais heureusement je dispose de cobayes comme toi pour l'améliorer. Profite bien de ton lavage de cerveau, quand ce sera fini, tu seras une nouvelle personne, et tu me suppliera de te laisser me lécher les pieds...

Lui dit Rachele en quittant calemement la pièce avec les deux soignantes, laissant la rebelle seul alors que la machine thekane s'active autour d'elle pour la remodeler.

-Non ! Non ! Nooooon !

L'entend t'on hurler avant que le sas ne se referme.

- Bientôt, je viendrais m'occuper de toi ma petite Yuko... et je ne serais pas aussi gentille...

9
One Shot / Victorian Age
« le: lundi 07 août 2017, 14:39:59 »
--- Londre, Angleterre, 1er Mai 1860 ---

Citer
Mon bien aimé Mathiew

Je vous fait parvenir ce modeste plis dans l'espoir que vous partagerez avec moi une réflexion sur les dernières mésaventures qui me sont arrivée et qui m'ont décidés à vous annoncer une grande nouvelle.

Quand nous nous sommes rencontré ce soir de gala chez les Withberg je vous avais été présenté par mon grand frère Anthony  qui est encore pour quelques mois mon tuteur et représentant légal.
Je n’oublierais jamais la beauté des mots que vous avez eu pour moi et les éclats de rire que nous avons échangés. Mais depuis cette nuit, le comportement de mon frère à changé. Certes il était déjà très protecteur et me regardait parfois de bien étrange façon, et je sais qu'il a très mauvais réputation dans les cercles mal famé de la ville.

Mais il m'interdit maintenant de me promener même accompagnée en centre-ville, il ne veux plus que je vienne aux bals et aux galas et ne m'autorise même plus à arpenter librement les couloirs de notre manoir familial qui jouxte l'asile psychiatrique. Il dit que ses patients sont dangereux et qu'ils peuvent se promener sur la propriété vue que le manoir et l'asile sont cote à cote, dans le même mur d'encinte. Parfois, je me sent comme prisonnière, mais tout cela n'est que temporaire, je serais bientôt majeure et libre, nous le savons tout deux mon frère et moi.

Depuis quelque temps, les domestiques aussi se comportent bizarrement, mon frère a renvoyé tout les hommes et a fait venir des femmes de l'asile qu'il dirige. Elles m'ont tout l'air d'être des filles de mauvaise vie et je les entend parfois pousser des cris bien étranges quand elles travaillent dans la chambre de mon frère. Je ne comprend pas ce qu'elles y font tout ce temps.

Le dernier incident est arrivé hier et jamais je ne me serais attendue à ce que mon frère à fait.
Lors d'une nouvelle dispute où j'éxigeait qu'il me laisse sortir pour vous rejoindre au banquet des amis de la philosophie, il m'a soudain avoué qu'il me voulait pour lui tout seul !

J'ai ris de bon cœur à ces mots, pensant qu'il était soit en train de plaisanter, soit devenu totalement fou. Je lui ai dit que c'était impossible, que j'étais sa sœur pour commencer et que ce serait répugnant. Qui plus est, je lui ai aussi annoncé que j'étais déjà amoureuse de quelqu'un et que je me marierai dès l'obtention de ma majorité.

Croyez le ou non mon bon ami, il a alors tenté de m'embrasser ! Moi, sa propre petite sœur ! Croyez bien que le l'ai repoussé de toute mes forces. Je lui ai dit qu'il me dégouttait et je suis allé m'enfermer dans ma chambre pour rédiger le présent plis.

La folie de mon frère est maintenant avérée et je ne puis plus vivre à ses coté. C'est pourquoi je suis contrainte d'utiliser cette manière peu orthodoxe d'accepter votre demande quand j'aurais préféré que nous puissions le faire solennellement sous la tonnelle du parc zoologique.

Je vous dit donc Oui mon cher et tendre Mathiew, j'accepte de vous épouser et de demeurer votre femme aussi longtemps que Dieu me donnera vie. Je confierai cette lettre à une des nouvelles servantes du manoir familial pour qu'elle la poste dès demain, vous devriez la recevoir très vite.
Quand vous aurez pris connaissance de tout ceci, venez vite. J'ai peur.

Votre bien aimée Rachele Howards

P.S. Je joint à ce message le superbe daguerréotype de moi que nous avions fait au gala. Il est enfin terminé.

Citer


La servante prend le plis et assure à Rachele de sa voix pâteuse qu'elle va la poster de ce pas. La petite aristocrate lui donne une pièce d'argent, la remercie, et lui demande de lui rapporter son soupé à sa chambre quand elle aura fini. Puis elle s'enferme à nouveau dans sa chambre, refusant de répondre ou d'ouvrir sa porte à son frère. Elle n'ouvre qu'aux domestiques.

La servante descend les escalier et au lieu de sortir du manoir, elle se dirige discrètement vers le bureau du frère de Rachele. Elle frappe, entre, referme la porte et se met immédiatement à genoux devant le bureau de son Maitre. La jeune femme est en vérité une esclave à son service. Ancienne idéaliste qui voulait s'engager dans l'armée et devenir officier, elle avait été jugée folle par une société machiste et patriarcale et avait eu le malheur d'être internée dans l'Asile de femmes dirigé par Anthony . Trop courageuse et forte pour se laisser briser, il l'avait torturé pendant des semaines avant de se résigner à la lobotomiser. Comme il avait aimé voir la peur et la folie gagner peu à peu son regard et y chasser toute lueur de volonté et d’intelligence alors qu'il lui coupais de fines tranches de cervelle. Il s'était finalement arrêté quand elle n'avait plus été capable de donner son nom ou de compter jusqu'à cinq... elle était depuis une servante docile et obéissante qui se laissait baiser sans rechigner.

Elle rampe à quatre pattes jusqu'à lui et baisse la tête en arrivant devant ses genoux. Elle lui tend la lettre de sa sœur.

-Une lettre de votre sœur pour Lord Matiew Cromwell Maître.

10
Centre-ville de Seikusu / Moins que rien [PV Divine]
« le: lundi 07 août 2017, 12:47:37 »
--- Chapitre Premier : L'enchère ---

Le Manoir Karlberg brille de mille feux en cette nuit si spéciale. Le balai des limousines à sa porte donne l'impression que celui-ci à été construit au pied d'une véritable rivière de lumière, éclipsant au passage les étoiles du firmament.

Installée depuis déjà quelques heures dans une des plus prestigieuses suite du domaine, Rachele profite de ce répit bien heureux pour détendre son corps fourbu dans l'eau brulante d'un  bain moussant.

L'heure approchant, elle abandonne la confortable quiétude de la salle de bain et s'installe dans un fauteuil en cuir noir pour se préparer pour la soirée, ses invités, et surtout, pour sa future « acquisition ».

Elle enfile d'abord un body en latex noir qui moule ses formes de manière provocante au point de souligner l'auréole de ses seins, les mures de ses tétons et le dessin de ses lèvres pubiennes. Puis elle glisse ses jambes longues et galbées dans des bas fins qu'elle fait tenir à l'aide d'un porte-jarretelle.



Elle enfile ensuite ses talons aiguilles préféré et fait glisser ses cuissardes noires jusqu'à mi-cuisse avant d'en serrer les sangles. Puis elle met de longs gants noir  qu'elle sangle à mi-bras. Pour finir, elle enfile une simple étole d'un blanc cru qui contraste élégamment avec le noir brillant de son body.



La superposition des deux tenues crée un mélange à la fois très élégant, sexy et provoquant. L'étole ne faisant que souligner le galbe de ses seins, sans couvrir le décolleté outrageusement bas du body. Il se termine en deux simples pans de tissu qui mettent en valeur ses hanches, ses cuisses, et dissimulent à peine la raie de ses fesses et sa vulve. Un observateur qui ne manquera pas de l'admirer pendant qu'elle se meus aura même la chance d'entre-apercevoir les formes délicates de ses parties les plus intimes.

Une fois prête est coiffée pour l'occasion d'une longue queue de cheval qui parfait son style de dominatrice, elle quitte le calme de ses appartements et se jette dans la foule.
Dans la grande salle des enchères, la fête bas son plein, le champagne y coule à flot, Rachele, majestueuse, jouit des regards gourmands et avides qui se posent sur elle de toute pare. Combien des invités de ce soir rêverait qu'elle soit elle-même un lot à vendre...

Parfaitement à l'aise dans les réceptions guindés, la belle mafieuse une coupe toujours à la main, échanges frivolités et éclats de rire avec ceux et celles qui partages son temps, sa présence et son niveau social. Méprisant au passage les petites gens qui, par un étrange coup du sort, ont aussi été invités. Certains lui promettent le même sort si un jour ils l'attrapent, d'autres préfèrent se taire et ruminer une vengeance future.

Rachele, comme de nombreux autres invités, profitent de la fête sans même porter attention aux différentes esclaves qui sont vendues pendant la soirée. Car tous ne viennent que pour une seule et même personne. Une esclave extraordinaire dit-on, la dernière du Grand Maître en fonction, une pièce unique que les grands et les petits de se monde veulent ajouter à leur collection.

Quand enfin le présentateur annonce la venue de Divine, le brouhaha de la fête cesse enfin et un silence révérencieux accompagne ses déclaractions. Forte de sa beauté et de son charisme, Rachele négocie sans peine une place au premier rang, là où elle pourra voir et être vue de sa future esclave. Debout, bien droite, les jambes légèrement écarté et les bras croisé sous ses seins pour mettre en valeur ses atouts, elle attend avec délectation de voir les émotions que suscitera sa vue à l'esclave de luxe, quand elle arrivera sur le podium et surtout, quand elle comprendra que c'est Rachele qui va l'acheter.

J’ai l’honneur de vous présenter la pièce maîtresse de cette journée, celle dans laquelle Mark Karlberg a concentré tout son talent et toute son énergie, celle qui est, je tiens de bonne source, une des favorites les plus prometteuses de ces quelques derniers siècles qui, je suis sûr, vos propres aïeux peuvent l’attester, n’a pas été pauvre en prodiges. Sans plus de politesses ni de péripéties, je vous présente Divine !

Les rideaux cérémonielles s'écarte devant les pas de Divine, qui n'a jamais mieux porté son nom qu'en cet instant, parée de sa robe rituelle et de ses innombrables bijou. L’œil exercé de Rachele commence à les énumérer avec sérieux pour déterminer quelles ont été ses récompenses. Sans surprise, elle remarque qu'elle les à toutes, la danse, le chant, la poésie, les massages, le service de luxe, même la harpe ainsi que d'autres instruments demandant des doigts délicats et expérimentés.

La mafieuse tache alors de capter son regard en la fixant de ses yeux clairs, puis lui lance un sourire pervers et cruel, presque sauvage. Intérieurement, Rachele jubile, elle a hâte de commencer. Divine doit être une esclave extrêmement orgueilleuse et douée au vue des efforts qu'elle à fait pour obtenir toutes ces récompenses, elle à hâte d'admirer sa révolte et sa souffrance quand elle la fera chuter de son piédestal.

Mesdames et messieurs, je vous prie d’applaudir notre dernière favorite, mais surtout d’assister à sa révérence ; Un moment historique, car notre Divine est sur le point de, pour la première fois, faire montre de déférence envers son futur maître ou, j’ai ouï dire qu’elle préférerait, future maîtresse.

Au lieu d'applaudir, Rachele pouffe d'un rire narquois.

"Alors comme ça la petite prodige à des préférences ?"

S'amuse intérieurement la mafieuse en réalisant qu'elle a bien cernée la jeune femme. A l'Asylum, aucune de ses putes ne se serait permises de donner son avis sur quoi que ce soit, et encore moins sur le sexe qu'elle préfère. Cette Divine résonne encore comme une courtisane privilégiée et gâtée, Rachele se délecte déjà de ce qu'elle va lui faire subir pour la transformer en vraie esclave sexuelle.

Avec une souplesse et une élégance rare, Divine accomplit alors sa révérence. Bien qu'aillant déjà arrêté son choix et décidé de l'acheter coûte que coûte, Rachele se prend au jeu de deviner ses formes. Placé au plus proche du podium, elle distingue sans difficulté la beauté et la délicatesse de sa vulve. En en devinant l'extrême étroitesse, elle commence déjà à réfléchir aux meilleurs candidats pour lui offrir une première fois... inoubliable... et qui lui fera bien comprendre ce qui l'attend...

Comme vous pouvez le voir au laurier qui la couronne, notre Divine a, fait très rare, mérité l’entièreté des honneurs discernés par la maison Karlberg ; En conséquence, elle reçoit le privilège de demander une faveur à son acheteur qu’il se doit de lui concéder, même si je n’ose imaginer un cœur assez froid pour refuser ce service à notre magnifique Divine.

Pour que vous l’achetiez en toute connaissance de cause, sa requête formelle est qu’elle soit autorisée à partager le lit ainsi que le bain de sa ou son propriétaire. Adorable, n’est-ce pas ?

Cette nouvelle déclaration manque de provoquer un nouveau rire à Rachele, mais elle se garde bien de l'exprimer et se contente de sourire de nouveau à Divine. Sa future esclave et décidément bien habituée au luxe, aux privilèges et à un égo sur-dimensionné au point d'exiger une faveur. Exiger, un mot totalement oublié, banni de l'esprit des esclaves de la Sicilienne.

« Un cœur assez froid ? Hooo toi... tu ne connais pas Dona Florenza, mais ne t’inquiète pas... je vais jouer le jeu... c'est ta belle qui va apprendre à me connaître. Elle va partager mon lit... mais pas comme tu l'entend, enfin, les rares fois où je la laisserais dormir...»

Se dit elle à nouveau intérieurement. Car Rachele est adepte de l'épuisement physique et mental de ses victimes, de cet état de faiblesse si total que l'esprit en vient à accepter n'importe quoi en échange de quelques minutes de sommeil. Après quelques nuits entre les mains de sa futur maîtresse, cette petite pucelle abandonnera bien vite ses exigence de gamine pourrie gaté...

En regardant les bijou qui pendant à ses oreilles, Rachele se gosse à nouveau en immaginant tout ce qu'elle va faire à Divine pour détruire son identité actuelle. Elle n'a jamais désobéis... cela va changer quand elle sera injustement punie pour des erreurs qu'elle n'a pas commise ou quand la mafieuse la torturera sans raison.

Elle remarque également qu'elle parle plusieurs langues, comme elle doit en être fier, une courtisane aussi instruite et douée... Rachele réfléchi à un moyen de lui arracher cela aussi.

« Il convient de préciser, pour ceux qui aimeraient recevoir ces faveurs de leur favorite, ou au contraire les leur interdire malgré une envie bondissante, que Divine a été enchantée de manière à ce que, lorsqu’on trace un symbole particulier dans son dos, à l’aide d’un simple doigt, sa perle de plaisir se transformera en un membre plus virile et apte à la pénétration, si vous suivez mes pensées.

Bien entendu, le procédé peut être temporaire, jusqu’au prochain tracé du symbole dans son dos, ou permanent si telle est votre volonté. J’anticipe déjà votre question, et non, elle ne possède pas de testicules, mais est belle et bien capable d’éjaculer, usant du lait mielleux et aphrodisiaque que, autre ensorcellement, ses seins produisent en permanence et en grande quantité ; Il convient cependant de prévenir qu’il faut alors la purger tous les quelques jours de son lait excédentaire, sans quoi elle se plaindra de douleurs, même si j’imagine que, d’une manière ou d’une autre, vous saurez trouver votre plaisir dans ce « dilemme ». »

Rachele félicite d'un simple hochement de tête le présentateur pour la qualité de l'enchantement. Elle est même surprise par un tel degrés de maitrise de la magie utilisée pour une esclave. Déjà elle imagine ce qu'elle va pouvoir faire avec la queue qu'elle lui fera pousser ou avec ses seins gorgés de lait, dans un cas comme dans l'autre, cela n'augure rien de bon pour Divine et à nouveau la mafieuse lui lance un regard cruel et pervers.

Vient enfin le moment de révéler ses seins. Très attentive, Rachele regarde le présentateur dénuder la poitrine de la jeune femme et révéler ses tétons dressés. Il parle de sa production de lait aphrodisiaque, la mafieuse en prend bonne note et se dit avec plaisir qu'elle va pouvoir s'en servir pour créer de nouvelles drogues pour briser ses esclaves. Si ce lait est à la hauteur de ses attentes, elle mettra en place une trayeuse à bétail juste pour Divine...

Elle refuse en revanche de goutter le produit, craignant de réveiller sa nymphomanie pathologique et de ne plus avoir les idées claires. Il y a bien trop de gens ici qui n'hésiteraient pas à profiter de son trouble pour la déstabiliser et l’entraîner à l'écarte pour profiter de son besoin de sexe maladif. Combien de fois c'est elle déjà offerte à un inconnu simplement parce qu'elle n'arrivait plus à contrôler ses pulsions ? Elle ne saurait le dire...

Quand le moment de l'inspection et du premier contact arrive, Rachele passe son tour et laisse les badaux l'admirer ou lui adresser la parole. De toute façon, ils peuvent se faire l'idée qu'ils veulent d'elle, ils ne l'auront pas, ce soir Divine appartiendra à Dona Florenza.
De plus la mafieuse garde ses premières parole pour le moment où elle sera enfin à elle, ses questions, elle les pausera dans le confort et le silence de sa limousine.

« J’aimerais profiter de cet interstice pour signaler quelques détails que je n’ai pas encore mentionné. Tout d’abord, quiconque aimerait avoir Divine à genoux entre ses jambes sera heureux d’apprendre qu’elle a été enchantée pour ressentir énormément de plaisir via sa langue et sa gorge, presque autant que dans ses parties plus intimes, en plus de pouvoir y recevoir des tailles normalement trop « encombrantes ». »

Encore une merveilleuse nouvelle qui enchante Rachele. A nouveau, son esprit pervers commence à échafauder des supplices et des tortures savamment orchestré pour profiter au maximum de la pauvre jeune femme. Très vite, Divine comprendra que toutes ces choses pour lesquelles elle c'est battue, toutes ces récompenses, tout ce savoir, va se retourner contre elle...

Un autre ensorcellement qui je l’espère saura rassurer nos clients aux pratiques les plus ésotériques, Divine a été altérée magiquement pour être capable d’accommoder quasi-littéralement n’importe quelle largeur ou longueur de sexe - ou autre - sans grande douleur.  

Bien que ravie d'apprendre qu'elle survivra à tout ce qu'elle compte lui enfoncer dans le corps, Rachele fait néanmoins la moue quand il aborde le chapitre de la douleur. La douleur, c'est une des armes favorites de la mafieuse, une des plus efficace, et cet enchantement la dérange. Elle consulte frénétiquement le « manuel d'utilisation » au chapitre des sorts et pousse un petit soupire de soulagement en voyant que comme pour les reste, la sensation de douleur peut être modulable de la même manière que pour le reste. Les gestes et les symboles sont bien démontrés sur le papier.

Un autre enchantement, que le propriétaire pourra ajuster à volonté via une formule écrite sur le bijou à sa cuisse droite, rend Divine plus ou moins fortement addict au plaisir sexuel. J’ai oublié de le préciser, mais le symbole à tracer dans son dos pour faire apparaître son membre masculin se trouve au dos de son collier ; Encore une fois, je vous demande cependant de ne pas la toucher.

A nouveau le présentateur parvient à captiver l'attention de Rachele et de la réjouir de ses mots. Le fait de pouvoir moduler aussi son addiction au sexe sera source d'innombrables tortures faciles à mettre en place et efficace pour l'épuiser psychiquement et émotionnellement. Rien qu'avec cette arme si, elle peut complètement bouleverser sa psyché et transformer sa personnalité.

Sur cet état de fait qui provoque un nouveau rire malicieux et pervers chez la Sicilienne, les enchères commencent. Des voix s'élèvent et les prix comme les autres contreparties commencent à pleuvoir.

Pendant tout ce temps, Rachele se tais, elle attend, elle fixe Divine de ses yeux pétillants et vicieux pour attirer son attention. A chaque fois que celle-ci la regarde, elle lui sourit froidement, une lueur inquiétante dans le regard, premier signe avant coureur de toutes les horreurs qu'elle lui réserve.

Au bout de quelques minutes, alors que de moins en moins de voix s'élèvent pour proposer un prix, Rachele s'avance de quelques pas, pose ses poings ganté de noir sur ses hanches et regarde intensément le présentateur, puis elle se retourne vers l'assistance. Ici, tout le monde sait qui elle est, ce qu'elle fait, et ce qu'elle est capable de faire à ceux qui la défient. Car « Max » siège sur un trône fait des corps de ses ennemis.

Puis elle annonce son prix, et tout le monde se tais. Derrière elle, le présentateur commence à déclamer les mots d'usage : « une fois, deux fois, trois fois, Adjugé à Dona Rachele Florenza de Seikuzu ! »

Elle monte alors sur le podium, serre la main au présentateur qui l'invite à profiter de la suite spéciale qui lui est prêté pour profiter de la première nuit de sa nouvelle esclave.
A la surprise générale, elle décline l'offre et demande à ce qu'on affrète immédiatement sa limousine. Le client étant roi, le personnel du manoir acquisse et se retire. Rachele se rapproche de Divine, elle s'arrête au moment ou ses seins obusiers viennent éfleurer contre ceux de l'esclave. Juchée sur ses talons hauts, la mafieuse la domine de quelques centimètres.

Délicatement, elle passe un doigt entre son collier finement ciselé d'or et son cou. Puis elle la tire vers elle pour pouvoir lui murmurer à l'oreille.

-Vient avec moi ma pute, et pas un mot temps que je ne t'en donne pas la permission...

Même si à la façon dont elle l'appel, Divine peut craindre le pire, l'ordre que lui donne sa nouvelle Maîtresse lui interdit intelligemment de le dire aux gens du manoir. Elle lui donne un petit coup de langue et la tire par le collier jusqu'aux coursives désertes des coulisses. Là, loin des regards et des oreilles indiscrètes, dans le long couloir qui débouche sur le parking privé ou est garé sa limousine, Rachele commence son travail de maquerelle.

-Tourne toi. Tu peux me parler maintenant, mais n'oublie pas tes leçons de bien séance ou tu sera châtiée...

Lui ordonne t'elle de manière abrupte pour la faisant se retourner pour présenter son dos.

-Tu es trop habillée pour une pute, ou plutôt trop élégamment.

Dit elle en tirant sur les lacets qui retiennent les fragiles étoffes qui couvrent le corps de divine. Délicatement, le tissu glisse le long de son corps pour la dénuder petit à petit.
Elle ouvre un petit sac et le laisse tomber aux pieds de Divine, puis détache le beau et noble tour de cou qu'elle portait et le jette dedans.

-Une pute ne porte pas ce genre de collier.

Divine sent soudain que Rachele lui passe un épais collier de cuir autour de sa gorge. Il est orné d'un petit anneau pour y accrocher une laisse, comme une chienne.

-Mes putes portent des bijoux, mais pas là où tu les porte. Tu es une de mes salopes maintenant, et les privilèges c'est terminé.

Ajoute la cruelle mafieuse en commençant à lui retirer un à un tout les superbes objets qu'elle à tans oeuvrée à avoir. Petit à petit le sac se rempli. Rachele ne lui laisse que les bijou permettant de contrôler ses enchantements, si bien qu'elle finit par se retrouver nue. Elle lui enlève même sa ceinture de chasteté qu'elle garde dans une poche contrairement aux autres bijoux. Satisfaite d'etre la première avec Divine elle-même à l'admirer directement, Rachele passe un doigt sur sa vulve encore chaste et pure.

-Bien... maintenant la touche finale pour le voyage.

Sur ces mots, la mafieuse lui passe des bracelets en cuir aux poignets, aux chevilles, à mi cuisse et à mis bras pour pouvoir la sangler à loisir dans toutes les positions. Mais pour l'heure, elle se contente de lui attacher les bras dans le dos.

Elle lui passe ensuite un petit harnais fait de bandes de latex qui lui enserrent la poitrine et lui surélève les seins. Ainsi vêtue, Divine remarque immédiatement qu'elle perd la prestance due à son rang et ressemble de plus en plus à une esclave utilisé pour le bondage. Remarquant son désarroi, Rachele sourit et ajoute.

-La vue de ta nouvelle tenue te dérange ? Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça...

Mais au lieux de se montrer gentille et de la rhabiller avec quelque chose de plus respectueux, Divine voit soudain une masse noire tomber sur ses yeux et l'aveugler, elle comprend que Rachele vient de lui mettre un masque sur le visage qui recouvre sa tête, ses yeux mais reste ouvert sur son nez sa bouche et son menton.

-Voiiilaaaa... c'est parfait maintenant. Une pute n'utilise que les sens qui servent à satisfaire ses clients. Tu vas me tenir compagnie pour le voyage de retour, tu n'as pas besoin de tes yeux pour me distraire, juste de tes oreilles pour m'entendre et de ta bouche.

Divine entend un petit « clic » quand Rachele attache une laisse à son collier et commence à la tirer vers la limousine. Quand elle hésite ou traîne un peu, la pauvre esclave reçois un coup de badine sur les cuisses ou les fesses comme si elle n'était qu'une esclave de la plus basse extraction, ou un animal de trait.

Attention contenu explicite :
(Pas de bâillon boule ou de piercing sur Divine)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Après ces longues secondes de marche forcée, Divine entend le bruit des portes qui s'ouvre, la voix d'un chauffeur qui salut sa patronne. Elle sent les doigts de Rachele se poser sur ses épaules pour la faire entrer dans la limousine sans se cogner la tête. Elle sent la texture fraîche des sièges en cuir sur ses fesses. La porte se referme, elle sent vibrer la voiture, Divine quitte pour toujours le foyer ou elle est née et a été élevée pendant tout ce temps, emmenée par une femme qui la traite de pute, alors qu'elle a toujours été formée à devenir une courtisane.

- Alors Esclave. Il parait que tu as des exigence que je suis obligée de satisfaire. Cela m'intrigue, parle moi donc de toi sans détour, quelles sont tes attentes, tes désirs, tes exigence, je doit absolument les connaître pour les... satisfaire au mieux...

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Salles de cours et bibliothèque / Vol de vies [PV Eva Granger]
« le: mercredi 02 août 2017, 21:05:06 »

Il est quinze heures, la sonnerie du lycée de Seikuzu résonne dans tout l'établissement et les élèves comme les professeurs entrent et sortent des salles de cours au gré des matières qu'ils travaillent.

Dans le bâtiment réservé aux matières scientifiques, isolé du reste du complexe étudiant pour d'évidentes consignes de sécurité, de nombreuses jeunes étudiantes travaillent sur leur exposés de physique et de chimie pour les examens qui approchent.

Au dehors, aucune ne remarque l'étrange balais de fourgonnettes noires et de voitures qui commence à encercler le bâtiment. Aucune ne voit les étranges hommes en noir cagoulé s'introduire subrepticement par chaque porte ou coursive pour en contrôler totalement l'accès. Aucune n'entend les détonations sourdes des armes équipées de silencieux qui tranchent avec cruauté, le fil de la vie des agents de sécurité et des témoins potentiels.

Car aujourd'hui est un jour funeste pour la jeunesse de Seikuzu et faste pour la pourriture qui s'en nourrit. Un jour que Max, l'impératrice du crime de la ville, à choisit pour faire son marché et enlever de nouvelles proies pour son commerce sexuel. Tel un ogre, ou la sorcière des conte de fée qui se nourrit des enfants perdus en foret, elle alimente le feu de ses forges à esclaves avec le bois le plus frai et le plus beau de la ville.

En quelques minutes seulement, l'ombre de la mafieuse s'est étendue depuis les quartier chauds de la ville jusqu'à ce lieu de paix et de connaissance pour en piller le sang et la jeunesse. Dans les diverses salles de cours, la même horrible scène se répète, un homme cagoulé pénètre calmement dans la salle et abat froidement le professeur en plein cours sous les yeux de ses étudiantes. Seules les plus jeunes et les plus belles des enseignantes sont épargnées pour au final, devenir elle-même des marchandises sur l'étale du boucher.

Pour calmer les hurlements de terreur ou les mouvements de colère des plus courageux et courageuses, les assassins de Rachele n'hésitent pas à tuer un ou une étudiante un peu trop bruyant ou agressif, jusqu'à ce que les autres soient pétrifiées de terreur et obéissent sans réfléchir à leurs ordres.

Il commencent alors à vider une à une les salles de classe pour réunir tout le monde dans les dortoirs du dernier étage, sous les toits du Lycée. L'horrible casting commence alors...
Les hommes de mains ordonnent aux étudiants de se ranger en rang pour qu'il puisse bien les observer. Certains passent alors entre les adolescent et les jeunes adultes pour sélectionner les plus belles et les mieux faites. Ils leurs font alors quitter le rang et la pièce en leur faisant croire qu'elles vont être libérées... vain espoir... il ne s'agit que d'un stratagème pour ne pas effrayer les autres élèves.

Une fois hors de vue des autres, les esclavagistes entrent en action:


La puanteur du chloroforme envahi leurs leur nez et remonte vers leur cerveau jusqu'à ce qu'elle cessent de luter. Une fois inerte, ils les cachent dans des valises de voyage et les chargent dans les fourgons.

Efficaces et bien entraînés, les hommes travaillent vite et bien. En quelques minute, une première livraison est envoyée vers le Rachele's où va commencer leur nouvelle vie. Aucune d'entre eux alors, n'imagine ce qui les attend...




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One Shot / Dishonored [PV Emilie Kaldwin]
« le: mercredi 02 août 2017, 20:23:36 »
--- INTRODUCTION DE DELILAH COPPERSPOON ---


Cela fait tans d'années que je ne suis pas venue ici...

Quand je regarde la cours du château de mon père, quand je vois le kiosque où est désormais enterrée ma sœur, je me souvient de ces journées où nous nous amusions ensemble. Comme j'étais heureuse alors...

Pourquoi Jessamine... pourquoi as tu mentis ce jour là... t'es tu jamais rendu compte de ce que tu m'as fait ? T'es t'il arrivée de te demander ce qui m'étais arrivée avant qu'un assassin ne vienne voler ma vengeance en te tuant le premier ?

Mélancolique, Delilah détourne le regard du tombeau de sa soeur pour se méler aux invités de la commémorations. Aujourd'hui, tout le gratin de Dunwall s'est rassemblé au palais de l’Impératrice pour "fêter" la mort de sa mère.  Si ça ne tenais qu'a elle, oui, Delilah en ferait véritablement une fête, un moment de réjouissance et de célébration. Mais il n'est pas encore temps de changer le calandrier des fêtes royaume, avant cela, il lui faut déjà s'emparer du trône.

Des voix s'élèvent dans la foule, elle se fend en deux pour laisser passer le cortège de la famille royale. Emilie, la fille de sa soeur et nouvelle Impératrice, salut l'assistance et entre dans la salle du trône.
La sorcière doit bien reconnaître que la jeune femme est d'une grande beauté, et que la nature l'a dotée de beaux atouts qui ne laisse personne, y comprit elle, indifférente...

Inconsciemment, elle fait la moue de manière dédaigneuse, imaginant déjà le plaisir qu'elle va prendre avec ses adeptes sorcières quand elle tiendra entre ses griffes la belle petite Impératrice encore toute innocente...

Quelques minutes plus tard le Duc arrive, toujours vétu de son costume militaire d'un blanc écru et accompagné de ses soldats mécaniques. Elle fait un signe au capitaine de la garde corrompu qui commence à ouvrir les portes de la salle du trône.

Confiante, Delilah Copperspoon avance et s'apprête à reprendre ce qui lui revient de droit.

--- INTRODUCTION D'EMILIE KALDWIN ---


Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)


--- Quelques minutes plus tard dans le bureau où est enfermée Emilie Kaldwin ---

Très vite la jeune impératrice remarque que rien n'a été laissé au hasard, les fenêtres ont été condamnés et leur verre est trop épais pour être brisé. Il n'y a aucune passage secret, aucune arme, rien qui puisse lui permettre de se défendre jusqu'au retour de la femme maléfique qui vient de lui voler la couronne des Îles.

Après une interminable attente, une clef tourne dans le serrure de la porte et celle-ci s'ouvre devant Delilah, la monstrueuse sorcière qui a pétrifiée son père sous ses yeux et corrompu sa garde.
Pleine de morgue et de condescendance, l'étrange femme au teint blafard se campe au milieu de la pièce et croise les bras pour toiser sa prisonnière.

- Impératrice Emilie Kaldwin... Fille de la défunte impératrice Jessamine Kaldwin... la femme qui m'a tout pris... c'est ironique tu ne trouve pas ma chérie ? Que toi comme moi ne puissions plus nous venger du meurtrier de nos mères pour la même raison ? Celui qui a plongé son couteau dans le coeur de ta mère est mort, et en la tuant il m'a privé de ma vengeance. Heureusement moi, j'ai toujours un lot de consolation... et quel lot tu fais ma belle petite batarde...

13
One Shot / You assumed no force could challenge you...
« le: dimanche 16 juillet 2017, 22:13:41 »
Au sommet d'une haute colline dominant le champ de ruine que sont devenus les vertes plaines de Makeb, la sang pure contemple la fin du voyage. Devant elle, quelques centaines de mètres plus bas, surplombant un champ de bataille jonché de carcasses de droïdes et de corps de mercenaires encore chauds, la forteresse hutt.

La sorcière soulève sa capuche pour apprécier l'odeur de souffre, du sang et des circuits brûlés qui flottent dans l'air.


Le bombardement de la flotte Impériale à totalement rasé les défenses du Cartel et lui a ouverte le champ libre pour accomplir sa vengeance.

Ce plat, elle l'a désiré depuis des mois. Des mois pendants lesquelles Rachele Florenza, la lieutenante de Garza la Hutt lui à fait vivre un véritable enfer. Faisant capturer ses séides et ses esclaves personnels, retournant un de ses propres apprentis contre elle, allant jusqu'à attaquer le quartier général de l'Empire sur la planète, la belle mafieuse lui à tout fait. Mais à chaque fois, la Sith en est sortie renforcée et pétrie de haine, et à chaque fois, elle est parvenu à détricoter méticuleusement l’influence des hutts sur la planète, bastion par bastion, lieutenant, par lieutenant, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que Rachele, et Garza.

Désormais, l'étrange contrebandière qui lui a échappée tans de fois en la narguant ne peut plus fuir nul part. Elle s'est réfugiée dans la forteresse du Nord, et son mur protecteur vient de tomber. Dans le silence de la nuit, la Matriarche s'élance pour traquer sa proie...

--- Dans la Forteresse ---

-Repliez vous sous le bouclier du dongeon !

-Les générateurs ont été détruits par l'Empire madame, il n'y a plus aucun bouclier, les gas se font massacrer dehors.

Rachele sent la sueur froide de la peur lui couler dans le dos, mais elle la réprime et se concentre sur sa mission, et sur le Code.

-Montez à bord des navettes d'évacuation et quittez les lieux, je vais chercher Garza la Hutt, laissez nous une capsule.

Une nouvelle explosion résonne et fait trembler les murs, le spatioport vient d'exploser et les dernières chances de fuite, de disparaître dans les flammes. Rachele se redresse, prend une grande inspiration et se précipite vers la chambre de la Hutt, la bas, il y a encore un droïde de combat bousté à l'Isotop 5. Elle sait qu'elle va en avoir besoin, car sa Némésis arrive... et elle sent sa colère brûlante irradier dans la Force à mesure qu'elle se rapproche en semant le chaos sur son passage.

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One Shot / Rise of the Hutts
« le: dimanche 16 juillet 2017, 19:52:53 »
SYNOPSIS:

Citer
Quelque part sous les bas-fond de Coruscant...


-Courage Padawan...

Crie Salasha (à gauche) à sa jeune élève, prisonnière comme elle de l'étrange machinerie Hutt.

-Maitre ! La Force... la Force nous a abandonnées !

Lui répond la jeune femme (à droite) alors qu'elle tente en vain d'invoquer ses pouvoirs pour se libérer. Mais rien ne se passe, et ses bras et jambes restent prisonniers des énormes vérins pneumatiques qui lui enserrent les membres.

-Reculez ! Reculez misérables ! Vous ne nous toucherez pas ! Vous ne nous vaincrez pas ! Nous sommes des Jedis ! Quoi que vous fassiez, nous vous résisterons toujours !

Hurle t'elle, la voix chargée de fureur, aux femmes en blouse blanche et à leurs esclaves qui se rapprochent, les mains armées d'étranges tubes et électrodes.

-Détrompe toi ma belle...

Dit une grande silhouette féminine, coiffée d'un chapeau étrange dont l'ombre ,projetée depuis le sas, plonge la jeune apprentie dans les ténèbres de l'incertitude.

-Victoire... défaite... Jedis... Siths... Que c'est compliqué tout ça... Bientôt tu te moqueras totalement de concept aussi complexe... et alors... tu découvriras le vrais le bonheur comme tes autres amis avant toi... fait moi confiance...

La mystérieuse femme en robe blanche et noire avance dans la pièce, le sas se referme derrière elle et étouffes les premiers hurlements des deux Jedis.

CHAPITRE I : Le Conclave

Kira était en mission dans la bordure extérieur quelques jours plus tôt, et l'ordre de tout abandonner séance tenante pour revenir assister au Conseil ne présagait rien de bon. Quelque chose était en train de se passer, mais curieusement, rien dans la Force ne permettait de ressentir quoi que ce soit. Rien, pas même un frémissement, comme si un voile de silence était tombé sur l'univers et étoufait petit à petit le chant des étoiles.

Sur Tyton, il est de coutume de demander aux padawans d'attendre un temps bien défini avant de se présenter devant ses pères, dans le but de tester leur patience. Mais là, Kira à la surprise d'être convoquée par un page à la seconde même où son pied touche le sol du spatioport. Nul doute maintenant, l'heure est grave.

Dans la grande salle du Conseil de Tyton c'est l'effervessence. Les maitres, d'habitude si calme et silencieux, se disputent sur la meilleur option à suivre pour endiguer cette étrange vague de disparition. A mesure qu'elle se rapproche de la grande arche, elle les entend de plus en plus distinctement deviser de vive voix.

-Nar Shaada, Coruscent, Corelia, partout nos chevaliers et leurs padawans se volatilisent dans la nature, et jusqu'ici nous n'en avons retrouvée qu'une !

-Maitre Karshar est formel, elle ne pourra plus jamais tenir un sabre où accomplir des actions complexes, les dommages sur son cerveau sont irreversibles.

-Nous avons fait erreur en envoyant nos frères et soeurs au compte goute, enquêter sur une affaire qui visiblement dépasse même nos prérogatives de protecteurs de la République !

-Nous avions pris la meilleur décision possible par rapport à ce que nous savions sur les faits Maitre Jindo, nous ne pouvions pas savoir que tout cela prendrait une telle empleur... ce ne devait être qu'une enquête banale sur une enième nouvelle drogue à la mode...

-Je suis sur que les Maitres Rori Binder et Sonia Sharr ainsi que leurs padawans ne seraient pas de cette avis, et encore moins Maitre Bella Kiw...

-Silence Maitre Jindo !

Crie la grande maitre du Conseil Satele Shan.

-Sa padawan est là...

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Musique du texte: https://www.youtube.com/watch?v=EEL2VomvzkI

Scene d'exposition:


La nuit n'a jamais été aussi claire que ce soir sur Seikuzu. Mais ce n'est pas à la lune qu'on le doit. La lune est morte ce soir. Elle est enterré sous l'épaisse chape de fumée qui s' envole des immeubles en feu... et masque les astres impassibles.  Ça et la, de nouvelles explosions, de nouveaux coups de feu, de nouveau hurlement résonnent dans la nuit. A mesure que l'on s'approche du quartier Yakuza, on peut entendre le champ des sirènes de pompier, les insupportables tintements des alarmes, comme si toutes les banshee de l'Enfer étaient sorties de leur tombe cette nuit là, pour hurler toute ensemble, puis se taire tout à coup.

Une nouvelle explosion résonne, la carcasse embrasée d'une voiture de police surgit d'une ruelle et vient s'écraser dans la façade d'un poissonnier. L'âme du commerçant qui refusait de quitter sa boutique, sa vie, l'avenir de ses enfants, rejoint celle des deux agents victime de leur courage, fauchées par l'injustice. Ils étaient entré malgré les ordres dans l'espoir de sauver quelque personnes, ils figurent désormais parmi les victimes.

Seul au milieux de l'épais brouillard, une silhouette féminine et élancée, drapée dans une grande robe et coiffée d'un chapeau, marche au milieux du carnage, ses talons claquent sur le sol et résonnent au milieux du champ de bataille. Quelques pas derrière elle, d'autres silhouettes apparaissent, plus massives, engoncés dans d'élégants costumes trois pièce et armés de vieilles mitraillettes Thompson, comme dans les films de gangster d'autrefois.

Pour retrouver sa championne, elle avance les yeux fermés, un sourire au lèvres, se laissant guider par la chaleur des feux, le tintement des coups de feu et par les hurlements de terreur.

Elle se rapproche, elle reconnait maintenant les cris des Yakuza, leurs voix, les détonations de leurs armes et les crissement de leur katana alors qu'ils affrontent la mort avec honneur.

Rachele fait quelques pas dans une rue où gisent d’innombrables cadavres incrusté dans leurs propres cratères d'impact. Une vitre éclate quelques mètres plus loin, brisée par le corps d'un homme qui a été lancé au travers pour s'écraser lourdement sur le trottoir. Ses articulations sont horriblement retournées, sa poitrine perforée par son propre sabre qu'une créature à la force incroyable à brisée en deux, pour le clouer avec.

Dona Florenza s'immobilise, tend sa main délicate à hauteur de sa hanche comme si elle attendait qu'une chienne vienne la lécher et murmure.

- Vient... vient à moi Esclave.

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